/fr

  • Jacques Tati | INA
    https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/cpf86642783/jacques-tati

    Interview de Jacques TATI (dans un jardin, assis) à propos de « Mon Oncle » : ses personnages, HULOT, les ARPEL, famille « moderne » dont le fils s’ennuie. Il trouve qu’on a moins de contacts dans cet univers standardisé, que c’est grave de voir détruire de vieux immeubles à Paris. Il ne se prend pas très au sérieux, mais il pense qu’il y a autre chose que l’effet comique dans ce film.

    Jacques Tati « Play Time »
    https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i00004020/jacques-tati-play-time

    Sur des images du décor de « Play Time » que l’on démonte, Jacques TATI explique à Charles CHABOUD, qu’il aurait aimé que ce décor serve aux jeunes réalisateurs plutôt que d’être démonté. Son travail est d’apporter de la fantaisie, de l’humour et non pas de critiquer l’architecture moderne. Il réagit aux critiques qui lui sont souvent faites sur le côut de ses films et le temps qu’il met à les tourner : « la défense du cinéma c’est la défense des auteurs qui prennent des risques et qui peuvent se tromper. » Il dit faire passer le cinéma avant sa vie privée et critique ceux qui signent des films pour pouvoir changer de voiture. Il explique sa conception du comique et son désir de faire sortir de l’oubli les « petits personnages ». Nombreuses images de Jacques TATI pendant le tournage de « Play Time », mimant des personnages.

    #Jacques_Tati #Mon_oncle #Playtime #comique #satire #cinéma

  • https://aoc.media/analyse/2022/02/03/une-politique-du-meme

    Une politique du mème
    Par Albin Wagener
    Enseignant-chercheur en sciences du langage
    Ces derniers jours, l’image partagée sur Twitter d’un post-it mis en scène sur le bureau du président est ensuite devenue l’objet de nombreux « mèmes » sur les réseaux sociaux. On aurait bien tort de ne pas prendre au sérieux ces icônes issues de la culture underground, et de confiner les mèmes au simple domaine du numérique. Virales jusqu’à être mobilisées dans des manifestations, récupérées par des forces politiques d’extrême droite, ces productions graphiques polysémiques sont politiques par essence et bien loin d’être innocentes.

    Cela fait maintenant plusieurs années que les mèmes ont investi le champ numérique, devenant ainsi des objets incontournables de la culture web : des boards alternatifs (tels que 4chan ou Reddit) aux réseaux sociaux les plus majoritaires, ces petites vignettes qui combinent texte et image, souvent avec humour, sont devenues une manière d’exprimer un avis, de commenter l’actualité et même de marquer son engagement politique.
    C’est le propre de ces petits objets anodins que l’on confine souvent très injustement au simple domaine du numérique (ou du digital, sachant que les deux termes ne signifient pas exactement la même chose – contrairement à ce qu’un réflexe anglophobe commun tendrait à nous faire croire) : on estime qu’ils font partie d’une forme de mode, qu’ils ne sont là que pour signaler la circulation éphémère de traits d’humour potache, ou bien qu’ils sont d’abord l’apanage d’une culture des « jeunes » (sans que l’on sache très bien ce que cela signifie). Ce faisant, on a alors la tentation de ne pas prendre les mèmes au sérieux.

    Et bien on a tort, tout simplement. Prendre les mèmes à la légère, c’est ignorer le rôle qu’ils ont joué dans les motivations de l’auteur des attentats de Christchurch, en Nouvelle-Zélande, dont la consommation et la production de mèmes sur les forums d’extrême-droite ont été déterminantes pour son passage à l’acte. C’est également ignorer le fait que la figure de l’illustre « Pepe the Frog » a fini par être intégralement récupérée par l’alt-right conservatrice américaine, faisant de cette étrange grenouille verte l’emblème d’une communauté zélée de supporters trumpistes, particulièrement active dans ce qui deviendra par la suite l’assaut du Capitole.
    En outre, les mèmes ne sont pas un simple objet cantonné à l’espace numérique ; tout au contraire, ils sont postdigitaux par essence. Rappelons ici les travaux de Florian Cramer, qui précise la chose suivante : « en s’inspirant (…) du post-punk, du postcolonialisme et de Mad Max, le terme “post-digital”, dans son sens le plus facile à appréhender, décrit l’état de confusion des médias, des arts et du design après leur digitalisation[1] ». L’époque postdigitale dans laquelle nous vivons abolit, d’une certaine manière, les frontières entre ce qui se passe au sein des espaces numériques et ce qui se passe en-dehors, dynamitant ainsi les frontières artificielles entre « réel » et « virtuel », au profit d’une société qui se vit comme un nouvel ensemble de continuités complexes.
    Il en va de même pour les mèmes[2] : faciles à comprendre, à décoder et à ré-encoder pour de nouvelles utilisations, les mèmes deviennent des objets sociaux à part entière. Pour Limor Shifman, « dans cette ère hyper-mémétique, la circulation de copies et de dérivatifs par les utilisateurs constitue une logique prédominante (…). En ce sens, les copies deviennent plus importantes que ce qui est “original”[3] » ; en d’autres termes, c’est précisément parce que les mèmes font écho à cette nouvelle ère de reproductibilité et de légitimité de la copie, permise au départ par l’environnement participatif et collaboratif de ce que l’on appelle le web 2.0 (soit cette évolution d’internet permise par les réseaux sociaux et les encyclopédies collaboratives comme Wikipedia), que leur succès est considérable – une référence plus qu’évidente à la notion de folksonomie, développée entre autres par Olivier Le Deuff[4].
    Les mèmes participent à la réimplantation de la culture du web dans un espace qui le dépasse largement.
    Mais depuis quelques années, la dimension politique des mèmes a pris un nouveau tournant, puisque bon nombre de ces objets emblématiques ont fini par s’inviter sur les pancartes de manifestations diverses et variées, dans plusieurs pays du monde. À Hong-Kong, aux États-Unis, en Inde, en Allemagne, en Algérie ou en France, des manifestant.e.s de plusieurs pays se mettent à utiliser ces objets au sein d’événements bien réels, désormais également relayés et immortalisés au sein d’espaces numériques. Les mèmes participent ainsi à la réimplantation de la culture du web dans un espace qui le dépasse largement ; plus encore, ils deviennent l’emblème d’une véritable culture commune, puisqu’il est à noter que ces références fleurissent sur les pancartes de bon nombre de pays, lorsqu’il s’agit de porter des slogans et des idées dans des manifestations.
    Bref : depuis plusieurs années, la trajectoire des mèmes s’est très clairement éloignée de leur caractère confidentiel des débuts, cantonné à certains forums underground de connaisseurs, désireux de conserver jalousement le positionnement alternatif de ces drôles d’objets de communication. En réalité, les mèmes sont de redoutables vecteurs de transmission d’information – redoutables car très efficaces : en ce sens, ils reposent sur une dimension duale, au moins dans un prime abord. En effet, chaque mème de sorte à combiner à la fois un topème (soit un sujet sur lequel le mème porte un commentaire) et un référème (soit un contexte de culture populaire qui lui sert de support). Prenons un exemple : les créations mémétiques du compte « les Tintinades » ont précisément pour référème permanent l’univers de Tintin, mais font varier les topèmes au gré des envies ou de l’actualité.
    C’est précisément la force des mèmes : l’important n’est pas nécessairement les sujets qu’ils abordent, mais le fait qu’ils prennent appui sur des référèmes issus de la culture pop pour aborder ces sujets. Critiquer une mesure politique néolibérale en utilisant par exemple une image des Simpson peut s’avérer infiniment plus efficace ou viral que le commentaire d’un éditorialiste sur une chaîne d’information en continu ; bien évidemment, l’objet du mème ne sera pas de développer un argumentaire complexe, mais au contraire de le synthétiser dans une sorte de version .zip d’un discours particulier. Et c’est là l’autre particularité des mèmes – sa troisième dimension donc, si l’on peut dire, au-delà des dimensions de topème et de référème. En ce sens, le même est plus proche du signe peircien que du signe saussurien, pour reprendre cette distinction sémiotique.
    En d’autres termes, le mème n’est pas simplement un artefact communicationnel qui combine sujet de conversation et support culturel : il constitue une façon de transmettre des états mentaux et affectifs de manière relativement précise[5]. C’est plus particulièrement le cas des gifs, ces petites vidéos courtes, animées et répétitives, qui sont souvent utilisées dans des cas analogues aux mèmes (et qui en constituent pourtant une forme différente) : on y distingue souvent des personnages qui passent par des émotions différentes, avec des transitions fines, et l’expression d’états cognitifs ou mentaux qui permettent de s’identifier plus aisément au message transmis. Dans cette optique, les mèmes représentent souvent des morceaux (ou chunks) d’humanité : on peut y figurer la surprise, la déception, la colère, la tristesse ou encore l’incompréhension – là où un argumentaire purement langagier demanderait des précisions lexicales que le mème parvient souvent à transcender.
    Ce n’est pas simplement l’utilisation des mèmes dans le champ politique qui les transforme en objets politiques ; ils sont politiques par essence.
    Les mèmes permettent donc d’exprimer beaucoup de choses : il est non seulement possible de les utiliser pour produire un commentaire politique ou une critique sur l’état du monde ou de la société, mais également de transmettre l’exacte état affectif dans lequel on se trouve au moment où on produit cette critique ou ce commentaire. Cette nuance est de taille, et hisse le mème au rang des productions langagières qui produisent une communication d’une toute nouvelle forme, capable non seulement de transmettre un message, mais également de partager une émotion, tout en cimentant des communautés qui partagent les mêmes références culturelles. À ce titre, il est d’ailleurs important de revenir sur cette notion de référème.
    En effet, énormément de mèmes et de gifs mettent en lumière des scènes issues de films, de séries ou de dessins animés majoritairement issus de studios de production massivement nord-américains : qu’il s’agisse de Parks & Recreation, des franchises Marvel ou encore de BoJack Horseman, c’est l’ensemble du panthéon audio-visuel et du soft power culturel états-unien qui se retrouve très souvent mobilisé dans ces mèmes.
    Cette réalité n’a rien d’anecdotique, tout au contraire : à partir du moment où l’on sait que la manifestation des émotions et des états affectifs est culturelle, et que les manifestations proposées dans les mèmes sont jouées par des comédien.ne.s, on est en droit de se demander dans quelle mesure le mème ne participe pas, involontairement ou non (tout comme celles et ceux qui les créent et les transmettent) à la diffusion d’une hégémonie culturelle particulièrement pernicieuse, puisqu’elle s’appuie à la fois sur l’humour et la convivialité des références partagées pour s’inscrire dans le paysage médiatique et démocratique.
    En tant que nouveaux objets langagiers, les mèmes ont de multiples atouts qui les rendent particulièrement adaptés aux évolutions de nos sociétés, et qui permettent l’expression de messages complexes, sous des atours apparemment anodins. Mais comme tout objet langagier, les mèmes ne sont pas innocents : situés dans des pratiques à la fois permises par des affordances techniques et enracinées dans une culture numérique collaborative, ils constituent également des artefacts culturels qui installent et modifient nos références en matière de culture populaire, tout en alimentant les représentations sociales en matière d’expression des états affectifs et mentaux.
    En ce sens, ce n’est pas simplement l’utilisation des mèmes dans le champ politique qui les transforme en objets politiques ; ils sont politiques par essence, dans leur tridimensionnalité, leur contexte d’utilisation et les conditions de leur viralité. Reflets de l’époque qui les a enfantés, les mèmes sont également les précurseurs d’une époque à venir, qui permet de fusionner des éléments complexes au sein de frontières floues, où se jouent luttent d’influence, batailles sociales et guerres politiques.
     
    NDLR : Albin Wagener publiera en avril 2022 aux Éditions de l’université Grenoble-Alpes Mémologie. Théorie postdigitale des mèmes.
    Albin Wagener
    [1] Florian Cramer, « What is “post-digital” ? » dans David M. Berry et Michael Dieter, Postdigital aesthetics : art, computation and design, Palgrave MacMillan, 2015, p. 12-26

    [2] Consulter à ce titre l’encyclopédie mémétique en ligne KnowYourMeme : https://knowyourmeme.com.

    [3] Limor Shifman, « Memes in a digital world : Reconciling with a conceptual troublemaker », Journal of Computer-Mediated Communication, 18, 2013, pp. 362–377

    [4] Olivier Le Deuff, « Folksonomies : les usagers indexent le web », Bulletin des bibliothèques de France, 51 (4), 2006, pp. 66-70 https://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2006-04-0066-002

    [5] Voir Albin Wagener, « Mèmes, gifs et communication cognitivo-affective sur Internet. L’émergence d’un nouveau langage humain », Communication, 37(1), 2020 https://journals.openedition.org/communication/11061

    #mème #langage #production_langagière_politique #détournement #web2.0 #virtualité #viralité #postdigital

  • 1984 - 300 000 auditeurs de NRJ manifestent
    https://www.fetedelaradio.com/1984-300-000-auditeurs-de-nrj-manifestent

    Au moins 300 000 auditeurs de NRJ manifestent sur la place de la Bastille à Paris.

    la manif NRJ le 8 décembre 1984
    https://www.dailymotion.com/video/x8qrb6

    Ce jour de 1984 où la jeunesse est descendue dans la rue pour défendre NRJ (#paywall)
    https://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2011/04/26/ce-jour-de-1984-ou-la-jeunesse-est-descendue-dans-la-rue-pour-defendre-nrj_1

    NRJ — Wikipédia
    https://fr.wikipedia.org/wiki/NRJ

    NRJ, au statut associatif, comme toutes les radios libres avant 1984, est dirigée jusqu’à l’arrivée de la pub sur les ondes de la FM (1984) par Jean-Pierre d’Amico. Les animateurs sont bénévoles. Dès le début, NRJ entend se démarquer de ses concurrentes. Pour cela, elle concentre ses efforts sur deux points essentiels : la qualité du son et la programmation musicale. Alors que beaucoup de ses concurrentes ne sont audibles que dans certains quartiers de la capitale française, NRJ réussit à arroser une large zone. De plus, les disques diffusés à l’antenne doivent impérativement être approuvés par Jean-Pierre d’Amico - cela permet d’avoir une homogénéité de programme6.

    Grâce à cette stratégie, NRJ devient l’une des radios libres parisiennes les plus populaires, aux côtés de Radio show et RFM. Si la publicité est officiellement interdite, la radio ne manque pas de détourner la loi, en diffusant notamment de la publicité clandestine.
    L’institutionnalisation (1984)[réf. souhaitée]

    Ce n’est qu’après l’officialisation de la publicité sur la bande FM (1984) que NRJ se structure en prenant des bureaux au 39 de l’avenue d’Iéna. À ce moment-là, Jean-Paul Baudrecroux apparaît réellement publiquement et reprend les commandes du navire, il décide de se séparer de Jean-Pierre d’Amico. Les animateurs bénévoles, qui comprennent que la radio commence à faire du chiffre d’affaires, ne tardent pas à réclamer un salaire (une journée de grève a même lieu, avec messages à l’antenne). Cela devient encore plus légitime à partir de l’été 1984 où François Mitterrand autorise la publicité sur les radios FM : NRJ quitte alors son statut associatif pour devenir une véritable entreprise commerciale. Les animateurs commencent à recevoir un salaire et plusieurs d’entre eux sont renouvelés. Un avocat, Max Guazzini, devient directeur général de la station6.

    En décembre 1984 NRJ, ainsi que cinq autres radios parisiennes (95.2 dirigée par Benoit Clair et Robert Namias, Radio Libertaire, la Voix du Lézard, Radio Solidarité et TSF 93), sont suspendues le 4 décembre par la Haute Autorité de la communication audiovisuelle, car elles ne respectent pas leurs conditions d’émission. NRJ, la plus touchée par cette mesure et la plus écoutée (1,2 million d’auditeurs), écope d’un mois d’arrêt ; 95.2 a quinze jours de suspension, et les quatre autres ont en moyenne douze jours de suspension. Il y a deux motifs : un non-respect des fréquences et surtout une puissance d’émission excessive qui perturberait notamment les liaisons radios des pompiers et des avions, selon la Haute Autorité de la communication audiovisuelle, qui dit frapper d’abord les radios les plus écoutées, car elles seraient celles qui enfreignent le plus les règles, et pour éviter qu’on l’accuse de s’attaquer d’abord aux petites radios. NRJ est notamment accusée d’émettre avec une puissance démesurée (au-delà des 500 W autorisés) ce qui brouille France Culture et France Musique. Jean-Paul Baudecroux s’étonne depuis trois ans et demi que les radios libres émettent, ces mesures de suspension, jugées aujourd’hui indispensables, n’aient pas été mises en œuvre plus tôt. Malgré la suspension des radios, les émissions continuent. NRJ organise alors une grande manifestation : à l’aide d’une agence de publicité et de plusieurs stars dont Dalida, elle appelle ses auditeurs à descendre dans la rue. La manifestation est un énorme succès, rend encore plus populaire NRJ et contraint le pouvoir à suspendre ses sanctions.

    #France #histoire #radio #capitalisme #contre-insurrection

  • Reseau GLADIO

    « Commission d’enquête parlementaire sur le terrorisme en Italie et les causes de la non-identification des responsables des massacres

    Commissione parlamentare d’inchiesta sul terrorismo in Italia e sulle cause della mancata individuazione dei responsabili delle stragi

    XIII legislatura »

    Commissione d’inchiesta su terrorismo e stragi
    https://www.parlamento.it/parlam/bicam/terror/home.htm

    Le réseau Gladio : Armées secrètes d’Europe | Inform’Action
    http://www.informaction.info/video-histoire-le-reseau-gladio-armees-secretes-deurope

    L’organisation secrète « Stay behind », rebaptisée plus tard Gladio, le « glaive », a vu le jour en 1948 à l’initiative des États-Unis. Ses agents devaient être prêts à effectuer des missions d’espionnage et à commettre des actes de sabotage en cas d’offensive soviétique. Celle-ci n’ayant finalement pas lieu, ce sont les intérêts politiques des gouvernements de droite voire de groupes d’extrême droite que Gladio s’attache à défendre. Des contacts existent avec les différents services secrets nationaux, à l’abri de tout contrôle parlementaire. C’est le Shape (commandement militaire de l’Otan en Europe) qui assure la coordination.

    Ce documentaire se concentre sur les opérations du réseau Gladio dans l’Italie et l’Allemagne des années 1960 à 1980. Les attentats de la piazza Fontana à Milan en 1969, celui de la gare de Bologne en août 1980, puis celui de la Fête de la Bière à Munich, quelques semaines plus tard, furent attribués à des anarchistes ou à l’extrême gauche. On saura plus tard qu’ils étaient l’œuvre de l’extrême droite.

    The ghost of Machiavelli - Research Collection
    https://www.research-collection.ethz.ch/handle/20.500.11850/36044

    The ghost of Machiavelli
    An approach to operation Gladio and terrorism in cold war Italy

    PDF : https://www.research-collection.ethz.ch/bitstream/handle/20.500.11850/36044/10611_2006_Article_9015.pdf?sequence=2&isAllowed=y

  • La grande #malbouffe

    Que mangeons-nous réellement en avalant un cordon bleu industriel ? Ce documentaire met la main à la pâte pour déconstruire les pratiques souvent douteuses de l’industrie agroalimentaire.

    Toujours plus abondante et moins chère, la nourriture industrielle a envahi nos assiettes, avec des incidences sur la santé de plus en plus fortes : jamais l’obésité et le diabète n’ont été aussi répandus. Et jamais les étiquettes n’ont été aussi compliquées à déchiffrer. Pour percer les secrets du secteur agroalimentaire, Maud Gangler et Martin Blanchard sont eux-mêmes devenus… des industriels. Avec l’aide d’un laboratoire alimentaire spécialisé en recherche et développement, ils se lancent dans la production d’un plat populaire : le cordon bleu. Un projet offensif qui leur permet de comprendre de l’intérieur les rouages de l’ultratransformé, où la fabrication d’un produit en apparence simple tient de l’assemblage complexe. Pourquoi, alors que l’escalope panée cuisinée à la maison ne nécessite que cinq ingrédients, en faut-il ici une trentaine ? La viande du cordon bleu mérite-t-elle encore son nom ? Peut-on appeler fromage cette pâte fondante obtenue à grand renfort d’additifs ? L’emballage lui-même est-il nocif pour la santé ?

    Riche et digeste
    En partant d’un produit emblématique comme le mal nommé cordon bleu, puis en élargissant l’enquête, ce documentaire détricote les fils cachés d’un système ultraconcurrentiel. Se jouant des frontières, l’industrie agroalimentaire se révèle diaboliquement novatrice, usant de technologies toujours en avance sur les réglementations et d’astuces marketing rodées, ou s’aidant de puissants lobbies pour servir ses intérêts. Les autorités nationales et européennes s’avouent techniquement débordées et peinent à contrôler les substances toxiques qu’elles ont commencé par autoriser. Pourtant, l’espoir d’un changement qualitatif est impulsé par la société civile : sous la pression des consommateurs et d’applications de notation alimentaire comme Yuka, certains industriels cherchent à mieux faire pour bénéficier d’un « clean label » auquel s’attache le grand public. Réduction du nombre d’ingrédients, abandon d’additifs, choix de protéines végétales : une démarche vertueuse qui tourne parfois au casse-tête, quand elle n’aboutit pas à un effet inverse, avec des plats végans à la qualité sanitaire douteuse. Au menu de cette enquête riche mais remarquablement digeste, experts, nutritionnistes, docteurs en sciences des aliments ou consultants en « transformation positive » éclairent une question devenue cruciale : que mange-t-on aujourd’hui ?

    https://www.arte.tv/fr/videos/091150-000-A/la-grande-malbouffe

    #film #documentaire #film_documentaire

    #alimentation #prix #industrie_agro-alimentaire #industrie_alimentaire #marketing #aliments_ultra-transformés #budget_alimentaire #viande_séparée_mécaniquement (#VSM) #polyphosphates #additifs_alimentaires #effet_cocktail #dioxine_de_titane #nano-particules #E_171 #E171 #cefic #TDMA #EFSA #principe_de_précaution #précaution #MOAH #MOSH #huiles_minérales #substances_réactives #Yuka (application smartphone) #publicité #malnutrition #obésité #surpoids #santé #clean_label #végétarianisme #végétarisme #ingrédientistes #transglutaminose #junk_food #auxiliaires_technologiques #chimie #anti-mousse #packaging

  • Astérix et Obélix : humour assurance tous risques
    https://www.franceculture.fr/theme/bande-dessinee/asterix-et-obelix-humour-assurance-tous-risques

    « Pause toujours, nous on continue ! », « Ce sont des Thraces qu’on aimerait suivre », « Tous les étés, les Ibères deviennent plus rudes », « Il ne faut jamais parler sèchement à un Numide »... Les ressorts humoristiques des albums d’Astérix, qu’il s’agisse de jeux de mots comme ici, de pastiches de tableaux (Le Radeau de la méduse) ou encore de chansons ("Je veux revoir ma Normandie"), de comique de répétition, de détournements… en sont la substantifique moelle, et peut-être ce qui leur a valu un succès aussi flamboyant et pérenne. Pourtant, ces héros à braies et gros nez ont vu le jour à une époque où la #bande_dessinée humoristique ne faisait pas franchement dans la dentelle. Comment #Uderzo, et surtout #Goscinny, ont-ils pu se démarquer par leur humour, et surtout, d’où le célèbre scénariste tirait-il son goût de la calembredaine spirituelle ?


    https://www.franceculture.fr/emissions/fictions-theatre-et-cie/la-zizanie-dapres-lalbum-de-rene-goscinny-et-albert-uderzo
    Pour la première fois sur #France_Culture, l’adaptation en fiction d’un des plus fameux albums du petit Gaulois. Sons, bruitages, musique originale, et verve des comédiens pour faire résonner au mieux cette « guerre psychologique » envoyée par César afin de déstabiliser le village irréductible.
    https://www.asterix.com/la-collection/les-albums/la-zizanie

  • Le Liban, otage du Moyen-Orient | ARTE
    https://www.arte.tv/fr/videos/083304-000-A/le-liban-otage-du-moyen-orient

    Le Hezbollah menace le fragile équilibre libanais entre ses communautés religieuses et ethniques. Retour sur l’installation au pouvoir [ah bon ?] du mouvement chiite et sur son poids politique au pays du cèdre.

    Au Liban, le Hezbollah est devenu depuis quelques décennies un acteur politique incontournable. Dans ce pays où l’équilibre et la paix entre les différentes communautés religieuses relèvent d’une alchimie complexe et incertaine depuis la fin de la guerre civile en 1990, le "Parti de Dieu" chiite, en grande partie financé par Téhéran, menace la stabilité nationale et régionale. Doté d’une milice plus puissante encore que l’armée libanaise, il pèse de plus en plus lourd dans les urnes. Grâce au jeu des alliances, le Hezbollah est devenu la première force politique du pays et dispose désormais de deux ministres au sein du gouvernement. Le Premier ministre Saad Hariri, sunnite, doit donc composer avec les velléités du chiite Hassan Nasrallah, secrétaire général du Hezbollah, qui se révèle être un partenaire gênant. Quand il ne menace pas dans ses discours le voisin israélien, lequel reproche au Hezbollah d’agir pour le compte de l’Iran, il s’en prend aux puissants États-Unis, dont le président Donald Trump n’a de cesse d’intimider le gouvernement de Téhéran. Les tensions internationales croissantes font pointer le risque d’une escalade militaire entre Israël et le Hezbollah, dont l’arsenal de défense continue de se renforcer.

    « État dans l’État »
    Cette enquête documentée analyse la situation géopolitique explosive du Moyen-Orient, et notamment l’habile montée en puissance du Hezbollah, un « État dans l’État » capable de paralyser les institutions étatiques. Face à l’ascension hégémonique du mouvement chiite, l’opposition s’organise. Menée par des forces issues de la société civile, elle aspire à imposer par des voies démocratiques une alternative aux conflits interreligieux qui gangrènent la région.

    En gras, les méchants (3 fois « menaces » tout de même !), en italiques, les gentils. Je sens que ce docu va être super !

    #liban #hezbollah

    • On apprend des choses mais on sent bien que c’est un documentaire allemand. Il est intéressant parce qu’il est construit en reproduisant exactement le récit de l’idéologie sioniste à laquelle est exposé le public allemand au quotidien. Si on veut se faire une idée de ce que pensent l’Allemand bien informé et toute la classe politique de la situation au Liban et du rôle d’Israël ce film fait bien l’affaire.

      Juste un exemple : Le film raconte l’histoire des conflits armés au Liban à partir des année 1970 sans mentionner le massacre de Sabra et Chatila et la contribution aux événements par les forces israéliennes. Le rôle de l’état hébreux est présenté dans le film comme celui d’un pays qui ne cherche qu’à protéger sa population contre les agressions de l’Hezbollah.

      Le danger que constitue l’Hezbollah pour la paix et le développement de toute la région est le message central du film. Depuis l’abandon des actes de guerre par le Fatah et l’OLP on avait besoin d’un nouveau croque-mitaine et c’est l’Hezbollah qui remplit toutes le conditions essentielles pour prendre la place du méchant aux yeux des Allemands.

  • * Marseille : Un sac-poubelle lancé du 3e étage lors de la visite de Brigitte Macron dans les quartiers Nord J.S.-M. - 20 minutes - 14 Juin 2019
    https://www.20minutes.fr/politique/2540059-20190614-marseille-sac-poubelle-lance-vers-brigitte-macron-lors-vi

    C’est un peu un classique de l’accueil marseillais. Le cortège qui accompagnait Jean-Luc Mélenchon à Frais-Vallon, en 2017, avait reçu un oignon… Celui qui accompagnait Brigitte Macron à Félix-Pyat, ce jeudi, a bien failli recevoir un sac-poubelle, lancé du troisième étage d’un des immeubles en mauvais état de cette cité défavorisée.

    La Provence, qui a assisté à la visite de la première dame, relate cette anecdote, précisant que l’incident n’a pas eu de conséquences : « Lorsqu’un sac-poubelle part d’une fenêtre du troisième étage, c’est une habitante d’en face qui, depuis son balcon, s’énerve d’un "vous n’avez pas honte ! ?" Incident clos », écrit le quotidien marseillais, qui a précisé ce vendredi dans un nouvel article que « Brigitte Macron n’a jamais reçu de sac-poubelle, ni été invectivée par les habitants de la cité ». « Ce sont les habitants eux-mêmes qui, lui réservant un accueil très souriant (…) ont remis de l’ordre », ajoute La Provence.

    La visite s’est globalement bien passée, indique à 20 Minutes une source policière. Elle précise que le dispositif sécuritaire était très important autour de Brigitte Macron : outre les policiers de la protection de la présidence de la République, plusieurs agents de la Direction départementale de la sécurité publique étaient présents.

    #France #macron #brigitte_macron et le #retour du #mépris #enMarche affiché trés haut, #poubelle #déchets #recyclage #tout_va_bien

    • Extrait de l’article de La Provence.
      https://www.laprovence.com/article/politique/5547078/brigitte-macron-dans-le-bain-politique-marseillais.html

      Les habitants commencent à s’invectiver dans l’escalier décrépi de la cité Félix-Pyat. Pas de lumière, ni d’ascenseur, mais des tensions qui émergent vite. Sur un petit palier, Brigitte Macron observe, un peu éberluée, avant que cela se calme. Elle était venue ici il y a deux ans. Début avril 2017, juste avant que son mari ne tienne un meeting de campagne présidentielle à Marseille. « Elle avait passé un moment intense et avait promis de revenir. Elle tient sa promesse », glisse Jean-Philippe Agresti. Il l’accompagnera ensuite dans une salle de boxe de la cité du Castellas. Le doyen de la faculté de Droit d’Aix était de la petite virée il y a deux ans. Avec son épouse, Sabrina Roubache.



      Dans une cage d’escalier de la cité Félix-Pyat avec Jean-Philippe Agresti, hier, Brigitte Macron a retrouvé des habitants dépités, croisés il y a deux ans. Photos david rossi

      Née dans cette cité des quartiers Nord, elle s’est liée d’amitié avec Brigitte Macron, au point d’avoir participé à l’élaboration du discours du futur président de la République. Le retour discret de Brigitte Macron, avant une visite officielle prévue aujourd’hui à Marseille, sonne comme un adoubement politique. Alors que La République en Marche cherche son candidat idéal pour les municipales, Jean-Philippe Agresti est dans la short-list. Avec un autre universitaire, Yvon Berland et un député qui s’est déclaré, Saïd Ahamada. Lui aussi est originaire de Félix-Pyat. Mais il n’était pas invité hier. Pas plus que les autres politiques marseillais…

      « Vous n’avez pas honte ! ? »
      La coupe blonde est parfaite, la veste ajustée sur un pantalon noir. Dans la petite artère en travaux qui séparent les immeubles décatis de la cité Félix-Pyat, en lisière des quartiers nord de Marseille, Brigitte Macron se prête au jeu des selfies. L’impressionnant dispositif policier est en civil, discret. Lorsqu’un sac-poubelle part d’une fenêtre du troisième étage, c’est une habitante d’en face qui, depuis son balcon, s’énerve d’un « vous n’avez pas honte ! ? » Incident clos. Curieux, les riverains s’approchent. Viennent parler de leur fils handicapé, des logements insalubres ou de l’école à laquelle il manque un préau, une salle de classe. Ce sont les parents d’élèves qui ont construit une cloison avec des briques de lait. La première dame écoute, se souvient de certains visages. « Vous n’avez pas changé », dit-elle à certains qui viennent l’embrasser. Pas d’engagement formel, pourtant. Brigitte Macron n’est pas au gouvernement et quand on lui parle de la loi Blanquer, elle promet simplement que le ministre concerné viendra.
      . . . . . .
      À ses côtés, la nouvelle présidente de l’organisation des Pièces jaunes ne dit rien. Elle multiplie les apartés avec les habitants de Félix-Pyat, puis de la cité du Castellas, où elle retrouve les boxeurs croisés il y a deux ans. Dans la délégation se trouve aussi Jacques-Henri Eyraud, le président de l’OM. "Je soutiens sans difficulté", sourit-il entre deux boutades sur le mercato et quelques frappes sur un sac de boxe. « Et si c’était lui, le candidat mystère ? », s’amusent certains. Brigitte Macron laissera son mari trancher.
      . . . . . .

  • Terroristin Rasmea Odeh : Sprengsatz des Antisemitismus in Berlin - Reportageseite - Tagesspiegel
    https://www.tagesspiegel.de/themen/reportage/terroristin-rasmea-odeh-sprengsatz-des-antisemitismus-in-berlin/24105198.html

    Voilà, on savait déjà que le combat contre l’impérialisme étatsunien et son porte-avion en Palestine sont la continuation du génocide nazi à Auschwitz. Cette vue des choses constitue la raison d’être de l’état allemand qui a pourtant négligé l’introduction de lois de censure assez efficaces pour faire taire toute opinion divergeante.

    Résultat : Une femme haïe par tous (à croire la totalité de la presse berlinoise d’aujourd’hui) nous expliquera des choses sur le combat des femmes palestiniennes. C’est une occasion de rencontrer et d’écouter une combattante du front populaire de libération de la Palestine afin de se faire une impression différente de la pensée unique dispersée par les médias bourgeois.

    Ce soir, 18:00 heures, Waterloo-Ufer 5 -7, 10961 Berlin–Kreuzberg

    Ihr Attentat riss vor 50 Jahren zwei Menschen in den Tod. Rasmea Odeh kämpft immer noch gegen Israel, jetzt spricht die Terroristin in Berlin. Die Politik ist entsetzt – aber hilflos.

    Ah bon. Voici la position de ses amis aux USA.

    Justice For Rasmea !
    http://justice4rasmea.org/about

    Rasmea Odeh is a leading member of Chicago’s Palestinian, Arab, and Muslim communities, and her decade of service in Chicago has changed the lives of thousands of people, particularly disenfranchised Arab women and their families. She has been with the Arab American Action Network (AAAN) since 2004, and is responsible for the management of day-to-day operations and the coordination of its Arab Women’s Committee, which has a membership of nearly 600 and leads the organization’s work in the areas of defending civil liberties and immigrants’ rights. She is a mentor to hundreds of immigrant women, as well as many members of the AAAN’s staff and board, and is a well-known and respected organizer throughout Chicagoland, the U.S. and the world.

    In 2013, Rasmea received the Outstanding Community Leader Award from the Chicago Cultural Alliance, which described her as a woman who has “dedicated over 40 years of her life to the empowerment of Arab women, first in her homes of Palestine, Jordan and Lebanon, where she was an activist and practicing attorney, and then the past 10 years in Chicago.”

    Rasmea is a community icon who overcame vicious torture by Israeli authorities while imprisoned in Palestine in the 1970s, and an example for the millions of Palestinians who have not given up organizing for their rights of liberation, equality, and return.

    Voici quelques sources supplémentaires.

    Alle hassen Rasmea Odeh:

    Bild-Zeitunhg
    http://lili.de/u/ix98n

    B.Z. Berlin
    http://lili.de/u/kj1m4

    Tagesspiegel
    http://lili.de/u/7ld1j

    Der Wikipedia Artikel zu Rasmea Odeh sagt viel über ihren Prozeß in den
    USA aber nicht über ihre politische Arbeit. Man muß also hingehen, um
    darüber etwas zu erfahren.
    https://en.wikipedia.org/wiki/Rasmea_Odeh

    Relevante Infos gibt es auf den Seiten der elektronischen Intifada
    https://electronicintifada.net/tags/rasmea-yousef-odeh

    Diese Soliseite stammt aus der Zeit Ihres Kampfe sgegen die Ausweisung
    aus den USA
    http://justice4rasmea.org

    https://en.wikipedia.org/wiki/Popular_Front_for_the_Liberation_of_Palestine
    https://en.wikipedia.org/wiki/George_Habash
    https://en.wikipedia.org/wiki/Leila_Khaled

    Infos über die Geschichte des Veranstaltungsorts, die ehemalige
    Passierscheinstelle für Westberliner, die Tagesvisa für Ostberlin
    benötigten.

    Berliner Zeitung
    http://lili.de/u/ra1ip

    TAZ
    http://www.taz.de/!5110318

    Adresse auf berlin.de
    http://lili.de/u/gado7

    Dersim Kulturgemeinde Berlin
    Waterloo-Ufer 5 -7
    10961 Berlin–Kreuzberg
    Telefon 030-61283113

    Homepage des Vereins
    https://dersim-cemaati-berlin.de.tl

    #Allemagne #Berlin #Palestine #Terrorisme #FPLP

  • NRJ — Wikipédia - disruption !
    https://fr.wikipedia.org/wiki/NRJ

    Est-ce que vous vous êtes déjà demandés ce que c’est que cette disruption dont parle tout le monde ? Dans ce cas vous ne passerez pas à côté de l’article dans Wikipedia sur la montée du plus grand groupe radiophonique de France . Des fois que vous seriez trop pressé pour le lire voici une définition plus courte : La disruption c’est la manière des gangsters de faire fortune avec la collusion des milieux politiques en privant le peuple de ses acquis.

    Si la disruption est bien organisée, le peuple croira que le « disrupteur » défend ses intérêts. Avec un peu de chance le peuple ne se rendra jamais compte de ce qu’il lui aura cédé et acceptera tranquillement sa nouvelle situation catastrophique en attribuant la faute à des tiers.

    Menacée de fermeture en 1984 par décision du gouvernement en place, elle est finalement sauvée après une manifestation de ses auditeurs et de la chanteuse Dalida qui deviendra la marraine de la radio.

    Ce jour de 1984 où la jeunesse est descendue dans la rue pour défendre NRJ
    https://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2011/04/26/ce-jour-de-1984-ou-la-jeunesse-est-descendue-dans-la-rue-pour-defendre-nrj_1

    P.S. Wikipedia aussi est un exemple pour un disruption . Dans ce cas on n’a pas privé le peuple d’un acquis typique comme un service public ou de semences librement produites et vendus. Le grand perdant sont à première vue les maisons d’édition d’encyclopédies, un monde assez bourgeois et élitiste. C’est seulement avec l’arrivée des alternatives facts de la droite étatsunienne qu’un nombre notable de personnes se rend compte des manipulations plus ou moins subtiles de la vérite’dans l’encyclopédie en ligne dite « libre ».

    #disruption #France #radio #privatisation

  • La DGCCRF alerte sur le niveau de qualité et de sécurité des CDD
    Vous enchaînez les préservatifs de moins d’un mois. Racontez-nous

    Assurance-chômage : patronat et syndicats n’arrivent pas à aller en terrain inconnu
    Emmanuelle Wargon : « Ouvrir le débat, c’est accepter de s’accorder sur les contrats courts »

    « Gilets jaunes » : la cagnotte pour les partis d’extrême droite dépasse le million d’euros
    Tentatives de rapprochement, intox… comment les policiers blessés manœuvrent en vue des européennes

    Pourquoi les promotions de Donald Trump peuvent-elles rendre violent ?
    La Pax Americana n’est pas l’unique fossoyeur des périodes de soldes
    #de_la_dyslexie_créative


    images : Tumblr et wikipedia

  • Pour Swisscom, on est responsable de son contrat de téléphone dès onze ans Isabelle Fiaux/ebz - 6 Novembre 2018 - RTS
    https://www.rts.ch/info/suisse/9974731-pour-swisscom-on-est-responsable-de-son-contrat-de-telephone-des-onze-an

    Swisscom estime que dès onze ans, les #mineurs peuvent être les détenteurs d’un #contrat et en être tenus pour responsables, y compris pour les factures non payées. Une auditrice de l’émission On en parle en a fait les frais.

    A l’âge de 22 ans, au moment où elle s’apprêtait à signer un contrat de #bail, une jeune femme s’est aperçue qu’elle faisait l’objet d’un acte de poursuite pour plus de 1000 francs d’abonnement de téléphone #impayés. En cause, un abonnement conclu à son nom par sa mère, alors qu’elle était âgée de 13 ans.

    Contacté par l’émission On en parle, l’opérateur #Swisscom a expliqué par la voix de sa porte-parole Alicia Richon qu’un « mineur peut avoir un abonnement à son nom, si les parents le décident, mais avec signature du représentant légal. Le parent doit être présent lors de la signature du contrat ». Et elle poursuit en ajoutant que « Swisscom délivre des contrats mobiles dès l’âge de 11 ans, avec signature du représentant légal. »


    L’enfant seul responsable
    Il ne s’agit toutefois pas de #responsabilité ou de co-responsabilité du parent. En effet, Swisscom précise que « les parents ne sont pas responsables du raccordement. Le titulaire est le mineur et c’est lui le responsable, c’est-à-dire également vis-à-vis des factures impayées. Il n’y a pas de responsabilité solidaire des parents. »

    En clair, à onze ans, un enfant est considéré comme responsable de son contrat passé avec Swisscom. L’opérateur réagit donc de la même manière avec un #mineur qu’avec un client #majeur. « Rappel, blocage, résiliation et poursuites, comme pour une personne majeure », explique Alicia Richon.

    Elle ajoute que « d’après les infos reçues de EOS (une société de recouvrement avec laquelle l’opérateur travaille), depuis quelques années, EOS essaie de poursuivre les parents s’ils n’obtiennent pas de solution avec la personne mineure ».

    Ce qui semble d’un côté normal et de l’autre contradictoire, puisque le parent n’est pas responsable du contrat de l’enfant.

    #contrat #racket #téléphonie #suisse #consternant !

  • La fin est proche : Tous zadistes ou tous morts ? Trois scénarios de l’effondrement du monde
    https://www.20minutes.fr/arts-stars/culture/2313871-20180808-fin-proche-tous-zadistes-tous-morts-trois-scenarios-effon

    https://www.20minutes.fr/arts-stars/culture/2314475-20180806-fin-proche-collapsologie-science-predit-effondrement-mond

    Si « la fin est proche » comme le dit 20 minutes, à quoi bon chercher du travail ?

    La fin est proche, épisode 2 : « Comment faire pour que toute l’humanité n’y passe pas, ça me préoccupe beaucoup »

    La fin est proche, épisode 3 : Tous zadistes ou tous morts ? Trois scénarios de l’effondrement du monde

    La fin est proche, épisode 4 : Comment survivre à l’heure de l’effondrement du monde ? Mode d’emploi

    source : http://tomub.tumblr.com/post/176800884387/ah-l%C3%A0-si-l%C3%A9ffondrement-pointe-son-pif-dans-la

    une annonce sponsorisé par la pub... c’est bientôt la fin !
    #collapsologie #20_minutes #ouest_torch'

  • Deutschland : EU-weit höchstes Armutsrisiko bei Arbeitslosigkeit - SPIEGEL ONLINE
    http://www.spiegel.de/wirtschaft/soziales/deutschland-eu-weit-hoechstes-armutsrisiko-bei-arbeitslosigkeit-a-1195535.ht

    Chômage = pauvreté - cette équation est valable pour 70,8 pour cent des chômeurs allemands contre 38,4 pour cent des Français sans emploi. Intéressant - pourquoi on ne répète pas tous les jours que c’est la conséquence de l’ Agenda 2010 fabriquée par le couple SPD-Verts sous le chancelier Schröder ?


    Le patronat allemand jouit du support sans condition de partis au pouvoir.

    Le succès économique et l’hégémonie de l’Allemagne au sein de l’Europe ont été bâti sur les épaules des ouvriers et petits employés. Leurs salaires en baisse permanente signifient une compétivité inégalée pour leurs patrons. La modification du régime des allocation sociales et de chômage servent de menace constante qui pousse les employés et petits entrepreneurs à accepter des revenus de moins en moins élevés. C’est une affaire qui marche pour les riches.


    Les employés fe France ont su mieux se défendre contre les atteinte à leur acquis.

    La politique du Macron actuel ressemble beaucoup à l’exemple Allemand et jettera dans la misère un nombre croissant de Français. J’estime que la France aura rattrappé l’Allemagne en moins de dix ans si la réstistance contre le projet néo-libéral n’accélère pas de plusieurs crans. On ne sait par contre pas du tout s’il y aura l’effet de relance économique qu’espère le patronat français.

    Arbeitslose in Deutschland sind im EU-weiten Vergleich am stärksten von Armut bedroht. Nach Angaben des europäischen Statistikamts Eurostat lag das Armutsrisiko hierzulande im Jahr 2016 bei 70,8 Prozent und damit so hoch wie in keinem anderen Land der Europäischen Union. In der gesamten EU betrug das Armutsrisiko für Arbeitslose zwischen 16 und 64 Jahren im Schnitt 48,7 Prozent - im Jahr 2006 waren es noch 41,5 Prozent.

    Das Land mit dem zweithöchsten Armutsrisiko war 2016 Litauen, allerdings mit deutlichem Abstand zu Deutschland und einem Anteil von 60,5 Prozent. Es folgten Lettland mit 55,8 Prozent, Bulgarien mit 54,9 Prozent, Estland mit 54,8 Prozent, Tschechien mit 52,3 Prozent, Rumänien mit 51,4 Prozent und Schweden mit 50,3 Prozent. Am geringsten war das Armutsrisiko in Finnland und Zypern mit jeweils 37,3 Prozent, Frankreich mit 38,4 und Dänemark mit 38,6 Prozent.

    #Allemagne #France #pauvreté

  • Communiqué commun du mouvement anti-aéroport, suite à la décision du gouvernement
    mercredi 17 janvier 2018
    https://zad.nadir.org/spip.php?article5034

    (...)En ce qui concerne l’avenir de la zad, l’ensemble du mouvement réaffirme dès aujourd’hui :

    –La nécessité pour les paysan-ne-s et habitant-e-s expropriés de pouvoir recouvrer pleinement leurs droits au plus vite.

    –Le refus de toute expulsion de celles et ceux qui sont venus habiter ces dernières années dans le bocage pour le défendre et qui souhaitent continuer à y vivre ainsi qu’à en prendre en soin.

    –Une volonté de prise en charge à long terme des terres de la zad par le mouvement dans toute sa diversité - paysans, naturalistes, riverains, associations, anciens et nouveaux habitants.

    Pour le mettre en œuvre, nous aurons besoin d’une période de gel de la redistribution institutionnelle des terres. Dans le futur, ce territoire doit pouvoir rester un espace d’expérimentation sociale, environnementale et agricole.

    En ce qui concerne la question de la réouverture de la route D281, fermée par les pouvoirs publics en 2013, le mouvement s’engage à y répondre lui-même. La présence ou l’intervention policières ne feraient donc qu’envenimer la situation.

    Nous souhaitons par ailleurs, en cette journée mémorable, adresser un fort message de solidarité vis-à-vis d’autres luttes contre des grands projets destructeurs et pour la défense de territoires menacés.

    Nous appelons à converger largement le 10 février dans le bocage pour fêter l’abandon de l’aéroport et pour poursuivre la construction de l’avenir de la zad.(...)

    • L’arrêt définitif du projet d’aéroport de Notre Dame des Landes est une victoire. C’est évident. Et la déconfiture rageuse des divers clans de bétonneurs est un régal pour tous ceux qui ont combattu ce projet toxique, cet « éléphant blanc » pour safaris ravageurs.
      C’est la menace d’actes de résistance de milliers de personnes dans toute la France et le risque de « déstabilisation » que ça lui faisait courir qui a contraint le gouvernement à ainsi lâcher du lest, et non la « sage » considération expertisée d’un projet « obsolète ». Ce gouvernement n’est pas moins que ses prédécesseurs souteneur de « grands projets inutiles » ou plutôt utiles seulement à quelques saigneurs de l’humanité et de la planète. Il est plus prudent, voilà tout.
      Mais c’est une victoire qui vise à préparer une défaite.
      Depuis des années, le véritable affrontement entre l’état, ses gérants, la grande majorité des politicards, les barons du business, et les Zadistes et leurs soutiens, n’est pas seulement l’affrontement pour ou contre un débile projet d’aéroport mais aussi et surtout pour ou contre certains choix de société. C’est d’ailleurs ce qu’ont déclaré souvent les plus forcenés partisans du projet : pour eux, le plus important était, et reste de détruire la Zad. En effet, cette zone contre laquelle ils ne cessent de vitupérer à coups de mensonges grossiers la déguisant en repaire de casseurs et terroristes ; cette zone qu’ils dénoncent comme « Zone de non droit » est une zone ou le « droit » d’asservir et d’exploiter a largement pris fin. C’est un exemple concret que l’on peut vivre autrement que broyés par une « économie » cannibale, asservis à des patrons et des actionnaires toujours plus voraces, truandés par des financiers rapaces, menotté par des « lois » carcérales, matraqué ou flingué par des « autorités » mafieuses. C’est la preuve que des humains peuvent avoir d’autres relations que la guerre de tous contre tous. La preuve que des citoyens peuvent s’auto-organiser au moyen d’une véritable démocratie directe au lieu d’abdiquer leur pouvoir aux mains de démagogues véreux. C’est évidemment une menace pour toutes les oligarchies régnantes. C’est cela qu’ils veulent anéantir.
      En habiles politicards, Macron et sa clique s’affairent donc à ôter son prétexte à la résistance. La sauvegarde des intérêts des vampires de l’humanité vaut bien le sacrifice d’un aéroport ! Si ce projet d’aéroport est abandonné, la Zad n’a plus de raison d’exister, argumentent-ils. Ils visent ainsi à faire éclater ce qui a fait la force du mouvement de résistance : sa capacité à concilier diverses opinions et stratégies en un front uni. Ils espèrent que certains vont se contenter de l’abandon du projet d’aéroport et lâcher les Zadistes, égoïstement, sans considération pour le fait que « sans eux, l’aéroport serait déjà fait », comme le constate lucidement un opposant « historique ».
      Ils se préparent ainsi à mettre fin à ce qui reste un territoire libéré de leur domination ; à une expérience de changement social dont ils redoutent qu’elle fasse tache d’huile ; à cette « commune » exemplaire.
      Pour ceux qui estiment que celle-ci est à défendre, il est donc prématuré d’applaudir trop fort cette « victoire ». Il faut, au contraire, se préparer à de nouvelles attaques, qu’elles soient lancées par la force ou, plus subtilement, au moyen d’échafaudages diplomatiques plus ou moins « verts ». Le collectif des diverses composantes du mouvement en est conscient, en écrivant dans son communiqué du 17 janvier : Dans le futur, ce territoire doit pouvoir rester un espace d’expérimentation sociale, environnementale et agricole.

      Plus que jamais, la #Zad reste une zone à défendre.

      Gédicus,
      18 janvier 2018.

      http://gedicus.ouvaton.org/spip.php?article135
      #NDDL

    • L’offensive contre la ZAD de Notre-Dame-des-Landes se prépare… sur les plateaux télé
      Samuel Gontier Samuel Gontier Publié le 19/01/2018
      http://www.telerama.fr/television/loffensive-contre-la-zad-de-notre-dame-des-landes-se-prepare...-sur-les-pla

      Peu préoccupés d’écologie ou d’aéronautique, les journalistes de BFMTV et LCI prônent l’impérative et immédiate évacuation de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes. Leurs meilleurs experts ont imaginé une offensive militaire qui ne devrait laisser aucune chance aux irréductibles zozos doctrinaires, aux jusqu’au-boutistes de l’ultra-violence. (...)


    • Mieux capter son époque avec Anne Roumanoff.
      @loutre Dans la nuit de samedi à dimanche, comme souvent pour chercher le sommeil, je balaye la douzaine de fréquence qu’un vieux radio-réveil capte encore. Fip : impossible à écouter en restant allongé, France Cul : parfois ronflant, très bon somnifère, les grosses têtes : 10 mn max et ce soir là, je tombe sur europe n°1 :
      http://www.europe1.fr/emissions/le-canular-danne-roumanoff/le-canular-danne-roumanoff-pouvez-vous-coiffer-les-zadistes-pour-quils-se-re
      son canular en replay diffusé dans son émission du samedi matin sur les ondes de radio Lagardère Active. Je mets le lien mais pas le podcast, déjà parce que je le trouve pas et qu’il est insultant pour les résistant.es de la ZAD ; Anne Roumanoff n’est pas drôle, après Drucker et son canapé rouge, elle croit faire de l’humour avec ce canular vraiment nul en prenant les zadistes pour des crasseux.euses, pouilleux.euses inséparables de leurs chiens, rats...
      Je propose de lâcher une caisse de rats d’égout au n°26 bis
      rue François-Ier.

      les 2 meilleurs amis d’anne Roumanoff.

  • Paralipomènes de Lom #51 Arte Radio

    A propos de quelques événements omis au Livre des Rois (Paralipomènes).

    – Aujourd’hui, youpi, c’est Mercredi (avec la voix féminine de Lom). _

    Et Qui plus est, c’est le Mercredi qui précède Noel !
    Et vu que comme dab je suis hyper à la bourre au niveau des cadeaux et que j’ai pas envie de bosser je vous propose un jeu : mesurer le différentiel entre le verbe dire et le verbe faire.

    Vous allez voir, c’est tout facile, ça s’appelle le jeu du « c’est pas pas pareil »

    Le lien direct vers le MP3 fonctionne
    http://sons-audioblogs.arte.tv/audioblogs/sons/3047789/3084830_Paralipomei_nes_de_Lom__51.mp3

    Quand l’empereur Emmanuel fait tout un laïus estival à la télé sur les justes pendant la guerre, à faire pleurer dans les chaumières, les justes sont l’honneur de la France alors que le jour même, il envoie aux préfets . . .

    – Couché sur un trottoir, sur BFM TV avec la guitare de Pierre, et Pierre.

    – Micro trottoir au Au Marché de Caulier (Lille) par Seb.

    http://audioblog.arteradio.com/post/3082556/paralipomenes_de_lom__51

    #Audio #Radio #Radio_libre #Paralipomènes #jeux #micro_trottoir #Lille #justes #migrants

    • les invité·es de c’est l’heure de l’mettre sont aussi indépendants, et comme c’est en direct, le plus souvent . .

      Sauf bien sur le Micro trottoir à Caulier, réalisé un peu avant que 2 jeunes meurent en tentant d’échapper à la police, et ses tabassages.

      Je pense qu’on va continuer à mettre les bonnes séquences de l’émission sur Arteradio.

      Les chroniques de Lom sont pas mal.

  • Radio France : S’adresser au médiateur (afin d’obtenir un certificat de #souchien isation Le lien

    http://mediateur.radiofrance.fr/mediateur

    Bruno Denaes est journaliste à Radio France depuis 1980. Il a été rédacteur en chef dans plusieurs stations locales (France Bleu), puis à France Info, avant d’en devenir le secrétaire général. Il est médiateur des antennes depuis août 2015.

    • De : mediateur@radiofrance.com

      Votre message a bien été envoyé au Médiateur des antennes de Radio France. Il est en cours de traitement.
      De : Monsieur XXXXXXXXXXXXXX
      Concernant la chaîne : France Culture

      Votre message :
      Monsieur,

      Pourriez vous, en tant que Médiateur des Antennes du Service Public de Radio France transmettre à Monsieur Finkielkraut (France Culture) une demande d’information sur la façon d’obtenir une carte de Souschien ?

      En effet, ce Samedi 9 Décembre 2017, étant cloué chez moi par une gastro-entérite (certificat médical possible) et je n’ai pu me rendre à l’enterrement officiel de Monsieur Johnny Hallyday né Jean-Philippe Smet.

      Ayant appris que Monsieur Alain Finkielkraut, de l’Académie Française dénonçait les non-souchiens qui brillaient par leur absence lors de l’hommage National à notre immense chanteur, je ne voudrai pas que ma famille en pâtisse.

      Quelle sont donc les formalités à remplir afin d’obtenir la carte de Souchien ?
      Nombre des auditr(ices)eur du service public doivent être intéressé(e)s par cette démarche.

      Ma famille, du côté maternel est française depuis de nombreuses générations (originaire de l’Aisne, une région martyre).

      Du côté paternel nous sommes de nationalité Française depuis 4 générations.
      Il y a bien eut un moment délicat, avec la naissance de mon grand père, qui bien que de parents ayant la nationalité française, a du faire une demande de naturalisation à sa naissance, mais ce n’est que broutille.

      Je vous rassure, durant la précédente occupation allemande, ma famille avait obtenu ses certificats d’aryanité, que je conserve pieusement dans les archives de ma famille.

      Ces éléments suffisent ils pour obtenir une carte de Souchien ?
      A qui envoyer, certificat de naissance, R.I.B. profil facebook, adresse IP de mon ordinateur, N° de GSM, . .

      Dans l’attente de vous lire, ou d’écouter les explications sur les démarches à faire afin d’obtenir ce certificat Républicain qui va s’avérer indispensable, je vous prie d’agréer, Monsieur le Médiateur des Antennes du Service Public de Radio France, l’expression de mes sentiments les plus distingués.

      #souchien isation #france-culture #Finkielkraut

    • Sur Wiktionary, à propos du mot chien : https://fr.wiktionary.org/wiki/chien

      un chien regarde bien un évêque.
      si les chiens avaient des scies, il n’y aurait plus de poteaux. : (Proverbial) (Québec)
      qui couche avec les chiens se lève avec des puces.
      qui veut noyer son chien l’accuse de la rage.
      les coups de bâton sont pour les chiens.
      il est comme le chien du jardinier qui ne mange point les choux et n’en laisse point manger aux autres.
      il y a trop de chiens après l’os.
      Pendant que le chien pisse le loup s’en va.
      merci, mon chien.
      bon chien chasse de race, ou les bons chiens chassent de race.
      le chien aboie, la caravane passe.

      à chair de loup dent de chien.
      à chien qui mord il faut jeter des pierres.
      à mauvais chien, âpre lieu.
      bon chien chasse de race, ou les bons chiens chassent de race.
      ce n’est pas pour les chiens.
      ce sont deux chiens après un os.
      cela n’est pas tant chien.
      c’est le chien de Jean de Nivelle, il s’enfuit quand on l’appelle.
      c’est saint Roch et son chien.
      c’est un chien qui aboie à la Lune.
      c’est une charrue à chiens.
      chien hargneux a toujours l’oreille déchirée.
      chien qui aboie ne mord pas.
      il est comme le chien du jardinier qui ne mange point les choux et n’en laisse point manger aux autres.
      c’est un chien sur de l’orge
      il n’attache pas son chien avec des saucisses.
      il ne faut point se moquer des chiens qu’on ne soit hors du village.
      il ne faut pas tuer son chien pour une mauvaise année.
      il n’est chasse que de vieux chiens.
      il n’est pas nécessaire de montrer le méchant au chien.
      il vaut autant être mordu d’un chien que d’une chienne.
      il y a trop de chiens après l’os.
      jamais bon chien n’aboie à faux ou vieux chien n’aboie en vain.
      le chien aboie, la caravane passe.
      les coups de bâton sont pour les chiens.
      leurs chiens ne chassent pas ensemble.
      merci, mon chien.
      pendant que le chien pisse le loup s’en va.
      petit chien, belle queue : Petit homme, bel esprit.
      qui couche avec les chiens se lève avec des puces.
      qui m’aime aime mon chien ou encore qui aime Bertrand aime son chien.
      qui veut noyer son chien l’accuse de la rage.
      si les chiens avaient des scies, il n’y aurait plus de poteaux.
      son chien est mort.
      un chien regarde bien un évêque.

      Pour aider Monsieur Finkielkraut à faire son émission de Samedi Matin sur France Culture.
      Vous voyez, je ne suis pas Chien.

    • La question ne sera pas posée à l’intéressé.
      Dommage.
      Une question de style sans doute.

      La dernière question publiée sur le site du médiateur date du 18/12/2017 à 16:35.
      On peut en conclure que cette demande éclaircissements sur les formalités administratives afin d’être reconnu sous chien par Monsieur Finkielkraut n’a aucun intérêt pour les référents culturels.