• Émigration : La Chine en perte de sa jeunesse par la tactique de « Runxue » ou « l’art de la fuite »
    https://www.dakaractu.com/Emigration-La-Chine-en-perte-de-sa-jeunesse-par-la-tactique-de-Runxue-ou-

    Émigration : La Chine en perte de sa jeunesse par la tactique de "Runxue" ou "l’art de la fuite"
    L’énormité de la présence de la citoyenneté chinoise dans la diaspora connaît une augmentation virulente. En effet, selon le journal hebdomadaire The Economist, les tendances des recherches en ligne en Chine démontrent que l’élite chinoise jeune et instruite envisage de quitter leur pays pour un endroit nettement favorable. Selon d’ailleurs le politologue et ancien professeur associé à l’Université de sciences politiques et de droit de Shanghai, Chen Daoyin, "la classe moyenne s’attendait à une vie décente."
    « Avant, elle échangeait la liberté contre la sécurité, mais maintenant elle n’a plus ni liberté ni sécurité », explique-t-il.
    Runxue, "l’art de la fuite", est en fait un terme d’argot populaire apparu sur Internet durant la pandémie, faisant ainsi référence au désir et à l’envie de quitter la Chine et d’émigrer à l’étranger. Le jour même où le gouvernement a réitéré sa politique « zéro Covid dynamique », le nombre de recherches pour « immigration » a augmenté de 440 % sur WeChat, présentant le Canada comme étant la destination la plus populaire. D’après un rapport du média en ligne The Diplomat Asia, pour entreprendre un tel voyage, les migrants chinois dépenseraient entre 5 000 et 7 000 dollars pour des périples autoguidés, tandis que d’autres paient des frais de passeurs allant jusqu’à 35 000 dollars, soit trois fois ce que paient habituellement les migrants d’Amérique centrale ou d’Amérique du Sud. La capacité de payer des frais aussi élevés suggère que si certains migrants sont issus de la classe ouvrière, beaucoup sont issus de la classe moyenne. Le Runxue met réellement à mal l’ambition de "rajeunissement de la nation" partagé par le président Xi Jinping l’année passée. Cette initiative ayant pour mission d’unir davantage la jeunesse chinoise afin de "cultiver, importer et utiliser leur talent dans une Chine de nouvelle ère..."

    #Covid-19#migrant#migration#chine#canada#emigration#runxue#sante#ameriquecentrale#amriquedusud#passeur#jeunesse

  • Naarea, la start-up qui veut laver le nucléaire plus blanc que blanc

    https://www.nouvelobs.com/economie/20220216.OBS54554/naarea-la-start-up-qui-veut-laver-le-nucleaire-plus-blanc-que-blanc.html

    Cette deep-tech française planche sur un mini-réacteur sans danger ni déchets. Ce rêve peut-il devenir réalité ou sert-il d’autres desseins ?

    #suspense

    #nucléaire #nucléaire_vert #start_up #deep_tech #SMR #AMR #illusion #green_washing #france_2030

    • Construire un mini-réacteur nucléaire contenu dans un cube d’un mètre de côté, qu’on pourrait installer partout sur la planète et qui contribuerait de façon sûre et propre à l’avènement du monde neutre en carbone que nous devons atteindre d’ici 2050 : tel est le grand projet de Jean-Luc Alexandre, ingénieur quinquagénaire passé par Spie Batignolle, Alstom et Suez, et d’Ivan Gavriloff, consultant en innovation industrielle. Ensemble, ils ont fondé la start-up Naarea, qui doit donner naissance à ce nucléaire qui lave plus blanc que blanc.

      En les écoutant, il se peut que vous soyez traversé par l’image de Peter Isherwell, ce personnage emblématique du film « Don’t look up », entrepreneur convaincu que sa technologie sauvera la planète de la comète qui la menace... Naarea peut-elle vraiment contribuer à lutter contre le réchauffement climatique ou fait-elle miroiter des solutions impossibles ?

      Dans le milieu assez conservateur du nucléaire français, on regarde avec une certaine prudence cette jeune pousse disruptive qui veut ouvrir la voie à un atome qui ne soit ni super-étatique, ni super-centralisé. Tout le contraire de la façon dont cette énergie s’est développée jusqu’à présent dans le monde. A la manière américaine, Jean-Luc Alexandre et Ivan Gavriloff veulent faire collaborer des scientifiques et entreprises ultrapointus peu habitués à travailler ensemble, lever des millions auprès de différents investisseurs, candidater aux appels d’offres publics destinés à soutenir l’innovation, et avancer sur leur voie.

      Les réacteurs à sels fondus

      Aux Etats-Unis, cette stratégie a permis à plusieurs start-up de pousser des projets de petits réacteurs nucléaires, les Small Modular Reactors (SMR), dont la puissance ne dépasse pas 300 mégawatts (MW) (contre 1 650 pour un EPR). Parmi elles : Nuscale ou TerraPower, soutenue par Bill Gates, qui planche sur deux technologies de réacteurs dont l’une partage beaucoup avec celle retenue par Naarea. Nos deux aventuriers de l’atome ont d’ailleurs « pitché » le célèbre milliardaire, au même titre que des dizaines d’autres investisseurs, en vue d’attirer leurs deniers. Objectif : lever « plusieurs dizaines de millions d’euros dans les prochaines semaines, en amorçage », avant de recommencer, pour rassembler au total 650 millions d’euros sur cinq ans.

      Que racontent-ils à leurs potentiels investisseurs ? Que le nucléaire sauvera la planète du réchauffement, et qu’ils disposent d’une technologie qui peut résoudre les problèmes aujourd’hui posés par l’atome. Jean-Luc Alexandre explique : « Le nucléaire représente aujourd’hui 4 à 5 % de l’énergie mondiale. Ce n’est pas à ce niveau qu’on peut avoir un rôle sur le climat. Pour qu’il remplace en grande partie les énergies fossiles, il faut faire dix fois plus. Et pour y arriver, il faut le rendre acceptable en s’attaquant à ce qui ne l’est pas aujourd’hui : les déchets et la sûreté. »

      Le réacteur Naarea, plus petit qu’un SMR avec une puissance de 1 à 40 MW, fabriquerait à la fois de l’électricité et de la chaleur. Sur le papier, il fonctionne avec une technologie dite « à sels fondus », contrairement à la quasi-totalité des réacteurs existants qui sont « à eau pressurisée ». Son combustible, liquide, ne remet pas en cause le principe de base de la fission, mais n’a pas besoin d’eau pour se refroidir. Ce qui ouvre des possibles en termes d’implantation : chauffer les villages les plus reculés, aujourd’hui alimentés en fuel, propulser des porte-conteneurs, voire des avions et des fusées, faire tourner des usines, et, pourquoi pas, alimenter les bornes de recharge des véhicules électriques sur les aires d’autoroute.

      Cette technologie est aussi censée réduire très fortement le risque d’accident. Comme le détaille l’ingénieur : « Le sel fondu se dilate quand la température augmente. Si celle-ci s’élève trop, il sort de la zone critique et la température descend d’elle-même. Il n’y a pas de risque de fusion comme à Tchernobyl. » Par ailleurs, contrairement aux réacteurs existants, celui de Naarea ne sera pas sous pression, ce qui simplifie sa conception, réduit les contraintes de sûreté et les coûts associés. Une casserole d’eau bouillante reste plus sûre qu’une Cocotte-Minute sans soupape...

      Après Astrid

      Enfin, parce qu’il s’agit d’un réacteur de 4e génération, il doit produire bien moins de déchets que les réacteurs de 2e génération qui fonctionnent en ce moment en France, ou de 3e génération - celle des EPR de Taishan en Chine, d’Olkiluoto en Finlande ou de Flamanville en France. Il aura en effet la capacité, en fonctionnant avec des neutrons rapides, de valoriser les combustibles usés, y compris les matières hautement radioactives, qui s’accumulent aujourd’hui dans les piscines d’Orano La Hague et d’EDF, et d’éviter qu’ils ne deviennent des déchets. Dans les plans de Naarea, un prototype pourrait être mis en service dès 2026 et construit en série, le réacteur pourrait sortir un mégawattheure à « moins de 40 euros, moins que le charbon » en 2030.

      On serait tenté d’y voir des marchands de rêve, si des pointures de la recherche ne faisaient partie de l’aventure. Comme Daniel Heuer, physicien soixantenaire et cerveau du futur réacteur, qui a déjà son bureau au siège de Naarea. Fraîchement retraité, cet ancien directeur de recherche au CNRS a travaillé pendant plus de vingt ans sur... les réacteurs à sels fondus.

      Car la technologie n’est pas nouvelle : développée dans les années 1950 aux Etats-Unis, elle a été abandonnée au profit des réacteurs à eau pressurisée, pour lesquels « le retraitement du combustible n’était pas envisagé à l’époque », explique Daniel Heuer, et qui se révélaient plus compétitifs. C’est lui qui dirigera la réalisation des études et du design du réacteur, tout en s’appuyant sur les experts du Commissariat à l’Energie atomique (CEA), auquel Naarea ouvre un nouvel horizon après l’abandon par le gouvernement, en 2018, de son projet de construction d’Astrid, un réacteur de 4e génération à neutrons rapides au sodium.
      Jean-Claude Garnier, ancien chef de projet R&D d’Astrid et aujourd’hui responsable du programme Réacteurs de 4e génération au CEA, raconte : « Le cahier des charges d’Astrid avait été défini dans les années 2000. Or, dix ans plus tard, le contexte énergétique et la façon de penser le nucléaire avaient changé. On s’est mis à réfléchir à des réacteurs plus petits, capables de trouver leur place dans un mix contenant beaucoup d’énergies renouvelables... »

      Une équipe d’une vingtaine de personnes (contre 200 à l’époque d’Astrid) s’est remise à l’ouvrage sur les différentes technologies qui permettent un recyclage infini des combustibles nucléaires usés, et particulièrement sur les sels fondus. Parmi ces experts, des figures bien connues dans le milieu, comme Joël Guidez, ex-conseiller scientifique du CEA, qui rejoindra lui aussi Naarea. « Ils parlent d’innovation de rupture mais c’est un petit club de retraités ! », s’amuse un expert du nucléaire auprès de l’Agence internationale de l’Energie.

      L’appel du pied de Macron

      Pourquoi donc ce retour en grâce de la 4e génération, dans un pays qui semblait avoir tourné la page en fermant en 1997 Superphénix, un prototype de réacteur à neutrons rapides au sodium, puis en enterrant le projet Astrid ? Jean-Claude Garnier affirme : « Au début des années 2000, la filière nucléaire s’est demandé comment aller vers plus de sobriété dans la consommation d’uranium, dans l’hypothèse d’un redéveloppement du nucléaire. Un peu comme on a cherché à faire des voitures qui consommaient moins. La 4e génération y contribue. »

      Le besoin s’est aussi fait sentir de fabriquer des réacteurs nucléaires ne produisant pas seulement de l’électricité, mais aussi de l’hydrogène décarboné et de la chaleur - un atout de la 4e génération, qui atteint des températures plus élevées. La Pologne et les Pays-Bas ont d’ailleurs déjà montré leur intérêt pour ce nucléaire pour faire tourner leurs usines.

      Enfin, en France tout particulièrement, face à la saturation inquiétante des capacités d’entreposage du combustible usé, alors que les pistes de retraitement actuelles rencontrent des difficultés et que l’Autorité de Sûreté nucléaire (ASN) appelle le gouvernement à prendre d’urgence une décision sur l’opportunité de poursuivre l’entreposage de matières radioactives pour un hypothétique usage futur qui n’arrive pas, les opérateurs du traitement du combustible réfléchissent à leur avenir.

      Les Etats-Unis, le Canada, la Chine et la Russie n’ont pas tergiversé comme la France. Le gouvernement américain a relancé dès les années 2000 son industrie nucléaire moribonde en lançant des appels à projets, et créé une dynamique de start-up à l’affût de différenciation et d’innovation. Selon Jean-Claude Garnier : « Ce qu’on voit aujourd’hui en France correspond à ce qui s’est lancé il y a dix ans aux Etats-Unis. Et il se passe autant de choses en Chine, qui investit sur toutes les technologies sans exception, mais on en entend moins parler... »

      A ce jour, trois réacteurs à neutron rapide au sodium type Astrid sont en construction en Russie et en Chine, et quelques start-up s’intéressent aux sels fondus outre-Atlantique (TerraPower aux Etats-Unis, Terrestrial au Canada..)

      Comme là-bas, Naarea, le CEA et d’autres partenaires potentiels tentent de monter un consortium qui pourra répondre à l’appel à projet sur « des technologies de transformation et de rupture sur le nucléaire », annoncé par le président Emmanuel Macron dans le cadre du plan d’investissement France 2030, sur lequel il est encore revenu lors de son discours de relance du nucléaire le 10 février. Celui-ci prévoit en effet d’y allouer 1 milliard d’euros, dont la moitié pour le SMR Neward et l’autre moitié pour des projets type Naarea.

      Verrous technologiques

      Le sérieux technique de l’entreprise ne fait pas tellement débat dans la filière. En revanche, les « verrous technologiques » sont encore nombreux et laissent planer le doute sur la faisabilité à court terme du projet. « Un réacteur, c’est de la physique et des matériaux. On doit être sûr qu’on peut maîtriser son fonctionnement même, et que les matériaux résisteront à des températures très élevées, à l’irradiation et à la corrosion », explique Jean-Claude Garnier.

      Dans ces conditions, Valérie Faudon, porte-parole de la Société française de l’Energie nucléaire (Sfen), bras armé de l’atome en France, doute du calendrier : « D’ici 2030, on sera avant tout dans une phase de recherche et développement, et c’est le sens de l’annonce du président sur France 2030. Avant de pouvoir construire un prototype, il faut passer plusieurs jalons avec l’autorité de sûreté. Beaucoup disent que ces réacteurs n’arriveront à l’échelle industrielle qu’à la fin des années 2030. Pour la fusion, on parle de 2100, même si cela fait débat. » Et d’ajouter : « Tout dépend des moyens qu’on y mettra et bien sûr des exigences de l’Autorité de Sûreté nucléaire, qui devra valider la conception de ces réacteurs, sachant qu’on est sur des technologies de rupture. Aujourd’hui, l’ASN est bien occupée par les prolongations décennales des centrales existantes, les EPR2 en projet et le SMR Nuward... »

      Il faudra aussi trouver comment traiter le combustible dont le caractère liquide suppose une opération complexe de retraitement en fonctionnement, et une solution au risque de dissémination. Yves Marignac, expert de l’association NégaWatt, met en garde : « Ils disent que leurs petits réacteurs pourront aller partout. Or, à chaque fois qu’il y a une matière radioactive quelque part, il y a un risque de dispersion, qu’elle soit accidentelle ou malveillante. Plus vous disséminez ces matières, plus vous disséminez le risque. A la différence d’un panneau photovoltaïque, vous ne pouvez pas laisser la gestion d’un réacteur à un chef de village. »

      Un problème que Daniel Heuer ne nie pas, quand Jean-Luc Alexandre promet « des réacteurs surveillés et contrôlables à distance », dont Naarea resterait propriétaire et qui présenteraient un faible intérêt pour une personne mal intentionnée... « Tout cela est extrêmement illusoire, tranche Yves Marignac. La promesse d’apporter à l’humanité une énergie nucléaire propre, accessible à tous et compétitive est fausse. Mais elle entretient l’idée qu’un nucléaire est envisageable sans effet négatif. Naarea réactive cet imaginaire, mais sa seule vraie finalité est de donner de l’assise au nucléaire. »

      Un acteur y a en tout cas vu son intérêt. En novembre dernier, Naarea a annoncé la signature d’un partenariat avec Assystem, ingénieriste réputé dans le secteur nucléaire, qui accompagnera la start-up dans la réalisation d’un jumeau numérique du réacteur, qui simulera son comportement avant d’engager la construction d’un prototype. Un processus qui permet de gagner temps et argent, voire de limiter les mauvaises surprises. « Les bénéfices qu’Assystem dit attendre de son association avec cette entreprise sont révélateurs, observe Nicolas Goldberg, expert chez Colombus Consulting. Le petit réacteur, c’est aussi l’histoire qu’on raconte pour avancer sur d’autres sujets : le développement du numérique, la R&D appliquée, les conditions de certification du nucléaire... »

      Naarea, un outil de financement de toute la filière nucléaire ?

      Morgane Bertrand

    • Voir aussi la communication officielle sur le site du partenaire stratégique, qui vaut son pesant de cacahuètes au thorium :

      ... solution énergétique sûre, décarbonée, circulaire, non intermittente, décentralisée, économique, produite à partir de déchets industriels, qui élargit la voie des renouvelables ... conviction que le climat est notre patrimoine ... réaliser la transition écologique à l’échelle collective et atteindre une abondance juste et partagée ... développement d’une écologie citoyenne et stimulante, pour accroître la résilience des territoires, réformer l’économie, susciter de nouvelles générations d’entrepreneurs, et élargir le champ des possibles ...

      #sans_vergogne

  • Amrita Sher-Gil, l’étrange vie de la Frida Kahlo indienne - 7 Lames la Mer
    http://7lameslamer.net/amrita-sher-gil-l-etrange-vie-de-1511.html

    #AmritaSherGil est une femme hors du temps. Elle meurt mystérieusement à 28 ans, en 1941. Sa courte vie bouscule tous les préceptes de la société dans laquelle elle évolue. Émancipée, indépendantiste, #féministe, #bisexuelle et mariée à un cousin germain, elle laisse en héritage une centaine d’#oeuvres pionnières de l’#artmoderne en #Inde. Étrange destin... De l’autre côté des océans, une autre femme peintre, la Mexicaine #FridaKahlo. Troublantes similitudes entre ces deux femmes libres...

  • Quand les #médicaments n’ont plus d’effet

    Les dirigeants mondiaux se sont réunis cette semaine pour trouver une réponse commune au problème croissant de la #résistance aux #antimicrobiens (#Antimicrobial_Drug_Resistance, #AMR), mais ces mesures seront-elles mises en œuvre dans les pays en développement qui en ont le plus besoin ?

    http://www.irinnews.org/fr/actualit%C3%A9s/2016/09/22/quand-les-m%C3%A9dicaments-n%E2%80%99ont-plus-d%E2%80%99effet
    #santé

  • #Guinée: les zones d’ombre de la start-up protégée par #Arnaud_Montebourg
    https://www.mediapart.fr/journal/international/100816/guinee-les-zones-dombre-de-la-start-protegee-par-arnaud-montebourg

    Les actionnaires d’AMR Fin juillet, le principal dirigeant d’une société minière, soutenue par l’ancien ministre de l’économie et du redressement productif, a été mis en examen pour « abus de biens sociaux et de crédit, de faux et usage de faux et de blanchiment d’argent » en Guinée. Mais ce n’est qu’une des nombreuses ombres de cette affaire. Arnaud Montebourg aide-t-il à monter un projet industriel ? Ou s’est-il fourvoyé, à son corps défendant, à soutenir un coup financier ?

    #International #Economie #Afrique #AMR #bauxite #industrie #mines #Romain_Girbal

  • 8月3日のツイート
    http://twilog.org/ChikuwaQ/date-160803

    The latest Papier! paper.li/ChikuwaQ/13277… Thanks to @oeuvresouvertes @frxnsien @parages #amreading #hihonews posted at 09:18:10

    「鳥越」を「烏賊」に空目したのが、敗因だったか。 posted at 09:00:32

    RT @AlbertGalera: Beautifully outspoken. Fritz Lang’s Clash by Night (1952). #BarbaraStanwyck #FilmNoir pic.twitter.com/vf1P0ydRlY posted at 08:40:00

    #ねこだんご twitter.com/francescofrong… posted at 08:37:26

    RT @zim2918: Art is like a rose - soft petals, alluring color, sensuous odor, and stinging thorns. Pen and ink pic.twitter.com/44k3GO9RfC posted at 08:36:24

    Top story: Sahil Kapur on Twitter: "Trump proposes to spend “at least double” o… twitter.com/sahilkapur/sta…, see more tweetedtimes.com/ChikuwaQ?s=tnp posted at 06:00:21

    Top story: Rio Olympics: view from the favelas – ’I can’t leave the house. The … www.theguardian.com/global-develop…, (...)

  • Tens of thousands flee North #Yemen fighting
    http://english.al-akhbar.com/content/tens-thousands-flee-north-yemen-fighting

    Some 10,000 families have fled the northern city of #Amran in three days to escape an intensified battle between the army and Shia rebels, the Yemeni #Red_Crescent said Tuesday. Launching a “call for help”, the organization said 5,000 more families were trapped by fighting inside the city. Amran, 50 kilometers (30 miles) north of the capital Sanaa, is home to an estimated 120,000 inhabitants. read more

    #Houthis

  • #Egypte : #débat historique entre deux présidentiables.

    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article1283

    #AmrMoussa et Abdel Moneim Abol Fotouh : un #frère-musulman et un ancien du régime en quête de virginité.

    L’Egypte vient de vivre un débat historique entre deux hommes, Amr Moussa et Abdel Moneim Abol Fotouh, sélectionnés parmi cinq #candidats. Du fait de leur classement dans les sondages, pour les élections #présidentielles de juin prochain, deux canaux de télévision privée ont initié cette rencontre. Le pays des pharaons avance en #démocratie, sous la grande pression des islamistes dont nombreux commencent à renier leur barbarie ! L’opposant de l’ancien secrétaire de la ligue arabe, se dit ne plus être membre de la secte des « Frères Musulmans ».