• La « pause » du réchauffement n’existe pas

    http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2013/12/la-pause-du-r%C3%A9chauffement-nexiste-pas.html

    La fameuse « pause » du changement climatique ? Un simple biais instrumental démontre une étude un peu trop négligée par la presse. Parue dans le Quarterly Journal of the Royal Meteorological Society, elle est signée Kevin Cowtan (Université de York, Grande Bretagne) et Robert G. Way (Université d’Ottawa, Canada). Elle ne sera pas prise en compte par le rapport 2014 du Giec, car la partie scientifique de ce dernier est déjà close.

    #climat #températures

  • Université et recherche : emplois et budgets en péril
    http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2013/12/universit%C3%A9-et-recherche-emplois-et-budgets-en-p%C3%A9

    Université et recherche : emplois et budgets en péril Pour l’université et la recherche, les mauvaises nouvelles sont nombreuses et les bonnes rares. L’étau budgétaire se resserre. L’emploi scientifique se dégrade et ses perspectives sont catastrophiques. Plusieurs Universités sont en déficit. La crise guyanaise se répercute aux Antilles et sa gestion par le ministère soulève des protestations de la Conférence des présidents d’Universités. (...) Source : Sciences²

  • Who’s Afraid of Peer Review ? — John Bohannon (Science)
    http://www.sciencemag.org/content/342/6154/60.full

    est-ce facile de publier dans des journaux scientifiques ? Un chercheur fabrique des articles faux (de façon flagrante), les envoie à 400 journaux, et regarde qui accepte de les publier (moyennant finances).

    Journals published by Elsevier, Wolters Kluwer, and Sage all accepted my bogus paper. (...) The Elsevier journal that accepted the paper, Drug Invention Today, is not actually owned by Elsevier, says Tom Reller, vice president for Elsevier global corporate relations: “We publish it for someone else.”

    #publication #open_access #recherche #spam #flagrant_délit

    • OPEN ACCESS : DU RÊVE AU CAUCHEMAR

      http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2013/10/open-access-du-rêve-au-cauchemar-.html

      Or, les revues en accès libre ont aussi fait l’objet d’une prédation capitaliste. Des sociétés privées ont fondé en quelques années des milliers de revues. La liste du DOAJ (annuaire des revues en open access) affiche déjà plus de 9.900 revues ; dont 1000 enregistrées en 2012. Elles ont constitué des comités éditoriaux et recruté des « reviewers » en inondant de spam des milliers de chercheurs à travers le monde. Ces revues n’ont en réalité, malgré les proclamations, aucune qualité scientifique, et peuvent publier absolument n’importe quoi : de la science non seulement médiocre, mais pathologique, mensongère, voire des purs canulars comme vient de le prouver Science. Elles singent les revues scientifiques classiques - et souvent leurs noms avec des American et des European cachant des adresses en Turquie ou au Pakistan, le plus gros paquet de revues testées se trouvant en Inde, suivi... des Etats-Unis où le profit final est souvent retrouvé - avec comité éditorial, relecteurs et la qualité scientifique en bandoulière. Or, 45% des revues de cette liste du DOAJ auxquelles le papier bidon a été envoyé l’ont accepté.

    • Open access publishing hoax: what Science magazine got wrong | Higher Education Network | Guardian Professional
      http://www.theguardian.com/higher-education-network/blog/2013/oct/04/science-hoax-peer-review-open-access

      In Norway, where I work, there is a national committee charged with sorting out bad journals – open access and traditional alike. And, yes, because of author payment, that committee sees a proliferation of illegitimate open access journals. But, again, that is because of author payment, not because the results of research are being made freely available.

  • Revues scientifiques en Open access : du rêve au cauchemar
    http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2013/10/open-access-du-r%C3%AAve-au-cauchemar-.html?xtor=rss-450

    Ces revues n’ont en réalité, malgré les proclamations, aucune qualité scientifique, et peuvent publier absolument n’importe quoi : de la science non seulement médiocre, mais pathologique, mensongère, voire des purs canulars comme vient de le prouver Science. Elles singent les revues scientifiques classiques

    #science

  • Financer les SHS ? Une tribune de Mme Nowotny (ERC)
    http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2013/09/financer-les-shs-une-tribune-de-mme-nowotny-erc.html

    « En mars dernier, le Congrès américain a décidé de supprimer la majorité du budget de la Fondation nationale pour la science (NSF) consacré aux sciences politiques – sauf à prouver que le financement bénéficie à la sécurité nationale ou aux intérêts économiques du pays. En parallèle, la fuite d’un projet de loi, le High Quality Research Act, a provoqué la controverse au sein de la communauté scientifique soulevant des craintes de voir le Congrès interférer avec le processus de subvention scientifique. Ces épisodes mettent en évidence deux problématiques : d’une part, la vulnérabilité particulière des sciences humaines et sociales et d’autre part, l’influence du monde politique dans les décisions de financement de la recherche.

  • La propriété du sol naît à l’Âge du Bronze
    http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2013/06/la-propri%C3%A9t%C3%A9-du-sol-na%C3%AEt-%C3%A0-l%C3%A2ge-d

    Nulle terre sans ­propriétaire  ! Et ce, dès l’orée de l’âge du bronze – de 2 300 à 800 ans avant J.-C. en Europe de l’Ouest. Voilà ce qui ressort des travaux d’archéologues sur le sol français en particulier dans le nord du pays. Le cadastre romain ne serait ainsi qu’une étape d’une très longue histoire au cours de laquelle ce sol fut l’objet de luttes sociales, d’accaparement par les puissants et de réappropriations par les « petits », racontent-ils. Cette histoire agraire au long cours, les archéologues la reconstituent à l’aide de traces fugaces, celles de fossés, de trous de poteaux et d’enclos, de fondations de silos et d’habitations, éclairées par des objets révélant des structures sociales.

    Seuls 15 à 20% des 1,5 million d’hectares artificialisés depuis trente ans par les travaux d’aménagement du territoire ont fait l’objet de fouilles archéologiques préventives. Toutefois, ce petit pourcentage représente une augmentation considérable des surfaces fouillées, par rapport à la grande destruction des Trente Glorieuses, de 1950 à 1980, où notre patrimoine archéologique a reçu des coups irrémédiables. Ces quinze dernières années, des fouilles d’une ampleur sans précédent, « véritables laboratoires à ciel ouvert », portant sur des surfaces cumulées allant jusqu’à des milliers d’hectares, ont ouvert une fenêtre nouvelle sur le passé de notre territoire (1). Elles ont permis de mettre au jour les sociétés rurales, autrement dit entre 80 et 90% de la population des périodes pré-industrielles. Spécialiste de l’âge du bronze et responsable de fouilles menées par l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) en Normandie et dans le nord de la France, Cyril Marcigny fait le point sur ces découvertes.

    #Propriété

  • Crédit d’impôt recherche: la gabegie
    http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2013/09/cr%C3%A9dit-dimp%C3%B4t-recherche-la-gabegie.html

    Le rapport de la Cour des Comptes sur le crédit d’impôt recherche confirme amplement les critiques de sa réforme par Nicolas Sarkozy et Valérie Pécresse. Il pose surtout de graves questions sur la véracité des élements donnés par le gouvernement aux Députés et Sénateurs qui ont voté cette réforme. Au delà de ce rapport, une enquête parlementaire s’impose.

    Tout d’abord, la Cour établit la facture - en termes de non-rentrées fiscales. La réforme sarkozyste du CIR créé en 1983 a fait exploser le compteur. Son effet continue d’augmenter car l’entreprise bénéficie de ce CIR jusqu’à quatre ans après l’année de déclaration. Du coup, explique la Cour : « du fait des mécanismes qui permettent aux entreprises de reporter durant quatre exercices leur droit à crédit d’impôt et de la mise en oeuvre du plan de relance
    Le CIR fait effet durant 4 ans après déclaration
    (2009-2010), le niveau de la dépense fiscale incluse dans la première partie des lois de finances est bien plus faible. En 2013, un ressaut de 1,05 Md€ a été intégré dans le budget de l’État. En 2014, un ajustement d’une ampleur plus importante sera nécessaire : il devra être d’au moins 2 Md€, correspondant à une dépense fiscale d’au moins 5,3 Md€. La dynamique du CIR devrait se poursuivre par la suite pour converger rapidement vers 6 Md€, puis 7 Md€. »

    #Crédit_d'_impôt
    #Recherche
    #Gabegie

  • Gaz de schiste : une étude sur les risques de pollution
    http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2013/07/gaz-de-schiste-une-étude-sur-les-risques-de-pollution.html

    Oui, on trouve des traces de méthane dans les eaux souterraines aux alentours d’exploitations de gaz de schiste. Le propos n’émane pas d’une ONG militante, mais de scientifiques et universitaires.

    Il a été publié dans une revue à comité de lecture respectée : les Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS). Les neuf chercheurs américains auteurs de l’article (1) ont analysé l’eau potable de 141 puits utilisés par des familles du nord-est de la Pennsylvanie, aux Etats-Unis. Une région où l’exploitation des gaz de schiste par la technique de la fracturation hydraulique bat son plein.

    #gaz_de_schiste

  • La Cour des comptes et la #recherche - Sylvestre Huet
    http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2013/06/la-cour-des-comptes-et-la-recherche.html

    Belle lecture critique du rapport de la Cour des comptes sur le financement de la recherche - http://www.ccomptes.fr/Actualites/A-la-une/Le-financement-public-de-la-recherche-un-enjeu-national - qui montre que le financement de la recherche n’a pas augmenté en 10 ans, et est loin d’atteindre les objectifs de 3% du PIB promis. Qui pointe les limites du Crédit d’impôt recherche, qui a surtout permis l’optimisation fiscale que de l’investissement supplémentaire. Les dépenses de recherche privées (...)

    #science #économie #innovation

  • Anglais à l’Université : les pour, les contre, les faits
    Sylvestre Huet rend compte sur son blog de l’étude que l’Ined vient de pré-publier (en raison du contexte !) sur les #langues de #recherche et d’#enseignement en France. Pas vraiment de surprises.
    http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2013/05/loi-fioraso-les-vrai-chiffres-de-langlais-à-luniversité.ht

    Le principal résultat est que le français est totalement marginalisé dans les pratiques de recherche des #sciences de matière, de la nature et en mathématiques. Il atteint au mieux 5% comme langue dominante. L’anglais est exclusif dans des proportions allant de 50 à 69% et dominant de 85 à 98%. Le français ne surnage qu’en sciences humaines et sociales, avec une position dominante à 27% en sciences humaines et 15% en sciences sociales...

    9% des universitaires et chercheurs disent avoir donné des cours en anglais en 2007-2008 de manière régulière et 17% « à l’occasion », au total le quart des sondés

    S. Huet prend résolument le « parti de l’anglais », rejoignant globalement les arguments avancés par David Monniaux dans une tribune parue dans Libé et reprise sur son blog.
    http://david.monniaux.free.fr/dotclear/index.php/post/2013/05/22/Tribune-dans-Libération-sur-l-usage-des-langues-dans-la-recherch

    Personne ne propose d’enseigner en anglais dans toutes les #formations universitaires et à tous les niveaux — ce qui serait de toute façon impossible étant donné les capacités linguistiques des bacheliers. En revanche, ce dont nous avons besoin, c’est d’autoriser des formations spécialisées, de haut niveau, notamment les masters de recherche, les doctorats, à s’adapter aux langues effectivement pratiquées par nos partenaires étrangers, et ce officiellement et non par des tolérances honteuses.

    La #culture et la langue françaises sont des richesses dont le monde doit profiter. Leur rayonnement ne se fera pas par les tracasseries légales, mais par l’attrait de nos #universités et de notre pays.

    A l’opposé, le Parti de Gauche dit « Non à l’atlantisme linguistique de Geneviève Fioraso » (sic)
    http://www.lepartidegauche.fr/actualites/communique/non-l-atlantisme-linguistique-genevieve-fioraso-23267

    Pour le PG, cette disposition

    est révélatrice de la vision purement – et faussement - utilitariste qu’a le gouvernement de l’Université et du travail scientifique.

    On ne peut expliquer un tel reniement que par des raisons idéologiques, par un atlantisme linguistique qui accompagne une aspiration à la servitude volontaire vis-à-vis du monde anglo-saxon, caractéristique notoire des « élites » françaises

    On se désole quand même d’un tel chauvinisme...

    L’étude de l’Ined (réalisée par François Héran) est consultable ici http://www.ined.fr/fr/ressources_documentation/publications/pop_soc/bdd/publication/1645

    • Aucune objection à ce que cela se fasse dans les universités privées, non-financées par l’impôt.

      S’il s’agit de fournir à la machine capitaliste mondialisée une main d’oeuvre délocalisable, le minimum serait que les capitalistes en financent l’élevage et la formation.

  • Gilgamesh et l’#eau_porale : c’est compliqué (mais passionnant)

    La #Mer_Noire, le #Déluge et Gilgamesh
    http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2013/04/la-mer-noire-le-d%C3%A9luge-et-gilgamesh.html

    Cette « théorie », liant bouleversements géographiques et histoire des hommes, fut proposée par deux géologues américains, Bill Ryan et Walt Pitman, en 1997. (…) Les indices géologiques avancés par Ryan et Pitman ne permettaient pas de considérer le dossier scientifique clos. D’où quinze années de polémiques entre équipes russes, turques, françaises, canadiennes et américaines. Et de multiples missions de chaque côté du Bosphore, à la recherche de preuves.

    Parmi les plus actifs, Edouard Bard, professeur au Collège de France, et Gilles Lericolais. Le 8 avril, leur ancien thésard commun, Guillaume Soulet, publiait en premier auteur un article dans la revue de l’Académie des sciences américaine (2) sur l’histoire mouvementée de la mer Noire depuis 20000 ans.

  • #Climat : #géo-ingéniérie risquée
    http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2013/04/climat-géo-ingéniérie-risquée.html

    Big Billou, le fondateur de Microsoft, passe du plantage informatique au plantage du climat. Riche à milliards, issus du racket de centaines de millions d’utilisateurs d’ordinateurs, Bill Gates fait partie des « philanthropes » ne sachant que faire de leur argent. Il vient d’en trouver un usage  : subventionner des initiatives soutenant la « géo-ingénierie climatique ». C’est ainsi que, dans quelques mois, un ballon installé dans la haute atmosphère au-dessus de Fort Sumner (Nouveau-Mexique, Etats-Unis), devrait y injecter des particules sulfurées censées réfléchir la lumière solaire et ainsi refroidir la Terre.

    Après avoir étudié par des simulations informatiques les conséquences de ces éruptions, les auteurs estiment donc qu’« une éruption volcanique survenant dans l’hémisphère nord, de la magnitude de celle d’El Chichon, peut provoquer une sécheresse au Sahel ». Le lien avec la géo-ingénierie  ? Les aérosols – avec lesquels nos apprentis sorciers veulent contrecarrer le réchauffement climatique en réfléchissant les rayons solaires – sont similaires à ceux émis par les volcans.

    Ils sont fous, ils sont fous ! #Quand_les_riches_s'emmerdent
    Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué : à se demander si c’est pas le propre de l’homme. En fait non, je me demande plus.

    • Sans doute un des plus mauvais films que j’ai eu l’occasion de regarder : un ado qui ne s’accepte pas, timide et qui réussit à sauver le monde... une fois de plus un scénario bidon. Tout cela habillé dans du Jerry Bruckheimer : ca donne des sorciers qui se font la course en voiture (moi qui pensait ne jamais revivre Fast and Furious), l’occultisme au service du crétinisme. A ce titre le Da Vinci Code pourrait passer pour un chef-d’oeuvre du 7ème art. Ne vous encombrez pas l’esprit d’un film aussi mauvais, si vous en avez l’occasion de regardez pas ce film !

      http://www.premiere.fr/film/L-Apprenti-sorcier-1394526

      Bill Gates souffrirait-il du syndrome de Peter Pan ?

      Description du syndrome de Peter-Pan

      Il est intéressant de lire que l’auteur décrit ces personnes comme émotionnellement bloquées à un seuil adolescent.
      Le déni fait parti du trouble et le fonctionnement est souvent impulsif, guidé par les seules émotions.
      Bien qu’ils soient prompts à blâmer les autres, ils demeurent extrêmement sensibles au rejet.
      Les relations avec les femmes sont d’autant plus difficiles du fait d’attitudes généralement machistes.
      Ils pensent que l’amour d’une compagne doit être comme un amour maternel inconditionnel et positif.
      De fait ils vont avoir tendance à pousser les limites au-delà du raisonnable afin de « tester » cet amour.
      Ce besoin est tel qu’ils ressentent beaucoup de vide sauf quand ils sont entourés et au centre de l’attention.
      Plus les années passent et plus il semblerait que la culpabilité soit grandissante, celle de n’avoir « rien fait » de sa vie pendant de nombreuses années.
      Cette solitude et cette souffrance conduisent fréquemment à la prise d’alcool et de drogues.

      source : http://www.aapel.org/bdp/BL_peter-pan.html

      « Devenir riche et puissant provoque de graves troubles mentaux »
      A moins que ce soit l’inverse.

  • Universités : faillite annoncée par les Présidents

    http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2013/03/universit%C3%A9s-faillite-annonc%C3%A9e-par-les-pr%C3%A9si

    La Conférence des Président d’Université lance un appel au secours. Avec les dernières coupes budgétaires décidées par le gouvernement, « Une part importante d’universités est inéluctablement conduite au déficit », affirme cette déclaration. Son vocabulaire un peu technique révèle que, comme souvent, le diable budgétaire se niche dans les détails. Et que derrière les discours volontaristes de la ministre de l’ESR, Geneviève Fioraso, à l’occasion de la présentation de la loi sur l’Université et la Recherche au dernier conseil des ministres, l’impasse budgétaire est bien là.

    #éducation #université #france

  • Fukushima 2 ans, les territoires contaminés
    http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2013/03/fukushima-2-ans-les-territoires-contaminés.html

    Où en est la contamination radioactive de l’environnement autour de la centrale nucléaire de Fukushima Daï-ichi ?
    La carte (...) permet d’en visualiser l’étendue, et aussi le caractère peu continu. Certaines zones située à l’intérieur des 20 km évacués, en vert sur la carte ci-contre, au nord et au sud de la centrale dévastée pourraient être réoccupés assez vite car l’exposition y est inférieure à 20 millisieverts par an.