person:khaled al-batsh

  • UAE, Egypt approve more aid for #Gaza, Hamas - Al-Monitor : the Pulse of the Middle East
    http://www.al-monitor.com/pulse/en/originals/2017/08/egypt-uae-fund-projects-gaza.html

    Khaled al-Batsh, the leader of the Palestinian Islamic Jihad and a member of the social solidarity committee, denied claims that the UAE-Egyptian committee might seek political favors against #Qatar in return for the UAE’s aid to the Gaza Strip. “The Emirati aid is important, but not huge. It is not a way out of the Gaza Strip crisis, which will only end when the [consensus] government reassumes its responsibilities in the Gaza Strip or when a national unity government made up of all Palestinian factions is formed," he told Al-Monitor.

    [...]

    Batsh also said the UAE’s support for Gaza has nothing to do with the recent rapprochement between Hamas and #Dahlan. “The UAE’s support is related to the Gazans’ situation, rather than such understandings. The funds to help Gaza will be courtesy of the Khalifa Bin Zayed al-Nahyan Foundation after security understandings are signed between Hamas and Egypt," he said.

    La vérité se trouve dans les dénégations ? Plusieurs personnes font remarquer que l’un des motifs invoqués par l’Egypte et les #e.a.u. contre le Qatar est son appui au Hamas.

  • Gaza : manifestation contre la pénurie d’électricité -
    AFP- 09/01/2017
    http://www.lorientlejour.com/article/1028201/gaza-manifestation-contre-la-penurie-delectricite.html

    Des dizaines de Palestiniens ont manifesté lundi dans la ville de Gaza contre la sérieuse dégradation récente de leur alimentation déjà défaillante en électricité, dernière protestation en date contre le Hamas islamiste qui gouverne le territoire, a constaté un journaliste de l’AFP.

    Les foyers de la ville de Gaza ne reçoivent plus guère que quatre heures d’électricité par jour, et encore moins dans les secteurs les plus mal lotis, au lieu de huit heures par jour en temps normal dans le territoire en proie à une crise humanitaire chronique, rapportent les correspondants de l’AFP.

    Les autorités ont réprimé de récentes manifestations contre la compagnie d’électricité dirigée par le Hamas en arrêtant certains des participants, a rapporté une ONG.

    Khaled al-Batsh, un dirigeant du Jihad islamique, a appelé, devant quelques dizaines de manifestants, toutes les parties à produire de « gros efforts pour surmonter la pénurie d’électricité qui va empirant ».
    Il a mis en garde contre le risque d’une « tragédie ».

    Les Nations unies imputent la crise à toute une série de facteurs, parmi lesquels la faiblesse des infrastructures, les factures impayées par les abonnés ou les défauts de collecte de l’argent, la fermeture des tunnels passant sous la frontière égyptienne et par lesquels transitait du combustible ainsi que les dommages causés à la centrale électrique de la bande de Gaza lors des combats avec Israël.

    La bande de Gaza, dirigée sans partage par le Hamas islamiste, est soumise à un blocus israélien et égyptien.
    Les problèmes d’alimentation en électricité ont été aggravés récemment par une querelle entre le Hamas et le Fatah, parti rival qui domine la Cisjordanie, au sujet de taxes à payer sur le combustible importé dans le territoire. Les deux parties se renvoient la balle.

    Le Réseau des organisations non-gouvernementales palestiniennes a appelé toutes les factions à coopérer pour résoudre la crise, mais a dénoncé l’arrestation par les autorités du Hamas d’un « certain nombre de citoyens » lors de manifestations.

    Les deux millions d’habitants de la bande de Gaza, qui sont tributaires pour les deux tiers de l’assistance internationale, dépendent pour leur alimentation en courant d’une centrale ainsi que des importations d’électricité en provenance d’Israël et d’Egypte.

    #GAZA