• Xavier Bertrand : le vrai visage social du président des Hauts-de-France Ian Hamel - Médiacités Lille
    https://www.mediacites.fr/enquete/lille/2021/09/17/xavier-bertrand-le-vrai-visage-social-du-president-des-hauts-de-france

    Le patron du conseil régional nordiste se revendique d’une « droite sociale », proche du peuple, incarnée en son temps par Philippe Séguin. Mais pour les syndicats de cette collectivité, l’ancien maire de Saint-Quentin serait davantage un tenant de la droite la plus réactionnaire, fort peu ouvert au dialogue social.

    Peu après l’arrivée de Xavier Bertrand au #conseil_régional, au début 2016, l’ambiance s’est tendue. Le nouveau président a demandé aux services techniques de « déminer » son bureau, persuadé que des micros y avaient été cachés. Un peu plus tard, France 3 Nord-Pas-de-Calais https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/conseil-regional-nord-pas-de-calais-picardie-xavier-ber révélait qu’Éric Gavoille, le chef de cabinet adjoint, s’était doté d’une arme à feu pour protéger Xavier Bertrand. Il ferait l’objet « de menaces depuis la campagne pour les régionales ».

    #Éric_Gavoille était l’un des gardes du corps du ministre Bertrand. Il l’a suivi à la mairie de #Saint-Quentin, occupant les fonctions de directeur du service proximité de la ville. Xavier Bertrand avait aussi nommé #Michel_Bion, un autre de ses gardes du corps, à la tête de la #police municipale, le promouvant également directeur de la sécurité et de la tranquillité publique. Deux officiers de sécurité, en charge habituellement des hautes personnalités, pour une sous-préfecture de l’Aisne ?

    À Saint-Quentin, l’image de l’élu simple et souriant, qui serre les mains le samedi matin au marché, s’est un peu écornée. « Au conseil municipal, il était carrément méprisant. Quand je tentais de poser une question, Xavier Bertrand m’apostrophait d’un “C’est fini Monsieur Lançon ? Vous avez terminé ?“ », raconte Jean-Pierre Lançon, ancienne tête de liste socialiste. Olivier Tournay, conseiller municipal communiste, n’est guère plus tendre avec le futur candidat à l’élection présidentielle : « Tous les élus de droite étaient au garde-à-vous. Il n’y avait pas de débat au conseil municipal. Bertrand ne travaille que pour Bertrand. Je n’ai jamais pu avoir un échange avec lui ». Quant à Sylvie Saillard-Meunier, du Rassemblement national, elle décrit « un homme odieux, insultant, cherchant à m’humilier ».

    Malaise à tous les étages ?
    Xavier Bertrand se conduirait-il de la même façon avec les agents du conseil régional ? « Je n’irai pas jusqu’à dire qu’il est paranoïaque, mais il a un #comportement_tribal. Il traite les agents publics, y compris les cadres, comme des sous-fifres à qui on aboie des ordres. Nous sommes des républicains, nous étions prêts à se nous mobiliser pour cette nouvelle majorité. Mais il n’y a pas eu de retour », assure un cadre contraint de conserver l’anonymat.
    https://www.mediacites.fr/enquete/lille/2017/05/04/conseil-regional-lenquete-qui-fait-mal

    Dans une enquête intitulée « #Malaise à tous les étages », parue en 2017, le syndicat Sud-Solidaires dénonçait déjà « un manque de confiance et de considération des agents du fait du comportement d’élus suspicieux, condescendants et refusant le contact avec les agents ». Mais aussi « un management frappé par l’ #opacité et l’ #arbitraire » et « une absence de reconnaissance des compétences des agents ».

    Très loin de l’image d’un Xavier Bertrand attentif aux soucis des petites gens des Hauts-de-France, les salariés de la région décrivent, au contraire, un personnage #autoritaire, #cassant, parfois même #désagréable. Ils dénoncent surtout les méthodes de #management dignes d’un patronat rétrograde. « Certaines personnes ont été changées de bureau quatre, cinq, six fois, pour les pousser à la démission », assure un autre agent. Les mutations et les #licenciements qui se succèdent au conseil régional ne font que rarement les gros titres de la presse locale.
    « Xavier Bertrand ne négocie, pas il concède »

    Bref, en quoi l’ancien ministre de Nicolas Sarkozy serait-il le digne représentant de la droite sociale ? Les relations plus que conflictuelles avec les syndicats de la région ne plaident pas vraiment dans ce sens. L’audit du cabinet Secafi, publié en 2018 auprès de trois mille agents, montrait déjà que 78 % des salariés estimaient que la fusion des régions Nord-Pas-de-Calais et Picardie n’a pas “amélioré leurs conditions de travail“ ; 62 % des agents trouvaient leur charge de travail “importante“, voire “excessive“, en raison de la nouvelle organisation. D’autres chiffres ? 53 % jugent l’organisation de leur direction incohérente, 42 % ne sont pas associés aux décisions concernant directement leur travail, 38 % se sentent parfois inutiles à leur poste… Bonjour l’ambiance.

    Un an plus tard, la situation ne s’est pas vraiment améliorée. L’intersyndicale (CFDT, CGT, FA, Unsa, Sud, SNU-Ter) boycotte les négociations avec Xavier Bertrand. « On sent que le président de région fait de la politique en cherchant à faire la démonstration qu’il sait assumer une réduction de la dépense publique par la baisse du nombre de fonctionnaires », dénonce Joseph Demeulemeester, responsable CGT. Il évoque des conditions de travail dégradées, des suppressions d’emplois, des désorganisations des services, des inégalités de traitement entre agents du Nord-Pas-de-Calais et ceux de la Picardie.

    Moins de cinq rencontres avec les syndicats
    Manifestement, le responsable syndical n’a pas vraiment changé d’avis concernant le comportement de Xavier Bertrand : « Un homme de dialogue ? Pas vraiment. Les rencontres peuvent se compter sur les doigts de la main. C’est simple, Xavier Bertrand ne négocie pas, il concède. Depuis 2016, cinq cents emplois permanents ont disparu. Je ne vois pas en quoi la politique sociale de Xavier Bertrand diffère de celle menée par Emmanuel Macron ».

    Quarante ans d’activité au sein des services de collectivités territoriales ou de l’État dans le Nord-Pas-de-Calais puis dans les Hauts-de-France, cela laisse forcément des traces. Benoît Guittet porte un jugement posé, mais sans concession, sur Xavier Bertrand et sur son action au conseil régional depuis son arrivée en 2016. « Au départ, il n’y connaissait rien, ce qui est normal, il n’avait aucune expérience du pilotage de la région, comme l’équipe autour de lui, à l’exception de Valérie Létard. Mais elle a quitté dès 2017 la vice-présidence de la région pour celle du Sénat », constate l’ancien co-responsable de la CFDT.

    « Xavier Bertrand est un bourreau de travail et il a pris immédiatement les dossiers à bras le corps. Vous lui envoyez un SMS à 8 heures, il vous répond à 8 h 10, reconnaît-il. Le problème, c’est que c’est un chef d’orchestre, il décide de tout et fonctionne en #vase_clos. En cela, il est pire que Macron, tout doit passer par lui. Il n’a absolument pas tenu compte des équipes en place, ni de l’intérêt de leurs expériences ou expertises pour faire fonctionner une collectivité singulière comme la région. »

    En tant que syndicaliste, il garde en mémoire les négociations particulièrement difficiles avec le président de région. « Parce que nous n’acceptions pas ses dernières propositions, pour lui, non discutables, il a rompu, brutalement, annonçant qu’il ne travaillerait plus avec nous, mais avec deux syndicats minoritaires, FO et la CFTC », se souvient Benoît Guittet. « Il peut être bienveillant, presque copain, mais uniquement quand ça ne mange pas de pain, que la concession est minime. En fait, avec lui, il faut le servir et être assez docile ».

    « La région Hauts-de-France est devenue la région Bertrand »

    Egalement cadre, le syndicaliste voit d’abord en Xavier Bertrand un homme qui donne la priorité à la #communication sur l’action. « Il lui faut sans cesse lancer des “trucs“ dont les médias vont parler ». Toutefois, il lui reconnaît « des idées pas complètement idiotes. Je ne l’attaquerai pas sur sa non-sincérité. Tout n’est pas feint chez lui. Je l’ai vu intervenir immédiatement, et être affecté réellement, quand un collègue a été assassiné en Corse, ou quand une salariée a été agressée chez elle ».

    Benoît Guittet reproche surtout au candidat à l’élection présidentielle son manque de vision. « Dans ce domaine, c’est le vide sidéral. Il n’a pas écrit une ligne sur ce que sera la région dans vingt ans. Il n’a pas d’idées, il ne se projette pas dans l’avenir, les Hauts-de-France n’étant qu’un marchepied pour lui », déplore-t-il. « Son manque de réflexion, de puissance intellectuelle, il le compense par une présence constante sur le terrain. Il est partout et comme il a de l’instinct, du “pif“, il comprend ce qu’il faut faire. Mais ses “trucs“, c’est epsilon. Proch’emploi, Proch’ceci ou cela ne fait pas une politique. En fin de compte, on retiendra que ça n’a pas été un très bon président de région », conclut l’ancien délégué syndical CFDT.

    Le dircab’ se prend une soufflante
    Un autre cadre, en poste à Amiens, fait une analyse similaire. Dès son arrivée en 2016, Xavier Bertrand a mis sur la table son ambition présidentielle : « La région des Hauts-de-France est devenue la région Bertrand, analyse-t-il. Il a donc rayé de la carte toute prospective. Un peu comme un repreneur d’entreprise qui, pour gagner rapidement de l’argent, couperait la recherche et le développement ».

    Le témoignage de Kaddour Qassid, représentant dans le Nord d’ #Anticor, l’association de lutte contre la corruption, concernant sa relation avec Xavier Bertrand ne manque pas d’intérêt. En mars 2017, il est reçu par le président des Hauts-de-France, qui entend faire de la déontologie l’un des marqueurs de son mandat. A priori, c’est une excellente initiative. « Je lui ai annoncé un dysfonctionnement grave remontant à plusieurs années, avant sa prise de fonction. Il s’agit d’un cumul d’activités interdit à tous les agents publics », raconte Kaddour Qassid. Xavier Bertrand s’énerve aussitôt, vocifère qu’il « n’y a pas d’ #impunité au conseil régional ». Puis le président du conseil régional s’en prend à son directeur de cabinet. « Comment se fait-il que je ne sois pas au courant ? » se met-il à hurler. « J’ai vu de la peur dans les yeux du directeur de cabinet, il était livide. Xavier Bertrand l’engueulait comme s’il s’agissait d’un gamin », se souvient le responsable. Depuis, les relations entre Anticor et la région n’ont cessé de se dégrader... avant de cesser. 


    J’ai écrit cet article à la demande de Mediacités parallèlement au travail d’actualisation de mon ouvrage sur Xavier Bertrand paru en 2010 sous le titre « Xavier Bertrand, les coulisses d’une ambition », aux éditions de l’Archipel. La nouvelle version augmentée, intitulée « Xavier Bertrand L’obstiné », paraît le 23 septembre. 

    Mon éditeur m’a rappelé fin 2020 pour actualiser l’ouvrage, en raison des ambitions présidentielles de Xavier Bertrand. Pour le premier opus, celui-ci m’avait reçu, sans difficultés, à plusieurs reprises. En revanche, je n’avais eu aucun écho de sa part après la parution. Pour cette nouvelle édition, j’ai bien évidemment effectué plusieurs demandes auprès de la région afin d’entrer en contact avec Xavier Bertrand et recueillir sa version des faits. Il n’y a pas qu’une vérité mais des vérités. A ce jour je n’ai même pas essuyé de refus, je n’ai pas reçu de réponse.

    L’attitude de l’ancien ministre ne m’a nullement empêché de poursuivre mon travail d’investigation, interviewant ses amis comme ses adversaires politiques, des syndicalistes, des élus, des salariés du conseil régional des Hauts-de-France, de simples particuliers, et des journalistes locaux et parisiens. En 2010, Xavier Bertrand maniait déjà avec dextérité le « faire savoir », mais ne négligeait pas pour autant le « faire ». En 2021, J’ai découvert un politicien autoritaire et sans vision, privilégiant la communication, au détriment de l’action.

    Ian Hamel, journaliste au Point, est l’auteur d’essais politiques dont Sarko et Cie, la république des copains (2011), L’Affaire Bettencourt, derniers secrets (2013), Notre ami Bernard Tapie (2015)

    #Haut_de_france #xavier_bertrand #Région #Nord #Pas_de_calais #Oise

  • Colère à #Grenoble après le mort d’#Adam et #Fatih, 17 et 19 ans, dans une #course-poursuite avec la #BAC

    Un drame qui évoque ce slogan, tragique, faisant référence à la #mort de Zyed et Bouna en 2005, eux aussi dans une course-poursuite avec la BAC : « Quand on voit Théo et Adama, on sait pourquoi Zyed et Bouna courraient. »


    https://www.revolutionpermanente.fr/Colere-a-Grenoble-apres-le-mort-d-Adam-et-Fatih-17-et-19-ans-da
    #banlieue #Mistral #violence #violences_policières #révolte

    • Communiqué de presse du préfet de l’Isère du 11 mars 2019.

      Le communiqué mentionne la « #reconquête_républicaine » (les #quartiers_de_reconquête_républicaine (#QRR) dans le cadre de la #police_de_sécurité_du_quotidien (#PSQ), mais qui se termine par :

      « Enfin, le préfet de l’Isère souligne que, sur le long terme, la clef de l’#apaisement de ces #quartiers_sensibles réside dans le #désenclavement_social que permettent la #formation_professionnelle continue et l’#apprentissage, ainsi que l’#insertion_professionnelle des #jeunes en difficulté qui relèvent directement de la compétence du #Conseil_Régional. »

      http://www.isere.gouv.fr/content/download/40994/290964/file/CP%20-%20D%C3%A9clarations%20du%20pr%C3%A9sident%20de%20la%20r%C3%A9gion%
      #préfecture #Wauquiez #Laurent_Wauquiez

    • La Villeneuve placée en « quartier de reconquête républicaine »

      Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur, a annoncé vendredi 8 février 2019 les nouveaux « quartiers de reconquête républicaine » (#QRR), dont la Villeneuve. Créées en février 2018, ces zones disposent d’effectifs de policiers supplémentaires, dans le cadre de la police de sécurité du quotidien, une résurgence de la police de proximité. Dans l’agglo, les QRR concernent, outre la Villeneuve de Grenoble, celle d’Échirolles et le quartier Renaudie-Champberton, à Saint-Martin-d’Hères.

      Ces quartiers n’avaient pas été sélectionnés dans la première liste, en septembre 2018, de cet énième dispositif policier. Les « quartiers de reconquête républicaine accélèrent le combat contre les trafics, la lutte contre toutes les formes de délinquance et permettent de renouer le lien avec les populations. » précise la préfecture de l’Isère dans un communiqué.

      Gérard Collomb, à l’époque ministre de l’Intérieur, avait annoncé le 28 septembre 2018, lors d’une visite hautement médiatique à Grenoble et à Échirolles, que « Grenoble figurera parmi les 30 prochains quartiers de reconquête républicaine ». Sa visite s’inscrivait dans un contexte de mise au pilori de la ville — surnommée par un syndicat de police « Le Chicago français », appellation reprise dans les médias après une première vague en 2007 puis en 2010 —, d’appels du pied des maires de Grenoble et d’Échirolles pour bénéficier de moyens de police supplémentaires et de grogne des policiers grenoblois. Éric Piolle, maire de Grenoble, salue dans un communiqué le placement de la Villeneuve en QRR : « une bonne nouvelle pour ce quartier et pour le quotidien des grenoblois-e-s ».

      Reste que le dispositif est bien mal nommé. Le terme de reconquête n’est pas sans rappeler la Reconquista, la reconquête de la péninsule ibérique musulmane par les royaumes chrétiens, au Moyen-Âge, ou, plus récemment, la « reconquête des zones de non-droit » par Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur, en 2004. Le terme contribue ainsi à la stigmatisation des quartiers populaires, comme si ces quartiers et leurs habitants se situaient en dehors de la République et du pays.

      https://www.lecrieur.net/la-villeneuve-placee-en-quartier-de-reconquete-republicaine

  • Le #FN refuse de sanctionner un élu mis en cause pour #violence
    https://www.mediapart.fr/journal/france/241017/le-fn-refuse-de-sanctionner-un-elu-mis-en-cause-pour-violence

    Une conseillère régionale frontiste a porté plainte pour violence contre un autre élu FN d’Île-de-France, proche de #Marine_Le_Pen. D’après nos informations, le mis en cause a reconnu dans un mail un « débordement » de sa part. La direction du parti, alertée depuis des mois, refuse de prononcer la moindre sanction.

    #France #Aurélie_Cournet #Conseil_régional #harcèlement #Pierre-Charles_Cherrier #Valérie_Pécresse

  • Big Brother dans les boites mails de la Région Rhône-Alpes - Club RH - Lagazette.fr
    http://www.lagazettedescommunes.com/494309/big-brother-dans-les-boites-mails-de-la-region-rhone-alpes/#utm_source=quotidien

    « Oui, il y eu une affaire massive d’#espionnage des boîtes mails à la région Rhône-Alpes, pilotée par le directeur de la direction des systèmes informatiques, vraisemblablement sur instruction. Des membres du cabinet, des vice-présidents, tous les élus, majorité comme opposition, de la direction générale, des directeurs, des groupes, et des #syndicats étaient surveillés », assure Laurent Wauquiez, président (LR) de la Région Auvergne Rhône-Alpes qui a saisi la justice et demandé un audit afin de savoir avec précision qui était surveillé, par qui et depuis quand.

    #sécurité_informatique #conseil_régional

  • Notre-Dame-des-Landes : Le piège du référendum.

    Février 2016 : le lobbying politique à l’oeuvre ou la version réformée du « lutter à armes égales ».

    Les journalistes de Loire-Atlantique dénoncent les pressions sur la presse exercées par M. Retailleau
    http://reporterre.net/spip.php?page=redirect&id_article=8968

    Le président de la région Pays de la Loire, Bruno Retailleau, exerce un lobbying intense pour faire évacuer la Zad de Notre-Dame-des-Landes. Il a lancé une campagne de publicité mettant en scène une pétition sur cette évacuation. Payée par les contribuables, cette publicité coûterait 60.000 euros .

    M. Retailleau exerce aussi des pressions sur les journalistes, dont le Club de la presse de Loire-Atlantique s’indignait :
    http://club-presse-nantes.com/2016/02/05/soutien-aux-journalistes-de-ouest-france-et-presse-ocean

    Le CPNA dénonce également les multiples pressions que ces journalistes subissent depuis beaucoup trop longtemps sur ce sujet, pressions qui ne font que montrer le peu d’attachement aux principes démocratiques de ceux qui en sont à l’origine. Aucune menace sur la personne des journalistes, quel que soit le contexte, n’est acceptable.

    Notre-Dame-des-Landes : la pub de trop - 10 Février 2016
    communiqué intersyndical (CFDT/Ouest-France, SNJ/Ouest-France, Le Courrier de l’Ouest, Le Maine libre, Sud/Presse Océan), relatif à une publicité parue dans Ouest-France et Presse Océan
    http://www.acrimed.org/Notre-Dame-des-Landes-la-pub-de-trop

    #Reporterre #CPNA #Bruneau_Retailleau #Ouest-France #Presse_Océan #Courrier_de _l’Ouest #Maine_Libre #Notre-dame-des-landes #NDDL #conseil_régional_des_Pays_de_la_Loire #référendum #manipulation #propagande #presse #médias #lobbying

  • En régions, le violent face-à-face de la #droite et du #FN
    https://www.mediapart.fr/journal/france/220216/en-regions-le-violent-face-face-de-la-droite-et-du-fn

    Dans les deux conseils régionaux où la gauche est absente, en #PACA et dans le #Nord-Pas-de-Calais-Picardie, le FN est bien décidé à jouer son rôle d’opposition face à la droite. Invectives, menaces judiciaires, votes contradictoires… Sur la forme, comme sur le fond, l’affrontement est violent.

    #France #Christian_Estrosi #Conseil_régional #extrême_droite #Les_Républicains #LR #politique #régionales #UMP #Xavier_Bertrand

  • Comment le #Front_national veut gérer les régions
    https://www.mediapart.fr/journal/france/111215/comment-le-front-national-veut-gerer-les-regions

    Marine Le Pen à Amiens le 23 novembre 2015. © Reuters À quoi ressemblerait une #région Front national ? Comment le #FN veut-il gérer et avec qui ? Alors que le parti d’extrême droite est en capacité de l’emporter dans plusieurs régions, Mediapart décrypte ses principales propositions.

    #France #Conseil_régional #Florian_Philippot #gestion #Louis_Aliot #Marine_Le_Pen #Marion_Maréchal-Le_Pen #villes