• Banques d’affaires : Exemple les affaires du crédit suisse !
    Comment Credit Suisse a (encore) perdu le contrôle - Mathilde Farine, Xavier Filliez - letemps.ch

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    1977 Affaire Chiasso : la banque encaisse une perte de 1,4 milliard de francs, après la découverte d’un montage permettant de cacher des fonds non déclarés venant d’Italie et de les réinvestir dans des sociétés, dont une grande partie ont perdu de la valeur.

    1998 Credit Suisse, l’Association suisse des banquiers, UBS, SBS participent à l’accord global sur les fonds en déshérence par lequel elles mettront 1,25 milliard de dollars à disposition d’organisations juives pour indemniser les personnes concernées.

    2007 Deux traders de Credit Suisse sont condamnés pour avoir surévalué le prix de produits financiers liés au marché du crédit. La banque doit encaisser une dépréciation d’actifs de 2,65 milliards.

    2008 Lors des résultats du premier trimestre, Credit Suisse évalue le coût de la crise des subprimes à 10 milliards depuis l’été 2007. (L’ardoise reste faible comparé à celle d’UBS qui aurait atteint 40 milliards.)

    2009 Credit Suisse doit payer une amende de 536 millions de dollars pour violation des sanctions américaines contre l’Iran et le Soudan entre 1995 et 2006.

    2011 Urs Rohner devient président du conseil d’administration.

    Septembre 2011 Credit Suisse paie 150 millions d’euros à l’Allemagne pour régler les affaires d’évasion fiscale.

    Mai 2014 Credit Suisse plaide coupable d’aide à l’évasion fiscale et paie 2,6 milliards de dollars aux autorités américaines.

    Octobre 2014 Bruxelles inflige des amendes à plusieurs banques, dont Credit Suisse et UBS, dans les affaires de manipulation du taux Libor.

    2016 L’affaire dite des « tuna bonds » au Mozambique éclate. Des employés de la banque sont accusés d’avoir fait des prêts secrets à hauteur de 2 milliards de dollars, où eux-mêmes et des fonctionnaires mozambicains se seraient servis en pots-de-vin. Plusieurs procédures sont encore en cours et la banque est aussi sous enquête.

    2017 Credit Suisse doit payer une amende de 5,28 milliards de dollars dans une affaire de prêts hypothécaires aux Etats-Unis.

    Mai 2017 Credit Suisse écope d’une amende d’un demi-million à Singapour dans l’affaire 1MDB en raison de lacunes dans ses contrôles anti-blanchiment.

    Février 2018 Credit Suisse (et d’autres banques) doivent fermer des fonds de placements sophistiqués liés à la volatilité et dont la valeur a perdu 96% en une journée. La perte estimée des clients est de 1,8 milliard de dollars.

    2018 Credit Suisse paie 47 millions aux autorités américaines dans l’enquête dite des « petits princes » sur les pratiques d’embauche en Asie. Des banques, dont Credit Suisse, engageaient des proches ou membres de grandes familles fortunées dans l’espoir de recruter plus facilement des clients, pratique considérée comme étant de la corruption par les autorités américaines.

    2018 La justice genevoise condamne à de la prison un gérant de fortune de la banque pour avoir causé un dommage de 143 millions de francs au préjudice, notamment, de l’ancien premier ministre géorgien Bidzina Ivanishvili, mais aussi pour s’être enrichi de 30 millions. Plusieurs procédures sont en cours et une enquête confiée à un cabinet externe montre qu’il y a eu des déficiences dans le contrôle du risque à Credit Suisse.

    Septembre 2018 La Finma, le gendarme suisse des banques, constate des manquements dans le respect des obligations de diligence dans le domaine de la lutte contre le blanchiment d’argent en lien avec les affaires Petrobras, PDVSA et FIFA.

    2019 Credit Suisse conseille le fonds d’investissement Softbank pour une obligation convertible d’une valeur de 900 millions de dollars qu’il revend ensuite à des investisseurs. Wirecard a fait faillite.

    Automne 2019 On découvre que Credit Suisse a fait suivre plusieurs de ses employés et ex-employés.

    Février 2020 Départ forcé de Tidjane Thiam après l’affaire des filatures.

    Juin 2020 Credit Suisse se trouve mêlée au scandale de la chaîne de cafés chinoises Luckin Coffee. La banque l’a aidée pour son entrée en bourse à New York en 2019, or on découvre que des chiffres, notamment de ventes, avaient été gonflés par l’entreprise.

    Novembre 2020 Implosion du hedge fund York Capital Management, Credit Suisse s’attend à une perte allant jusqu’à 450 millions de dollars.

    Décembre 2020 Le Ministère public de la Confédération accuse Credit Suisse dans une affaire de blanchiment et de trafic de stupéfiants d’une organisation bulgare.

    Février 2021  La banque révèle qu’elle a payé 600 millions de dollars pour régler une autre affaire liée à des prêts hypothécaires aux Etats-Unis datant d’avant la crise financière de 2008.

    Mars 2021 Credit Suisse doit suspendre des fonds comptant 10 milliards de dollars sous gestion en lien avec la société Greensill en faillite. La banque a remboursé 7 milliards aux clients des fonds. Sur les 3 milliards restants, 1 à 2 pourraient ne pas être retrouvés. Plusieurs enquêtes sont en cours.

    Mars 2021 L’implosion du hedge funds américain Archegos conduira à une perte d’environ 5 milliards de dollars pour Credit Suisse.

    Octobre 2021 Credit Suisse doit payer 475 millions de dollars aux autorités américaines et britanniques dans l’affaire du Mozambique. En même temps, la Finma rend ses rapports d’enquête sur cette affaire et celle des filatures.

    Cette accumulation d’affaires jette un sérieux doute sur la gestion des risques de l’entreprise, ce qui est confirmé par des rapports d’enquête externes que Le Temps a pu lire, par les employés qui ont accepté de raconter leur expérience, de même que par les conclusions de la justice ou des régulateurs dans d’autres cas. Ne serait-ce qu’en termes de frais juridiques et d’amendes, Credit Suisse a payé un total de plus de 15 milliards de francs depuis 2008 aux Etats-Unis, selon plusieurs estimations. 

    A nos questions, la banque a fini par répondre par une prise de position générale : « Credit Suisse a des bases très solides et est fier de son riche héritage et de ses racines entrepreneuriales.
    . . . . . .
    Source de ce extrait : https://www.letemps.ch/grand-format/credit-suisse-perdu-controle

    #banque #finance #spéculation #gestion_de_fortune #subprimes #ubs #bonus #faillite #lehman_brothers #McKinsey #cds #hedge_funds #banksters #affaires

    • France, ce 24 Octobre : Credit Suisse paie 238 millions d’euros pour éviter des poursuites pénales en France
      Elle suit ainsi le chemin de HSBC private Bank, une filiale suisse du géant bancaire britannique HSBC, qui avait accepté de payer 300 millions d’euros,
      . . . . .
      Le 17 octobre, déjà, crédit suisse avait annoncé être parvenu à un accord définitif avec le procureur général du New Jersey pour solder une affaire ancienne concernant la vente de titres adossés à des créances hypothécaires, dont la valeur s’était brutalement effondrée lors de l’éclatement de la bulle immobilière aux Etats-Unis.
      . . . . .
      La banque va donc s’acquitter d’une amende de 495 millions de dollars pour régler tous les dédommagements en justice. Un montant déjà couvert par des provisions, précise la banque dans son communiqué.
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      Tous les détails : https://www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/banque/credit-suisse-paie-238-millions-d-euros-pour-eviter-des-poursuites-penales

  • Krachs boursiers : la crise du capital - Présentation
    https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-nuits-de-france-culture/nuit-krachs-boursiers-la-crise-du-capital-presentation-1ere-diffusion-23

    Du récit des moments de crises aiguës que sont l’éclatement des bulles spéculatives à leurs conséquences désastreuses, en passant par les mécanismes complexes qui les provoquent, c’est le sujet de cette Nuit “Krachs boursiers : la crise du capital” élaborée par Mathias Le Gargasson.

    Le #krach_boursier est un moment proprement catastrophique, forme d’apocalypse moderne : l’éclatement de #bulles_spéculatives, provoquées par des montages financiers déficients, fantasques ou simplement irresponsables fait soudainement chuter le cours de la bourse, provoquant une perte massive de valeur et donc d’argent. L’on pourrait penser naïvement que cela n’impacte que les investisseurs, mais c’est en réalité toute l’économie qui en pâtit et les populations les plus précaires en première ligne. On assiste à des plans de licenciements massifs et à un chômage de masse qui tire toute l’économie et la population vers le bas.

    Comment ainsi oublier à la suite de la crise des #subprimes en 2008 les villes fantômes aux Etats-Unis, où des prêts qui n’auraient jamais dû être accordés et la chimère de l’ “american dream” ont mené des centaines de milliers de familles à vivre sans domicile fixe dans une pauvreté encore plus importante qu’auparavant.

    1929, 1987 et 2008 sont des années où les problèmes profonds de ce système spéculatif à l’excès se sont actualisés de façon brutale et parfois inattendue aux yeux du monde, brisant l’espace d’un instant l’illusion d’un paradigme économique méritocratique, qui bénéficie à tous et à toutes.

    De ces trois krachs majeurs il en est question dans cette Nuit qui interroge les mécanismes à l’œuvre dans les crises boursières et financières depuis une centaine d’années

  • yare yare daze sur Twitter : « Je vois qu’encore pas mal de personnes ignorent ce que sont les #NFT et le naufrage intellectuel/écologique/légal qui se cache derrière, donc je vais tenter de faire un thread TRES vulgarisé qui explique ça sans trop entrer dans les détails techniques. LET’S GO. » / Twitter
    https://twitter.com/_hogwartstyles/status/1484617447160397827

    #insane

    • Je vois qu’encore pas mal de personnes ignorent ce que sont les #NFT et le naufrage intellectuel/écologique/légal qui se cache derrière, donc je vais tenter de faire un thread TRES vulgarisé qui explique ça sans trop entrer dans les détails techniques.
      LET’S GO.


      Petit point def rapide : NFT veut dire non fungible token, en français jeton non fongible.
      En gros, un NFT est par définition unique et non interchangeable (à l’inverse d’un billet de 5 balles par exemple).
      Maintenant, explication concrète.
      Vous marchez dans la rue. Et là, dans la vitrine d’une galerie d’art, un tableau INCROYABLE. Vous entrez d’un pas décidé dans le magasin, bien décidé à craquer votre compte bancaire pour avoir votre peinture.
      https://video.twimg.com/tweet_video/FJprtYiWQAU8u76.mp4

      A l’intérieur, une vendeuse vous dit que oui, vous pouvez acheter la peinture qui est dans la vitrine. Elle coûte 10 000 balles mais tranquille, vous êtes grave partant. Alors vous allez en caisse et vous payez.
      Et à ce moment, la vendeuse vous dit « Attendez un petit quart d’heure s’il vous plaît, on vous imprime votre ticket ». Et là, elle ouvre une porte sur ce qui est censé être l’arrière-boutique, sauf que vous apercevez une grande salle de serveurs informatiques.
      https://video.twimg.com/tweet_video/FJpruYcXEAsUUyF.mp4

      Vous attendez vos 15 petites minutes en vous disant que quand même, ils doivent avoir une putain de facture d’électricité (genre 2 à 6 fois la consommation mensuelle de votre appart juste pour ce quart d’heure).
      Et là, la vendeuse revient avec un petit sac !
      Vous l’ouvrez et vous ne trouvez qu’un ticket de caisse. En bas du ticket, juste sous votre nom, une longue liste de chiffres qui a un peu la gueule des décimales de pi.
      La vendeuse vous explique que c’est le résultat d’un calcul très compliqué qui a fait chauffer les serveurs.
      Le calcul était si compliqué qu’il ne pourra plus jamais être refait ! Et la suite de chiffres sur votre ticket, qui indique que vous venez d’acheter la peinture en vitrine, est UNIQUE. Comme votre ticket, qui ne peut donc pas être reproduit.
      Lorsque vous demandez où est la peinture, la vendeuse vous dévisage bizarrement. Comment ça, la peinture ?
      https://video.twimg.com/tweet_video/FJprv3LXMAIRHQP.mp4

      Ah non, ce que vous avez acheté c’est ce ticket qui dit que vous êtes propriétaire de la peinture, mais ça veut pas dire que vous pouvez repartir avec ! Le tableau reste en vitrine, même si il est à vous.
      Mais si vous voulez, elle vous offre un petit flyer.
      Y’a le tableau sur le petit flyer. Petit flyer distribué à tous ceux qui passent dans la rue pour qu’ils viennent visiter. Vous pouvez aussi prendre une photo du tableau, comme le reste des visiteurs et des passants.
      https://video.twimg.com/tweet_video/FJprw3GXIAQ_4gV.mp4

      La vendeuse vous prévient aussi : si vous voulez revendre le tableau (qui reste dans la galerie), il faudra repasser par eux pour qu’ils éditent un nouveau ticket. Pas le choix. Alors vous repartez chez vous avec votre certificat de propriété du tableau, sans tableau.
      Peut-être que le tableau avait été volé, peut-être qu’il y en a 10 autres comme ça dans leur garage, peut-être qu’il vaut même pas 10k balles, mais vous avez un ticket unique qui indique que vous possédez le tableau DE LA VITRINE.
      Et si vous êtes pas sûrs d’avoir compris mon thread, ou que ça vous semble complètement débile d’acheter un objet que tout le monde peut photographier pour en faire son fond d’écran ou sa pp sans que vous y gagniez 1€, alors vous avez parfaitement compris ce qu’est un NFT.
      Je parlais de naufrage écologique dans mon premier tweet : Joanie Lemercier s’est rendu compte que la création de 6 NFT avait consommé en 10min l’équivalent de la consommation électrique de son studio sur 2 ans.

      https://joanielemercier.com/the-problem-of-cryptoart

      Je parlais aussi de naufrage légal. De nombreux artistes se font voler leurs œuvres et les voient revendues sous forme de NFT alors qu’ils sont parfois contre ce système. Les recours légaux sont très complexes, en partie pour des raisons d’anonymat.
      J’ai pas besoin d’expliquer la partie naufrage intellectuel, l’absurdité de ce qu’est un NFT parle d’elle-même.
      On parlait de vol : exemple avec les illustrations de Qinni, une illustratrice décédée en 2020. Des gens ont volé ses œuvres et en ont fait des NFT...

      https://www.wired.co.uk/article/nft-fraud-qinni-art
      Deux types de personnes dans mes mentions : ceux qui viennent défendre les NFT et me dire que je n’ai rien compris, et ceux qui trouvent que j’ai édulcoré sur un système d’arnaque qui n’a aucune valeur légale. 💀
      Je masque, comme je l’ai dit dans le premier tweet c’est un thread TRÈS vulgarisé où je reviens pas sur la blockchain et les différents types de NFT blabla.
      Les gens voient passer le mot NFT, des pp singes moches, ils comprennent pas, alors j’ébauche une explication de la chose.
      Et pour tous ceux qui me l’ont fait remarqué : oui, c’est exactement le même bail que d’acheter ou nommer des étoiles qui était populaire y’a quelques années. 💀😭
      Les étoiles n’appartiennent à personne et encore moins à vous, vous payez juste le joli certificat. 😬
      Omg je viens de vérifier et un des sites qui prétend vendre les étoiles (starregister point org) fait aussi des « NFT Star ». 😭😭😭

      https://threadreaderapp.com/thread/1484617447160397827.html

    • Un aspect spectaculairement rétrograde du truc, c’est qu’il s’agit de tenter de réintroduire de la rareté là où le numérique a introduit une reproduction gratuite à l’infini.

      (Ce qui, au passage, provoque l’absurdité du truc : une œuvre vendue sous NFT est toujours reproductible en ligne, et téléchargeable via un simple clic-droit…)

  • Reseña : « Subprime Attention Crisis » | Marketing Directo
    https://www.marketingdirecto.com/anunciantes-general/publicaciones/subprime-attention-crisis-libro-colapso-publicidad-online

    Ce livre sera disponible en français cet automne chez C&F éditions...

    Subprime Attention Crisis (Tim Hwang)
    «Subprime Attention Crisis», el libro que advierte sobre el riesgo de colapso de la publicidad online

    22 julio 2021

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    Subprime Attention Crisis aborda en profundidad las sombras que acompañan a internet y al ecosistema de la publicidad online.

    El mundo digital llegó para ofrecer un sinfín de posibilidades a los usuarios y a los anunciantes, que comenzaron un camino lleno de oportunidades de la mano de la publicidad online. Sin embargo, este camino está repleto de retos y amenazas que ensombrecen esas oportunidades que a priori se presentaban.

    La falta de fiabilidad de los números de publicidad, la automatización no regulada de las guerras de ofertas publicitarias y el simple hecho de que la mayoría de los anuncios en línea no funcionan son algunas de las sombras que Tim Hwang pone encima de la mesa en su libro «Subprime Attention Crisis: Advertising and the Time Bomb at the Heart of the Internet», una publicación que sin duda invita a la reflexión por parte de toda la industria publicitaria.

    El colapso de la publicidad online y la crisis de la atención

    El autor habla en este libro del posible colapso de la publicidad digital y lo compara por su similitud con la crisis inmobiliaria de 2008. Y si la publicidad en línea se derrumba, internet y sus servicios hasta ahora gratuitos, de la noche a la mañana serán accesibles solo para aquellos que puedan pagarlos.

    En «Subprime Attention Crisis», Tim Hwang investiga la forma en la que las grandes tecnologías financian la atención. En el libro aborda la crisis por la atención y los cambios que generó la llegada de la publicidad online a la hora de comprar y vender ese bien tan preciado para los anunciantes.

    Perry Hewitt, reconocido consultor de marketing y estrategia digital, y asesor de la Iniciativa Digital de Harvard Business School, asegura que Tim Hwang en Subprime Attention Crisis nos recuerda que «un colapso precipitado del modelo de publicidad digital se extendería mucho más allá de la explosión de una burbuja de la industria para amenazar fundamentalmente el modelo de negocio de la web que todos dependen«.

    Para Danah Boyd, autora de It’s Complicated: The Social Lives of Networked Teens, fundadora de Data & Society e investigadora principal de Microsoft Research, el libro «destruye la ilusión de que los anuncios programáticos son efectivos y financieramente sólidos. Uno solo puede esperar que este libro se utilice para hacer estallar la burbuja que beneficia muy poco».

    ¿Qué pasaría si la burbuja de la publicidad online estallara? ¿Están los anunciantes poniéndose una venda ante los ojos? ¿Qué va a ocurrir con la atención de los consumidores? A estas y otras preguntas invita a reflexionar este libro de obligada lectura para todos los profesionales del marketing y la publicidad.
    Sobre el autor de «Subprime Attention Crisis»

    Tim Hwang, actualmente el asesor general de Substack, es investigador en el Center for Security and Emerging Technology, miembro de la junta de Meedan e inversionista en Temescal Brewing.

    Anteriormente trabajó como director de la Harvard-MIT Ethics and Governance of AI Initiative, un fondo filantrópico de 27 millones de dólares y un esfuerzo de investigación que trabaja para avanzar en el desarrollo del aprendizaje automático en el interés público. Además, fue líder de políticas públicas globales para inteligencia artificial y aprendizaje automático en Google.

    Ha trabajado también en Electronic Frontier Foundation, Oxford Internet Institute, Tumblr, Mozilla Foundation, RAND, Stanford Center for Legal Informatics, Edelman, The Barbarian Group, Creative Commons, Imgur y Percolate.

    Puedes ver más publicaciones de Tim Hwang en este enlace.

    Más información:

    Editorial: FSG Originals

    Precio: 14,58 euros.

    #Tim_Hwang #Subprime_attention_crisis

  • #Vidéos #Economie #Finance #Reportages

    La #dette, une spirale infernale ? | ARTE
    http://www.arte.tv/guide/fr/048762-000/la-dette-une-spirale-infernale

    DEBTOCRACY
    https://www.youtube.com/watch?v=uIYm1xeejvo

     

    La Stratégie du Choc (Naomi Klein)
    http://www.dailymotion.com/video/x36rbsn

    CATASTROIKA
    https://www.youtube.com/watch?v=55_PVPMcknQ

     

    Puissante et incontrôlée - La #Troïka - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=wXurytR1IAk

    2013 - Quand l’Europe sauve ses Banques, qui paye - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=3R646xSnbEE


    #UE #Finance #Espagne #Irlande #Grèce #Ploutocratie #Documentaires

    Voyage au bout de la crise, 1ere partie — смотреть онлайн в хорошем качестве на Rutube.ru
    http://rutube.ru/video/5696dd70668de863d5fd6ae6ca749144

    CADTM - [Documentaire]# Grèce Années Chaos
    http://cadtm.org/Documentaire-Grece-Annees-Chaos

    La dette, chronique d’une gangrène - 1974-1992 - vidéo Dailymotion
    http://www.dailymotion.com/video/x3dbmaq


    La dette, chronique d’une gangrène - 1992-2015 - vidéo Dailymotion
    http://www.dailymotion.com/video/x3dbn2i

    Qu’on leur coupe la dette ! La saignée (1) - FAKIR | Presse alternative | Edition électronique
    http://www.fakirpresse.info/Qu-on-leur-coupe-la-dette-Partie-1.html
    Qu’on leur coupe la dette ! La confiscation (2) - FAKIR | Presse alternative | Edition électronique
    http://www.fakirpresse.info/Qu-on-leur-coupe-la-dette-Partie-2.html
    Qu’on leur coupe la dette 3/3 - le fléchage - vidéo Dailymotion
    http://www.dailymotion.com/video/xq7qji_qu-on-leur-coupe-la-dette-3-3-le-flechage_news

    Krach -Les dessous de la crise économique mondiale - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=rt1WI4OjSUk


    Krach 4 Des lendemains amers - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=rCJTRs2IG_M

    Noire Finance - La série, en VOD, DVD - ARTE Boutique
    http://boutique.arte.tv/f7966-noire_finance_serie#

    Quand la finance se branche sur la nature, par Razmig Keucheyan (Le Monde diplomatique, mars 2014)
    http://www.monde-diplomatique.fr/2014/03/KEUCHEYAN/50199

    Nature, le nouvel eldorado de la finance | ARTE
    http://www.arte.tv/guide/fr/050583-000/nature-le-nouvel-eldorado-de-la-finance

    Inside Job 1/5 (vostfr) - Video Dailymotion
    http://www.dailymotion.com/video/xsmm9n_inside-job-1-5-vostfr_lifestyle

    Alimentation : La bourse ou la vie ? 1/2 - vidéo Dailymotion
    http://www.dailymotion.com/video/xjeb1x_alimentation-la-bourse-ou-la-vie-1-2_news

    #Crise_financière_2007 #Crise_économique #Subprimes #Finance #Documentaires

    La Drole D’#Histoire Des Banques Francaises Documentaire - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=UgC7WgjM-eo

    Cash Investigation : « La finance folle » - France 2 - 8 juin 2012 - En replay
    http://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/cash-investigation/cash-investigation-du-vendredi-8-juin-2012_703677.html

    Les gangsters de la #Finance | ARTE
    https://www.arte.tv/fr/videos/069080-000-A/les-gangsters-de-la-finance
    https://static-
    Les gangsters de la finance - ARTE - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=ykxkA-radQU


    #Ploutocratie #Conflits_d'intérêts #Crise_financière2007/2008

    "Blanchiment, fraude fiscale, corruption, manipulation des cours... : depuis la crise de 2008, la banque #HSBC est au coeur de tous les scandales. Cinq ans après leur film sur Goldman Sachs, Jérôme Fritel et Marc Roche passent au crible cet empire financier au-dessus des lois.
    Créée à Hong Kong, il y a un siècle et demi, par des commerçants écossais liés au trafic d’opium, HSBC (Hongkong and Shanghai Banking Corporation) n’a cessé de prospérer en marge de toute régulation. Aujourd’hui, la banque britannique à l’ADN pirate incarne à elle seule les excès et les dérives de la finance internationale. Blanchiment de l’argent du crime – celui des cartels de la drogue mexicains et colombiens –, évasion fiscale massive, corruption ou manipulation du cours des devises et des taux d’intérêt : depuis la crise de 2008, ce géant a été mêlé à de nombreux scandales avec régularité et en toute impunité. Car l’opaque HSBC, experte en sociétés-écrans, dont les coffres débordent d’argent liquide déposé par ses clients discrets et douteux, est devenue « too big to jail », « trop grosse pour aller en prison ». La banque, riche de quelque 3 000 milliards de dollars, s’en tire chaque fois avec des amendes dérisoires. Trait d’union entre l’Orient et l’Occident, elle sert aussi désormais de pipeline pour les centaines de milliards d’euros de capitaux chinois partant à la conquête des marchés occidentaux : HSBC navigue aujourd’hui sous pavillon rouge.

    Nouvelles menaces
    Cinq ans après « Goldman Sachs »"– La banque qui dirige le monde", Jérôme Fritel et Marc Roche plongent dans les arcanes d’un empire tentaculaire qui se cache derrière sa vitrine de banque de détail britannique. De Hong Kong aux États-Unis en passant par l’Europe, cette édifiante enquête révèle non seulement l’ampleur ahurissante des malversations commises par HSBC, mais éclaire aussi – avec une remarquable limpidité – les menaces qui se profilent sur la stabilité financière mondiale, dix ans après la crise des « subprimes »."

    Arte Thema - Les gangsters de la finance : entretien avec Marc Roche - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=Hys3i5qG7LI



    #Afrique : le salaire de la dette - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=YzkpTJMWIDw

    #Mondialisation : Quand le #FMI Fabrique la Misère - Documentaire - YouTube
    #IFI_FMI_Banque_Mondiale #FMI #Banque_Mondiale
    https://www.youtube.com/watch?v=9S28Wjpd1fg

    #Libre-échange ou libres citoyens ? | ARTE #Documentaires
    http://www.arte.tv/guide/fr/055858-000/libre-echange-ou-libres-citoyens

    #RI
    Cash Investigation. Mon président est en voyage d’affaires - France 2 - 7 septembre 2015 - En replay
    http://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/cash-investigation/cash-investigation-du-lundi-7-septembre-2015_1064383.html #Documentaires

  • Inside #Lehman_Brothers. Une enquête inédite sur la chute d’une banque au-dessus de tout soupçon

    Dix ans après la faillite de la banque Lehman Brothers, #Jennifer_Deschamps met en lumière les mécanismes de sa chute. Une enquête rigoureuse, étayée par le témoignage de lanceurs d’alerte.

    Le 15 septembre 2008, Lehman Brothers est officiellement déclarée en faillite. Lâchée par le gouvernement et sans repreneur, la vénérable banque d’investissement, fondée à New York en 1850, disparaît en laissant à ses créanciers une dette de plusieurs centaines de milliards de dollars. Lancée depuis plusieurs années dans une course folle au profit, cette grande institution financière, dirigée par Richard Fuld, a développé des prêts hypothécaires à risques, rapidement devenus emprunts toxiques. Accordés à des ménages modestes voire sans revenus, ces subprimes ont permis à des centaines de milliers d’Américains de devenir propriétaires de leur logement. Mais en 2007, lorsque la bulle immobilière éclate, la remontée de taux d’intérêts gonfle les traites que les emprunteurs ne peuvent plus rembourser. Une vague de saisies s’abat sur les États-Unis, et notamment sur la Californie…

    Autopsie méthodique
    Spécialisée dans les produits financiers, Lehman Brothers a voulu « faire de l’argent par tous les moyens ». Naviguant en « zone grise » – là où, au minimum, tout ce qui n’est pas illégal peut être considéré comme légal –, la banque et ses filiales ont maquillé les bilans, poussé les équipes commerciales à truquer leurs dossiers pour atteindre des objectifs de plus en plus exigeants, et engranger des dollars par milliards. Le tout grâce à la complicité, l’incompétence ou l’aveuglement des organismes de contrôle et des agences de notation. Pour raconter, dix ans plus tard, un cataclysme dont les répercussions ont ébranlé les places boursières et les économies du monde entier, Jennifer Deschamps se place à hauteur d’hommes. Enrichie d’archives, son enquête, documentée et rigoureuse, réunit les témoignages inédits d’anciens collaborateurs de Lehman, qui ont tous eu un accès privilégié aux mécanismes délirants ayant mené au désastre : trois ex-employées de la BNC, une filiale spécialisée dans les prêts immobiliers, et « lanceuses d’alerte » (Linda Weekes, Sylvia Vega-Sutfin et Cheryl McNeil), et leur avocat (Gary Gwilliam) ; un ancien vice-président de Lehman (Matthew Lee), licencié après avoir refusé de cautionner une manœuvre comptable frauduleuse ; un ancien juriste de la banque (Oliver Budde) ainsi que l’ancien procureur de l’Illinois (Anton Valukas), mandaté en 2008 par le gouvernement américain pour enquêter sur les causes de la faillite. Autopsie méthodique d’un système malade, Inside Lehman Brothers se fait aussi mise en garde contre une déflagration qui pourrait bien, dans un futur proche, se rééditer.


    https://www.arte.tv/fr/videos/080155-000-A/inside-lehman-brothers
    #banque #finance #économie #subprimes #marché_immobilier #cupidité #argent #fraude #effondrement #crise_financière #prêts_hypothécaires #film #documentaire #Wall_Street #bulle_immobilière #lanceurs_d'alerte #culture_du_silence #travail #burn-out #faillite #banques_d'investissement #limites_juridiques #légalité #illégalité #courtiers #Richard_Fuld #harcèlement_sexuel #intimidation #femmes #BNC #SDF #sans-abris #Repo_105 #prêts_alternatifs #prêts_non-conventionnels

  • America’s economic #growth has come from #subprime borrowing by the poorest 60% / Boing Boing
    https://boingboing.net/2018/07/24/subprime-2-point-0.html

    But it turns out that nearly all of the economic growth in today’s #economy has been driven by subprime borrowing by the poorest 60% of Americans, who have zeroed out their savings and then gone into heavy debt to get university degrees, start “businesses” (often by leasing a car to drive for a rideshare company or trying in some desperate way to get a toehold on the ladder), and maxing out credit cards.

    It’s like a rerun of the 2008 crisis in more ways that one. The loans that enabled this debt-fueled growth have low teaser rates that are starting to expire, with new, much higher interest rates about to kick in. When that happens, expect waves of defaults.

    #bubble

  • Finance : dix ans après la crise des subprimes, les risques existent toujours
    http://www.francetvinfo.fr/economie/bourse/finance-dix-ans-apres-la-crise-des-subprimes-les-risques-existent-toujo

    Finance : dix ans après la crise des #subprimes, les risques existent toujours
    Dix ans après le début de la crise mondiale financière, le 9 août 2007, certaines leçons ont été tirées mais les risques financiers ne sont pas éradiqués, notamment à cause du développement du « shadow banking », la finance de l’ombre.

    #crise_financière #crise

  • Les loups de Wall Street à l’assaut du football
    https://www.mediapart.fr/journal/international/221216/les-loups-de-wall-street-lassaut-du-football

    La finance s’est emparée du monde du football. Fin 2015, la société XXIII a ainsi racheté pour 73 millions de dollars de dettes de transferts. Elle a ensuite mélangé ces dettes de clubs au sein d’un produit financier, qu’elle a revendu à la découpe. Et qui s’est retrouvé à Wall Street, puis à la bourse des îles Caïmans. Façon #subprimes.

    #International #football_leaks #TPO #XXIII_Capital

  • Allemagne : enfin la crise ? Le Courrier - Benito Perez - Mardi 29 novembre 2016
    http://www.lecourrier.ch/144612/allemagne_enfin_la_crise

    Réuni depuis hier à Santiago du Chili, le Comité de Bâle, chargé de la régulation internationale des banques systémiques (Too big to fail), est très préoccupé par un mauvais élève. Cette banque, dont l’incurie pourrait provoquer la prochaine crise financière internationale, n’est ni grecque, ni française, ni italienne, ni chypriote : c’est la Deutsche Bank. Plombée par quinze années d’investissements hasardeux, d’opérations illégales et de brutales restructurations, la prestigieuse institution francfortoise est, de plus, menacée d’une amende record aux Etats-Unis pour son implication dans le scandale des subprimes.

    A quelques mois des élections allemandes, Angela Merkel assure que le contribuable ne mettra pas la main à la poche pour sauver l’établissement. Mais la déconfiture de la première banque d’Allemagne, huitième du monde, pesant l’équivalent de 10% du PIB… européen, est-elle réellement envisageable ? Coincée entre la menace judiciaire étasunienne, la faiblesse des taux d’intérêts et ses obligations internationales en termes de fonds propres (Bâle III puis dès 2019 Bâle IV), la Deutsche Bank devra tôt ou tard faire appel à nouveau1 aux fonds publics. A moins de trouver in extremis un accord politique avec les Etats-Unis ou un accommodement avec les règles du Comité de Bâle. On serait curieux de savoir ce que Wolfgang Schäuble, le Père la Rigueur de l’euro, si prompt à faire la morale aux Grecs, pense de ces petits arrangements entre amis.

    Paradoxalement, l’austère Allemagne des élites pourrait trouver son sauveur dans le futur président « antisystème » Donald Trump2. Son projet d’assouplissement des règles financières introduites aux Etats-Unis par Barack Obama après le krach de 2008 devrait notamment modérer les tenants d’un Bâle IV très exigeant – soit principalement les banques US, actuellement soumises à des normes plus sévères que leurs homologues de l’UE.

    Emblème de la puissance économique allemande, la Deutsche Bank en incarne aujourd’hui également la fragilité. L’origine des soucis de la banque puise d’ailleurs à la même source que le prétendu miracle allemand : le démantèlement des protections sociales et la chute des salaires au tournant du siècle. Une politique d’austérité qui avait déprimé la croissance et poussé les banques allemandes à chasser le profit à l’étranger, dans des opérations toujours plus risquées. Qui leur éclatent aujourd’hui au visage.

    Fière de son internationalisation, arrogante au point de vouloir imposer son modèle à tous ses partenaires, l’Allemagne est enfin rattrapée par une crise qu’elle n’a cessé d’alimenter. Au risque de choquer : il faut souhaiter que le pays soit frappé suffisamment fort pour délivrer l’Europe de ce modèle austéritaire qui la détruit à petit feu.

    • 1. Rappelons que le premier « sauvetage de la Grèce » par l’UE en 2010 eut pour objectif principal de socialiser les créances contractées par les banques françaises et allemandes auprès de leurs homologues grecques.
    • 2. A ne pas confondre avec Trump Donald, l’entrepreneur, lourdement endetté auprès de la… Deutsche Bank.

    #subprimes #deutsche_Bank #Allemagne #finance #union_européenne #UE #UEF
     

  • #Alan_Greenspan, « l’homme qui savait » mais n’a rien fait
    https://www.mediapart.fr/journal/economie/121116/alan-greenspan-l-homme-qui-savait-mais-n-rien-fait

    Avec Alan Greenspan : l’homme qui savait, #Sebastian_Mallaby livre une contribution majeure à la compréhension d’une histoire financière qui a débouché sur la #Crise globale survenue en 2007 et 2008. Adulé avant cette date, vilipendé (par les mêmes) après, l’ancien président de la Réserve fédérale des États-Unis aura joué un rôle majeur dans cette affaire. Pour le pire.

    #Economie #Ana_Schwartz #Ayn_Rand #étalon-or #Fed #libertarien #Margaret_Thatcher #Paul_Volcker #politique_monétaire #subprimes

  • The deaths, sanctions and starvation that prove I, Daniel Blake is accurate – despite what some critics say | The Independent
    http://www.independent.co.uk/news/uk/politics/i-daniel-blake-accuracy-ken-loach-benefits-sanctions-deaths-iain-dunc

    A new polemical film by Ken Loach about life on benefits – and a faceless bureaucracy at the heart of the welfare state – has created an emotive debate on whether it accurately portrays life on state support.

    I, Daniel Blake tells the story of a 59-year-old joiner who is thrust into a Kafkaesque bureaucratic nightmare, designed to ensure his disability benefit payments and Jobseeker’s Allowance are almost unobtainable. But, for some, the reaction has been uncomfortable.

    • Mais le spectacle continue !
      C’est pourtant encore plus étrange cette perspective en abîme que nous vivons comme spectateur, cet appel à la conscience que propose le film passé en avant-première, qui décrit l’absurde alors qu’il nous submerge nous-mêmes dans la réalité, dans cette salle : le Gala, terme a priori étrange pour un événement conviant la #presse, était sponsorisé par Belfius, banque ayant provoqué l’endettement de maintes collectivités locales, reine des #subprimes, qui a été renflouée par les contribuables et est donc directement responsable, avec les politiques, de l’endettement public, des #pertes_d'emploi et de l’élargissement de la misère, celle-là même qui frappe #Daniel_Blake

      http://us5.campaign-archive1.com/?u=4002f970f42fa3c587b2884bd&id=f4ebb3342a&e=4fcb6b2bd4
      Allez Daniel Blake, encore un peu d’effort !

  • Coucou, c’est moi, la #Crise financière, je suis de retour…
    https://reflets.info/coucou-cest-moi-la-crise-financiere-je-suis-de-retour

    Le spectre d’un retour en 2008 est à nos portes. Ça ne date pas d’hier, nous en avons parlé à de multiples reprises ici même. Mais cette fois, ça se précise. Vous avez dû le lire ces derniers jours, la Deutsche Bank est dans une situation catastrophique et en plus, les Etats-Unis veulent lui imposer […]

    #Economie #allemagne #Angela_Merkel #Barclays #Christine_Lagarde #Commerzbank #Crédit_Suisse #Crise_de_la_dette_souveraine #Deusche_Bank #France #produits_dérivés #Subprimes

  • Affaire Kerviel : la Société générale jugée fautive
    http://www.lemonde.fr/societe/article/2016/09/24/affaire-kerviel-la-societe-generale-jugee-fautive_5002795_3224.html

    Ça n’a l’air de rien, mais après huit ans de procédure, deux procès en correctionnel, deux condamnations pénales, une cassation sur les intérêts civils et un troisième procès uniquement civil, c’est la première fois, vendredi 23 septembre, que la justice rend une décision compréhensible pour l’opinion publique dans l’affaire Kerviel.

    En trente pages sèches, l’arrêt de la cour d’appel de Versailles qui condamne Jérôme Kerviel à verser un million d’euros de dommages et intérêts à la Société générale, sur les 4,9 milliards d’euros de pertes subies par la banque, replace chacun dans ses responsabilités : à l’ancien tradeur, l’entière faute pénale telle que l’ont établie le tribunal correctionnel et la cour d’appel de Paris ; à la Société générale, la plus grosse part de la responsabilité civile, puisque les défaillances de ses contrôles ont concouru à la gravité du préjudice qu’elle a subi.

    Cette nouvelle lecture a été rendue possible grâce au revirement de jurisprudence opéré par la Cour de cassation dans son arrêt Kerviel du 19 mars 2014. Tout en confirmant la condamnation de l’ancien tradeur à cinq ans d’emprisonnement dont trois ferme pour « abus de confiance, faux, usage de faux et introduction de données frauduleuses », elle avait cassé le volet civil, en donnant aux juges, pour la première fois en matière d’atteinte aux biens, un pouvoir d’appréciation souverain sur la responsabilité « causale » de la victime dans le préjudice subi.

    « Choix managériaux »
    Chaque paragraphe de l’arrêt de Versailles est rédigé de manière à ne laisser…

    … le reste derrière #paywall

    • Ça n’a l’air de rien, mais après huit ans de procédure, deux procès en correctionnel, deux condamnations pénales, une cassation sur les intérêts civils et un troisième procès uniquement civil, c’est la première fois, vendredi 23 septembre, que la justice rend une décision compréhensible pour l’opinion publique dans l’affaire Kerviel.

      En trente pages sèches, l’arrêt de la cour d’appel de Versailles qui condamne Jérôme Kerviel à verser un million d’euros de dommages et intérêts à la Société générale, sur les 4,9 milliards d’euros de pertes subies par la banque, replace chacun dans ses responsabilités : à l’ancien tradeur, l’entière faute pénale telle que l’ont établie le tribunal correctionnel et la cour d’appel de Paris ; à la Société générale, la plus grosse part de la responsabilité civile, puisque les défaillances de ses contrôles ont concouru à la gravité du préjudice qu’elle a subi.

      Cette nouvelle lecture a été rendue possible grâce au revirement de jurisprudence opéré par la Cour de cassation dans son arrêt Kerviel du 19 mars 2014. Tout en confirmant la condamnation de l’ancien tradeur à cinq ans d’emprisonnement dont trois ferme pour « abus de confiance, faux, usage de faux et introduction de données frauduleuses », elle avait cassé le volet civil, en donnant aux juges, pour la première fois en matière d’atteinte aux biens, un pouvoir d’appréciation souverain sur la responsabilité « causale » de la victime dans le préjudice subi.

      « Choix managériaux »

      Chaque paragraphe de l’arrêt de Versailles est rédigé de manière à ne laisser prise à aucune ambiguïté d’interprétation par l’une ou l’autre des parties, qui s’opposent dans une guerre judiciaire, et surtout médiatique, sans merci.
      A propos des « manquements » de la banque, la cour relève qu’ils « ne témoignent pas de négligences ponctuelles mais de choix managériaux qui ont ouvert à un salarié malintentionné comme Jérôme Kerviel un large champ d’action où il a pu développer ses agissements délictueux ».

      « Formé au sein des structures de la banque, Jérôme Kerviel en avait repéré les failles qu’il a ensuite exploitées pour concevoir et couvrir ses activités frauduleuses. C’est son parcours personnel au sein de la Société générale, notamment au middle office, qui lui a donné une connaissance très fine des systèmes qu’il a ensuite utilisés pour développer et dissimuler ses agissements », ajoute l’arrêt.

      « Organisation défaillante »

      Mais, souligne la cour, « quelles que soient la ruse et la détermination de l’auteur des faits, ou la sophistication des procédés employés, un tel préjudice n’aurait pas pu être atteint sans le caractère éminemment lacunaire des systèmes de contrôle de la Société générale, qui ont généré un degré de vulnérabilité élevé ».

      « Cette organisation défaillante et cette accumulation de manquements en matière de sécurité et de surveillance des risques, qui préexistaient aux faits, ont permis la commission des délits et retardé leur détection. » Elles ont également « eu un rôle causal essentiel dans la survenance et le développement du préjudice jusqu’à un seuil critique. C’est ainsi qu’a pu se créer une situation en tout point exceptionnelle, à la fois par l’ampleur du dommage et par les risques qu’elle a fait peser sur l’ensemble de l’économie ».

      La cour refuse toutefois de remettre en cause le montant de ce préjudice, contesté par la défense de Jérôme Kerviel, en rejetant la demande d’expertise qu’elle avait formulée.
      « Dès lors, conclut l’arrêt, si les fautes pénales commises par Jérôme Kerviel ont directement concouru à la production du dommage subi par la Société générale, les fautes multiples commises par la banque ont eu un rôle majeur et déterminant dans le processus causal du très important préjudice qui en a découlé pour elle. »

      Tradeur « malintentionné »

      La cour ne suit pas pour autant les réquisitions de l’avocat général Jean-Marie d’Huy qui avait estimé que la banque devait être reconnue « entièrement responsable » de son préjudice. En condamnant Jérôme Kerviel à ne payer qu’un million d’euros sur les 4,9 milliards d’euros de préjudice, elle souligne que la banque doit assumer aux yeux de la société le prix de sa propre faute.

      Elle rappelle, comme l’avait relevé avant elle la Commission bancaire, que les règles de sécurité que la Société générale a violées ne sont pas seulement destinées « à protéger la banque et l’intérêt de ses actionnaires mais aussi l’ensemble du système bancaire et la confiance des citoyens dans celui-ci ». A charge donc, pour l’administration fiscale de voir désormais si la ristourne fiscale de 2 milliards d’euros obtenue par la Société générale doit être ou non remise en cause.

      Mais en demandant à Jérôme Kerviel de payer une somme à échelle « humaine », la décision de la cour d’appel de Versailles ouvre à la Société générale la possibilité d’en exiger le remboursement, ce qui n’était pas envisageable pour un montant de 4,9 milliards d’euros.

      La banque ne va pas s’en priver, qui entend saisir les revenus que son ex-employé pourrait tirer de l’exploitation de son affaire en droits d’auteur sur son livre ou sur le film qui s’en est inspiré. Elle le ramène au statut beaucoup plus commun d’ancien tradeur « malintentionné » et non pas à celui de martyr du système bancaire qu’il s’est construit.

    • Affaire du Sentier II
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_du_Sentier_II

      Après plus de sept années de procédure, un procès fleuve s’est tenu entre février et juin 2008, procès clôturé par un jugement du Tribunal de Grande instance de Paris, en date du 11 décembre 2008. (...)

      la profession bancaire a fait valoir qu’un éventuel défaut de vigilance relève de la compétence des autorités de contrôle (Commission Bancaire, Banque de France) et non du juge pénal. C’est cette thèse qui a finalement été retenue par les magistrats du TGI de Paris.

    • « Je tablais sur deux ans de prison, comme dans la jurisprudence des années 80. Je pris 150 ans. Ce fut un tremblement de terre. Rien à voir avec une quelconque justice. On m’a fait un procès en sorcellerie. C’est une habitude chez mes concitoyens : quand ils ne supportent plus de se regarder dans une glace, ils brûlent une sorcière, et repartent ensuite, exorcisés, l’âme en paix et le regard clair. Mais je ne me reconnais pas dans ce rôle de sorcière que l’on veut me faire jouer, à contre-emploi. Je ne suis pas un criminel. Je suis l’un des fondateurs de la nouvelle économie. »

      En entrant dans ce « rêve », le lecteur entre dans la peau d’un des personnages les plus décriés de cette dernière décennie, Bernard Madoff. Issu d’une famille modeste, #Madoff incarne l’American Dream. Dès 1960, il flirte avec l’illégalité pour devenir ce qu’il a toujours souhaité être : riche et influent. Dans les années 90, grâce à des fonds d’investissements privés, il devient l’un des hommes les plus courtisés de la planète. Mais bientôt, la crise des #subprimes ébranle le système. Madoff est jugé coupable. La faillite est totale : il écope de 150 années de prison ferme. À la fois vainqueur et victime d’un système ? L’auteur montre que l’époque ne pouvait que favoriser ce type d’escroquerie. L’ère Reagan, en supprimant les contrôles, facilite les #transactions. Madoff n’est que le maillon d’une chaîne, l’un des noeuds d’un système qui avait déjà tissé sa toile : la puissance du marché. S’il est économique, politique et social, le prisme adopté par l’auteur est aussi personnel : reclus en prison, Madoff déroule sa propre vie sous forme de flash-back. Et cette vie, qu’il aura voulu héroïque, n’est que le symptôme d’une culture qui a fait de son émergence un mythe fondateur : celui du pionnier, de l’aventurier.

      #dominique_Manotti
      http://www.editions-allia.com/fr/livre/649/le-reve-de-madof

  • Ethnographie des expulsions aux États-Unis
    http://www.laviedesidees.fr/Ethnographie-des-expulsions-aux-Etats-Unis.html

    L’expulsion locative est devenue aux États-Unis un phénomène de masse. Le sociologue Matthew Desmond retrace le destin de huit familles de Milwaukee aux prises avec un marché immobilier d’une violence inouïe. Un livre magistral qui débouche sur une nouvelle conceptualisation de la pauvreté.

    Livres & études

    / pauvreté, #culture, #subprimes

    #Livres_&_études #pauvreté

  • Le détournement d’attention comme méthode #Politique
    https://reflets.info/le-detournement-dattention-comme-methode-politique

    C’est une technique pratiquée dans les arts martiaux depuis la nuit des temps : le détournement d’attention. Un mouvement détourne l’attention de l’adversaire qui est alors frappé à un autre endroit. L’attaquant peut espérer terminer ainsi le combat. Il existe des variantes plus ou moins élaborées, mais la plus courante est celle de l’attaque dans […]

    #Economie #Banques #Bernard_Cazeneuve #CDS #Crise #Dérives #Finance #François_Hollande #Manuel_Valls #Sarkozy #subprime #Subprimes

  • Loans of households exceed sectors in Turkey | Mustafa Sönmez
    http://mustafasonmez.net/?p=5310

    Loans that fall into the individual loan category of housing, vehicle, personal and credit cards have reached 23.9 percent with 376 billion liras. The non-performing 15 billion liras are not included in this total. In consumer loans, the rate of bad loans is nearing 4 percent and it is over the rate of general non-performing loans. Thus, we can see that the loans of households in mid-2015 reached 390 billion liras.

    Today in Turkey, there is a household loaning culture unseen in the period before 2003. Consumer credits are in the form of housing, vehicle and personal loans, over credit cards and cash credits. Even though they lost their tempo in 2014, they have increased rapidly every year.

    Banks, even though they slowed down a little in past years, have given one-third of their credits to individuals. However, the economic, social and political dimensions of this increase are exaggerated from time to time [...]

    Loaning for what?

    Especially after 2005 when long-term housing credits were available, housing credits in individual loans made up one-third of family loans. While auto credits had an 8 to 9 percent share in earlier years, in later years its share went down to 2 percent. Thus, when talking about household loans, we should remember that 36-37 percent of them are loans to buy houses and cars. These are not loans out of financial difficulties; these are loans made by those who have a stable income. They should be considered separately

    Another mistake made while talking about family loans and individual debt burdens is to look at the loaning relationship within the banking system. As a matter of fact, we know that families loan outside the banks also. Especially those segments which consider the interest rate a sin, loaning with foreign currency, purchases without using credit cards and taking loans from friends are quite widespread. Even if they constitute one-fourth of the loans which stand at 390 billion liras today then the family debt burden is immediately of much higher importance.

    #Crédit #Consommation #Turquie

  • Consommer à #crédit en France et aux États-Unis
    http://www.laviedesidees.fr/Consommer-a-credit-en-France-et-aux-Etats-Unis.html

    Comparant France et États-Unis, Gunnar Trumbull montre que le développement du marché du crédit à la #consommation s’explique par des coalitions d’intérêts différentes qui ont influencé les politiques du crédit de manières opposées.

    Livres & études

    / crédit, consommation, marché, #subprimes

    #Livres_&_études #marché

  • L’origine de la grande récession
    http://www.laviedesidees.fr/L-origine-de-la-grande-recession.html

    Pour Atif Mian et Amir Sufi, l’origine de la Grande Récession américaine est à trouver dans un surendettement des ménages, et non dans un système bancaire sclérosé. Plutôt que de s’attacher à renflouer les #banques, l’administration Obama aurait dû directement s’attaquer au poids de la #dette.

    Livres & études

    / #crise, #subprimes, dette, #immobilier, banques, #crédit

    #Livres_&_études

  • CADTM - Quelques éléments trop peu connus du néolibéralisme
    http://cadtm.org/Quelques-elements-trop-peu-connus

    Beaucoup avaient espéré, lorsque survint la crise des subprimes en 2007-2008, que le néolibéralisme vivait son chant du cygne ; que l’intervention en panique des États pour sauver les banques marquait le retour de Keynes à l’avant-scène du théâtre capitaliste. Il n’en est rien : imperturbable, le bulldozer néolibéral poursuit son cheminement, et il faut encore et encore améliorer la connaissance de ce système en vue de pouvoir un jour lui asséner le coup fatal que ses méfaits lui ont valu de longue date. Le texte qui suit vise à attirer l’attention sur quelques éléments trop souvent oubliés ou minimisés dans bon nombre de textes relatifs au néolibéralisme. D’abord l’existence et l’importance de l’ordolibéralisme, courant d’avant-garde du néolibéralisme ; puis un petit abrégé de quelques éléments de la pensée de Friedrich Hayek, le « pape » du néolibéralisme ; enfin la prise en compte du fait que le néolibéralisme, ce n’est pas qu’un catalogue de mesures macro-économiques : c’est aussi un mécanisme qui influence grandement le mode de penser et d’agir des individus – sur les lieux de travail mais aussi dans la vie privée.
    Beaucoup avaient espéré, lorsque survint la crise des subprimes en 2007-2008, que le néolibéralisme vivait son chant du cygne ; que l’intervention en panique des États pour sauver les banques marquait le retour de Keynes à l’avant-scène du théâtre capitaliste. Il n’en est rien : imperturbable, le bulldozer néolibéral poursuit son cheminement, et il faut encore et encore améliorer la connaissance de ce système en vue de pouvoir un jour lui asséner le coup fatal que ses méfaits lui ont valu de longue date. Le texte qui suit vise à attirer l’attention sur quelques éléments trop souvent oubliés ou minimisés dans bon nombre de textes relatifs au néolibéralisme. D’abord l’existence et l’importance de l’ordolibéralisme, courant d’avant-garde du néolibéralisme ; puis un petit abrégé de quelques éléments de la pensée de Friedrich Hayek, le « pape » du néolibéralisme ; enfin la prise en compte du fait que le néolibéralisme, ce n’est pas qu’un catalogue de mesures macro-économiques : c’est aussi un mécanisme qui influence grandement le mode de penser et d’agir des individus – sur les lieux de travail mais aussi dans la vie privée......

    #économie
    #néolibéralisme #Friedrich-Hayek
    #subprimes
    #ordolibéralisme

    #Keynes

  • Une #crise des #subprimes menace les Grecs
    http://fr.myeurop.info/2013/12/23/une-crise-des-subprimes-menace-les-grecs-12788

    Effy Tselikas

    Sous la pression de l’Union européenne et du FMI, la saisie des maisons ou appartements des familles endettées devrait être autorisée avant le 1er janvier. Avec le risque d’une amplification de la crise immobilière de l’ampleur de celle des subprimes aux États-Unis.

    Quand la police est arrivée sur place, dans la baie de Naupaktos (Lepante), l’homme était assis face à la mer et regardait sa maison brûler. lire la (...)

    #Société #Grèce #logement #spéculation_immobilière

  • ARC Ratings : l’agence de notation alternative se lance aujourd’hui
    http://www.huffingtonpost.fr/2013/11/20/arc-ratings-agence-notation-sp-mooody-fitch_n_4307720.html

    FINANCE - Fini la toute-puissance des trois agences mondiales qui font trembler les gouvernements (Standard & Poor’s, Fitch et Moody’s) ? Pour peser dans le jeu mondial, cinq agences de notation financière ont en effet uni leurs forces et lancent ce mercredi 20 novembre à Londres une agence de notation d’envergure. Baptisée ARC Ratings, elle est destinée à concurrencer les trois gros acteurs qui dominent actuellement le marché : Standard & Poor’s, Moody’s et Fitch. Un détail qui fait la différence, ARC est portée par des pays émergents.

    ARC s’organisera comme une coentreprise, regroupant la portugaise Companhia Portuguesa de Rating (CPR), l’indienne Credit Analysis and Research (CARE), la sud-africaine Global Credit Rating (GCR), la malaisienne Malaysian Rating Corporation (MARC) et la brésilienne SR Rating. « Le monde a changé radicalement depuis l’effondrement du marché des subprimes aux États-Unis en 2008, qui a entraîné la crise du crédit », a déclaré José Poças Esteves, le directeur général de ARC.

    #Économie
    #ARC-Ratings
    #Crise
    #dette
    #Fitch-Ratings
    #Moody's
    #Roland-Berger
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  • Quand les politiques publiques encouragent les bulles immobilières
    http://www.marianne.net/Quand-les-politiques-publiques-encouragent-les-bulles-immobilieres_a233437

    Il semble nul n’ait tiré les enseignements de la crise des subprimes : pas plus les privés que les banques et même les États qui, ayant évacué la catastrophe immobilière US des années 2007 et 2008, participent tous aujourd’hui à gonfler une nouvelle bulle dont l’ampleur semble même dépasser la précédente.

    http://www.marianne.net/photo/art/default/975840-1156521.jpg?v=1383217425

    « Il y a eu plus de volatilité sur le marché immobilier ces cinq dernières années que pendant les cinq cent années précédentes ! ». C’est en ces termes significatifs que s’est tout récemment exprimé Glenn Kelman, grand patron de Radfin, une importante société immobilière américaine, qui ne fait qu’exprimer des inquiétudes légitimes par rapport à un marché immobilier devenu - en tout cas aux États-Unis - aussi volatil que les Bourses.

    Il semblerait que nul n’ait tiré les enseignements de la crise des subprimes : pas plus les privés que les banques et même les États qui, ayant évacué la catastrophe immobilière US des années 2007 et 2008, participent tous aujourd’hui à gonfler une nouvelle bulle dont l’ampleur semble même dépasser la précédente. Une récente étude de Goldman Sachs n’est-elle pas parvenue à la conclusion aberrante que le P.I.B. américain (attendu à 2% pour 2013) serait, en réalité, de - 1% sans l’escalade du marché immobilier ? Voilà donc les gouvernements britanniques et américains qui rivalisent d’inventivité fiscale afin de promouvoir les acquisitions immobilières sur leurs territoires respectifs. Politique insensée assimilable à une campagne contre l’obésité qui serait menée parallèlement à des subventions accordées aux fast-food…

    #économie
    #immobilier
    #propriété
    #subprime