en fait Fourchambault, c’est pour l’entreprise qui a construit le pont : Commentry-Fourchambault : ▻https://structurae.info/ouvrages/pont-du-general-de-la-motte-rouge
La belle figure plutôt l’Erdre, qu’elle surplombe, rivière « endormie » par un ouvrage de comblement, en même temps que la Loire, un peu plus bas et créant ainsi artificiellement le cours des 50 Otages en s’engouffrant sous les cours Saint André et Saint Pierre. Il en un « vaguement » question dans quelques belles lettres illustres : ▻https://encrypted.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=7&ved=0ahUKEwiKn86WmcnOAhUL ’désolée, c’est un lien tout moche qui ouvre un fichier pdf, je n’ai pas reussi à le copier autrement)
Ce qui est malicieux, c’est qu’avant la réfection récente du pont, les mains se baladaient allègrement sur la poitrine de la belle, ceci de chaque côté du pont où elle figure ▻http://jluk.photoshelter.com/image/I00003yofthoYxpI bien que la marée chaussée soit logée juste au bout du pont, dans le comico Waldeck Rousseau !
En fait pour trouver la femme, LES femmes !, il faut revenir aux origines de la chaussée de Barbin. Je ne retrouve plus la page mais il est de notoriété publique que ce très très vieux quartier de Nantes, l’ex village Barbin où je réside, s’activaient les lavandières de Nantes, qui pour certaines, arrondissaient leur semaine avec quelques passes au creux des ruelles pauvres et insalubres... Je ne résiste pas au plaisir de vous confier cette page, qui, au détour d’une recherche capillotractée des traces de Gargantua, donne une image assez complète de la fondation sur laquelle se base (et rase) ce pont militaire : ►http://www.mythofrancaise.asso.fr/mythes/lieux/NAgargar.htm