• مقتل 17 جنديا ومدنيا إسرائيليا في هجمات “حزب الله” منذ 8 أكتوبر الماضي.. وجيش الاحتلال يقصف مناطق بجنوبي لبنان | رأي اليوم
    https://www.raialyoum.com/%d9%85%d9%82%d8%aa%d9%84-17-%d8%ac%d9%86%d8%af%d9%8a%d8%a7-%d9%88%d9%85%d

    Bilan toujours aussi mystérieux des combats au nord d’Israël (17 morts). De mémoire, le Hezbollah reconnaît un peu moins de 200 victimes...

    قالت هيئة البث العبرية الرسمية، مساء الأربعاء، إن 17 مدنيا وجنديا إسرائيليا قتلوا في هجمات لـ”حزب الله”، التي بدأت منذ 8 أكتوبر/ تشرين الأول 2023.

  • Médias israéliens : démissions massives de hauts responsables de l’appareil de propagande de l’armée – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2888459

    La 14ème chaîne israélienne a rapporté que de hauts responsables de l’appareil de propagande de l’armée d’occupation ont présenté leur démission, dont à leur tête le numéro deux de l’équipe du porte-parole militaire de l’armée, Daniel Hagari.

    Elle a également fait état du départ à la retraite d’un grand nombre de fonctionnaires du Département de l’information sous la direction de Hagari.

    Et de souligner : « ces démissions reflètent l’état de confusion au sein de l’agence elle-même et résultent de la protestation des officiers contre la conduite opérationnelle et personnelle en cours ».

    Parmi les retraités figurent également les colonels Botbol et Moran Katz, ainsi que le lieutenant Richard Hecht, porte-parole de l’armée israélienne pour les affaires médiatiques étrangères.

    Avant la nomination de Hagari au poste de porte-parole de l’Armée, ce dernier se chargeait de l’unité Sheetit 13. Il a également travaillé comme assistant de l’ancien chef d’état-major Gadi Eizenkot, en plus de son travail avec l’équipe du ministre Benny Gantz, a fait savoir la 14ème chaîne. En d’autres termes, la proximité de l’équipe démissionnaire avec Eizenkot et Gantz est remarquable.

    Auparavant, les médias israéliens avaient révélé que les ordres du Premier ministre d’occupation, Benjamin Netanyahu, de se préparer à lancer une opération militaire à Rafah ont déclenché de nombreux différends entre lui et l’armée d’occupation israélienne.

    Selon Yaron Abraham, analyste politique de la chaîne israélienne Channel 12, « Netanyahu a discuté il y a quelques jours avec le chef d’état-major de la poursuite de l’opération militaire, alors qu’un désaccord est apparu entre les deux parties concernant l’occupation de Rafah ».

    Et de poursuivre : « Tandis que Netanyahu fait pression sur l’armée pour qu’elle trouve des solutions rapides, le chef d’état-major Herzi Halevy souligne la nécessité d’assurer des conditions favorables, comme l’évacuation de la zone et la coordination avec l’Égypte ».

  • « Par crainte de dégâts énormes. » Le maire de Haïfa occupée appelle à ne pas entrer en guerre contre le Hezbollah – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2878845

    Le maire de Haïfa occupée, Einat Kalish, a appelé le gouvernement d’occupation israélien à ne pas entrer en guerre contre le Hezbollah, « par crainte de causer d’énormes dégâts à la ville ».

    Les médias israéliens ont cité Kalish disant que « certaines zones de la ville devront être évacuées », avertissant que « les tunnels du Carmel se transformeraient en un piège mortel ».

    « Des travaux sont en cours pour ouvrir des centres fortifiés équipés de groupes électrogènes, d’eau et d’assainissement, en cas d’éclatement d’un front persistant au nord », a-t-elle ajouté, estimant « qu’un grand nombre de personnes arriveront dans ces centres ».

    L’ancien chef du Mossad israélien, Danny Yatom, a précédemment affirmé « qu’il n’était pas dans l’intérêt d’Israël d’ouvrir un front de guerre avec le Hezbollah dans le sud du Liban ».

    Dans le même contexte, l’ancienne chef du parti Meretz, Zahava Galon, a déclaré « qu’ Israël ne peut pas se permettre de se battre sur deux fronts », expliquant qu’elle parlet de « la vraie guerre ».

    Elle a ajouté : « Ils nous ont dit que nous étions prêts à combattre à Gaza, et nous avons vu ce qui s’est passé. Actuellement, nous n’en sommes pas capables. Maintenant, il y a une sorte de politique d’assimilation. Nasrallah essaie et nous répondons. »

    Elle a souligné que l’entrée de Benny Gantz et de Gadi Eisenkot dans le gouvernement d’urgence israélien visait précisément à empêcher le ministre de la Défense, Yoav Galant, d’oser attaquer dans le nord.

    (...)

  • Ben Gvir révèle un plan pour vider Gaza des Palestiniens – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2865700

    Rédaction du site

    Le ministre israélien de la Sécurité, Itamar Ben-Gvir, a averti qu’il s’opposerait à tout accord avec le Hamas qui permettrait la libération de milliers de Palestiniens ou qui mettrait fin à la guerre avant que le Hamas ne soit complètement vaincu. « Netanyahu est à un carrefour, et doit choisir la direction à prendre », a-t-il dit dans une interview au quotidien US Wall Street Journal, ont rapporté les médias israéliens.

    Ben-Gvir a dans ce contexte révélé son plan pour Gaza, proposant « de repeupler la bande de Gaza avec des colonies israéliennes tout en offrant des incitations financières aux Palestiniens pour qu’ils partent ».

    Le ministre israélien a estimé que son plan visant à « encourager les Gazaouis à émigrer volontairement vers différents endroits à travers le monde » en fournissant des incitations financières en espèces est une « vraie action humanitaire » à entreprendre.

    Ben-Gvir a enfin prétendu savoir que les Palestiniens seraient ouverts à cette idée à travers des discussions avec des Palestiniens en Cisjordanie et des renseignements qu’il a reçus en tant que ministre.

    Ben-Gvir a en outre accusé l’administration Biden d’entraver l’effort de guerre israélien et a affirmé que le candidat républicain à la présidence des États-Unis, Donald Trump, permettrait à Israël une plus grande liberté « pour écraser le Hamas ».

    « Au lieu de nous fournir un soutien total, Biden est occupé à fournir de l’aide humanitaire et du carburant [à Gaza], qui parviennent au Hamas, » a déclaré Ben-Gvir.

    « Si Trump avait été au pouvoir, l’approche des États-Unis aurait été complètement différente ».

  • Washington approuve une nouvelle vente « d’urgence » d’obus à ‘Israël’ en contournant le Congrès – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2831050

    Pour la deuxième fois en un mois, l’administration du président américain Joe Biden a contourné le Congrès pour approuver une vente d’armes à ‘Israël’, en recourant au « pouvoir d’urgence ».

    Le Bureau des affaires politiques et militaires du Département d’État américain a déclaré, le vendredi 29 décembre, dans un communiqué que « le secrétaire d’Etat Anthony Blinken a approuvé une vente de cartouches M107 de 155 mm et d’équipements militaires au gouvernement israélien, pour un montant de 147,5 millions de dollars ».

    Le communiqué indique que l’Agence de coopération en matière de sécurité et de défense a seulement informé le Congrès de cette vente potentielle.

    Et d’ajouter : Blinken a fourni des justifications détaillées au Congrès, estimant qu’il existait « une urgence qui nécessite la vente immédiate de matériel et de services militaires au gouvernement israélien dans l’intérêt de la sécurité nationale ».

    « Les États-Unis sont attachés à la sécurité d’Israël, et le fait d’aider Israël à maintenir une capacité forte pour se défendre est vital pour l’intérêt national des États-Unis », a-t-il renchéri.

    Le communiqué considère que cet équipement militaire et ce soutien à Israël « ne modifieront pas l’équilibre militaire fondamental dans la région ».

  • #Liban : Déferlement de responsables français, message israélien et force al-Radwan. – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2805013

    Quelques jours après la visite de l’envoyé spécial du président français Jean-Yves Le Drian, le directeur général de la sécurité extérieure français (DGSE) Bernard Émié est arrivé dans la capitale libanaise à la tête d’une délégation de 5 responsables français pour une visite clandestine.

    Alors que personne ne sait les causes réelles de leur visite, des sources haut-placées ont assuré qu’ils devraient compléter la mission de leur prédécesseur, rapporte al-Akhbar, selon lequel Paris est à l’avant-garde pour véhiculer les messages israéliens menaçants , destinés à faire pression afin d’imposer une nouvelle réalité de terrain à la résistance libanaise. Depuis le déclenchement de l’offensive israélienne contre la bande de Gaza, cette dernière mène des opérations contre les positions israéliennes frontalières, à un rythme sans précédent depuis la guerre 2006.

    Officieusement le Drian affichait sa volonté « d’assurer un consensus libanais concernant les échéances actuelles », mais il s’est avéré qu’en tant que représentant du Groupe des cinq (dont la France fait partie avec les USA, l’Egypte, le Qatar, l’Arabie saoudite), il portait un message primordial : mettre en exécution la résolution 1701 et créer une zone tampon au sud du Liban entre la ligne du Litani et la ligne bleue. Le but en est de rassurer les habitants israéliens des colonies limitrophes du Liban et qui craignent revenir en raison de la présence du Hezbollah.

    Le Drian aurait même menacé de faire appliquer cette résolution par la force en la modifiant au sein du Conseil de sécurité ou en recourant au chapitre VII pour imposer une zone tampon de 30 km de profondeur.

    Les sources d’al-Akhbar estiment que le responsable français de la DGSE porte le même message, d’autant que les médias israéliens avaient assuré que « Tel Aviv a chargé Paris d’agir contre le Hezbollah ».

    Selon ces sources, les Français parlent en détail, mais « ne présentent de plan clair quant au type ou à l’ampleur du déploiement du Hezbollah au sud du Litani. Ils ont plutôt présenté quelques idées ».

    « La France entreprend un effort diplomatique pour mettre en œuvre la résolution, étant donné qu’elle fait partie de ceux qui l’ont rédigé en 2006 » rapporte al-Akhbar selon lequel parmi les idées qui circulent dans les milieux diplomatiques et que certains envoyés européens véhiculent au Liban, il était question de « séparer les forces al-Radwan », la force d’élite du Hezbollah, de toutes les autres forces affiliées à la résistance, avec la proposition de retirer ces forces de la frontière sud, sans objection à la présence d’autres forces à caractère défensif dans le sud.

    Selon des sources informées de ces délibérations, les envoyés occidentaux ont entendu à Beyrouth des réponses claires selon lesquelles « l’ensemble du Hezbollah est la force al-Radwan ».

    Les sources ont placé la visite d’Émié dans le contexte de « la pression croissante sur le Liban et la résistance pour réaménager le statut de la région frontalière, alors qu’il est difficile de revenir à ce qu’elle était avant le 7 octobre dernier ».

    Elles jugent que « L’ennemi sioniste jette des ballons de test à travers les Français, pour surveiller la réaction de la résistance et l’ampleur de la réponse des autorités libanaises à cette demande, et pour savoir s’il existe une base politique permettant de faire pression sur le Hezbollah en utilisant ses opposants internes ».

    Toujours selon ces sources, cette campagne est d’ores et déjà menée par le chef du Parti des Forces Libanaises, Samir Geagea, qui réclame de rendre la zone au sud du fleuve Litani démunie d’armes et de militants. Sans compter les activités menées par les Forces intérimaires des Nations Unies pour le Liban (FINUL) qui poursuivent le même objectif.

  • Médias israéliens : la fuite des soldats du service militaire incite l’armée à durcir les sanctions à leur encontre – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2790438

    Les médias israéliens ont rapporté : « À compter du 1er décembre, l’armée renforcera les mesures de sanctions pour ceux qui fuient le service militaire et ne rejoignent pas leur unité deux mois après le déclenchement de la guerre ».

    Ils ont ajouté : « On s’attend à ce que la peine s’étende d’un à trois jours de prison pour chaque jour d’absence, par rapport à des périodes de prison plus courtes dans le passé. À l’heure où il y a aujourd’hui dans l’armée israélienne deux mille soldats qui désertent l’armée, dont la majorité sont issus de l’armée régulière, et dont la plupart ont fui au cours de la période précédant le 7 octobre, et des centaines de réservistes n’ont pas rejoint le service ».

    Dans un contexte similaire, un soldat de réserve servant dans le nord a déclaré à la Douzième chaîne : « Nous souffrons d’un manque de nourriture et d’équipement. Nous dormons dans des couvertures et des ambulances pour lutter contre le froid, et sans dons, nous serions dans une situation très difficile ».

    Il y a environ un mois, la Douzième chaîne israélienne a rapporté que « l’armée de l’air israélienne avait transféré des centaines de soldats de l’armée d’occupation régulière et de réserve de toute l’Europe vers « Israël ».

    Au début de son agression, « Israël » a également annoncé la convocation de 300 000 soldats de réserve, dans le cadre de la guerre qu’il mène dans la bande de Gaza.

    Cela arrive au moment où les services de sécurité étudient la possibilité de réduire le nombre de soldats de réserve et de licencier certains d’entre eux, en raison des dommages causés au marché du fait de leur absence des colonies et des lieux de travail.

    Des milliers de soldats d’occupation ont annoncé plus tôt qu’ils ne rejoindraient pas le service, en raison de leur opposition aux amendements judiciaires souhaités par le Premier ministre d’occupation, Benjamin Netanyahu, et de nombreux avertissements ont été lancés selon lesquels cette question affecterait la dissuasion et la préparation militaire des soldats. »

  • Le directeur d’un cimetière israélien : nous accueillons un tué toutes les heures. 5 militaires tués ces dernières heures. – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2785807

    Apparemment, seule Al-Manar donne cette « info »...

    Le directeur d’un cimetière militaire israélien a déclaré que 50 cadavres de militaires israéliens tués dans les combats terrestres dans la bande de Gaza ont été enterrés dans son cimetière ces deux derniers jours.

    « Nous traversons des moments très difficiles. Il y a des funérailles toutes les heures, voire toutes les heures et demie. Je suis censé ouvrir un grand nombre de tombes. Rien que dans le cimetière du Mont Herzl, nous avons enterré 50 soldats en 48 heures », a dit David Aron Baroch, le directeur du cimetière du Mont Herzl, dans une vidéo diffusée sur le site du ministère de la Sécurité israélien, selon le site web de la chaine de télévision qatarie al-Jazeera.

    Le chiffre livré par ce directeur ne concorde pas avec celui véhiculé par l’armée israélienne. Samedi, cette dernière a fait état de la mort de 6 soldats dans les combats terrestres dans la bande de Gaza, portant à 58 le chiffre des militaires israéliens tués depuis le lancement de l’offensive terrestre israélienne le 27 octobre dernier. Ce dimanche, elle a rendu compte de la mort de 5 officiers et soldats, tués dans les combats au nord de Gaza, portant le chiffre à 63.

    Dans l’une de ses interventions, le porte-parole des Brigades al-Qassam du Hamas, Abou Ubaida a assuré que le chiffre réel des tués israéliens dans les combats terrestres est supérieur à celui affiché par les autorités de l’occupation israélienne

    Selon l’armée israélienne, des combats violents se déroulent dans le quartier al-Zeytoun à Gaza et dans le camp de Jabalia où une école de l’UNRWA a fait l’objet samedi d’un raid israélien meurtrier qui a causé un carnage parmi les déplacés palestiniens qui s’y étaient abrités.

    Les raids israéliens se poursuivent contre Jabalia où une quatrième mosquée a été bombardée ce dimanche. Selon le Bureau médiatique du gouvernement de Gaza, depuis le début de l’offensive israélienne contre la bande de Gaza, il y a 44 jours, 76 mosquées ont été détruites totalement, 176 partiellement, ainsi que 3 églises.

    Les Brigades al-Qods du Jihad islamique ont rapporté avoir visé avec des obus de mortier des militaires israéliens sur l’axe ouest de Beit Lahia, au nord-ouest de la bande de Gaza, et avoir frappé un véhicule militaire israélien avec un obus RPG dans l’entourage de l’Université ouverte al-Qods à l’est du camp al-Shati’. Elles ont aussi fait état d’accrochages à Beit Hanoun au nord-ouest de la bande de Gaza.

    • En fait Manar cite jazira arabe, lien à l’appui :
      مدير مقبرة عسكرية إسرائيلية : نستقبل جنازة كل ساعة ودفنّا 50 جنديا في يومين | أخبار | الجزيرة نت
      https://www.aljazeera.net/news/2023/11/19/%d9%85%d8%af%d9%8a%d8%b1-%d9%85%d9%82%d8%a8%d8%b1%d8%a9-%d8%b9%d8%b3%d9%8

      Avec une vidéo d’un reportage en hébreu

      Le texte de jazira :

      شف مدير مقبرة عسكرية إسرائيلية عن أن عدد قتلى الجيش الإسرائيلي في المعارك التي تدور في قطاع غزة كبير، مؤكدا أن 50 جنديا دفنوا في المقبرة التي يعمل فيها خلال اليومين الماضيين.

      وأكد مدير مقبرة “جبل هرتزل العسكرية” ديفيد أورن باروخ -في مقطع فيديو نشرته وزارة الأمن الإسرائيلية أمس السبت- أن المقبرة تستقبل عددا كبيرا من القتلى بمعدل جنازة كل ساعة أو كل ساعة ونصف الساعة.

      وقال باروخ “نحن نمر الآن بفترة صعبة جدا، هناك جنازة كل ساعة، أو ساعة ونصف الساعة. يفترض مني أن أفتح عددا هائلا من القبور. فقط في مقبرة جبل هرتسل دفنا 50 جنديا خلال 48 ساعة”.

      وأوضح أن عمله ينصَبُّ على تجهيز القبور لقتلى الأجهزة الأمنية الإسرائيلية والعناية بها

  • Sur le nombre de victimes militaires de part et d’autre de la frontière,

    Peut-être que le Hezbollah ment, mais comme les déclarations de l’état sioniste concernant le nombre de ses militaires tués (les militaires sionistes ne sont jamais blessés) sont inconditionnellement retenues par les #MSM alors même que cet état est un #serial_menteur, je vais présenter ce que dit le Hezbollah :

    (Les chiffres qui suivent vont jusqu’au 31 octobre, l’état sioniste ne reconnaissant que 6 militaires tués dans ses rangs)

    Les chiffres de la Résistance islamique sur les pertes israéliennes en 23 jours de confrontation – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2759110

    L’antenne médiatique de la Résistance islamique (RI) au Liban Média de guerre a diffusé une infographie dans laquelle elle répertorie les pertes de l’armée d’occupation israélienne à la frontière avec le Liban durant les 23 jours d’opérations.

    Elle indique les données suivantes :

    2 véhicules de transport détruits

    Deux Hummers détruits

    9 chars détruits ou endommagés

    105 positions militaires prises pour cible

    140 caméras détruites

    33 radars visés

    1 drone abattu

    120 soldats tues ou blessés

    69 systèmes de communications frappés

    17 systèmes de brouillage visés

    27 systèmes d’intelligence visés

    Évacuation de 65 mille colons

    28 colonies évacuées.

    Ce mardi 31 octobre, la RI a revendiqué des tirs d’obus guidés au milieu de la journée en direction d’une force israélienne positionnée sur la colline Khazzan, à proximité du site Al-Assi, causant des tués et de blessés dans ses rangs.

    Dans l’après-midi, elle a indiqué dans un communiqué avoir visé un char Merkava via des missiles guidés pendant son déplacement dans la caserne Branit assurant l’avoir détruit et causé des pertes ou des blessés parmi son équipage.

    Vers 16 :00, la RI a signalé que ses combattants ont ouvert le feu sur une force d’infanterie israélienne à proximité du poste al-Jerdah avec des obus d’artillerie causant des pertes dans ses rangs.

    • Pertes sionistes pour la seule journée du 05/11/2023 selon le Hezbollah (tel que rapporté par « l’Orient-le-Jour »)

      Plus tôt dans la journée, l’armée israélienne a déclaré avoir intercepté un drone volant vers Israël depuis le Liban alors qu’il survolait le territoire libanais et qu’un missile antichar tiré depuis le Liban avait touché la région de Yiftah, dans le nord d’Israël. Aucune victime n’a été signalée dans l’immédiat lors de l’attaque de Yiftah.

      L’ANI [agence nationale de l’information], citant son correspondant, avait rapporté pour sa part que le Hezbollah avait abattu un drone hostile au-dessus du sud du Liban, dont l’épave était tombée au-dessus des villages de Zebdine et Harouf, à 30 km de la frontière. Il n’y a eu aucun commentaire de la part du Hezbollah sur ce rapport.

      Le Hezbollah a toutefois annoncé, dans un communiqué, avoir visé, à 13h20, un véhicule de l’armée israélienne dans la position israélienne de Bayyad Blida, à l’aide de missiles guidés. Le parti chiite assure avoir fait « des blessés et des morts » parmi les soldats qui se trouvaient sur place.

      « À 11h20 dimanche, des combattants (du Hezbollah) ont visé la caserne d’Avivim et le point de Jal al-Deir avec des missiles guidés et des armes appropriées », a annoncé le parti chiite dans un communiqué. Le Haaretz a pour sa part rapporté à 11h49 que « des sirènes ont retenti dans les villes d’Avivim et d’Yi’ron à la frontière avec le Liban ».

      Dans un second communiqué, le Hezbollah a annoncé avoir visé à « 12h20 la position de Meskav avec des missiles guidés et des armes appropriées, détruisant une partie des équipements techniques de cette position ».

      [...]

      https://www.lorientlejour.com/article/1356271/quatre-civils-dont-trois-enfants-tues-par-une-frappe-israelienne-au-l

    • Conflit israélo-libanais de 2006 — Wikipédia
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Conflit_isra%C3%A9lo-libanais_de_2006

      Le 3 septembre 2006, un sondage effectué en Israël par l’Institut Ben Gourion montre que les Israéliens croient plus Nasrallah que Peretz, considéré comme moins crédible[86].

      Poll: Israelis believed Nasrallah over Peretz
      https://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3299073,00.html

  • Le terrorisme israélien bombarde l’hôpital Baptiste à Gaza. 500 martyrs au moins. « Nous avions prévenu d’évacuer l’hôpital et 5 autres », a déclaré Tsahal. – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2737264

    Infos reprises d’une chaîne depuis longtemps interdite en France, faut-il le rappeler...

    Selon le correspondant d’al-Manar et d’autre journalistes sur places à Gaza, les avions israéliens ont bombardé à deux reprises l’hôpital Baptiste (al-Ahli al-Arabi/ al-Maamadani) , causant des centaines de martyrs et de blessés. Il y a d’autant plus de victimes du fait aussi que l’hôpital était devenu le refuge de centaines de Gazaouis qui avaient fui leurs quartiers ou leurs régions ravagés par les raids israéliennes réalisés à une cadence sans précédent. Ils croyaient que le fait de s’abriter dans cette institution chrétienne leur fournirait une certaine protection.

    (...)

    Les blessés ont été transportés à un autre hôpital, al-Shifa où il y a une panne totale d’électricité, selon le porte-parole du ministère de la Santé, Ashraf Al-Qudra.

    Le directeur de l’hôpital Al-Shifa à Gaza a déclaré que « les opérations sont réalisées sans anesthésie et dans la rue ».

    (...)

    Selon le correspondant d’al-Manar, l’ennemi israélien menace aussi de bombarder l’hôpital des Martyrs d’al-Aqsa à Der al-Balah.

    Selon al-Jazeera, le porte-parole de l’armée israélienne a déclaré : « Nous avions prévenu l’hôpital Baptiste et 5 autres hôpitaux de les évacuer afin qu’ils ne deviennent pas des refuges pour le Hamas ».

  • La Garde nationale d’Itamar Ben-Gvir : le retour aux milices. Menaces pour les Palestiniens …et les Israéliens récalcitrants – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2586608

    La décision du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu de former les forces de la Garde nationale, sous l’autorité du ministre de la Sécurité nationale Itamar Ben-Gvir, et sur son insistance, en échange de l’accord de suspension des réformes judiciaires, a soulevé des questions sur la nature de leurs fonctions au cours de la prochaine période.

    D’après les propos de Ben-Gvir, cette force devraient être limitées à l’intérieur occupé, mais certains Israéliens appréhendent qu’elle ne se transforme en une milice armée à la solde du ministre extrémiste du gouvernement de Netanyahu, en particulier à la lumière du fossé qui se creuse entre lui et les chefs de la police israélienne.

    Contre les Palestiniens

    La Garde nationale sera chargée de faire face aux défis sécuritaires qui surgissent « lors des différentes conditions d’urgence, notamment pour faire face aux opérations palestiniennes dans l’intérieur occupé et afin de renforcer la capacité du gouvernement à exercer son autorité dans les zones où la réalité l’exige ».

    La création de ces forces prévoit entre autres de charger le ministre de la Sécurité nationale de former un comité dirigé par le sous-secrétaire et avec la participation des représentants du cabinet du Premier ministre, des ministères de la Sécurité et de la Justice, de la police et de l’armée d’occupation, à condition que ce comité présente ses recommandations au ministre de la Sécurité nationale dans un délai de 60 jours concernant les missions et les objectifs de la Garde nationale, ainsi que ses attributions et l’identité de ses éléments et autres.

    Selon la proposition, cette garde sera composée de « forces régulières et de brigades tactiques… de sorte qu’elles puissent se déployer au niveau national, et opérer en période normale grâce à l’utilisation de moyens technologiques et de renseignement ». La proposition prévoit également « la possibilité que la Garde nationale puisse recourir aux forces de réserve et des volontaires en cas d’urgence ».

    A la place des Gardes-frontières

    Ben-Gvir propose d’étudier le transfert d’entreprises de la garde-frontière à la garde nationale. Il a écrit dans sa proposition que « la garde formera une force spécialisée, qualifiée et entraînée, pour faire face à divers scénarios d’urgence, à la criminalité nationale, à la lutte contre le terrorisme, ainsi qu’au renforcement de la capacité de gouverner dans les endroits qui l’exigent, dans le cadre des tâches qui incombent aujourd’hui à la police israélienne dans ces domaines ».

    Selon les médias hébreux, Ben-Gvir envisage de proposer une force composée d’environ 2 000 membres, équipés d’armes, et surnommée « Police de combat », avec un budget d’environ 280 millions de dollars.

    Un gaspillage des ressources

    Parmi les voix qui conteste le plus haut la création de la Garde nationale est celle du commissaire de la police d’occupation Roni Alsheikh.

    Le site Makor Rishon a rapporté qu’il a envoyé une lettre à Netanyahu et au chef du Conseil de sécurité nationale, Tzahi Hanegbi, leur disant : « La création de la Garde nationale est un gaspillage de ressources et un pari dont l’avantage n’a pas été prouvé. »

    « L’objectif de la proposition qui nous est présentée n’est pas du tout clair. Cela pourrait gravement nuire aux capacités opérationnelles du service interne de l’entité. C’est un pari dont l’avantagé n’est pas avéré. Elle pourrait porter atteinte à l’unité de commandement », a-t-il écrit.

    Lafamilia et Lahava

    Quant au journal économique israélien Calcalist, il a décrit la Garde nationale comme de « milice spéciale de Ben Gvir » car elle serait formée de gangs de la droite laïque connus sous le nom Lafamilia et de gangs de la droite religieuse baptisés Lahava.

    Selon le journal, le budget alloué à cette milice sera déduit des budgets d’autres ministères.

    Dans ce contexte, l’ancien commissaire de la police israélienne, Moshe Karradi a accusé Ben-Gvir de vouloir « façonner son projet de rêve, légitimer ses armées terroristes et les intégrer dans le service de sécurité israélien, mais sous sa direction directe, afin de le nourrir avec l’idéologie qui lui convient »

    Il a mis en garde que « Ben-Gvir pourrait utiliser la Garde nationale pour mener un coup d’État ».
    « Je n’envie pas le chef du Shin Bet pour son statut », a-t-il souligné.

    Lecture analytique

    Dans ce contexte, le journaliste et chercheur sur les affaires israéliennes, Mohamad Badr, affirme que la droite israélienne cherche depuis des décennies à former des milices armées dans un double objectif : le premier est tourné vers l’intérieur dans le but de créer une sorte de différence de pouvoir entre les composantes de la société dite israélienne en faveur de la droite religieuse nationale, parmi lesquelles Lafamilia et Lahava.

    Badr a ajouté qu’il existe des enquêtes antérieures menées par la police d’occupation israélienne qui indiquent le rôle de Ben-Gvir dans le commandement de la milice Lafamilia, car ces groupes adoptent des slogans sociaux racistes.

    Selon lui, ces milices ont des slogans qui pronent la violence contre deux parties : contre les Palestiniens afin d’élargir leur audience interne et de renforcer leur image en tant qu’outil de dissuasion et d’oppression des Palestiniens, ce qui se fait en coordination avec l’institution sécuritaire qui les a convoqués dans les territoires occupés lors de la campagne de mai 2021.

    Et contre les Israéliens aussi de l’autre côté. Le journaliste et chercheur sur les affaires israéliennes souligne que ces groupes pratiquent la violence au sein de la société israélienne, et même si cela n’a pas été remarqué jusqu’à présent, cela aurait pu exploser lors des récentes manifestations de réformes judiciaires, surtout que Lahava et La Familia ont agressé les participants contre le plan.

    Et « Cellules de sécurité »

    Selon Badr, il y a eu récemment la formation d’une nouvelle milice appelée « Cellules de sécurité », qui sont entraînées et armées pour intervenir dans les incidents de sécurité. Elles ont des pouvoirs similaires à ceux de la police et sont autorisées à tuer si elles suspectent quelqu’un.

    Il indique que la majorité des membres de ces groupes sont volontaires, et sont pour la plupart des partisans de la « tendance nationaliste religieuse » qui tentent d’avoir un certain poids dans l’armée et dans les milices dans le cadre de leur vision du « pouvoir juif ».

    Badr explique que le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir , cherche, par ce qu’il fait actuellement en lançant les forces de la Garde nationale, à créer un cadre légal pour la majorité de ces groupes, à les protéger et à les exempter de toute reddition de comptes en les transformant en une « milice » affiliée au gouvernement et au système politique israélien officiel.

    Conformément à cette affaire, Ben-Gvir cherche à travers son plan, à trouver un financement complet pour cette milice et à lui déduire des fonds de ceux des ministères et institutions officiels du gouvernement israélien, parce que lui et le ministre des Finances Bezalel Smotrish ont découvert qu’il y avait des traces d’un Etat profond dans les institutions, ce qui rend le régime inadapté à leurs idées, selon le journaliste et chercheur en matière israélienne.

    « Cette démarche destinée à lancer la milice de la Garde nationale sera parallèle à l’appareil policier dans l’occupation, et c’est la nature des courants idéologiques qui arrivent au pouvoir, lorsqu’ils cherchent à créer des institutions parallèles pour eux par peur de l’État profond, ce sur quoi Ben-Gvir travaille actuellement », a conclu Mohamad Badr.

    Selon certains observateurs, la création de la Garde nationale avec les deux milices Lafamilia et Lahava n’est pas sans craindre qu’elle ne recoure aux même procédés terroristes de ceux des milices qui ont proliféré lors de l’usurpation de la Palestine, dans les années 40 du siècles dernier. A l’instar de la Hagana.

    (Traduit par notre rédaction du site Quds Press)

  • Les colons autorisés à revenir dans des colonies évacuées en 2005 – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2577621

    Le mouvement des colons a remporté une victoire mardi au Parlement israélien avec l’annulation d’une disposition législative interdisant aux Israéliens de séjourner dans une zone du nord de la Cisjordanie dont les habitants juifs avaient été évacués en 2005.

    Cette année-là, ‘Israël’ s’était retiré unilatéralement de la bande de Gaza, évacuant les colonies juives dans ce territoire palestinien ainsi que quatre colonies du nord de la Cisjordanie, dans les environs de Naplouse.

    La loi votée pour permettre ce désengagement interdit depuis aux Israéliens de séjourner dans ces zones, mais un amendement adopté définitivement lors d’un vote nocturne au Parlement les autorise désormais à revenir dans la partie évacuée du nord de la Cisjordanie.

    Ce vote rend désormais possible une éventuelle légalisation par les autorités de l’occupation israélienne d’une colonie recréée sans leur aval à Homesh, la seule des quatre colonies juives de la zone dont les habitants avaient dû être évacués de force en 2005 avant la destruction des lieux par l’armée israélienne.

    • Le mouvement des colons remporte une victoire au parlement israélien
      Le Temps avec l’AFP | Publié mardi 21 mars 2023
      https://www.letemps.ch/monde/moyenorient/mouvement-colons-remporte-une-victoire-parlement-israelien

      Le mouvement des colons a remporté une victoire mardi à la Knesset, le parlement israélien, avec l’annulation d’une disposition législative interdisant aux Israéliens de se rendre dans une zone du nord de la Cisjordanie dont les habitants juifs avaient été évacués en 2005. En 2005, Israël s’était retiré unilatéralement de la bande de Gaza, évacuant les colonies juives dans ce territoire palestinien ainsi que quatre colonies du nord de la Cisjordanie, dans les environs de Naplouse.

      La loi votée pour permettre ce désengagement interdisait depuis lors aux Israéliens de se rendre dans ces zones, mais un amendement adopté définitivement lors d’un vote nocturne au parlement les autorise désormais à revenir dans la partie évacuée du nord de la Cisjordanie. Ce vote rend désormais possible une éventuelle légalisation par les autorités israéliennes d’une colonie recréée sans leur aval à Homesh, la seule des quatre colonies juives de la zone dont les habitants avaient dû être évacués de force en 2005, avant la destruction des lieux par l’armée israélienne.

      Les colons d’extrême droite ont fait de l’avant-poste de Homesh un symbole de leur combat et créé un mouvement nommé « Homesh d’abord ». Un petit groupe de militants y a créé une « yeshiva » (institut d’études talmudique) en 2009, évacuée des dizaines de fois depuis par les forces de l’ordre, jusqu’à ce que l’armée finisse par les laisser s’installer.

      (...) Le ministre israélien des Finances Bezalel Smotrich, – lui-même habitant d’une colonie de Cisjordanie occupée et pour qui « les Palestiniens n’existent pas », comme il l’a déclaré dimanche – a qualifié sur Twitter le vote d’« historique ». « Cette nuit, nous commençons à effacer la honte de l’expulsion et à faire avancer la régularisation de notre présence à Homesh », a-t-il ajouté. La députée Limor Son-Har Melech, du parti d’extrême droite Force juive, qui vivait à Homesh en 2005, a affirmé sur Twitter vivre « un moment de joie infinie ».

      Le mouvement israélien anti-colonisation La Paix maintenant (Peace Now) a estimé pour sa part que la modification de la loi allait « renforcer l’occupation ». « En plus d’un coup d’Etat contre le pouvoir, nous assistons à un coup d’Etat messianique dangereux qui va renforcer l’occupation », écrit l’ONG. Le Hamas a condamné de son côté un « crime » et a appelé la communauté internationale à « stopper l’occupation colonialiste » israélienne. (...)

  • Un nouveau mouvement juif veut aider 10 mille Israéliens à quitter « Israël ». « Le peuple juif ne saura jamais gouverner Israël. Son destin est de vivre dans la diaspora » – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2507694

    Un nouveau mouvement juif tente de recruter 10.000 Israéliens pour quitter ‘Israël’ après les résultats des élections israéliennes qui ont ramené Benjamin Netanyahu au pouvoir.

    Dans les détails, le journal israélien Maariv indique dans son édition de ce lundi 12 décembre que c’est le groupe baptisé « Quitter le pays ensemble » qui a fixé comme premier objectif à environ 10.000 immigrés israéliens, ajoutant que « l’un de ses dirigeants, Yaniv Gorlick, était un activiste clé dans les manifestations contre Benjamin Netanyahu et est considéré comme un militant social de premier plan contre l’imposition de la religion ».

    Le journal cite un autre activiste Mordechai Kahana, un homme d’affaires israélo-américain, disant : « Après des années de contrebande de Juifs des zones de guerre au Yémen, en Afghanistan, en Syrie et en Ukraine vers Israël, j’ai décidé d’aider les Israéliens à partir pour les États-Unis ».

    Kahana, selon le journal israélien, « fait partie d’un groupe d’Israéliens américains qui se sont présentés aux récentes élections pour le Congrès sioniste mondial, et qui a finalement recueilli suffisamment de voix pour envoyer un représentant au Congrès en Israël ».

    Il ajoute : « Les membres du parti israélo-américain pensaient que j’étais un peu extrémiste, et je leur ai dit qu’il était temps d’offrir une alternative au mouvement sioniste au cas où la situation en Israël continuerait à se détériorer », ajoutant : « Je ne veux pas que notre pays soit détruit, mais que se passera-t-il s’il est détruit ? »
    Selon lui : « Je vois une grande haine et je vois les Iraniens avec des missiles de précision pointés sur Israël. Il y a deux mille ans c’était exactement pareil. »

    Kahana a suggéré, toujours selon le journal « de donner la moitié de l’argent au Fonds national pour l’éducation juive en Amérique du Nord, parce que nous sommes la moitié du peuple juif ».

    Selon Maariv, « Kahana a reçu des dizaines de demandes d’assistance d’Israéliens dans le domaine de l’immigration, en particulier de la part de ceux qui dirigent de petites entreprises technologiques qui souhaitent déplacer leurs locaux aux États-Unis ».
    Il avait déclaré à l’époque : « J’ai vu des gens dans un groupe WhatsApp parler d’Israéliens qui immigrent vers la Roumanie ou en Grèce, mais personnellement, je pense qu’il serait plus facile pour eux d’immigrer aux États-Unis. J’ai une immense ferme dans le New Jersey et j’ai proposé aux Israéliens de m’y rejoindre afin de la transformer en une colonie ».

    Kahana a écrit : « Avec un tel gouvernement en Israël, le gouvernement américain doit permettre à chaque Israélien qui possède une entreprise ou une profession requise aux États-Unis, comme les médecins ou les pilotes, d’immigrer aux États-Unis. »

  • Un verdict sans précédent : une doctorante de 34 ans condamnée à 34 ans de prison pour des Tweets d’opposants. « la brutalité de MBS renforcée depuis la normalisation » avec l’Occident – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2409739

    La doctorante est mère de deux enfants et poursuivait ses études en Grande-Bretagne.

    Nos amis en #arabie_saoudite

  • Dictature en ‘Israël’ : Utiliser du cash devient criminel – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2407066

    La guerre d’Israël contre l’argent liquide passe un cap décisif. À partir de lundi, ce sera une infraction pénale en ‘Israël’ de payer plus de l’équivalent de 1.700 dollars en espèces à une entreprise ou de 4.360 dollars en espèces à un individu, alors que le gouvernement intensifie sa guerre en cours contre l’argent tangible.

    C’est une guerre qui a commencé sérieusement avec l’adoption en 2018 de la loi sur la réduction de l’utilisation de l’argent liquide. Les entreprises et les particuliers israéliens ont commencé à faire face à des limites sur les transactions en espèces en janvier 2019.

    (...)

    Selon Israel National News, le gouvernement a amassé l’équivalent de 5 milliards de dollars d’amendes depuis le début des restrictions en 2019.

    Toutes les transactions ne sont pas affectées, comme l’explique The Media Line :
    « Il y a quelques exceptions à la nouvelle loi : les institutions caritatives, qui sont les plus courantes dans la société ultra-orthodoxe ; et le commerce avec les Palestiniens de Cisjordanie, qui ne sont pas citoyens d’Israël. Dans ce dernier cas, les transactions comprenant de grandes quantités d’argent liquide seront autorisées, mais elles nécessiteront un rapport détaillé à l’autorité fiscale israélienne. »

    #israël #palestine

    • En France, depuis 2015, il y a déjà un plafond de 1000 euros :
      https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F10999

      Le paiement en espèces entre particuliers (achat d’une voiture par exemple) n’est pas limité. Un écrit est nécessaire au-delà de 1 500 € pour prouver les versements.

      […]

      Le paiement en espèces au guichet des centres des finances publiques est limité à 300 €.

      […]

      Le paiement en espèces d’un particulier à un professionnel ou entre professionnels est autorisé jusqu’à 1 000 €.

  • Un dépositaire libanais attaque sa banque, prend ses employés en otage et réclame son argent… Fin de la prise d’otages. – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2405042

    _Pas toujours très bien écrit mais précieux pour comprendre ce qu’est devenu la vie au #Liban_

    Evènement inédit depuis l’éclatement de la crise économique et financière au Liban en 2019, un Libanais armé retient en otage depuis le début d’après-midi de ce jeudi 11 août des employés d’une banque de Beyrouth. Il réclame son épargne de plus de 200.000 dollars.

    La banque en question est la Fédéral Bank , située à proximité de la très commerçante rue Hamra. Elle est depuis entourée d’un imposant cordon de sécurité, a constaté un journaliste de l’AFP.

    En colère, le dépositaire, Bassam cheikh Hussein, selon les médias libanais, « est entré avec un fusil de chasse et des matériaux inflammables et a menacé les employés pour qu’ils lui donnent son épargne », a expliqué l’une de ces sources.
    Une autre source a précisé que le quadragénaire avait « répandu de l’essence et fermé la porte de la banque ».

    Selon l’agence d’information libanaise NNA, l’homme a « menacé de s’immoler par le feu et de tuer tout le monde en braquant son pistolet sur la tête du directeur d’agence ».
    Il a déclaré avoir pris d’assaut la banque parce que son père « a été admis à l’hôpital il y a quelque temps pour une opération et ne pouvait pas la payer ».

    Son frère Atef al-Cheikh Hussein était sur les lieux. « Mon frère a 210.000 dollars en banque et veut obtenir seulement 5000 dollars pour payer les factures d’hôpital », a-t-il déclaré aux journalistes, seloh l’AFP, ajoutant qu’il se rendrait dès qu’il aurait son argent. D’après lui, son frère s’est emparé d’une arme « à la banque et ne l’avait pas apportée avec lui ». « Peu importe s’il va en prison, l’important est qu’on soulage notre détresse (financière) », a-t-il ajouté.

    Une vidéo mise en ligne montre deux négociateurs qui réclament à l’assaillant –qu’ils appellent Bassam– de libérer deux clients. Brandissant son arme et une cigarette, il a ensuite libéré un otage, selon un correspondant de l’AFP sur place, alors que des dizaines de passants et de proches des otages se rassemblaient à la banque pour lui apporter leur soutien.

    En raison des politiques financières du gouverneur de la Banque centrale Riad Salamé, soutenu par les Etats-Unis, de concert avec celles d’une classe politique corrompue, le Liban croupit sous une dette publique de près de 100 milliards de dollars (99,8 m$ en février 2022).
    C’est l’une des pires crises socio-économiques dans l’histoire du monde depuis 1850, selon la Banque mondiale.

    De ce fait, la monnaie nationale a perdu plus de 90% de sa valeur et environ 80% de la population a plongé dans la pauvreté, notamment du fait des restrictions bancaires draconiennes qui les empêchent d’avoir librement accès à leur argent déposé dans leur grande majorité en dollars lorsqu’il s’échangeait à 1500 livres.
    Et quand il leur est permis de les soutirer, c’est en quantité très limitée, dont la moitié en livres libanaises, avec une parité en deca de celle en vigueur dans les marchés parallèles.

    En juin 2021, la Banque du Liban a promulgué le décret 158 toujours en vigueur : il autorise aux dépositaires de retirer 800 dollars par mois seulement, dont la moitié en dollars américains et les 400 restants en livres libanaises pour 12 000 le dollar. Alors que dans le marché, le dollar a franchi les 30 000 livres. Plus est-il cette décision ne concernait que ceux qui détenaient un compte bancaire en dessous de 50 milles dollars. Quitte aussi à ce qu’ils ne retirent que 4800 dollars par an.

    Sachant que le nombre des dépositaires les libanais est estimé a 1.451.829 qui détenaient avant la crise quelque 107, 28 m$ fin mars 2021, selon le centre LCPS (The Lebanese Center for Policy Studies). Il faut imaginer le désastre qui s’est abattu sur la majorité d’entre eux.

    En revanche, et en même temps, les banques ont facilité le transfert à l’étranger des fonds des élites financières et politiques.
    En décembre 2021, la procureure générale de la cour d’appel du Mont Liban, la Juge Ghada Aoun a accusé le gouverneur de la Banque du Liban d’avoir facilité le transfert de 5 milliards de dollars à l’étranger en dépit de l’instauration par l’Association des Banques du Liban d’un contrôle informel des capitaux.

    Selon la Banque des compromis international, les fonds transférés depuis Liban vers les paradis fiscaux, entre octobre 2019 et mi 2020 ont atteints les 10,8 m$.
    C’est donc les Libanais moyens qui paient les frais de cette crise, alors que les oligarques libanais sont épargnés. De même que les banques.

    Les banques doivent supporter les pertes

    Le vice-Premier ministre du gouvernement intérimaire au Liban, Saadeh Al-Shami, a appelé les banques libanaises à commencer à supporter les pertes résultant de l’effondrement financier par le biais de leur capital, niant que l’État s’appuie sur un fonds souverain ou des réserves d’or pour indemniser les déposants qui ont perdu leur épargne.

    « Les banques doivent d’abord commencer avec leur capital avant qu’un déposant ne soit affecté », a-t-il réclamé, selon Reuters.
    Et de conclure : « Nous n’allons pas appliquer le principe de Robin des Bois à l’envers, en prenant des pauvres pour donner aux riches, c’est inacceptable. Les banques doivent faire des sacrifices » pour protéger les déposants.

    Mais ces banques n’en font qu’à leur tête, et l’Etat libanais est incapable de les obliger à faire ce qu’elles ne veulent pas faire.

    C’est dans ce contexte que Bassam cheikh Hussein a entrepris son mouvement de détressé. Jusqu’à l’heure de l’écriture de l’article, il campe sur sa position et réclame ses 210 mille dollars, assure le correspondant d’al-Manar sur place.

    D’innombrables Libanais l’ont soutenu sur les réseaux sociaux.
    « Nous sommes tous Bassam cheikh Hussein », ont écrit certains.

    Cette affaire s’est finalement terminée avec le moins de mal possible. Vers 18:30 , le dépositaire Bassam s’est rendu aux forces de sécurité libanaises après un accord en fonction duquel la banque s’est engagée à lui donner 30 mille dollars de son dépôt bancaire. Il avait lâché les otages avant de sortir.

  • 40 mercenaires israéliens dans l’usine Azov (Kiev) – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2326997

    Le conseiller du président ukrainien, David Arakhamia, a admis la présence de plusieurs dizaines de mercenaires israéliens dans l’usine métallurgique et sidérurgique d’Azovstal dans la ville de Marioupol, a rapporté le journal israélien The Times of Israel.

    Selon Arakhamia, qui est également membre de la délégation ukrainienne aux négociations entre Kiev et Moscou, ce sont une quarantaine de mercenaires qui se trouvent aux côtés des forces ukrainiennes et du régiment néonazi d’Azov, retranchés dans cette usine, seul bastion échappant au contrôle des forces russes et de leurs alliés de Donetsk dans la ville du sud de l’Ukraine.

    La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a fait état que « des mercenaires israéliens combattent aux côtés de la brigade extrémiste Azov », ajoutant qu’ »Israël ne peut ignorer l’affaire, en particulier avec la présence de vidéos et de documents qui le certifient ».

    #israël #ukraine même combat ?

    • La source primaire : Senior Zelensky adviser : 40 ’Jewish heroes’ fighting in Mariupol steel plant | The Times of Israel
      https://www.timesofisrael.com/senior-zelensky-adviser-40-jewish-heroes-fighting-in-mariupol-steel-p

      A senior aide to Ukrainian President Volodymyr Zelensky says that there are dozens of Jewish soldiers fighting in the besieged Azovstal steel plant in Mariupol.

      “There are about 40 Jewish heroes protecting Azovstal now,” David Arakhamia, the adviser in charge of Ukraine’s negotiating delegation, told The Times of Israel on Friday.

      Arakhamia also heads Zelensky’s ruling Servant of the People party in parliament.

      One of the Ukrainian units still holding out in the steel plant is the Azov Regiment, a formation that has been accused since its formation in 2014 of associations with neo-Nazi ideology.

      Et il y a 3 jours : Un soldat juif ukrainien appelle Israël au secours de l’usine assiégée de Marioupol - The Times of Israël
      https://fr.timesofisrael.com/un-soldat-ukrainien-juif-appelle-israel-au-secours-de-lusine-assie

      Un soldat juif ukrainien de l’usine Azovstal de Marioupol assiégée a appelé, mercredi soir, Israël à intervenir pour sauver sa garnison.

      Dans une vidéo publiée sur Facebook par Ilgam Gasanov, entrepreneur et militant basé à Kiev, Vitaliy Barabash a déclaré en ukrainien : « Il m’est difficile de parler, raison pour laquelle mon discours sera prononcé par mon frère [d’armes], au nom de tous les Juifs ukrainiens qui se trouvent ici avec moi. »

      Barabash, également connu sous le nom de Benya, a tenu un drapeau ukrainien face à la caméra pendant que son ami lisait sa déclaration, un tatouage d’étoile de David étant clairement visible sur la main de Barabash.

      Dans les deux articles de Times of Israël, il n’est pas fait mention de mercenaires israéliens, mais d’ukrainiens juifs.

      À ma connaissance, l’accusation de la présence de mercenaires israéliens vient de la diplomatie russe : Ukraine : des Israéliens combattent avec le régiment Azov, affirme Moscou
      https://www.lefigaro.fr/flash-actu/ukraine-des-israeliens-combattent-avec-le-regiment-azov-affirme-moscou-2022

      « Je vais dire quelque chose que les politiciens israéliens ne veulent sans doute pas entendre, mais peut-être que cela les intéressera. En Ukraine, des mercenaires israéliens sont aux côtés des militants d’Azov », a déclaré la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova dans une interview à la radio Spoutnik.

    • Après, que les Occidentaux financent des mercenaires en Ukraine, c’est une évidence puisque c’est le mode de fonctionnement des guerres modernes (même si on fait semblant de considérer que ça ne concernerait que les russes). Cela vient d’être rappelé par Cori Bush par exemple :

      Bush Statement on Ukraine Supplemental Funding Vote
      https://bush.house.gov/media/press-releases/bush-statement-on-ukraine-supplemental-funding-vote

      “Additionally, at $40 billion, this is an extraordinary amount of military assistance, a large percentage of which will go directly to private defense contractors. In the last year alone, the United States will have provided Ukraine with more military aid than any country in the last two decades, and twice as much military assistance as the yearly cost of war in Afghanistan, even when American troops were on the ground. The sheer size of the package given an already inflated Pentagon budget should not go without critique. I remain concerned about the increased risks of direct war and the potential for direct military confrontation.

      Par contre, je n’ai pas vu de confirmation officielle du fait qu’il y aurait des mercenaires israéliens à Azovstal, contrairement au raccourci de l’article d’Al Manar.

    • Les sources russes sont un vrai bonheur.
      Référence permanente aux nazis (ukrainiens), alors qu’on sait bien maintenant que la source nazie de Azov ne correspond plus aujourd’hui aux nazis d’hier, même s’ils y font référence en ayant gardé des logos.
      C’est assez drôle que pour Israël on donne bien la nationalité des mercenaires (s’ils existent) et que pour toutes les autres nationalités non.

  • La Turquie va expulser sept Syriens accusés de se moquer des Turcs – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2178937

    Se filmer en train de manger des bananes : une manière pour les #Syriens en #Turquie de se tenir à distance de la société turque.

    La Turquie a annoncé jeudi qu’elle allait expulser sept Syriens qu’elle avait arrêtés pour s’être moqués des Turcs dans une vidéo partagée sur les réseaux sociaux où ils se filment en train de manger des bananes.

    La vidéo a été considérée comme « provocante » et les Syriens, accusés de « se moquer des Turcs », seront renvoyés dans leur pays malgré la guerre, a prévenu la Direction des migrations, un organisme qui dépend du ministère turc de l’Intérieur.

    Tout a commencé par une vidéo diffusée le 25 octobre sur les réseaux sociaux, montrant une altercation entre une jeune Syrienne et des citoyens turcs, dans un quartier d’Istanbul.

    Surgit un homme qui lance à la jeune femme : « Vous vivez de manière plus aisée que nous. Moi je ne peux pas m’offrir de bananes et vous, vous en achetez par kilos sur les marchés ! ».

    « Exactement », renchérit une autre femme qui tente de faire taire la Syrienne et reproche aux migrants d’aller « tous les jours chez le coiffeur ».

    La jeune réfugiée syrienne tente d’expliquer que les migrants, comme elle, achètent ce qu’ils peuvent avec leur argent. En vain. « Va-t’en en Syrie ! Va te battre là-bas. Nous, nous ne fuyons pas notre pays, vous non plus vous ne devriez pas ! », crie la femme.

    Aussitôt après la diffusion de cette vidéo, des réfugiés syriens en Turquie se sont filmés, en signe de protestation, en train de manger des bananes, avec la vidéo de l’altercation en fond sonore.

    Le mouvement, qui vise à dénoncer les clichés et les discours de haine envers les Syriens, a suscité la controverse.

    Certains comptes Twitter ont présenté ces vidéos comme « se moquant des difficultés économiques des citoyens turcs », confrontés à une inflation galopante et une baisse de la valeur de la monnaie nationale turque.

    La Turquie accueille près de quatre millions de réfugiés syriens. Elle a connu des épisodes de tensions xénophobes ces dernières années, souvent déclenchés par des rumeurs propagées sur les réseaux sociaux et les messageries instantanées.

    Ces tensions sont exacerbées par la crise économique. En août, des attaques ont visé des commerces et des logements occupés par des Syriens à Ankara, la capitale turque, des incidents qui sont restés limités

    #réfugiés #réseaux_sociaux

  • En images, évasion de six prisonniers palestiniens de la prison israélienne de Gilboa via un tunnel – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/2141152

    L’un des prisonniers évadés est Zakaria Zubeidi, un ancien responsable des Brigades des martyrs d’Al-Aqsa, à Jénine en Cisjordanie occupée. tunnel2Les cinq autres seraient des membres du Jihad islamique palestinien, également originaires de la ville de Jénine.

    A Jénine, on exulte !

    #palestine

  • Prix « Amis de Sion » décerné à MBS : « c’est le dirigeant qui a œuvré le plus pour le soutien d’Israël dans le monde islamique » – Site de la chaîne AlManar-Liban
    https://french.almanar.com.lb/1909107

    Le prince héritier saoudien Mohamad ben Salmane fait partie des cinq dirigeants arabes qui se sont vus décerner le prix des Amis de Sion de la part du Centre sur l’Héritage des Amis de Sion (Friends of Zion Heritage Center).

    Situé dans le centre de la ville sainte de Jérusalem al-Quds occupé, ce centre a été fondé en 2015 par l’évangéliste américain Mike Evans.

    Ce dernier a expliqué les raisons de ce choix selon la vidéo de son discours relayée sur la Toile et les réseaux sociaux.
    « Aucun leader dans le monde musulman ayant autant d’influence sur les décisions dans le monde islamique n’a autant œuvré comme lui pour amener le monde islamique à soutenir Israël », a-t-il déclaré, lors de la remise de ce prix au cours d’une cérémonie organisée le mois d’août dernier.

    #sionisme #arabie_saoudite #mbs #humour

    • World Leaders Honored With ’Friends of Zion Award’ at Christian Media Summit
      10-19-2020
      CBN News
      https://www1.cbn.com/cbnnews/israel/2020/october/world-leaders-honored-with-friends-of-zion-award-at-christian-media-summit

      JERUSALEM, Israel – Israel held its 4th annual Christian Media Summit Sunday at the Friends of Zion Heritage Center in Jerusalem.

      The virtual event, which focused on celebrating Israel’s unique friendship with Christians, was broadcast around the world and featured journalists, dignitaries, and Israeli leaders.

      Dr. Mike Evans, the founder of the Friends of Zion Heritage Center, presented the prestigious “Friends of Zion Awards” to world leaders who have shown their support for the Jewish nation. The list of recipients includes presidents, kings, a sultan, crown prince, and prime minister.

      The awardees include:

      King Hamad bin Isa Al Khalifa of Bahrain

      King Mohammed VI of Morocco

      Prime Minister Sheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum of the United Arab Emirates (UAE)

      Crown Prince Mohammed bin Salman bin Abdulaziz Al Saud of Saudi Arabia

      Sultan Haitham bin Tariq of Oman

      President Aleksandar Vučić of Serbia

      President Klaus Iohannis of Romania

      President Mario Abdo Benítez of Paraguay

      President of Miloš Zeman of Czech Republic

      President Yoweri Museveni of Uganda

      President Lazarus Chakwera of Malawi

      "All these Presidents will move their Embassies to Jerusalem and all the Muslim leaders will make peace with Israel in time,” said Dr. Evans.

      Dr. Evans recently participated in a delegation that met with Crown Prince Mohammed bin Salman bin Abdulaziz Al Saud in Saudi Arabia.

      “There is no doubt in my mind who is quietly driving the amazing peace initiatives in the Gulf region. Crown Prince Mohammed bin Salman told our group the Palestinians can solve their problem by copying Israel. He also said educating children to hate Jews must stop, and that the world has zero-tolerance for terror being used to achieve political objectives,” said Evans.(...)

      #Chrétiens_sionistes
      Christian Broadcasting Network ou CBN est une chaîne de télévision chrétienne américaine