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  • Une confrontation Israël/Hezbollah, inévitable en Syrie ? - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/preview
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    Les soldats israéliens évacuent l’un des leurs, blessé près des frontières avec le Liban, le 28 janvier 2015 ©Al-Arabiya #Liban
    Le Hezbollah sort renforcé de la guerre en Syrie, ce qui rend « inévitable » une confrontation militaire avec ce mouvement, affirment les stratèges israéliens. 

    Amos Yadlin (Photo d’illustration)
    Ce point de vue est celui du général Amos Yadlin, ancien chef du renseignement de l’armée israélienne et qui dirige actuellement le think tank « Sécurité intérieure ». Il écrit :" Aussi bien le Hamas sur nos frontières sud que le Hezbollah sur nos frontières nord ont les qualités de vrais États. Et ce sont des États qui n’ont pas renoncé à leur hostilité envers Israël. Ils continuent à croire à la force armée pour détruire Israël", affirme Yadlin cité par le site israélien Arutz Sheva qui ajoute :" Ce sont en effet les missiles et les armements du Hezbollah qui constituent les ressorts de sa puissance et Israël fait tout pour empêcher que cet arsenal grossisse." 

    Pour Yadlin, " le front nord (Hezbollah) est « plus solide » que le front sud (Hamas) dans la mesure où « les deux ennemis jurés ont la capacité de prévoir leurs agissements mutuels et d’éviter un embrasement imprévu. » 

    « Cela dit sur le front qui nous oppose au Hamas, il existe une sorte de friction constante qui se manifeste à travers la restriction à la circulation, le blocus maritime, ou encore notre refus d’autoriser la reconstruction de Gaza. » 

    Selon Yadlin, le front sud implique de multiples acteurs, ce qui complexifie la donne. Certains de ces acteurs tirent des missiles en direction d’Israël pas vraiment pour s’opposer à Israël, mais pour ennuyer le Hamas. L’ensemble de ces caractéristiques invite donc les dirigeants militaires et politiques israéliens à se poser les questions suivantes en prévision d’une guerre qui semble inévitable : 

    1- Quels seront les objectifs stratégiques d’Israël en cas de guerre ? Le fait d’attaquer les infrastructures de l’adversaire suffira-t-il pour que ces objectifs soient atteints ? 

    2- Comment les acteurs régionaux et internationaux réagiront-ils à cette guerre et à l’engagement israélien ? En réaction, vont-ils décider de sanctionner Israël voire de le combattre ou se contenteront-ils de le menacer ? 

    3- Quel est le moment opportun pour déclencher cette offensive et quelles sont les informations dont dispose Israël sur les finalités et les intentions de son adversaire ? Faut-il se préparer à une occupation ou à une présence militaire provisoire ? 

    4- Et la société israélienne, comment devra-t-elle se préparer à la guerre et y a-t-il oui ou non le risque pour que plusieurs fronts soient ouverts dans le même temps ? 

    L’auteur reconnaît à la fin que les « guerres déjà menées contre le Hamas et le Hezbollah n’ont pas vraiment été bien préparées : » pour tout dire en un seul mot, la guerre à venir sera bien différente de tout ce que nous avons pu vivre jusqu’à présent. Cette guerre-là devra être bien préparée, c’est-à-dire avec sérieux et de manière logique et non passionnelle ". 

    Source : http://presstv.com

  • Russie, Israël et Syrie : une vérité qui dérange | Middle East Eye
    http://www.middleeasteye.net/fr/opinions/russie-isra-l-et-syrie-une-v-rit-qui-d-range-172832992

    Tout au long du conflit syrien, le régime et ses partisans ont tenté de présenter l’opposition à la révolution comme synonyme d’opposition à Israël. Les objectifs de cette campagne de propagande consistent à s’attirer un soutien, à saper l’insurrection et à contrecarrer la répulsion généralisée dans la région face à la brutalité du régime syrien et au soutien militaire direct qu’il reçoit de ses alliés étrangers (principalement l’Iran, la Russie et le Hezbollah libanais).

    Ces efforts ont subi un revers lorsque le Hamas – la composante palestinienne de « l’axe de la résistance », qui comprend le Hezbollah, Damas et Téhéran – a publiquement approuvé la révolution, saluant « le peuple héroïque de Syrie qui lutte pour la liberté, la démocratie et la réforme ».

    Le soutien de la Russie au président syrien Bachar al-Assad a affaibli davantage les références anti-israéliennes de son camp. L’implication militaire directe de Moscou en Syrie – via la mise en place de bases, l’envoi de troupes et les frappes aériennes – aurait sauvé un régime qui, cet été, semblait proche de l’effondrement. Au départ, celle-ci a été dépeinte par les partisans d’Assad et les Israéliens comme une menace potentielle pour les ambitions et la marge de manœuvre d’Israël en Syrie.

    Toutefois, la participation directe de la Russie a permis de mettre en évidence ses liens de plus en plus étroits avec Israël. Cette solide relation est minimisée par Israël afin de ne pas contrarier les États-Unis, par la Russie pour ne pas aliéner Damas et Téhéran, et complètement ignorée par l’« axe de la résistance » – sans le Hamas maintenant – de manière à éviter tout embarras.

    • Présentation de l’auteuren bas de l’article : « - Sharif Nashashibi est un journaliste et analyste primé spécialiste des affaires arabes. Il collabore régulièrement avec Al-Arabiya News, Al-Jazeera English, The National et The Middle East Magazine. »

      Ma traduction un peu brutale : ce monsieur est un propagandiste pour la presse du Golfe.

    • Juste sur le passage que tu as choisi, mes commentaires...
      "Tout au long du conflit syrien, le régime et ses partisans ont tenté de présenter l’opposition à la révolution comme synonyme d’opposition à Israël."
      Cette question est loin d’avoir été centrale même si elle a été présente. En faire le coeur de la question n’est pas vraiment objectif.
      "Les objectifs de cette campagne de propagande consistent à s’attirer un soutien, à saper l’insurrection et à contrecarrer la répulsion généralisée dans la région face à la brutalité du régime syrien et au soutien militaire direct qu’il reçoit de ses alliés étrangers (principalement l’Iran, la Russie et le Hezbollah libanais)."
      Je passe sur le vocabulaire (propagande) et note simplement l’écrasement des temporalités (du début - l’utilisation du conflit palestinien,un peu présent mais vite oublié - à la fin : l’entrée des Russes dans le jeu)... Mettre tout cela dans le même sac n’est guèresérieux, ce conflit, et les discours qui l’accompagnent, onteu plusieurs phases. Côté propagande, je note la construction de la phrase laisse en tendre qu’il y a répulsion dans la région face à l’entrée des Russes (contre-vérité manifeste) et même vis-à-vis de celle du Hezbollah (discutable).

      "Ces efforts ont subi un revers lorsque le Hamas – la composante palestinienne de « l’axe de la résistance », qui comprend le Hezbollah, Damas et Téhéran – a publiquement approuvé la révolution, saluant « le peuple héroïque de Syrie qui lutte pour la liberté, la démocratie et la réforme ».
      Pas la moindre mention, pourtant évidente, du fait que le Hamas a étonné tout le monde en prenant cette position et que bien des observateurs modérés ont considéré qu’elle était liée à la politique du Qatar (et à ses gros chèques) dans la bande de Gaza...

      Le soutien de la Russie au président syrien Bachar al-Assad a affaibli davantage les références anti-israéliennes de son camp. L’implication militaire directe de Moscou en Syrie – via la mise en place de bases, l’envoi de troupes et les frappes aériennes – aurait sauvé un régime qui, cet été, semblait proche de l’effondrement. Au départ, celle-ci a été dépeinte par les partisans d’Assad et les Israéliens comme une menace potentielle pour les ambitions et la marge de manœuvre d’Israël en Syrie.

      Toutefois, la participation directe de la Russie a permis de mettre en évidence ses liens de plus en plus étroits avec Israël. Cette solide relation est minimisée par Israël afin de ne pas contrarier les États-Unis, par la Russie pour ne pas aliéner Damas et Téhéran, et complètement ignorée par l’« axe de la résistance » – sans le Hamas maintenant – de manière à éviter tout embarras.

      Ne présenter la Russie qu’en faisant référence à ses liens étroits avec Israël est un peu grotesque. Qu’attendre d’autre d’une puissance mondiale dont une partie dela population a émigré en Israël ? Aucun mot sur le fait, avéré, qu’Israël soigne les mercenaires de la révolution infiltrés via le Golan : ce fait, en suivant la même logique, devrait conduire l’auteur à discréditer totalement la révolution syrienne ! Et comme on sait que ces soins sont payés par des pays du Golfe (le Qatar très probablement), c’est toute la "logique" de l’article qui pourrait être retournée contre son auteur.

      Le reste, malheureusement, est à l’avenant. Défendre ce qu’il reste de la révolution syrienne, ce n’est pas avec cette médiocra propagande qu’on y arrivera...

  • أسطول احتل بيروت وساهم بإسقاط 3 رؤساء عرب يتربص بالأسد - العربية.نت | الصفحة الرئيسية
    http://www.alarabiya.net/ar/arab-and-world/syria/2013/08/26/أسطول-احتل-بيروت-وساهم-باسقاط-3-رؤساء-عرب-يتربص-بالأسد-.html

    أسطول احتل بيروت وساهم بإسقاط 3 رؤساء عرب يتربص بالأسد
    تدخل في لبنان وليبيا ومصر والعراق وصواريخه برأس زنته نصف طن متفجرات

    La flotte qui a occupé Beyrouth [en 56] et qui a contribué à faire tomber trois chefs d’Etat arabes s’apprête à partir à la chasse de Bachar

    On se pince pour y croire mais c’est bien le titre, sans la moindre ironie, imaginé par la très saoudienne Al-Arabiya pour cet article à la gloire des armes US !

  • TRAVAUX PRATIQUES – La chasse au #drone bientôt enseignée dans les #écoles iraniennes ?

    Les écoliers iraniens suivront-ils, à la rentrée de septembre, des #classes de #chasse_au_drone ? C’est ce qu’aurait suggéré le général Ali Fazli, qui commande les Bassidjis, une branche de miliciens appartenant aux #Gardiens_de_la_révolution, d’après un article de la chaîne d’information saoudienne Al-Arabiya. Il s’agirait d’une petite nouveauté dans le programme consacré à la « préparation à la #défense_civile », à laquelle s’adonneront #écoliers et #lycéens pendant deux à trois heures par semaine.

    Le site australien News.com, qui rapporte la même information tirée du quotidien iranien Etemaad, précise que ce cours enseignera « comment #pister et #abattre un drone en piratant ses #systèmes_informatiques ». L’#Iran n’a pas attendu la rentrée des classes pour faire la #guerre aux drones américains qui sillonnent la région, notamment du fait des tensions causées par le programme nucléaire iranien, soupçonné de comporter un volet militaire.

    En novembre dernier, deux avions de combat avaient ainsi ouvert le feu sur un drone américain au-dessus du Golfe, sans le toucher. Plus tôt, en 2012, un haut responsable militaire iranien affirmait que son pays avait réussi à percer les secrets du drone espion furtif américain RQ-170 Sentinel, capturé alors qu’il avait pénétré son espace aérien en mission d’espionnage des sites nucléaires. Des déclarations accueillies avec scepticisme du côté des Etats-Unis. Un fabriquant de jouet en avait en tout cas lancé une copie en plastique, et prévoyait d’en envoyer un exemplaire (rose) à Barack Obama.

    http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/08/19/travaux-pratiques-la-chasse-aux-drones-bientot-enseignee-dan