AUTISME et TRANSIDENTITE
▻https://www.youtube.com/watch?v=5V2u-gpXE9I
Le milieu de l’autisme est frappé depuis quelques années par un étrange phénomène : de plus en plus de jeunes femmes diagnostiquées TSA (Trouble du Spectre de l’Autisme) ou à suspicion de l’être, revendiquent une « identité transgenre » et entament une démarche de transition vers le « genre » masculin. Des garçons autistes font le chemin en sens inverse. Les associations dédiées au TSA sont désormais investies par des personnes transidentifiées au comportement extrêmement prosélyte. Selon les études, de 15 à 20% des jeunes en désir de transition seraient dans le spectre de l’autisme. Il étaient inexistants il y dix ans. La vague est telle que ce chiffre pourrait être largement sous estimé, a tel point qu’un certain nombre de professionnels (psychologues et psychiatres) abandonnent le terrain de l’accompagnement de l’autisme pour se consacrer exclusivement au nouveau marché de la transidentité. Sur ce sujet, jusqu’à présent, seules les revendications transidentitaires ont été entendues. Pour la première fois, trois femmes vont s’exprimer avec un discours critique beaucoup plus nuancé : Danielle est TSA et désisteuse, Pamela est psychologue TCCn elle accueille dans sa patientèle des personnes TSA et en parcours de transition, Magali est TSA et co fondatrice de l’association PAARI « Personnes Autistes pour une Autodétermination Responsable et Innovante ». Cette interview croisée a été réalisée, animée et montée par Sophie Robert.
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Je m’étonne que personne n’y évoque ceci ;
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Selon l’association francophone des femmes autistes
9 femmes autistes sur 10 victimes de violences sexuelles : et tout le monde s’en fout ?
▻https://femmesautistesfrancophones.com/2022/05/18/femmes-autistes-violences-sexuelles
Extrait de l’étude française publiée dans la revue scientifique Frontiers in behavioral neuroscience le 27 avril 2022
Nous déplorons le peu de relais médiatique à la sortie de cette étude française. Certains sites ont repris les grandes lignes de l’étude mais sans creuser le sujet, sans parler des mécanismes des violences, ni des conséquences psychotraumatiques, sans parler de l’urgence d’accompagnement ou de soins, sans remettre en question ni le système institutionnel médico-social, ni les familles, ni l’école, encore moins la société ou son incapacité à inclure et protéger les plus vulnérables.
Quand même des chiffres démontrent l’ampleur du désastre, il semblerait que cela ne suffise pas…
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