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Voici la video sur twitter. En tout cas il n’ont aucun accent en arabe:
Twitter \ سعيد بشارات Saaed Bsharat على تويتر: “جيش العدو يلعن نفسه نشر جنود تابعون
لجيش العدو الإسرائيلي على منصة تيك توك رسالة دعم لسكان #جنين بعد عملية الأمس التي أصيب خلالها 7 جنود من الجيش الإسرائيلي و حرس الحدود، كما ظهر الجنود وهم يلعنون إسرائيل ويتمنون لها الجحيم. رد المتحدث باسم الجيش الإسرائيلي على المقطع:”سلوك… ▻https://t.co/9ty8BFFfMn"
▻https://twitter.com/saaed_bsharat/status/1671186860435972098

https://pbs.twimg.com/amplify_video_thumb/1671179725186777091/img/RprWhe-vKLPOqZYi.jpg:large

Des soldats israéliens emprisonnés pour avoir dit « Dieu est avec la Palestine »

Des soldats ont été condamnés à un mois de prison pour avoir apporté leur soutien à la Palestine et à Jénine sur le ton de la plaisanterie dans une vidéo après un raid israélien meurtrier

By MEE | Published date : Jeudi 22 juin 2023
▻https://www.middleeasteye.net/fr/actu-et-enquetes/israel-soldats-prison-video-soutien-palestine-jenine-impunite-armee

Quatre soldats israéliens ont été condamnés à une peine de prison pour avoir apporté leur soutien à la Palestine et à Jénine sur le ton de la plaisanterie, quelques jours après un raid israélien meurtrier dans la ville de Cisjordanie occupée.
Une vidéo largement diffusée sur les réseaux sociaux hébreux montre un groupe de soldats rire et dire en arabe : « Oui, Jénine. Dis-le. Dieu est avec Jénine. Dieu est avec Jénine. Dieu est avec la Palestine. F*** Israël. »
L’armée israélienne a réagi en déclarant que la vidéo contrevenait à ses « valeurs » et que les soldats feraient l’objet de mesures de « discipline ». Elle a annoncé que les soldats avaient été arrêtés et une enquête militaire ouverte.
Plus tard mercredi, Kann News a rapporté que quatre soldats avaient été condamnés à 30 jours de prison et un autre à 21 jours.
Les soldats israéliens font rarement l’objet de poursuites pénales pour des infractions plus graves, en particulier celles commises contre des Palestiniens.
La semaine dernière, des soldats ont été acquittés de toute accusation criminelle dans le cas de la mort l’année dernière d’un Palestino-Américain, un homme âgé arrêté à un poste de contrôle de l’armée, traîné hors d’une voiture, ligoté et les yeux bandés, puis laissé inconscient au sol pendant la nuit après avoir apparemment été victime d’une crise cardiaque en raison du traitement brutal auquel il avait été soumis. (…)