#yotecreohermana

  • Colère en Espagne à la suite de la condamnation pour « abus sexuels » de « la Meute » de Pampelune
    http://www.lemonde.fr/europe/article/2018/04/26/colere-en-espagne-apres-la-condamnation-pour-abus-sexuels-de-la-meute-de-pam

    Ils se surnommaient « la Meute ». Cinq hommes ont été condamnés à neuf ans de prison, jeudi 26 avril en Espagne, pour « abus sexuels » et « abus de faiblesse » sur une femme de 18 ans aux fêtes de la San Fermin, à Pampelune – la capitale de la Navarre –, en juillet 2016.

    Les cinq Andalous âgés de 27 à 29 ans – dont le groupe de messagerie WhatsApp était appelé « La Manada » (« la Meute ») – ont également été interdits d’approcher la victime à moins de 500 mètres et de la contacter pendant quinze ans. Ils devront par ailleurs lui verser une indemnisation de 50 000 euros.

    Mais la décision du tribunal de Pampelune a provoqué la colère des associations de défense des droits des femmes, qui déplorent que l’accusation de viol n’ait pas été retenue par la justice. La condamnation est en effet très inférieure aux réquisitions du parquet, qui demandait vingt-deux ans et dix mois de réclusion contre chacun d’eux, ainsi que 100 000 euros d’indemnisation totale.

    Article bizarre où tu sais quelles étaient les réquisitions, mais où tu ne vois jamais quelles sont les peines réellement jugées.

    • Espagne : polémique après la condamnation de cinq hommes pour « agressions sexuelles » et non pour « viol »
      https://www.francetvinfo.fr/societe/violences-faites-aux-femmes/espagne-polemique-apres-la-condamnation-de-cinq-hommes-pour-agressions-

      Cinq Espagnols ont été condamnés à neuf ans de prison par le tribunal de Navarre, jeudi 26 avril, pour des « abus sexuels » commis sur une jeune femme de 18 ans. Les faits s’étaient déroulés à Pampelune, lors des fêtes de San Fermín en juillet 2016. Âgés de 27 à 29 ans, les agresseurs s’étaient eux-mêmes vantés de leurs actes. Sur un groupe WhatsApp intitulé « la meute », ils s’étaient envoyé une vidéo des faits, avec le message « en train d’en baiser une à cinq ».

      Sauf que le « viol » n’a pas été retenu par les juges. Le Code pénal espagnol stipule qu’il doit y avoir « intimidation » ou « violence ». Une décision qui a aussitôt suscité une vague de protestations. Et ce, dès la sortie du tribunal. Des manifestants ont crié « ce n’est pas un abus sexuel, c’est un viol ». Même réaction sur Twitter, avec le hashtag « moi je te crois, ma sœur » ("#YoTeCreoHermana).

      On trouve les infos complètes ailleurs.