/2020

  • DIRECT - Covid-19 : selon Dominique Costagliola, « rien ne laisse espérer une embellie proche » - Coronavirus - Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/coronavirus/covid-19-les-dernieres-infos-en-bretagne-et-en-france-direct-14-09-2020

    9h54 « Rien ne laisse espérer une embellie proche » :
    l’épidémiologiste Dominique Costagliola ne s’est pas montrée très optimiste ce lundi matin sur l’antenne de France Inter.
    Selon la directrice de recherches à l’Inserm, "il semble qu’on soit sur un plateau haut" de contaminations autour de 30 000 cas. Difficile dans ces conditions, selon elle, de rouvrir les écoles le 26 avril prochain, puis les collèges et les lycées la semaine suivante. Elle n’appelle pas pour autant à « laisser les écoles fermées jusqu’à la fin du mois de juin, mais il faudrait avoir pris des mesures sur l’aération qui permettent de limiter les risques ». L’épidémiologiste enjoint également le gouvernement de revoir le protocole sanitaire en vigueur, car il a été « allégé par rapport à celui que l’on avait avant. Il n’y a aucune logique à cette décision. »

  • DIRECT - Covid-19 : si « rien n’est décidé » pour le moment, Macron prêt à prendre « les mesures qui s’imposent » - Coronavirus - Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/coronavirus/covid-19-les-dernieres-infos-en-bretagne-et-en-france-direct-14-09-2020

    14:07 : Nouvelles mesures contre la covid-19 : « rien n’est décidé », assure Macron

    « Rien n’est décidé » quant à un nouveau tour de vis face à l’épidémie, a indiqué Emmanuel Macron dans un entretien paru dimanche dans le JDD. "Pour les jours qui viennent, nous allons regarder l’efficacité des mesures de freinage et nous prendrons si nécessaire celles qui s’imposent. Mais à cette heure, rien n’est décidé", précise M. Macron alors que les appels se multiplient pour des mesures plus strictes et une vaccination élargie. Un conseil de défense doit se tenir mercredi.

    « L’unanimité scientifique n’a jamais été au rendez-vous. Et parfois, les faits du lendemain viennent contrecarrer les certitudes de la veille », se défend Emmanuel Macron, qui se satisfait de ne pas avoir reconfiné en février. "Ailleurs, les confinements durs, depuis décembre, n’ont pas empêché une reprise de l’épidémie qui nécessite de réinstaurer ou de prolonger le confinement."Emmanuel Macron « assume totalement » par ailleurs la stratégie française de déployer le vaccin par catégories d’âge. Le chef de l’État se dit ainsi persuadé que « dans quelques semaines, on aura totalement rattrapé les Britanniques ».

  • Chine : 4 ans de prison pour la journaliste citoyenne qui a couvert la covid - Coronavirus - Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/coronavirus/chine-4-ans-de-prison-pour-la-journaliste-citoyenne-qui-a-couvert-la-co


    Zhang Keke, avocat de Zhang Zhan.
    Leo Ramirez/AFP

    Elle avait produit et diffusé sur les réseaux sociaux des reportages sur la situation épidémique à Wuhan dès février 2020 : la journaliste citoyenne Zhang Zhan a été condamnée à quatre ans de prison.

    Une journaliste citoyenne qui avait couvert l’épidémie de covid-19 à Wuhan a été condamnée ce lundi à quatre ans de prison, au moment où le pouvoir chinois vante sa réussite dans la lutte contre la maladie répandue depuis à la surface du globe.

    Zhang Zhan « a parue très abattue quand le jugement a été annoncé », a déclaré à l’AFP l’un de ses avocats, Ren Quanniu, se disant « très inquiet » pour son état psychologique.

    Les journalistes et les diplomates étrangers n’ont pas été autorisés à entrer dans le tribunal de Shanghai où cette ancienne avocate âgée de 37 ans a été jugée en l’espace de quelques heures.

    Quelques-uns de ses partisans ont été repoussés par les forces de l’ordre lors de l’ouverture du procès, ont constaté les journalistes de l’AFP.

    Zhang Zhan encourait une sanction de cinq ans de prison.

    Environ 4 000 morts à Wuhan selon le bilan officiel
    Originaire de Shanghai, elle s’est rendue en février à Wuhan, alors en proie à l’épidémie, diffusant sur les réseaux sociaux des reportages, notamment sur la situation chaotique des hôpitaux.

    Selon le bilan officiel, la métropole de 11 millions d’habitants a compté à elle seule près de 4 000 morts du covid, soit la quasi-totalité des 4 634 morts dénombrés dans toute la Chine entre janvier et mai derniers.

    La réponse initiale de la Chine aux débuts de l’épidémie a été critiquée, Pékin ayant attendu le 23 janvier pour mettre Wuhan et sa région en quarantaine, alors que des cas avaient été signalés dès début décembre 2019.

    Le premier cas transmis à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) l’a été il y a pratiquement un an, le 31 décembre 2019.

    Mais simultanément, des médecins qui avaient évoqué l’apparition d’un mystérieux virus étaient interrogés par la police qui leur a reproché de « propager des rumeurs ».

    L’un d’entre eux, le docteur Li Wenliang, est décédé de la covid début février, libérant des torrents de colère sur les réseaux sociaux, avant d’être promptement canalisés par le pouvoir.

    « Extrêmement extraordinaire »
    Zhang Zhan était quant à elle arrêtée en mai sous l’accusation de « provocation aux troubles », une terminologie fréquemment utilisée contre les opposants au régime du président Xi Jinping.

    Concrètement, le tribunal lui a reproché d’avoir diffusé de fausses informations sur internet, a indiqué à l’AFP son autre avocat Zhang Keke.

    Zhang Zhan a entamé une grève de la faim en juin pour protester contre sa détention et a depuis été nourrie de force à l’aide d’un tube nasal, d’après ses avocats.

    « Quand je l’ai vue la semaine dernière, elle a dit : si je suis lourdement condamnée, je refuserai toute nourriture jusqu’au bout. Elle pense qu’elle mourra en prison », a rapporté Zhang Keke.

    Dans des articles qu’elle diffusait en ligne en début d’année, Zhang Zhan dénonçait le confinement imposé à Wuhan, évoquant « une grave violation des droits de l’Homme ».

    Trois autres journalistes citoyens, Chen Qiushi, Fang Bin et Li Zehua, ont également été placés en détention après avoir couvert ces événements. L’AFP n’a pas été en mesure de contacter leurs avocats.

    Le régime communiste, fort de son combat contre l’épidémie, cherche à faire oublier l’apparition du nouveau coronavirus sur son sol à la fin de 2019.

    Le procès de Zhang Zhan s’est déroulé alors qu’une équipe de l’OMS est attendue début janvier pour faire le point sur les origines de l’épidémie.

    Les dirigeants du parti au pouvoir se sont congratulés pour leur réussite « extrêmement extraordinaire » accomplie cette année, a rapporté vendredi l’agence Chine nouvelle, au terme d’une réunion du bureau politique du PCC.

    Le pouvoir chinois a pour habitude de condamner des opposants au moment des fêtes de fin d’année, lorsque l’attention du reste du monde est réduite.

    Lundi également doit s’ouvrir à Shenzhen (sud) le procès d’un groupe de militants hongkongais arrêtés en août dernier alors qu’ils tentaient de fuir en bateau l’ancienne colonie britannique à destination de Taïwan.

  • Pourquoi le « slip » de Navalny provoque l’hystérie du Kremlin - Monde - Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/monde/pourquoi-le-slip-de-navalny-provoque-l-hysterie-du-kremlin-26-12-2020-1


    Le leader de l’opposition russe Alexeï Navalny (à gauche) affirme que ses sous-vêtements ont été empoisonnés au novichok par des agents du Kremlin, commandités par Vladimir Poutine.
    Photos AFP

    Le dernier mythe sur lequel reposait encore le pouvoir de Vladimir Poutine, celui des services spéciaux efficaces et intègres, des chevaliers sans peur et sans reproche et dévoués corps et âme à leur patrie, vient de s’effondrer dans le fracas médiatique provoqué par le slip empoisonné de Navalny…

    Mafieux ordinaire ou défenseur de la patrie ? Qui est Poutine ? C’est avec stupeur que les Russes ont vu, cette semaine, leur chef du pouvoir raconter avec force détails l’empoisonnement de l’opposant Navalny dont plusieurs slips auraient été couverts de poison Novichok afin d’attenter à ses jours. Et le chef du Kremlin d’expliquer les « circonstances qui avaient empêché la réussite de l’entreprise ».

    La Russie dénonce le « délire » de Navalny et sanctionne l’UE
    Le 14 décembre, répondant à deux reprises à des journalistes qui l’interrogeaient lors de sa conférence de presse annuelle sur les commanditaires de l’empoisonnement présumé, Vladimir Poutine avait répondu par une boutade glaçante : « Certes, il faisait l’objet d’une filature… mais je peux vous assurer que si on l’avait voulu, il ne serait plus là ! ».

    La vidéo provoque une onde de choc
    Visionnée 13,5 millions de fois, la dernière vidéo d’Alexeï Navalny qui montre les aveux du tueur présumé, Constantin Koudriavtsev, un agent du FSB (Service fédéral de sécurité de la fédération de Russie), expert en armes chimiques, a provoqué une onde de choc dans l’ensemble de l’establishment, y compris parmi les plus chauds partisans de Vladimir Poutine. Et cela d’autant plus que la contre-attaque a été particulièrement faible. La machine de propagande pourtant bien huilée n’a pas été à la hauteur de l’enjeu, incapable de donner une version plausible des évènements. Le pouvoir s’est contenté de décrédibiliser Navalny : « Le malade souffre manifestement du délire de la persécution et d’une forte dose de mégalomanie », a commenté Dimitri Peskov, porte-parole de Poutine, avant d’annoncer un élargissement des sanctions contre les pays de l’Union européenne… D’un autre côté, le FSB, dans un communiqué, parle de « falsifications des données » et de « provocation grossière organisée par des services spéciaux étrangers ». Sans donner de preuve…

    Une gestion calamiteuse
    Quant aux experts, toutes tendances confondues, ils sont unanimes pour critiquer la gestion de la crise, l’absence criante de professionnalisme des services et les réactions inadéquates des autorités qui n’ont pas accepté d’ouvrir une enquête sous prétexte que l’Allemagne a refusé de remettre le dossier sur l‘utilisation du Novichok…

    Dans un article intitulé « Le démantèlement de l’État », paru sur le site Forum.MSK.ru, le journaliste d’investigation Anatoly Baranov explique que l’attitude irresponsable des élites au plus haut niveau est beaucoup plus dangereuse pour l’avenir du régime que les vidéos de Navalny. Plusieurs jours après l’affaire du « slip de Navalny », Serge Markov, politologue, membre du FSB, pense que les faits et la gestion calamiteuse de la crise sont en grande partie la conséquence des luttes de clans entre les services dans l’optique de l’après-Poutine.

  • Vendée Globe. Point Nemo, personne autour… - Vendée Globe - Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/voile/vendee-globe/point-nemo-personne-autour-26-12-2020-12680264.php

    Hélas, parce que, même dans une zone non fréquentée par les terriens, l’homme a eu la mauvaise idée de s’en servir comme cimetière d’objets spatiaux en fin de vie. C’est, en effet, une zone où viennent s’écraser volontairement les restes des vaisseaux spatiaux ayant terminé leur mission. Pourquoi là ? Tout d’abord parce qu’il n’y a aucune âme qui vive à 2.700 km à la ronde. Donc personne pour assister à cette pollution en catimini.

  • Téléphérique de Brest : la reprise ce jeudi 17 décembre très compromise - Brest - Le Télégramme

    #le_feuilleton_continue

    https://www.letelegramme.fr/finistere/brest/telepherique-de-brest-la-reprise-ce-jeudi-17-decembre-tres-compromise-1


    Le téléphérique brestois devait a priori reprendre du service ce jeudi 17 décembre. Ce ne sera vraisemblablement pas le cas.
    Photo d’archives Le Télégramme/David Cormier

    Un incident technique s’est produit dans la nuit de mardi à mercredi sur le téléphérique brestois. Il était fortement envisagé qu’il reprenne du service ce jeudi. C’est plus que compromis.

    Il va falloir patienter encore un peu. Le téléphérique urbain de Brest devait reprendre, a priori, le 17 décembre, soit ce jeudi, ou guère plus tard. Une semaine avant Noël. Nous avons sollicité la métropole ainsi que RATP-Dev, ces deux derniers jours, pour savoir si la date tenait toujours.

    Nous n’avions pas encore, ce mercredi soir, la confirmation de cet événement qu’ils attendent au moins autant que les usagers eux-mêmes. Ne serait-ce que pour une question d’image : souvent loué pour son originalité et son attractivité, le téléphérique a été trop souvent mis à l’arrêt depuis sa mise en service le 19 novembre 2016. Particulièrement en cette année 2020. Il n’a plus fonctionné depuis son inspection annuelle en mai. Ce qui a fait monter la pression entre la métropole et le constructeur.

    Selon nos informations, il va falloir s’armer de patiente encore au moins quelques jours : un incident technique se serait en effet produit dans la nuit du mardi 15 à mercredi 16 décembre. Autant dire qu’il faudra procéder à de nouvelles vérifications, afin d’assurer une sécurité optimale. Personne n’envisage de prendre de risque.

    Le Service technique des remontées mécaniques et des transports guidés (STRMTG) doit donner son aval. Puis la préfecture le valider. Enfin la métropole décider de la date de reprise, après probablement une nouvelle marche à blanc, comme c’est le cas depuis maintenant quelques semaines. Bref, pour le week-end précédent Noël, l’affaire paraît déjà bien compromise.

    • Moudenc maire de Toulouse veut aussi son joujou téléphérique pour traverser la Garonne a peu près à l’endroit de l’ex AZF, là où a été construit le laboratoire fabre et le cancéropole (Je dis jamais l’oncle Paul, je l’aimais bien).
      On va rigoler si ça tombe aussi souvent en rade qu’à Brest !

  • La Chine voit loin avec son télescope géant - Monde - Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/monde/la-chine-voit-loin-avec-son-telescope-geant-15-12-2020-12674182.php


    Le radiotélescope Fast, le plus grand du monde (500 mètres de diamètre !), est le symbole de l’arrivée de la Chine parmi les leaders mondiaux de la recherche.
    (Photo AFP)

    Niché au sein des verdoyantes montagnes de Pingtang, dans la province du Guizhou (sud-ouest), cette parabole géante vaste comme 30 terrains de football ouvrira en 2021 ses puissantes capacités de mesure aux astronomes étrangers, conformément à la pratique internationale pour ce type d’engin. « Il y aura probablement beaucoup de demandes » avec l’ouverture aux étrangers, indique Sun Jinghai, un des responsables de l’ingénierie du site

    Un comité discutera de l’intérêt scientifique de chaque projet et décidera « s’il doit être validé », précise Wang Qiming, chef du centre des opérations et du développement du Fast. « Les scientifiques étrangers pourront venir sur le site ou bien soumettre leurs demandes de mesures à distance. Dans ce cas, des ingénieurs du Fast les effectueront pour eux et leur transmettront les résultats ».


    Le Fast, depuis le ciel, seul moyen de se rendre compte de ses dimensions.
    Photo AFP

    Un grand rattrapage
    John Dickey, professeur de physique à l’université de Tasmanie (Australie), s’enthousiasme pour ce nouvel outil.

    « J’ai vu les résultats obtenus par le Fast jusqu’à présent. Ils sont excellents ». « J’aimerais beaucoup l’utiliser », affirme-il.

    Cet astronome a suivi avec intérêt l’évolution du géant asiatique ces dernières décennies.

    « La Chine est évidemment aujourd’hui un centre mondial de la recherche scientifique, au même niveau que l’Amérique du Nord ou l’Europe de l’Ouest », juge-t-il. « Les chercheurs y sont aussi avant-gardistes, créatifs et bien organisés que dans n’importe quel pays avancé ».

    Par manque de moyens, la Chine était pendant longtemps sous-développée en matière de sciences. Elle s’est lancée depuis 20 ans dans un grand rattrapage, pour moins dépendre des technologies étrangères.

    Depuis, le pays a édifié le plus grand réseau TGV du monde (plus de 35 000 kilomètres), finalisé son système de géolocalisation Beidou (concurrent du GPS américain) et est en train de ramener sur Terre des échantillons lunaires.

    20 minutes pour en faire le tour
    Pleinement opérationnel depuis janvier, le Fast est devenu encore plus précieux depuis l’effondrement début décembre du deuxième radiotélescope du monde par la taille, celui d’Arecibo (305 mètres), infrastructure américaine installée à Porto Rico.

    « Cet événement est extrêmement regrettable », déclare Wang Qiming. « Je suis allé à Arecibo. On s’est beaucoup inspiré de sa structure, qu’on a petit à petit améliorée pour construire notre télescope ».

    Si grand qu’il faut quelque 20 minutes pour en faire le tour, le Fast, jusqu’à trois fois plus sensible que la défunte installation américaine, a été construit entre 2011 et 2016.

    Pour éviter que les ondes dégagées par les humains et leurs appareils (smartphones, voitures, ampoules, ordinateurs) ne perturbent les mesures, le site est entouré d’une zone de « silence radio » d’un rayon de cinq kilomètres.

    À quoi sert le Fast ? Principalement à capter les signaux radio émis par les corps célestes, notamment les pulsars (des étoiles mortes tournant sur elles-mêmes). Ces ondes permettent entre autres de reconstituer une image des objets observés. Et les données récoltées aident les astronomes à mieux comprendre les origines de l’univers.

    Autre objectif du site : « Détecter d’éventuelles civilisations extra-terrestres », ajoute Wang Qiming.

    Dans la version papier de l’article, aucune mention d’Arecibo si ce n’est en passant dans la légende de la photo…

    • Dans l’article cité, il est fait mention de TGV, mais rien à voir avec le train français, même si Alstom est passé par là.

      Un peu de WP, et j’apprends un nouveau mot #prévarication

      L’ancien titulaire du ministère des Chemins de fer, Liu Zhijun, l’artisan du programme CRH, a été condamné à mort pour prévarication en juillet 2013.

      et quelques infos sur le passage d’un train chinois via un tunnel de 200km sous le détroit de Béring …

      Wang Mengshu, un expert ferroviaire réputé de l’Académie d’ingénierie chinoise, a déclaré le 9 mai 2014 au Beijing Times que Pékin entend se lancer dans la construction de la plus importante ligne ferroviaire au monde, d’une longueur record de 13 000 kilomètres, 3 000 de plus que le Transsibérien. Le projet, baptisé « China-Russia plus America », consiste à relier le nord-est de la Chine à l’Amérique du Nord, en deux jours grâce à un train roulant à une vitesse moyenne de 350 km/h, en traversant la Sibérie, l’Alaska, le Canada et enfin les États-Unis, le détroit de Béring étant franchi via un tunnel de 200 kilomètres, quatre fois plus long que le tunnel sous la Manche. Selon le China Daily, la technologie est déjà au point et "sera mise en œuvre sur le tunnel reliant la province du Fujian à Taïwan". Mais Pékin n’a jamais obtenu le feu vert du gouvernement de Taïwan pour construire cette liaison sous-marine.

  • Brest : interdits d’examen s’ils sont malades de la covid ou cas contact, les étudiants en médecine perdront leur année - Brest - Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/finistere/brest/brest-interdits-d-examen-s-ils-sont-malades-de-la-covid-ou-cas-contact-

    Les étudiants en première année de médecine ne sont pas autorisés à se présenter à leur examen de décembre (les lundi 14 et mardi 15) s’ils sont porteurs de la covid-19 ou sont cas contact avérés. Ils devront donc renoncer à leur année mais seront autorisés à se représenter l’année prochaine.

    • affordanceinfo sur le cui :

      Quelle putain de honte @VidalFrederique
       : comment VOS services @sup_recherche
      ont-ils pu OSER pondre une note pareille ???!!! Vous rendez-vous compte de la VIOLENCE pour les étudiant.e.s ??

  • Pour la première fois en 20 mois, un Boeing 737 Max a fait un vol commercial - Économie - Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/economie/pour-la-premiere-fois-en-20-mois-un-boeing-737-max-a-fait-un-vol-commer


    Le Boeing 737 Max de la compagnie brésilienne Gol peu avant son atterrissage à Porto Alegre.
    Silvio Avila/AFP

    La mise à l’arrêt forcée du Boeing 737 Max, décidée après deux catastrophes aériennes, est terminée : un vol commercial a relié sans encombre São Paulo à Porto Alegre, au Brésil, ce mercredi.

    Le premier vol commercial d’un Boeing 737 Max depuis vingt mois a atterri à Porto Alegre, dans le sud du Brésil, ce mercredi, après 1 h 30 d’un voyage sans incident opéré par la compagnie Gol au départ de São Paulo. L’avion a subi des modifications et de nombreux essais depuis deux catastrophes aériennes ayant fait au total 346 morts, en 2018 et 2019, qui avaient entraîné une crise majeure pour Boeing.

  • Gazoduc Nord Stream 2 : le bout du tunnel ? - Monde - Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/monde/gazoduc-nord-stream-2-le-bout-du-tunnel-06-12-2020-12668552.php


    Photo Stefan Sauer, MaxPPP

    Interrompu depuis près d’un an, le chantier du gazoduc Nord Stream 2 reliant la Russie et l’Allemagne, et donc l’Europe, est sur le point de reprendre, malgré une nouvelle mise en garde américaine.

    Le consortium de Nord Stream 2 n’a pas confirmé officiellement la reprise des travaux mais plusieurs signes laissent à penser que l’activité va être relancée pour achever ce projet pharaonique de plus de neuf milliards d’euros.

    L’Office allemand des voies navigables et de la navigation de Stralsund, au bord de la mer Baltique, a ainsi averti les navires que des travaux de pose de pipe-lines allaient être menés du 5 au 31 décembre, précisément sur la zone où doivent être posés les derniers kilomètres du gazoduc. Les navires russes Fortuna et Akademik Tscherski, spécialisés dans l’installation de pipe-line, sont par ailleurs en route vers le site du chantier, selon Marine Traffic.

    « Nous protégerons nos intérêts »
    « Nous ne pouvons donner aucune information sur les détails et la planification des projets », a déclaré samedi Nord Stream Allemagne, sans confirmer ni démentir la reprise imminente des travaux.

    Le consortium avait toutefois assuré, le 28 novembre, auprès de plusieurs médias russes qu’il prévoyait bien de « reprendre les travaux de pose de canalisations cette année, à l’aide d’un navire situé dans la zone économique exclusive de l’Allemagne ».

    Côté russe, la discrétion semble aussi de mise. « Bien sûr, nous protégerons nos intérêts », s’est borné à assurer vendredi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, interrogé sur la réaction russe en cas de maintien des sanctions américaines.

    Interrompu en décembre 2019
    Nord Stream 2, dont la mise en service était initialement prévue début 2020, est un gazoduc censé doubler les capacités de livraison de gaz russe de son aîné Nord Stream 1, opérationnel depuis 2012, et garantir la sécurité des approvisionnements de l’Europe occidentale via la mer Baltique.

    Le projet associe principalement le géant russe Gazprom à cinq groupes européens : le français Engie, les allemands Uniper et Wintershall, l’autrichien OMV et l’anglo-néerlandais Shell.

    Bien que ses 1 230 kilomètres soient quasiment terminés, le projet avait été brutalement interrompu en décembre 2019 après que les États-Unis eurent décidé de sanctionner les entreprises engagées dans le projet.

    Seuls 6 % du gazoduc restent à achever, selon Nord Stream 2, soit 120 kilomètres dans les eaux danoises et 30 kilomètres en eaux allemandes.

    Ces sanctions, dénoncées par Berlin et Moscou, comprenaient le gel des avoirs et la révocation des visas américains pour les entrepreneurs liés au gazoduc.

    « L’outil politique du Kremlin »
    Nord Stream 2 est décrié en Europe par plusieurs pays, dont l’Ukraine, la Pologne et les pays baltes.

    Mais ce sont surtout les États-Unis qui combattent ce projet, susceptible de rendre l’Allemagne « prisonnière » de Moscou, avait prévenu Donald Trump en 2018.

    Avant la reprise des travaux dans les tout prochains jours, l’ambassadrice américaine par intérim en Allemagne a demandé samedi à l’Allemagne et à l’Union européenne un « moratoire » sur la construction du gazoduc.

    « Ce gazoduc n’est pas seulement un projet économique, mais aussi l’outil politique du Kremlin pour contourner l’Ukraine et diviser l’Europe », a dénoncé Robin Quinville dans le quotidien économique allemand Handelsblatt, critiquant le « comportement malveillant » de Moscou.

    La position américaine est loin d’être économiquement désintéressée. Les États-Unis, grand producteur de gaz naturel, se sont en effet récemment lancés dans une offensive commerciale à la recherche de nouveaux débouchés, lorgnant du côté de l’Europe…

    « Un nouveau ton »
    Le gouvernement allemand n’attend d’ailleurs pas de changement fondamental avec l’entrée à la Maison Blanche du démocrate Joe Biden, en janvier.

    « Nous ne nous faisons pas d’illusions à ce sujet. Il n’y a guère de différences d’opinion entre les républicains et les démocrates », a ainsi admis samedi le chef de la diplomatie allemande, Heiko Maas, dans l’hebdomadaire Der Spiegel. « Mais là aussi, un nouveau ton et une forme différente de débat nous aideront à progresser », veut croire le ministre allemand.

    À la suite de la tentative d’empoisonnement d’Alexeï Navalny, détracteur numéro un du Kremlin, l’Union européenne avait évoqué de possibles sanctions contre le projet Nord Stream 2, sans donner suite à ce stade.

  • Quand le ciel breton s’embrase : les plus belles photos des internautes [Carte contributive] - Bretagne - Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/bretagne/quand-le-ciel-breton-s-embrase-les-plus-belles-photos-des-internautes-c


    (Mil Captain)

    Depuis plusieurs jours, à l’heure du coucher du soleil, le ciel breton s’embrase, offrant des images exceptionnelles.

    Du rose, du violet, du rouge… Une étonnante palette de couleurs éclaire le ciel breton depuis le week-end dernier, redessinant les paysages quotidiens pour quelques minutes à l’heure où le soleil se couche.

    Vous avez été nombreux à immortaliser ces moments rares. Nous vous proposons de retrouver sur une carte interactive une sélection d’images et de publier vos clichés en quelques clics.

    La carte des ciels rouges
    https://www.letelegramme.fr/static/ftp/dossier/data/dataviz/carte-photo

  • Police : un responsable syndical excédé envoie sa lettre de démission à Darmanin - France - Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/france/police-un-responsable-syndical-excede-envoie-sa-lettre-de-demission-a-d


    Alexandre Langlois, DR

    Alexandre Langlois est originaire du Morbihan, policier à Paris mais aussi secrétaire national du syndicat Vigi. Il a fait savoir au ministère de l’Intérieur qu’il désirait démissionner de la police. Il s’en explique.

    Pourquoi cette volonté de claquer la porte ?
    J’ai 38 ans, je suis policier depuis 2006. Aujourd’hui, on a franchi un cap parce qu’il n’y a plus de contrôle citoyen de la police possible. La loi « Sécurité globale » va faire que les vidéos que l’on voit aujourd’hui, ne pourront plus être tournées demain. Les comportements inadmissibles et minoritaires que l’on voit vont pouvoir se généraliser et se faire dans l’impunité la plus totale. Moi, je n’ai plus ma place dans une institution qui s’auto-contrôle, et qui va engendrer ce type de comportements. Sans la vidéo de l’agression du producteur de musique, cette victime aurait fini en prison et ses tortionnaires médaillés ou encore primés.

    Vous parlez aussi de missions de plus en plus liberticides. Quelles sont-elles ?
    Je me suis engagé pour défendre les libertés individuelles, pour que le fort ne puisse pas opprimer le faible. Des valeurs nobles de la Police nationale. Aujourd’hui, on nous demande de faire appliquer des textes de plus en plus liberticides et autoritaires. Depuis la covid, nous sommes exclusivement affectés au contrôle social et non plus au respect du Code pénal. On nous demande d’interdire des manifestations, d’opprimer. En Italie, nos collègues distribuaient des masques aux gens, nous, c’est les contraventions ! Je pense que dans le contexte difficile dans lequel nous vivons, on a un rôle majeur à jouer. On prend des mesures sécuritaires pour résoudre un problème sanitaire, c’est aberrant. Et ça nous détourne de nos vraies missions, qui sont de poursuivre les délinquants et les criminels et d’assurer la paix et la sécurité de nos concitoyens. La délinquance et le crime organisé peuvent prospérer.

    Vous critiquez également les arguments mis en avant par Gérald Darmanin quand il défend la loi « Sécurité globale ». Pourquoi ?
    Parce qu’il existe déjà des textes qui prévoient des sanctions supérieures à celles de la loi aujourd’hui présentée. Mais elles ne sont jamais appliquées. De plus, les violences faites aux policiers ces dernières années ne sont pas réellement en rapport avec des vidéos. Quand des collègues CRS ont reçu des menaces de mort à leur domicile par courrier, c’était suite à la publication de leur nom et affectation au Journal officiel. Quand nos deux collègues ont été assassinés par des terroristes à Magnanville, c’était suite à des données de ressources humaines qui se baladaient sur une clé USB, non sécurisée, qui ont fuité. En aucun cas, des vidéos étaient à l’origine de ces affaires.

    La police est secouée par des affaires depuis quelques mois. Et la gendarmerie ?
    Je pense que pas mal de choses sont étouffées parce que la gendarmerie, et donc l’armée, n’autorise pas l’expression libre de ses membres et la représentation syndicale. Au vu des taux de suicides, on peut estimer qu’il y a aussi un malaise. Après, il y a une différence : les gens qui dirigent la gendarmerie ont commencé comme lieutenant. Ils sont donc sur le terrain et savent de quoi ils parlent. Chez nous, on peut commencer commissaire à 23 ans sans avoir jamais participé à des opérations. Un ancien directeur de la Police nationale, Éric Morvan, était même passé de la préfectorale à la police. Pour moi, ça n’est pas normal.

  • Lorient, territoire sinistré de la gynécologie - Gynécologie : la galère dans le pays de Lorient - Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/morbihan/lorient/lorient-territoire-sinistre-de-la-gynecologie-23-10-2020-12644203.php

    Dans quelques mois, trois gynécologues médicaux, sur les six que compte le pays de Lorient, partiront à la retraite. Un seul praticien prend encore de nouvelles patientes. L’hôpital ne peut plus absorber les consultations pour contrôle ou dépistage. Les #femmes sont désemparées, les libéraux révoltés mais les hospitaliers se veulent rassurants.

    « C’est une régression très nette pour le droit des femmes à avoir une santé, une sexualité, une contraception optimales ». Claire Le Moigne, gynécologue depuis 32 ans à Lanester, n’hésite pas à employer des mots forts pour exprimer son ressenti face à la pénurie de gynécologues médicaux dans le pays de Lorient. Elle partage le cabinet de #gynécologie de Lanester avec Annie Buronfosse. Elles partiront toutes deux à la retraite le 31 mars 2021.

    Les 30 400 patientes d’Annie Buronfosse

    Annie Buronfosse a été de celles qui ont signé des pétitions, manifesté il y a 20 ans pour maintenir la formation de gynécologues médicaux. À quelques mois de tourner le dos à une carrière riche, elle oscille « entre la colère et la tristesse ». Émue de voir ses patientes désemparées, rancunière envers l’État : « Il y a des jours où je me dis que les femmes devraient porter plainte contre les ministres de la Santé qui se sont succédé ». Elle aura un pincement au cœur en regardant une dernière fois ses plus de 30 400 dossiers de femmes mais ne se sent pas coupable : « Je ne suis pas responsable de l’incurie des gouvernants ». Ses pensées vont à ses patientes qui ont tant besoin d’un professionnel et à la condition de la femme. « C’est grave et triste ».

    la newsletter de ma chatte :
    https://lesflux.substack.com

  • Bronchiolite, bronchite, gastro : beaucoup moins de malades cet automne - Santé - Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/france/bronchiolite-bronchite-gastro-beaucoup-moins-de-malades-cet-automne-12-


    Les passages aux urgences pour bronchiolite

    Les maladies habituelles d’automne-hiver circulent pour l’instant beaucoup moins que les années précédentes. Le respect des gestes barrières et le reconfinement semblent d’une efficacité redoutable contre la bronchiolite, la bronchite et la gastro.

    Bronchiolite du nourrisson, bronchite et gastro-entérite aiguës, le triptyque que toutes les familles redoutent à l’arrivée de l’automne, se révèle beaucoup plus discret cette année. Selon les données de Santé Publique France, les taux de passages aux urgences et de consultation par SOS Médecins pour ces trois maladies, sont deux à quatre fois moins élevés en novembre que les années précédentes.

    Dès septembre, les courbes d’évolution de gastro et de bronchite étaient bien en dessous des précédents crus, et celle de bronchiolite n’a pas connu l’envolée habituelle de début octobre. Merci qui ? « C’est probablement dû à l’efficacité des gestes barrières : se laver les mains et porter le masque », répond, sans surprise, Mathias Wargon, chef de service des urgences et du SMUR du centre hospitalier Delafontaine, à Saint-Denis (93). S’ils n’ont pas suffi à contenir la flambée de covid-19, les gestes barrières auraient maintenu les autres maux à des niveaux bas.

    Les enfants de moins de 2 ans profiteraient des efforts des adultes pour être moins exposés au virus respiratoire de la bronchiolite qui se transmet par gouttelettes et par les mains.

    Le reconfinement engagé le 30 octobre semble avoir parachevé la barrière antivirus et a encore tassé les courbes de la bronchite et de la bronchiolite de la première semaine de novembre (la n°45 sur les graphiques).

    Concernant la grippe, difficile de jouer les Madame Irma : « En Ile-de-France, on est sur les chiffres habituels car l’épidémie n’a pas commencé », constate Mathias Wargon, qui rappelle néanmoins « qu’il n’y a pas eu de grippe » lors de l’hiver australien.

    « Ça sauve des vies »
    Les Français tireront-ils leçon de cela pour maintenir les gestes barrières dans les années futures ? Mathias Wargon l’espère : « Je ne dis pas que toute la population devra rester masquée mais en cas de nez qui coule, de toux, c’est un geste civique que de porter le masque. Le gel hydroalcoolique, il faudrait y en avoir partout, tout le temps. Et il est nécessaire de faciliter l’accès à des points d’eau avec savon… Il faut se laver les mains ! L’hygiénisme c’est un truc du XIXe siècle mais on avait oublié l’importance de ces gestes. Or, quand la bronchiolite et la gastro-entérite circulent moins, ça sauve des vies ».

  • Covid-19 : les chiffres en direct sur l’évolution de l’épidémie - Les outils pour suivre l’épidémie de covid-19 - Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/coronavirus/decouvrez-les-derniers-chiffres-sur-l-evolution-de-l-epidemie-de-covid-

    Retrouvez ici les indicateurs disponibles et actualisés pour suivre l’évolution des contaminations par le coronavirus et de l’épidémie de covid-19 dans la région, en France et dans le monde.

    un bon tableau de bord, regroupant les différentes sources
    avec la réserve notable qu’ici l’échelle logarithmique est inconnue…

  • EPR de Flamanville : selon Greenpeace, du combustible nucléaire a été livré - France - Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/france/epr-de-flamanville-le-premier-convoi-d-uranium-enrichi-sur-place-26-10-


    L’EPR de Flamanville
    Photo d’archives AFP

    Selon l’ONG Greenpeace France, un premier camion transportant de l’uranium enrichi est arrivé sur le site du réacteur EPR de Flamanville.

    Un premier camion transportant de l’uranium enrichi est arrivé lundi à minuit sur le site du réacteur EPR de Flamanville (Manche) en construction, a annoncé Greenpeace France.

    « Un camion en provenance de l’usine Framatome de Romans-sur-Isère (Drôme) est arrivé à minuit à Flamanville escorté par une dizaine de véhicules de police et de gendarmerie ainsi qu’un hélicoptère », a annoncé à l’AFP Yannick Rousselet, chargé de campagne nucléaire à Greenpeace, précisant que le précédent convoi, arrivé à 22 h, «  était un leurre ».

    • « Dans ce contexte on ne peut que s’interroger sur le transfert du combustible : pourquoi une telle précipitation alors qu’il faudra attendre au moins 2 ans pour que le combustible soit chargé dans le réacteur ? S’agit-il d’une opération de communication de la part de l’exploitant soucieux de montrer que la construction avance ou bien fallait-il désengorger le site de l’usine de Framatome de Romans-sur-Isère ? Mais aussi, à quelle date les assemblages d’uranium enrichi ont-ils été fabriqués et dans quelles conditions sont-ils entreposés dans l’usine de fabrication du combustible de Framatome où des failles dans la gestion des risques de criticité ont plusieurs fois été détectées ?

      Des demandes vont être adressées prochainement à l’exploitant et à la CLI de Framatome. »
      Source : Criirad

  • De nouvelles données diffusées par Santé publique France permettent de visualiser l’évolution de l’épidémie ville par ville ou quartier par quartier - Bretagne - Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/bretagne/comment-la-circulation-du-virus-a-augmente-autour-des-grandes-villes-de


    Le taux d’incidence par commune dans l’Ouest breton, au 18 octobre.
    GEODES - Santé publique France

    Mercredi, l’agence nationale Santé publique France a mis en ligne une série d’indicateurs consultables à l’échelle communale et même des « Iris », un découpage officiel qui divise certaines agglomérations en quartiers.

    Les taux précis ne sont pas rendus publics, pour empêcher toute identification possible de personnes concernées. Mais chaque zone territoriale est classée selon six seuils de taux d’incidence (le nombre de nouveaux cas confirmés sur une semaine, rapportés à la population). Cette présentation en cartes permet d’observer l’évolution sur les derniers jours. Le décompte est effectué en fonction du lieu de résidence des personnes dépistées.

  • Gens du voyage : des aires « insalubres, à l’écart, surveillées » - Bretagne - Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/bretagne/gens-du-voyage-des-aires-insalubres-a-l-ecart-surveillees-18-10-2020-12

    Les aires d’accueil des gens du voyage sont-elles toujours situées à côté d’une déchèterie ? C’est ce qu’a voulu vérifier William Acker. Le juriste a déjà cartographié 60 départements, dont les Côtes-d’Armor et le Finistère.

    • Quel est le montant des loyers payés sur ces aires d’accueil ?

      Pour un carré de goudron et un robinet, vous arrivez en général entre 200 et 400 euros par mois, parfois 600 euros, entre le forfait d’emplacement, la consommation d’eau et d’électricité ou de gaz. Et un des gros soucis, c’est que le statut de la caravane ne permet d’accéder aux aides au logement. Sans parler des tarifs abusifs de l’eau, qui peuvent varier du simple au double entre l’aire d’accueil et le premier riverain, et les cas d’extorsion, liés au fait que tout est payé en liquide sur les aires d’accueil.

  • Guerre froide : comment Moscou espionnait #Rennes - Rennes - #LeTélégramme

    En cas de conflit mondial, dépliez la #carte. Pendant la #guerreFroide, l’Armée rouge a cartographié Rennes sous toutes les coutures. Ce n’est pas une fiction. C’est une facette d’un programme militaire toujours classé secret en Russie.

    https://www.letelegramme.fr/ille-et-vilaine/rennes/guerre-froide-comment-moscou-espionnait-rennes-14-09-2020-12616710.php?

  • Doyenne de la Cour suprême américaine, Ruth Bader Ginsburg est morte - Monde - Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/monde/doyenne-de-la-cour-supreme-americaine-ruth-bader-ginsburg-est-morte-19-


    Ruth Bader Ginsburg avait été nommée à la Cour suprême en 1993 par le président Bill Clinton, après s’être distinguée en faisant avancer les droits des femmes dans les années 1970.
    Photo Kort Duce/AFP

    La doyenne de la Cour suprême des États-Unis, Ruth Bader Ginsburg, est décédée vendredi, à l’âge de 87 ans, laissant vacant un poste doté de grands pouvoirs, ce qui augure d’une intense bataille politique avant la présidentielle du 3 novembre.

    Juge progressiste devenue une véritable icône à gauche, Ruth Bader Ginsburg est morte des suites d’un cancer du pancréas, à l’âge de 87 ans, entourée par sa famille, a annoncé la Cour suprême, plus haute juridiction des États-Unis, dont elle était la doyenne, dans un communiqué.
    […]
    Malgré son positionnement à gauche, républicains et démocrates lui ont immédiatement rendu hommage. « Chaque femme, chaque fille, chaque famille en Amérique a bénéficié de son intelligence éclatante », a déclaré la chef des démocrates au Congrès, Nancy Pelosi. « On a perdu une géante dans l’histoire du pays », a renchéri la benjamine de la Chambre et représentante de l’aile gauche du parti, Alexandria Ocasio-Cortez.
    […]
    Petite voix dissonante, le sénateur républicain Ted Cruz, qui figure sur la liste des potentiels candidats à la Cour suprême du président Trump, n’a pas attendu pour exiger qu’elle soit remplacée. Il a réclamé sur Twitter que le président annonce son successeur dès la semaine prochaine et que le Sénat le confirme avant l’élection. « Cette nomination, c’est pour ça que Donald Trump a été élu », a-t-il jugé.