person:édouard drumont

  • Le scandale de Panama (1889) ? Voyez Poutine
    http://www.dedefensa.org/article/le-scandale-de-panama-1889-voyez-poutine

    Le scandale de Panama (1889) ? Voyez Poutine

    5 avril 2016 – Bien, je prends la plume et je vais en parler, moi, parce que, sur dedefensa.org, je les trouve bien silencieux... Panamagate, – décidément je préfère cette expression à Panama Papers, qui fait un peu trop sérieux, – des tonnes de documents communiqués ; livrés à notre vertu par l’Ange déchu-et-rattrapé, grâce à son Open Society, tout de même ! C’est du lourd, du sérieux, du crédible, du vertueux, non ?

    Si j’étais un petit peu retors, pervers, ambigu et subverti, sinon inverti (dans le sens du Système, hein), je vous mettrais en simple copié-collé le “scandale de Panama” tel qu’il se produisit selon notre Wiki manipulable à souhait, entre 1889 et 1893, où l’on vous parle d’Édouard Drumont, d’Émile Loubet, de Gustave Eiffel, de Ferdinand de Lesseps, du (...)

  • Ancienneté d’une stratégie antisémite : la libre parole.

    En avril 1886, un obscur journaliste, Édouard Drumont, publie un ouvrage intitulé La France juive, véritable brûlot antisémite. L’ouvrage connaît un succès considérable. On ne cessera de le rééditer. Celui qu’on va désormais appeler le « pape de l’antisémitisme » crée un quotidien, La Libre Parole, qui sera à l’avant-garde de toutes les campagnes antisémites. Inconnu de la plupart des Français, cet homme a joué un rôle majeur dans la formation d’une pensée xénophobe, raciste et antisémite. Le maréchal Pétain s’est toujours réclamé de sa pensée.

    Présentation d’un docu-fiction « Drumont, histoire d’un antisémite français » qui doit être diffusé le 19 mars sur une chaîne de télévision « publique ».

    • A cette stratégie, s’ajoute celle du renversement asymétrique. Les révisionnistes vivrait actuellement une « épuration », de même que les identitaire s’affirme « colonisé »...

      Un livre assez horrible :

      La police de la pensée contre le révisionnisme.
      " Du jugement de Nuremberg à la loi Fabius-Gayssot "
      Auteur : Eric Delcroix

      Le lien de téléchargement :
      http://www.mediafire.com/?yfl39l71sf2vq38

      Quatrième de couverture :

      Nous vivons une seconde Épuration.
      En France, tandis que le « collabo » se trouve à nouveau pourchassé, toute velléité de résistance aux idées en cours sur « les droits de l’homme » et « la Mémoire » (sélective) est dénoncée par les médias et les ligues, condamnée par des lois spéciales et durement sanctionnée par les juges. La police de la pensée est à
      la fête. Sa cible d’élection : le révisionnisme historique.
      En 1986, Pierre Vidal-Naquet, Serge Klarsfeld et François Bédarida, réunis autour du grand rabbin René-Samuel Sirat, préconisent une loi spéciale contre le révisionnisme. Ce sera, en 1990, la loi Fabius-Gayssot. Depuis la publication de cette loi, aucun chercheur, aucun historien, aucun savant ne peut plus contester le jugement de Nuremberg. Ce qu’en 1946 les juges de Nuremberg, au terme
      d’une mascarade judiciaire, avaient énoncé - sans le prouver - sur la « politique d’extermination des Juifs », sur les « chambres à gaz » homicides et sur les « six millions » est soudain devenu en 1990 une vérité historique définitivement intouchable !
      Peine perdue. En France comme à l’étranger, le révisionnisme se développe. Certains pensent qu’il faut persister à censurer, châtier, réprimer. D’autres estiment qu’il faut servir le droit, la liberté, ainsi qu’une mémoire non sélective.
      Pour ces derniers, la France doit en finir avec les horreurs de l’Épuration, les mensonges de Nuremberg et l’esprit de guerre civile.
      Le dogme légal né de la loi Fabius-Gayssot constitue une impudente innovation où s’annonce peut-être le crépuscule du droit.
      Éric Delcroix est né en Normandie en 1944. Avocat au barreau de Paris, il s’est acquis une notoriété dans l’étude des infractions de presse. Ses courageuses prises de position en faveur de la liberté d’expression l’ont amené à devenir le conseil d’un certain nombre d’organes de presse et à présenter, devant les tribunaux, dans des conditions parfois périlleuses, la défense de nombreux révisionnistes, à commencer, dès 1979, par celle du professeur Faurisson.