• Christiane Amanpour sur X :
    https://twitter.com/amanpour/status/1731745533474074663

    Josh Paul resigned from the State Dept over sending arms to Israel. “I have heard from actually so many hundreds of colleagues at this point who support what I did,” he says.

    “They are finding what is happening both a moral disaster and a policy disaster for the United States.”

    https://video.twimg.com/ext_tw_video/1731783577023496192/pu/vid/avc1/614x720/7Fb2szYJCAHJJTkV.mp4?tag=12

    • Démission de Josh Paul du département d’État : le transfert d’armes à Israël en cause

      « Il y a eu absence de débat sur Israël, ce qui va à l’encontre de nos politiques sur le transfert d’armes », déplore-t-il.

      Azeb Wolde-Giorghis 1er novembre 2023
      https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2022886/demission-josh-paul-departement-etat

      Deux semaines après sa démission très publique du département d’État, Josh Paul nous explique que la situation lui était intenable.

      Nous retrouvons Josh Paul assis sur les marches de la National Gallery, tout près du Capitole, à Washington. Il est presque 17 h.

      Après un bref échange de courtoisie, il revient sur ces deux dernières semaines et sur les raisons qui l’ont poussé à remettre sa démission, après 11 années au bureau militaire du département d’État américain.

      Durant toutes mes années au département d’État, ça n’a jamais été notre objectif de fournir des armes létales à un pays en sachant qu’elles allaient servir à tuer de façon massive des populations civiles.
      Une citation de Josh Paul, ex-directeur du bureau militaire du département d’État

      « Ce n’est pas la première fois qu’on est confronté à des questions morales complexes », dit-il. « Mais dans le cas du conflit entre Israël et le Hamas, on ne suivait plus du tout les lignes directrices habituelles applicables à n’importe quel transfert d’armes à un pays. Dans le cas de l’Ukraine, par exemple, lorsqu’il a été question d’envoyer des bombes à fragmentations, il y a eu un débat, l’administration Biden était réceptive aux différentes recommandations et conditions, et a toujours tenu compte des droits de la personne. Pour Israël, il fallait juste répondre aux demandes. » (...)

    • Charlies Ingalls Le Vrai 🤠🐑🐄🐔🐎🤓
      @CharliesIngalls
      12:35 AM · 5 déc. 2023
      https://twitter.com/CharliesIngalls/status/1731819462062383355

      🚨🇵🇸 Un enfant de 13 ans violé dans une prison israélienne. Le Département d’Etat américain demande aux israéliens d’enquêter. Résultat : l’organisation caritative qui a signalé le cas a été déclarée entité terroriste.

      Josh Paul était directeur des affaires publiques et du Congrès au sein du département d’État américain. Il a démissionné il y a quelques semaines car en désaccord avec la politique de livraison d’armes à Israël.

      Dans cette interview sur CNN avec Christiane Amanpour, il revient sur cet enfant palestinien de 13 ans violé dans une prison israélienne, un signalement fait au Département d’état par l’organisation caritative Defense of Children International Palestine

      Après enquête, les américains ont jugé les allégations crédibles. Ils ont donc signalé cette affaire aux israéliens.

      ➡️"Et vous savez ce qui s’est passé le lendemain ? L’IDF est entrée dans les bureaux de la DCIP et a retiré tous leurs ordinateurs et les a déclarés entité terroriste."

      Remarque sur les raisons de la démission de Josh Paul (on y reviendra) :

      ➡️"Durant toutes mes années au département d’État, ça n’a jamais été notre objectif de fournir des armes létales à un pays en sachant qu’elles allaient servir à tuer de façon massive des populations civiles."

      ➡️"Ce n’est pas la première fois qu’on est confronté à des questions morales complexes, dit-il. Mais dans le cas du conflit entre Israël et le Hamas, on ne suivait plus du tout les lignes directrices habituelles applicables à n’importe quel transfert d’armes à un pays. Dans le cas de l’Ukraine, par exemple, lorsqu’il a été question d’envoyer des bombes à fragmentations, il y a eu un débat, l’administration Biden était réceptive aux différentes recommandations et conditions, et a toujours tenu compte des droits de la personne. Pour Israël, il fallait juste répondre aux demandes."