#coxsbazar

  • Le Directeur des opérations d’urgence de l’OIM appelle à trouver des solutions rapides et durables à la crise prolongée des Rohingyas | Organisation internationale pour les migrations
    https://www.iom.int/fr/news/le-directeur-des-operations-durgence-de-loim-appelle-trouver-des-solutions-rapi
    https://www.iom.int/sites/default/files/styles/highlights/public/press_release/media/photo_3-edited_0.jpg?itok=KzBZIRUo

    Le Directeur des opérations d’urgence de l’OIM appelle à trouver des solutions rapides et durables à la crise prolongée des Rohingyas. Cox’s Bazar - Près de 900 000 réfugiés rohingyas vivant dans des camps surpeuplés dans le district de Cox’s Bazar au Bangladesh ont désespérément besoin d’une action urgente pour assurer leur avenir, près de quatre ans après avoir été forcés de fuir le Myanmar, a déclaré un haut responsable de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM).
    Au cours de sa semaine à Cox’s Bazar, le Directeur de DOE a vérifié l’avancement de la reconstruction des camps détruits par un incendie en mars qui a laissé des milliers de personnes sans abri.« J’ai vu des travailleurs mettre en place des structures en bambou, rétablir les services et travailler avec la communauté et les réfugiés pour s’assurer que les gens retrouvent leur vie le plus rapidement possible », a-t-il déclaré.
    M. Labovitz a également visité les principaux établissements de santé de l’OIM, qui, selon lui, ont joué un rôle essentiel dans la réponse à la pandémie de COVID-19.« La pandémie a fait que les économies locales ont également souffert », a poursuivi le Directeur de DOE. « Nous avons des communautés d’accueil qui ont également besoin de programmes de développement, nous devons donc trouver un équilibre où nous aidons à la fois la communauté d’accueil et les réfugiés avec dignité. »
    M. Labovitz a été témoin du soutien apportée par l’OIM aux moyens de subsistance des communautés d’accueil dans un nouveau centre de formation à Hnila, qui fait participer les membres de la communauté d’accueil à des modules de formation sur la création d’entreprise et la fabrication d’objets artisanaux. Le partenaire de l’OIM, Prottyashi, aide également les participants à entrer sur les marchés nationaux et internationaux pour les produits créés.M. Labovitz a été impressionné par le projet « Digital Island » sur l’île de Moheshkhali, mis en œuvre depuis 2016 par l’OIM et le gouvernement du Bangladesh. Le projet a transformé l’île en un centre informatique en améliorant l’accès de la population isolée à l’internet haut débit et aux services sociaux.
    Le Directeur de DOE a également participé à des réunions stratégiques avec des responsables du Ministère des affaires étrangères, du Ministère de la gestion des catastrophes et des secours, et du Bureau du commissaire aux réfugiés et au rapatriement, ainsi qu’avec des partenaires humanitaires clés, des donateurs et d’autres agences des Nations Unies.Alors que de nouveaux défis continuent d’apparaître, les besoins en financement augmentent également, a souligné M. Labovitz. L’OIM a lancé en mai un appel de 140 millions de dollars pour soutenir plus de 1,3 million de membres des communautés d’accueil et de réfugiés rohingyas à Cox’s Bazar.La plateforme mondiale de réponse aux crises de l’OIM donne un aperçu des plans et des besoins de financement de l’OIM pour répondre à l’évolution des besoins et des aspirations des personnes touchées par la crise et les déplacements, ou risquant de l’être, en 2021 et au-delà.

    #Covid-19#migrant#migration#bangladesh#royhingyas#coxsbazar#pandemie#OIM#OMS#urgence#humanitaire#camp

  • Un violent incendie dévaste des camps de réfugiés rohingyas à Cox’s Bazar | Organisation internationale pour les migrations
    https://www.iom.int/fr/news/un-violent-incendie-devaste-des-camps-de-refugies-rohingyas-coxs-bazar
    https://www.iom.int/sites/default/files/styles/highlights/public/press_release/media/cxbz1.jpeg?itok=9KssZh8G

    Cox’s Bazar - Un énorme incendie a ravagé hier trois sites gérés par l’OIM, déplaçant environ 45 000 réfugiés rohingyas et causant des dégâts catastrophiques à Cox’s Bazar, au Bangladesh, le plus grand camp de réfugiés au monde.Plus de 10 000 abris ont été endommagés dans l’incendie et le plus grand centre de santé de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) dans le camp a été détruit. La perte du centre de santé ouvert 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, qui a desservi plus de 55 000 personnes l’année dernière, complique encore le défi que représente la réponse à la COVID-19. Les flammes qui faisaient rage dans les camps n’ont diminué qu’une fois avoir atteint les routes principales, les pentes, les canaux et les rizières. L’incendie s’est calmé depuis, mais a eu le temps de consumer les installations essentielles, les abris et les biens personnels de dizaines de milliers de personnes.
    La cause de l’incendie est encore inconnue. Selon les agences humanitaires et les autorités locales, 11 personnes ont perdu la vie, plus de 500 personnes ont été blessées et environ 400 sont toujours portées disparues.
    (...) Immédiatement après l’incendie, les services d’intervention du gouvernement, notamment les pompiers, l’armée et les agences humanitaires se sont précipités dans la zone pour maîtriser l’incendie. L’OIM a déployé ses ambulances et ses équipes médicales mobiles pour aider tous ceux qui ont été blessés et pour fournir un soutien en matière de santé mentale et psychosociale.Les volontaires rohingyas sur le terrain ont été les premiers intervenants, aidant les gens à se mettre en sécurité, soutenant les efforts de lutte contre l’incendie et les efforts de secours. Les équipes de l’OIM et ses partenaires ont travaillé toute la nuit pour répondre aux besoins les plus immédiats de ceux qui ont fui le brasier.Aujourd’hui, les familles ont commencé à retourner sur leurs parcelles de terre. L’OIM distribue de l’aide d’urgence à toutes les personnes touchées. Elle comprend des kits pour la construction d’abris et de l’eau ainsi que des articles d’urgence tels que des masques, du savon, des couvertures, des lampes solaires, des moustiquaires et des jerrycans. A l’approche de la mousson, la reconstruction est essentielle. L’OIM continuera à aider les résidents à reconstruire des abris durables, des installations d’eau, d’assainissement et d’hygiène (WASH) ainsi que son centre de santé, un établissement qui a été crucial pour répondre à la COVID-19 au cours de l’année écoulée.

    #Covid-19#migrant#migration#CoxsBazar#bangladesh#birmanie##sante#vulnerabilite#santementale#OIM

  • L’OIM renforce sa réponse à la violence faite aux femmes à Cox’s Bazar dans le contexte de la COVID-19 | Organisation internationale pour les migrations
    https://www.iom.int/fr/news/loim-renforce-sa-reponse-la-violence-faite-aux-femmes-coxs-bazar-dans-le-contex
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    Cox’s Bazar - Avant la pandémie de COVID-19, le risque de violence à l’égard des femmes et des filles rohingyas et bangladaises était déjà alarmant à Cox’s Bazar, au Bangladesh. Depuis l’arrivée de la COVID-19, les données suggèrent une augmentation des taux de violences domestiques et conjugales, tant chez les Rohingyas que dans les communautés d’accueil.
    En raison des restrictions de mobilité et des risques en matière de protection, les femmes et les jeunes filles ont du mal à accéder aux services de lutte contre la violence sexiste et de santé sexuelle et reproductive, qui peuvent leur sauver la vie. En outre, l’absence de possibilités socioéconomiques met à rude épreuve les personnes déjà à risque, comme les familles dirigées par une femme seule.Malgré ces défis, plusieurs outils innovants et partenariats stratégiques ont permis à l’OIM d’adapter ses programmes de lutte contre la violence faite aux femmes au contexte unique et en constante évolution de la pandémie. En s’appuyant sur le Cadre institutionnel de l’OIM pour la lutte contre la violence faite aux femmes dans les situations de crise (GBViC) — mis en place à Cox’s Bazar en 2019 - et sur le plan d’action qui l’accompagne, l’équipe de l’OIM chargée de la lutte contre la violence fondée sur le genre a pu assurer la continuité des services de gestion des cas individuels en face à face. L’OIM a également maintenu le fonctionnement de 10 espaces sécurisés pour les femmes et les filles dans neuf camps et dans l’abri d’urgence sécurisé pour les survivantes de violences sexistes, conformément aux directives sanitaires face à la COVID-19.

    #Covid-19#migrant#migration#bangladesh#rohingyas#coxsbazar#refugie#sante#violence#femmes#santereproductive#oim

  • Women at the Forefront of COVID-19 Containment in Cox’s Bazar | The Storyteller
    https://storyteller.iom.int/stories/women-forefront-covid-19-containment-coxs-bazar

    Cox’s Bazar – The unprecedented spread of COVID-19 has not spared the world’s displaced communities. In Cox’s Bazar refugee camps, the largest refugee settlement in the world, women leaders are on the frontline responding to the deadly outbreak’s impact on their communities. In camp settings, misinformation about the disease can spread quickly and hinder women and girls from seeking essential health services. The Women’s Committee – which comprises more than 100 female Rohingya refugee and host community members – is on a mission to change this. As the health crisis persists, they are playing an imperative role in curbing the spread of the disease in their community through educating others about how to stay safe.

    #Covid-19#migrant#migration#rohingya#camp#coxsbazar#sante#refugie#accessante#sensibilisation

  • L’OIM et l’équipe médicale d’urgence du Royaume-Uni poursuivent l’aide sanitaire contre la COVID-19 pour les réfugiés et les habitants à Cox’s Bazar | Organisation internationale pour les migrations
    https://www.iom.int/fr/news/loim-et-lequipe-medicale-durgence-du-royaume-uni-poursuivent-laide-sanitaire-co
    https://www.iom.int/sites/default/files/styles/highlights/public/press_release/media/cox_1_thumbnail.jpg?itok=Gwa02w7C

    Cox’s Bazar - Depuis le début de la crise sanitaire de la COVID-19 au Bangladesh, les organismes humanitaires de Cox’s Bazar travaillent 24 heures sur 24 pour se préparer à faire face efficacement à l’épidémie dans le district, qui abrite l’un des plus grands camps de réfugiés au monde. La clé de cet énorme effort consiste à renforcer les partenariats existants et à rechercher de nouvelles opportunités de collaboration pour remédier au manque d’expertise technique et à la pression sur les ressources humaines dans une crise des réfugiés déjà complexe. En mai de cette année, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) et l’Equipe médicale d’urgence du Royaume-Uni (UK EMT) - financée par l’Office britannique du Commonwealth & du développement - ont relancé les efforts communs en matière de santé pour lutter contre la propagation de la COVID-19 dans le district. Cet effort vise à améliorer les mesures de prévention et de contrôle des infections tout en soutenant la gestion des cas et les systèmes d’orientation pour les communautés rohingyas et bangladaises voisines.
    Grâce à ce partenariat, deux établissements de santé existants ont été modernisés, des centaines de travailleurs sanitaires ont été formés et trois centres d’isolement et de traitement des infections respiratoires aiguës sévères ont été conçus, construits et équipés pour fournir un traitement digne et efficace aux personnes infectées par la COVID-19. Des équipes de sensibilisation ont été mises en place pour encourager les comportements sains, renforcer la communication avec les communautés et promouvoir l’utilisation des établissements de santé (pour la COVID-19 et d’autres services de santé essentiels). « Les efforts conjoints de l’OIM et UK EMT profitent grandement à la réponse à la COVID-19, en particulier pour les plus vulnérables de Cox’s Bazar. Le soutien apporté par UK EMT en matière de renforcement des capacités, d’orientation technique et de supervision des équipes cliniques améliore la qualité des services fournis à la fois à la communauté d’accueil et aux populations réfugiées », a déclaré le Dr Charles Erik Halder, responsable national du programme de préparation et de réponse aux urgences de l’OIM à Cox’s Bazar.

    #Covid-19#migrant#migration#coxsbazar#bangladesh#refugie#rohingyas#sante#humanitaire

  • Fear, Covid-19 stalk Rohingya refugee children - Asia Times
    https://asiatimes.com/2020/06/fear-covid-19-stalk-rohingya-refugee-children

    Having already fled for their lives in the face of brutal violence in Myanmar, Rohingya refugees now live in overcrowded camps. They share communal washing facilities and latrines. They live off the food distributed by aid agencies. After decades of discrimination in Myanmar and poor facilities for learning in the camps, literacy and numeracy skills are low, their trust is limited, and the amount of misinformation swirling through the camps is high.Covid-19 has now reached the world’s largest refugee settlement. Refugees and the humanitarian community have been preparing for this for some months. But despite that, it’s likely Covid-19 will quickly spread through the camps – which have a population density four times that of New York City.

    #Covid-19#migrant#migration#refugie#bangladesh#rohingyas#densite#camp#sante#contagion#CoxsBazar#crisesanitaire

  • Des cyclistes rohingyas partagent des informations clés sur la COVID19 dans les camps de réfugiés de Cox’s Bazar | Organisation internationale pour les migrations
    https://www.iom.int/fr/news/des-cyclistes-rohingyas-partagent-des-informations-cles-sur-la-covid19-dans-les
    https://www.iom.int/sites/default/files/styles/highlights/public/press_release/media/cxb_2_3.jpg?itok=QnElUwXo

    Cox’s Bazar - La distanciation physique est un aspect crucial dans la lutte contre la pandémie de COVID-19. Mais cela pose des problèmes pour la circulation des informations clés à un moment où il est essentiel d’être bien informé pour préserver la santé publique. À Cox’s Bazar, le plus grand camp de réfugiés du monde, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) continue d’explorer de nouvelles façons de transmettre des messages clés aux Rohingyas et aux membres des communautés d’accueil dans tout le district. Des initiatives telles que la diffusion de messages à bord de rickshaws et le système de serveur vocal interactif de l’OIM font d’énormes progrès pour garantir que le public soit tenu informé.Cependant, des lacunes subsistent là où l’accès au téléphone et au réseau routier est limité. Pour amplifier les messages clés et s’assurer que personne ne reste sans accès à des informations vitales, l’unité de santé mentale et de soutien psychosocial (SMSPS) de l’OIM à Cox’s Bazar a commencé à diffuser des informations à vélo dans les établissements de Rohingyas. l’OIM aide les participants rohingyas à utiliser des vélos achetés et peints localement pour se déplacer dans des parties du camp préalablement identifiées. Les cyclistes utilisent des mégaphones pour diffuser des messages préenregistrés dans chaque zone. L’initiative est menée par des réfugiés rohingyas, pour des réfugiés rohingyas, et a déjà atteint environ 67 000 bénéficiaires à travers le camp. La diffusion de messages à grande échelle se poursuivra à mesure que le nombre de cas de COVID-19 augmentera. Au 10 juin 2020, 37 réfugiés rohingyas avaient été testés positifs au virus. Le contenu des messages va d’informations clés sur la COVID-19 à des informations générales sur la santé mentale et le soutien psychosocial, et est enregistré en anglais, en rohingya et en bengali avec le soutien de Bengal Creative Media et de Traducteurs sans frontières. Les messages sont stockés sur des clés USB, de sorte que les informations puissent être facilement adaptées aux conditions variables où les restrictions limitent la circulation des véhicules dans le camp.

    #Covid-19#migrant#migration#refugie#bangladesh#coxsbazar#sante#rohingyas#information#santementale#soutienpsychosocial#OIM