• Mars 1921 : un tournant pour le mouvement révolutionnaire. Focus sur Cronstadt.

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    La vérité sur Cronstadt, par Joseph Vanzler alias Wright
    https://www.paperblog.fr/2349148/la-verite-sur-cronstadt-par-joseph-vanzler-alias-wright

    Des membres du Forum des amis de LO ont traduit ce texte. L’original en anglais se trouve ici, sur le site marxists.org : https://www.marxists.org/history/etol/writers/wright/1938/02/kronstadt.htm (John G. Wright, The Truth about Kronstadt, February 1938)

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    Beaucoup de tapage autour de Cronstadt
    (Léon Trotsky, 15 janvier 1938)
    https://www.marxists.org/francais/trotsky/oeuvres/1938/01/lt19380115.htm

    – Un « front populaire » d’accusateurs
    – Les groupements sociaux et politiques à Cronstadt
    – Les modifications intervenues pendant les années de la guerre civile
    – Les causes sociales du soulèvement
    – Le caractère contre-révolutionnaire de la rébellion de Cronstadt
    – La Nep et l’insurrection de Cronstadt
    – Les « insurgés de Cronstadt » sans forteresse

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    Encore sur la #répression de Cronstadt
    (Léon Trotsky, 6 juillet 1938)
    https://www.marxists.org/francais/trotsky/oeuvres/1938/07/lt19380706.htm

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    L’insurrection de Cronstadt

    – Mars 1921 en Allemagne
    – La NEP : une retraite indispensable
    – Adresse à #Max_Hoeltz

    #archiveLO (23 mars 1871)

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    Cronstadt, de Jean-Jacques Marie (494 p.)

    – 1917 : Cronstadt la rouge
    – L’agonie du communisme de guerre
    – Les premières lueurs de l’incendie
    – Les premiers signes de l’orage
    – Chronique d’une #révolte annoncée
    – Un cocktail explosif
    – Au bord du Rubicon
    – Les « privilèges des commissaires »
    – Le passage du Rubicon
    – Les balbutiements de l’insurrection
    – Les ouvriers de Petrograd et l’insurrection
    – Qui sont les insurgés ?
    – L’attente
    – Le comité révolutionnaire provisoire
    – Premier branle-bas de combat
    – L’assaut manqué
    – Cronstadt et l’#émigration
    #Lénine, #Cronstadt et le Xe congrès du parti communiste
    – Une « troisième révolution » ?
    – Vers l’assaut final
    – Le comité révolutionnaire en action
    – L’assaut final
    – Les raisons de l’échec
    – La répression
    – Reprise en main et réorganisation
    – L’exil finlandais
    – Nouvelles alliances
    – Le commencement de la fin
    – Derniers soubresauts
    – Fin de partie
    – Interprétations

    [...] Avec la #NEP, l’#insurrection_de_Cronstadt sort du domaine de la politique pour entrer dans celui de l’histoire. Les #SR_de_droite et de gauche qui l’appuyaient disparaissent. Seuls les #anarchistes revendiquent son héritage ; ils se contentent en général de paraphraser les proclamations, déclarations et appels, pris au pied de la lettre, sans analyser la réalité sociale du mouvement, comme si l’on pouvait étudier l’activité d’un groupe d’hommes en prenant ce qu’ils disent d’eux-mêmes comme critère de vérité. L’impact international de la révolution russe, son influence, le choc en son sein entre le socialisme (national) dans un seul pays de Staline et la révolution internationale incarnée par Trotsky, le plan quinquennal, la collectivisation, tout cela éclipse Cronstadt, qui sombre dans l’oubli, comme #Makhno, mort de tuberculose et d’épuisement dans un hôpital parisien en 1934. La Révolution inconnue de l’anarchiste russe #Voline, consacrée pour un bon quart à Cronstadt, ne sera publiée qu’en 1947, deux ans après sa mort.

    Trotsky a longtemps accordé peu d’attention à l’insurrection. Dans un discours du 28 juillet 1924 sur la situation mondiale Trotsky évoque Cronstadt comme exemple d’explosion sociale « Rationner un pays affamé, écrit-il, est chose difficile, nous le savons par expérience [...]. Nous avons pu constater que le régime de la ration de famine était lié à des troubles croissants qui ont amené en fin de compte l’insurrection de Cronstadt 7 », ainsi présentée comme une conséquence des rigueurs du communisme de guerre. Dans Ma Vie, publiée en 1929, il n’y consacre qu’une demi-ligne. Dans #La_Révolution_trahie, rédigée et publiée en 1936, Trotsky évoque tout aussi brièvement cette révolte, « qui entraîna pas mal de bolcheviks ».

    La guerre civile espagnole qui éclate en juillet 1936 et les procès de Moscou, dont le premier est organisé en août 1936, replacent Cronstadt sous la lumière de l’actualité. En Catalogne et en Aragon, où les anarchistes de la Confederacion National del Trabajo (la #CNT) sont très puissants, les ouvriers et les paysans, qui à peu près seul sont mis en échec le putsch franquiste, créent des comités, collectivisent les fabriques et la terre, forment des milices et constituent un Comité central de milices antifascistes qui rassemblent ouvriers et paysans en armes. Les partisans de l’ordre existant, le PC stalinisé en tête, exigent la dissolution de ces organismes populaires autonomes. La CNT l’avalise et envoie trois ministres au gouvernement, qui proclame l’intangibilité de la propriété privée des moyens de production et de la terre. Un anarchiste, Garcia Oliver, se retrouve ainsi ministre de la Justice, à la tête de l’appareil qui a longtemps persécuté les militants de son #organisation. Pour répondre aux critiques, les dirigeants anarchistes accompagnent leur collaboration gouvernementale avec le PC espagnol d’articles exaltant l’insurrection anti bolchevik de Cronstadt, dont ils se proclament les héritiers. Il est plus aisé d’exalter Makhno et Cronstadt àBarcelone que d’y combattre la politique de Staline. En décembre 1937, Trotsky leur répond : face à Cronstadt et à Makhno « nous avions défendu la révolution prolétarienne contre la #contre-révolution paysanne. Les anarchistes espagnols ont défendu et défendent encore la contre-révolution bourgeoise contre la révolution prolétarienne ».

    Les procès de Moscou d’août 1936, janvier 1937 et mars 1938 dénoncent en Trotsky un terroriste à la solde des nazis. Réfugié au Mexique, Trotsky tente de mettre sur pied une commission d’enquête sur les procès de Moscou. Un ancien député communiste allemand, #Wendelin_Thomas, réfugié aux États-Unis, membre dela sous-commission américaine, l’interpelle publiquement sur Cronstadt et #Makhno, en suggérant que l’attitude des bolcheviks dans ces deux cas annonce Staline et le #stalinisme.

    Trotsky lui répond par une brève lettre où il souligne que les marins de 1917 s’étant disséminés sur les divers fronts, restait à Cronstadt « la masse grise avec de grandes prétentions, mais sans éducation politique et pas prête aux sacrifices révolutionnaires. Le pays était affamé. Ceux de Cronstadt exigeaient des privilèges. L’insurrection fut dictée par le désir de recevoir une ration de privilégié ». Après ce raccourci saisissant, Trotsky affirme : la victoire des insurgés aurait débouché sur celle de la contre-révolution, « indépendamment des idées qui pouvaient être dans la tête des marins », qu’il juge, par ailleurs, « profondément réactionnaires : elles reflétaient l’hostilité de la paysannerie arriérée à l’ouvrier, l’#arrogance du soldat ou du marin pour Pétersbourg “civil”,la haine du #petit-bourgeois pour la #discipline_révolutionnaire ». Une fois maîtres de la forteresse, les insurgés ne pouvaient être réduits que par les armes.

    Un mois plus tard, il écrit dans une lettre à Erwin Wolf : « Ma réponse est beaucoup trop courte, insuffisante. » En septembre 1937, Victor Serge publie un article très critique sur l’attitude des bolcheviks face à Cronstadt. Informé, Trotsky écrit le 15 octobre un bref mot au trotskiste américain Wasserman des éditions Pionners Publishers. Il y affirme nécessaire de clarifier l’histoire de Cronstadt afin de pouvoir discuter avec les anarchistes, mais ajoute : « Cependant pour beaucoup de raisons, je ne puis écrire un article sur cette question » et affirme qu’il a proposé à son fils, Léon Sedov, d’écrire un travail détaillé et documenté qu’il préfacerait. #Wasserman insiste. Trotsky lui répond le 14 novembre qu’il comprend son insistance, mais il n’a en ce moment, répond-il, ni « les matériaux nécessaires ni le temps d’un article [...] absolument exhaustif ». Si Léon Sedov peut faire ce travail, Trotsky l’utilisera pour un article. Cinq jours plus tard, il écrit à son fils : « Il est absolument nécessaire d’écrire sur Cronstadt. » Il insiste sur un point : « Les matelots paysans, guidés par les éléments les plus anti prolétariens, n’auraient rien pu faire du pouvoir, même si on le leur avait abandonné. Leur pouvoir n’aurait été qu’un pont, et un pont bien court, vers le pouvoir bourgeois. » Soulignant néanmoins que « le mécontentement était très grand », il conclut : « les #matelots en rébellion représentaient le #Thermidor_paysan », ce qui n’est pas la même chose que la réduction de la révolte à la volonté d’obtenir des privilèges. #Léon_Sedov se met au travail.

    Trotsky y revient le 16 décembre dans une lettre au trotskyste américain Wright qui vient de terminer un article sur la révolte. Il prend la question sous un angle un peu différent. Il récuse l’idée que les soldats et les marins se soient insurgés pour le mot d’ordre politique des soviets libres. « Le reste de la #garnison de Cronstadt, affirme-t-il, était composé d’hommes arriérés et passifs qui ne pouvaient être utilisés dans la guerre civile. Ces gens ne pouvaient être entraînés dans une insurrection que par de profonds besoins et intérêts économiques. [...] ceux des pères et frères de ces marins et soldats, c’est-à-dire des paysans, marchands de produits alimentaires et de matières premières. En d’autres termes, la mutinerie était l’expression de la réaction de la petite bourgeoisie contre les difficultés et privations imposées par la révolution prolétarienne. »

    Confronté à une campagne sur Cronstadt qui entrave sa bataille difficile contre les falsifications des #procès_de_Moscou, il précise enfin son analyse dans deux articles : Beaucoup de bruit autour de Cronstadt (15 janvier 1938) et Encore une fois à propos de la répression de Cronstadt (6 juillet 1938). L’insurrection, précise-t-il d’abord, exprime la révolte des paysans contre la réquisition de leur production. Les marins, en grande majorité d’origine paysanne, furent les porte-parole « de la réaction armée de la petite bourgeoisie [la paysannerie] contre les difficultés de la révolution socialiste et la rigueur de la dictature prolétarienne. C’est précisément ce que signifiait le mot d’ordre de Cronstadt “Les soviets sans communistes” ».Il affirme ensuite n’avoir personnellement pris aucune part à l’écrasement de l’insurrection, ni à la répression qui suivit, ce qui n’a à ses yeux aucune signification politique, puisque, membre du gouvernement, il a jugé nécessaire la liquidation de la révolte, a participé à la décision d’y procéder si les négociations et l’ultimatum lancé restaient sans résultat et en assume donc la responsabilité politique.

    Il y revient une dernière fois dans son Staline inachevé écrit en 1939-1940, où il range Cronstadt parmi les « #légendes reposant sur l’#ignorance et le #sentimentalisme [...]. Ce que le gouvernement soviétique fit à contrecœur à Cronstadt fut une nécessité tragique ; évidemment le gouvernement révolutionnaire ne pouvait pas “faire cadeau” aux #marins insurgés de la forteresse qui protégeait #Petrograd, simplement parce que quelques anarchistes et #socialistes-révolutionnaires douteux patronnaient une poignée de paysans réactionnaires et de soldats mutinés ». À quelques nuances près, Trotsky, de 1921 à sa mort, maintint donc la même analyse de l’insurrection.

    Tout au long des soixante-dix ans d’#Union_soviétique (#URSS) l’insurrection de Cronstadt fut (à la rare exception des discours de Lénine au Xe congrès du parti communiste) présentée comme une simple émeute contre-révolutionnaire. Le Précis d’histoire du parti communiste publié en1938, revu et corrigé personnellement par Staline, consacre plus d’une page à cet épisode. Tout en reconnaissant le mécontentement de la paysannerie à l’égard des réquisitions, il voit dans « l’émeute contre-révolutionnaire de Cronstadt un exemple patent de la nouvelle tactique de l’ennemi de classe qui se camoufla en empruntant les couleurs soviétiques ; au lieu du vieux mot d’ordre avorté “À bas les soviets !”, il lança un mot d’ordre nouveau : « Pour les soviets, mais sans les communistes” ». Qui s’était soulevé, qui étaient les émeutiers, le lecteur de ce Précis très imprécis ne pouvait pas le savoir. Ses auteurs plaçaient les « gardes blancs, les SR et les mencheviks »à la tête d’une émeute aux insurgés sans visage et sans identité. Le tome 23 de la Grande Encyclopédie soviétique publié en 1953, l’année même où mourut #Staline, reprend l’antienne en y ajoutant les manœuvres des « traîtres trotsko-zinoviévistes » vrais responsables de l’insurrection, oubliés par Staline lui-même en 1938. […]

    #Kronstadt #anarchisme #mythologie

  • Gefahrstofflager in Grünheide: Staatsanwaltschaft ermittelt gegen Tesla

    19.12.2022 - Tesla steht im Verdacht, eine Anlage ohne benötigte Genehmigung betrieben zu haben. Das Landesumweltamt stellte Strafanzeige.

    Potsdam-Die Staatsanwaltschaft Potsdam ermittelt gegen den US-Elektroautobauer Tesla wegen des Verdachts des unerlaubten Betreibens von Anlagen. Das Ermittlungsverfahren beruhe auf einer Strafanzeige des Landesumweltamtes gegen das Unternehmen und stehe im Zusammenhang mit dem Betrieb eines temporären Gefahrstofflagers auf dem Gelände der Tesla-Fabrik in Grünheide bei Berlin, teilte die Staatsanwaltschaft Potsdam am Montag auf Anfrage mit. Zuerst hatte der RBB berichtet.

    Geprüft werde, ob und gegebenenfalls wem im Hinblick auf notwendige Genehmigungen ein strafrechtlicher Vorwurf gemacht werden könne, erklärte die Staatsanwaltschaft. Wegen des laufenden Verfahrens könnten keine weiteren Angaben gemacht werden. Tesla äußerte sich auf Anfrage zunächst nicht. Das Unternehmen hatte die Produktion in Grünheide im März begonnen.

    #Tesla #Wasser #Brandenburg

  • Nach über 100 Jahren noch im Stadtplan erkennbar: Der Schwarze Graben - Charlottenburg-Wilmersdorf
    https://www.berliner-woche.de/charlottenburg-wilmersdorf/c-umwelt/der-schwarze-graben_a337001

    20.1.2022 von Michael Roeder - Den Schwarzen oder Haupt-Graben in Wilmersdorf, Schöneberg und Charlottenburg gibt es zwar seit Ende des 19. Jahrhunderts nicht mehr, aber er hatte Einfluß auf die Stadtplanung und ist noch heute deutlich erkennbar am Verlauf verschiedener Grünanlagen und Straßenzüge. Er diente sowohl der Entwässerung der sumpfigen Landstriche östlich und nördlich von Wilmersdorf und des Lietzensees als auch dem Abtransport von Fäkalien.

    1862

    Entstehung und Verlauf

    Um 1680 Ausgangspunkt ist eine Karte von 1680 [Karte 1]. Sie zeigt den ursprünglichen Bach „Schwarzer Graben“ von seinem Ausgangspunkt nordwestlich des Botanischen Gartens (heute: Kleistpark) bis zur Einmündung in die Spree kurz oberhalb der Schloßbrücke, wobei er auf dem Weg dorthin das sumpfige Hopfenbruch (das Gebiet zwischen Kurfürstendamm und Berliner Straße) durchfloß, den Kurfürstendamm am Priesterweg (Leibnizstraße) unterquerte und schließlich noch den Abfluß des Lietzensees aufnahm.

    Um 1800 Im 18. Jahrhundert wurde der Bach zu einem Abflußgraben ausgebaut und wesentlich verlängert. Auf einem Plan von 1800 [Karte 2] sieht man diesen neugeschaffenen südlichen Grabenteil, der die Verbindung zwischen dem Wilmersdorfer See und dem einstigen Bach am Botanischen Garten herstellte. Hier ist diese Verlängerung noch namenlos; auf späteren Karten wird sie „Großes Fenn“ genannt. Mit diesem Vorflutgraben wurde das sumpfige Fenn zwischen Wilmersdorf und Schöneberg (heute: Volkspark) entwässert und Regenwasser abgeführt. Der Graben lief, parallel zur Hauptstraße, unmittelbar am Rand des Dorfes Schöneberg entlang und bog nach Unterquerung der Akazienstraße nach Norden ab, direkt auf den ausgebauten Bach zu, der auf dieser Karte mit „Haupt-Graben“ bezeichnet wird. Gleichzeitig hatte man diesen ein Stück nach Osten verlängert.

    1862/Schöneberg Im Schöneberger Teil des Hobrechtplans von 1862 [Karte 3] ist zu erkennen, wie der Graben – nachdem er nach Norden abgeknickt ist – als nächstes die Straße 13 (Grunewaldstaße) unterquert. Fast auf der gesamten Länge dieses nordwärts führenden Abschnitts wurde später die Gleditschstraße angelegt. Am nördlichen Ende des späteren Winterfeldtplatzes (auf der Karte Straßen 14 und 12) mündete das „Große Fenn“ schließlich in den nach Westen fließenden „Haupt-Graben“. An dieser Stelle ist im Hobrecht-Plan die Straße 19 eingetragen; dies ist die spätere Winterfeldtstraße. Der Graben führte nun schnurstacks – über Viktoria-Luise-Platz, Regensburger Straße und Pariser Straße – bis zum Olivaer Platz. Dabei durchquerte er, wie bereits erwähnt, das Hopfenbruch am Nordrand von Wilmersdorf.

    1862/Charlottenburg Im Charlottenburger Teil des Hobrechtplan (hier mit Überlagerung der Stadtbahn ab 1882) [Karte 4] läßt sich anhand des Straßennetzes der Verlauf des Schwarzen Grabens gut nachvollziehen. Noch ist die Giesebrechtstraße, die nach 1893 anstelle des Grabens angelegt wurde (siehe unteren Pfeil), noch nicht einmal geplant. Der obere Pfeil weist auf den abschließenden Grabenverlauf, nachdem er den Stuttgarter Platz passiert hatte. Heute verläuft hier anstelle des Grabens, bis kurz vor seiner Mündung in die Spree, die Kaiser-Friedrich-Straße.

    Sein Ende

    1880 wurde der gesamte Schwarze Graben auf Schöneberger Gebiet zwischen Dominicustraße und Bundesallee unterirdisch verlegt. Es handelte sich um eine Tonrohrleitung von 50-60 cm Ø, die den zum Abwasser- und Fäkalienkanal mutierten Graben aufnahm. „In Charlottenburg ergaben sich völlig unhaltbare Zustände, denn hier ging der Schwarze Graben noch offen durch das Gelände.“ Erst durch einen Vertrag von Wilmersdorf, Friedenau und Schöneberg mit Charlottenburg aus dem Jahr 1888 über den Bau einer Kanalisation, in die die Abwässer eingeleitet werden sollten, „erhielt Charlottenburg die Berechtigung, den Schwarzen Graben zu beseitigen“. So war schließlich vom Wilmersdorfer See bis zur Einmündung des Lietzenseeabflusses an der Schustehrusstraße der Graben zugeschüttet. Das letzte offene Stück von dort bis zur Spree bestand noch in den 1890er Jahren. Erst nachdem in den ersten Jahren des 20. Jahrhundert auch der Abfluß des Lietzensees zur Spree verrohrt worden und an seiner Stelle Hebbelstraße und Lohmeyerstraße entstanden waren, war der Schwarze Graben auf seiner ganzen Länge verschwunden.

    Seine Spuren im heutigen Stadtbild
    In folgenden Grünanlagen und Straßen läßt sich also der Schwarze Graben noch heutzutage wiederfinden:
    in Wilmersdorf im Volkspark Wilmersdorf
    in Schöneberg: Rudolph-Wilde-Park – Heinrich-Lassen-Park – Gleditschstraße – Winterfeldtstraße – Viktoria-Luise-Platz – östlicher Abschnitt der Regensburger Straße
    nochmals in Wilmersdorf im westlichen Abschnitt der Regensburger Straße und in der Pariser Straße
    schließlich in Charlottenburg: Giesebrechtstraße – Ostende des Stuttgarter Platzes – Kaiser-Friedrich-Straße – Lohmeyerstraße.
    Und noch bis in die heutige Zeit wirkt der Schwarze Graben auch ganz unmittelbar nach, wie gelegentliche Schäden an Häusern zeigen, die auf dem sumpfigen Untergrund gebaut wurden, z.B. am Heinrich-Lassen-Park in der Belziger Straße 53c, auch bekannt als „das schiefe Haus von Schöneberg“.

    Fred Niedobitek, Die Entwicklung der Stadthygiene und Gesundheitspflege in Schöneberg im späten 19. und frühen 20. Jahrhundert. Zeittafel zum Bau der Kanalisation in Schöneberg, S. 1 und Helmut Winz, Es war in Schöneberg. Aus 700 Jahren Schöneberger Geschichte, S. 120.

    Quelle: http://blog.klausenerplatz-kiez.de/archive/2015/01/11/strassen_und_platze_der_schwar

    1800

    1860

    1862

    #Berlin #Chalrlottenburg #Schöneberg #Wilmersdorf #Geschichte #Topographie #Entwässserung #Kanalisation #Wasser #Stadtentwicklung

  • Happy in Berlin ? — Project
    https://happy-in-berlin.org/project


    George Grosz, Studie, 1952

    Cette expo m’a fait découvrir une rue prolétaire de Berlin qui a été rayée en 1959 de la liste officielle des rues de la ville. Depuis le 3 février 1945 la Simeonstraße n’existe plus. Christopher Isherwood lui a érigé un mémorial dans son roman Goodbye to Berlin .

    Pour retrouver son tracé dans le Berlin d’aujourd’hui il faudrait se rendre à Alte Jakobstraße quelques mètres au nord de Franz-Künstler-Straße et du Musée juif de Berlin. En regardant vers l’est on peut y imaginer la vie dans une des rue les plus pauvres de Berlin avant 1945. Actuellement on y apercoit des logements provisoires pour réfugiés. C’est l’endroit que les jeunes berlinois les plus défavorisés utilisaient pendant des décennies comme terrain d’équitation dans le cadre du Hauptkinderheim (le foyer d’enfants principal de Berlin).
    Le prolongement ver l’est de la Simeonstraße était la Wassertorstraße . On y trouve l’église qui a donné le nom à notre rue (St. Simeon-Kirche - Wassertorstraße 21a - 10969 Berlin). Aujourd’hui la partie de la Wassertorstraße entre Brandenburg Straße (orthographié comme en 1930, aujourd’hui Lobeckstraße ) et Alexandrinenstraße est occupé par un terrain de sport.

    Berlin through English Eyes maps the presence of English-speaking writers in the city. It provides information on writers who visited Berlin in the early twentieth century, and how they interacted with the spaces and culture of the city.

    1. Friedrich-Wilhelms-Universität https://happy-in-berlin.org/friedrich-wilhelms-universitat
    2. Hotel Esplanade https://happy-in-berlin.org/hotel-esplanade
    3. Institute of Sexual Science https://happy-in-berlin.org/institute-of-sexual-science
    4. Lunapark/Wellenbad https://happy-in-berlin.org/lunapark
    5. Nollendorfstraße 17 https://happy-in-berlin.org/nollendorfstrase-17
    6. Pension Bismar https://happy-in-berlin.org/pension-bismarck
    7. Simeonstraße https://happy-in-berlin.org/simeonstrase

    Kauperts Strassenführer durch Berlin dans l’édition de décembre 1949 en donne les informations suivantes :

    Simeonstr. [E5] SW 68 (A) von Alexandrinen- bis Alte Jakobstr. Nr. 1 - 32, zerstört: 2-14, 19-31— Vbz Krzbg, FiA Frstd, AG Tplh/Krzbg Pol 112 — St (1, p3)

    On apprend ici que le raid aêrien de la #USAAF a détruit 24 des 32 immeubles, les autres ont sans doute été gravement endommagés et rendus majoritairement inhabitables.

    Abbréviations

    SW 68: Zustellpostamt Südwest 68, (A): Amerikanischer Sektor, Vbz: Veraltungsbezirke, FiA: Finanzamt, Frstd: Friedrichstadt, AG: Amtsgericht, Tplh: Tempelhof, Krzbg: Kreuzberg, Pol: Polizeirevier, St: Straßenbahn

    https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_der_Stra%C3%9Fen_und_Pl%C3%A4tze_in_Berlin-Kreuzberg#Ehemalige_u

    Simeonstraße ... 1870 - 1959 aufgehoben
    Der im Ruhestand befindliche Lehrer F. Siegel hatte den Verkehrsweg als Verbindung zwischen Alter Jakobstraße und Alexandrinenstraße 1869 anlegen und 1870 nach der nahen Simeonkirche benennen lassen.

    https://de.wikipedia.org/wiki/St.-Simeon-Kirche_(Berlin)

    https://de.wikipedia.org/wiki/Luftangriffe_der_Alliierten_auf_Berlin#3._Februar_1945

    Am 3. Februar 1945, einem Samstag, wurde Berlin von 958 Maschinen der USAAF angegriffen, davon kamen 939 Flugzeuge durch die deutschen Verteidigungslinien. Der 288. Luftangriff auf Berlin erfolgte in zwei Wellen, die erste von 11:02 bis 11:18 Uhr durch die 1st Air Division und eine zweite von 11:24 bis 11:52 Uhr durch die 3rd Air Division mit Boeing B-17.

    Insgesamt wurden über 2000 t Spreng- und 250 t Brandbomben auf weite Teile des Nordwestens von Kreuzberg und des Bezirks Mitte abgeworfen, wobei das Zeitungsviertel und das Exportviertel um die Ritterstraße schwer getroffen wurden. Durch den an diesem Tag herrschenden starken Wind wurden die Brände zusätzlich angefacht. ... Das US-Militär schätzte, dass bis zu 25.000 Menschen starben. Gemessen an der Zahl der Todesopfer war es der schwerste Luftangriff auf Berlin. Bei dem Angriff wurden mindestens 20.000 Menschen verletzt und 120.000 obdachlos. ... 2.296 Bauten wurden total zerstört, 909 wurden schwer und 3.606 mittel bis leicht beschädigt, 22.519 Wohnungen wurden vernichtet und weitere 27.017 mussten wegen Einsturzgefahr geräumt werden. 360 Rüstungsbetriebe wurden völlig zerstört und weitere 170 stark beeinträchtigt. Potsdamer und Anhalter Bahnhof mit ihren weiträumigen Gleisanlagen wurden völlig zerstört. Das Berliner Stadtschloss brannte weitgehend aus,

    8. The Berlin Psychoanalytical Institute https://happy-in-berlin.org/the-berlin-psychoanalytical-institute
    https://www.openstreetmap.org/node/3052208735

    9. The British Embassy https://happy-in-berlin.org/the-british-embassy

    10. The Cosy Corner https://happy-in-berlin.org/the-cosy-corner
    Zossener Straße 7 https://www.openstreetmap.org/node/3163972920#map=17/52.49294/13.39462

    11. The Dorian Gray https://happy-in-berlin.org/the-dorian-gray
    https://www.openstreetmap.org/way/31541637#map=18/52.49521/13.36729

    12. The Eldorado Cabaret https://happy-in-berlin.org/the-eldorado-cabaret
    Lutherstraße 31–32 https://www.openstreetmap.org/node/3826451960

    13. The Radio Tower https://happy-in-berlin.org/the-radio-tower
    https://www.openstreetmap.org/way/30926247
    https://de.wikipedia.org/wiki/Berliner_Funkturm

    14. Ufa-Pavillon https://happy-in-berlin.org/ufa-pavillon


    Nollendorfplatz 3-4 https://www.openstreetmap.org/way/91607491#map=19/52.49942/13.35215
    Bilder : http://cinematreasures.org/theaters/11286/photos
    https://de.wikipedia.org/wiki/UFA-Pavillon_am_Nollendorfplatz

    Das Gebiet um den Nollendorfplatz mit dem UFA-Pavillon wurde 1938 aus dem Bezirk Charlottenburg in den Bezirk Schöneberg umgegliedert. Im Jahr 1943 wurde aufgrund der Kriegsschäden durch die alliierten Luftangriffe der Betrieb eingestellt und das Kino geschlossen. In den 1960er Jahren entstand auf der Grundfläche des ehemaligen Kinos (postalisch: Nollendorfplatz 3/4) ein zwölfgeschossiges Wohnhochhaus.

    #Berlin #Kreuzberg #Friedrichstadt #Charlottenburg#littérature #histoire #Simeonstraße #Lobeckstraße #Alexandrinenstraße #Alte_Jakobstraße #Franz-Künstler-Straße #Wassertorstraße #Brandenburg_Straße #Ritterstraße #Zossener_Straße #Fürbringerstraße #Nollendorfplatz

  • Berliner Wassertisch
    https://berliner-wassertisch.net

    Berliner Wasserbetriebe - Unternehmensstruktur
    https://www.bwb.de/de/8368.php

    Magistrate und Senate ab 1945 - Berlin.de
    https://www.berlin.de/rbmskzl/regierender-buergermeister/senat/senatsgalerie

    Sulfat in Spree und Müggelsee
    https://www.igb-berlin.de/projekt/sulfat-spree-und-mueggelsee

    S O S ! Grundwassernotlage in Berlin Rudow und Johannisthal
    https://www.grundwassernotlage-berlin.de

    20.03.2015, 01:00 Uhr Tagebaue in der Lausitz belasten Spree Berlins Trinkwasser bedroht
    https://www.pnn.de/brandenburg/tagebaue-in-der-lausitz-belasten-spree-berlins-trinkwasser-bedroht/21524570.html

    Die Lausitzer Tagebaue spülen braune Brühe in den Spreewald und immer mehr Sulfat in die Spree. Die Belastung steigt, auch im Trinkwasser. Für die Wasserwerke könnte das zum Problem werden – und für die Berliner und Brandenburger teuer

    Grundwasserbenutzung - Senatsverwaltung für Umwelt, Verkehr und Klimaschutz
    https://www.berlin.de/senuvk/umwelt/wasser/grundwasser

    #Berlin #Wasser

  • Die Quelle Fürstenbrunn – Berlin Street
    https://www.berlinstreet.de/14535

    Fürstenbrunn hört sich an, wie ein Dorf bei Salzburg (das gibt es dort tatsächlich), dies ist aber nicht gemeint. Vielen Autofahrern ist der Fürstenbrunner Weg ein Begriff, der am Klinikum Westend vorbei Richtung Siemensstadt führt. Nördlich des Krankenhauses, wo die Straße heute zum Rohrdamm wird, lag Mitte des 18. Jahrhunderts eine winzige Siedlung. Dort kehrten die Jäger ein, die in der damals noch nahen Jungfernheide vom Tiere meucheln kamen. Es gab da eine Quelle, deren Wasser besonders schmackhaft war. Alle anderen Quellen im Berliner Raum waren stark eisenhaltig. Anders diese Quelle, in deren Wasser es kaum Eisen gibt.

    Das leckere Wasser lockte aber nicht nur die Jäger an. Auch der Kurfürst Friedrich III. und seine Sophie Charlotte, nach der später Charlottenburg benannt wurde, sollen die Quelle oft besucht haben. Angeblich wurde sogar eine eigene Leitung zur Lietzenburg / Schloss Charlottenburg gelegt, was aber nicht bewiesen ist.

    Auch später genoss der Adel dieses Wasser. Mitte des 19. Jahrhunderts war Friedrich Wilhelm IV. oft in dem 1818 erbauten Schützenhaus, später sogar die deutschen Kaiser.
    Etwa um 1860 erhielt das bisherige Gasthaus den Namen Fürstenbrunn. Schon damals wusste man sich mit guter Kundschaft zu schmücken. Dazu kam die gesundheitliche Kontrolle des Wassers. Das gute Ergebnis des Chemischen Laboratorium von Dr. Fresenius ließ sich Alfred Rohde, der Wirt des Gasthauses, sogar auf eine Postkarte drucken.

    Seit 1888 wird der Fürstenbrunn professionell ausgebeutet. Im 20. Jahrhundert entstand eine Abfüllanlage, die durch lange unterirdische Rohre mit der Quelle verbunden ist. Heute kann man das Fürstenbrunn-Wasser auch beim Discounter kaufen. Selbst, wenn man kein Jäger oder Adliger ist.

    1 Kommentar

    Regina Wick sagt:
    15. JUNI 2020 UM 00:06 UHR
    Die Fürstenbrunnquelle und die Abfüllanlage gibt es schon seit Jahrzehnten nicht mehr. Heutiges Fürstenbrunner Wasser kommt nicht aus Berlin.
    P.S. Offiziell heißt es, die Quelle wäre versiegt. Soweit ich mich erinnere, wurde der Verkauf von dem Wasser verboten, da er durch den nebenanliegenden Friedhof mit Leichenwasser kontaminiert war. Da ist Lehmboden und es gab zahlreiche sogenannte Wasserleichen. Die Firma Apolinaris hatte irgendwo auch schon mal das Problem. Das die Quelle versiegt ist, halte ich aufgrund der Lage, im Tal der Teltower Höhe und neben der Spree, für unglaubwürdig.
    Mit freundlichen Grüßen
    R. Wick

    Bahnhof Siemensstadt-Fürstenbrunn
    https://de.wikipedia.org/wiki/Bahnhof_Siemensstadt-F%C3%BCrstenbrunn

    Der Bahnhof Siemensstadt-Fürstenbrunn war ein Vorortbahnhof an der Hamburger Bahn im Berliner Ortsteil Westend. Er wurde vornehmlich für die Arbeiter der nahegelegenen Siemens-Werke gebaut.

    Lage
    Der Bahnhof lag in der Stadt Charlottenburg (ab 1. Oktober 1920 im Berliner Bezirk Charlottenburg) an der Grenze des zu Spandau gehörenden Ortsteils Siemensstadt, in flachem Gelände nahe dem Südufer der Spree. Das Bahnhofsgebäude befand sich an der Nordseite der Trasse der Hamburger- und Lehrter Bahn, der Zugang erfolgte vom Fürstenbrunner Weg aus.

    #Berlin #Charlottenburg-Wilmdersdorf #Westend #Ruhwaldweg #Wasser #Geschichte

  • Radweg-Bau bedroht Berlins Wasserversorgung
    https://www.berliner-kurier.de/kiez/radweg-bau-bedroht-berlins-wasserversorgung-li.94866

    Die Berliner Wasserbetriebe haben den Bau eines Radwegs in Mahlsdorf gestoppt. Geplante Arbeiten im Münsterberger Weg können vorerst nicht stattfinden, weil unter der Strecke zwei fast 130 Jahre alte Wasserrohre verlaufen. Diese Leitungen versorgen 500.000 Berliner mit Trinkwasser. Schwere Baumaschinen könnten eine Havarie auslösen.

    Entstehen sollte der 160 Meter lange Radweg auf einem Trampelpfad am Münsterberger Weg zwischen Gielsdorfer und Neuenhagener Straße. Für den Bau hatte der Berliner Senat dem Bezirk Marzahn-Hellersdorf 93.000 Euro bereitgestellt. Doch in einer Planungsrunde fiel Vertretern der Wasserbetriebe auf, dass die Lage des Radwegs ungeahnte Probleme aufwirft. Bauarbeiten könnten an zwei wichtigen Transportleitungen einen Schalenbruch verursachen.

    Die Rohre liegen bereits seit den Jahren 1893 und 1896 im Boden von Mahlsdorf - allerdings nicht besonders tief. „Sie sind mit einem Innendurchmesser von 1,20 Meter vom größten Kaliber“, sagt Stephan Natz, Sprecher der Wasserbetriebe. Die Rohre leiten Trinkwasser für Hunderttausende Haushalte vom Wasserwerk Friedrichshagen zum Zwischenpumpwerk Lichtenberg. Von dort werden weite Teil der sogenannten Berliner Tiefstadt versorgt.
    Historische Leitungen aus Grauguss

    Die alten Leitungen sind aus Grauguss gefertigt und, so der Sprecher, „im Grunde für die Ewigkeit gemacht“. Wenn man sie in Ruhe lasse, könnten sie noch lange „top in Schuss bleiben“. Ein Nachteil des Graugusses sei jedoch seine begrenzte Bewegungstoleranz. „Die Rohre sollten mit Samthandschuhen angefasst und nicht durch den Einsatz von Baumaschinen gefährdet werden“, so der Sprecher. Der Radweg könne nun nicht wie geplant entstehen.

    Was im Fall einer Havarie drohen würde, zeigt das Beispiel eines Wasserrohrbruchs zwischen Malchow und Karow im September 2016. Rund 20.000 Kubikmeter auslaufendes Wasser ließen auf dem Acker, unter dem die beschädigte Ringleitung verlief, einen See entstehen. In Haushalten in Marzahn-Hellersdorf, Pankow, Prenzlauer Berg, Friedrichshain und Lichtenberg war die Wasserversorgung stundenlang beeinträchtigt. „Mieter in Wohnungen ab der vierten Etage hatten aufgrund gesunkenen Wasserdrucks Probleme“, so die Berliner Wasserbetriebe.

    Damit sich ein Zwischenfall wie im Jahr 2016 nicht wiederholt, prüft das Bezirksamt Marzahn-Hellersdorf nun die Möglichkeit eines Radwegbaus ohne Risiken für die unterirdischen Wasserrohre. „Für uns wäre es am einfachsten, wenn die Wasserbetriebe die gefährdeten Leitungen zeitnah erneuern könnten“, sagt Wirtschaftsstadträtin Nadja Zivkovic (CDU). Doch man müsse davon ausgehen, dass die nötigen Arbeiten nicht kurzfristig zu erledigen seien.
    Neue Route für den Radweg?

    Wasserbetriebe-Sprecher Stephan Natz nennt die Lösungsmöglichkeiten, entweder für die Wasserversorgung einen anderen Streckenverlauf zu finden oder den geplanten Radweg um ein Stück zu verschieben. „Eine Neuverlegung von Wasserleitungen wäre theoretisch möglich, aber mit Kosten von geschätzt einer Million Euro verbunden“, sagt er. Der Bezirk müsse sehen, ob er nicht stattdessen die Planungen für den Verlauf des Radwegs überarbeiten wolle.

    Stadträtin Zivkovic betont, dass eine Alternativroute für den Radweg an die Bedingung einer „ökologisch guten Lösung“ gebunden sei. Man wolle so wenig Bäume wie möglich beschädigen und Eingriffe in die Natur vermeiden. Bezirk und Wasserbetriebe müssen nun abwägen zwischen Umweltschutz, Kosten und der Sicherstellung der Wasserversorgung. Eine Havarie und Schäden an den fast 130 Jahre alten Leitungen will niemand in Kauf nehmen.

    Noch ältere Wasserrohre gibt es in Berlin in der Torstraße in Mitte. Sie wurden um das Jahr 1856 in der Zeit der Gründung der Wasserbetriebe verlegt.

    ##Berlin #Mahlsdorf #Münsterberger_Weg #Wasser #Geschichte

  • Ein Spaziergang zur Osterquelle: Schöner das Wasser nie fließet - Berlin - Tagesspiegel
    https://www.tagesspiegel.de/berlin/ein-spaziergang-zur-osterquelle-schoener-das-wasser-nie-fliesset/19674876.html

    16.04.2017, von Andreas Conrad - Die Lübarser Osterquelle gilt als letzte sprudelnde Quelle Berlins. Der Name geht auf einen uralten Brauch zurück: das Holen des Osterwassers.

    Jetzt geht es nur noch zu Fuß weiter oder mit dem Rad – natürlich auch hoch zu Ross, schließlich sind wir in Alt-Lübars. Das letzte Gehöft, ein Reiterhof, bleibt zurück, geradeaus führt eine Chaussee rüber nach Blankenfelde, doch nach links lädt der sandige, bald sich verjüngende Schildower Weg zum Spaziergang hinunter ins Tegeler Fließ ein.

    Dort hinten soll sie irgendwo liegen: die Osterquelle, „die letzte freisprudelnde Quelle Berlins“, wie sie auf dem „offiziellen Hauptstadtportal“ berlin.de angepriesen wird. Ein seit Jahrhunderten bekannter, von allerlei Legenden umrankter Ort, ein Stück urtümliche, unverfälschte Natur, wie es scheint, und sogar mit direktem Bezug zum wichtigsten Fest der Christenheit. Das sollte einem gerade in diesen Tagen doch einen Besuch wert sein.

    Freilich, die Lübarserin, die an der Endhaltestelle der Buslinie 222, am Rande des Dorfangers, den Weg zur Quelle beschrieb, hat die Vorfreude etwas gedämpft: „Erwarten Sie nichts Spektakuläres.“ Ob es denn ein beliebtes Ausflugsziel sei? „Na, das sind hier eher der Alte Dorfkrug und der Labsaal. Zur Quelle würde ich niemanden hinscheuchen.“
    Und jetzt nichts wie rein ins Urstromtal

    Nur nicht abschrecken lassen, der Weg von der Straße hinunter ins alte Urstromtal wäre auch ohne Quelle einen Osterspaziergang wert. Saftiges Grün, Felder wie Wiesen, wohin das Auge blickt, sanft sich wellende Hügel zur Rechten, links ein silbern blinkender Teich, dazwischen in nicht allzu großer Ferne Büsche und Bäume, zu denen der Pfad sich hinwindet. Übrigens Teil des „Barnimer Dörferwegs“, wie einer der zahlreichen Wegweiser wissen lässt, nur auf die Osterquelle fehlt anfangs jeglicher Hinweis. Immerhin findet sich auf einer Infotafel zum Urstromtal, die der Naturschutzbund Nabu am Wegesrand postiert hat, eine Karte mit dem Eintrag „Osterquelle“. Sie muss also ganz nah sein.

    Und tatsächlich, nach wenigen 100 Metern liegt sie zur Rechten, ein gemauertes Halbrund, von frisch sprießendem Laub beschattet, wie es sich gehört. Eine weitere Tafel bestätigt, dass es sich tatsächlich um die gesuchte Quelle handelt, erklärt grafisch sehr anschaulich, wie sie durch eine Wassersperrschicht aus Lehm, die sich in den sandigen Untergrund geschoben habe, entstanden sei.
    Sieben Liter pro Sekunde? Schön wär’s

    Aber ach, dieses Rieseln entspricht in der Tat nicht dem, was man sich gemeinhin unter einer Quelle vorstellt. „Sieben Liter pro Sekunde mit einer durchschnittlichen Temperatur von 9°C“ werden der Quelle auf Wikipedia noch zugesprochen, aber davon kann an diesem Apriltag keine Rede sei. Nur aus drei der neun Röhren rinnt, sickert und tröpfelt es, am Grunde des Beckens hat sich gerade mal eine größere Pfütze gebildet, immerhin mit stetem Zufluss, wie das auf der anderen Seite des Pfades in einem kleinen Graben davonrinnende Wasser zeigt.

    Aber man findet dort durchaus die für solche Quellen typische Flora und Fauna, wie Bernd Machatzi, Mitarbeiter des Landesbeauftragten für Naturschutz und Landschaftspflege, versichert: die Brunnenkresse etwa, die Winkel-Segge und besondere Moosarten, dazu Kleinkrebse und die Larven der Köcherfliege. Früher habe es in Berlin viele solcher Sickerquellen gegeben, etwa an den Hängen der Havel, noch heute könne man einige finden. Man sehe dort zwar kein Wasser, das nur flächig, nicht punktuell austrete, doch an der Vegetation könne man sie erkennen. Insgesamt aber sei die Zahl solcher Stellen durch die intensive Trinkwassergewinnung der Millionenstadt stark gesunken.

    Für die Wasserwirtschaft ist die Osterquelle freilich ein belangloser Miniborn, wie ein Anruf bei den Wasserbetrieben ergibt. Ähnliche Sickerquellen, wo Wasser über einer Sperrschicht aus Lehm an die Oberfläche trete, gebe es etwa auch in Buch und Karow, weiß Stephan Natz, Sprecher der Berliner Wasserbetriebe. Für deren Brunnenanlagen sei das Lübarser Nass ohne Bedeutung, das nächste Wasserwerk sei in der Nähe des Tegeler Sees.
    Erstmals wurde die Osterquelle im Jahr 1751 erwähnt

    Nicht immer wurde der Osterquelle solch eine Geringschätzung zuteil, allerdings hatte sie früher offensichtlich mehr zu bieten als heute. Die erste bekannte Erwähnung findet sich in der „Historischen Beschreibung der Chur und Mark Brandenburg“ von Johann Christoph und Bernhard Ludwig Bekmann, erschienen 1751 in Berlin: „Unweit Lubarsch, Berl. Insp. entstehet aus einem hohen berg und untenhin aus den ringsumher hervortreibenden quellen ein wasser, welches mitten im sommer, auch in den heissesten Tagen eiskalt ist, jedoch im härtesten winter niemahls zufrieret: dergleichen eigenschafft oben s. 598. auch bei dem Freienwald. Gesundbrunnen anzutreffen ist, und in den Mineraltheilen seinen grund hat.“ Das Wasser muss damals also an gleich mehreren Stellen aus der Erde gequollen sein.

    Auf die Herkunft des Namens Osterquelle findet sich in der alten Chronik kein Hinweis, vielleicht war er damals noch nicht gebräuchlich. Entstanden ist er durch einen wohl in vorchristlichen Ritualen wurzelnden, in sorbischen Gegenden Brandenburgs teilweise noch lebendigen, hierzulande vergessenen Brauch: das Holen des Osterwassers. Es galt als besonders rein, ihm wurden heilende, sogar verschönernde Kräfte zugesprochen, hilfreich für zarte Haut – sofern es in der Osternacht oder am Ostermorgen unter völligem Schweigen aus Flüssen oder Quellen geholt wurde, am besten von Jungfrauen. Die jungen Männer hingegen machten sich einen Spaß daraus, die Mädchen bei ihrem verschwiegenen Treiben zu erschrecken, zum Lachen oder gar zum Sprechen zu bringen, obwohl das Wasser, wie man glaubte, dadurch seine Wirkung verlor. Noch Mitte des 19. Jahrhunderts wurde dieser Brauch auch in Berlin geübt, wie Ernst Friedel, Gründer und erster Direktor des Märkischen Museums, aus seiner Kindheit berichtete. So hätten Soldaten auf der Weidendammer Brücke immer wieder versucht, ihren Holden beim Holen des Osterwassers ein Lächeln zu entlocken, und das Potsdamer Tor sei die ganze Osternacht geöffnet geblieben, um all die Wasser holenden Frauen durchzulassen.

    Auch die Lübarser Osterquelle muss mal diese Bedeutung gehabt haben, auch wenn man sich das nur noch schwer vorstellen kann. Wie ein schwacher Widerschein des alten Brauchs wirkten in den beiden Vorjahren die Einladungen der Kirchengemeinde Lübars, nach dem Gottesdienst am Ostermontag gemeinsam zur Osterquelle zu spazieren. In diesem Jahr ist auch dies nicht mehr geplant. Osterwasser in ausreichender Menge wäre dort ohnehin nicht mehr zu holen.

    Allerdings, so muss das nicht bleiben. Der Niederschlagsverlauf der vergangenen Tage sei einfach nicht ausreichend gewesen, beruhigt Naturschutzexperte Machatzi. Wenn es kräftig regne – und das soll es ja durchaus in diesen Tagen –, sammle sich das Wasser im Einzugsgebiet, und die Osterquelle beginne wieder zu sprudeln. Immerhin, ein kleiner Trost für ein verregnetes Osterfest.

    #Berlin #Lübars #Wasser #Osterquelle #Labsaal #Barnimer_Dörferweg #Buch #Karow #Tegeler_See #Gesundbrunnen #Ernst_Friedel #Weidendammer_Brücke #Potsdamer_Tor #Kirchengemeinde_Lübars

  • Berlin hat ein Grundwasser-Problem - Berliner Morgenpost
    https://www.morgenpost.de/berlin/article216775237/Berlin-hat-ein-Grundwasser-Problem.html

    30.03.2019, von Nina Kugler - Grundwasser ist in Berlin zusehends ein Problem. Die Ursache liegt nicht besonders tief.

    Neben dem Blumenviertel in Neukölln sind auch Berliner Bezirke von mit Grundwasser durchnässten Kellern betroffen, insbesondere Stadtteile, die im Bereich des Urstromtals liegen. Deutlich stieg beispielsweise das Grundwasser in den vergangenen Jahrzehnten im südlichen Mahlsdorf und Kaulsdorf an, in Johannisthal, in Rudow, in der Rummelsburger Bucht, im Regierungsviertel, am Schloss Charlottenburg, in Siemensstadt und in Wittenau.

    Die Ursache des Problems liegt nicht besonders tief: Berlin wurde auf sumpfigem Gebiet gebaut und bezieht sein Wasser aus dem Grundwasser. Weil aber der Wasserverbrauch seit Jahrzehnten in der Stadt sinkt, steigt der Grundwasserspiegel an.

    Wie ein Gutachten ergab, das die Beratungsgesellschaft KWS Geotechnik und das Ingenieurbüro für Grundwasser (IGB) im Auftrag der Berliner Industrie- und Handelskammer 2014 veröffentlicht hatten, ist der Grundwasserspiegel in Berlin seit 1989 vielerorts um mehr als einen halben Meter gestiegen, in einigen Gegenden sogar um mehr als einen Meter.

    Das Gutachten zeigt außerdem, dass eine Fläche von bis zu 33 Quadratkilometern – ein Gebiet, größer als der Bezirk Friedrichshain-Kreuzberg – von sogenannten „Vernässungsschäden“ bedroht ist. Insgesamt knapp 200.000 Berliner leben dort.

    Und: Zukünftig ist laut der Studie mit noch mehr Schäden an Gebäuden zu rechnen. Zum einen verlieren Abdichtungsmaßnahmen an Gebäuden nach einigen Jahrzehnten ihre Wirkung. Zum anderen steigen seit den frühen 90er-Jahren die Grundwasserspiegel wieder an, weil die Industrie, aber auch die Privathaushalte nur noch halb so viel Wasser verbrauchen wie vor 25 Jahren.

    Einer der Hauptgründe für den sinkenden Wasserverbrauch war die Schließung einiger Wasserwerke nach dem Mauerfall. Somit wurde auch kein Wasser mehr für die Produktion benötigt. Hinzu kamen sparsame Geräte und ein Umdenken in der Bevölkerung.
    Mäckeritzwiesen standen tagelang unter Wasser

    Besonders schlimm hatte es im Sommer 2017 die Mäckeritzwiesen getroffen, eine Siedlung in Reinickendorf. Nach ergiebigem Dauerregen war das Gebiet teilweise überschwemmt. Das Problem: Die Mäckeritzwiesen liegen in einer Senke. Und wenn es regnet, sammelt sich das Wasser wie in einem Teich. So sah das Gebiet dann 2017 auch aus – es erinnerte mehr an einen See als an ein Wohngebiet.

    Grundwasser hatte sich damals schließlich durch den Boden hochgedrückt. Die Erde war mit Regenwasser vollgesogen wie ein Schwamm und konnte nichts mehr aufnehmen. Die Folge: Häuser standen unter Wasser. Und was mühsam abgepumpt wurde, stieg tagelang immer wieder hoch und überflutete die Gegend von neuem.
    Keller im Boxhagener Kiez feucht

    Auch im hippen Boxhagener Kiez sind viele Keller feucht. Hier sind vor allem Häuser betroffen, die rund 100 Jahre oder älter sind. Ihre Keller wurden in etwa 2,3 Metern Tiefe gebaut, das Grundwasser aber ist nur knapp darunter. Das führt zu Kellern, die viele Tage im Jahr feucht sind.

    Der Senat aber sagt auch hier, ähnlich wie im Neuköllner Blumenviertel: Baumängel seien der Grund, weshalb Grundwasser in die Häuser dringt. Instandsetzungsmaßnahmen will das Land nicht übernehmen. Dabei belaufen sich die Kosten pro Haus auf bis zu 800.000 Euro.
    Prominente Beispiele von Feuchtigkeitsschäden

    Und es gibt auch prominente Beispiele von Feuchtigkeitsschäden: Die Staatsoper Unter den Linden oder das Gebäude des Bundesrats am Leipziger Platz sorgten in den vergangenen Jahren durch die millionenschweren Auswirkungen für Aufmerksamkeit. Bei dem Bundesratsgebäude beliefen sich die Kosten, um das Haus dauerhaft abzudichten, auf 24,4 Millionen Euro.

    2014 traf es die Baustelle der U-Bahnlinie 5. Tonnenweise Sand und Wasser waren bei Bauarbeiten in den U-Bahntunnel eingedrungen. Der Boulevard Unter den Linden musste gesperrt werden. Als Konsequenz wird der Boden der Bahnstrecke nun vereist, damit kein Wasser mehr eindringen kann.

    #Berlin #Geologie #Wasser

  • Grünes #Synthesegas für Industrie - Sunfire
    https://diasp.eu/p/8103001

    Grünes #Synthesegas für Industrie - Sunfire

    Mit der Co-Elektrolyse von Sunfire kann aus #Wasser in Verbindung mit Kohlendioxid und Ökostrom via Synthesegas sogar #CO2 - neutrales synthetisches Rohöl erzeugt werden. Das sogenannte #e-Crude besteht dabei aus verschiedenen Kohlenwasserstoffen und kann #Rohöl in herkömmlichen Produktionsprozessen ersetzen. Bereits existierende Infrastrukturen können so mit erneuerbaren Rohstoffen weiterhin genutzt werden. Bereiche, die nicht elektrifiziert werden können, wie der Langstreckenverkehr, die #Luft- und die #Schifffahrt oder auch der Chemiesektor werden auf diese Weise ohne Anpassungen und Einschränkungen klimafreundlicher. (...)

  • Initiative wirbt für kostenlose Trinkwasser-Zapfstellen
    http://www.berliner-woche.de/zehlendorf/soziales/initiative-wirbt-fuer-kostenlose-trinkwasser-zapfstellen-d130352.html

    Steglitz-Zehlendorf. Unterwegs und nichts zu trinken dabei? Statt sich im nächsten Kiosk ein Getränk in der Plastikflasche zu kaufen, können Durstige jetzt Stationen mit kostenlosem Trinkwasser ansteuern.

    ...

    In Steglitz-Zehlendorf gibt es derzeit vier Zapfstationen. Zwei davon sind die Trinkbrunnen in der Königin-Luise-Straße 6 in Dahlem sowie in der Bogenstraße 9 in Lichterfelde. Blumen Weyer in der Schloßstraße 11 in Steglitz macht mit, ebenso der Spielzeugladen „Löwenzahn“ in der Ferdinandstraße 35 in Lichterfelde-Ost.
    Lebensmittel für alle

    Dessen Inhaberin Jutta Goedicke war sofort von der Initiative überzeugt: „Ich hörte im Radio davon und fand die Idee super", sagt sie. "Trinkwasser gehört zur Grundversorgung und sollte allen zur Verfügung stehen, nicht nur meinen Kunden.“ Aktuell gibt es 105 Stationen in Berlin. „Damit sind wir die besten Refiller der Nation“, freut sich Lena Ganssmann.

    Verzeichnet sind die Stationen auf einer Karte im Internet auf www.refill-berlin.de.

    Refill-Berlin
    http://www.refill-berlin.de

    #Berlin #Ernährung #Wasser

  • #15
    http://www.radiopanik.org/emissions/bruxelles-m-habite/-15

    Au menu :

    jeu-quizz sur des lieux bruxellois chronique : « de Saint-Gilles à Molenbeek, une simple question de point de vue » ; exploration en sons et en mots sur la #wasserette ; discussion autour de la #tour #brusilia, sur le toit de laquelle trône fièrement l’antenne de Radio Panik : avec la présence des co-réalisateurs de la fiction radiophonique « Dans la Tour » (Pierre Lorquet, Luc Malghem & Sabine Ringelheim) (d’ailleurs, on diffusera la fiction vendredi 24/2 à midi) à confirmer, la présence d’une habitante du Brusilia

    source illustration : https://www.flickr.com/photos/faceme/23221749843

    Flickr

    #quizz
    http://www.radiopanik.org/media/sounds/bruxelles-m-habite/-15_03301__1.mp3

  • Rohrbruch: Hunderttausende Berliner Haushalte ohne Wasser - Polizei & Justiz - Berlin - Tagesspiegel
    http://www.tagesspiegel.de/berlin/polizei-justiz/rohrbruch-hunderttausende-berliner-haushalte-ohne-wasser/14537360.html
    Die Rechtsform sieht komisch aus, aber die Qualität stammt noch aus Zeiten, als Wasser wirklich allen gehörte. Nur zwei bis drei Stunden dauerte es, nach einem großen Wasserrohrbruch die Haushalte wieder zu versorgen. Gut gemacht, Berliner Wasserwerke.

    Einige Hunderttausend Berliner Haushalte waren in der Nacht zum Dienstag stundenlang von der Wasserversorgung abgeschnitten. Grund dafür war ein Rohrbruch, sagte der Sprecher der Berliner Wasserbetriebe, Stephan Natz. Betroffen waren Teile von Pankow, Prenzlauer Berg, Weißensee, Marzahn, Hellersdorf, Hohen Schönhausen und Lichtenberg. Der Vorfall ereignete sich gegen 23.30 Uhr. Das betroffene, ein Meter dicke Rohr brach unter einem Radweg, der quer über ein Feld zwischen den Berliner Ortsteilen Karow, Malchow und der Ortschaft Lindenberg führt. „Beiderseits des Weges haben sich auf dem Acker zwei große Seen gebildet“, sagte Stephan Natz.

    Erst nach fast zwei Stunden sei die Bruchstelle gefunden worden, dann musste die entsprechende Leitung von Hand zugedreht werden. Daher habe sich die Lage erst gegen 3.30 Uhr normalisiert, seither funktioniere die Wasserversorgung wieder wie gewohnt.

    Berliner Wasserbetriebe - Willkommen bei den Berliner Wasserbetrieben - Ihr Wasserver- und Abwasserentsorger von Berlin
    http://www.bwb.de/content/language1/html/index.php

    Durch einen Rohrschaden im Nordosten Berlins kam es am 13.09.2016 in der Zeit von 0 Uhr bis 3.30 Uhr zu Druckmangel in den Bezirken Marzahn-Hellersdorf, Pankow und Lichtenberg. Der Wasserdruck ist wieder stabil. Wir bitten Sie, die Beeinträchtigungen zu entschuldigen.

    Das sind die Fakten:

    Berliner Wasserbetriebe
    Neue Jüdenstraße 1
    10179 Berlin

    Telefon: 0800.292 7587 (kostenfreie Servicenummer)
    Fax: 030.8644 2810
    E-Mail: service@bwb.de
    Nehmen Sie zu uns Kontakt auf

    Die Berliner Wasserbetriebe sind eine Anstalt des öffentlichen Rechts.

    Vorsitzender des Aufsichtsrates:
    Senator Dr. Matthias Kollatz-Ahnen

    Vorstand:
    Jörg Simon (Vorsitzender), Frank Bruckmann, Kerstin Oster

    Registergericht: Amtsgericht Charlottenburg
    Registernummer: HR A 30951 B
    Umsatzsteuer-Identifikationsnummer gemäß § 27a UStG: DE 136630247

    #Berlin #Wasser #Privatisierung

  • Stiftung Warentest: Mineralwasser ist nicht besser als Leitungswasser - Wirtschaft - Tagesspiegel
    http://www.tagesspiegel.de/wirtschaft/stiftung-warentest-mineralwasser-ist-nicht-besser-als-leitungswasser/13939328.html

    Wußten wir schon, aber gut, dass es mal wieder gesagt wird.

    Die Deutschen lieben Mineralwasser - dabei wird es überbewertet. Laut einer Untersuchung der Stiftung Warentest ist es nicht besser als Wasser aus dem Hahn. VON MARIE RÖVEKAMP

    #Berlin #Wasser

  • Putting Water Back in Public Hands - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=hq9yqR-codY

    TheRealNews TRNN Published on 24 Apr 2013

    Nick Buxton: Paris and other cities have remunicipalised water that had been privatized saving users money and introducing more democracy and transparency

    via http://02mydafsoup-01.soup.io/post/310096772/Putting-Water-Back-in-Public-Hands

    #water #eau #Wasser #privatization #privatisation #Privatisierung #Remunicipalisation #Verstaatlichung