• Acesur despide a los trabajadores que hacen huelga y vulnera un derecho fundamental | Confederación Nacional del Trabajo
    http://www.cnt.es/noticias/acesur-despide-los-trabajadores-que-hacen-huelga-y-vulnera-un-derecho-fundamenta

    ACESUR congédie les travailleurs qui font grève et porte atteinte à un droit fondamental

    Le #ACESUR société, propriétaire de marques d’huile d’olive aussi bien connu que Coosur, les Espagnols ou Guillen, permettant au directeur de l’usine qui tient sur le pont de l’eveque (Jaén), licencie un travailleur qui a toujours rempli ses devoirs comme tel et que, par le simple fait d’être le seul travailleur qui a assisté à la dernière grève générale, a été licencié avec comme excuse d’ « amortir leurs emplois."

    Le compagnon, un membre de notre syndicat s’est toujours distingué comme l’un des défenseurs des droits des travailleurs dans le centre et il semble que cela n’est pas pour plaire à celui qui dirige l’usine. Nous sommes donc confrontés à un cas parfumée de licenciement répressif mené de manière qui viole un droit fondamental comme le droit de grève, et de devenir ainsi de fait un licenciement être déclaré nul. C’est pour cette raison que nous demandons la réincorporation de notre collègue sur son lieu de travail.

    Face à une telle injustice, la SOV de la #CNT-AIT #Jaén se voit dans l’obligation d’ouvrir un conflit syndical avec ACESUR, couvrant cette stratégie de peur de son directeur de l’usine à Puente del Obispo à ses effectifs. Nous comprenons que le licenciement de notre collègue voulait être exemplaire. Mais ils se sont écrasé sur une pierre dure, la CNT ni ne s’est tu ni ne se taira devant un tel outrage et l’absence d’accord avec ACESUR, notre syndicat prendra les mesures syndicales appropriées pour défendre les droits de notre compagnon et d’arrêter ce genre de moyens de répression propres aux entreprises cacique .

    ACESUR permet la peur dans leurs usines ! réadmission du Compagnon viré ! La force du travailleur : la #solidarité !

  • Conversación con Annemarie Dagerman, una niña en la revolución española | Confederación Nacional del Trabajo
    http://www.cnt.es/noticias/conversaci%C3%B3n-con-annemarie-dagerman-una-ni%C3%B1-en-la-revoluci%C3%B3n-espa

    #Annemarie_Dagerman es viuda del escritor sueco #Stig_Dagerman (1923-54) e hija de los anarquistas alemanes Ferdinand y Elly Götze. Relegada a viuda del famoso escritor pocos son los que saben que vivió los hechos de la revolución en Barcelona en primera persona.

  • [Madrid] 25S: crónica de una ciudad sitiada | Confederación Nacional del Trabajo
    http://www.cnt.es/noticias/madrid-25s-cr%C3%B3nica-de-una-ciudad-sitiada

    On a vu dans les médias il y a quelques jours que des "affrontements" ont eu lieu entre la police et les "indignados" à Madrid. Ci-dessous la chronique d’une participante à la nuit du 25 Septembre.

    Les médias ont parlé de « chocs » entre les manifestants et la police pendant la nuit du 25, mais je n’ai vu que des attaques de la police anti-émeute, et je ne sentais que la peur des gens qui courraient vers moi.

    Nous nous sommes criés les uns aux autres, « Eh ! Ici ! Qu’ils viennent ! Où est machin ? Où ça ? », nous nous sommes réunis, nous nous sommes arrêtés, nous avons tournés, fait deux pas en arrière, puis trois. Nous nous regroupions comme des animaux dociles qui s’attendent à être traqués, et en même temps comme des fauves qui prennent position pour observer le terrain. Nous avons reculé, mais tout de suite nous avons avancé lentement, curieux : « Qu’est-ce qui passe ? Pourquoi tant de flics ? Est-ce que il y a des copains là-bas ? Ont-ils été arrêtés ? Qu’est-ce qui s’est passé ? Hé, compagnons, que voyez-vous ? »

    Les médias parlaient le lendemain des « charges de la police ». Eux aussi ont reculé, se sont arrêtés pour observer le terrain et maintenant que la poussière est retombée, on voit clairement ce qui s’est passé. Une foule en colère, avec l’envie de lutter, inquiète et qui sait que la police va charger, est restée là, devant le Congrès Neptune, à chaque intersection, à faire pressions sur les bleus debout, assis, en masse ou quatre par quatre, et chacun disait : « Quand vont-ils charger ? » ; « Nous allons vous donnez des baffes, vous verrez », « Ils n’ont pas honte. »

    Les médias montrent des vidéos (d’un point de vue que ni la police ni les manifestants n’avait, vu de dessus) où l’on peut voir comment un gamin essaie vainement de donner un coups de bâton à un homme bleu, habillé comme un soldat impérial, protégé et armé jusqu’aux dents, et comment la petite tape lui est rendue par un coup brutal qui le laisse assommé par terre. Nous pouvons également voir comment la colère du peuple ne leur permet pas d’arrêter leurs compagnons, pas sans réagir, et se battre pour les libérer. J’ai alors applaudi dans ma maison en voyant comment nous nous soutenons, nous nous défendons, et nous luttons les uns pour les autres.

    La CNT condamne l’action de la police, contrairement au gouvernement, qui l’applaudit, car il est clair que le rôle de l’armée est de défendre le capital, défendre l’État. La CNT sait que la police agit ainsi car c’est son rôle, mais tout le monde le sait aussi. Nous savions que nous allions prendre quelques coups, nous savions que nous n’allions pas chez le coiffeur, mais nous nous sommes réunis et nous sommes quand même descendus dans la rue.

    Le déploiement quasi militaire qui a eu lieu hier sur l’ensemble du centre de Madrid montre de façon évidente le rejet que produisent leurs « réformes ». N’importe quelle mesure peut être prise par n’importe quel gouvernement dans un tel état de siège. Du Décret Royal ils sont passés à la Main Dure. Nous avons peur, compagnons, nous avons peur. Mais eux n’ont pas peur de nous.

    Pour leur faire front, il faut être organisés, il faut se rassembler, il faut se connaître et il faut s’entraider. La CNT est une organisation de personnes qui ont décidé de se prêter les uns envers les autres dans cette tempête qu’est le capitalisme, en se serrant par les bras pour que personne ne soit emporté. Ils ont leur stratégie, et nous aussi : nous ne jouons pas à leurs trucs politiques ou électoraux et nous ne mangeons pas dans leur main, qui ont pour nous l’odeur du pourri.

    Entraide, auto-organisation, lutte et solidarité.

    traduction http://cnt.ait.caen.free.fr/forum/viewtopic.php?f=13&t=6858