• #Julie_Bindel : Les #militants_transgenres_misogynes viennent de subir une énorme défaite.
    https://tradfem.wordpress.com/2023/10/03/les-militants-transgenres-misogynes-viennent-de-subir-une-enorme-

    À la suite de notre campagne féministe victorieuse en faveur de services réservés aux femmes il y a plusieurs décennies, les choses ont évolué comme elles auraient dû le faire, la sécurité et la dignité des patients étant primordiales. Si, à l’époque, des activistes pour les droits des hommes avaient protesté contre ces installations non mixtes, en réclamant le « droit » d’accéder à notre espace, ils auraient immédiatement été considérés comme suspects et nous aurions toutes reconnu des motifs inavouables à leurs revendications. Il aurait été évident que ces exigences visaient à leur faciliter l’accès à des femmes vulnérables.
    Pourquoi, alors, le NHS a-t-il si facilement capitulé devant les transactivistes qui affirment que certains hommes sont « en réalité » des femmes, sur la base d’un sentiment intérieur, sans tenir compte des risques évidents qu’un tel projet posait ? Le fait que des hommes mal intentionnés puissent exploiter des idées bien intentionnées aurait certainement dû venir à l’esprit de quelqu’un.

    Traduction : #TRADFEM
    #transactivisme #misogynie

  • #Julie_Bindel : La folie transgenriste de l’Amérique du Nord atteint aujourd’hui un nouveau niveau scandaleux
    https://tradfem.wordpress.com/2023/03/22/la-folie-transgenriste-de-lamerique-du-nord-atteint-aujourdhui-un

    http://tradfem.files.wordpress.com/2023/03/photo-flanagan.webp?w=705 Aussi exaspérante que puisse être l’idéologie transgenre de ce côté-ci de l’Atlantique, les États-Unis nous rappellent constamment que les choses pourraient être bien pires. La lieutenante-gouverneure démocrate du Minnesota, Peggy Flanagan, vient d’apporter un soutien total à un décret visant à protéger l’accès à ce que le lobby transgenriste qualifie de « soins d’affirmation du genre », tels que les opérations de « changement de sexe » et la prescription aux jeunes de bloqueurs de puberté. « Lorsque nos enfants nous disent qui ils sont, a-t-elle déclaré, il est de notre devoir, en tant qu’adultes, de les écouter et de les croire. C’est ce que signifie être un bon parent. »
    On ne saurait être plus loin de la vérité. La tâche la plus importante d’un parent est de protéger son enfant contre des décisions propres à des adultes, en particulier lorsque les preuves des effets irréversibles des bloqueurs de puberté se multiplient. Elon Musk s’est particulièrement insurgé contre cette politique, affirmant qu’il devrait être hors de question pour nous d’autoriser « avant l’âge de 18 ans au moins, des opérations chirurgicales graves et irréversibles ou des médicaments stérilisants que les jeunes pourraient regretter plus tard ».

    Traduction : #TRADFEM
    Source : Yahoo.com News
    #folie_transgenriste #féminisme_radical

  • #JULIE_BINDEL : Incroyable ! L’agression sexuelle d’une femme par un homme à tout faire À L’INTÉRIEUR d’un refuge contre la violence conjugale démontre le caractère essentiel d’espaces réservés aux femmes.
    https://tradfem.wordpress.com/2023/02/20/incroyable-lagression-sexuelle-dune-femme-par-un-homme-a-tout-fai

    Après des années de mauvais traitements infligés par son conjoint violent, Ann Cartright avait trouvé dans un refuge pour femmes du Shropshire la sécurité dont elle rêvait.

    Le personnel n’arrêtait pas de me dire : « Vous êtes en sécurité maintenant, tout va bien se passer, se souvient-elle. On m’a assuré que je n’avais plus besoin de m’inquiéter. »

    C’était le réconfort dont cette jeune femme de 21 ans, mère de deux enfants, avait désespérément besoin après avoir fui la relation violente qui l’avait amenée à craindre pour sa vie.

    Son nouveau foyer offrait précisément le type de milieu dont elle avait besoin pour reconstruire sa confiance brisée et son estime de soi.

    Au lieu de cela, elle a vu sa confiance exploitée de la manière la plus odieuse qui soit. Pendant plusieurs mois, Ann a été abusée sexuellement à plusieurs reprises par un homme de 44 ans qui travaillait au refuge.

    Son violeur, Steven Russell, avait été employé comme homme à tout faire après avoir menti sur ses qualifications. Il avait gagné si efficacement la confiance du personnel qu’il avait obtenu accès aux dossiers confidentiels et pouvait aller et venir à sa guise dans l’édifice.

  • #Julie_Bindel : Le féminisme libéral a tourné le dos aux femmes
    https://tradfem.wordpress.com/2021/06/04/julie-bindel-le-feminisme-liberal-a-tourne-le-dos-aux-femmes

    Être une féministe libérale n’est pas un travail très compliqué. Rien ne doit changer, aucune contestation du statu quo n’est nécessaire et les hommes n’ont pas besoin d’être critiqués. En d’autres termes, les choses restent les mêmes et la quête de la révélation et de la libération individuelles devient la clé.

    « Mon corps, mon choix » est l’un des slogans les plus reconnus du féminisme de la deuxième vague. Car, avant les nombreuses avancées du mouvement de libération des femmes, la vie des femmes était définie par l’absence de choix. Les femmes avaient peu ou pas du tout leur mot à dire sur le fait de se marier ou d’avoir des enfants, ou même sur la pratique sexuelle et le plaisir. Le féminisme a créé un contexte dans lequel les femmes pouvaient, dans une certaine mesure, exercer un choix. Mais dernièrement, le concept de « choix » a été repris par les libéraux pour signifier l’acquiescement à des pratiques destructrices qui profitent aux hommes.

    Posez-vous ces questions : s’il était légal pour les femmes de se promener seins nus comme le font les hommes, le feriez-vous ? Est-ce que vous choisiriez de vous balader poitrine nue en public un jour de grosse chaleur ? Ou de vous assoir seins nus dans un parc, d’aller faire vos courses seins nus ? Et pourquoi pas ? En réalité, se promener seins nus est légal pour les femmes à New York, mais personne ne le fait.

    Version originale : https://www.aljazeera.com/opinions/2020/11/16/feminisms-second-wave-has-failed-women
    Traduction : #Tradfem
    #féminisme_libéral #féminisme_radical #transactivisme #système_prostitutionnel

  • #Julie_Bindel : Message aux hommes : le sexe n’est absolument pas un droit de l’homme
    https://tradfem.wordpress.com/2021/05/04/message-aux-hommes-le-sexe-nest-absolument-pas-un-droit-de-lhomme

    Dans un billet du Times publié aujourd’hui et intitulé « When sex with a prostitute is a human right » (Quand le sexe avec une prostituée constitue un droit de l’homme), la chroniqueuse Melanie Phillips fait l’éloge du juge britannique Anthony Hayden qui, dans un jugement rendu la semaine dernière, a déclaré qu’il serait légal pour des soignants de faciliter l’achat de sexe par un autiste de 27 ans, identifié comme « C ».

    Madame Phillips affirme que Hayden a « fait preuve de compassion » et mentionne un article que j’ai écrit sur le sujet, en disant : « L’opposition de Julie Bindel à la prostitution est puissante et convaincante. Cependant, elle n’a pas accepté que la décision du juge mette, à juste titre, au premier plan les intérêts d’une personne défavorisée. » (Mel Phillips, The Times)

    C’est tout le contraire ; ma préoccupation pour les « personnes défavorisées » détermine ma position sur la prostitution – à savoir qu’elle devrait être abolie et que les femmes devraient être soutenues pour sortir du commerce du sexe.

    Il est assez incroyable que les droits des femmes aient été largement ignorés, non seulement dans le jugement Hayden, mais aussi par plusieurs défenseurs des « droits de l’homme » qui ont commenté cette affaire.


    Version originale : https://www.thetimes.co.uk/article/when-sex-with-a-prostitute-is-a-human-right-lfzxrf88z
    Traduit par #TRADFEM

  • #Julie_Bindel : Le nouveau harcèlement imposé sur les campus
    https://tradfem.wordpress.com/2021/05/04/le-nouveau-harcelement-impose-sur-les-campus

    L’une des grandes réussites du féminisme contemporain tient aux campagnes de sensibilisation du public à la reconnaissance du harcèlement sexuel en milieu de travail. Les universités ont encouragé les dénonciations et les procédures de plaintes anonymes afin que les femmes puissent signaler en toute sécurité ce type de ciblage. Mais lorsque les femmes universitaires font l’objet d’insultes infâmes telles que « TERF », tout bascule ; il est considéré comme raisonnable de traquer et d’humilier publiquement ces femmes.

    Il est intéressant de noter que la foule vicieuse des censeurs n’a pas tendance à s’en prendre à la poignée d’universitaires masculins qui s’élèvent contre le type d’idéologie transgenriste extrême qui entraîne la suppression des droits sexuels durement acquis par les femmes.

    Holly Lawford-Smith est professeure associée en philosophie politique à l’université de Melbourne (UM), en Australie. En 2020, elle a lancé le site noconflicttheysaid.org pour recueillir des données et des témoignages sur l’impact qu’avait sur les femmes l’utilisation par des hommes d’espaces réservés aux femmes, tels que les prisons, les vestiaires, les salles de bain, les services hospitaliers et les refuges pour les victimes de viol et de violence conjugale.

    Version originale : https://spectator.us/topic/campus-harassment-university-terf-trans
    Traduction : TRADFEM. Tous droits réservés à Julie Bindel et The Spectator (US).

  • #Julie_BINDEL : Dans le monde tordu du mouvement des « incels »
    https://tradfem.wordpress.com/2021/03/14/dans-le-monde-tordu-du-mouvement-des-incels

    Rodger s’est tiré une balle dans la tête et est mort. On a ensuite découvert chez lui une vidéo intitulée « Elliot Rodger’s Retribution », dans laquelle il exposait les motifs de son attaque bien planifiée. Il avait voulu punir les femmes pour l’avoir rejeté, et les hommes sexuellement actifs parce qu’il les enviait. Rodger détestait les femmes, et il détestait les hommes qui pouvaient facilement y avoir accès au plan sexuel.

    Puis il y a eu Alek Minassian qui a tué 10 personnes à Toronto en 2018, en lançant une fourgonnette-bélier sur le trottoir d’une rue bondée. Minassian était motivé par la misogynie et s’est dit radicalisé par le mouvement des Incels. Comme Rodger, il avait minutieusement planifié son massacre.

    N’étant plus cachés dans les bas-fonds du dark web, les Incels ont infiltré les sites de médias sociaux tels que Facebook, Twitter et Instagram, et disposent maintenant de leurs propres forums spécialisés dans lesquels ils crachent leur haine des femmes et des minorités.

    Ces hommes pensent qu’ils ont droit à l’intérêt sexuel et romantique des femmes, et expriment une haine amère envers les femmes dont ils considèrent qu’elles les rejettent. Les hommes peuvent être dangereux lorsqu’ils sont rejetés par les femmes. Ils perdent le contrôle, leur sentiment inhérent d’être dans leur bon droit est brisé et la communauté des Incels se soude autour d’un désir désespéré de justifier leur haine.

    Des sites misogynes spécialisés
    J’ai traîné sur le site INCELS.CO pendant une matinée et, bien que je fasse campagne contre la violence masculine et la misogynie depuis 40 ans, je me suis sentie malade et bouleversée par ce que j’y ai vu.

    Tout d’abord, il y avait un fil de discussion sur le thème « Les vagins sont dégoûtants ». Les commentaires et les photos affichaient une haine pure envers le corps des femmes, les hommes se rassurant les uns les autres en disant que même s’ils étaient prêts à faire l’amour avec « un » de ces organes, ils considéraient dans l’ensemble comme totalement dégoûtants.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://www.spectator.co.uk/article/men-are-being-radicalised-by-the-incel-movement

  • #Julie_Bindel : Ce nouveau livre pourrait mettre fin aux homicides conjugaux
    https://tradfem.wordpress.com/2021/03/08/ce-nouveau-livre-pourrait-mettre-fin-aux-homicides-conjugaux


    Pendant la période de confinement, les appels aux lignes d’assistance téléphonique pour violences conjugales ont augmenté de 66%.

    Le truc avec les homicides domestiques, c’est qu’on les voit toujours venir. Il existe un modèle de comportement coercitif et contrôlant adopté systématiquement par les hommes violents envers leurs partenaires féminines, qui commence toujours par un bombardement d’amour et qui, s’il n’est pas contrôlé, se termine par un meurtre.
    Au Royaume-Uni, une femme est tuée par son partenaire ou son ex-partenaire tous les quatre jours. Et un mythe persiste selon lequel ces meurtres sont spontanés – juste le résultat de deux personnes se disputant et l’une d’entre elles finissant par mourir.
    Mais, comme l’explique clairement la criminologue de renom Jane Monckton-Smith dans son nouveau livre, In Control : Dangerous Relationships and How They End in Murder : « Ce sont les homicides les plus prévisibles, c’est pourquoi nous pouvons et devons les prévenir. »
    Pour démontrer son point de vue, Monckton-Smith a développé une méthode pour détecter de tellkes relations et y intervenir. Selon son calendrier en huit étapes, l’escalade du risque peut être suivie et arrêtée avant qu’elle n’atteigne une conclusion mortelle.

    Traduction : Collective TRADFEM
    Version originale : https://unherd.com/2021/03/the-book-that-could-stop-domestic-homicide/?=frbottom

    • Mais, comme l’explique clairement la criminologue de renom Jane Monckton-Smith dans son nouveau livre, In Control : Dangerous Relationships and How They End in Murder : « Ce sont les homicides les plus prévisibles, c’est pourquoi nous pouvons et devons les prévenir. »

      Pour démontrer son point de vue, Monckton-Smith a développé une méthode pour détecter de tellkes relations et y intervenir. Selon son calendrier en huit étapes, l’escalade du risque peut être suivie et arrêtée avant qu’elle n’atteigne une conclusion mortelle.

      Elle a formulé ce modèle au cours d’un projet de recherche basé sur 400 homicides commis par des partenaires intimes. En examinant chacun de ces cas, elle s’est rendue compte qu’ils se déroulaient tous de la même manière, même les quatre cas de femmes qui ont tué des hommes. Une fois publiée, sa recherche a naturellement été accueillie avec une frénésie d’enthousiasme et d’attention ; elle a donc décidé de la développer en un livre.

    • C’est l’un des livres les plus importants qui soient au sujet de la maltraitance, détaillant chacune des huit étapes, de la première impression au meurtre. Il commence par les meilleurs conseils que vous pouvez donner à une femme au début d’une relation : « Ne négligez pas ce que son ex dit de lui juste parce qu’il prétend qu’elle ment. » […] Ainsi, toute allégation de violence dans des relations antérieures ou tout casier judiciaire devrait déclencher la sonnette d’alarme. C’est la première des huit étapes.

      La deuxième étape, dit-elle, est celle où l’agresseur pousse sa victime à s’engager, par exemple à avoir un bébé ou à emménager ensemble. […] Quand ils disent « Tu es à moi », cela peut sembler romantique. Mais ce qu’il dit est en fait : « Tu m’appartiens et tu ne pourras jamais me quitter ».

      À la troisième étape, l’agresseur commence pour de bon à créer une situation où il serait presque impossible pour la femme de partir. À ce stade, un contrôle coercitif s’installe à différents niveaux dans pratiquement tous les cas. Au quatrième stade, il sent que son contrôle lui échappe. Cela se produit presque toujours lorsque la victime quitte ou tente de quitter la relation. Il passe alors à la cinquième étape, au cours de laquelle il va intensifier la violence afin de reprendre le contrôle.

      « Si elle l’a quitté, c’est là que le harcèlement se déclenche », dit Monckton-Smith. « Il peut y avoir plus de menaces de suicide, plus d’actes de contrôle coercitif. » Ou bien l’auteur du crime peut décider de retourner à la première étape et de la bombarder d’amour à nouveau pour tenter de lui rappeler comment les choses étaient ; il peut aussi retourner à la troisième étape et réaffirmer son contrôle.

      « Les étapes trois, quatre et cinq peuvent être revisitées encore et encore pendant des années », dit-elle. « Sinon, il passe à la sixième étape, où commence le véritable danger de meurtre. »

      La sixième étape est celle où l’auteur de l’acte décide de la manière dont il va régler la situation, ayant décidé qu’il ne peut pas reprendre le contrôle à moins de la tuer. Si c’est sa décision, la septième étape est la phase de planification. « Certains le font pendant des mois, voire des années, d’autres en quelques heures seulement, mais la leçon importante à en tirer est qu’ils planifient leur geste, » dit Monckton-Smith.

      L’homicide est la huitième et dernière étape : « Il est rare qu’ils échouent. Oubliez ce que vous entendez sur la façon dont l’homme a simplement « craqué », c’est de l’esbroufe. »

  • #Suzanne_Moore : Les femmes doivent avoir le droit de s’organiser. Nous ne serons pas réduites au silence !
    https://tradfem.wordpress.com/2020/11/17/une-grande-journaliste-pete-les-plombs

    La plupart des gens veulent que le minuscule pourcentage de la population qui est transgenre ait la meilleure vie possible. La meilleure vie possible en serait une qui serait libre de violence masculine. Ce ne sont pas les féministes qui assassinent les transgenres, même si c’est l’impression que vous auriez en ne vous fiant qu’à Twitter pour vous informer.

    La violence masculine est un problème pour les femmes, et c’est pourquoi nous tenons à conserver des espaces non mixtes. Les femmes vulnérables qui peuplent des refuges et des prisons doivent pouvoir vivre dans un environnement sûr – l’ennemi commun ici est le patriarcat, vous vous souvenez ? Comment en sommes-nous arrivées à une situation où un nombre choquant et croissant d’adolescentes se présentent dans des cliniques spécialisées en disant souffrir d’une dysphorie de genre, alors que d’autres qui ont vécu une transition sont maintenant pleines de regrets et infertiles ?

    Les femmes ont le droit de dénoncer les hommes violents qui sont auteurs de viols. Nous avons le droit de parler et de nous organiser sans qu’on nous dise que la parole est elle-même dangereuse. Vous pouvez m’enjoindre à votre guide de « crever dans un fossé, espèce de TERF », comme beaucoup le font depuis des années, mais je m’identifie comme une femme qui ne se laisse pas abattre tranquillement.

    Nous sommes plus nombreuses que vous ne le pensez.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://www.theguardian.com/society/commentisfree/2020/mar/02/women-must-have-the-right-to-organise-we-will-not-be-silenced
    Suivi d’un commentaire de #Julie_Bindel

  • #Julie_Bindel : LE PARADIS DU PROXÉNÈTE
    https://tradfem.wordpress.com/2020/10/16/le-paradis-du-proxenete

    « Ce qui se passe à Vegas demeure à Vegas » dit le dicton populaire. On pense que cette phrase provient en partie des bordels légaux du Nevada, où les hommes sont assurés de l’anonymat. Ces bordels ont été considérés comme une industrie de services nécessaire dans la région depuis le XIXe siècle, lorsque le Nevada était presque entièrement peuplé de chercheurs d’or masculins. Il y a actuellement 21 bordels légaux en activité dans sept des comtés du Nevada, et j’en ai visité sept – en tant que journaliste et non en tant qu’acheteur de sexe. Ce que j’y ai vu et appris était horrible.

    Décrites par une ancienne prostituée du Nevada comme des « pénitenciers pour chattes », les bordels du Nevada ne sont autorisés que dans les comtés de moins de 400 000 habitants, afin de ne pas offenser les résidents.

    Les bordels légaux sont souvent décrits comme amusants et inoffensifs, comme dans le film Cathouse de HBO, une série documentaire sur le Moonlite BunnyRanch au Nevada. La réalité est tout autre. Les bordels légaux abritent les femmes les plus cruellement maltraitées, souvent pimpées, contrôlées et traitées comme rien de plus que des marchandises.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://spectator.us/pimps-paradise-legal-brothels-nevada

  • #Julie_Bindel : Maternité de substitution : à quel prix ?
    https://tradfem.wordpress.com/2020/10/12/maternite-de-substitution-a-quel-prix

    La maternité de substitution, dans laquelle une femme porte et met au monde un bébé pour une autre personne ou un couple, est depuis longtemps un sujet controversé. Mais avec sa normalisation croissante et le nombre croissant d’hommes homosexuels qui choisissent la maternité de substitution pour créer leur propre famille, le débat sur son éthique a été relancé. L’année dernière, le cinéaste israélien Yuval Hadadi, dans une discussion sur son nouveau film, a accusé les couples de traiter les bébés nés grâce à la maternité de substitution comme des « symboles de statut social », ajoutant qu’il existe « une pression et une attente » pour que les hommes homosexuels acquièrent des enfants.

    J’ai visité un certain nombre de pays, comme l’Inde, qui offrent des services de location d’utérus et j’ai vu les mères porteuses être traitées plus mal que des vaches laitières.

    Mais j’ai également entendu une terrible propagande anti-gay de la part de ceux qui s’opposent non pas à la maternité de substitution mais aux couples homosexuels ayant des enfants.

    Le nombre d’enfants placés en institution, désespérant d’avoir une famille, ne cesse de croître. Pendant ce temps, selon l’organisation Surrogacy UK, depuis 2010, le nombre de « futurs parents » de même sexe qui contactent l’organisation est en augmentation, et représente actuellement près de 50 % de sa clientèle.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://www.standard.co.uk/comment/comment/surrogacy-is-not-a-gay-rights-issue-it-is-a-women-s-rights-issue-a456871

    #GPA #maternité_de_substitution #exploitation #patriarcapitalisme

  • #Julie_Bindel : La vérité à propos de Pornhub
    https://tradfem.wordpress.com/2020/10/12/la-verite-a-propos-de-pornhub

    Vous n’avez probablement jamais entendu parler de MindGeek, l’énorme société de technologie qui possède Pornhub : le site porno le plus populaire au monde. Pornhub, qui reçoit 42 milliards de visites par an, est actuellement critiqué pour son manque apparent de contrôles de sécurité. Six millions de vidéos par an sont publiées sur le site ; certaines, selon les militantes anti-pornographie, montrent des viols et des agressions sexuelles. L’Internet Watch Foundation (IWF) a trouvé plus de 100 cas d’agressions d’enfants sur ce site entre 2017 et 2019.

    Inspirées par la pétition créée par le mouvement Traffickinghub, qui a récemment atteint les deux millions de signatures, des activistes portent la lutte contre la pornographie directement aux portes de MindGeek. Le 2 octobre, une manifestation, avec masques et distanciation sociale bien sûr, se déroule devant son siège britannique à Uxbridge, dans le Grand Londres, dans l’espoir que cette protetestation publique fasse pression sur le gouvernement pour qu’il accélère l’adoption de son règlement sur les préjudices en ligne et qu’il tienne les sites pornographiques responsables de leur complicité dans toute cette exploitation sexuelle.

    MindGeek est la société mère de près de 100 sites web qui consomment collectivement plus de bande passante que Facebook, Twitter et Amazon réunis. Elle est devenue le plus grand conglomérat multinational de porno au monde, contrôlant la plupart des principaux sites pornographiques gratuits. Pornhub attire le trafic en offrant un accès gratuit, mais les utilisateurs sont ensuite bombardés de publicités pour des sites payants.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://www.spectator.co.uk/article/the-truth-about-pornhub
    #violences_masculines #industrie_du_porno #mobilisation_féministe #MindGeek #pornhub

  • #Julie_Bindel : Pourquoi les gens sont-ils si disposés à croire que les femmes mentent à propos du viol ?
    https://tradfem.wordpress.com/2020/01/11/pourquoi-les-gens-sont-ils-si-disposes-a-croire-que-les-femmes-me

    Quoi qu’il en soit, la couverture médiatique disproportionnée des cas de femmes condamnées pour avoir fait de fausses allégations de viol peut donner à une bonne partie du public – et donc à ceux qui siègent dans les jurys de procès pour viol – l’impression que les femmes sont de dangereuses fabulatrices qui se font passer pour des victimes.

    On voit de plus en plus les hommes accusés de viol recourir à la défense d’un consentement que la plaignante aurait donné avec joie et enthousiasme au type de sexe correspondant à un récit pornographique populaire — par exemple, celui d’une orgie avec un tas d’étrangers de sexe mâle. Si la plaignante est soumise à un examen médico-légal et que l’on constate qu’elle présente une hémorragie interne, d’importantes ecchymoses et des signes de traumatisme grave, ces indices sont rejetés comme de simples traces d’une activité sexuelle vigoureuse.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://blogs.spectator.co.uk/2020/01/why-are-some-so-keen-to-believe-women-lie-about-rape

  • #Julie_BINDEL : « Pourquoi une femme oserait-elle signaler un viol après ce qui est arrivé à ma fille ? »
    https://tradfem.wordpress.com/2020/01/07/%e2%80%89pourquoi-une-femme-oserait-elle-signaler-un-viol-apres-c

    Le mois dernier, je me suis rendue à Chypre pour rencontrer l’adolescente britannique condamnée pour avoir fait de fausses allégations de viol.

    Lundi dernier, un tribunal local a déclaré cette jeune fille de 19 ans coupable de « méfait public » pour avoir apparemment inventé de toutes pièces l’allégation de son viol par 12 hommes israéliens alors qu’elle travaillait à Ayia Napa. Aujourd’hui, elle a été condamnée à quatre mois de prison avec sursis et serait sur le chemin du retour.

    Son épreuve a suscité l’indignation en Grande-Bretagne, le ministère des Affaires étrangères se disant « sérieusement préoccupé quant aux garanties d’un procès équitable dans cette affaire profondément pénible » où, selon les avocats de la jeune femme, des preuves médico-légales cruciales ont été soit non recueillies soit inexplicablement jugées irrecevables par le tribunal.

    Lorsque je les rencontre, l’adolescente et sa mère vivent dans un appartement loué dans un village de vacances qui, hors saison, ressemble à une ville fantôme. Les deux sont évidemment très proches et la mère me dit fièrement que sa fille est déterminée à se battre pour obtenir justice.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://www.telegraph.co.uk/women/life/mother-ayia-napa-teen-would-woman-dare-report-rape-has-happened
    #justice_patriarcale #viol #violences_masculines #déni_de_justice #Ayia_Napa #Chypre

  • #Julie_Bindel : Que faire lorsque l’on regrette sa transition sexuelle ?
    https://tradfem.wordpress.com/2020/01/06/que-faire-lorsque-lon-regrette-sa-transition-sexuelle

    Livia, 23 ans, vit comme transhomme depuis cinq ans. À 20 ans, elle a subi une double mastectomie, une hystérectomie et une ovariectomie (ablation des ovaires). Et elle le regrette aujourd’hui. Elle fait partie d’un panel de sept jeunes femmes qui discutent de leurs sentiments face à la transition lors de la toute première réunion du Detransitioner Advocacy Network (DAN) (Réseau de défense des droits des personnes en détransition, plus tôt ce mois-ci.

    Depuis la création du réseau, en octobre dernier, plus de 300 femmes qui regrettent d’être passées du statut de femme à celui de (trans)homme se sont manifestées pour obtenir du soutien et des conseils. C’est un nombre extraordinaire. Mais il n’est peut-être pas si surprenant quand on voit qu’au cours des dix dernières années, on a observé une augmentation de 3 200 % du nombre d’enfants qui se croient transgenres au Royaume-Uni, dont les trois quarts sont des filles. Une recherche rapide sur le site de sociofinancement GoFundMe montre que plus de 26 000 filles et femmes cherchent actuellement de l’argent pour subir la « chirurgie du haut » (une double mastectomie élective) afin d’acquérir une apparence plus masculine.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://unherd.com/2019/12/the-nhs-is-failing-trans-kids
    #détransition_transgenre #identité_de_genre #féminisme #transgenre

    • Il semble que Livia souffrait de dysmorphie corporelle, un désordre qui amène les gens à croire que leur corps est défectueux ; cette condition devient de plus en plus fréquente en raison de la pression exercée sur les jeunes femmes pour qu’elles se conforment à des stéréotypes féminins. Mais on l’a plutôt amenée à croire qu’elle souffrait d’une dysphorie de genre, un trouble où des gens en viennent à penser c’est leur sexe biologique qui n’est pas « le bon », ce qui conduit à vouloir subir une chirurgie irréversible, souvent à un âge jeune et impressionnable.

      Ayant fait son coming out en tant que lesbienne à l’âge de 11 ans, Evans se sentait mal à l’aise face à la réaction négative de garçons et de filles à l’école. Elle a enduré leur cruauté et leurs remarques homophobes pendant plusieurs années, puis, à l’âge de 14 ans, elle a découvert que plusieurs membres de son groupe d’amis passaient du statut de femme à celui d’homme, une perspective qu’elle dit avoir trouvée irrésistible.

      « J’ai suivi le mouvement », me dit Evans. « J’aime les autres filles et j’aime les armes, les camions et la boue, je n’aime pas avoir les cheveux longs et je suis vraiment bordélique, et ma chambre ressemble à une chambre de garçon, donc je dois être un garçon. »

      « Aujourd’hui, j’ai accepté celle que je suis vraiment : une femme non conforme à son sexe. Je ne crois pas que j’aurais dû vivre une transition médicale pour en arriver à ce constat. »

      #lesbophobie #homophobie #misogynie

  • #Julie_BINDEL : Royaume-Uni : Les femmes font les frais du litige entre travaillistes au sujet de l’égalité des transgenres.
    https://tradfem.wordpress.com/2019/12/05/royaume-uni-les-femmes-font-les-frais-du-litige-entre-travaillist

    J’ai été agréablement surprise lorsque j’ai lu le nouveau Manifeste du Parti travailliste. Non seulement ce parti a-t-il promis de mettre fin aux « chambres mixtes » dans les hôpitaux, mais il s’est également engagé à « veiller à ce que les exemptions accordées à des espaces non mixtes par la Loi de 2010 sur l’égalité soient comprises et pleinement appliquées dans la prestation de services ».

    Aussitôt ce manifeste publié hier, un certain nombre de féministes ont tweeté leur soulagement et salué d’éloges cette promesse. Elle marquait un changement important par rapport au manifeste travailliste de 2017 dans lequel le parti avait promis de : « … réformer la Loi sur la reconnaissance du genre (LRG) et la Loi de 2010 sur l’égalité pour assurer la protection des personnes transgenres en changeant la caractéristique protégée de “réassignation de genre” pour en faire l’“identité de genre” et en supprimant d’autres termes périmés tels que “transsexuel”. »

    Beaucoup d’entre nous étions préoccupées par l’érosion des droits sexuels des femmes et des filles aux mains des talibans transgenres, une opération conçue par le lobby Stonewall et appuyée par Dawn Butler, secrétaire des dossiers des femmes et des égalités (sic) dans le cabinet fantôme du Parti travailliste.

    Je me demandais bien comment cette opération était passée d’une proposition visant à éradiquer complètement nos droits à une promesse de les respecter et même de les renforcer. C’est alors que Dawn Butler et ses copines de Momentum (NDT : un caucus radical au sein du Parti travailliste) ont commencé à tweeter leur version de la réalité. Je suppose qu’elles l’ont fait soit pour tenter d’apaiser la meute (des transactivistes) soit, pire encore, pour faire pression sur le parti afin de lui imposer une politique à laquelle il ne s’était pas officiellement engagé.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://blogs.spectator.co.uk/2019/11/women-are-the-losers-in-labours-trans-equality-fight
    #non-mixité #féminisme #Royaume-Uni #Parti_travailliste

    • –1 pour le concept de « talibans transgenre ». Déjà, traiter des ennemi·es politiques de talibans... mais encore moins quand le mot « transgenre » ne se réfère pas de manière évidente à des groupes de pression critiquables mais peut viser des personnes qui ont le simple tort d’être trans...

      Si la Loi sur l’égalité était réformée comme le veut Dawn Butler, cela pourrait signifier que tout homme souhaitant s’identifier en tant que femme, qu’il soit ou non véritablement dysphorique ou qu’il ait subi ou non un traitement quelconque, pourrait avoir accès à des espaces sûrs réservés aux femmes, comme des refuges et des services-conseil en cas de viol et, qu’en cas de contestation, l’on pourrait invoquer la loi sur les crimes motivés par la haine contre toute personne contestant cette politique, s’en plaignant ou cherchant à exclure un homme de ces lieux.

      Dans un contexte carcéral, il appert déjà que des délinquants sexuels violents et prédateurs sautent sur cette occasion pour être transférés dans des prisons pour femmes. Les détenues sont terrifiées. Nombre d’entre elles ont été victimes d’intimidation et d’agressions ; on sait que la population carcérale féminine est particulièrement affectée par des antécédents de maltraitance sexuelle, de viols et de violence familiale dans l’enfance.

      Il ne s’agit pas que d’un épouvantail ou d’un raisonnement par l’absurde : l’auto-détermination du genre, en plus d’être un non-sens social, est une menace bien concrète sur tous les lieux où la non-mixité, conquise de haute lutte, est vitale pour des femmes. J’ai mis ici quelques actes de violence misogyne (violences sexuelles qui vont de l’exhibition au viol de très jeunes enfants) perpétrés par des personnes se définissant comme femmes et auxquelles le droit permet de plier tout le monde à leur volonté, y compris mauvaise foi, haine pathologique des femmes, etc. J’ai entendu parler de 50 % de détenues transgenre en prison au Royaume-Uni pour crimes sexuels (contre 17 % de mecs cis) mais je ne garantis pas ce chiffre. Les mettre en prison avec les personnes de la classe de leurs victimes me semble raide dingue et jusqu’ici seule la NZ a posé des limites à l’auto-identification sur ce critère-ci : une femme trans ne peut pas aller en prison pour femmes si elle a été condamnée pour des crimes sur des femmes.

      https://seenthis.net/messages/803000

  • Why woke men fear real feminism - UnHerd
    https://unherd.com/2019/07/why-woke-men-fear-real-feminism

    I would wager that a hatred of feminists in the current climate is being fuelled by leftist men who claim to be “on the right side of history” but are, in fact, misogynists dressed up as progressives. Take Owen Jones, using his Guardian platform to regularly stick the boot into feminists who are fighting to retain sex-based rights. In one article, he dismissed my 40 years of activism to end male violence against women and girls, and reduced me to an anti-trans campaigner. This merry band of leftist puppets would have it that those many thousands of women attending public meetings to discuss the potential clash of rights between trans people and natal women if self-identification is introduced in Britain, are also, by default, homophobic bigots.

    Feminists that campaign against abuse in the global sex trade are labelled as White Feminists, and, whether they are white or not, racist. No matter how many times black and brown feminists refuse to capitulate to the version of feminism that benefits men a damn sight more than it does women, they are vilified by the super-woke and publicly ‘cancelled’ – social media’s version of witch burning.

    When Vice, which has run an article entitled Ban Sex Work? Fuck off, White Feminism published a piece on the murder of the schoolgirl Charlene Downes, based on my investigation a decade ago, I was described as “The journalist Julie Bindel – these days better known for her divisive views on trans issues.” In one sentence, my entire body of work over the past 40 years, including four books on feminism, thousands of articles on rape, domestic violence, child abuse, and trafficking of women, and travelling the world to investigate human rights abuses, is reduced to my views on transgender ideology.

    Is it any wonder that so many young people watching this debate unfold want nothing to do with feminism, painted as a movement of bigots, transphobes and homophobes hell-bent on abusing an oppressed group, as opposed to liberating women? The most widely used slur to describe people thought to be anti-trans is Trans-Exclusionary Radical Feminist (Terf). Not, you may notice, “violent men”, the group most likely to hate and attack transgender people, but feminists.

    There is a war against feminists in the UK, and the so-called progressives are the ones throwing the grenades.

    During the 50-plus interviews I have done so far, I have been told by women from a range of backgrounds and circumstances that they feel under pressure to sign up to fun feminism, support “sex work”, stripping, porn, and to chant the mantra, “trans women are women!” They are being groomed into hating actual feminism, and adopting a faux-version that does not challenge men at all.

    Male Left-wing misogynists who hate feminism are too cowardly and inadequate to be open about it, and would rather rebrand feminism to suit them.

    #proféministes #féminisme #anti-féminisme (mais cool)
    par #Julie_Bindel

  • Don’t you dare ask my pronouns - UnHerd
    https://unherd.com/2019/10/dont-you-dare-ask-my-pronouns/?=frpo

    “My name is Jeremy Corbyn and my pronouns are he/him.”

    These were the opening words from the Labour Party leader at the Pink News Awards yesterday.

    Corbyn hadn’t want to miss an opportunity to virtue signal — on International Pronoun Day, no less. He has impeccable trans-inclusive politics, even supporting the inclusion of men who identify as women on all-female shortlists. Corbyn’s self-appointed advisor on all things trans, Owen Jones, has made it clear to the Labour leader that in order to be on the “right side of history” one must put male-bodied trans women before actual women.

    Indeed, this obsession with pronouns is extremely worrying. Especially now the police have joined in. The same week that government statistics were released showing rape convictions down to a shocking 1.4% of those reported, Deputy Chief Constable Julie Cooke of Cheshire Police found the time to make a video to mark IPD, telling us that for many people, “Being misgendered can have a huge impact on somebody and their personal wellbeing.” So can being raped, but let’s get our priorities right, shall we?

    For all those lesbians who are constantly told we “look like men” because we refuse to wear make-up, high heels and corsets, and dress for the benefit of men, it is offensive and deeply anti-lesbian to now get asked “what are your pronouns?” We have struggled for years to win respect and acceptance as women — why should we have to spell it out.

    #progrès #LGBT #femmes par #Julie_Bindel

  • #Julie_Bindel : La vérité pure et simple à propos de la #violence_conjugale
    https://tradfem.wordpress.com/2019/10/28/la-verite-pure-et-simple-a-propos-de-la-violence-conjugale

    Hier, nous parlions partout de l’échec systématique de l’État à poursuivre et faire condamner les violeurs, et aujourd’hui, c’est l’augmentation des décès dus à la violence masculine qui fait la manchette à la BBC. Tandis que nous sommes tous et toutes, à raison, horrifié-e-s par les morts de jeunes gens agressés à l’arme blanche dans nos rues, nous semblons presque tenir pour acquis le nombre de femmes qui sont assassinées, souvent à l’arme blanche, par des hommes qui leur sont connus.

    Qui sont les violeurs ? Des hommes. Qui tue leurs partenaires intimes ? Presque exclusivement des hommes. Si nous demeurons incapables d’énoncer cette pure et simple vérité, nous faisons partie du problème. Cette semaine, nous avons appris que le très attendu « Domestic Abuse Bill » (Projet de loi sur la violence conjugale) est l’une des lois qui sont mortes au feuilleton quand le parlement britannique a été prorogé. La championne de ce projet de loi était la première ministre Theresa May, celle qui a décerné cette semaine un titre de Chevalier à Geoffrey Boycott, pourtant trouvé coupable d’avoir agressé une femme…

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://blogs.spectator.co.uk/2019/09/the-simple-truth-about-domestic-violence

  • #Julie_Bindel : Andrea Dworkin est la féministe radicale et visionnaire dont nous avons besoin en ces temps difficiles. Voici pourquoi.
    https://tradfem.wordpress.com/2019/05/14/andrea-dworkin-est-la-feministe-radicale-et-visionnaire-dont-nous

    J’ai connu la vraie Dworkin, et notre amitié de dix ans m’a appris beaucoup plus sur l’amour que sur la haine. « Je conserve dans mon cœur les récits des femmes », me répondait-elle quand je lui demandais comment elle arrivait à demeurer saine d’esprit dans le travail qu’elle faisait. « Ces récits m’exhortent à continuer et à rester concentrée sur ce qui doit être fait. »

    Elle était motivée par un désir inné de débarrasser le monde de la douleur et de l’oppression. Si nous avions été plus nombreuses à écouter Dworkin pendant ses décennies de militantisme et à prendre son travail plus au sérieux, plus de femmes auraient adhéré à un féminisme intransigeant, par opposition au féminisme fun, qui se prête au genre de slogans qu’on peut lire sur les T-shirts de mode, celui qui vante le « girl power » individuel des filles et l’audace de porter le pantalon, plutôt qu’un mouvement collectif pour libérer toutes les femmes de la tyrannie de l’oppression.

    Nous nous sommes rencontrées en 1996. J’étais l’une des organisatrices d’une conférence internationale sur la violence faite aux femmes, et Dworkin était l’une des oratrices principales. Nous nous sommes tout de suite bien entendues, à cause d’un humour semblable et de quelques amies en commun. Le premier soir, nous sommes allées souper avec d’autres conférencières et nous avons rigolé haut et fort de nos différentes listes de souhaits sur des moyens de mettre fin au patriarcat. « Avez-vous remarqué, nous a dit Dworkin le lendemain matin, qu’on nous appelées « ladies » à notre arrivée, « you guys » quand ils ont pris notre commande, et qu’on a probablement été bannies à vie en repartant ? »

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://www.theguardian.com/lifeandstyle/2019/apr/16/why-andrea-dworkin-is-the-radical-visionary-feminist-we-need-in-our-ter
    #Andrea_Dworkin #féminisme_radical #misandrie #patriarcat #violences_masculines #femmes_de_droite

  • #Julie_Bindel : Pourquoi voit-on autant d’organisations LGBT céder aux pressions des transactivistes et s’aliéner les lesbiennes ?
    https://tradfem.wordpress.com/2018/09/22/pourquoi-voit-on-autant-dorganisations-lgbt-ceder-aux-pressions-d

    Partout au pays, des organisations lesbiennes et gay déçoivent les attentes des femmes lesbiennes. Il semble que la constellation de leur acronyme demeure en pleine croissance – on parle actuellement de LGBTQQIPA+ (pour Lesbiennes, Gais, Bisexuels, Transgenres, Queer, en Question, Intersexe, Polyamoureux et Asexuels) – mais qu’elle fait peu de place aux lesbiennes.
    Transphobie ?
    Non seulement les lesbiennes ont-elles le moins de poids dans le monde « queer » en raison de leur statut de simples femmes, mais on a l’impression que le mot « lesbienne » est en train de devenir synonyme de « transphobie ». Les lesbiennes ont été les critiques les plus fermes d’une idéologie transgenre au caractère Orwellien, parce que nous sommes celles qui avons le plus à perdre en concédant un terrain durement gagné à des hommes qui s’identifient comme femmes. Des organisations puissantes et amplement subventionnées, qui sont censées défendre les intérêts des lesbiennes et des gays, laissent un grand nombre d’entre nous dans leur sillage dans un effort pour se montrer aussi favorables que possible au mouvement transgenre.
    Chacune des organisations ayant déjà plaidé et fait campagne en faveur des lesbiennes et des gays a été cooptée par le programme politique transgenriste. Lorsque la cabale transgenriste leur dit « Sautez ! », ces organisations – dont beaucoup ont été mises sur pied par des lesbiennes – se contentent de demander : « Jusqu’à quelle hauteur ? »

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://www.feministcurrent.com/2018/08/29/many-lgbt-organizations-caving-trans-activists-losing-lesbians
    #transphobie #LGBTQI #féminisme #Parti_vert #lesbiennes

  • #JULIE_BINDEL : La dépénalisation de la prostitution était censée protéger les travailleuses du sexe – au contraire, elle les met en plus grand danger.
    https://tradfem.wordpress.com/2018/07/30/la-depenalisation-de-la-prostitution-etait-censee-proteger-les-tr

    Je fais campagne contre l’industrie mondiale du sexe depuis plus de 20 ans. J’ai passé de longues journées dans des bordels légaux ou semi-légaux en Australie, en Allemagne, aux Pays-Bas, en Nouvelle-Zélande et au Nevada.

    J’ai également visité des « quartiers chauds » dans de nombreux pays en développement, notamment en Afrique du Sud et en Asie, où le même libéralisme bien intentionné mais erroné a conduit les autorités locales à décriminaliser l’exploitation de la prostitution.

    Dans tous ces endroits, tout comme dans le quartier de Holbeck à Leeds*, au Royaume-Uni, la déréglementation a non seulement échoué à actualiser ses promesses, condamnant la majorité des femmes impliquées à une vie de dégradation physique et mentale épouvantable, mais elle a également provoqué une augmentation de la demande masculine et considérablement aggravé le problème.

    Dans les pires cas, maintenant évidents en Europe et dans une grande partie du monde en développement, cela a entraîné une explosion de la traite de jeunes femmes et de jeunes filles.

    Pour chaque prostituée heureuse (s’il en existe vraiment), il y en a des milliers pour qui la vie est sordide et dangereuse.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://www.telegraph.co.uk/news/2018/07/23/decriminalising-prostitution-supposed-keep-sex-workers-safe

    Julie Bindel est une auteure et commentatrice féministe de premier plan et elle est l’auteure de The Pimping of Prostitution, Abolishing the Sex Work Myth (Palgrave Macmillan, 2017).
    #prostitution #travail_du_sexe #réglementarisme #abolition #modèle_nordique

  • #Prostitution, #proxénètes… pour en finir avec le mythe de la « pute heureuse » | tradfem
    https://tradfem.wordpress.com/2017/11/30/prostitution-proxenetes-pour-en-finir-avec-le-mythe-de-la-%e2%80%

    Du début à la fin de The Pimping of Prostitution, Bindel compare le combat anti-prostitution à la lutte contre le tabac, où les grandes entreprises ont utilisé la désinformation, des propos faussement scientifiques et leurs vastes réserves d’argent pour propager le mensonge que fumer n’était pas nocif, et ce longtemps après que le contraire ait été démontré. Tout comme allumer une cigarette dans un bureau ou un restaurant est devenu impensable en 2017 dans la plupart des pays d’Europe et les États-Unis, les abolitionnistes espèrent qu’un jour prochain, les bordels du quartier red-light d’Amsterdam seront vus comme une relique d’un autre âge.

  • #Julie_Bindel : Ce pour quoi la prostitution ne doit jamais être légalisée
    https://tradfem.wordpress.com/2017/10/13/ce-pour-quoi-la-prostitution-ne-doit-jamais-etre-legalisee-julie-

    Posez la question « Que devrions-nous faire à propos de la prostitution ? » où que ce soit dans le monde, et la réponse que vous risquez de plus en plus d’entendre est : « La légaliser ». Cette opinion repose sur la conviction qu’il y aura toujours des hommes qui paient pour du sexe et des femmes qui en vendent. Dépénaliser tous les aspects de la prostitution – y compris la tenue de bordels et l’achat de sexe – permettrait, selon cet argument, de rendre la vie plus sûre pour ces femmes, tout en facilitant l’élimination des violences.
    Les partisans de la dépénalisation, y compris de nombreux libéraux et quelques féministes, considèrent que la prostitution est un simple travail et soutiennent que les « travailleuses du sexe » peuvent être protégées par des syndicats et des mesures de santé et de sécurité. Par contre, la seule décriminalisation de la vente du sexe – de sorte que seuls les acheteurs enfreignent la loi – signifie que les prostituées elles-mêmes ne seront pas pénalisées. Cependant, même dans les cas où seul l’achat de sexe est une infraction pénale, les femmes prostituées demeurent sujettes à des risques.

    Au cours des dernières années, cet argument a gagné du terrain dans certains pays.

    Julie Bindel est une militante politique et l’autrice de The Pimping of Prostitution : Abolishing the Sex Work Myth.


    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://www.theguardian.com/commentisfree/2017/oct/11/prostitution-legalised-sex-trade-pimps-women
    #proxenète #industrie_du_sexe #dépénalisation

  • #Julie_Bindel : À propos du pacte unissant les trans-activistes et le lobby de l’industrie du sexe
    https://tradfem.wordpress.com/2017/10/03/a-propos-du-pacte-unissant-les-trans-activistes-et-le-lobby-de-li

    La montée de la politique identitaire transgenre s’est accompagnée d’un effort véhément pour fusionner l’image de la prostitution à ce qu’on appelle le mouvement genderqueer. Plusieurs arguments servent à affirmer que l’expérience d’être transgenre et celle d’être prostituée sont très similaires, sinon identiques. L’un d’entre eux est que plusieurs transfemmes ne peuvent pas trouver d’emploi ordinaire, ou qu’elles ont besoin de gagner rapidement de l’argent pour se payer une chirurgie, et donc qu’elles se tournent vers l’industrie du sexe. Un autre est l’argument queer selon lequel nous faisons toutes et tous partie d’une grande alliance heureuse sous le logo arc-en-ciel et que les « droits des travailleurs du sexe », les droits des trans et les droits des queer sont une seule et même chose. Ce qui échappe à cet est une analyse du pouvoir des hommes par rapport aux femmes. En fait, sauf pour ce qui est des transfemmes, les femmes sont entièrement exclues de cette équation.

    Deux acronymes récemment créés se prêtent même à ma théorie que les problèmes des transgenres et les « droits des travailleurs du sexe » ont été fusionnés au point que vous ne pouvez littéralement pas soutenir les uns sans soutenir les autres. Ce sont les expressions, jumelées par la rime : SWERF (féministes radicales excluant les travailleuses du sexe) et TERF (féministes radicales excluant les transfemmes). Les camps pro-prostitution et trans-activistes semblent parfaitement conscients de l’importance de fusionner leurs intérêts. Les lobbyistes pro-prostitution font régulièrement appel au soutien du lobby transgenre et vice versa. Je me suis rendu compte d’à quel point cette collusion était commode pour les deux groupes au moment de la campagne menée en Grande-Bretagne pour faire instaurer une loi criminalisant les acheteurs de sexe. C’était en 2009 et le Parlement débattait d’un projet de loi qui aurait criminalisé l’achat de sexe auprès d’une personne ayant été victime de traite ou autrement contrainte. Il était toujours considéré important d’obtenir l’adoption de cette loi, même si beaucoup étaient sceptiques à ce sujet parce que le projet de loi maintenait une distinction entre les femmes qui pouvaient prouver qu’elles avaient été soumises à un proxénète, ou forcées d’une manière ou d’une autre, et celles qui étaient autrement maltraitées et exploitées dans l’industrie du sexe, rendant cette loi pratiquement impossible à appliquer.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : http://www.feministcurrent.com/2017/10/02/pact-trans-rights-advocates-sex-trade-lobby

    #industrie_du_sexe #trans-activiste #prostitution