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  • Hachemi détenue : Téhéran porte plainte
    https://www.presstv.com/DetailFr/2019/01/16/585965/Thran-porte-plainte-clarrestation-de-M-Hachemi

    Apparemment, il n’y a guère qu’un site iranien pour s’intéresser (en français) à l’arrestation de cette journaliste iranienne aux USA. 4 jours après les faits, RSF par exemple ne dit pas un mot sur cette affaire...

    Le ministère iranien des Affaires étrangères a condamné l’arrestation « illégale » et le traitement « inhumain » infligé à la présentatrice de la chaîne de télévision iranienne Press TV par des agents fédéraux aux États-Unis.

    Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Bahram Qassemi, a condamné cette arrestation mercredi dans une interview accordée au journal de l’IRIB, quelques heures après l’annonce de l’arrestation de Marzieh Hachemi en Amérique.

    La police américaine a arrêté Mme Hachemi, journaliste et présentatrice de la chaîne d’information iranienne Press TV en anglais, sans fournir de motif spécifique.

    La journaliste d’origine américaine qui voyageait aux États-Unis pour rendre visite à son frère malade et à d’autres membres de sa famille, a été arrêtée dimanche 13 janvier à l’aéroport international de Saint-Louis Lambert avant d’être transférée par le FBI dans un centre de détention à Washington.

    Qassemi a déclaré que le traitement infligé à la journaliste d’origine américaine de la chaîne iranienne constitue "une violation flagrante des droits de l’homme et montre que le gouvernement américain ne respecte aucun des principes qu’il utilise lui-même pour s’en prendre aux pays qui s’opposent à lui ».

    « L’arrestation brutale de la journaliste et le comportement humiliant infligé par les agents du gouvernement américain à cette musulmane pratiquante sont un exemple évident du comportement adopté par un régime d’apartheid contre ses citoyens qui ne sont pas de « la race blanche » », a déclaré le diplomate iranien.

    Il a ajouté que la République islamique demandait que ses droits fondamentaux soient octroyés à Mme Hachemi et qu’elle soit libérée "immédiatement et sans condition".

    Réagissant à l’arrestation de Mme Hachemi, le chef de la diplomatie iranienne, Mohammad Javad Zarif l’a qualifiée d’une action politique inacceptable qui viole la liberté d’expression demandant aux Américains de « mettre immédiatement fin à ce jeu politique ».

    #iran #usa #répression #arbitraire

    • Hier, 17/01/2018, Radio-Canada :

      Une journaliste d’un média iranien arrêtée aux États-Unis | ICI.Radio-Canada.ca
      https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1147309/journaliste-iranienne-arretee--etats-unis-marzieh-hachemi

      Marzieh Hachemi, née aux États-Unis sous le nom de Melanie Franklin avant sa conversion à l’islam et son mariage avec un Iranien, a été arrêtée dimanche à l’aéroport de Saint-Louis (Missouri), selon des proches et amis de la journaliste cités par la télévision.

      M. Zarif a souligné que depuis son mariage avec un Iranien, Mme Hachemi est considérée comme une citoyenne iranienne. Or c’est « notre devoir de défendre nos citoyens », a-t-il ajouté.

      « Les Américains doivent immédiatement cesser ce jeu politique », a déclaré M. Zarif, demandant sa libération.

      « Comme vous le savez, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, les États-Unis peuvent arrêter quiconque et le détenir sans accusation pendant des semaines. Nous estimons qu’une action en justice ne serait pas efficace pour obtenir sa libération », a dit Payman Jabali, directeur de Press TV, à des journalistes à Téhéran.

      " Nous demandons aux États-Unis de préciser les charges qui pèsent contre elle. C’est un scandale pour cette soi-disant démocratie américaine. "
      Payman Jabali, directeur de Press TV

      M. Jabali a estimé que la journaliste pourrait avoir été visée pour des documentaires qu’elle a faits sur les activités américaines au Proche-Orient, sur l’islamophobie et d’autres sujets.

      Selon lui, elle a voyagé aux États-Unis pour rendre visite à « son frère malade et d’autres membres de sa famille ».

      Il a ajouté que tout ce qu’on lui avait donné à manger était du porc, interdit par l’islam.

      Le fils de la journaliste, Reza Hachemi, a été également interpellé aux États-Unis, mais a ensuite été libéré en attendant son procès, a ajouté le directeur de Press TV sans préciser l’âge du fils, s’il était avec sa mère au moment de l’arrestation ou les charges qui pèsent contre lui.

      Auparavant, Press TV a indiqué sur son site internet que les autorités américaines avaient « refusé jusqu’à présent de fournir le moindre motif à son arrestation ».

  • Iran sends navy vessels to waters off Yemen, raising stakes - Washington Times
    http://www.washingtontimes.com/news/2015/apr/8/us-quickens-weapons-deliveries-to-saudi-led-yemen-

    Iran dispatched a destroyer and another naval ship to waters off Yemen on Wednesday, raising the stakes amid a Saudi-led air campaign targeting Iranian-backed Shiite rebels fighting forces loyal to the country’s embattled president.

    The Iranian maneuver came as the U.S. deepened its support for the Saudi-led coalition, boosting weapons supplies and intelligence-sharing and carrying out the first U.S. aerial refueling mission of coalition fighter jets.

    The Iranian warships were sent to the strategic Bab al-Mandab strait as part of an anti-piracy campaign to “safeguard naval routes for vessels in the region,” Iranian Rear Adm. Habibollah Sayyari was quoted as saying by the English-language state broadcaster Press TV.
    ...
    On Wednesday, Iranian Parliament Speaker Ali Larijani condemned the Saudi government, accusing it of committing crimes against humanity in Yemen during airstrikes that hit civilian areas. His comments, carried by the official Iran news agency, came as Iranian diplomats worked to erode support among Sunni nations for the air campaign, visiting Pakistan and Turkey, both supporters of the Saudi-led coalition, and Oman, the only Gulf country that has abstained from participating in the military operation.
    ...
    In Washington, meanwhile, Pentagon spokesman Col. Steve Warren told reporters Wednesday that the U.S. had conducted its first military intervention in support of the Arab coalition, the aerial refueling of Emirati F-16s and Saudi F-15s. He did not provide details, except to say the refueling did not take place over Yemeni airspace.

    Speaking a day earlier in the Saudi capital, Riyadh, U.S. Deputy Secretary of State Antony Blinken blamed the violence in Yemen on the Houthis and forces loyal to Saleh, saying the U.S. was committed to defending Saudi Arabia.

    ...

    On Wednesday, al-Qaida in Yemen, a staunch rival of the Houthis, posted a video offering a bounty of 44 pounds (20 kilograms) of gold for whoever captures or kills the rebel leader and his prime ally in Yemen, ousted president Saleh.

  • La mort suspecte - selon Press TV - d’une journaliste libano-américaine de la chaîne, à la frontière syro-turque, dans une collision avec un camion, alors qu’elle travaillait sur les liens entre le gouvernement turc et Da3ech :
    http://www.lorientlejour.com/article/892161/une-journaliste-libano-us-tuee-a-la-frontiere-syro-turque-les-sr-dank

    Serena Chéhim, journaliste américano-libanaise travaillant pour la chaîne iranienne Press TV, a été tuée dimanche dans un accident de la route à la frontière syro-turque, rapporte son employeur. Pour la chaîne iranienne, l’accident semble suspect.
    Mme Chéhim, âgée de 30 ans, couvrait depuis la Turquie les combats dans la ville frontalière de Kobané, Aïn el-Arab en langue arabe. Après avoir fait un reportage à Suruc (localité turque proche de la frontière syrienne qui accueille des milliers de réfugiés et qui est assiégée par l’État islamique), elle était en route pour son hôtel, lorsque son véhicule a percuté un poids lourd, précise Press TV. Le cameraman Judi July a été blessé et le chauffeur du poids lourd a été arrêté.
    Press TV souligne que vendredi, Serena Chéhim lui avait exprimé sa peur d’être arrêtée par les services de renseignements turcs qui, selon ses propos, la suspectait d’être une espionne du fait de ses reportages sur la position des autorités turques à l’égard des jihadistes de l’EI.
    Selon Press TV, Serena Chéhim avait indiqué avoir des informations sur des infiltrations de militants en Syrie via la frontière turque. Elle avait également indiqué avoir obtenu des images de ces militants traversant la frontière, dissimulés dans des camions d’ONG et du Programme alimentaire mondiale (Pam) de l’Onu.
    Une affaire qui lui aurait couté la vie.
    CIA ?
    Dans un entretien avec Press TV, Rodney Martin, président de l’American Nationalist Association, a souligné que « Chéhim a été victime d’une opération secrète de l’Agence centrale de renseignements (CIA), très probablement avec la coopération de la Turquie qui avait accusé la journaliste d’espionnage parce qu’elle détenait des images démontrant l’aide des autorités turques à l’EI ».
    La journaliste avait rejeté les accusations d’espionnage.
    À ce propos et dans une vidéo postée sur le site de Press TV, Chéhim avait indiqué avant sa mort : « Je suis très surprise de cette accusation. J’ai même pensé à parler aux services de renseignements turcs pour dire que je n’ai rien à cacher et je n’ai fait que mon boulot. Cependant, je suis un peu inquiète parce que la Turquie est considérée par Reporters sans frontières comme une grande prison pour les journalistes, donc j’ai un peu peur. »
    Le directeur des informations de Press TV, Hamid Reza Emadi, a déclaré hier : « Nous n’acceptons pas la version de l’accident. » « Nous pensons que le gouvernement turc doit être tenu responsable devant la communauté internationale. Il faut savoir exactement ce qui s’est passé », a-t-il ajouté.
    La famille de la journaliste a également indiqué à Press TV ne pas croire la version de l’accident de la route.

  • Iran accuses Siemens of selling sabotaged nuclear equipment
    http://english.al-akhbar.com/content/iran-accuses-siemens-selling-sabotaged-nuclear-equipment

    Iranian MP Aladin Borujerdi has accused the German firm Siemens of having sold Iran nuclear equipment rigged with mini-explosives, which were allegedly discovered and removed by the Iranians, Press TV reported on Sunday.

    Borujerdi, who chairs the parliamentary national security and foreign policy commission, made the allegation in an interview with parliament’s ICANA news site.

    • Siemens : des terminaux piégés en Iran ?
      http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/09/23/97002-20120923FILWWW00089-siemens-des-terminaux-pieges-en-iran.php

      Un influent député iranien, Alaeddine Boroujerdi, a accusé le géant industriel allemand Siemens d’avoir vendu à son pays des équipements munis de mini-explosifs qui ont été repérés par les services secrets iraniens et retirés.

      Interrogé par l’AFP, un porte-parole de Siemens, Alexander Machowetz, a catégoriquement démenti ces accusations, affirmant : « Siemens n’entretient aucune relation commerciale en lien avec le programme nucléaire iranien et ne livre aucun équipement à cet effet ». Il n’y a donc eu « aucune livraison » qui aurait pu être piégée.
       
      Alaeddine Boroujerdi, qui préside la commission parlementaire de la Sécurité nationale et des Affaires étrangères, a porté cette accusation lors d’un entretien avec le site d’informations du Parlement Icana.
       
      « Les services de renseignements et de sécurité ont découvert des explosifs dans les équipements qui nous avaient été fournis pour nos activités nucléaires », a-t-il affirmé. Les charges « devaient exploser (...) pour perturber l’ensemble du système. Mais, des experts iraniens ont réduit à néant le complot de l’ennemi », a-t-il affirmé à Icana. « L’entreprise Siemens, qui a fourni cet équipement, devra répondre de cette action », a-t-il martelé. La chaîne iranienne Press TV a fait état de cette accusation.