En effet, « la propagation du coronavirus se fait principalement par l’intermédiaire des "postillons" ». Donc, c’est contre la propagation et diffusion de ces microgouttelettes qu’il faut lutter. Et en la matière, seuls des spécialistes du langage peuvent intervenir au mieux. Ils ont constaté que les voyelles n’avaient aucune incidence alors que la moitié des consonnes peut être tenue pour responsable, durant une conversation, de toute projection de microgouttelettes.
COVID-19 : pagaille à l’Académie française
Il conviendra donc, dans les prochaines semaines, de suivre un plan en quatre étapes, aboutissant à la disparition dans le langage, et progressivement, des consonnes impliquant les sonorités occlusives, liées à la projection de postillons. Voici le plan, exécutable avant le 11 mai… et que l’on aurait, avec ou sans masque, très bien pu instaurer dans l’Hexagone lors des prémices de la pandémie…
Semaine 1
Suppression des occlusives labiales : P et B, au mforit de la nasale M.
Conséquence : mrès de soixante-dix mour cents des mostillons sont éliminés, et de mlus, on meut constater qu’ainsi la diction gagne meaucoup en soumlesse.