Les #contributeur aux projets #open-source qui ne codent pas
▻https://modelviewculture.com/pieces/non-coding-contributors-in-open-source
Les #contributeur aux projets #open-source qui ne codent pas
▻https://modelviewculture.com/pieces/non-coding-contributors-in-open-source
Ah du coup peut être que #barbie pourra contribuer au libre !
▻http://gizmodo.com/barbie-f-cks-it-up-again-1660326671
Je note la bascule open-source / libre, hashtag mauvais_esprit ;-)
Barbie ingénieure informaticienne elle est pas sectaire sur la licence du moment qu’elle code pas
open source contributors are usually white men, largely because they have systemic privileges that make their contributions possible. Along with being more welcomed and valued in open source, they are more likely to possess a technical background and have ample time and resources to contribute. Both of these attributes are considered critical by many open source projects (resulting in even more homogenous teams), but we don’t think they are. We value meaningful contributions. Even those team members with limited time can contribute in meaningful ways. Since these contributions are valuable, we would be remiss to avoid them simply because the contributor can’t devote some prescribed amount of time.
mais concrètement ?
Part of the dysfunction in open source communities is that contributors that don’t participate on more “advanced” levels of a project, e.g., coding, aren’t held in the same regard as developers doing the programming.
Tout comme une famille dysfonctionnelle n’est pas un environnement sain et épanouissant ?
La phrase que tu cites @tetue dit en elle même tout ce qui est déséquilibré, la « responsabilité » des « advanced levels contributors » n’est pas conscientisée parce que certains principes de #hiérarchie sont déjà figés par ceux là mêmes qui détiennent le pouvoir. Et ces structures tant qu’elles ne seront pas réinterrogées politiquement perdureront, d’où la nécessité de regarder les solutions égalitaires proposées par exemple par les groupes minoritaires, comme les féministes.
Pourquoi je n’aime pas les #hackathons - infotrope.net
►http://alireailleurs.tumblr.com/post/104830897805
Alex Bayley est développeuse. Elle a 39 ans. Elle n’est pas le premier développeur a critiquer les hackathons (elle en référence d’autres d’ailleurs à la fin de son billet), mais sa critique est suffisamment complète et synthétique pour pointer la limite de ces #dispositifs_créatifs (une critique que nous avions également esquissé dans un dossier dédié). Pour elle, les hackathons demandent trop d’engagement. Ils sont intenses et épuisants dans leur forme (un week-end de 48h le plus souvent). Ils excluent de fait un certain nombre de participants et cette exclusion n’est pas uniforme (elle défavorise ceux qui ont des enfants et plus généralement les femmes - « connaissez-vous des hackathons qui organisent des modes de garde pour les enfants ? » - ainsi que les gens les plus âgés). Ils ne sont pas très sains (...)
Stupid Hackathon - Engadget
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/104146250386
Engadget revient sur le Stupid Hackathon organisé par les étudiants en #design Sam Lavigne et Amelia Winger-Bearskin en novembre à New York pour concevoir des projets qui n’ont aucune valeur. Un happening pour lancer une critique du phénomène, expliquent ses organisateurs :
« L’industrie technologique déborde d’autosatisfaction et de prétention, et tellement de hackathons ont pour vocation de résoudre des problèmes de la sphère sociale, politique ou économique - des problèmes qui ne peuvent pas vraiment (et ne devraient probablement pas) être résolus dans la sphère technologique. »
Au menu, un robot de téléprésence humain ou votre interlocuteur porte un iPad sur la figure, un casque de réalité virtuel qui regarde derrière vous, un système qui tweet dès que vous mangez un morceau de pizza ou une part de glace, (...)