• Quelle place pour les femmes dans l’espace public à Tours ?

    Tours a entamé une réflexion sur la place des femmes dans la ville. Des premières mesures pour améliorer “ l’ambiance urbaine ” vont être prises.

    http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre-et-Loire/Actualite/Economie-social/n/Contenus/Articles/2016/08/03/Quelle-place-pour-les-femmes-dans-l-espace-public-a-Tours-28001

    #femmes #espace_public #Tours #France #espace #genre #géographie_du_genre

    • « On ne peut pas se substituer aux parents, ce n’est pas à nous de faire de l’éducation » explique Olivier Lebreton.

      Il est bien a coté de la plaque cet Olivier Lebreton, comme si il n’y avait que les mineurs (j’imagine de milieux défavorisées) pour agressé les femmes dans l’espace publique.
      J’ai vraiment l’impression d’un opportunisme fémonationaliste, c’est à dire que le féminisme sert ici de prétexte a s’en prendre aux jeunes qui trainent dans la rue et au passage à refourgué encore des cameras.

  • Plus de caméras de surveillance et des voisins vigilants en ville
    http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre-et-Loire/Actualite/Economie-social/n/Contenus/Articles/2016/02/03/Plus-de-cameras-de-surveillance-et-des-voisins-vigilants-en-vil

    La ville prévoit de se doter de nouvelles caméras de vidéosurveillance et envisage de mettre en place un réseau de voisins vigilants. La municipalité a annoncé son intention de se doter de nouvelles caméras de vidéosurveillance, lors de la conférence de presse tenue à la fin du conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance, le 29 janvier. Bertrand Luquel, adjoint au maire en charge de la sécurité, s’amuse même du changement de réaction des Lochois par rapport à ces caméras. « Vous ne pouvez (...) #CCTV #vidéo-surveillance #surveillance_des_voisins #contrôle_social

  • Les demandeurs d’emploi prennent la parole, La Nouvelle République Indre-et-Loire
    http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre-et-Loire/Actualite/Economie-social/n/Contenus/Articles/2015/11/06/Les-demandeurs-d-emploi-prennent-la-parole-2523618

    Séance vérité, mercredi après-midi, à l’agence #Pôle_emploi de Tours-Nord. Invités à s’exprimer, des demandeurs d’emploi ont livré leur “ ressenti ”.

    Marc et Nicolas ont ainsi indiqué qu’il était fréquent de se perdre dans les arcanes du site qui leur était dédié cependant que Michel avouait ne pas tenir compte des instructions distillées sur les #serveurs_téléphoniques « afin d’être sûr de tomber au bout du compte sur un conseiller ».
    Sans surprise, ce sont les personnes les plus âgées qui reconnaissent « avoir besoin d’un contact direct ; d’un contact humain et non pas d’une boîte vocale. »
    Une femme d’une quarantaine d’années explique que « faute, sans doute, d’avoir compris la #procédure, j’ai passé un an sans avoir le moindre contact avec un conseiller. »
    « J’ai 28 années d’expérience dans le domaine administratif. Aujourd’hui, je me rends compte que pour avoir un emploi dans ce domaine, il faut au moins être titulaire d’un bac + 2, ce qui n’est pas mon cas. Je me suis donc réorientée vers les carrières d’aide à la personne, mais il aurait été préférable que je puisse le faire dès le début. »
    Plus âgé, Marc parle de son espoir déçu avec une émotion qu’il a beaucoup de mal à contenir. « Je me suis défoncé pendant neuf mois pour faire une #formation de chauffagiste mais il n’y a pas eu de travail au bout. »
    Charles avoue sa réticence pour des entretiens collectifs qui ne lui semblent guère efficaces. Un autre Michel abonde dans son sens. « On entend des généralités qui concernent effectivement 80 % des personnes présentes mais chacun et chacune d’entre nous font partie des 20 % restants. Ils ont leur histoire, leur spécificité. On a donc – individuellement – l’impression d’être tous un peu à la marge. »
    Une jeune femme se montre moins sévère que Marc quant aux formations qui ne débouchent pas forcément sur un emploi. Elle affirme que « ça m’a remise dans une dynamique m’ayant permis d’être plus active dans ma recherche. »
    Une recherche qui passe aussi par ces « marchés cachés » que l’on aborde grâce au bouche à oreille ou en mettant en branle son réseau. « Oui mais pour nous, seniors, c’est quasi impossible. Les gens que nous avons côtoyés pendant notre activité étant souvent aujourd’hui en #retraite. »
    Les seniors, c’est sans doute eux qu’on a le plus entendu au cours de cet échange placé sous le sceau de la sincérité. L’un d’entre eux, âgé de 58 ans, explique : « Je ne mets pas mon âge en avant lorsque je vais à un entretien et en général, ça se passe très bien. »
    Son voisin de table fait exactement le contraire. « Moi, je me vends en évoquant les #baisses_de_charges. Ça débouche souvent sur de petits boulots. J’ai déjà eu treize employeurs… j’en cherche un quatorzième. »

    #demandeurs_d'emploi #chômeurs (mot absent...) #précaires (idem)

  • L’effet pervers des droits rechargeables - 21/02/2015 - La Nouvelle République Indre-et-Loire
    http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre-et-Loire/Actualite/Economie-social/n/Contenus/Articles/2015/02/21/L-effet-pervers-des-droits-rechargeables-2232075

    Pendant un an et dix mois, je vais toucher 520 € d’indemnité mensuelle. Je ne m’attendais pas à ça. Amandine, Saint-Avertinoise de 25 ans, est au #chômage depuis fin novembre. Après cinq mois de #CDD rémunérés au Smic, elle espérait recevoir 75 % de son ancien #salaire, comme c’est la règle… Sauf que la règle a changé : le système des « #droits_rechargeables », en vigueur depuis octobre, préserve jusqu’à épuisement les droits ouverts par sa précédente période de travail, soit deux ans comme assistante de vie scolaire (AVS) à temps partiel pour 67 € par mois. Il lui faudra « consommer » l’indemnisation chômage acquise avant que sa dernière période de travail, qui ouvre des droits d’un montant plus élevé, soit considérée. « Toutes charges déduites, il me reste 100 € pour vivre », a-t-elle calculé avec une assistante sociale.

    " Pas normal qu’il y ait des perdants "

    En période où le chômage s’étire, la récente réforme de l’assurance chômage devait être une aubaine pour les demandeurs d’emploi. Depuis son entrée en application, elle révèle son effet pervers. Car si les droits rechargeables suppriment le risque de perdre les droits déjà accumulés en reprenant temporairement un travail, ils pénalisent ceux qui ont anciennement occupé un emploi moins rémunéré.