https://www.grin.com

  • A propos des valeurs états-uniennes et du Generalplan Ost
    https://seenthis.net/messages/1013624

    An Indigenous Peoples’ History of the United States (Roxanne Dunbar-Ortiz )
    https://en.wikipedia.org/wiki/An_Indigenous_Peoples%27_History_of_the_United_States

    All modern nation-states claim a kind of rationalized origin story upon which they fashion patriotism or loyalty to the state. When citizens of modern states and their anthropologists and historians look at what they consider “primitive” societies, they identify their “origin myths,” quaint and endearing stories, but fantastic ones, not grounded in “reality.” Yet many US scholars seem unable (or unwilling) to subject their own nation-state’s founding story to the same objective examination. The United States is not unique among nations in forging an origin myth, but most of its citizens believe it to be exceptional among nation-states, and this exceptionalist ideology has been used to justify appropriation of the continent and then domination of the rest of the world. It is one of the few states founded on the covenant of the Hebrew Torah, or the Christian borrowing of it in the Old Testament of the Bible. Other covenant states are Israel and the now-defunct apartheid state of South Africa, both of which were founded in 1948. Although the origin stories of these three covenant states were based on Judeo-Christian scripture, they were not founded as theocracies. According to the myths, the faithful citizens come together of their own free will and pledge to each other and to their god to form and support a godly society, and their god in turn vouchsafes them prosperity in a promised land.

    puis ...

    For a revealing comparative study, see Gump, “Civil Wars in South Dakota and South Africa,’” 427–44. In relying on the ancient origin story of the covenant, the modern state of Israel is also using exceptionalist ideology, refusing to acknowledge the settler-colonial nature of the state. Donald Harman Akenson, God’s Peoples: Covenant and Land in South Africa, Israel, and Ulster (Montreal: McGill-Queen’s University Press, 1991), 151–82, 227–62, 311–48.

    L’Allemagne a également connu une période historique pendant laquelle ses dirigeants et une grande partie de sa population ont cru en en leur devoir de réaliser leur propre qualité de peuple élu. Quand on parle de la dictature nazie la plupart du temps on évoque l’holocauste juif. Ce crime nous paraît aujourd’hui comme l’élément le plus marquant du projet nazi, mais pour les nazis les juifs ne constituaient qu’un obstacle technique pour leur grand projet. Il fallait terminer (d’où le terme Endlösung, solution finale) le problème juif au plus vite pour passer au choses sérieuses.

    Le projet nazi principal était de suivre l’exemple des états-unien et de remédier au problème des colonies perdues en Afrique, en Chine et en Nouvelle-Guinée. Les nazis on investi de plus importants efforts (à savoir et de l’argent et des vies de soldats allemands) dans la guerre d’extermination allemande contre les peuples de l’Est que dans le projet d’extermination des juifs. Les résultats ont été conséquents en nombre de victimes et ampleur des ravages de pays.

    Ceci ne doit pas nous entraîner sur la pente dangereuse d’une relativisation du crime antisemite par rapport aux actes génocidaires anti-slaves. Cette constatation jette simplement une lumière peu habituelle sur les relations entre l’Allemagne et les États Unis avant, pendant et aprés l’époque nazie.

    Volk ohne Raum
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Volk_ohne_Raum
    Suivant l’idéologie exprimée dans le roman populaire Volk ohne Raum (littéralement : peuple sans espace) leur projet essentiel était de coloniser l’Est afin de sécuriser la survie et l’épanouissement de la race arienne dont le peuple allemand était l’émanation principale.

    Generalplan Ost
    https://en.wikipedia.org/wiki/Generalplan_Ost

    The Generalplan Ost (German pronunciation: [ɡenəˈʁaːlˌplaːn ˈɔst]; English: Master Plan for the East), abbreviated GPO, was Nazi Germany’s plan for large-scale ethnic cleansing, extermination and genocide of Slavs, Eastern European Jews and other ethnic groups categorised as “Untermensch” in Nazi ideology. The plan was intended to be the precursor for a programme, which would involve the colonisation of Central and Eastern Europe by German settlers, after the elimination of national identities of various Slavic peoples.

    Le philosophe Fried­rich Nietzsche a préparé le terrain avec son concepte du Übermensch (surhomme) que les philosophes de pacotille nazis ont complété, à leur façon, en désignant certaines « races » comme Untermensch (sous-hommes) à exterminer. Chez Nietzsche l’ennemi du Übermensch est l’humanité entière ce qui le rapproche d’Ayn Rand plutôt que d’Alfred Rosenberg, le « philosophe » maison nazi et « RMfdbO » (Reichsminister für die besetzten Ostgebiete, ministre des Territoires occupés de l’Est).

    Die Gedanken von Friedrich Nietzsche im Nationalsozialismus. Eine Interpretation des Übermenschen
    https://www.grin.com/document/509853

    3.2 Der Feind

    Der Feind des Ubermenschen ist nicht der Untermensch, sondern die Menschheit. Fried­rich Nietzsche nennt die Menschheit in seinem Vorwort den „Rest“, der neben den Uber- menschen ubrig bleibt, der seine Gedanken nicht nachvollziehen kann. Man solle ihr so- wohl mit Kraft als auch mit verachtendem Geiste gegenuberstehen und ihr uberlegen sein. (Nietzsche, F., Der Antichrist, 1888, Vorwort, Z. 23-25)

    Nicht so wie der Ubermensch sei die Menschheit erkrankt „[.]am faulen Frieden, am fei- gen KompromiB, an der ganzen tugendhaften Unsauberkeit des modernen Ja und Nein. [.]“. (Nietzsche, F., Der Antichrist, 1888, Kapitel 1, Z. 10-12) Diese ganzen Vorwurfe fuhrt Nietzsche weiter in seinem Buch aus, in dem er in weiteren Kapiteln uber die Moral und seine “moralinfreien“ Worte schreibt. (Nietzsche, F., Der Antichrist, 1888, Kapitel 6, Z. 3-5). Besonders zielt er dabei im Verlaufe des Buches auf Christen ab, die es unter anderem zur Tugend nehmen, mitleidig zu sein, was eine Form der Schwache sei. (Nietzsche, F., Der Antichrist, 1888, Kapitel 2, Z. 12/13) Mitleid ist fur Nietzsche deswegen eine Schwa- che, weil es den Willen und das Gefuhl von Macht mindert, welches er fur gut empfindet. Alles was aus der Schwache kommt sei schlecht. Gluck erfahren konne man einzig und allein durch Machtwachstum, Uberwindung des Widerstandes, Krieg und Moralische Freiheit „[...]nicht Tugend, sondern Tuchtigkeit[...].“.(Nietzsche, F., Der Antichrist, 1888, Kapitel 2, Z. 1-8)

    Je regrette qu’à chaque fois que je rajoute une pièce au puzzle historique et idéologique je me rapproche un peu plus d’un résultat où les trois religions principales de l’Europe et du Proche-Orient constituent un fond idéologique pour la barbarie capitaliste qui depuis des siècles ne cesse de ravager l’humanité et de détruire la planète. Si on considére Nietzsche et ses acolytes comme athées ces non religieux font partie de la bande surtout quand on prend en compte la déscription du chef d’entreprise capitaliste comme surhomme par Ayn Rand, Peter Thiel et les imbéciles de la Silicon Valley, y compris les auteurs de la Déclaration d’indépendance du cyberespace.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9claration_d%27ind%C3%A9pendance_du_cyberespace

    En poursuivant la réflexion basée sur le travail de Roxanne Dunbar-Ortiz je découvre la nécessité de mettre en question l’idéologie de la Electronic Frontier Foundation (https://www.eff.org) que j’estime pour ses activités de défense des droits fonandamentaux. La frontière évoquée dans son nom se réfère à une réinterprétation de la « frontier » génocidaire des colons européens dans le Far-West.

    On pourrait aussi se poser la question de la signification de l’engagement des États Unis pour l’Ukraine et ses nouvelles banderistes au pouvoir. Si on ne la considère pas comme un sujet tabou on y identifie quelque chose qu’on pourrait appeller l’axe Kiev-Berlin-Washington. Mais il me semble que ce soit une parallèle encore trop peu documentée pour en faire une position politique.

    En Allemagne les personnes qui défendent une telle position risquent des poursuites pour « Volksverhetzung ». Le paragraphe du code pénal punissant l’apologie nazie vient d’être modifié afin de pouvoir agir contre toute idée hors du canon officiel.

    https://de.wikipedia.org/wiki/Volksverhetzung#2022_(Abs._5_n._F.)
    Le commentaire dans Wikipedia veut nous faire croire que la publication d’idées et de positions critiques par rapport au positions officielles sur la guerre en Ukraine sont autorisées, mais l’exemple de Heiner Bücker montre que la liberté d’expression en Allemagne n’est plus ce qu’elle était encore il y a quelques années.

    Heiner Bücker
    https://seenthis.net/messages/1014113

    Mai c’est une autre histoire.

    #histoire #religion #nazis #colonialisme #cyberespace

  • Die geheime Zusammenarbeit zwischen der Reichswehr und der Roten Armee unter Umgehung des Versailler Friedensvertrages

    Seminararbeit, 1996
    https://www.grin.com/document/104841

    Inhaltsverzeichnis

    1. Einleitung

    2. Quellen- und Forschungsstand

    3. Die ideologische Annäherung

    4. Die wirtschaftliche Zusammenarbeit zwischen 1922 und 1926/27
    4.1. Das Junkerswerk in Fili
    4.2. Giftgasfabrik in Ivascenkovo
    4.3. GEFU/ WIKO und die Artilleriegranaten

    5. Die rüstungswirtschaftliche Zusammenarbeit auf dem Gebiet der militärischen Schulung und Erprobung zwischen 1925 und 1933
    5.1. Luftwaffe in Lipeck
    5.2. Panzerwaffe in Kazan
    5.3. Gastestgelände in Tomka

    6. Ergebnisse und Ausblicke

    7. Bibliographie
    1. Einleitung

    Nach Beendigung des Ersten Weltkrieges gab es zwei große Verlierer, die in den folgenden Jahren oft als die „Parias“ des westeuropäischen Systems bezeichnet wurden. Deutschland stand unter der Aufsicht der IMKK, welche die strikte Einhaltung des Versailler Vertrages kontrollierte, Russland hatte noch immer mit den Bürgerkriegswehen zu kämpfen und bekam nicht die nötige Unterstützung. Beide Regierungen, von den Alliierten im Stich gelassen, knüpften schon bald nach Kriegsende politische Kontakte, um gemeinsam die wirtschaftlich und militärisch schlechte Lage zu verbessern. Die Zusammenarbeit der Reichswehr und der Roten Armee gehörte dabei wohl zu den best gehütetsten Geheimnissen ihrer Zeit. Erst nach und nach erhellten Zeitzeugen mit ihren Memoiren und Geschichtsforscher mit der Auswertung von Nachlässen die Ausmaße der Tätigkeiten.

    Beim Überblick über die Literatur erwies sich das Buch von Manfred Zeidler „Reichswehr und Rote Armee“ als sehr hilfreich, da es erstmals eine vollständige Bestandsaufnahme der Russlandverbindung dokumentierte. Neben Quellen und Memoiren war Helm Speidels Aufsatz über Reichswehr und Rote Armee[1] eine nützliche Stütze, vor allem für den Bereich der militärtheoretischen Zusammenarbeit in Ausbildung und Schulung.

    Hauptgegenstand der Hausarbeit soll nicht sein, die verschiedenen Gespräche zwischen der Reichswehr und der Roten Armee als Vorläufer der Zusammenarbeit, auszuführen. Von deutscher Seite wurden sie hauptsächlich von Seeckt und seinen Offizieren, von russischer Seite durch Trockij und Rosengol’c[2] geprägt und inszeniert. Vielmehr möchte ich im ersten Teil auf die Gründe eingehen, die die Reichswehr in den Nachkriegsjahren bewog, mit der Roten Armee ein Geheimbündnis einzugehen. Geheimbündnis aus dem Grund, weil auf offiziellem Wege keine Änderung des Status Quo wie ihn der Vertrag von Versailles vorsah, zu erreichen war.

    Als Folge dieses Bündnisses ergaben sich eine Reihe von Programmen, die sich in zwei Gruppen fassen lassen: die wirtschaftliche Zusammenarbeit im Bereich Rüstung mit Privatfirmen in den Jahren 1922- 1926/27, und die militärtheoretische Zusammenarbeit auf dem Gebiet der Schulung und Ausbildung zwischen 1925- 1933.

    Nach dem Einlesen in die erste Gruppe ergab sich die Frage, was es an realisierter Arbeit gab und wie effektiv sie war. Hierbei soll vor allem auf die zwei wichtigsten Projekte, das Junkerswerk in Fili und die Giftgasfabrik in Ivascenkovo, eingegangen werden. Ebenfalls Gegenstand soll die GEFU (Gesellschaft zur Förderung gewerblicher Unternehmungen und ihre Umwandlung zur WIKO (Wirtschaftskontor) sein, wobei die 300000 Artilleriegranaten nur eine untergeordnete Rolle spielen.

    Die Fragen an die zweite Gruppe sollen klären, warum nur eine solch kleine Menge an Offizieren ausgebildet wurde und warum dennoch von einem Erfolg gesprochen werden kann.
    2. Quellen- und Forschungsstand

    Die ständige Furcht vor Enthüllungen und Presseberichten und die damit einhergehende Gefahr von Sanktionen seitens der Alliierten zwang die deutschen Militärs zu größter Geheimhaltung, was nicht zuletzt dazu führte, dass eine Vielzahl an Akten schon während der Zusammenarbeit „laufend und planmäßig“ vernichtet wurde[3]. Hinzu kam, dass ein Großteil der Quellen bei einem Bombenangriff im April 1945 auf das Reichsarchiv in Berlin ein Opfer der Flammen wurde[4]. Die wenigen noch vorhandenen Akten waren in den Kriegswirren entweder ausgelagert worden oder sie befanden sich in den Nachlässen verschiedener Generale und Staatsmänner wie Seeckt, Groener und Stresemann[5].

    Die ersten gesicherten Erkenntnisse stammen aus Publikationen der Enthüllungen des Jahres 1926. Dort berichtete der Manchester Guardian erstmals am 6. 12. über geheime Rüstung. Zentrale Quelle war dabei die Denkschrift Junkers an das Reich in der Streitsache um das Flugzeugwerk in Fili. Drei Tage später berichtete der „Vorwärts“ über sowjetische Munitionslieferungen an Deutschland. Die Brisanz des Themas sowie das vorherrschende Quellenvakuum luden in den nachfolgenden Jahren zu Spekulationen und Halbwahrheiten ein.

    Erst 1948 konnte Julius Epstein auf gesicherte dokumentarische Grundlagen zurückgreifen und Originaldokumente aus dem Seecktnachlaß in „der Monat“ veröffentlichen[6]. Wenig später erschien von W.F.Hallgarten in „Journal of Modern History“ eine erste Auswertung des gesamten Nachlasses[7]. In den 50er und 60er Jahren nahmen immer mehr Zeitzeugen von ihrer Schweigepflicht als Offiziere und ihrem Loyalitätsversprechen Abstand und verbesserten durch ihre Memoiren und Autobiographien die Quellenlage[8].

    Mit dem Aufsatz von Helm Speidel in der VfZG 1952 berichtete zum ersten Mal ein Zeitzeuge konkret über die geheime Rüstung[9].

    Helm Speidel gehörte von 1927-1933 zu den wenigen Offizieren, die in die Zusammenarbeit eingeweiht waren, und der sowohl an der Planung als Generalstabsoffizier der Luftwaffe, als auch an der Durchführung als Flieger in Russland beteiligt war.

    Als 1992 die beiden russischen Historiker Jurij D’jakov und Tat’jana Busueva eine umfangreiche Quellenedition publizierten wurde die Sachlage erheblich erleichtert. Das Werk stützte sich auf die Unterlagen des Zentralen Staatsarchivs der Sowjetarmee, eben jenes Archiv, welches noch bis 1990 jeglichen Besitz an Aktenmaterial über die Zusammenarbeit der beiden Armeen geleugnet hatte[10]. 1993 erschien von Manfred Zeidler eine mit dem Moritz-von-Bethmann-Preis ausgezeichnete Dissertation über die Zusammenarbeit der beiden Armeen, die die verschiedenen Tätigkeiten allumfassend dokumentierte.

    Durch die politisch bedingte Öffnung und den daraus resultierenden möglichen Zugriff auf Militärakten in Osteuropa wird in den nächsten Jahren wohl mit weiteren neuen Erkenntnissen vor allem über die Rote Armee zu rechnen sein.
    3. Die ideologische Annäherung

    In diesem Kapitel soll die Frage geklärt werden, warum die doch sehr konservativ eingestellte Reichswehr in der bolschewistischen Roten Armee eine potentiellen Rüstungs- und Bündnispartner sah und mit ihr zusammenarbeitete. Da es sich dabei um ein Thema handelt, welches einer eigener Hausarbeit bedarf, hier aber nur mittelbar mit dem Referatsthema zusammenhängt, soll nur anhand einiger Beispiele darauf eingegangen werden.

    Ausschlaggebend für die Annäherung war dabei der für das Militär sehr harte Teil V des Versailler Friedensvertrages, der die Bestimmungen des Landheeres, der Seemacht und der Luftwaffe regelte[11]. Darin wurde Deutschland die allgemeine Wehrpflicht, der Im- und Export von Kriegsgütern sowie der Besitz von schwerer Artillerie und einer Luftwaffe verboten. Militärmissionen waren ebenso wenig zugelassen wie eine Reservearmee nach kaiserlichem Vorbild. Die aber wohl stärkste Schwächung erfuhr die Reichswehr durch die Reduzierung auf 100000 Mann. Verglichen mit der Stärke des Kaiserheeres zu Friedenszeiten 1912 von 487160 Mann[12] war die Reichswehr nur noch ein Schatten ihrer selbst. Rüstung war nur in den von der Entente zugelassenen Werken und unter strengen Auflagen erlaubt. Die Überwachung erfolgte dabei durch die Inter-Alliierte- Kontrollkommission IMKK (22. Februar 1920- 31. Januar 1927).

    Die Gefahr bestand nun darin, dass es durch die Hinnahme der zahlenmäßigen und technischen Unterlegenheit zu einer Art Selbstbeschränkung kam die in der Folge zu einer Verengung des militärischen Denkens führen konnte. Verengung aus dem Grund, weil die Reichswehr nur durch eine verschwindend kleine Schwerindustrie gerüstet werden konnte und so von neuen Techniken, Technologien und Entwicklungen ausgegrenzt wurde. Als Folge davon sah sich „die Reichswehr schnell auf das technische und geistige Niveau einer Polizeitruppe“ gebracht[13]. Unter diesem Gesichtspunkt standen auch die von Seeckt geführten Verhandlungen in Spa 1920, Sitz der Waffenstillstandskommission. Dort versuchte er eine weniger strenge Durchführung der Entwaffnungsbestimmungen zu erlangen, scheiterte aber vor allem an dem Widerstand [14].

    Die Reichswehr war also dem Versailler Vertrag ausgeliefert und konnte auf offiziellem Wege keine Änderung oder Abschwächung des Vertrages und somit des desolaten rüstungstechnischen Zustandes erreichen. Rüstungstechnologie und Erfahrung war in großem Maße vorhanden, lediglich durch den Vertrag an weiterer Entwicklung gehindert.

    Ganz im Gegensatz dazu stand die Rote Armee. 1918 durch den Rat der Volkskommissare ins Leben gerufen als Antwort auf den Zerfall des zaristischen Heeres 1917/18, war sie 1920 nach Ende des Bürgerkrieges als militärisches Instrument völlig unbrauchbar. In ideologischer Hinsicht fehlte es durch ununterbrochene Umbildung und Reorganisation an Disziplin und gemeinsamen Denken, in technischer Hinsicht an allem. Michail Frunze (stellvertretender Kriegskommissar) sagte dazu 1921: "unsere technische Zurückgebliebenheit wird von Tag zu Tag bedrohlicher ... es gelte von jetzt an, die Streitkräfte um jeden Preis in technischer Hinsicht zu [15]

    Da beiden Seiten der gegenseitige Zustand bekannt war, war ungeachtet der diplomatischen Gründe vom rein militärischen her die Grundlage gegeben, die die Zusammenarbeit zwischen den zwei Armeen über ein Jahrzehnt rechtfertigen sollte.

    Seeckt selbst, von Grund auf ein Feind des Bolschewismus, formulierte es in einer Niederschrift mit dem Titel „Deutschland und Russland“ so: „nur in festem Anschluss an eine Großmacht Russland hat Deutschland die Aussicht auf Wiedergewinnung seiner Weltmachtstellung [16]. Und eben in dieser Akzeptierung des konstruktiven Koexistenzdenkens lag also der Grund dafür, dass die zwei Armeen ihre gegenseitigen Aversionen beiseite schoben und zu einem Zweckbündnis gelangten, ganz in der Tradition bismarckscher Politik. Deutschland besaß das technische Wissen und die Einrichtungen und musste aus seiner Sicht einen Rüstungspartner suchen, Russland konnte aus eigener Kraft in absehbarer Zeit nicht alleine an den westlichen Rüstungsstandard herankommen und war auf deutsche Hilfe angewiesen.

    Hinzu kam, dass beide Länder in der Polenfrage am gleichen Strang zogen. In den Augen Seeckts baute Polen seine Existenz auf dem Versailler Vertrag auf und zwar dergestalt, dass die Niederlage Deutschlands in den Territorialforderungen Polens gezeigt wurde[17]. Als die Rote Armee 1920 in Polen einmarschierte war die Heeresleitung froh, dass sich Russland der Klärung der Frage annahm. In einer Antwort auf eine Promemoria der Ostpolitik des Grafen Brockdorff-Rantzau vom 11.09.1922 nahm Seeckt als Chef der Heeresleitung Stellung dazu:“...mit Polen kommen wir nun zum Kern des Ostproblems.

    Polens Existenz ist unerträglich, unvereinbar mit den Lebensbedingungen Deutschlands. Es muss verschwinden und wird verschwinden durch eigene, innere Schwäche und durch Russland - mit unserer Hilfe [18]. Diese Worte klingen jedoch schon sehr gemäßigt vergleicht man sie mit seiner Rede an die Öffentlichkeit in Hamburg am 04. Februar 1920 : "... um Polen, diesen Todfeind Deutschlands, Geschöpf und Bundesgenossen Frankreichs, Räuber deutschen Bodens, Vernichter deutscher Kultur, vor dem Bolschewismus zu retten, darf sich keine deutsche Hand rühren und will der Teufel Polen holen, wir sollten ihm helfen[19].

    Der vorläufigen Höhepunkt der deutsch - russischen Beziehungen wurde durch den Vertrag zu Rapallo erreicht[20]. War der Vertrag lediglich eine Fortsetzung schon früher stattfindender Gespräche, so betrachtete man den Abschluss vor allem in der Heeresleitung als großes militärpolitisches Plus, fürchteten doch Frankreich und Polen einen geheimen militärischen Zusatzvertrag. Seeckt zu diesen Gerüchten an Hasse: „Es besteht keinerlei politisch- militärische Abmachung; aber die Möglichkeit solcher wird geglaubt... Liegt es in unserem Interesse, diesen schwachen Nimbus zu zerstören? ...Zu einem Vertrag zu kommen, der uns Hülfe sichert, muss doch unser Ziel sein. Ich werde alles versuchen, es zu erreichen; aber bis es erreicht ist, muss der Schein uns helfen“[21].

    Lässt man die wirtschaftlichen Gewinne außer Betracht die sich daraus ergaben, so hatte Deutschland mit diesem Vertragswerk der Entente die Stirn geboten und wesentlich an nationaler Sicherheit dazu gewonnen[22].

    Fazit: Vergleicht man nur die Stärke der stehenden Heere der Alliierten[23], so sah sich Deutschland einer Übermacht an Militär gegenübergestellt. Von einer wirksamen Verteidigung nach außen konnte auch mit der vorgesehenen Rüstung nicht die Rede sein. Vielmehr war es der politische Griff nach außen, der Deutschland ein neues Gleichgewicht brachte. Mit dem Vertrag von Rapallo gelangen zwei Dinge: einen potentiellen Bündnispartner zu finden und sich die Möglichkeit auf Rüstung offen zuhalten. Von russischer Seite wurde die Frage nach Bündnisfähigkeit immer mit Rüstungshilfe in Kombination gesehen[24].

    Trotzdem gibt es wohl keine eindeutigen Zeichen, warum und vor allem ab wann die Reichswehr sich entschloss mit der Roten Armee zusammenzuarbeiten. Vielmehr war es eine Reihe von Entscheidungen der Entente, die die deutsche Seite in Richtung Russland trieb.
    4. Die wirtschaftliche Zusammenarbeit zwischen 1922 und 1926/27

    Der Vertrag von Rapallo und die guten Beziehungen zu Russland sollen nicht über die Tatsache hinwegtäuschen, dass Deutschland nach wie vor nicht rüsten durfte und unter ständiger Überwachung stand. Alle von den Militärs unternommenen Versuche der Kontaktknüpfung mussten auf geheimem Wege stattfinden. Die Kenntnis der Regierung sollte nach Möglichkeit ganz ausgeschaltet werden[25].

    Die Notwendigkeit einer geheimen Rüstung veranlasste Seeckt schon früh (1921) zur Bildung einer Sondergruppe Russland26 im Reichswehrministerium, dem Truppenamt direkt unterstellt, der er alle zukünftigen Kontakte mit russischen Stellen übertrug. Aufgabe dieser Gruppe war es, ein Konzept zu erarbeiten, nach dem Deutschland Russland bei der Wiederherstellung seiner Kriegsindustrie helfen sollte. Wunsch der Reichswehr war es, Privatfirmen zu finden, die in Eigenregie, aber unter Aufsicht der Reichswehr unter dem Deckmantel Wirtschaft in Russland eine Kriegsindustrie aufbauen sollten, von der sowohl die deutsche als auch die russische Seite profitieren konnte. Noch im selben Quartal ( 30. März) wurden zwischen der Sondergruppe R und der deutschen Schwerindustrie

    [...]

    [1] Speidel, Helm, Reichswehr und Rote Armee in: VFZG 1953

    [2] Trockij war von 1918 bis 1925 sowjetischer Kriegsminister; Rocengol’c sowjetischer Partei- und Staatsfunktionär, Chef der Luftflotte 1923/24

    [3] Rothfels, Hans, unter Berufung auf Speidel in seinem Vorwort zu Helm Speidels“ Reichswehr und Rote Armee" in VfZG 1953, S.9

    [4] Zeidler, Manfred, Reichswehr und Rote Armee, Hrsg. Militärgeschichtliches Forschungsamt, Bd 36- München 1993, S.19. Im Folgendem nur Zeidler, Manfred. Dieser Umstand ist vor allem der Struktur des deutschen Archivwesens zuzuschreiben. Bestanden 1921 neben Potsdam noch 13 weitere Zweigstellen, so wurden diese im Laufe der Jahre auf 3 in Stuttgart, Dresden und Spandau reduziert. 1935 schließlich wurden auch Dresden und Spandau aufgelöst und die Akten in Potsdam eingelagert. Siehe dazu: Enders, Gerhard, Die ehemaligen Militärarchive und das Schicksal der deutschen Militärakten nach 1945, in: ZMG 8. Jhg. 1961 S. 599-608- Berlin 1961

    [5] Zeidler, Manfred, s.o., S. 19

    [6] Epstein, Julius, S. 42-50

    [7] Hallgarten, W.F., Hans von Seeckt and Russia 1920-1922, in: JMH , 21 1949, S. 28-34

    [8] Geßler, Otto, S. 183-201. Siehe auch Zeidler, Manfred,S. 24

    [9] Speidel, Helm, S. 9-45

    [10] Zeidler, Manfred, S. 17

    [11] Versailler Friedensvertrag zwischen Deutschland und der Entente, Artikel 159-213

    [12] Gordon, Harold, S. 174

    [13] Speidel, Helm, S. 17

    [14] FrankreichsGessler, Otto, S. 156-161

    [15] fördernFrunse, über soialistische Landesverteidigung,, S.71

    [16] Meier-Welcker, Hans, S. 294f

    [17] Wagner, Gerhard, S.27

    [18] Seeckt in : Julius Epstein „der Monat“ S. 46

    [19] Wagner, Gerhard, S.46

    [20] Ursprünglich sah die Konferenz von Genua eine Erörterung der Ostpolitik vor, durch Einzelverhandlungen der Entente mit Russland in Puncto Reparationszahlungen jedoch, sah Deutschland seine Interssen plötzlich bedroht und führte seinerseits Gespräche mit Russland, die am 16. April, 1922 zum Vertrag führten. Die wichtigsten Punkte waren, der Verzicht auf gegenseitige Reparationszahlungen, Aufnahme wirtschaftlicher Beziehungen mit dem Prinzip der Meistbegünstigung, sowie Aufnahme diplomatischer Beziehungen. Siehe: Die Deutsche Rapallo-Politik, S. 37f

    [21] Rabenau, Seeckt, S.313

    [22] Als Folge davon kann der Wimbledon Fall betrachtet werden, der in seiner Bedeutung eher als gering einzuordnen ist, jedoch die neu gewonnene politische Handlungsfreiheit ganz klar darlegteDie deutsche Regierung untersagte im März 1923 dem unter französchischer Flagge fahrenden und mit Waffen für Polen beladenen Schiff die Durchfahrt durch den Kieler Kanal. Begründung der deutschen Behödren war diese dass der polnisch-russische Krieg noch nicht beendet sei und Deutschland daher die Verpflichtung habe, kein Kriegsmaterial an eine der Parteien zu liefern. Nach Artikel 380 des Versailler Friedensvertrages musste Deutschland allen in mit Deutschland in Frieden lebenden Völkern die Zufahrt erlauben. Deutschland stellte sich jedoch auf den Standpunkt, dass die im Völkerrecht begründete Neutralitätsverpflichtung dem Versailler Vertrag überzuordnen sei. Besonders auch deswegen, weil einer der Parteien den Versailler Vertrag nicht unterzeichnet hatte und diesem Land somit unter Beachtung des Völkerrechts Unrecht getan werden würde. Da Deutschland und Frankreich nicht zu einer Einigung gelangten, wurde der Fall vor den Haager Volksgerichtshof gebracht, wo Deutschland einige Tage später den Rechtsstreit verlor. Zwar ging es primär um die gestoppten Waffenlieferungen, sekunfär aber auch um die wiedererstarkte Politik Deutschlands der Entente die Stirn zu bieten. Siehe Paul Schmidt, S.19ff

    [23] Gordon, Harold, S. 203

    [24] Zeidler, Manfred, Reichswehr und die Rote Armee 1920-1933 in: Deutschland und das bolschewistische Russland von Brest-Litowsk bis 1941, S. 30

    [25] Seeckt in : Julius Epstein „der Monat“, S. 47
    20 von 20 Seiten
    ...
    Schlagworte
    Zusammenarbeit, Reichswehr, Roten, Armee, Umgehung, Versailler, Friedensvertrages, Burchardt, Reichswehr, Weimarer, Republik

    #histoire #URSS #Allemagne #armement