"Contrairement aux autres prédateurs qui sont naturellement régulés par le nombre de proies, nous subsistons grâce à énormément d’espèces à la fois. Et comme nous sommes omnivores, ce qui implique que nous ne dépendons pas des proies pour notre survie, celles-ci diminuent sans que cela ne nous pousse à relâcher la pression."
L’humain, cet « insoutenable » superprédateur
►http://www.lemonde.fr/biodiversite/article/2015/08/20/l-humain-un-insoutenable-superpredateur_4731892_1652692.html