Let down by U.S., Syrian Kurdish leaders look to Russia and Assad | Reuters
▻https://www.reuters.com/article/us-mideast-crisis-syria-kurds-idUSKCN1OQ18E
L’armée syrienne se déploie aux abords de Manbij à l’appel des Kurdes
▻https://www.france24.com/fr/20181228-syrie-armee-syrienne-manbij-kurdes-ypg-ei-turquie-al-assad-erdoga
Syrie : des missiles israéliens ciblent l’aéroport de Damas - Moyen-Orient
RFI - Publié le 16-09-2018
▻http://www.rfi.fr/moyen-orient/20180916-syrie-missiles-israeliens-ciblent-aeroport-damas
Des missiles israéliens ont visé samedi 15 septembre l’aéroport international de Damas, déclenchant une réponse de la défense aérienne syrienne.
Avec notre correspondant à Beyrouth, Paul Khalifeh
Les explosions dues aux missiles tirés par les avions sur l’aéroport international de Damas ont été entendues dans toute la capitale. La défense antiaérienne syrienne est entrée en action et un communiqué militaire a affirmé que plusieurs projectiles ont été abattus. Aucun bilan n’a été fourni, mais un site généralement bien informé, Al-Masdar News, a rapporté que certains missiles avaient atteint leurs cibles. (...)
Syrie : l’armée déployée sur la ligne de démarcation avec le Golan - Moyen-Orient
Avec notre correspondant à Beyrouth, Paul Khalifeh - RFI - Publié le 30-07-2018 Modifié le 30-07-2018 à 23:42
▻http://www.rfi.fr/moyen-orient/20180730-syrie-armee-deployee-ligne-demarcation-golan
L’armée syrienne a annoncé avoir repris le contrôle de la totalité de la ligne de démarcation avec les forces israéliennes sur le plateau du Golan. Le régime contrôle désormais tout le sud-ouest syrien.
L’armée syrienne s’est redéployée sur l’ensemble de la ligne de démarcation avec le Golan occupé par Israël depuis 1967, allant de la frontière avec le Liban, à l’ouest, à la Jordanie, au sud.
Cette ligne était contrôlée, depuis 2012, par des mouvements rebelles et une brigade extrémiste appelée l’Armée Khalid Ibn al-Walid, qui a prêté allégeance au groupe Etat islamique.
Dans un premier temps, l’armée syrienne a repris toutes les régions qui étaient aux mains des rebelles dans les provinces de Daraa, frontalière de la Jordanie, et de Quneitra, au nord du Golan. Puis les troupes gouvernementales se sont attaquées à une enclave de 250 kilomètres carrés dans le bassin du Yarmouk, limitrophes du Golan, et contrôlée par les jihadistes.
Ce lundi, l’armée syrienne a repris les dernières positions de la brigade affiliée au groupe Etat islamique, ce qui lui a permis d’arriver jusqu’à la clôture de sécurité installée par les Israéliens sur le plateau stratégique.
Avec cette nouvelle victoire, l’armée syrienne contrôle désormais l’ensemble du sud-ouest syrien. Seuls la province d’Idleb, au nord-ouest, une partie de la voisine limitrophe d’Alep, et l’est du pays, aux mains des Kurdes, lui échappent encore.
Suite à l’épisode Hariri, Riyad tente un comeback politique au #Liban | Middle East Eye
▻http://www.middleeasteye.net/fr/opinions/suite-l-pisode-hariri-riyad-tente-un-comeback-politique-au-liban-1299
Par Paul Khalifeh
Mais le signal le plus significatif plaidant pour la thèse des ingérences saoudiennes est la démission surprise du chef du cabinet de Saad Hariri, son cousin Nader Hariri. Artisan du rapprochement entre le Premier ministre et Michel Aoun, qui a permis au second d’être élu président de la République et au premier de revenir à la tête du gouvernement, Nader Hariri n’était pas apprécié par l’entourage de MBS.
Le Premier ministre a également écarté une autre personnalité qui ne jouit pas des faveurs de Riyad : son ministre de l’Intérieur, Nouhad Machnouk, pourtant proche de lui. Hariri a dû recourir à un subterfuge pour se débarrasser de cet encombrant partisan, en décidant d’interdire le cumul entre la députation et le ministère.
« Hariri a cédé aux pressions saoudiennes en éloignant de son premier cercle ceux que Riyad n’aime pas », estime Sarkis Abi Zeid.
Autre signal inquiétant pour ceux qui craignent le retour de l’Arabie au Liban, la visite de Saad Hariri à Riyad, trois jours seulement après avoir été reconduit à la tête du gouvernement. Son séjour, entouré du plus grand secret, a duré cinq jours et peu de détails ont filtré à la presse sur ses rencontres et la teneur des entretiens qu’il a eus dans la capitale saoudienne.
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Sarkis Abi Zeid pense, lui, que l’objectif des Saoudiens n’est pas d’empêcher la nomination de ministres du Hezbollah – un but qu’il juge impossible à réaliser. « Ils veulent préserver, au sein de l’exécutif, la présence des FL, qui sont leur plus solide allié au stade actuel », estime l’analyste.
Écarter le Hezbollah ou protéger les Forces libanaises, il s’agit dans les deux cas d’une ingérence qui marque le retour de l’#Arabie_saoudite au Liban, dans un contexte de montée des tensions régionales avec l’Iran et de recrudescence de l’activité militaire israélienne en Syrie.
Législatives libanaises : la victoire des antagonismes
Middle East Eye | Paul Khalifeh | 7 mai 2018
▻http://www.middleeasteye.net/fr/opinions/l-gislatives-libanaises-la-victoire-des-antagonismes-1903974049
Les élections de ce dimanche n’ont pas manqué de surprises avec la désaffection inattendue des électeurs, le recul du Premier ministre Saad Hariri et la victoire de forces antagonistes : le tandem Hezbollah-Amal pro-iranien et les Forces libanaises proches de l’Arabie saoudite
Hydrocarbures : colère des dirigeants libanais contre l’Israélien Lieberman
Par RFI Publié le 01-02-2018 | Avec notre correspondant à Beyrouth, Paul Khalifeh
▻http://www.rfi.fr/moyen-orient/20180201-hydrocarbures-colere-dirigeants-libanais-contre-israelien-lieberman
Les propos du ministre israélien de la Défense Avigdor Lieberman, selon lequel l’attribution par le Liban de licences d’exploration et de production d’hydrocarbures offshore, notamment à la frontière avec Israël, étaient une « provocation », ont suscité mercredi un tollé des responsables libanais et du Hezbollah.
Riyad affaiblit les sunnites du Liban
Paul Khalifeh | 13 novembre 2017
▻http://www.middleeasteye.net/fr/opinions/riyad-affaiblit-les-sunnites-du-liban-1159555826
(...)L’apparition dimanche soir du Premier ministre dans une interview diffusée en direct par la FTV libanaise (qui lui appartient) a rassuré ses partisans, qui ont laissé éclater leur joie dans certains quartiers de Beyrouth et d’autres villes à majorité sunnite du pays. Soumises à de fortes pressions internationales, les autorités saoudiennes ont donné leur feu vert pour cette interview afin de démentir les informations sur son assignation à résidence surveillée.
Toutefois, cette opération de communication a conforté une majorité de Libanais dans l’idée que leur Premier ministre se trouve, dans le meilleur des cas, dans une situation « anormale » en Arabie saoudite. Saad Hariri avait les traits tirés, le teint blafard, le verbe hésitant. Accroché à son verre, il n’a pas pu retenir une larme. Pour un homme libre de ses mouvements, il offrait une bien triste image.(...)
Le chef des rebelles syriens Zahran Aloush aurait été tué dans des frappes aériennes en Syrie —
25 déc. 2015
▻https://francais.rt.com/international/12725-chef-rebelles-syriens-zahran-aloush-tue
Zahran Alloush, chef du groupe djihadiste Jaish al-Islam, opérant dans la banlieue de Damas, aurait été tué dans un raid aérien, selon des sources locales a déclaré à Reuters vendredi.
Le raid aérien a visé le siège de Jaish al-Islam (’Brigade de l’islam’), une coalition formée de différents groupes extrémistes de lutte contre les forces du gouvernement syrien .
Deux sources rebelles ont confirmé à Reuters que le raid aérien avait tué Alloush. Bien que selon leurs allégations, l’attaque aurait été menée par « des avions russes », l’information n’a pas été confirmée.
Jaish al-Islam est une coalition d’unités islamistes et salafistes dont le siège principalement se situe dans les quartiers de Damas de Ghouta.
Bien qu’il ne fasse pas partie de l’Armée syrienne libre, un grand groupe de coordination d’unités de lutte contre les forces fidèles au président Bachar el-Assad, la coalition a pris part à la conférence organisée par l’Arabie saoudite au début du mois de décembre pour essayer de convenir d’une position commune pour négocier avec le gouvernement syrien actuel.
Certains critiques ont accusé Jaish al-Islam d’utiliser les mêmes méthodes que les combattants de l’Etat islamique, y compris des exécutions publiques de prisonniers.
Zahran Alloush avait quant à lui appelé sur Youtube à l’extermination des chiites et des alaouites, le groupe religieux dont fait partie le président Assad.
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Zahran Alloush : His Ideology and Beliefs
Posted by Joshua on Sunday, December 15th, 2013
►http://www.joshualandis.com/blog/zahran-alloush
Syrie : le régime élimine Zahrane Allouche, chef islamiste rebelle
Par RFI Publié le 26-12-2015 | Paul Khalifeh
▻http://www.rfi.fr/moyen-orient/20151226-syrie-armee-regime-elimine-allouche-chef-islamiste-rebelle
En plus de Zahrane Allouche, âgé de 44 ans, Abdel Nasser Chmeir, un capitaine dissident de l’armée, chef de Faylaq al-Rahman, et une quinzaine d’autres commandants ont trouvé la mort.
L’Armée de l’islam a annoncé, vendredi soir, la nomination d’Abou Hammam Bouyadani pour succéder à son fondateur. Mais les analystes prévoient l’éclatement de ce groupe composé à l’origine d’une soixantaine de brigades islamistes, et dont la cohésion tenait beaucoup à la personnalité fédératrice de Zahrane Allouche.
Le Hezbollah combat le groupe EI à la frontière syro-libanaise - Moyen-Orient - RFI
►http://www.rfi.fr/moyen-orient/20150610-syrie-liban-ei-etat-islamique-nasrallah-hezbollah
Le secrétaire général du Hezbollah libanais Hassan Nasrallah a déclaré, mercredi 10 juin, que la bataille contre le groupe État islamique dans le Qalamoun syrien et la chaîne montagneuse de l’Anti-Liban a commencé. Cette annonce intervient alors que les troupes du Hezbollah combattent depuis près d’un mois les jihadistes du Front al-Nosra, la branche syrienne d’Al-Qaïda, dans la même région.
Avec notre correspondant à Beyrouth, Paul Khalifeh
La bataille fait rage depuis quatre semaines déjà dans le Qalamoun syrien et l’Anti-Liban, à la frontière libano-syrienne. Le Hezbollah déploie des milliers de combattants, dont des centaines de soldats d’élite, face à des milliers de jihadistes, et utilise des armes sophistiquées, y compris des drones d’attaque.
L’offensive lancée début mai par le Hezbollah a visé les fiefs du Front al-Nosra, la branche syrienne d’Al-Qaïda, dans cette zone montagneuse difficile d’accès. Après de violents affrontements, les combattants libanais ont repris quelque 500 kilomètres carrés aux jihadistes, qui ne contrôlent plus qu’un petit territoire autour de la localité sunnite libanaise de Ersal.
Conscient qu’il serait la prochaine cible, le groupe Etat islamique a lancé mardi une attaque surprise à partir du Nord du Qalamoun, qui est sous son contrôle. L’offensive a été stoppée par le Hezbollah et l’armée libanaise, déployée autour des villages chrétiens de Ras Baalbaak et Qaa, dans la région.
La chaîne de télévision du Hezbollah al-Manar a montré les corps d’une douzaine de jihadistes et d’importantes quantités d’armes saisies. Le parti chiite a perdu au moins six hommes dans ces affrontements. Preuve du sérieux de cette bataille, les Etats-Unis ont livré, ce mercredi 10 juin, à l’armée libanaise, 200 missiles antichars et des lanceurs, pour affronter les jihadistes.
Syrie : la coalition frappe l’EI au profit des rebelles et d’al-Qaïda - Moyen-Orient - RFI
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▻http://scd.rfi.fr/sites/filesrfi/imagecache/rfi_16x9_1024_578/sites/images.rfi.fr/files/aef_image/2015-06-06T192008Z_1414591695_GF10000119201_RTRMADP_3_MIDEAST-CRISIS-SYRIA_0
Pour la première fois depuis le début des frappes internationales contre le groupe Etat islamique en Syrie, en septembre 2014, un avion de la coalition dirigée par les Etats-Unis est intervenu pour stopper l’avancée des jihadistes au nord d’Alep face à leurs rivaux islamistes, conduits par al-Qaïda.
Avec notre correspondant à Beyrouth, Paul Khalifeh
Il y a une semaine, le groupe Etat islamique chassait ses rivaux islamistes de la localité de Sourane, au nord d’Alep, et commençait à avancer vers Mareh et Aazaz. La prise de ces deux villes priverait les rebelles syriens de leurs principales voies de ravitaillement provenant de Turquie. La coalition internationale, dirigée par les Etats-Unis, a donc réagi.
Les temps changent : désormais sur RFI Paul Khalifeh peut affirmer que « la majorité de la population est soulagée des revers infligés aux jihadistes » :
▻http://www.rfi.fr/moyen-orient/20150515-syrie-liban-hezbollah-maquis-jihadiste-al-nosra-al-qaida-qalamoun
Mais l’offensive du Hezbollah ne fait pas l’unanimité au sein de la classe politique libanaise, même si la majorité de la population est soulagée des revers infligés aux jihadistes.