se demande pourquoi dans la thébaïde les rat·e·s ne bouffent que les fils électriques BRANCHÉS et comment iels font pour ne pas s’électrocuter. Serait-ce l’électricité elle-même, et non le plastique ou le cuivre, qui a du goût ? Elle n’ose essayer.
Décidément, plus la Garreau observe le comportement des autres espèces animales végétales et minérales qui gravitent autour d’elle, plus elle se rend compte qu’elle leur est inférieure, moins elle a de certitudes et moins elle comprend quoi que ce soit.
C’était la minute zoologico-scientifique, à vous les studios.