• #Barbie

    Parallèlement au monde réel, il existe Barbieland, un monde parfait où les poupées Barbie vivent joyeusement, persuadées d’avoir rendu les filles humaines heureuses. Mais un jour, une Barbie commence à se poser des questions et à devenir humaine.

    Sur les conseils d’une Barbie bizarre, elle part pour le monde réel afin de retrouver la fille à laquelle elle appartenait afin de pouvoir retrouver sa #perfection. Dans sa quête, elle est accompagnée par un #Ken fou amoureux d’elle qui va également trouver un sens à sa vie dans le monde réel…

    https://www.youtube.com/watch?v=5oBOyBxxHlk&embeds_referring_euri=https%3A%2F%2Fwww.genre-ecran.net


    https://fr.wikipedia.org/wiki/Barbie_(film)
    #film #comédie #patriarcat #stéréotype #réalité

    • Une opération commerciale de #blanchiment_féministe

      Voilà un (trop) bel exemple de la capacité d’Hollywood de récupérer même les avancées politiques et idéologiques qui paraissent a priori les plus contradictoires avec ses visées capitalistes : soit un moment fort de la lutte d’#émancipation des femmes (depuis le déclenchement de #MeToo), une entreprise capitaliste (#Mattel) qui produit depuis 50 ans la Barbie, une #poupée mondialement célèbre figurant le #stéréotype_féminin le plus aliénant de la #société_de_consommation, et dont les ventes sont en déclin du fait des critiques féministes. Résultat : une actrice productrice, Margot Robbie, connue pour son féminisme fait appel à une jeune réalisatrice, Greta Gerwig, qui s’est fait connaître pour ses portraits progressistes de personnages féminins (Lady Bird, 2017 ; Les Filles du docteur March, 2021), pour faire un film qui reconfigure Barbie au prisme du féminisme contemporain, avec le financement de Mattel (le film a coûté 100 millions de dollars) qui orchestrera la promotion du film et la relance des ventes de poupées par la même occasion… Mattel n’a pas caché son ambition de créer une franchise, à l’image de Marvel.

      Le film porte la marque de cette alliance de la carpe et du lapin, en tentant d’orchestrer la régénération féministe du monde de Barbie, tout en voulant nous faire croire que la conception d’origine de la Barbie (par une femme) était un projet émancipateur : permettre aux petites filles de cesser de jouer à la maman avec leur poupon, pour se projeter dans une image flatteuse d’elles-mêmes en tant que femmes.

      Le film met d’abord en scène le « Barbie Land » habité par toutes les déclinaisons de la poupée que Mattel a mis sur le marché depuis 50 ans, dont celle qui se nomme elle-même comme la « #Barbie_stéréotypée » (incarnée par Margot Robbie) et qui est au centre de ce petit monde où les hommes, les Ken, ont besoin du regard des femmes pour se sentir exister (on aura reconnu l’inversion du monde où les femmes dépendent du « #male_gaze », tel que le cinéma mainstream le construit). Mais ce monde se détraque le jour où Barbie a une pensée morbide : elle devra partir dans le monde réel à la recherche de la femme qui a dessiné cette Barbie dépressive pour la neutraliser.

      Elle part avec Ken (Ryan Gosling) pour la Californie, où ils ont la surprise (divine pour Ken) de découvrir une société patriarcale où les femmes sont au service des hommes et exclues du pouvoir : le conseil d’administration de Mattel que Barbie va rencontrer, est exclusivement masculin et n’aura de cesse de faire repartir Barbie dans son monde, pour éviter toute contamination du monde réel avec le Barbie Land où le pouvoir feint d’appartenir aux femmes. Cette représentation satirique de la direction de Mattel relève davantage d’un stéréotype du cinéma hollywoodien contemporain que d’une critique réelle du capitalisme états-unien.

      Barbie rencontre deux femmes au look latino, une mère et sa fille, aussi brunes qu’elle est blonde, qui sont à l’origine de son dysfonctionnement. C’est Gloria, la mère (America Ferrera), employée chez Mattel, qui a dessiné des déclinaisons négatives de Barbie, alors que sa fille Sasha (Ariana Greenblatt) formule les critiques féministes de Barbie. Elles vont bizarrement devenir les alliées de Barbie pour l’aider à retrouver Barbie Land, qui entretemps est passé sous domination masculine, suite à la découverte faite par Ken du patriarcat dans le monde réel.

      La suite est assez confuse : la guerre des sexes dans Barbie Land donne lieu à plusieurs séquences mettant en valeur chorégraphiquement la plastique masculine, avant que les Barbies reprennent le pouvoir, galvanisées par le discours féministe de Gloria. Mais Barbie choisit finalement de revenir dans le monde réel avec ses deux alliées humaines, et sa première démarche en tant que « vraie femme » est de prendre rendez-vous dans une clinique gynécologique : on peut s’interroger sur cette fin qui réduit le discours féministe à une vision essentialiste de « la » femme…

      https://www.genre-ecran.net/?barbie=
      #féminisme

    • Féminisme et Barbie, Ana Dumitrescu

      https://blogs.mediapart.fr/ana-dumitrescu/blog/230723/feminisme-et-barbie

      Barbie : ce qui a attisé ma curiosité et m’a incité à y aller, ce sont les nombreux commentaires selon lesquels ce film est « féministe ». Mais le fond du #film tourne finalement autour de Ken et non pas de Barbie. C’est lui qui impose le débat et qui contraint l’action. Attention, je « spoile » l’intégralité du film pour le décrypter.

      un bon article opportunément signalé par @biggrizzly pour faire suite au propos d’une identitaire d’extrême droite dénonçant le wokism-féminisme (...) https://seenthis.net/messages/1011025

      (c’est pas tant l’alliance de la carpe et du lapin que féministes bankable sur le marché de la désintégration de tout discernement)

      ce Dumitrescu : #toctoc

      #cinéma

    • en vrai, Ken est un chic type, il a mis la mer à Tarbes.
      https://www.leboncoin.fr/ventes_immobilieres/2383862345.htm

      Nous vous présentons cette magnifique villa avec piscine sur le centre ville de Tarbes. Une jolie maison de 145 m2, avec 4 chambres dont une suite parentale avec salle d’eau et dressing. Maison sur 3 niveaux , avec 3 terrasse, salle de sport / fitness, grand dressing, cuisine d’été, et grand garage.

    • Greta Gerwig entre dans le club très masculin des films qui ont rapporté plus de 1 milliard de dollars
      https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2023/08/11/avec-barbie-greta-gerwig-entre-dans-le-club-tres-masculin-des-films-qui-ont-

      EN UN GRAPHIQUE – Jamais un film réalisé par une femme, sans coréalisateur masculin, n’avait dépassé ce montant symbolique au box-office mondial.

      #$ #cinéma #femwashing

    • ça vous paraît lunaire que des gens voient dans Barbie de la promotion de l’homosexualité ?? Louise Kervella, PhD @ForzaBombardier
      https://twitter.com/ForzaBombardier/status/1691121401271574529

      L’obsession représentationniste vous aveugle vous êtes incapables de voir une critique de l’hétérosexualité
      littéralement à la fin Barbie s’émancipe de son couple qui lui apportait rien en devenant humaine et Ken comprend qu’il n’a pas besoin du regarde d’une femme pour être heureux et qu’il se suffit à lui-même
      On peut pas comprendre l’homophobie des État réactionnaires sans comprendre le rôle que joue le couple hétérosexuel dans le capitalisme à savoir la reproduction de la force de travail. Tout ce qui remet en cause le couple hétérosexuel peut-être un danger pour la classe dirigeante
      En plus on a vu plusieurs articles passer qui disaient que des femmes rompaient avec leur mec après avoir vu Barbie. C’est de ça qu’ont peur les pays qui l’interdise. Bien sûr c’est pas un film révolutionnaire non plus faut pas exagérer, mais il porte une critique

      y’a une différence entre la possibilité réelle pour le film de convaincre à l’homosexualité politique et la peur que ça arrive de la part de la bourgeoisie. Faut voir comment ils exagèrent à 1000% tous les combats féministes. Genre les suffragettes qui veulent le droit
      De vote sont présentée comme voulant asservir les hommes. Les militantes pour l’avortement sont présentées comme des tueuses d’enfants sanguinaires qui veulent que l’humanité cesse de se reproduire. Les militants pour le mariage gay sont présentés comme voulant supprimer la
      Famille hétérosexuelle. Moi ça me choque pas que Barbie qui critique un peu le patriarcat et le couple hétérosexuel, le montre comme pas nécessaire pour être heureux soit présenté comme de la promotion de l’homosexualité (en plus les hommes portent du rose)

      #hétérosexualité #couple #homosexualité

    • Barbie, la #femme_parfaite ?

      Plus de soixante ans après sa naissance, la poupée Barbie séduit toujours autant. Entre stéréotypes et discours émancipateurs, exploration d’un jouet iconique qui s’est transformé au gré des époques.

      Nul besoin de la présenter. Adoptée par plusieurs générations d’enfants, Barbie est une véritable icône intergénérationnelle. Imaginée en 1959 par la femme d’affaires américaine Ruth Handler, la célèbre poupée s’est rapidement retrouvée dans tous les foyers américains avant de conquérir le reste du monde. Astronaute, chirurgienne ou encore candidate à la présidentielle, Barbie devait initialement encourager les petites filles à se projeter dans des carrières masculines. Longtemps décriée pour sa silhouette filiforme et ses proportions irréalistes, elle incarne aujourd’hui une forme de diversité : au gré de ses avatars, elle est ainsi représentée dans un fauteuil roulant ou porteuse de trisomie 21. Désormais héroïne d’un film au prestigieux casting, la poupée est aussi devenue une influenceuse très suivie sur les réseaux sociaux.

      https://www.youtube.com/watch?v=gB_Ws3uRM5Q


      #icône #Ruth_Handler #Mattel #Lilli #poupée #modèle #Rolemodel #diversité #féminisme #féminité #jeu #hijab #voile #hijarbie #corps

  • Opfer gegen Künstler gegen Kinder gegen Frauen und so fort ...
    http://www.berliner-woche.de/schoeneberg/bauen/neuer-name-fuer-pallas-park-fuehrt-zur-debatte-d97577.html

    Benennung und Umbenennung von Berliner Straßen sind ein mühseliges Gechäft, bei dem die persönlichen Vorlieben, Befindlichkeiten und Eifersüchteleien immer wieder fröhliche Urständ feiern. Das neueste Stück aus dem Tollhaus BVV handelt vom Sportpalast und dem Walzer dazu, von Klamottenfabrikanten und ihren Kindern, und davon wer das würdigste Opfer abgibt als Namensgeber wäre für einen ehemaligen Parkplatz.

    Im Januar 2015 brachte die CDU-Fraktion den Antrag ein, dem Pallas-Park den Namen des Komponisten und Musikverlegers Translateur („Sportpalast-Walzer“) zu verleihen. Siegfried Translateur kam im März 1944 in Theresienstadt um.

    Bündnis 90/Die Grünen konterten mit dem Lilli-Flora-Vorschlag, dem sich die SPD anschloss. Der Ausschuss für Bildung und Kultur unter Vorsitz der SPD-Verordneten Melanie Kühnemann gab eine entsprechende Empfehlung für die Abstimmung in der Bezirksverordnetenversammlung (BVV).
    ...
    Für die SPD sagte Stefan Böltes, Lilli Flora stehe für eine Opfergruppe des Nationalsozialismus, die in der Öffentlichkeit bisher überhaupt nicht vorkomme, die Opfergruppe der Kinder. Außerdem gebe es einen BVV-Beschluss, wonach bei der Namensgebung von Straßen, Plätze und Parks Frauen zu bevorzugen seien. Elisabeth Kiderlen von den Grünen meinte, Lilli Flora Borchardt eigne sich als Namensgeberin für den Pallas-Park, weil Kinder und Jugendliche, die sich dort aufhielten, sich gut mit dem Schicksal dieses „ganz normalen Kindes“, das kein Held des Widerstands gewesen sei, identifizieren könnten.

    Halten wir mal fest : Der Sportpalast war eine wichtige Halle für Versammlungen und Sportveranstaltungen, bekannt und berüchtigt für die Berliner Sechstagerennen, die Goebbels-Rede zum Totalen Krieg und für eine Klopperei beim größten Berliner Rock’Roll Konzert.

    Die BZ titelte 1958:

    King Bill Haley: Blutige Schlacht im Sportpalast
    http://www.bz-berlin.de/artikel-archiv/king-bill-haley-blutige-schlacht-im-sportpalast

    Berlin, 26. 10. 1958 Mit einer blutigen Schlacht endete gestern Abend im Berliner Sportpalast das Konzert des amerikanischen Rock’n‘-Roll-Königs Bill Haley. Blutüberströmte Menschen wankten in den Gängen umher. Mit Knüppeln, Brettern und Stuhlbeinen bewaffnet, zerlegte die aufgepeitschte Menge den Sportpalast.

    1976 wurde der Sportpalast abgerissen, an seiner Stelle eine Kampfzone namens Sozialpalast neben den unkaputtbaren Weltkriegsbunker gestellt und damit der Pallaskiez bis heute geprägt. Im Jahr 2000 wurde der Parkplatz dazu als PallasPark mit CamelCaps begrünt. Nun solls noch hübscher und denkwürdiger werden, als Ausdruck des neuen Hauptstadtbewußtseins soll an die Verbrechen der alten und die Verdienste der noch älteren Hauptstadtzeit erinnert werden, ein Opfer muß her. Wen können wir dafür verwursten, wer kommt diesmal rein ins Gedenkpotpourri?

    Garten der Künste
    http://www.netzwerk-stadtraumkultur.de/index.php/garten-der-kuenste

    Ähnlich dem Vorbild im Prinzessinnen-Garten könnte der „mobile Garten“ aussehen

    In der Endausscheidung von SSDS (Schöneberg sucht das Superopfer): Der Komponist des Sportpalast-Walzers (der mit dem Pfiff, kein Stolperstein) und eine junge Frau (noch unbekannt, aber mit Stolperstein in der Pallasstraße), beide von den Nazis ermordet. Die Jury-Rolle in Noch ist Bohlen nicht verloren übernehmen die Vertreter von SPD, Grünen und CDU. Jeder hat sein Lieblingsopfer und will unbedingt, daß es in die Entausscheidung kommt. Das zetert solange lautstark, bis es ordentlich kracht, bis alle erschöpft sind vom Zerreden in endlosen Rathaussitzung, bis der Kandidat der Fraktion mit dem größten Durchhaltewillen gewinnt. Gute altdeutsche Tradition, dieser Durchhaltewille. So soll es sein.

    Ich finde das würdelos. Schauen sie selber, lieber Leser, seien Sie Jury, muß diese Aufregung sein ? Kann man nicht einfach in Ruhe darüber sprechen, welcher Name die Stadtgeschichte am besten reflektiert, wer bereits mit Gedenkeinrichtung bedacht ist, vielleicht überlegt man noch, ob man hier einen Menschen, der die Stadt vor den Nazis geprägt hat oder lieber eine Unbekannte, die von ihnen ermordet wurde, ehren möchte, oder ob man überhaupt jeden Grasfleck als Stadtplatz widmen muß.

    Merke : Orte, an denen niemand wohnt, und an denen keine Einrichtung residiert, brauchen auch keinen Namen. Die müssen nämlich nicht gefunden werden, da will niemand hin. Und, Berliner verpassen sowieso allen Orten und Bauwerken passende Namen, wenn es sie interessiert. Einfach mal abwarten und dem Volk aufs Maul schauen. Dann findet sich schon der richtige Name fürs Plätzchen.

    Erinnern wir uns der Schicksale von Lilli Borchardt und Siegfried Translateur. Ob die beiden dazu einen unwichtigen Platz brauchen, über lassen wir der BVV.

    Liste der Stolpersteine in Berlin-Schöneberg
    https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_der_Stolpersteine_in_Berlin-Sch%C3%B6neberg

    Lilli Flora Borchardt, Pallasstraße 12, Stolperstein gesetzt am 20. Apr. 2012

    Lilli Flora Borchardt kam am 25. Januar 1926 als Tochter des Woll- und Strickwarenfabrikanten Jacques Borchardt und seiner Frau Franziska geborene Pasmantier in Berlin zur Welt.[98] Sie hatte einen älteren Bruder Helmut Michael, der am 20. Oktober 1922 geboren war und eine jüngere Schwester Irene, geboren am 31. Januar 1929. Die Familie lebte zunächst in Nikolassee, Potsdamer Chaussee 58 Ecke Dreilindenstraße, später in Schöneberg in der Pallasstraße 12. Nach der Machtergreifung durch die Nationalsozialisten durfte Lilli nicht mehr die staatlichen Schulen besuchen, sie ging auf die jüdische Joseph-Lehmann-Schule in der Joachimstaler Straße 13, ab 1939 auf die Holdheimschule in der Nürnberger Straße 66. Im Mai 1939 konnte die jüngste Tochter Irene nach England ausreisen, Lilli sollte im Winter 1939 folgen. Der Ausbruch des Zweiten Weltkrieges vereitelte dies. Die Firma ihres Vaters wurde im Jahr 1939 liquidiert und die Wohnung in der Pallasstraße wurde der Familie gekündigt: sie musste in zwei Zimmer zur Untermiete in die Ebersstraße 18 ziehen. Seit Juni 1942 besuchte Lilli nicht mehr die Schule, sie arbeitete als Erntehelferin in Radinkendorf bei Beeskow. Am 26. Juni 1942 wurde ihr Vater und ihr Bruder nach Minsk deportiert, Lilli und ihre Mutter lebten nunmehr zusammen in einem möblierten Zimmer, bis auch sie beide am 19. Oktober 1942 mit dem 21. Transport nach Riga verschleppt und am 22. Oktober 1942 ermordet wurden.

    Siegfried Translateur
    https://de.wikipedia.org/wiki/Siegfried_Translateur

    Salo Siegfried Translateur (* 19. Juni 1875 in Bad Carlsruhe, Oberschlesien; † 1. März 1944 im Ghetto Theresienstadt) war ein deutscher Komponist, Kapellmeister und Musikverleger.
    ...
    Das wohl bekannteste Werk Translateurs ist der Walzer Wiener Praterleben, den er als 17-jähriger 1892 komponierte und der in den 1920er Jahren durch das Berliner Sechstagerennen als Sportpalastwalzer populär wurde und dies bis heute ist.

    The Johann Strauss Society of Great Britain — Composers — Siegfried Translateur
    http://www.johann-strauss.org.uk/composers-n-z.php?id=191

    He wrote some 200 compositions, only a few of which survive today, including the Viennese waltzes Berlin, mein Berlin, La reine du Bal, Wiener Extrablätter and Wiener Herzen. Many of his compositions were written for piano and were used by various music conservatories as examples of well written compositions of their time. Today he is remembered for one sole composition, still played today: the Wiener Praterleben, or Sportpalast waltz, renamed after the Berlin Sportpalast (Sports Palace) which was torn down in 1976.

    Pallaspark auf Openstreetmaps
    http://www.openstreetmap.org/way/404794534#map=19/52.49521/13.35845

    #Geschichte #Musik #Walzer #Textilindustrie #Nationnalsozialismus #Stolperstein #Juden #Shoa #Holocaust #Riga #Minsk #Theresienstadt #Berlin #Schöneberg #Pallasstraße #Wannsee #Dreilindenstraße #Sportpalast #Nürnberger_Straße #Potsdamer_Chaussee #Joachimstaler_Straße #Ebersstraße

    • Der Wahnsinn geht weiter
      http://www.berliner-zeitung.de/berlin/debatte-um-ehrung-von-siegfried-translateur-geraet-zur-posse-238827


      Unter dem Titel Debatte um Ehrung von Siegfried Translateur gerät zur Posse berichtet die Berliner Zeitung von gestern darüber, wie sich Politiker ins Zeug legen:

      Diesen in Vergessenheit geratenen Schöpfer dieses Stückes Musik-, Sport-, ja auch Widerstandsgeschichte wollte nun eine Initiative von Musikern und Historikern ehren. Die CDU nahm sich der Idee an. An der Pallasstraße in Schöneberg, wo der Sportpalast bis zu seinem Abriss 1973 stand und jetzt der sogenannte Sozialpalast steht, sollte erst eine kleine Grünfläche, schließlich ein breiterer Abschnitt der Straße als Translateur-Platz nach dem Musiker benannt werden. Seit zwei Jahren ringt die CDU nun schon um eine Würdigung Translateurs am historischen Ort. Da kam es auf den einen Kompromiss mehr oder weniger schon auch nicht mehr an.

      Nun war aber Siegfried Translateur ein Mann. Und in Tempelhof-Schöneberg gibt es, wie in anderen Bezirken auch, einen BVV-Beschluss, wonach bei Neubenennungen von Straßen und Plätzen Frauen zu bevorzugen seien. Also machte sich die Rot-Grün auf die Suche – und fand Lilli Flora Borchardt, ein Mädchen, das zu NS-Zeiten mit ihrer jüdischen Familie in der Pallasstraße gelebt hat, ehe es 1942 im Alter von 16 Jahren im Konzentrationslager Riga ermordet wurde. Nach ihr solle nun die Grünfläche hinter dem Sozialpalast benannt werden. Damit werde auch der so oft vernachlässigten Opfergruppe der Kinder und Jugendlichen Rechnung getragen, hieß es. Der CDU-Antrag wurde abgelehnt.

      Alle berichten das Gleiche: Aufgewogen werden Mädchen gegen Komponisten. Wir rechnen noch einmal: Lilli Flora war 16 Jahre alt, als sie ermordet wurde. Die junge Frau in diesem Alter noch als Mädchen zu bezeichnen, kann nur alten Jungfern einfallen, denen die Jugendzeit entfallen ist. Und der Sportpalastwalzer war nun wirklich nicht vergessen, nur die Neuberliner kannten ihn vor dem Lillitranslateurpallasparkquatsch nocht nicht. Jetzt issa ooch ihm jeläufich.

      Wieviele Neu- und Nichtberliner sitzen eigentlich in der Redaktion der Berliner Zeitung ?

      P.S. Jetzt wird es wohl eine ersatzweise Wahnsinnsstele für den wahren Walzerschöpfer. Ooch jut. Oda ooch nich. Wat sollt.

      #WTF

    • Anfang 2022 gibt es den #Lilli-Flora-Park wirklich.
      https://www.openstreetmap.org/way/404794534
      Brav dokumentiert ist er in der deutschsprachigen Wikipedia, ohne eigenen Eintrag zwar, aufgeführt jedoch mit Größenangabe (0,1 Hektar) , ehemaliger Bezeichnung (Pallaspark, davor janz inoffiziell Parkplatz, wo icke manchmal jeparkt habe ), Bezirk (Tempelhof-Schöneberg) und Ortsteil = ehemaliger Westberliner Bezirk (Schöneberg). Nicht erfasst wurde hier oder im Kaupert das genau Datum der Widmung. Das erledigt Chronistin Karen Noetzel im Käseblatt „Berliner Woche“ am 24.2.2017.

      Umbenennung des Pallasparks in Lilli-Flora-Park ist offiziell
      https://www.berliner-woche.de/schoeneberg/c-kultur/umbenennung-des-pallasparks-in-lilli-flora-park-ist-offiziell_a119330

      Wie die Dezernentin für Straßen- und Grünflächen, Christiane Heiß (Bündnisgrüne), jetzt mitgeteilt hat, ist die Benennung des Parks nach dem jüdischen Mädchen im Amtsblatt für Berlin, Nr. 44 vom 14. Oktober 2016 bekanntgemacht worden. Zu einem feierlichen Akt will Christiane Heiß rechtzeitig einladen.

      So janz vollständig hattet aba nich jeklappt mitta Ehrung, der Familinname is euch runtajefalln, Borchardt wart und der Park hätte denn ruhich Lilli-Flora-Borchardt-Park heißen können. Ihr seid so geizig mitte Buchstaben, ihr Affen.

      Zur Ehrenrettung des #Kaupert muss noch gesagt werden, dass er den Park mit Adresse nennt und biographische sowie Angaben zum Stolperstein ergänzt.
      https://berlin.kauperts.de/eintrag/Lilli-Flora-Park-Pallasstrasse-10781-Berlin
      Auch für den Kaupert ist die Sechzehnjährige ein „Mädchen“.

      Pallasstraße, 10781 Berlin, Der Park wurde nach dem jüdischen Mädchen Lilli Flora Borchardt genannt, die am 25.01.1926 geboren wurde. Am 19.10.1942 wurde sie von den Nationalsozialisten nach Riga deportiert, wo sie kurz danach, am 22.10.1942, ermordet wurde.
      Vor ihrem Wohnhaus in der Pallasstraße 12 bedindet sich zu ihrem Gedenken außerdem ein Stolperstein.

      Und natürlich ist es eine gute Sache, wenn nicht nur die promineten Opfer geehrt werden Im Video spricht eine Nichte von Lilli Flora Borchard.

      https://www.youtube.com/watch?v=iXkTEYFM6lU

      Die Benennung des Lilli-Flora-Parks in der Pallasstraße in Berlin Schöneberg. Lilli Flora Borchard wohnte in der Pallasstraße 12 und wurde 1942 im Alter von 16 Jahren nach Riga deprortiert und ermordet.
      Zu der Benennung vor extra die Tochter von Lilli Floras Schwester, die den Holocaust überlebte, aus Israel Nach Berlin gekommen.

      P.S. Der Pallaspark liegt heute in einer kleinen schottischen Gemeinde, Teil von Tullamore, wo der Whiskey herkommt.
      https://www.openstreetmap.org/relation/4169778#map=8/53.227/-7.603

    • Transports to Extinction: Holocaust (Shoah) Deportation Database
      https://deportation.yadvashem.org/index.html?language=en&itemId=5092668&ind=-1

      In Schirotawa we were brutally beaten by German and Latvian SS guards while exiting the cars. Then women with children were immediately separated from the men and taken away in buses.

      https://de.wikipedia.org/wiki/Riga

      Heinz Krause - deported from Berlin to Riga on 19.10.1942
      https://www.youtube.com/watch?v=N5mD-ks4uUs

  • Liliane Bettencourt, héritière de L’Oréal, est tellement riche qu’il lui faudrait 102 ans pour dépenser sa fortune, à raison d’un million de dollars par jour.
    https://coutoentrelesdents.noblogs.org/post/2014/10/30/liliane-bettencourt-heritiere-de-loreal-est-tellement-ri

     CLICK L’IMAGE POUR LIRE L’ARTICLE EN ENTIER SUR LE PARISIEN

    #CAPITALISME #LUTTES #bourgeoisie #capitalisme #inégalité #l'oreal #lilliane_bettencourt #luttes_de_classes #misère #pauvreté #prolétariat #richesses

  • Liliane Bettencourt, héritière de L’Oréal, est tellement riche qu’il lui faudrait 102 ans pour dépenser sa fortune, à raison d’un million de dollars par jour.
    http://coutoentrelesdents.noblogs.org/post/2014/10/30/liliane-bettencourt-heritiere-de-loreal-est-tellement-ri

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    #CAPITALISME #LUTTES #bourgeoisie #capitalisme #inégalité #l'oreal #lilliane_bettencourt #luttes_de_classes #misère #pauvreté #prolétariat #richesses