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  • Revealed: Sellafield nuclear site has leak that could pose risk to public | Energy industry | The Guardian
    https://www.theguardian.com/business/2023/dec/05/sellafield-nuclear-site-leak-could-pose-risk-to-public

    Safety concerns at Europe’s most hazardous plant have caused diplomatic tensions with US, Norway and Ireland

    (...)

    In July last year, the Committee on Medical Aspects of Radiation in the Environment noted in its public minutes that “the leak has been continuing at the same rate since October 2020, around 2.5m [cubic meters] per day …”.

    • Les problèmes de contamination et de fuites radioactives sur le site de Sellafield ça court depuis les années 60. Ce site est une poubelle nucléaire a ciel ouvert : conjointement site historique de production de plutonium (bombinette anglaise), site d’expérimentation, de production électrique, de retraitement des déchets et de fabrication de combustible. Un peu comme si on avait en France sur un seul site Cadarache+la Hague+Tricastin (ou une autre).
      Une vraie poubelle++

  • Le FMI admet que les bénéfices des entreprises ont été le principal moteur de l’inflation en Europe Ben Norton - Geopolitical Economy - Traduit de l’anglais par GL pour Investig’Action

    L’augmentation des bénéfices des entreprises est à l’origine de 45 % de l’inflation en Europe, contre 40 % pour la hausse des prix à l’importation et seulement 15 % pour les salaires des travailleurs, selon une étude réalisée par les économistes du FMI.
     
    Les bénéfices des entreprises sont le principal facteur d’inflation en Europe depuis 2021.

    C’est ce qui ressort d’une étude publiée par le Fonds monétaire international (FMI).

    « L’augmentation des bénéfices des entreprises est à l’origine de près de la moitié de la hausse de l’inflation en Europe au cours des deux dernières années, les entreprises ayant augmenté leurs prix de manière plus importante que la flambée des coûts de l’énergie importée« , ont écrit les économistes du FMI en juin dernier.

    Selon le FMI, « pour permettre à l’inflation de rester sur les rails menant à l’objectif de 2% fixé par la Banque centrale européenne pour 2025, les entreprises pourraient devoir accepter une part de profit plus faible. »

    Les économistes du FMI Niels-Jakob Hansen, Frederik Toscani et Jing Zhou ont détaillé leurs conclusions dans un document de recherche intitulé « Euro Area Inflation after the Pandemic and Energy Shock : Import Prices, Profits and Wages » (L’inflation dans la zone euro après la pandémie et le choc énergétique : prix des importations, bénéfices et salaires). https://www.imf.org/en/Publications/WP/Issues/2023/06/23/Euro-Area-Inflation-after-the-Pandemic-and-Energy-Shock-Import-Prices-Profits-a

    Ils ont constaté que les marges bénéficiaires intérieures étaient responsables de 45 % de la variation moyenne du déflateur de la consommation (inflation) entre le premier trimestre 2022 et le premier trimestre 2023, tandis que la hausse des prix à l’importation y contribuait à hauteur de 40 %.

    Parmi les principaux facteurs ayant contribué à la hausse des prix à l’importation figurent les perturbations de la chaîne d’approvisionnement dues à la pandémie de Covid-19, la guerre en Ukraine et les sanctions occidentales contre la Russie – l’un des principaux producteurs mondiaux de pétrole, de gaz, d’engrais et de blé. Ces sanctions ont provoqué une forte hausse des prix des produits de base au niveau mondial.

    Toutefois, la part de l’inflation due aux prix des importations a atteint son maximum à la mi-2022 et a diminué depuis.

    Cela suggère que les problèmes de la chaîne d’approvisionnement après la pandémie ont été en grande partie résolus et que les prix de certains produits de base ont baissé. Mais les entreprises ont quand même continué à augmenter leurs prix.

    Les économistes du FMI notent ainsi : « Les résultats montrent que les entreprises ont répercuté plus que le choc des coûts nominaux et qu’elles s’en sont relativement mieux sorties que les travailleurs« .

    Toutefois, de nombreux économistes néolibéraux et responsables de banques centrales occidentales ont ignoré la hausse des bénéfices des entreprises et ont préféré imputer l’inflation aux salaires des travailleurs.

    L’inflation s’est envolée lorsque le monde est sorti de la pandémie. Pour y répondre, la Banque centrale européenne et la Réserve fédérale US ont relevé les taux d’intérêt de manière agressive et à une vitesse inégalée depuis le choc Volcker dans les années 1980. https://geopoliticaleconomy.com/2023/06/22/third-world-debt-crisis-ann-pettifor

    Le président de la Fed, Jerome Powell, a admis que son objectif était de « faire baisser les salaires ». https://geopoliticaleconomy.com/2022/05/24/us-federal-reserve-wages-inflation

    L’ancien secrétaire au Trésor US et économiste en chef de la Banque mondiale, Larry Summers, https://fortune.com/2022/06/21/larry-summers-calls-for-high-unemployment-to-curb-inflation a préconisé un taux de chômage de 6 % pendant cinq ans ou de 10 % pendant un an pour faire baisser l’inflation.

    Ils ont largement rejeté la faute sur les travailleurs, négligeant la façon dont les entreprises ont exploité une période d’incertitude pour s’enrichir.

    L’économiste Isabella Weber avait raison sur l’ « inflation des vendeurs »

    Isabella M. Weber est sans doute l’économiste qui s’est le plus exprimée pour demander à sa discipline d’étudier la manière dont les entreprises ont contribué à l’inflation au cours des deux dernières années.

    Professeur à l’université du Massachusetts Amherst, Weber a baptisé ce phénomène « inflation des vendeurs ».

    Bien que son travail soit méticuleusement documenté, Isabella M. Weber a dû faire face à de vives critiques de la part d’économistes néolibéraux.
    En décembre 2021, elle a publié un article d’opinion dans The Guardian intitulé « Could strategic price controls help fight inflation ? » (Le contrôle stratégique des prix pourrait-il aider à lutter contre l’inflation ?). https://www.theguardian.com/business/commentisfree/2021/dec/29/inflation-price-controls-time-we-use-it

    Dans les débats sur l’inflation, « un facteur essentiel qui fait grimper les prix reste largement ignoré : l’explosion des bénéfices« , écrit ainsi Weber. « En 2021, les marges bénéficiaires non financières ont atteint aux Etats-Unis des niveaux jamais vus depuis l’après-guerre. Ce n’est pas une coïncidence« .

    Elle note que « les grandes entreprises disposant d’un pouvoir de marché ont profité des problèmes d’approvisionnement pour augmenter les prix et engranger des bénéfices exceptionnels« .

    L’article de Weber a provoqué une véritable tempête et elle a été brutalement attaquée. Paul Krugman, éditorialiste au New York Times, a déclaré que l’appel de Weber en faveur d’un contrôle des prix était « vraiment stupide ».

    En février 2023, Weber a publié un article universitaire https://scholarworks.umass.edu/econ_workingpaper/343 expliquant plus en détail le phénomène : « Sellers’ Inflation, Profits and Conflict : Why can Large Firms Hike Prices in an Emergency ? » (Inflation des vendeurs, profits et conflits : pourquoi les grandes entreprises peuvent-elles augmenter leurs prix en situation de crise ?)

    Les économistes du FMI ont d’ailleurs cité cet article de Weber dans leur propre étude sur l’inflation en Europe.

    Repenser l’inflation
    Les économistes classiques contemporains discutent généralement de trois types d’inflation : l’inflation tirée par la demande, l’inflation poussée par les coûts et l’inflation intégrée.

    L’inflation par les coûts se produit lorsque les prix des intrants utilisés dans le processus de production augmentent. Lorsque les prix internationaux de produits de base comme le pétrole ou le gaz montent en flèche, en conséquence de la guerre en Ukraine par exemple, cela contribue à l’inflation par les coûts.

    L’inflation intégrée tient compte des prévisions selon lesquelles l’inflation passée se reproduira à nouveau. Par exemple, les entreprises augmentent souvent leurs prix chaque année, simplement parce qu’elles s’attendent à ce que les coûts augmentent, et non parce qu’ils ont réellement augmenté (mais en agissant de la sorte, les coûts augmentent parfois vraiment).

    Cependant, les discussions sur l’inflation parmi les économistes néolibéraux occidentaux se concentrent généralement sur l’inflation tirée par la demande.

    Le parrain du monétarisme, le célèbre économiste de droite de l’université de Chicago Milton Friedman, affirmait que « l’inflation est toujours et partout un phénomène monétaire », et qu’il s’agissait spécifiquement d’une inflation tirée par la demande : « Trop d’argent pour trop peu de biens ».

    Friedman a inspiré le dictateur fasciste chilien Augusto Pinochet, qui a pris le pouvoir en 1973 à la suite d’un coup d’État militaire soutenu par la CIA contre le président socialiste démocratiquement élu de ce pays d’Amérique du Sud, Salvador Allende.

    Friedman était tellement obsédé par la politique monétaire du gouvernement qu’il soutenait l’idée que l’inflation par les coûts n’existait pas. Elle n’était selon lui qu’une conséquence de l’inflation par la demande.

    Mais cette récente étude du FMI montre que la vision monétariste de la droite sur l’inflation est beaucoup trop simpliste. Les entreprises capitalistes peuvent provoquer l’inflation en augmentant tout bonnement leurs profits à des niveaux déraisonnables.

    Néanmoins, certains tenants du monétarisme prétendent encore aujourd’hui que l’inflation observée dans le monde à la suite de la pandémie de covid-19 a été simplement causée par la planche à billets des banques centrales.

    Mais cela n’explique pas pourquoi de 2008 à 2020, lors des 12 premières années d’assouplissement quantitatif (QE), il y a eu assez peu d’inflation de l’indice des prix. Ni pourquoi le QE a soudainement provoqué une hausse des prix aux alentours de 2021.

    L’économiste Michael Hudson a souligné que l’assouplissement quantitatif de la Réserve fédérale US et de la Banque centrale européenne a en réalité alimenté
    l’inflation des prix des actifs, et non l’inflation de l’indice des prix à la consommation.

    Dans une interview accordée au Geopolitical Economy Report en septembre 2022, Hudson a expliqué ce qui suit : https://geopoliticaleconomy.com/2022/09/08/michael-hudson-debt-inflation-ukraine-petrodollar

    Le résultat [de l’assouplissement quantitatif] s’est traduit par un montant total de 9 000 milliards de dollars. Il s’agissait pour l’essentiel de liquidités bancaires que la Réserve fédérale a injectées.

    Bien qu’il s’agisse d’une inflation du prix des actifs, celle-ci s’est produite à crédit.

    L’inflation du prix des actifs s’est produite lorsque la Réserve fédérale a conclu des échanges de pensions livrées avec les banques, permettant à ces dernières de déposer auprès de la Fed certains de leurs prêts hypothécaires ou obligations, des obligations d’État ou même des obligations de pacotille.

    Les banques ont ainsi obtenu un dépôt auprès de la Fed qui leur a permis de se retourner. C’est comme si la Fed avait déposé de l’argent dans les banques comme un déposant, ce qui leur a permis de prêter toujours plus à l’immobilier, faisant ainsi grimper les prix.

    L’immobilier vaut ce qu’une banque est prête à lui prêter. Or, les banques ont abaissé les exigences de marge, assouplissant ainsi les conditions du prêt.

    Les banques ont donc gonflé le marché de l’immobilier, ainsi que les marchés des actions et des obligations.

    Depuis 2008, le marché obligataire a connu le plus grand rallye obligataire de l’histoire. Vous pouvez imaginer que le prix des obligations est descendu en dessous de 0 %. Il s’agit d’une capitalisation énorme du taux obligataire.

    Cela a donc été une aubaine pour les détenteurs d’obligations, en particulier d’obligations bancaires. Et cela a gonflé le sommet de la pyramide.

    Mais si vous le gonflez avec de la dette, il faut bien que quelqu’un paie la dette. Et la dette, comme je viens de le dire, concerne 90 % de la population.

    Ainsi, l’inflation du prix des actifs et la déflation de la dette vont de pair, parce que la partie de l’économie relative à la richesse, la partie relative à la propriété, a été largement gonflée. Il s’agit en fait du prix de la richesse par rapport au travail.

    Quant à la partie débitrice, elle a été comprimée du fait que les familles ont dû consacrer une part beaucoup plus importante de leurs revenus aux prêts hypothécaires, aux cartes de crédit ou aux dettes estudiantines. Ce qui leur a laissé de moins en moins d’argent pour acheter des biens et des services.

    S’il y a déflation de la dette, pourquoi y a-t-il une inflation des prix aujourd’hui ? Eh bien, l’inflation des prix est en grande partie le résultat de la guerre [en Ukraine] et des sanctions que les États-Unis ont imposées à la Russie.

    Comme vous le savez, la Russie était un grand exportateur de gaz et de pétrole, ainsi que le plus grand exportateur de produits agricoles au monde.

    Par conséquent, si l’on exclut du marché le pétrole russe, le gaz russe et l’agriculture russe, il y a une pénurie de l’offre et les prix augmentent considérablement.

    Le pétrole, l’énergie et l’alimentation ont donc été des éléments clés.

    Par ailleurs, sous l’administration Biden et certainement sous l’administration Trump, il n’y a pas eu d’application du contrôle des prix de monopole.

    Les entreprises ont donc essentiellement utilisé leur pouvoir monopolistique pour faire payer ce qu’elles voulaient.

    Si bien que même en l’absence de véritable pénurie de gaz et de pétrole en ce début d’année 2022, les prix ont grimpé en flèche. La seule raison était que les compagnies pétrolières fixaient les prix sur les factures.

    Cela est dû en partie à des manipulations financières sur les marchés à terme. Les marchés financiers ont fait grimper le prix du pétrole et du gaz. Mais d’autres entreprises l’ont également fait.

    Et dans tous les cas, si une entreprise est en position de force pour contrôler le marché, c’est que vous avez permis l’émergence de monopoles.
    Biden avait nommé un certain nombre de fonctionnaires qui allaient tenter d’imposer une législation anti-monopoles. Mais jusqu’à maintenant, ils n’ont pas été suffisamment soutenus par le Parti démocrate ou le Parti républicain pour leur donner les moyens d’agir.

     
    #bénéfices #marges #inflation #dividendes #fmi #bce #dette #gaz #pétrole #prix #marchés #monopoles

    Source : https://www.investigaction.net/fr/le-fmi-admet-que-les-benefices-des-entreprises-ont-ete-le-principal-

  • Nouvelles recommandations sur l’#aspartame : les liaisons dangereuses de certains experts avec Coca et Pepsi - Le Parisien
    https://www.leparisien.fr/sciences/nouvelles-recommandations-sur-laspartame-les-liaisons-dangereuses-de-cert

    Juillet 2023

    [Les membres du] comité mixte #FAO/#OMS d’experts des #additifs alimentaires (Jecfa) […] étaient chargés de réévaluer les recommandations internationales en matière de consommation. Leurs conclusions ? Avec les données disponibles, « pas de raison » de changer la dose journalière admissible (DJA) établie entre 0 et 40 mg/kg. « Un adulte pesant 70 kg devrait consommer plus de 9 à 14 canettes par jour pour dépasser » le seuil, ont illustré le #Circ et le Jecfa dans un communiqué commun. Même si les boissons gazeuses ne sont pas les seuls aliments à contenir de l’aspartame, le risque serait donc limité.

    Ces recommandations sont le fait de treize scientifiques chevronnés, experts en #toxicologie et en évaluation des risques, passés par les plus grandes agences nationales et internationales. Des chercheurs omniprésents ? La présidente et plusieurs autres membres de ce Jecfa sur l’aspartame ont collaboré pendant plusieurs années avec l’International Life Sciences Institute (#ILSI), une organisation fondée en 1978 par Alex Malaspina, alors vice-président de… Coca-Cola.

    Comme l’ont déjà montré The New York Times, The Guardian et plusieurs publications scientifiques, cet institut au nom sibyllin est un #lobby de l’#agrochimie et de l’industrie #agroalimentaire qui s’est employé à influencer les #réglementations sur les produits chimiques grâce à ses dix-sept antennes réparties sur la planète. « L’ILSI prétend faire de la science pour le bien public, mais en réalité, il s’agit d’un groupe de pression de l’industrie de l’alimentation ultra-transformée », dénonce Gary Ruskin, directeur de l’ONG américaine US Right To Know (USRTK).

    #ONU

    • Revealed: WHO aspartame safety panel linked to alleged Coca-Cola front group | Coca-Cola | The Guardian
      https://www.theguardian.com/business/2023/aug/17/who-panel-aspartame-diet-coke-guidelines

      WHO’s inclusion of Ilsi-tied consultants in its review process is especially alarming because WHO has in place “much higher standards” to ensure there are no conflicts of interest in its processes, Ruskin said. He noted WHO only relies on publicly available, peer-reviewed science, while excluding corporate interest studies.

      Ruskin said the move also marks a change in direction for WHO, which in 2015 distanced itself from Ilsi when its executive board found the group to be a “private entity” and voted to discontinue its official relationship.

      Ruskin said the damage has been done. In the “avalanche” of media coverage of WHO’s designation of aspartame as a possible carcinogen, many outlets noted WHO’s split decision, or reported that WHO found the product to be safe. Those reports did not note Ilsi’s fingerprints on the safety assessment, Ruskin said.

      “So much of the tone of it has been ‘There was a split decision at WHO and we shouldn’t be concerned, so go ahead and drink all you want,’” he said. “That has so poorly served the public.”

  • ‘Tax us now’: ultra-rich call on governments to introduce wealth taxes | Davos 2023 | The Guardian
    https://www.theguardian.com/business/2023/jan/18/tax-us-now-ultra-rich-wealth-tax-davos
    https://i.guim.co.uk/img/media/efd7c9d5a64ac191853d2bc7e89a2ea9d79b60da/0_28_3000_1801/master/3000.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    Disney heiress and actor Mark Ruffalo among ‘patriotic millionaires’ who addressed world’s elite at Davos

    c’est rituel, cet appel à la taxation après Noël ou c’est moi ? (la fille disney diable, comment tu dois être riche toi)

  • Revealed: Exxon made ‘breathtakingly’ accurate climate predictions in 1970s and 80s | ExxonMobil | The Guardian
    https://www.theguardian.com/business/2023/jan/12/exxon-climate-change-global-warming-research
    https://i.guim.co.uk/img/media/bc414577973407e5f2c3cfdb8081378e11cc5cfd/0_124_3500_2100/master/3500.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    The oil giant Exxon privately “predicted global warming correctly and skilfully” only to then spend decades publicly rubbishing such science in order to protect its core business, new research has found.

  • Millions of Americans have long COVID. Many of them are no longer working
    https://text.npr.org/1114375163

    Survey data suggests millions of people aren’t working because of long COVID
    As the number of people with post-COVID symptoms soars, researchers and the government are trying to get a handle on how big an impact long COVID is having on the U.S. workforce. It’s a pressing question, given the fragile state of the economy. For more than a year, employers have faced staffing problems, with jobs going unfilled month after month.

    Now, millions of people may be sidelined from their jobs due to long COVID. Katie Bach, a senior fellow with the Brookings Institution, drew on survey data from the Census Bureau, the Federal Reserve Bank of Minneapolis and the Lancet to come up with what she says is a conservative estimate: 4 million full-time equivalent workers out of work because of long COVID.

    That is just a shocking number,” says Bach. “That’s 2.4% of the U.S. working population.

  • #Vomir #Canada : D’ici 2028, les vaches laitières devraient pouvoir mettre bas sans être enchaînées Julie Vaillancourt - Radio Canada
    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1871152/vaches-laitieres-enchainees-agriculture

    Au Canada, la majorité des vaches laitières sont élevées en stabulation entravée, ce qui implique qu’elles mettent souvent bas, enchaînées, dans des stalles trop petites pour elles. Ça pourrait changer : les experts recommandent maintenant de leur donner plus de liberté de mouvement pour améliorer leur bien-être.


    Il manque d’espace dans les stalles régulières pour que les vaches mettent bas à leur aise. Photo : Radio-Canada

    La scène est désolante aux yeux du profane : une vache, la chaîne au cou, qui met bas dans sa stalle, souvent trop petite pour lui permettre de se mouvoir avec agilité. L’animal tente de se retourner pour voir son veau, mais son carcan métallique l’entrave partiellement ; le producteur laitier doit apporter le nouveau-né en face de sa mangeoire pour que la vache puisse enfin le lécher.

    Une action plus fréquente au Québec qu’ailleurs au Canada, car c’est dans la province qu’on retrouve le plus de fermes en stabulation entravée, un système où chaque vache garde toute sa vie une place fixe dans l’étable, enchaînée à une barre d’attache.


    Un des principes les plus importants, pour le vétérinaire Edwin Quigley, est que les vaches doivent faire le plus possible d’exercice. Photo : Radio-Canada

    Pour le vétérinaire Edwin Quigley, qui pratique dans la région de Chaudière-Appalaches, le fait que 72 % des vaches de la province vivent ainsi (contrairement à la moyenne canadienne de 44 %) est consternant. “Des vaches attachées dans un espace de quatre pieds par six à l’année longue et qui ne changent pas de place, il manque quelque chose.”

    Ce “quelque chose”, c’est la liberté de mouvement, beaucoup plus présente en stabulation libre, une façon d’élever les bovins laitiers dans des espaces à aire ouverte. Avec ce modèle, les vaches disposent de logettes individuelles où elles vont manger ou se reposer à leur guise, sans jamais être immobilisées de force.

    Les chiffres parlent d’eux-mêmes : en stabulation entravée, la prévalence de blessures aux jarrets chez l’animal est de 56 % comparativement à 47 % en stabulation libre, de 43 % pour les blessures aux genoux comparativement à 24 % en stabulation libre.

    Conséquence, entre autres, d’une surface de couchage souvent trop abrasive en comparaison avec la litière de plus de 15 centimètres d’épaisseur qu’on retrouve régulièrement dans les étables en stabulation libre.

    Quant aux 33 % de blessures au cou en stabulation entravée, elles trouvent évidemment leur source dans le port constant de la chaîne.


    Au Canada, les vaches qui passent leur vie dans des stalles entravées ont plus de blessures qu’avec d’autres systèmes d’élevage. Photo : Radio-Canada

    Le “Code de pratique pour le soin et la manipulation des bovins laitiers”, un outil de référence à l’intention des producteurs laitiers canadiens, est actuellement en révision, puisque la dernière mouture date de 2009.

    Nous avons obtenu la version préliminaire du nouveau code, dont l’élaboration sera terminée d’ici la fin de l’année. Elle propose dorénavant de loger les vaches laitières au pâturage ou en stabulation libre afin qu’elles aient la possibilité de se mouvoir davantage. Quant au vêlage, les producteurs devraient obligatoirement permettre aux vaches de mettre bas en stabulation libre d’ici 2028, s’il n’en tient qu’aux experts canadiens qui se penchent présentement sur la question.

    https://fr.scribd.com/document/566235947/Code-de-pratique-pour-le-soin-et-la-manipulation-des-bovins-laitiers#down

    Ce serait la moindre des choses aux yeux d’Edwin Quigley, qui supervise présentement l’agrandissement de l’étable d’un de ses clients, Dave Kelly, un producteur laitier de Saint-Nazaire-de-Dorchester, dans la région de Chaudière-Appalaches.


    Dave Kelly, producteur laitier, veut améliorer le bien-être de ses vaches et collabore avec son vétérinaire pour changer les choses. Photo : Radio-Canada

    M. Kelly tente d’améliorer le bien-être de ses vaches à la mesure de ses moyens. “Il y a des gens qui pensent qu’on utilise les vaches comme des machines, moi, je ne suis pas d’accord avec ça, mais il faut qu’elles soient bien dans ce qu’elles ont à faire, c’est important.”

    Au programme chez lui, des travaux de construction pour bâtir une section où ses vaches pourront mettre bas en stabulation libre : un enclos de groupe où les vaches auront le loisir de bouger à leur guise pendant le vêlage sans être gênées par l’étroitesse de leurs stalles ou, pire encore, leurs chaînes.


    En stabulation, la litière disposée sur le sol rend la surface plus confortable et aide à éviter l’abrasion. Photo : Radio-Canada

    Un virage pris par de plus en plus de producteurs laitiers du Québec qui, massivement, convertissent leurs troupeaux à l’élevage en stabulation libre pour l’ensemble de leurs opérations, et non uniquement le vêlage. “On fait du rattrapage, soutient Daniel Gobeil, président des Producteurs de lait du Québec.”

    “Des vaches attachées toute leur vie, on tend à éliminer ces pratiques-là. On est à la croisée des chemins en termes de bien-être animal”, conclut-il.

    #chaînes #beurk #boycott #alimentation #sirop_d'érable #assiette #malbouffe #agriculture #élevage #élevage #alimentation #vaches #viande #agrobusiness #lait #agro-industrie #quelle_agriculture_pour_demain_ #violence #torture #capitalisme

    • Monsieur trudeau, vous êtes une honte pour la démocratie ! Veuillez nous épargner votre présence Christine Anderson, députée européenne (Allemande) au Parlement européen

      Après parlé avec des parlementaires européens lors de sa visite officielle de deux jours à Bruxelles, la parole a été donnée à la députée allemande Christine Anderson qui a interpellé le Premier ministre canadien, disant qu’il ne devrait pas pouvoir s’exprimer au Parlement européen.

      Anderson a accusé Trudeau d’admirer ouvertement la dictature de base chinoise et a appelé le Premier ministre pour avoir piétiné “les droits fondamentaux en persécutant et en criminalisant ses propres citoyens en tant terroristes simplement parce qu’ils osent s’opposer à son concept pervers de démocratie”.

      le Canada est passé du statut de symbole du monde moderne à celui de « symbole de la violation des droits civils » sous la « chaussure semi-libérale » de Trudeau.

      Elle a terminé son discours en disant à Trudeau qu’il était « une honte pour toute démocratie. Veuillez nous épargner votre présence.
      https://www.youtube.com/watch?v=vtnfcVAZB6I


      Le député croate Mislav Kolakusic a également dénoncé Trudeau pour avoir violé les droits civils des Canadiens qui ont participé aux manifestations du « Freedom Convoy ». Lors de son propre discours cinglant devant ses collègues parlementaires européens, Kolakusic a déclaré à Trudeau que ses actions en promulguant la loi sur les urgences étaient « une dictature de la pire espèce ».
      Trudeau s’est assis et a écouté Kolakusic informer le premier ministre que de nombreux Européens l’ont vu « piétiner des femmes avec des chevaux » et bloquer « les comptes bancaires de parents célibataires ».
      L’eurodéputé roumain Christian Terhes a également refusé d’assister au discours de Trudeau aux autres membres de l’UE.

      Source :
      https://thecanadian.news/vous-etes-une-honte-un-depute-allemand-interpelle-trudeau-en-face-lors
      https://twitter.com/lemairejeancha2/status/1507033759278940161
      https://vk.com/wall551774088_43985?z=video640533946_456239116%2Fa7ea5429d710b84557%2Fpl_post_55

      NDR Cette députée allemande est de droite, mais la vérité ne fait pas de politique.

       #canada #justin_trudeau #trudeau la #violence #contrôle_social #police #dictature #violences_policières #violence_policière #répression #violence #maintien_de_l'ordre #brutalité_policière #manifestation #violences_policieres

    • Salaire mirobolant et logement de fonction : le train de vie princier du directeur du Fresnoy à Tourcoing Pierre Leibovici
      https://www.mediacites.fr/lu-pour-vous/lille/2022/03/24/salaire-mirobolant-et-logement-de-fonction-le-train-de-vie-princier-du-di

      Les angles morts, Quelques obscurcissements, Prolongations… Le titre de ces romans signés Alain Fleischer était-il prémonitoire ? Il résonne en tout cas avec le rapport publié, vendredi 18 mars, par la Chambre régionale des comptes des Hauts-de-France sur l’association Le Fresnoy — Studio national des arts contemporains, dont il est le directeur.


      Ouvert au public en 1997, l’imposant bâtiment du Fresnoy, situé dans le quartier du Blanc Seau à Tourcoing, abrite une école supérieure d’art ainsi qu’un lieu de représentation et de production (cinéma, danse, photo, arts numériques). L’établissement, imaginé dès 1987 par l’artiste Alain Fleischer à la demande du ministère de la Culture, est aujourd’hui mondialement reconnu. Trente-cinq ans plus tard, et malgré son âge de 78 ans, il n’a toujours pas lâché le bébé.

      Un salaire brut de 91 000 euros
      « Le cinéaste », « l’auteur », « le photographe, le plasticien » : le parcours d’Alain Fleischer est fièrement détaillé sur le site Internet du Fresnoy, qui lui consacre une page entière. « L’ambassadeur du Fresnoy », ajoute la Chambre régionale des comptes dans son rapport : « il en est pilote stratégique, notamment pour l’évolution vers le projet de StudioLab international [un programme de collaboration entre artistes et scientifiques], il initie les grands partenariats et exerce les fonctions de responsable pédagogique ».

      « Le montant de sa rémunération ne s’appuie pas sur son contrat de travail »
      Pour remplir ces missions, Alain Fleischer bénéficie d’un confortable salaire de 91 000 euros bruts par an, soit 7 600 euros bruts par mois. Un montant stable sur la période allant de 2016 à 2019, sur laquelle se sont penchés les magistrats financiers, mais qui interroge : « le montant de sa rémunération ne s’appuie sur aucun élément présent dans son contrat de travail qui date de plus de 30 ans, pas plus que des avenants ultérieurs dont le dernier date, en tout état de cause, de 2002 ». La Chambre demande donc instamment une révision du contrat de travail du directeur et sa validation par le conseil d’administration de l’association.

      Un immeuble pour logement de fonction
      Dans la suite de leur rapport, les magistrats recommandent aussi que le conseil d’administration valide la mise à disposition d’un logement de fonction pour Alain Fleischer. Ou plutôt d’un « immeuble d’habitation », peut-on lire sans plus de précisions. Ce bâtiment, ainsi qu’un autre d’une surface de 11 000 m2, est la propriété de la région Hauts-de-France, principal financeur du Fresnoy.

      Quelle est la valeur de l’avantage en nature consenti à l’association et à son directeur ? Difficile à dire : la dernière évaluation, réalisée en 2002, tablait sur un coût de 455 823 euros par an. Un montant sans doute bien plus élevé vingt ans plus tard, d’autant que la région prend à sa charge les travaux et la majeure partie de l’entretien des bâtiments. « Une réévaluation de la valeur de ces biens immobiliers qui figurent dans les comptes de l’association serait nécessaire », acte la Chambre régionale des comptes.

      Gouvernance à clarifier
      Autre recommandation adressée au studio d’art contemporain : la clarification de la gouvernance de l’association. À l’heure actuelle, un conseil d’administration cohabite avec une assemblée générale. Mais les deux instances, dont les missions diffèrent, sont composées des mêmes membres : 10 membres de droit et 14 personnalités qualifiées. Pour mettre fin à cette « confusion », les magistrats appellent donc l’association à revoir ses statuts.

      Cette dernière recommandation vaut aussi pour la rémunération de certains membres du conseil d’administration. Car, d’après la Chambre régionale des comptes, « des membres du conseil d’administration, du fait de leurs fonctions et qualités professionnelles et artistiques, peuvent être amenés à remplir le rôle de commissaire de certaines expositions du Fresnoy ou à effectuer des missions de représentation, donnant lieu à versement d’émoluments ». Et de conclure, en des termes toujours policés, que l’association devrait réviser ses statuts « par souci de sécurité juridique ».

      Sollicité à l’issue de l’audit des magistrats financiers, le président de l’association, Bruno Racine, s’est engagé à suivre toutes leurs recommandations et à mettre à jour les statuts dans un délai de six mois. « Cette révision permettra de préciser les modalités de recrutement du directeur », a-t-il affirmé. Écrivain et haut-fonctionnaire, aujourd’hui âgé de 70 ans, Bruno Racine a toutes les raisons de prêter attention aux recommandations de la Chambre régionale des comptes : il a un temps été conseiller-maître à la Cour des comptes.

      #Fresnoy #Tourcoing #argent #fric #art #art_press #claude_leveque @legrandmix #art_contemporain pour #bobo #ruissèlement #ruissellement #photographie #guerre_aux_pauvres

    • Énergie : au Royaume-Uni, même les pommes de terre deviennent trop chères LePoint.fr
      https://www.msn.com/fr-fr/finance/other/%C3%A9nergie-au-royaume-uni-m%C3%AAme-les-pommes-de-terre-deviennent-trop-ch%C3%A8res/ar-AAVqibD?ocid=msedgdhp&pc=U531#

      Durant des siècles, les pommes de terre ont été, par excellence, l’aliment de base des populations pauvres. Faciles à cultiver, peu chères à l’achat et nourrissantes, elles étaient l’élément de base ? sinon le seul - de populations entières. À tel point qu’au XIXe siècle, l’apparition du mildiou en Irlande ? une maladie qui anéantit presque totalement la culture de la pomme de terre ? provoqua une famine ? et la mort de près d’un million de personnes.

      Par les temps qui courent, cependant, la pomme de terre semble perdre son avantage auprès des populations dans le besoin. En effet, selon The Guardian, https://www.theguardian.com/business/2022/mar/23/food-bank-users-declining-potatoes-as-cooking-costs-too-high-says-icela de plus en plus de personnes ayant recours aux banques alimentaires refusent les pommes de terre, ne pouvant se permettre la dépense énergétique nécessaire à la longue cuisson de ces dernières.

      Une inflation record en 30 ans
      « C’est incroyablement inquiétant », a expliqué le gérant d’une chaîne de supermarchés low cost sur la BBC. « Nous entendons parler de certains utilisateurs de banques alimentaires qui refusent des produits tels que les pommes de terre et d’autres légumes-racines parce qu’ils n’ont pas les moyens de les faire bouillir », détaille-t-il, parlant de « la crise du coût de la vie » comme du « plus important problème intérieur » au Royaume-Uni.

      Outre-Manche, le coût de la vie continue d’augmenter rapidement, rapporte The Guardian. L’inflation a atteint 6,2 % en février, selon les chiffres de l’Office for National Statistics, une première depuis trente ans. Elle est alimentée par la hausse du coût de l’essence et du diesel et d’un large éventail de produits de nourriture aux jouets et jeux. En 2021, l’inflation spécifique aux produits alimentaires a été de 5,1 % au Royaume-Uni.

      #pauvreté #prix de l’#énergie #spéculation #capitalisme #marché_libre-et_non_faussé #électricité #spéculation #alimentation #banques_alimentaires #pommes_de_terre

  • Concerns raised over ’squalid’ #Serco asylum seeker housing in #Derby

    Council arranging inspection as photos show missing plaster, rubble in shower and hole in ceiling

    A council is arranging an urgent inspection of asylum seeker accommodation in Derby after concerns were raised about conditions there.

    Photos of the property seen by the Guardian show part of the kitchen ceiling missing, rubble in the base of a shower, cracked and missing tiles, rusted pipes and plaster missing from walls where wallpaper has peeled off. The garden is strewn with litter and discarded furniture.

    There are about 64,000 people in Home Office accommodation. The majority are in shared housing, and about 10,000 are in hotel accommodation.

    It has been reported that the Home Office is planning to accelerate moving people out of hotels and into housing, known as dispersed accommodation, in a scheme called Operation Oak.

    One of the asylum seekers in the house in Derby was moved from a hotel in Birmingham just over a week ago. He said: “The conditions in this house are so bad they make normal life impossible. I have not been able to take a bath for a week because water was pouring from the bathroom through the kitchen ceiling.”

    Serco, the company that has the Home Office contract for provision of accommodation in this part of the UK, was last year fined £2.6m for failings on a Home Office accommodation contract between September 2019 and January 2020. It had previously received a fine of £1m on another asylum seeker accommodation contract.

    Serco told the Guardian last year it was broadly meeting its performance standards and had improved performance on addressing emergency maintenance issues and resolving people’s complaints.

    Clare Moseley, the founder of the charity Care4Calais, which is providing support for many asylum seekers in various kinds of Home Office accommodation, said: “I am disgusted to see anyone living in conditions as squalid as these. We have recently witnessed the Home Office’s uncaring attitude towards asylum seekers in hotel accommodation. What are we going to see next in dispersal accommodation?”

    Sarah Burnett, Serco’s operations director for immigration, said: “Looking after the asylum seekers in our care and ensuring that they are kept safe is always our first priority. When complaints are raised our team of professional housing officers, maintenance and gas engineers responds and investigates and corrects the problems as and where they exist. We do this within strict timetables laid down in our contract.”

    Serco sources said one communal bathroom was working and one was being “isolated” to stop leaks going through the ceiling into the kitchen and that part of the kitchen ceiling had been removed to fix the leaks. The sources acknowledged that the working shower cubicle, which is covered in black mould, was in need of minor repairs and a thorough clean.

    “There is rubbish in the garden, which is partly due to refurbishment work and partly due to previous occupants leaving it there; Covid has prevented the timely removal of all this, but that will be put right in the coming days,” Burnett added. She said the kitchen had been fully refurbished last summer.

    A spokesperson for Derby city council said: “Based on the evidence provided in the photos, Derby city council does have concerns regarding the condition of the property. The council’s housing standards team will be inspecting this property as a matter of urgency. A discussion has taken place with Serco and we are in the process of arranging an inspection.”

    https://www.theguardian.com/business/2021/feb/25/concerns-raised-over-squalid-serco-asylum-seeker-housing-in-derby?__twi

    #logement #hébergement #UK #Angleterre #asile #réfugiés #privatisation #migrations

  • Top UK bosses are paid 115 times more than average worker, analysis finds | Business | The Guardian
    https://www.theguardian.com/business/2021/jan/06/top-uk-bosses-are-paid-115-times-more-than-average-worker-analysis-find

    Bosses of top British companies will have made more money by teatime on Wednesday than the average UK worker will earn in the entire year, according to an independent analysis of the vast gap in pay between chief executives and everyone else.

    #graphiques_en_colère #inégalités #riches #pauvres
    The chief executives of FTSE 100 companies are paid a median average of £3.6m a year, which works out at 115 times the £31,461 collected by full-time UK workers on average, according to research by the High Pay Centre thinktank.

  • Private jet bookings soar as wealthy flee second England lockdown | Business | The Guardian
    https://www.theguardian.com/business/2020/nov/03/private-jet-bookings-soar-as-wealthy-flee-second-england-lockdown
    https://i.guim.co.uk/img/media/9cec884a35c7a6e6fc1a34130126a8e70213e8e7/0_191_3979_2387/master/3979.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    Wealthy people in England are booking private jets to escape the lockdown set to be introduced on Thursday, according to jet brokers.Air Partner, one of the biggest aircraft charter firms, said there had been a “sharp rise” in private jet bookings out of the country before Thursday. The company, which supplies planes to Premier League footballers, celebrities, the royal family and six of the eight governments in the G8, said it had been overwhelmed with inquiries. “Many of these flight inquiries are for individuals wishing to go to their second homes in Europe, with the Canary Islands, which are still warm at this time of year, being the most sought-after destination,” the company said.“We do expect to continue to see some demand for private jet flights during the rest of the month for business travel, particularly as many commercial flights become grounded and unavailable.”The new lockdown in England, expected to come into force on Thursday, will ban residents in England from travelling abroad except for essential work until at least 2 December. Air Partner said it would cost about £24,000, one way, for five people to depart from Biggin Hill to Tenerife before lockdown.
    Commercial airlines have dramatically reduced their flight schedules in anticipation of an even greater fall in demand for international travel, which has been moribund since the pandemic began. However, private jet operators have reported a much smaller decline in bookings. The operators say this is because the super-rich have continued to travel as much as before.

    #Covid-19#migrant#migration#grandebretagne#canaries#sante#liaisonaerienne#elite

  • Rapid one-hour Covid tests begin at Heathrow airport | Business | The Guardian
    https://www.theguardian.com/business/2020/oct/20/rapid-covid-test-heathrow-aiiport-coronavirus-cost-italy-hong-kong
    https://i.guim.co.uk/img/media/4789c6acf2f68048495109d6abf637d95687502f/0_175_3500_2100/master/3500.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    Rapid one-hour Covid tests begin at Heathrow airportPassengers flying from London Heathrow to Hong Kong and Italy will be able to have a rapid Covid-19 test at the airport before checking in from Tuesday.The test costs £80 and results will be available within an hour.The aim is to provide rapid Covid-19 tests for passengers travelling to destinations that require pre-departure tests, including Hong Kong and Italy.
    British Airways, Virgin Atlantic and Cathay Pacific, which all fly routes that require pre-departure tests, will be the first airlines to offer it, according to the two companies that will run the testing, Collinson, a medical and security assistance firm, and Swissport, the ground and cargo handling company.A throat and nose swab will be taken to test for Covid-19. The test is known as a loop-mediated isothermal amplification (Lamp) test. It differs from a PCR test, which is used by the NHS, because it can be processed quickly without being sent to a laboratory.The tests will be carried out by Collinson nurses in new facilities within Heathrow terminals 2 and 5. Passengers must book their test online with Collinson before going to the airport.The swab will be processed at the airport by staff from one of Collinson’s biotech partners, Prenetics. The Lamp test is less sensitive than the PCR test, but is considered to be better than an antigen test, another rapid option. John Holland-Kaye, the chief executive of Heathrow airport, said: “Many other countries are already using testing to keep their borders safe while restarting trade and travel. These facilities will make it easier for passengers going to those countries to get a test and have the potential to provide a service for arriving passengers.”

    #Covid-19#migrant#migration#grandebretagne#italie#hongkong#aeroport#testrapide#sante#frontiere#securitesanitaire

  • No lost generation : can poor countries avoid the Covid trap ? | Kristalina Georgieva | Business | The Guardian
    https://www.theguardian.com/business/2020/sep/29/covid-pandemic-imf-kristalina-georgieva
    https://i.guim.co.uk/img/media/bd9b0a0f48ea95280aa2c3f594fe75e0192cd936/0_317_4928_2956/master/4928.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    Just as people with weak immune systems are more vulnerable to the virus, so low-income countries with weak fundamentals are more prone to its economic effects. More than half of these countries were already at high risk of – or actually in – debt distress before the crisis began.The pandemic has exacerbated this with a poisonous cocktail of external shocks: sharply falling exports and commodity prices, collapsing trade, evaporating tourism and less capital inflows. Remittances, which are the main source of income for many poor families, have been hit hard – by almost 20% in countries such as Bangladesh.It is urgent that we act now to prevent “scarring” – long-term loss of human and economic capacity – in the poorest countries. Most importantly, we must secure access to opportunities – education, jobs, financing to start businesses – for the generation of young people upon whom the future of these countries depends. What needs to be done?
    First, governments must prioritise health for a durable exit from the pandemic. Saving lives and saving livelihoods are two sides of the same coin. Given that lockdowns are difficult to sustain, this means combining investments in treatment capacity with targeted measures such as social distancing and contact tracing, and with an emphasis on the most vulnerable, including elderly people. Vietnam and Cambodia are examples of where this is happening.
    Second, economic measures – especially fiscal ones – should be even more focused. The quality and effectiveness of domestic resource mobilisation and spending are at a premium. For example, protecting education is critical to avoid permanent damage to young people’s prospects. And there must be zero-tolerance of corruption. The crisis has exposed structural weaknesses in social protection systems and offers an opportunity to build stronger systems that can reach vulnerable populations.

    #Covid-19#migrant#migration#sante#transfert#paysendeveloppement#vulnerabilite#systemesante#protection#economie#FMI

  • California Uber and Lyft drivers brace for shutdown over worker classification
    https://www.theguardian.com/business/2020/aug/19/california-uber-and-lyft-drivers-brace-for-shutdown-over-worker-classif

    Companies threatened to shut down operations over a court ruling ordering them to classify their drivers as employees by 20 August Uber and Lyft drivers are bracing for a shutdown in California, one of the rideshare companies’ largest markets. For drivers it is a bittersweet moment. One that couldn’t come at a worse time and yet holds the promise of a better future. The coronavirus pandemic has hit so-called gig economy workers hard and ramped up local and state efforts to classify Uber and (...)

    #Lyft #Uber #conducteur·trice·s #GigEconomy #pauvreté #travail #COVID-19 #santé

    ##pauvreté ##santé
    https://i.guim.co.uk/img/media/0e2c17e00488bb4efb4e62531574ef2ef78261b8/0_342_5568_3341/master/5568.jpg

  • The low-paid need Britain to reopen. But this outbreak isn’t over | Business | The Guardian
    https://www.theguardian.com/business/2020/jun/28/low-paid-britain-reopen-outbreak-isnt-over
    https://i.guim.co.uk/img/media/216437f763c49c9300c088a9b6af74e4d7be9c93/0_0_4286_2573/master/4286.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    According to the Institute for Fiscal Studies, as many as 80% of the bottom tenth of earners in Britain are either unable to work from home or are in sectors that have been closed. This compares with about 25% of workers in the top-paid tenth.

    The continuation of tough controls risks the emergence of a two-tier society, split between those able to work from home, and those for whom work vanishes entirely.

    Resuming economic activity across the country will inevitably bring people into closer contact as businesses reopen and social life gradually resumes, increasing the risks of a second wave of infections later this summer. Such an outcome would require renewed lockdown controls later this year, inflicting further pain on companies and workers.

    For this reason, many restrictions will remain in place. But there are glaring inconsistencies in the government’s approach. People will be able to down a pint at the pub but remain barred from gyms. Teenagers can head to the shops with their friends but their schools remain closed.

    The mixed messages create confusion and erode trust in a government that has already depleted much of its political capital thanks to its late, chaotic, and costly approach to entering lockdown, as well as its double standards over the lockdown behaviour of No 10’s chief adviser, Dominic Cummings.

    #confinement #Royaume_Uni

    • Déconfinement à deux vitesses encore : ceux qui s’en branlent (comme les politiciens aux soirées électorales) et ceux qui angoissent d’autant plus et restent d’autant plus confiné·es. J’ai des ami·es qui ont du mal, après l’alarmisme du confinement, à se dire que tout va bien, il faut aller travailler-consommer.

      Coronavirus hasn’t gone away. So why are people acting as if it has ? | Rhiannon Lucy Cosslett | Opinion | The Guardian
      https://www.theguardian.com/commentisfree/2020/jun/17/coronavirus-england-lockdown-shops-parks-social-distancing
      https://i.guim.co.uk/img/media/48ac66964eb10660a03f11060b94e78c1c493c3c/0_123_6633_3980/master/6633.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

      The people a few houses down have been having parties in their garden. Meanwhile my dad, in north-west Wales, remains in almost total lockdown. There are the geographical discrepancies, but the other disconnect is psychological. People no longer bother with the 2-metre distance rule. Many aren’t wearing masks in shops. People no longer politely step aside to give one another space on park paths.

      There were always people who didn’t observe lockdown, whose way of coping seemed to be denial, or whose perception of risk was different to my own. The strange, Crucible-esque shaming streak that hit the country at one stage seems to have dissipated, thankfully. I made the decision early on not to get het up about other people breaking the rules. Better, I thought, to be able to look back on this, maybe in a few decades’ time, and be able to say that I did my best to protect other people. Better to just privately lose respect for someone, rather than to get on your high horse about it, or try to humiliate them. And anyway, Dominic Cummings put paid to all that. He’s part of the reason why the lockdown has unravelled so dramatically.

      What we are left with are people living in two parallel universes. In one, there are people who – knowing that the virus has not gone away – feel gaslit by the fact that things are opening up when there is absolutely no scientific reason for that to be happening.

      Because of this, it feels almost as though we are going mad.

  • American billionaires got $434 billion richer during the pandemic
    https://www.cnbc.com/2020/05/21/american-billionaires-got-434-billion-richer-during-the-pandemic.html?__source

    U.S. billionaires saw their fortunes soar by $434 billion during the nation’s lockdown between mid-March and mid-May, according to a new report. Amazon’s Jeff Bezos and Facebook’s Mark Zuckerberg had the biggest gains. Bezos added $34.6 billion to his wealth and Zuckerberg picked up $25 billion. America’s billionaires saw their fortunes soar by $434 billion during the U.S. lockdown between mid-March and mid-May, according to a new report. Amazon’s Jeff Bezos and Facebook’s Mark Zuckerberg had (...)

    #Microsoft #Amazon #Facebook #bénéfices #COVID-19 #santé

    ##santé