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http://dai.ly

  • Le SNJ explique que Pujadas a été renvoyé de façon peu démocratique mais sans en expliquer les vrais raisons manque de courage ?

    Ah quel courage le SNJ, parler du renvoi de Pujadas sans évoquer les vraies raisons : http://www.panamza.com/170517-pujadas-crif " Le 12 février 2016 , Panamza révélait une information abondamment reprise (voire plagiée) sur les réseaux sociaux et totalement passée sous silence dans la presse classique.

    DÉLIRANT : LE CRIF ACCUSE DAVID PUJADAS DE COMMETTRE DES « ATTAQUES ANTISÉMITES ».

    Jeudi 11 février, Roger Cukierman, président du Conseil représentatif des institutions juives de France, a adressé une lettre à la direction de France Télévisions {http://panamza.com/bfx}.

    Le motif : le courroux du président du Crif à l’encontre d’un reportage diffusé le 10 février dans le journal télévisé de France 2 et consacré au mouvement « Boycott Désinvestissement Sanction » {http://dai.ly/x3riol1}.

    En dépit du ton plutôt factuel -voire tiède- du reportage, le Crif l’accuse de faire « l’apologie du BDS ».

    Depuis 48 heures, plusieurs associations et personnalités ultra-sionistes sont déjà passées à l’offensive. Le CSA a ainsi été saisi par le BNVCA dirigé par l’extrémiste pro-israélien Sammy Ghozlan {http://panamza.com/bfy}.

    Même réaction indignée de la part de l’association Europe-Israël qui compare -sans rire- le reportage à « la promotion du viol » {http://panamza.com/bfz}.

    Gil Taïeb, figure emblématique de la communauté juive, vice-président du Crif, ex-militant du Bétar, proche de la LDJ, fondateur de « l’association du bien-être des soldats israéliens » et époux de l’élue PS Karen Taïeb, a également fustigé David Pujadas, accusé d’avoir « participé à cet acte illégal » : « l’appel au boycott d’Israël »
    {http://panamza.com/bga;http://panamza.com/ahq ;

    http://panamza.com/ahr;http://panamza.com/ahs ;

    http://panamza.com/aht ; http://panamza.com/1866}.

    Dans sa lettre, le président du Crif reproche également à David Pujadas d’avoir « donné très longuement la parole à une activiste patentée dans un débat contre M. Alain Finkielkraut ». Selon Roger Cukierman, « M. Pujadas se distingue encore une fois par des comportements perçus par de nombreux Français juifs comme des attaques antisionistes, voire antisémites » {http://panamza.com/bfx}.

    Rappel : tout au long de sa carrière vieille de 25 ans (TF1, LCI, France 2), David Pujadas ne s’est jamais distingué par un quelconque ton critique à l’encontre d’Israël ou du Crif.

    Au contraire : en 2013, il avait donné sa caution journalistique à l’imam lancé en 2009 par Sammy Ghozlan et sponsorisé depuis par le Crif : Hassen Chalghoumi. Pujadas avait co-signé avec « l’imam de Drancy » un livre promotionnel d’entretien. À propos de Chalghoumi, Pujadas avait même déclaré ceci auprès du Nouvel Obs : « Je suis frappé par ce petit quelque chose d’irradiant chez lui. Il se dégage de cet homme une sorte de sérénité et de paix intérieure. Comme souvent chez les hommes de spiritualité » {http://panamza.com/bgb}.

    Pour en savoir plus sur le Crif et sa dérive sioniste, islamophobe et attentatoire à la liberté d’expression, consultez le dossier de Panamza {http://panamza.com/10562}.

    Deux mois plus tard, en mars 2016, Panamza publiait un nouvel article sur l’affaire :

    Aujourd’hui, lundi 14 mars, la nébuleuse pro-israélienne peut crier victoire.

    Un mois seulement après la lettre envoyée par le président du Crif à la direction de France Télévisions, le groupe a annoncé -via Michel Field, son directeur de l’information- l’interruption, en fin de saison, de l’émission emblématique de David Pujadas : « Des paroles et des actes » (DPDA).

    L’info est tombée ce matin, sur Europe 1 (à 4’20). Toute l’affaire dévoilée ici chez un journaliste qui est souvent envoyé au poste de police pour ces révélations très courageuses : http://www.panamza.com/170517-pujadas-crif

  • Prisons surpeuplées : France 2 préconise des constructions et un meilleur rangement | Samuel Gontier
    http://television.telerama.fr/television/prisons-surpeuplees-france-2-preconise-des-constructions-et-un-m

    « Dix mille à seize mille places de prison en plus pour limiter la surpopulation, c’est le plan annoncé par le garde des Sceaux Jean-Jacques Urvoas, claironne David Pujadas mercredi soir. Faut-il y croire ? » J’aimerais tant. « On démêlera le vrai du faux. » Merci. Le reportage qui suit accompagne Jean-Jacques Urvoas dans sa visite de la prison de Fresnes et détaille son plan dont le coût s’établit « entre un milliard et deux milliards et demi d’euros ». Source : Ma vie au poste

    • Surpopulation en #maisons_d’arrêt, #suicides_de_détenus, témoignages sur les dysfonctionnements de l’institution pénitentiaire, échec de la #prévention de la #récidive : la prison est un sujet récurrent dans les #médias.
      En 2009, une #loi_pénitentiaire a été votée, sous l’égide de deux ministres de la justice successifs. Si les sujets carcéraux sont aujourd’hui pleinement intégrés dans les préoccupations #politiques et journalistiques, ils sont longtemps restés confinés dans des espaces de traitement discrets, régulés par l’#administration_pénitentiaire
      Avec un focus particulier sur le rôle du Parlement français, l’objectif de cet ouvrage est de retracer les processus qui ont contribué à faire de la #prison un sujet politico-médiatique et des droits des personnes détenues un objet de loi.
      Quelles sont les conditions de constitution d’une situation donnée en problème public et politique ? Quelles peuvent être les contributions du Parlement à l’action publique, au-delà de la seule activité législative ?
      À partir de l’analyse du cas de la politique pénitentiaire depuis 1945, il s’agit de mettre au jour le rôle du Parlement dans la réforme d’un secteur d’action publique relativement fermé et de montrer comment la mobilisation de députés et sénateurs peut contribuer à en redéfinir les problématisations, à redessiner les contours de son réseau d’intervenants et à susciter des changements dans son traitement.

      Changer la prison
      Jeanne Chabbal, 2016
      #Presses_universitaires_de_Rennes
      http://www.pur-editions.fr/detail.php?idOuv=4133

    • Entre l’univers psychiatrique ou la prison j’aurais du mal à choisir. Et je croi pas que la prise en charge psychiatrique coûte moins cher que la prison et que les personnes y soient moins mal traitées. Vu la logique comptable qui régit tout actuellement à mon avis c’est pas par hasard qu’il y a tant de prisonniers qui devraient recevoir des soins psychiatriques. Le monde psychiatrique est un domaine abandonné des pouvoirs publiques et les maltraitances y sont généralisées dans la plus complète indifference et opacité.

    • De ce que j’ai lu dans la press les soins psychiatriques ou toute forme de soins en milieu carcéral sont insuffisants et défectueux. vu la surcharge de travail qui pèse sur le personnel du milieu médical et encor plus psychiatrique et encor plus en milieu carceral tu fait bien de mettre des " a bénéfices ...

    • Paru dans l’Envolée numéro 26 – Octobre 2009 –

      L’infâme bouillie médico-pénitentiaire, suicides et médicalisation.
      C’est probablement en référence à l’efficacité des soins procurés et à la qualité de la prévention pratiquée que Florence Aubenas, nouvelle présidente de l’Observatoire international des prisons (OIP), s’est exclamée : « On est là face à un problème de santé publique, je crois qu’il faut se décider à faire rentrer les médecins dans les prisons ! », la journaliste lui répondant fort justement : « Mais il y a déjà des médecins dans les prisons aujourd’hui ! ». Plus précisément, voilà ce que pense l’OIP (1) : « L’attitude de l’administration pénitentiaire, qui empêche toute analyse documentée et rationnelle du phénomène du suicide en prison, pour se prémunir d’une remise en cause de ses modalités d’action, témoigne de la nécessité de confier au ministère de la Santé la responsabilité de la définition et de la mise en œuvre de la politique de prévention. »

      C’est d’une certaine façon une tentative de faire jouer le pouvoir médical soignant contre le #pouvoir_carcéral. En d’autres termes de faire jouer le biopouvoir contre le pouvoir disciplinaire et les survivances du #pouvoir_souverain, de plaider en quelque sorte pour le droit à la vie des personnes incarcérées. Ce faisant, c’est oublier que le pouvoir médical, sous sa forme psychiatrique, a depuis longtemps, hors du champ initial de son savoir, envahi le #système_pénal, notamment par le biais des expertises. C’est oublier que ce même pouvoir gère l’enfermement psychiatrique et qu’avec la mise en place des #UHSA (Unités d’hospitalisation spécialement aménagées), il devient un acteur à part entière du système pénitentiaire… C’est oublier qu’avec la création des centres de rétention de sûreté, il joue sur tous les tableaux, apportant à la fois la caution de l’expertise et l’alibi du soin (2). C’est oublier enfin que le #pouvoir_médical est capable, sur injonction de la Chancellerie, de lourdement participer à la production de rapports – tel celui de la commission Albrand – où impératifs pénitentiaires (3) et thérapeutiques sont mêlés dans une #infâme_bouillie et où l’amalgame entre délinquance et pathologie est repris de plus belle (4). Mais comme en 2003 avec la mission de réflexion sur les suicides confiée au psychiatre J-L Terra, les choses sont faussées dès le départ car la mission-commission, dirigée par un psychiatre, va d’emblée considérer la question sous l’angle de la maladie mentale. Et l’accroissement, ces dernières années, du nombre de prisonniers souffrant de #troubles_psychiques ne peut que renforcer la tentative d’en faire une affaire médicale. Mais le problème n’est pas fondamentalement psychiatrique, comme tentent de nous le faire croire certaines déclarations médico-pénitentiaires. Il est provoqué par des traitements durs, méritant pleinement le nom de #torture : choc de l’incarcération, longues peines, transferts incessants, placements en quartier d’isolement, mises au #mitard, refus de parloir, rejet de libération conditionnelle, etc. Il est provoqué par la prison même. Première embrouille donc : oser qualifier de psychopathologie la souffrance et les comportements qu’elle induit. Et seconde embrouille : faire porter tout le poids de cette souffrance à l’individu en niant la responsabilité de l’administration pénitentiaire, du #système_répressif dans son ensemble et de la société.

      Quant au soin qui semblerait, en l’occurrence, intéresser la pénitentiaire, il pourrait s’appeler techniques de « préservation de l’intégrité physique à tout prix ».
      Il n’y a pas que les « suicides »…
      On l’a déjà dit, mais on le répète : le bruit qui a été produit sur les suicides en prison (discours officiels et amplification médiatique) a été accompagné d’un silence assourdissant sur les « #morts_suspectes » dans les mêmes endroits. À de rares exceptions près, les medias sont restés prisonniers du sujet défini selon les normes au pouvoir, où pour un peu l’AP apparaîtrait comme une officine de santé publique aux prises avec un problème complexe dont est responsable une sous-catégorie– difficilement repérable – à l’intérieur d’une population spécifique, celle des détenus.

      Mais il n’y a pas que des « suicides » ou des morts mal expliquées parmi les décès qui mettent en cause la prison, et ils ne se produisent pas qu’à l’intérieur (5). Peu de personnes en sont conscientes, mais le nombre de personnes mortes de la prison est bien plus élevé que le chiffre officiel des « suicides » en prison…

      NOTES :

      1. Cf. « Prévention du suicide en prison : en finir avec une politique absurde et mensongère ».

      2. Comment en effet prétendre encore soigner dans un lieu où le moindre propos d’un prisonnier pourrait être retenu contre lui ? À moins de ne plus concevoir le traitement que sous la forme épurée : « Gobe tes médocs et ferme ta gueule ! »

      3. « En charge de la garde de cette personne, l’administration se doit alors de préserver son intégrité physique à tout prix, y compris contre elle-même. » La prévention du suicide en milieu carcéral, rapport de la commission Albrand, p.15.

      4. « Par ailleurs, la délinquance est devenue plus violente et plus improvisée. Les personnes incarcérées sont ainsi souvent adeptes de « conduites à risques », atteintes de troubles de la personnalité, voire de troubles psychiatriques. » Ibid., p.13.

      5. Cf. « Prison : danger de mort » , L’Envolée N°25.

      http://lenvolee.net/tag/medical/page/2
      http://dai.ly/xqba55
      #Laurent_Jacqua
      http://laurent-jacqua.blogs.nouvelobs.com/archive/2012/12/04/proces-de-philippe-lalouel-episode-3.html#c807290

    • Politiques et pratiques de la #psychiatrie_en_prison 1945-1986

      Des annexes psychiatriques aux services médico-psychologiques régionaux (SMPR)
      Depuis le code pénal de 1810 (article 64) et la loi sur les aliénés du 30 juin 1838, psychiatrie et prison avaient suivi deux mouvements historiques parallèles ; le psychiatre, expert, ne venait en prison que pour repérer le fou et pour l’en extraire. Les non-aliénés, les demi-fous, les anormaux mentaux, mais aussi tous ceux qui perturbaient l’ordre carcéral étaient pris en charge par la seule discipline pénitentiaire. Après la rupture de la Seconde Guerre mondiale, un processus de réformes en spirale scella progressivement la convergence historique de la prison et de l’asile et lança la création de structures de prise en charge psychiatrique des détenus (annexes psychiatriques de la réforme Amor puis CMPR et SMPR)… Cette institutionnalisation de l’intervention psychiatrique en prison se déploya sur plus de quarante ans. Dans un contexte de pénuries, à partir d’échecs et d’expérimentations, avec des modèles différents, plusieurs générations de praticiens, de magistrats et de pénitentiaires ont élaboré dans l’action un nouveau cadre d’intervention sanitaire en prison devenue lieu de soin.

      Hélène Bellanger, « Politiques et pratiques de la psychiatrie en prison 1945-1986 », Criminocorpus [En ligne], Savoirs, politiques et pratiques de l’exécution des peines en France au XXe siècle, Communications, mis en ligne le 01 décembre 2014 http://criminocorpus.revues.org/2730

  • Histoire d’une utopie émancipatrice - De l’éducation populaire à la domestication par la « culture » par #Franck_Lepage #Monde-diplomatique
    https://www.monde-diplomatique.fr/2009/05/LEPAGE/17113

    « De l’éducation populaire à la domestication par la « culture »
    Il y a cinquante ans, le général de Gaulle présidait à la création du ministère des affaires culturelles. La naissance de cette institution a précipité le déclin d’un autre projet, à présent méconnu : l’éducation politique des jeunes adultes, conçue dans l’immédiat après-guerre comme un outil d’émancipation humaine. Pour ses initiateurs, culture devait rimer avec égalité et universalité. »

    On peut ainsi distinguer deux conceptions de l’action par la culture : l’« action culturelle », qui vise à rassembler autour de valeurs « universelles », consensuelles (l’art, la citoyenneté, la diversité, le respect, etc.). Et l’éducation populaire, qui vise à rendre lisibles aux yeux du plus grand nombre les rapports de domination, les antagonismes sociaux, les rouages de l’exploitation.

    Contrairement à une idée reçue, l’auteur de La Condition humaine n’a pas « créé » ce ministère, qu’il n’a au demeurant pas réclamé. Son administration est bâtie par des fonctionnaires rapatriés de l’outre-mer qui, après la décolonisation, sont affectés aux affaires culturelles (5). Efficaces mais idéologiquement marqués par leur expérience précédente, ils influencent la doctrine du ministère. Lequel aura vocation à irradier à l’intérieur comme à l’extérieur des frontières le feu de la grandeur nationale. Puissance de la France à l’international et pouvoir symbolique de l’Etat dans les régions ; apologie de l’élite et du génie français. Un ministère profondément antipopulaire.

    Les instructeurs d’éducation populaire qui pensaient avoir obtenu leur ministère ont perdu la partie. D’abord rattachée à Malraux en même temps que la direction des beaux-arts, la sous-direction de l’éducation populaire retourne définitivement à la jeunesse et aux sports (6). La coupure sera désormais établie entre culturel et socioculturel, entre « vraie » et « fausse » culture que seul l’Etat sera fondé à départager. Beaucoup attendaient que la gauche arrivant au pouvoir abolisse cette césure. Il n’en fut rien.

    Assemblée nationale : Examen de la Loi Création, Architecture et Patrimoine. #Isabelle_Attard, député citoyenne du Calvados, cite Franck Lepage et explique l’origine du ministère de la Culture, cause des problèmes présents dans cette loi.
    http://dai.ly/x3zehqy
    https://www.dailymotion.com/video/x3zehqy_la-culture-majuscule-tue-le-politique_news

    #Culture #Education_populaire #Action_culturelle #Histoire #France #Charles_De_Gaulle #Cinquième_république #Malraux #rapports_de_domination #Loi_Création_Architecture_et_Patrimoine

  • QUAND LIBÉRATION CONSACRE UNE DOUBLE PAGE GLAMOUR À CAROLINE FOUREST .

    Samedi 8 août, le journal Libération a consacré deux pages, dans la rubrique « Idées », à un entretien croisé de Caroline Fourest et sa compagne Fiammetta Venner.
    Le prétexte : une série relative aux couples célèbres ayant « la production intellectuelle pour principale activité ».
    Le ton du papier : bienveillant envers le duo et uniquement critique à propos de « la violence de certains de leurs contradicteurs ».
    L’omission majeure : l’accumulation de mensonges et contre-vérités formulées par Caroline Fourest au cours de sa carrière.

    Détail-clé : cette réputation -étayée par les faits- de « sérial-menteuse » n’empêche pourtant pas Fourest de prolonger ses contrats avec le service public audiovisuel. Fin juin, la chaîne Arte a ainsi diffusé un documentaire politico-écologiste tourné en Afrique par le tandem Fourest/Venner et co-produit par Arte France {https://youtu.be/goc0UvTEek8

    }.

    Triple rappel :

    En avril, Fourest -qui se targue régulièrement d’être une « humaniste universaliste »- avait été célébrée à Washington par un ex-agent du Mossad favorable à la torture {http://panamza.com/11366}.

    En mai, Fourest avait été publiquement bannie par Laurent Ruquier pour avoir menti sur le plateau de son émission {http://dai.ly/x2pmzxw}.

    * Libération est possédé par Patrick Drahi, militant « sioniste » autoproclamé et citoyen le plus riche d’Israël. De plus, le journal est dirigé par Laurent Joffrin, l’homme qui avait soutenu l’idée d’une « supériorité morale » d’Israël lors de l’invasion de Gaza en 2008 {panamza.com/telavivision ; http://panamza.com/avb}

    Pour en savoir plus sur le tandem Fourest/Venner et leur collaboration avec la nébuleuse sioniste internationale, consultez l’enquête de Panamza : http://panamza.com/9700

    https://www.facebook.com/panhamza/photos/a.259863080821062.1073741827.258337060973664/565257433614957/?type=1&theater

  • Edito #2 >#Datalove et musique | [Musique] Pokapok.net
    http://musique.pokapok.net/edito/272/edito-2-datalove-et-musique#more-272

    #OpMusique continue. Le but étant toujours de spreader la musique qu’on aime partout dans la monde. De la partager le plus possible dans un grand élan de #DataLove.

    Pour celà les outils existent :

    Youtube, évidemment le plus utilisé. On y trouve de véritable pépites et à peu près toute la musique dont on peut réver. La fonctionnalité d’embed (surtout avec myVideoTag sous wordpress) est indispensable et sa nouvelle ergonomie, ses fonctionnalités de chaines, favoris, playlists, recherche… font que c’est une véritable tuerie.

    Dans une moindre mesure, mais ils sont des alternatives à Youtube, il y a DailyMotion et Viméo.

    Pour les musiciens, il y a évidemment SoundCloud, ce réseau est un fuckin’ outil indispensable. Et il permet l’embed d’un player HTML5 :-) .

    Il y a évidemment l’offre légale comme Dezer ou Jamendo qui permettent également l’embed de players.
    #Datalove et musique et légalité…

    Tous les sites cités plus haut sont des sites de streaming. Vous savez le Streaming c’est le nouvel objectif pour « civiliser l’Internet ».
    Le streaming est une technologie. Comme toute technologie, elle a des avantages et des inconvénients, mais elle est neutre.
    C’est drôlement pratique.
    D’un côté ça permet de mettre en avant le streaming comme offre légale, de l’autre de diaboliser des sites comme Megavideo (ou en direct download via MegaUpload).

    C’est grâce à la technologie. C’est à cause de la technologie.

    Une technologie est neutre, c’est l’usage que l’on fait de la technologie qui est porteur de sens. Et le contexte dans le quel on le fait.

    http://musique.pokapok.net/edito/272/edito-2-datalove-et-musique#more-272