En Afghanistan comme ailleurs, prendre sa part d’un combat universel (plus autres textes)
Il y a vingt ans, il n’était pas nécessaire d’être un expert en géopolitique pour comprendre, qu’après la chute du régime taliban, il était urgent et décisif, quel que soit le domaine d’action envisagé, de ne pas se concentrer sur Kaboul mais d’intervenir, en partenariat avec la population afghane, dans l’ensemble du pays.
Pourtant le ministère français des Affaires étrangères de l’époque ne semblait voir que la capitale afghane. Pour ne prendre que l’exemple de l’aide éducative, il ne s’intéressait qu’à la réouverture des deux lycées franco-afghans, Esteqlal et Malalaï, situés en plein centre de Kaboul. L’idée d’aller reconstruire des écoles ailleurs lui était totalement indifférente.
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