person:brad pitt

  • Make them an offer you can’t refuse
    https://hackernoon.com/make-them-an-offer-you-cant-refuse-8447cae8f76d?source=rss----3a8144eabf

    Brad Pitt deciding of his terms for his upcoming negotiation with the Russian secret services in Burn After ReadingThe biggest mistake I see by freelancers and consultants is sending proposals they are not happy with.You give a discount for no clear reason. You think your rates are too low. You negotiate poorly and meet in the middle.When that proposal gets accepted, you are happy with the extra business but feel low right after because of the amount of work on your plate makes you feel like the fee wasn’t worth the effort.You feel unappreciated.And it shows!Your clients aren’t fooled. What they see is someone who made an offer, took their money and is now dragging their feet, unenthusiastic about getting into business with them.What do you think they think of you? Will they hire you again? (...)

    #pricing-strategy #freelancing #coaching #consulting #business-models

  • @georgia histoire de donner le change, voici une petite interview de Titiou Lecocq par Maïa Mazaurette (de bons ingrédients, donc).
    http://www.gqmagazine.fr/sexactu/articles/liberees-linterview-sexe-de-titiou-lecoq/59015
    Morceaux choisis :

    Notre génération a grandi dans le mythe de l’égalité déjà là ce qui rend insupportable de se découvrir à 35 ans dans le rôle de maîtresse de maison.

    En lisant ce passage, cette évidence m’a un peu sauté aux yeux, concernant l’apparition d’une nouvelle génération féministe et de sa nouvelle génération d’analyses, d’arguments et de revendications.

    le sexe est une pulsion vitale qui arrive toujours à se frayer un chemin en érotisant de nouvelles représentations. On le voit déjà sur la paternité.

    Je trouve ça hyper intéressant de constater que les attributs de la virilité et de la féminité, les clichés érotiques et les objets de désir évoluent vers des représentations (potentiellement) moins nocives, qu’on puisse consciemment orienter voire contrôler ces évolutions, au niveau collectif comme individuel. C’est loin d’être évident, y compris pour certain.e.s militant.e.s féministes que j’ai pu croiser.

    La grève du sexe a souvent été évoquée par les féministes comme un moyen de pression. Mais ça pose problème aussi. D’une certaine manière, le sexe devient une récompense pour les hommes qui font bien. C’est pas top en terme d’égalité.

    Oui, et... cela renforce le cliché selon lequel le sexe serait un « besoin vital » pour les hommes et un « service rendu » pour les femmes.
    Pour autant, la grève du sexe a été utilisée dans des luttes pas forcément féministes à la base : http://www.lemonde.fr/afrique/article/2012/08/28/greve-du-sexe-au-togo-un-procede-deja-teste-avec-plus-ou-moins-de-reussite_1
    Mais on en revient toujours au même problème : c’est un mode d’action qui présuppose que les femmes n’ont de pouvoir politique qu’à travers la pression qu’elles mettent sur leurs maris. C’est triste.

    il est clair que le nombre de rapports sexuels mensuels devient une moyenne qu’on essaie de tenir, comme de bonnes élèves. On se dit même quand notre moyenne est en baisse qu’on va se rattraper (donc faire un effort). Il y a vraiment une charge mentale de la sexualité du couple (ce qui est dingue quand on y pense).

    Oui, c’est dingue... et difficile à croire à la base, que dans un couple traditionnel il repose sur la femme de s’assurer qu’on couche à échéances régulières. Ce n’est en tout cas pas le cliché habituel (je n’ai pas fait d’étude statistique sur le sujet).
    En revanche, cela en dit sans doute sur « pourquoi les femmes en couple couchent ».

    si les femmes se demandaient plus souvent « de quoi ai-je vraiment envie ? » les maisons seraient nettement moins bien rangées

    Et... et ? Serait-ce vraiment si grave ?
    Le patriarcat induit que la valeur d’une femme en tant que personne dépend de la bonne tenue de son foyer. Si on veut abattre le patriarcat, ne faut-il pas remettre en cause cette valeur morale de l’ordre et du rangement (et pas seulement la répartition du travail qui permet d’y répondre) ?
    Je suis curieux de lire le livre de Titiou Lecocq pour voir quelle réponse elle donne à cette question. On se l’arpente ?

    • Première réponse à chaud, sur l’érotisation de nouveaux objets de désirs : dans mon milieu écolo, le père attentif qui porte son bébé en écharpe ou porte-bébé physiologique est au même niveau de sexitude que Brad Pitt au mieux de sa forme (et c’est pas du second degré).
      La suite plus tard, après lecture de tout l’interview et de tes commentaires

    • dans mon milieu écolo, le père attentif qui porte son bébé en écharpe ou porte-bébé physiologique est au même niveau de sexitude que Brad Pitt au mieux de sa forme (et c’est pas du second degré).

      Ca me semble pas nouveau, c’est du même ressort que la survalorisation des hommes qui « aident » leur compagne.

      Le ménage c’est assez convenu de dire que c’est chiant, mais au moins quant tu as fini tu as un peu de satisfaction. Le sexe c’est tellement chargé de contraintes, sachant qu’une femme sur 5 a subit des violences sexuelles avant ses 15 ans ce qui laisse des traumatismes important chez beaucoup d’entre elles, que la plus part des jeunes femmes prennent une contraception qui limite leur libido, que le principale agresseur sexuel (statistiquement) des femmes c’est leur conjoint, que l’imaginaire sexuel est envahie de représentations pornographiques gravement inégalitaires et humiliantes pour les femmes, et qu’en plus tu risque une grossesse qui va faire explosé la charge mentale, les corvées, contraintes et injonctions, qui a de fortes chances de limité ta carrière pro et affecté souvent ta santé. Sachant tout ca je me demande comment il est possible de parler de sexualité hétéro de manière positive, enviable du point de vue féministe. J’ai l’impression que l’obligation de l’expression d’une sexualité épanouie et heureuse est bien plus forte que celle d’avoir une maison rangée et propre.

      Sur le fait que la sexualité peut ne pas être un rapport de domination ou que la domination dans le sexualité ne serais pas comparable à celle du couple dans les autres domaine de leur existence je suis aussi assez septique. Pendant longtemps je me disait que l’idée que la pénétration était liée à la domination à cause (ou depuis) la culture Grecque antique (ou de la bible). Mais ce comportement de domination par la pénétration sexuel on le trouve chez beaucoup de mammifères y compris chez des femelles dominantes. Les hyènes par exemple pratiquent beaucoup et j’ai le souvenir de la chienne d’un ami qui était très dominante et qui cherchait toujours la moindre occasion de monter sur les gens. C’est possible que ce soit un comportement acquis. Quand une hyène ou une chienne prennent la position dite « active » elles ne se reproduisent pas, elles utilisent la sexualité à une autre fin, celle de la hiérarchisation de leur groupe. J’ai l’impression que chez les sapiens sapiens le conditionnement des femmes à ne pas être dominantes sexuellement est très fort, (bien plus que chez les Hyènes et les chiennes en tout cas). Il y a peu j’étais tombé sur une discutions au sujet du BDSM et des difficultés extrêmes que les hommes hétéros soumis rencontraient pour trouvé des femmes dominantes. La rareté des femmes dominantes sexuellement contraindrait ces hommes à les trouvé dans la prostitution. C’est pas une info fiable, mais j’ai quant même jamais eu l’occasion de rencontré des femmes hétéro qui se revendiquent de pratiques de domination sexuelles avec leur conjoint.

      Si les pratiques de domination-soumission dans la sexualité humaine ne sont pas symétriques à ceux de la société patriarcale (ce dont je doute) alors il y a pas de raison à ce que les hommes ne soient pas autant pénétrés par les femmes que l’inverse. Et je pense que c’est là qu’il y a des choses à faire bouger. C’est pas une grève du sexe qu’il faudra, c’est une grève de la pénétration des femmes. On peu brûler la serpillière mais le mieux c’est de l’échanger contre un gode ceinture. On peu faire des formations à l’autodéfense féministe, mais ca serait pas mal d’avoir aussi des ateliers dominatrices pour les femmes hétéros et soumission pour les hommes hétéros. Car si le sexe c’est si bien et que tout le monde dit qu’ille adore et que sois disant ca ne reproduit pas les hiérarchisations culturelles et sociales, il y a pas de raison a ce que les hommes n’adorent pas être soumis et pénétrés au lieu de contraindre les femmes à cela.

      J’y travail de mon coté avec mes trucs de #mégèrisme et peut être que je ferais un jour des stage de « devenir hyènes » ou de « chiennerie ». Ca me semble aussi lié aux histoires de femmes plus petites que les hommes (Priscille Touraille) et de beauté féminine associé à la faiblesse (cf le blog d’Antisexisme) et donc masculine associé à la force. Je me dit qu’il faudrait érotisé la faiblesse et la petitesse masculine ainsi que la puissance et le contrôle du coté des femmes.

    • @raspa On parlait l’autre jour de la question de l’anticipation (rappel rapide : les femmes anticipent plus que les hommes, parce qu’elles gèrent la logistique, qui demande de l’anticipation) : je me rends compte que ça fait vraiment système avec ce qui est décrit là :

      - Je pense par exemple à la logistique de la sexualité quand tu fais partie des femmes qui s’épilent : la sexualité + sa préparation c’est double de temps ?
      – Exactement. Tu ne vas pas te dire « tiens, j’ai envie de niquer ». Mais « ça fait trop longtemps, donc ce soir il faut qu’on nique. Du coup, il faut que je trouve le temps de m’épiler, je vais aussi me mettre de la crème hydratante pour avoir la peau douce » etc. La capacité des femmes à se rajouter des corvées est incroyable. Alors certes, de temps en temps, se préparer pour une folle nuit de sexe ça peut ajouter à l’excitation, mais il ne faut pas que ça devienne un impératif qui alourdit tout. Je me souviens d’une amie à moi qui avait très envie de coucher avec un homme, l’occasion se présente, c’est parfait, mais elle a finalement dit non parce qu’elle n’était pas épilée et qu’elle avait peur que ça le dégoûte. C’est affreux. Elle a fait passer un impératif « social » avant son envie.

      La logistique que demande la réponse aux impératifs sociaux (rien que pour la sexualité : maintenir la moyenne mensuelle, avoir une sexualité épanouie, se conformer aux canons de beauté, mais aussi gérer sa contraception) est dingue quand on y pense.
      Ça participe de cette stratégie de saturation de l’emploi du temps, dont il est bien difficile de sortir. Mais c’est diablement efficace pour freiner les envies, cf l’exemple décrit là.
      J’avais lu un bouquin sur les journaux intimes de jeunes filles françaises au XIXe. Les stratégies pour les contrôler socialement y étaient super bien décrites, et notamment cette saturation de l’emploi du temps (y compris dans la bourgeoisie où les femmes n’avaient pas de métier/emploi/travail, salarié ou indépendant), qui passait notamment par la saturation des mains. On apprenait aux filles, dès petites, à avoir toujours quelque chose dans les mains : tâches ménagères, broderie... Et comme malheureusement, occuper les mains ne suffit pas toujours à occuper l’esprit (typiquement pour les travaux de couture /broderie : des fois il faut sacrément réfléchir, mais il y a plein de moments où c’est très mécanique, surtout avant la machine à coudre), pour éviter les pensées vagabondes ou les conversations intimes, on faisait la lecture à voix haute (de choses édifiantes, bien sûr).

      - La première conséquence directe de cette surcharge de boulot pour les femmes c’est qu’elles sont fatiguées. Et quand je dis fatiguées, c’est plutôt épuisées. Sachant qu’il n’y a pas d’arrêt de maison comme les arrêts de travail et que même pendant les vacances, on conserve la charge de la maison. C’est un boulot sans fin.

      Ça aussi, c’est un vrai sujet. Avec parfois des réponses incroyables de la part des conjoints « mais repose toi si tu es fatiguée », sans qu’ils en fassent plus, comme si ça allait résoudre magiquement la cuisine, la vaisselle et emmener les enfants au parc. Dans le genre injonction horrible...
      A ce propos, cette conversation Twitter l’autre jour, parfaite illustration de ce que dit Titiou Lecoq : https://twitter.com/MarionCanneval/status/943142885251272704
      Et en forme de révolte, cette chanson d’Anne Sylvestre que j’adore <3 https://www.youtube.com/watch?v=2Ao4jhrMGfY


      Sérieux, une grève des tâches ménagères me semblerait plus pertinente qu’une grêve du sexe, mais plus compliquée à mettre en place (faut bien nourrir ceux et celles qui ne sont pas autonomes : enfants, personnes dépendantes...)

  • Mélanie Gourarier. « La séduction alpha mâle s’inscrit dans un continuum de pratiques violentes » | L’Humanité
    http://www.humanite.fr/melanie-gourarier-la-seduction-alpha-male-sinscrit-dans-un-continuum-de-pra
    https://img.humanite.fr/sites/default/files/styles/abonnez_vous/public/images/129026_couverture_hres_0.jpg?itok=FL3H1qIs

    Dans son ouvrage intitulé « Alpha Mâle, séduire les femmes pour s’apprécier entre hommes », l’anthropologue Mélanie Gourarier a étudiée pendant trois ans la « Communauté de la Séduction ». Ce groupe fait par et pour les hommes - majoritairement blanc et de classes moyennes et supérieures - soit disant opprimés par les femmes, met tout en œuvre pour retrouver une hégémonie masculiniste. Misogynes, sexistes, antiféministes, les acteurs de cette communauté se rassemblent, en France mais aussi partout en Europe et en Amérique du nord, dans le but de répondre à une « crise de la virilité » fantasmée.

    Comment expliquer ce paradoxe de vouloir récupérer un certain pouvoir en étant le plus grand séducteur, et en même temps d’être misogyne ?
    Mélanie Gourarier.
    Selon moi, il ne s’agit pas d’un paradoxe, c’est même assez logique. Ce qui est visé dans cette volonté d’être un grand séducteur, ce qui les intéresse n’est absolument pas la conquête des femmes mais, à travers la conquête des femmes s’apprécier entre hommes. C’est s’aimer entre hommes mais aussi s’évaluer, se hiérarchiser. La reproduction des masculinités fonctionne sur ce double processus : la nécessité de l’entre-soi masculin et les rapports – de pouvoir- entre hommes.

    #male-alphisme #masculinisme #fraternité #misogynie #culture_du_viol

  • Venezuela infos | En Occident il y a bien longtemps que la gauche n‘ose plus parler de démocratiser la propriété des médias. Les grands groupes privés imposent leur image du monde au service public et… balisent l’imaginaire de la gauche. Comme le Venezuela construit une démocratie participative et bat les records en nombre d’élections, les grands médias personnalisent le processus : « Chavez ceci », « Maduro cela », « populiste », « dictateur », « iranien ». Ceci est le journal d’une révolution, aux antipodes de l’AFP ou de Reuters.
    https://venezuelainfos.wordpress.com

    Je ne comprends pas pourquoi Maduro ne se dépêche pas d’adopter la constitution de l’Arabie Saoudite pour faire plaisir au gouvernement états-unien (Julien Assange)

    • Venezuela. L’opposition sort groggy du scrutin
      https://www.humanite.fr/venezuela-lopposition-sort-groggy-du-scrutin-639786

      Leopoldo Lopez, l’une des figures de l’opposition et l’homme clé de la stratégie américaine. Son parcours : violence, détournement et tentative de coup d’État.
      Caracas (Venezuela), envoyé spécial.
      À la veille du scrutin vénézuélien, le vice-président américain, Mike Pence, s’est fendu d’un appel téléphonique à Leopoldo Lopez, l’une des figures de l’opposition, pour le féliciter de « son courage et sa défense de la démocratie vénézuélienne ». Mais qui est Lopez ? Une gueule de Brad Pitt latino ou un Delon aux traits gras, comme on voudra, genre voyou beau gosse. Ce qu’il semble effectivement être, son CV comportant des accusations de corruption, de coups, d’incitation à la violence, et même de tentative de coup d’État. Déclaré coupable par la procureure générale de l’époque, Luisa Ortega, en 2014, il a écopé, en 2015, d’une condamnation à treize ans et neuf mois de détention, et se trouve actuellement en résidence surveillée, extrait de sa prison récemment pour raisons de santé. Il a reçu le soutien de « démocrates » aussi célèbres que le Mexicain Felipe Calderon, dont la guerre de la drogue a fait 100 000 morts, ou le milliardaire chilien proche de Pinochet, Sebastian Pinera.

      De droite, Leopoldo Lopez l’a toujours été. Et il aime l’argent. Né en 1971, diplômé aux États-Unis, il est rentré au #Venezuela pour travailler, de 1996 à 1999, dans la compagnie pétrolière PDVSA, où il va se faire remarquer : une enquête conclut que Lopez a « volé de l’argent et a pratiqué le trafic d’influence », ce qui lui a permis de détourner de l’argent pour financer son mouvement. Il sera suspendu, mais peu lui importe. Il est vrai que sa position et ses idées politiques lui ont permis de rencontrer beaucoup de monde. Évidemment, avec l’élection de Chavez, il va s’affirmer comme l’un des fers de lance de l’opposition. À partir de 2002, il se rend souvent à Washington, où il rencontre la famille Bush et visite l’International Républican Institute (IRI), qui fait partie du National Endowment for Democracy (NED, dotation nationale pour la démocratie), qui va injecter des dizaines de millions de dollars dans les groupes d’opposition au Venezuela, dont celui de Lopez, Justice First (la justice d’abord, sic). En 2002 toujours, Leopoldo Lopez fait partie de la marche de l’opposition venue s’affronter avec les partisans d’Hugo Chavez qui manifestaient devant le palais présidentiel de Miraflores. Une expédition punitive, préméditée, qui se soldera par la mort de douzaines de personnes. Le but était de justifier le coup d’État et le kidnapping de Chavez. On ne s’étonnera donc pas de savoir que, de 2000 à 2008, Lopez a été le maire du riche quartier de Caracas, Chacao. L’un des quartiers les plus violents ces derniers jours pour s’opposer à l’élection de la Constituante.

      https://www.humanite.fr/leopoldo-lopez-un-delinquant-de-premiere-soutenu-par-washington-639611

  • France:Présidentielle de 2017:Le‘sarkozysme’dorénavant dans les ‘poubelles de l‘histoire ’ ! - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/12/france-presidentielle-de-2017-le-sarkozysme-dorenavant-dans-les-po

    (F.Fillon, N. Sarkozy et A. Juppe)
    Bye-Bye Kabila !!! ; Bye-Bye Kabila !!! C’est le nouveau slogan que scandent les jeunes de la République Démocratique du Congo qui sont lassés de voir Joseph Kabila Jr à la tête de leur pays. Et bien ce slogan peut désormais se transporter en France et s’appliquer à l’ancien homme fort de la droite française et ancien président de la République, Nicolas Sarkozy.

    Bye- Bye ‘Sarkozy’ est aujourd’hui une réalité. Ainsi en ont décidé les électeurs de la droite et du centre droite qui ont carrément rejeté l’ancien président de la République, c’était le Dimanche 20 Novembre dernier. Pour une humiliation, c’en était vraiment une !

    Oui en effet ils étaient un peu plus de 4 millions de français de la droite à trancher et le score est sans appel :

    44% Pour François Fillon (l’ancien premier ministre sous Sarkozy 2007-2012)

    28% pour Alain Juppé (l’ancien premier ministre et ancien chef de la diplomatie et longtemps proche collaborateur de Jacques Chirac).

    Et un petit 20% pour l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy.

    Les 4 autres candidats se partagèrent le reste.

    A 62 ans l’ancien président a été éliminé in fine. Et il a prononcé le discours de son ‘oraison funèbre politique’. Dans le discours prononcé quelques heures après cette défaite ‘cruelle’ et inattendue Nicolas Sarkozy a dit espérer vouloir dire la vérité aux français. Erreur !!! car la vérité était plutôt du côté des électeurs eux même qui lui ont carrément barré la route pour un deuxième mandat (non consécutif) à la tête de la France. Il a fallu seulement trois (3) petits débats télévisés organisés entre des candidats de cette primaire pour que les électeurs de la droite française ‘appréhendent’ les accents arrogants et la vision belliqueuse de l’ancien président de la République. Toutes choses qui ne suscitaient pas espoir dans un monde déjà perturbé par l’élection de M Donald Trump aux USA.

    Au-delà de la France c’est en Afrique que Nicolas Sarkozy a laissé des souvenirs ‘amères’. En effet le gouvernement de Sarkozy a été ‘la cheville ouvrière’ de la ‘manipulation’ à l’ONU ayant conduit à l’invasion de Tripoli par l’OTAN et à la chute du régime socialiste et panafricaniste de Mouammar Kadhafi. C’est aussi Nicolas Sarkozy qui a conduit la campagne militaire pour déloger l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo avant de le transférer devant la CPI (Cour Pénale Internationale). Le souvenir de Nicolas en Afrique c’est aussi son discours de Dakar qui a totalement discrédité cet homme aux yeux des africains francophones. Que dire ? C’était sous le regard complice de Nicolas Sarkozy que l’ancien président nigérien Mamadou Tandja a élaboré et a exécuté son programme mort-né de Tazarché.

    ‘Sarko’ : l’animal politique au style bling-bling !

    Nicolas Sarkozy a été longtemps le chouchou des jeunes de la droite. Il aimait les foules hystériques et les meeting standup. L’ancien président français était un gaulliste affiché qui avait apporté son soutien à Edouard Balladur face au duel qui opposa ce dernier à Jacques Chirac. Au-delà de Jacques Chirac, ses adversaires au sein de la droite française se nommaient justement Alain Juppé, MAM (Michelle Alliot Marie), Dominique De Villepin etc… Mais Sarkozy fut un animal politique hors pair. Tenez-vous bien, c’est en véritable stratège politique qu’en 2002 il réussit à fédérer toutes les forces politiques de la droite et centre droite. En effet, Jacques Chirac et son RPR (Rassemblement Pour le Républicains) furent mis en ballotage par le vieux leader du FN (Front National) d’antan Jean Marie LePen. Toutes les forces politiques y compris le parti socialiste de Lionel Jospin se mobilisèrent pour barrer la route à M. LePen. Chirac fut réélu pour un dernier mandat. Nicolas Sarkozy en fin stratège transforma le RPR en UMP (Union pour un Mouvement Populaire). Plébiscité pour diriger ce mouvement, Nicolas Sarkozy bat campagne et devient le candidat de la droite avant de remporter la présidentielle de 2007 face de la socialiste Ségolène Royal.

    Après cinq (5) ans de présidence Sarkozy jalonnée par une crise économique sans précèdent et une crise sociale qui a failli basculer tout le pays dans le chaos, Sarkozy fut éliminé en 2012 par l’actuel président François Hollande, qui vint ainsi ‘prendre vengeance’ après la défaite de son ex compagne madame Royal cinq (5) ans plutôt.

    Toujours en fin stratège, Nicolas Sarkozy transforma cette fois l’UMP en « Les Républicains », espérant gagner un autre mandat pour représenter le même parti dont il a changé le nom à deux (2) reprises. Cette fois ci, ce politicien qui aime la provocation et qui est l’incarnation d’une France identitaire vient de tomber. Sarkozy a gonflé ses biceps et finalement patatras il est par terre ! contrairement à ses six (6) adversaires l’ancien président a oublié qu’il avait un bilan à défendre, lui qui a mal dirigé le pays et les électeurs ne dormaient pas. Ils ont vu l’ancien président a l’œuvre pendant 5 ans (Mai 2007-Mai 2012). En plus de son programme c’était aussi le style Sarkozy qui est rejeté et d’une certaine mesure ces idées ‘démesurées’ qui pourriez plonger la France dans un nationalisme qui ne dit pas son nom.

    In finish, il a été rejeté, humilié et même congédié de la famille gaulliste de la droite française : un véritable coup de tonnerre ! M Sarkozy a d’ailleurs reconnu et a tiré sa révérence avec le peu de dignité qui lui restait.

     

    Fillon et Juppé les deux finalistes au bonnet blanc, blanc bonnet !

    Autre lecture qu’on pouvait faire de ces primaires de la droite en France, c’est que l’establishment a été reconduit à la tête du parti. Malgré la défaite du sarkozysme, les deux (2) finalistes sur les 7 sont tous des anciens routiers du system politique français. Autant Nicolas Sarkozy a voulu séduire la droite en jouant sur la peur des militants autant Alain Juppé jouait le rassembleur en cherchant à séduire les électeurs qui s’affichaient au centre-droite. Et c’est au milieu de ce duel qui opposerait Nicolas Sarkozy à Alain Juppé (longuement pronostiqué par les media et les instituts de sondages) qu’un troisième larron très ancré dans la droite traditionnelle réussît à se placer au-dessus de la mêlée.

    Il faut dire que François Fillon a mené une campagne timide mais c’est durant les débats télévisés qu’il a pu convaincre l’électorat de droite. Ils étaient sept (7) candidats au départ (Nicolas Sarkozy, Alain Juppé, François Fillon, Bruno Lemaire, Nathalie Kosciusko-Morizet, Jean François Copé, et Jean-Frédérique Poisson) tous des candidats qui portaient des valeurs de la droite mais au finish ce sont François Fillon et Alain Juppé qui s’affrontent (aujourd’hui) pour le choix du champion qui représentera les Républicains à la présidentielle du mois de Mai 2017.

    Aujourd’hui se joue le 2ème tour et tout porte à croire que c’est François Fillon qui sortira gagnant. Fillon ou Juppé, le candidat issu des primaires affrontera un président de la République socialiste très affaibli dans l’opinion, François Hollande. Ce dernier avait conditionné sa candidature à un 2ème mandat à une reprise de la croissance économique et à la réduction du taux de chômage se rappelle-t-on. Son bilan économique médiocre a rendu M Hollande le président le plus impopulaire de la 5ème République française si bien que ses détracteurs arguent que Brad Pitt (l’acteur américain d’Hollywood) serait plus populaire que le président François Hollande en France.

    Pour finir sur note plus sérieuse, disons que nous sommes tout simplement amenés à constater que le Front National de Marine LePen (fille de Jean Marie LePen) fait des avancées spectaculaires et que si les partis traditionnels français ne se serrent pas la ceinture, le peuple français risquerait de revivre un remake : Républicains contre le Front National ou bien Parti Socialiste contre le même Front National au 2ème tour.

    Pour emprunter le refrain de la chanson du français Johnny Hallyday « Souvenirs, Souvenirs » nous nous disons « Vigilance ! Vigilance ! »

    DJIBRIL OUMAROU, Baltimore, MD USA
    https://wordpress.com/read/blogs/99399829/posts/607

  • « The #Big_Short » : le film d’Adam McKay rhabille la finance pour l’hiver - Page 1 | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/210116/big-short-le-film-dadam-mckay-rhabille-la-finance-pour-l-hiver

    On sait probablement de quoi il retourne : McKay et son scénariste Charles Randolph adaptent un essai de Michael Lewis, déjà intitulé The Big Short. Mediapart en avait salué la parution américaine en 2010, avant sa traduction française par le Seuil sous le titre Le Casse du siècle. Son sujet : la crise des subprimes et des prêts hypothécaires à risque de 2007-2008, vue à travers les quelques personnes qui surent la prévoir. Non pas qu’elles souhaitèrent l’empêcher. Le génie asocial Michael Burry (Christian Bale) voulait démontrer la justesse de ses calculs. Le banquier Jared Vennett (Ryan Gosling) voulait faire la nique à ses supérieurs. Le justicier de Wall Street Mark Baum (Steve Carell) voulait mettre à nu la saloperie du système. Les jeunots Jamie Shipley et Charlie Giller (Finn Wittrock et John Magaro), entraînés par le vétéran Ben Rickert (Brad Pitt), voulaient se faire une place au soleil. Et tous désiraient s’enrichir en pariant contre – en shortant – un marché immobilier à la stabilité pourtant proverbiale

    Comme ils évoluent sans cesse, sans cesse aussi le terrorisme, l’Internet et le capitalisme menacent de laisser le cinéma sur le carreau. Chaque film qui se voudrait actuel en traitant de l’un ou de l’autre encourt donc le risque, sitôt apparu, de passer pour démodé. La difficulté est connue. Une autre vient toutefois s’ajouter en l’occurrence. Ces trois réalités échappent aux visibilités ordinaires. Elles sont l’évidence de ce monde, ce dont on peut partout relever des indices. Mais elles en sont aussi l’inévidence ou la vérité secrète : il n’y a pas de blason du terrorisme, de l’Internet ou du capitalisme.

    McKay a vu dans la finance un vaste enfumage, un show sans autre substance a priori que les élucubrations de Ferrell en présentateur vedette ou en coureur automobile. The Big Short est donc une comédie d’aujourd’hui. McKay n’ajoute pas du rire à des situations communément exemptes de comique. Il filme la comédie qui est déjà là, une outrance et une autosatisfaction, des bravades et des insultes qui fabriquent un spectacle, une visibilité censément glorieuse qui semble faite pour que demeurent invisibles les enjeux et les effets véritables des manipulations financières.

    McKay sollicite un mélange d’images obéissant à d’autres règles et servant d’autres intentions. En 2010, son Very Bad Cops s’achevait avec des graphiques détaillant le fonctionnement d’une pyramide de Ponzi.

    The Big Short multiplie aujourd’hui les montages incongrus et les métaphores insolites. Un intertitre compare la tentative d’entrer en finance sans les fonds nécessaires à celle de disputer un grand prix automobile sur un lama. Vennett décompose une combine foireuse par le biais d’une construction en bois dont il jette rageusement les pièces à la poubelle. McKay convoque même d’autres vedettes afin qu’en leur nom elles expliquent, face caméra, certains mécanismes complexes : Margot Robbie – révélée par Le Loup de Wall Street – buvant du champagne dans son bain, Selena Gomez à une table de black-jack à Las Vegas, le chef Anthony Bourdain présentant certains produits douteux comme un mélange de poissons avariés qui serait servi au client sous couvert de nouveau plat.

    Dans ses moins bons moments, le didactisme de The Big Short flirte avec la démagogie. Loin d’être un grand film, The Big Short touche juste en montrant qu’à ce jeu il n’y a pas ni terme ni de bonne mesure. Juste une relance infinie où le cinéma lui-même est engagé.

    film dispo yify.tv

  • Quelqu’un connaît ce site ? : http://journal-neo.org

    Israeli Colonel Caught with IS Pants Down
    http://journal-neo.org/2015/11/25/israeli-colonel-caught-with-is-pants-down

    Of course no reasonable person in their right mind would suggest there might be a link between Israeli military dealings with the ISIS and other anti-Assad terrorists in Syria, especially in the Golan Heights, and the oil find of Genie Energy in the same place, and with Netanyahu’s latest Golan Heights “rethink” appeal to Obama. That would smell too much like “conspiracy theory” and all reasonable people know conspiracies don’t exist, only coincidences. Or? In fact, to paraphrase the immortal words of Brad Pitt in the role of West Virginia First Lieutenant Aldo Raine in the final scene of Tarantino’s brilliant film, Inglorious Basterds, it seems that ‘Ol Netanyahu and his pecker-suckin pals in the IDF and Mossad just got caught with their hands in a very dirty cookie jar in Syria.

  • La maladie de ceux qui ne reconnaissent pas les visages
    http://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2015/07/02/votre-visage-me-dit-quelque-chose_4668193_4500055.html


    Je savais bien que j’avais beaucoup en commun avec Brad Pitt.

    Incapables de reconnaître un visage, les prosopagnosiques peuvent cependant parfaitement identifier les voix. « Mes patients, qui jamais ne me reconnaîtraient dans la rue, me reconnaissent si je leur téléphone », observe Thomas Busigny.

    La voix, ça marche très bien pour moi... et les photos, bien sûr. C’est pour cela que je prends pas mal de photos : revoir les gens dessus m’aide à les fixer.
    Sinon, c’est la lose intergalactique, comme la fois où j’ai salué un gars toute contente au supermarché et quand je lui demande des nouvelles de ses enfants, il me répond : « qu’est-ce que ça peut vous foutre ? ».
    Ce n’était pas le bon gars, c’en était un autre.
    L’autre jour, j’ai parlé 15 minutes dans une soirée avec une nana qui, manifestement, me connaissait, mais elle n’a jamais rien dit de significatif qui m’aurait permis de l’identifier. J’ai vu qu’elle sentait qu’un truc ne tournait pas rond, mais rien à faire et je ne sais toujours pas qui c’est... en dehors d’une nouvelle ennemie !

    • J’avoue que j’ignorais que c’était une maladie , et ça a toujours été une certaine honte de ne pas être physionomiste, alors que je peux me souvenir de tas de choses bêtes, comme le jour où j’ai mangé un certain plat. J’ai une bonne mémoire gustative ou celle des chiffres, je peux retrouver des sources d’infos et jouer du cognitif mais je me sens tronquée d’autres capacités comme reconnaitre les visages ! Non seulement je suis très myope, et de loin je ne vois pas les personnes, mais de près, je peux ne pas les reconnaitre ! C’est comme si mes souvenirs s’effaçaient, c’est très vexant pour l’Autre. Et pire, je peux reconnaitre certaines personnes vues une fois, et d’autres, avec lesquelles j’ai conversé longuement plusieurs fois, les revoir dans une autre situation et ignorer que ce sont les mêmes … #merci @monolecte, je vais aller me faire soigner la reconnaissance biométrique !

    • @touti ça fait longtemps que c’est comme ça. En moyenne, je préviens les gens, mais beaucoup ne comprennent pas... ça fait le tri. Toi, je reconnaitrais tes cheveux, mais surement pas ton visage.
      Je n’ai pas de solutions. Les photos m’aident beaucoup. Quand je suis en reportage, c’est sioux. Je fais comme d’hab, je triche. Par exemple, pour le papier sur l’habitat partagé, c’était une vingtaine de personnes que je découvrais en une seule journée, avec qui je parlais et auxquelles je devais accorder les bonnes paroles au bon nom et au bon visage. Donc, je notais : Nicolas, architecte, mec au bonnet rayé et au pull rayé, etc. Bien sûr, ce chacal s’est enlevé le pull et le bonnet en cours de journée...
      Sinon, je joue aux familles de ressemblance : les gens nouveaux ressemblent souvent soit à des gens connus, soit à de vieilles connaissances. Après, il y a l’endroit, les circonstances.

      Effectivement, y a des gens que tu reconnais tout de suite et d’autres, tu rames toujours au bout de 10 rencontres.

      Après, je suis aussi myope comme une taupe et dyslexique. C’est peut-être lié. Pour reconnaitre les lettres ou les chiffres, il m’a fallu un temps fou et surtout des tas d’astuces mnémotechniques : le d a le ventre en avant comme une dinde. Ça ne veut rien dire, mais ça marche ! Pour passer le permis, il m’a fallu écrire g et d sur le dessus de mes mains. Parce que je ne sais pas spontanément reconnaitre la gauche de la droite, je dois y réfléchir... ce qui n’est pas possible quand l’examinateur te laisse moins d’une seconde pour changer de direction.
      Dans la vraie vie, si quelqu’un m’indique la direction qu’il veut que je prenne trop tard, en général, je continue tout droit pour ne pas chopper d’accident et lui explique que la prochaine fois, il devra anticiper mieux pour me guider.

      Après, je peux me souvenir avec une très grande précision de moments éloignés, parce qu’ils m’ont fait forte impression, parce que j’ai décidé de mettre en marche l’enregistreur. Mais c’est court et rarement contextualisé.

      Pour toutes les histoires chronologiques, j’ai les photos et un logiciel où elles sont toutes classées par date et heure.

      C’est un peu à cause de tout cela que je suis fascinée par la manière dont nous pensons et nous souvenons... et oublions.

    • C’est pourtant simple, tu poses les mains à plat. La main droite est celle qui a le pouce à gauche. C’est infaillible.
      N’empêche que maintenant je sais que je ne suis pas seul à discuter avec des gens qui me connaissent et dont je suis pas foutu de retrouver le nom. C’est réconfortant.

  • Jugées racistes, les affiches italiennes de « 12 Years a Slave » doivent être retirées
    http://lemonde.fr/culture/article/2013/12/26/jugees-racistes-les-affiches-italiennes-de-12-years-a-slave-doivent-etre-ret

    Le studio américain Lionsgate a exigé, mardi 24 décembre, le retrait des salles italiennes des #affiches du #film américain de Steve McQueen, 12 Years a Slave, jugées racistes par plusieurs observateurs. En effet, on y voit en grand les visages et noms de Brad Pitt et Michael Fassbender – qui n’ont que des rôles secondaires – et en petit, en bas à droite, la silhouette du comédien noir Chiwetel Ejiofor, acteur principal du film.

    les affiches italiennes


    l’affiche originelle

    #cinéma #bad_market #racisme

  • Moneyball - 2011
    http://www.rottentomatoes.com/m/moneyball

    j’ai regardé ça à l’occasion du papier suivant :

    La fée Statistique ensorcelle le football, par Simon Kuper (Le Monde diplomatique)
    http://www.monde-diplomatique.fr/2013/03/KUPER/48824

    Dès les années 1980, les logiciels de traitement des statistiques ont commencé à envahir la plupart des champs d’activité, à l’exception du monde sportif, où l’on a traditionnellement fait moins d’études et où l’on est de ce fait peu friand d’innovations technologiques. Le premier #sport à avoir évolué dans cette direction est le #base-ball.

    bon ben le #film est vraiment pas terrible :)

  • Nate Silver and Political #Data : Every One of His State-level Presidential #Predictions Proved True | Singularity Hub
    http://singularityhub.com/2012/11/08/nate-silver-and-big-data-every-one-of-his-state-level-presidential-p

    A former baseball statistician, Silver has made his name by aggregating state level polling data, and predicting the likelihood of victory by adjusting for different factors that have historically influenced electoral performance. He consistently rejected the conventional wisdom that the race was tied, and for that, he was cast as a left-wing nut peddling bad science.

    Nate Silver et la #prévision par les #statistiques
    http://www.lemonde.fr/elections-americaines/article/2012/11/02/nate-silver-le-statisticien-promu-gourou-de-la-prediction-politique_1784852_

    Donc on parle beaucoup de ce statisticien venu du baseball, qui a eu tout bon comme Paul le poulpe naguère. On en tire des leçons scientifiques même comme relevé par @rezo : http://tomroud.cafe-sciences.org/2012/11/07/5-lecons-scientifiques-du-succes-de-nate-silver

    Il y a eu un film récemment « Moneyball » sur les premiers statisticiens de ce sport à Oakland, dans l’équipe des A’s, pas mal (Brad Pitt dans le rôle de Billy Beane)
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Moneyball:_The_Art_of_Winning_an_Unfair_Game #sport #élections #US #chiffres #démocratie

    D’après Wired « Obama Wins Nerdiest Election Ever »
    http://www.wired.com/dangerroom/2012/11/nerdiest-election-ever/all

    Sujet déjà évoqué là : http://seenthis.net/messages/85122

  • Série blême | Dominique Autrand
    http://www.monde-diplomatique.fr/2012/08/AUTRAND/48047

    Andrew Dominik a réalisé en 2007 une adaptation cinématographique très réussie d’un des livres les plus connus de Ron Hansen, L’Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford, avec Casey Affleck et Brad Pitt. Le dernier roman de Hansen pourrait s’intituler : L’Assassinat d’Albert Snyder par Judd (...) / États-Unis, États-Unis (affaires intérieures), Criminalité, #Femmes, #Histoire, #Justice, Société, Peine capitale - 2012/08

    #États-Unis #États-Unis_(affaires_intérieures) #Criminalité #Peine_capitale #2012/08

  • Série blême | Dominique Autrand
    http://www.monde-diplomatique.fr/2012/08/AUTRAND/48047

    Andrew Dominik a réalisé en 2007 une adaptation cinématographique très réussie d’un des livres les plus connus de Ron Hansen, L’Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford, avec Casey Affleck et Brad Pitt. Le dernier roman de Hansen pourrait s’intituler : L’Assassinat d’Albert Snyder par Judd (...) / États-Unis, États-Unis (affaires intérieures), Criminalité, #Femmes, #Histoire, #Justice, Société, Peine capitale - 2012/08

    #États-Unis #États-Unis_(affaires_intérieures) #Criminalité #Peine_capitale #2012/08