• Révision 116199 – SPIP-ZONE
    https://zone.spip.net/trac/spip-zone/changeset/116199/spip-zone

    Documentation provisoire du plugin SPIP « filtres_images_vectorise » qui propose 3 types de filtres de vectorisation d’images bitmaps en SVG.
    Utilise soit la lib GeometrizePHP soit la lib PotRace soit une combinaison des 2.
    Voir aussi :
    https://github.com/Cerdic/geometrize-php pour GeometrizePHP
    https://github.com/Otamay/potracio (+ https://seenthis.net/messages/645575) pour PotRace

    Ca va dépoter les SVG dans SPIP :-) !

    #SVG #vectoriser #PHP #SPIP #filtres_images_vectorise #plugin

    • C’est beau :)

      <BOUCLE_docs(DOCUMENTS){id_document IN 8,9}>
      [(#FICHIER|image_reduire{#GET{taille}})]
      [(#FICHIER|image_reduire{#GET{taille}}|image_geometrize)]
      [(#FICHIER|image_reduire{#GET{taille}}|image_potrace)]
      [(#FICHIER|image_reduire{#GET{taille}}|image_geopotrize)]
      <hr/>
      </BOUCLE_docs>

      Par contre on dirait qu’il y a un petit glitch avec image_geopotrize par défaut.

      PS : le glitch est corrigé et c’est encore plus beau :)

  • markdown/README.md at master · Cerdic/markdown · GitHub
    https://github.com/Cerdic/markdown/blob/master/README.md

    Ce plugin permet d’utiliser la syntaxe MarkDown dans un article SPIP.
    Un formulaire de configuration permet de choisir le fonctionnement du plugin :
    - Appliquer la syntaxe SPIP par défaut et la syntaxe MarkDown dans les blocs <md>..</md>
    - Appliquer la syntaxe MarkDown par défaut et la syntaxe SPIP dans les blocs <spip>..</spip>

    #SPIP #markdown #text_wheel #syntaxe

  • core/plugins/sites (Historie) – SPIP-ZONE
    https://zone.spip.org/trac/spip-zone/log/_core_/plugins/sites

    Cedric nous fait savoir dans spip-dev qu’il vient d’agrandir la fonctionnalité du plugin #sites. Chouette, en intégrant ce plugin dans #Seenthis il sera enfin possible d’abonner autre chose que du RSS, pas vrai ?

    Hello,

    j’ai mis en chantier sur le plugin-dist/sites de la version dev de SPIP (3.3) une extension du domaine de la syndication :
    https://zone.spip.org/trac/spip-zone/log/_core_/plugins/sites

    L’idée c’est qu’on peut syndiquer d’autres choses que des flux RSS, et notamment des flux de réseaux sociaux qui souvent nécessitent de passer par une API car le RSS n’est pas une option.

    Avec ces modifications on peut donc prefixer les urls de syndication par un nom de méthode qui précise comment le flux doit être récupéré
    (par defaut c’est la methode atomrss, native du plugin donc, qui sait traiter le Atom et le RSS).

    Première application de cette extension : le plugin mastodon
    https://github.com/Cerdic/mastodon

    qui, une fois configuré et connecté à un compte mastodon, permet de récuperer des flux de la forme

    mastodon:https://mamot.fr/@LaurentChemla (pour avoir plein de pouets de cuisine et de chats)
    mastodon:https://mamot.fr/@LaurentChemla/media (pour avoir que des images de cuisine et de chats)
    mastodon:https://mamot.fr/tags/pouetradio (pour avoir des sons)

    Ici le plugin mastodon renseigne toutes les informations habituelles d’un article syndiqués + 3 nouveaux champs raw_data, raw_methode et raw_format, qui permettent ensuite, dans une boucle (SYNDIC_ARTICLES) d’accéder aux données JSON renvoyées par l’API via par exemple #RAW_DATA{account/display_name}

    Bien entendu, les champs #TITRE, #DESCRIPTIF, #DATE etc habituels restent utilisables.

    On peut décliner cette utilisation à toute plateforme fournissant des flux via API (plus ou moins fermés, plus ou moins propriétaires)

    Le chantier est déjà fonctionnel, mais il reste à compléter la fonction d’auto-detection :
    quand on renseigne une URL dans le formulaire de création d’un nouveau site, seuls les flux RSS sont actuellement détectés, il faut encore que chaque methode soit capable de détecter les flux qu’elle peut syndiquer à partir de l’URL de la page web et les propose en résultat de la détection.

    Ça sera pour plus tard, je m’en vais marcher sur d’autres chemins.
    A bientôt.

    –-
    Cédric

    @fil @arno

    • http://www.revue-backoffice.com/numeros/01-faire-avec/eric-schrijver-culture-hacker-peur-wysiwyg

      Depuis la révolution de la publication assistée par ordinateur [PAO] des années 1990, les designers graphiques sont capables de réaliser leurs propres mises en page sans l’intervention d’ingénieurs. Dans la plupart des cas, ce qui se passe sur le Web est d’un tout autre ordre : l’exécution des sites Web est in fine prise en charge par des développeurs. Ces derniers ont donc souvent leur mot à dire dans le choix de la technologie employée pour créer un site. Rien de plus normal, dès lors, que les valeurs et préférences des développeurs se reflètent dans ces décisions. […] Ainsi, à l’inverse du design de supports imprimé, les technologies de programmation utilisées pour la création des sites Web (langages de programmation, bibliothèques logicielles, systèmes de gestion de contenu, etc.) sont presque toujours des logiciels libres et/ou disponibles en opensource ; les systèmes de gestion de contenu commerciaux intègrent même fréquemment des éléments de code open source. […]

      […]

      Le manque d’intérêt pour les nouveaux éditeurs WYSIWYG implique que les futures interfaces de ce type présenteront les mêmes problèmes d’instabilité que ce qui existe actuellement, renforçant d’autant plus la méfiance des développeurs. [C’est un cercle vicieux.] Il n’existe, à ma connaissance, que deux moteurs d’édition basés sur l’attribut contentEditable : Aloha 19 [2010] et Hallo.js 20 [2013]. Aloha est très mal documenté et sa masse de code le rend difficile à appréhender. Hallo.js prend une direction plus légère, mais reste trop limité puisqu’il n’est pas possible, par exemple, d’insérer des liens ou des images. […]

      Si le WYSIWYG était un peu moins tabou dans la culture hacker, des solutions intéressantes croisant texte brut et mise en forme graphique émergeraient probablement. Un bon exemple est la fonction « révéler les codes » 21 de WordPerfect [1980], le logiciel de traitement de texte le plus populaire avant l’avènement de Word. Lorsque vous vous trouviez confronté à un problème de mise en forme, cette fonction permettait de révéler la structure des instructions de formatage — ce qui n’est pas sans rappeler l’inspecteur DOM des navigateurs Web récents. Des exemples d’interfaces plus radicales combinant l’immédiateté de la manipulation directe d’éléments et la puissance de la programmation existent dans certains logiciels. Le programme 3D Blender [1995] propose ainsi une intrication intéressante entre interface visuelle et interface texte 22. Toutes les actions sont consignées sous la forme d’une suite de lignes de commandes qu’il est facile d’utiliser pour créer des scripts d’automatisation. La sélection d’un élément via l’interface graphique permet également de visualiser ce dernier dans la structure interne du document [DOM] et d’en faciliter ainsi l’accès par voie programmatique.

      […]

      Le potentiel de ce langage est obtenu au détriment de la concision : pour être suffisamment flexible et permettre de travailler dans des situations variées, le langage HTML est relativement verbeux. Même si le standard HTML5 a d’ores et déjà apporté de nombreuses améliorations, ce dernier n’est toujours pas assez concis pour les adeptes de la culture hacker : d’où l’existence de solutions comme le langage de balisage Markdown. Cependant, imposer l’utilisation d’un format austère en texte brut revient à en refuser l’accès à des personnes de cultures différentes.

      C’est faux ! @tetue a montré avec une camarade qu’une syntaxe légère correcte était plus facile à comprendre et à utiliser au quotidien qu’une interface graphique, pour une personne ayant un handicap. Et ça doit sûrement valoir pour les différences culturelles, hors handicap. Car une interface visuelle est à priori plus dépendante des différences culturelles que les quelques caractères utilisés dans Markdown (dièse, astérisque, tiret basique…) qui sont sur tous les claviers du monde.

      L’interface appropriée pour un écrivain pourrait ne pas être adaptée à une maison d’édition ou à un designer. […]

      Ça par contre c’est très important, sauf que la phrase ne correspond pas à la réalité. Ce n’est pas l’interface différente le problème, mais comment est stockée l’information.

      Le HTML c’est pour un affichage web et ça inclut des trucs précis propres au web. Or tous les éditeurs WYSIWYG dont parle l’article fonctionnent uniquement avec HTML et enregistre en HTML. Qui n’est pas du tout un format « pivot » idéal donc, puisqu’il est uniquement pour des pages web.

      Le fait d’enregistrer en Markdown (même si l’interface peut être WYSIWYG ou au moins WYSIWYMean) par exemple, permet ensuite de générer ce qu’on veut comme format de sortie, pas uniquement du HTML.

      #wysiwyg #interface #ergonomie #éditeur #texte

    • @fil bah si, ya un plugin Markdown, et il permet soit de l’activer en surplus de la syntaxe SPIP avec un marqueur, soit l’inverse (notamment pour un nouveau site), avec le Markdown par défaut, et la syntaxe SPIP en surplus avec un marqueur.

      (Mais il faudrait dans ce cas avoir SimpleMDE en éditeur, qui est WYSIWYMean avec CodeMirror derrière.)

      https://github.com/Cerdic/markdown
      (Il y en a un autre sur la zone, de Cédric aussi, mais qui est donc en doublon puisqu’il n’est pas à jour et c’est celui sur Github qui est maintenu…)

  • Cerdic / markdown
    https://github.com/Cerdic/markdown

    MarkDown pour SPIP (experimental)

    Ce plugin permet d’utiliser la syntaxe markdown dans un article SPIP. Le texte à interpréter en markdown doit être entre <md>...</md>

    Les corrections typographiques de SPIP (liées à la langue) sont appliquées dans le MarkDown.

    Les raccourcis de liens SPIP et les modèles sont interprétés dans le markdown, ce qui permet d’écrire des liens indifférement avec la syntaxe SPIP ou la syntaxe markdown (globalement fonctionnel, tests unitaires à écrire et à valider).

    #spip_blog