company:ebay

  • Ce que le Libra raconte du futur de Facebook en 5 scénarios
    https://usbeketrica.com/article/libra-raconte-futur-facebook-en-5-scenarios

    Mark Zuckerberg l’a annoncé le 18 juin : Facebook lancera en 2020 sa cryptomonnaie Libra. Un changement de stratégie qui nous a donné envie de réfléchir à ce que pourrait devenir le géant Facebook à horizon 2050. La stratégie de Facebook peut sembler intrépide. Malgré les scandales à répétition sur l’utilisation des données personnelles qui ont visé la plateforme ces dernières années, Mark Zuckerberg rehausse encore ses ambitions. Cette fois-ci, c’est une monnaie qu’il lance avec ses partenaires Uber, eBay, (...)

    #Iliad #MasterCard #Visa #Vodafone #cryptomonnaie #booking.com #eBay #Facebook #Libra #Paypal #Spotify #Uber #domination #BigData #bénéfices (...)

    ##profiling

  • Le libra de Facebook, une monnaie au service de groupes privés | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/international/190619/le-libra-de-facebook-une-monnaie-au-service-de-groupes-prives?onglet=full

    Super article, basé sur des faits (la lecture du livre blanc de lancement du Libra), et qui dégonfle pas mal de baudruches. Peut être un peu trop optimiste, car négligeant les désirs politiques de Zuckerberg...

    Facebook va-t-il créer une monnaie mondiale ? Depuis l’annonce par le géant du numérique du lancement, prévu en 2020, d’une « cryptomonnaie », les fantasmes et les titres ronflants se succèdent. Mais le détail de ce lancement, rendu public le 18 juin sous forme d’un « livre blanc », ramène ce projet dans des limites plus raisonnables. Le « libra », cette nouvelle cryptomonnaie, n’aura guère les moyens de concurrencer le système monétaire international sur lequel, du reste, elle entend se fonder.

    La première est que la blockchain sera fermée. Il faudra disposer d’une permission pour y avoir accès : ce sera donc un protocole privé et non un système ouvert à tous comme l’est le bitcoin. Au lieu d’être fondé sur la collaboration de tous les participants à la blockchain, ce protocole sera centralisé par l’association Libra, qui gérera cette monnaie depuis Genève et sera constituée des partenaires de Facebook (aujourd’hui 28 entreprises dont Iliad, Uber, PayPal, Visa, MasterCard, eBay ou encore Spotify).

    Le « livre blanc » prétend vouloir passer, lorsque la technologie sera au point, à une blockchain ouverte. Le système ouvert est en effet plus lent, il nécessite une validation collective qui prend du temps. Une transaction avec le bitcoin prend environ une dizaine de minutes aujourd’hui (ce temps a déjà été fortement réduit ces dernières années). Or le libra se veut un instrument de paiement avant tout : les transactions doivent donc être instantanées.

    La deuxième différence concerne la valeur. La valeur du bitcoin ne repose sur rien d’autre que sur la confiance dans son algorithme. Celle du libra ne sera pas fixée par un « marché du libra », mais par un panier de devises dont la structure n’est pas précisée, mais qui devrait a minima comporter l’euro, le dollar des États-Unis, la livre sterling, le yen japonais et peut-être le renminbi (ou yuan) chinois. L’association Libra fixera la pondération de chaque monnaie dans ce panier et fixera ainsi la valeur du libra par rapport aux autres devises.

    C’est une méthode utilisée par exemple par le FMI pour établir la valeur de ses droits de tirage spéciaux (DTS), son unité de compte, mais aussi par la Banque centrale chinoise pour fixer le cours du yuan. La valeur du libra ne sera donc pas « fixe », mais elle évoluera en fonction des taux de change des devises du panier. La promesse de l’association est que, en choisissant des devises stables, la valeur du libra ne devrait évoluer qu’à la marge.

    Au-delà de l’aspect technique, le régime monétaire du libra est, donc, in fine, très archaïque. C’est celui de l’étalon monétaire appliqué à un panier de devises, où une banque centrale disposait de réserves exactement équivalentes à ses créances monétaires. Le libra est donc l’équivalent d’une pièce de 20 francs-or de jadis : on savait qu’il y avait dans cette pièce 5,801 grammes d’or fin. Et lorsque l’on disposait d’un billet de cent francs, on pouvait aller l’échanger aux guichets de la Banque de France contre 5 pièces de 20 francs disposant de ce poids d’or.

    Ici, l’association libra promet qu’un libra aura une valeur donnée en dollars ou en euros et qu’à tout moment, on pourra l’échanger contre sa contre-valeur parce qu’elle dispose dans ses réserves du montant exact de ses créances en libras.

    À quoi servira le libra ?

    C’est un système extrêmement sûr, mais bien peu utile dans un régime économique où l’on doit investir dans l’avenir, prendre des risques et faire face à des besoins qui croissent plus vite que l’activité économique. C’est le revers de l’absence de spéculation : il n’y a pas non plus de vraie capacité d’investissement. La lecture du livre blanc montre que l’association cherche surtout à faire du libra une réserve de valeur, ce qui en réalité traduit un biais commercial.

    En faisant du libra un instrument de portage d’actifs liquide et relativement stable, l’association veut favoriser certains usages qui correspondent à l’intérêt des membres les plus puissants de l’association : le transfert de fonds à bon marché, le portefeuille électronique et, in fine, la consommation de biens et services proposés par les partenaires du système. On comprend pourquoi Facebook a attiré des entreprises commerciales dont beaucoup sont spécialisées dans les systèmes de paiement (Visa, MasterCard, Stripe, PayPal ou Lyft).

    Des promesses qui n’engagent que ceux qui y croient

    Facebook, non, a répondu Mark Zuckerberg dans un message publié ce mardi : « Chaque information partagée avec Calibra [la filiale dédiée au libra – ndlr] sera conservée séparément des informations que vous partagez sur Facebook. »

    Ou encore : « À l’exception de cas limités, Calibra ne partagera pas les informations de compte ou les données financières avec Facebook ou toute autre tierce partie sans votre consentement », affirme un communiqué. « Les infos [recueillies par Calibra – ndlr] ne seront pas utilisées pour le ciblage publicitaire sur Facebook », réaffirme à Mediapart un responsable de la communication de la compagnie pour l’Europe.

    Pour David Marcus, ancien dirigeant de PayPal qui supervise le projet pour Facebook et s’est s’exprimé sur Twitter, « une des raisons de créer Calibra est d’avoir une entité dédiée et régulée, qui s’engagera fermement à protéger la vie privée de ses clients, car nous avons entendu haut et fort que vous ne vouliez pas que les données sociales et financières soient mélangées ».

    Cette collecte et sa monétisation sont au cœur du savoir-faire de Facebook, WhatsApp, Instagram… On imagine mal que sa nouvelle filiale soit durablement privée de ces talents. Olena Havrylchyk, professeure d’économie à l’université Paris I-Panthéon Sorbonne, s’interroge : « L’histoire a montré que le modèle économique de Facebook avait déjà changé dans le passé, passant de la protection de la vie privée (lorsque Facebook n’avait pas de parts de marché) à la surveillance (après, devenu un monopole). Peut-on s’attendre à une évolution similaire dans le modèle de Libra ? »

    Facebook ayant préempté toute la communication sur le projet, sans compter son architecture technique, on ignore quel usage les autres membres de l’association feront des données récoltées. Uber pourra-t-il adresser des publicités spécifiques à ses clients utilisateurs de libra ? À leurs amis ? Des ristournes ? Visa et MasterCard pourront-ils collecter des données que jusque-là ils ne possèdent pas, comme les relations des détenteurs de cartes de crédit ?

    Que pourront faire exactement les utilisateurs ? Plafond de dépenses, de rechargement en libras, d’envoi d’argent : on n’en sait rien à ce stade. Quiconque a utilisé PayPal ou d’autres moyens de transfert d’argent sait qu’il ne suffit pas d’avoir un compte créditeur pour que ça passe.

    Le problème du libra n’est pas réellement le fait qu’une entreprise privée crée une monnaie, puisqu’il n’y aura pratiquement aucune autonomie de création monétaire. Il est d’ailleurs piquant, de ce point de vue, de voir beaucoup d’observateurs prétendre que Facebook, avec sa monnaie privée, viendrait sur le terrain d’une prérogative des États. C’est doublement faux.

    D’abord parce que Facebook ne va pas vraiment « battre monnaie », puisque chaque libra sera couvert par le montant équivalent en devises émises par les banques centrales.

    Ensuite parce que le système actuel est déjà un système de création monétaire privée. Ce sont les banques commerciales qui aujourd’hui, dans les contraintes fixées par la Banque centrale tant sur le plan monétaire (le niveau des taux) que sur celui de la régulation (les ratios de solvabilité et le montant des réserves obligatoires), émettent l’essentiel de la monnaie en circulation par la distribution de crédits. Lorsqu’une banque émet un crédit, elle n’a pas cet argent dans un coffre, comme le libra devra l’avoir : elle crée la monnaie ex nihilo.

    #Facebook #Libra #Monnaie_numérique #Cryptomonnaie #Economie_monétaire

  • Facebook crée son propre écosystème d’affaires avec sa cryptomonnaie Libra
    https://theconversation.com/facebook-cree-son-propre-ecosysteme-daffaires-avec-sa-cryptomonnaie

    Face aux attaques internes (leadership, gouvernance, etc.) et menaces externes (concurrence, technologie, etc.), l’emblématique patron de Facebook a choisi de réagir de façon à la fois spectaculaire, technologique et massive. Mark Zuckerberg et ses 27 partenaires prestigieux – Uber, Visa, Booking.com, eBay, Spotify, PayPal ou Iliad (Xavier Niel) ont en effet commencé à communiquer depuis quelques semaines sur la naissance imminente de la fondation Suisse Libra Association qui aura la charge de (...)

    #Iliad #MasterCard #Stripe #Visa #Vodafone #cryptomonnaie #Instagram #WhatsApp #WeChat #eBay #Facebook #booking.com #Libra #LinkedIn #Paypal #Pinterest #Spotify #Twitch #Twitter #Uber #YouTube #domination #BigData #bénéfices #marketing (...)

    ##profiling ##Kiva ##MercadoLibre ##Branch

  • Facebook’s Libra: Three things we don’t know about the digital currency - MIT Technology Review
    https://www.technologyreview.com/s/613801/facebooks-libra-three-things-we-dont-know-about-the-digital-curren

    If it’s not the most high-profile cryptocurrency-related event ever, Facebook’s launch of a test network for its new digital currency, called Libra coin, has been the most hyped. It is also polarizing among cryptocurrency enthusiasts. Some think it’s good for the crypto industry; others dislike the fact that a big tech company appears to be co-opting a technology that was supposed to help people avoid big tech companies. Still others say it’s not even a real cryptocurrency.

    Libra’s network won’t work that way. Instead, running a “validator node” requires permission. To begin with, Facebook has signed up dozens of firms—including Mastercard, Visa, PayPal, Uber, Lyft, Vodafone, Spotify, eBay, and popular Argentine e-commerce company MercadoLibre—to participate in the network that will validate transactions. Each of these “founding members” has invested around $10 million in the project.

    That obviously runs counter to the pro-decentralization ideology popular among cryptocurrency enthusiasts.

    Today’s public blockchains use too much energy and process transactions too slowly to elicit mainstream demand. This is probably the biggest obstacle to adoption of cryptocurrencies. It’s why Facebook chose not to use proof of work, the process that Bitcoin uses to reach agreement among the blockchain network’s nodes, citing its “poor performance and high energy (and environmental) costs.”

    If the high-powered roster of financial firms and technology companies beat Ethereum to the punch on proof of stake, it would be ironic: public blockchains are supposed to disrupt Big Tech, not the other way around.

    On top of all that, how serious is Facebook is about achieving decentralization and becoming a “real” cryptocurrency? Perhaps the fact it has made a big song and dance about being decentralized is simply a way of offsetting the firm’s appalling record on data privacy. But will users demand that the currency be more decentralized—or will many simply not care?

    #Crypto_monnaie #Monnaie_numérique #Libra #Facebook

  • Facebook : Libra, une monnaie pas si révolutionnaire
    https://www.alternatives-economiques.fr/facebook-libra-une-monnaie-revolutionnaire/00089666

    En 2020, les utilisateurs de Facebook pourront régler des transactions passant par le réseau social grâce à sa monnaie, le libra. C’est ce que devrait annoncer ce mardi 18 juin Mark Zuckerberg, le patron de Facebook. Uber, Spotify, Booking, eBay... sont de la partie : il devrait aussi être possible de payer chez eux en libra. Visa, Paypal, Mastercard en profiteront pour proposer des services financiers. Beaucoup d’éléments restent encore incertains quant aux conditions de lancement et d’utilisation (...)

    #MasterCard #Visa #cryptomonnaie #booking.com #eBay #Facebook #Uber #Spotify #Paypal #Libra (...)

    ##domination

  • „Die beste Zeit des Taxigewerbes“
    https://www.taxi-times.com/die-beste-zeit-des-taxigewerbes

    29. Mai 2019 von Jürgen Hartmann

    Das Eurocab-Treffen der FMS- und taxi.eu-Taxizentralen stand ganz im Zeichen des Mobilitätswandels und eines eindringlichen Appells, sich noch mehr zu digitalisieren.

    Am Dienstag und Mittwoch trafen sich die Verantwortlichen europäischer Taxizentralen zum Eurocab. Gastgeber des mittlerweile zum zwanzigsten Mal ausgetragenen Meetings aller FMS-Kunden war dieses Jahr die Luxemburger Taxizentrale Colux Taxis, deren Geschäftsführer Olivier Gallé, der bei seiner Begrüßung auch gleich den Apell „Gemeinsam sind wir stark“ formulierte, ein Appell, den Eurocab-Präsident Koen Van Oorschot dann auch gleich aufgriff, und der sich fortan wie ein roter Faden durch alle Vorträge der beiden nächsten Tage ziehen sollte. Die beschworene Gemeinsamkeit ist beim Eurocab durch den einheitlichen Systemanbieter fms/Austrosoft gegeben, allerdings wurde schon beim ersten Vortrag klar, dass ein einheitliches System noch lange keine Garantie für eine geschlossene Außenwirkung ist.

    In diese Richtung zielte auch der erste Vortrag von Michael Weiss, einem der Geschäftsführer der FMS Austrosoft. Anders als bei vielen Eurocabs zuvor war das Treffen keine ausschließliche Leistungsschau der Vermittlungsmöglichkeiten (Callbot, Businessportal etc.), sondern ein Ausblick auf die digitalen Herausforderungen der Zukunft.
    Zentralenchefs aus sieben Ländern nahmen am Eurocab teil. Foto: Taxi-Times

    Weiss baute seinen Vortrag dazu stringent auf, indem er zunächst einmal den Status quo der Mobilität schilderte, von Städten berichtete, die im Verkehr und den damit verbundenen Umweltproblemen ersticken und Studien zitierte, die eine drastische Zunahme des Individualverkehrs durch Uber & Co belegen – mit dem Fazit, dass die Politik dringenden Handlungsbedarf erkannt hat und im Rahmen ihrer Lösungen nun zwischen „Wildem Westen und Hypereffizienz“ entscheiden muss.

    Für Weiss ist klar, dass die neuen Anbieter wie Didi, Lyft, Uber, Ola etc. diese Probleme nicht lösen können. Er sieht hier, dass das Taxi als eigentlichen Partner der Politik sein kann, sofern man sich als Teil des ÖPNV definiert bzw. politisch anerkannt wird. „Wenn man sich diese Entwicklung und all die Studien anschaut, müsste jetzt eigentlich die beste Zeit des Taxigewerbes kommen“, sagte Weiss. „In den über 30 Jahren, in denen ich dieses Geschäft mache, habe noch nie gesehen, dass Taxis so gebraucht werden wie aktuell.“

    Doch trotz dieser Steilvorlage nimmt Weiss das Taxi als eine „sich nicht ändern wollende Branche“ wahr, welche die Zeichen der Zeit nicht erkenne und primär um seine Existenz fürchte. Als hinderlich im bevorstehenden Wandel bezeichnet der FMS-Geschäftsführer, dass man Taxi als Einheitsprodukt zum Einheitspreis präsentiere, und dass Kunden ihre Taxis ohne Preisangaben bestellen müssten. „Wo gibt es das sonst, dass man ein Produkt im Internet bestellt und den Preis erst erfährt, wenn die Rechnung im gelieferten Päckchen auftaucht“, fragte Weiss.
    Erfahrungsaustausch mit dem FMS Support. Foto: Taxi Times

    Als weiteren Mangel sieht Weiss, dass es zwar bei den Angeboten eine Vielzahl von Insellösungen gibt, aber keine intelligente Vernetzung untereinander stattfindet. Nicht zuletzt sei auch die fehlende Öffnung der Kanäle zu Mobilitätspartnerschaften ein großes Manko. Um also wirklich zu einem Problemlöser für ökologische Mobilität zu werden, benötigt die Taxibranche einen internen Gesinnungswandel.

    Dafür gebe es kein Patentrezept, aber ein Bündel an Maßnahmen, die alle unter dem Schlagwort „Digitalisierung“ getroffen werden und die oben beschrieben Mängel in Dienstleistungsangebote verwandeln – für Kunden, die googeln, bei Amazon und Ebay kaufen und deshalb ihre Mobilität auch bei Apple und Google Maps suchen. „Dort müssen sie uns finden, uns buchen und auch bezahlen können“, sagt Weiss.

    Solche digitalen Ketten funktionieren aber nur mit modernster Technik in den Taxis, weshalb Weiss an dieser Stelle eindringlich an die anwesenden Zentralenchefs appellierte, jetzt auf die entsprechende Technik umzusteigen, die man als Hersteller zur Verfügung stellen könne.
    Fachgspräch der Basler Kollegen. Foto: Taxi-Times

    Dass die Dringlichkeit gegeben ist, ist allen Beteiligten klar, doch in den Gesprächen während der Kaffeepausen wird schnell klar, dass es sich für die Zentralen nicht so einfach darstellt. Jedes Vermittlungsfeature verursacht Kosten (Entwicklung, Lizenz, Wartung) und muss von den Zentralen an die angeschlossenen Teilnehmer weitergegeben werden. Das erhöht die Kosten und verschlechtert deren Position im Wettbewerb mit anderen lokalen Taxizentralen oder mit den digitalen Anbietern. „Das ist ein Teufelskreislauf“, fasst ein Teilnehmer das Dilemma während des Mittagsessens zusammen.

    Spätestens an dieser Stelle kam nun wieder der rote Faden ins Spiel, dass man als Taxibranche und auch als örtliche Taxizentrale nur gemeinsam stark sein kann. In allererster Linie natürlich durch die eigene App taxi.eu, die man in Kürze unter dem Dach einer „Europa Taxi Aktiengesellschaft“ auf finanziell breitere Füße stellen will, aber auch durch Partnerschaften mit anderen Mobilitätsanbietern und Vernetzungen mit deren System. Ein Züricher Kollege der 44-er Zentrale präsentierte nicht ohne Stolz ein gemeinsam mit FMS entwickeltes Feature, das dem Kunden die Wahl zwischen verschiedenen Preiskategorien ermöglicht. Neben dem Standardtaxitarif kann er auch einen Billigtarif wählen, mit dem er dann sogar günstiger als Uber fährt. Dabei hat nicht nur der Kunde die Wahl, sondern auch der Taxifahrer.

    Über die Fahrer-App kann er zu Schichtbeginn auswählen, ob er Aufträge aller Preiskategorien vermittelt bekommt oder nur bestimmter Kategorien. Diese Möglichkeit stehe nun auch den anderen Zentralen zur Verfügung, sagt 44-er-Mitarbeiter Daniel Bienek. Durchaus beruhigend für Zentralen in den Ländern, in denen (noch) ein fester Taxitarif gilt.

    #Taxi #Europa #disruption #Digitalisierung #ÖPNV #Poitik

  • Hindenburgdamm
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Hindenburgdamm-12203-Berlin


    Rede Adolf Hitlers anläßlich der Beisetzung Paul von Hindenburgs im Tannenberg-Nationaldenkmal von Hohenstein (Olsztynek), Ostpreußen

    Im schwärzesten aller Berliner Bezirke häufen sich die Reminiszenzen an Preußens Gloria. Am Ostpreußendamm (ab 1961) , der an die verlorenen Ostgebiete erinnert, liegt das ehemalige Tannenberg Gymnasium (1933-1990) und einen Hindenburgdamm (ab 16.11.1914), der nicht auf die Insel Sylt führt, gibt es auch. Der Dreiklang steht für die Kontinuität vom preußischen Militarismus über die Naziherrrschaft zum Rechtsaußen-Revanchismus der lokalen CDU. Namen der Helden aus der Weimarer Republik oder dem ersten sozialistischen deutschen Staat finden sich in Steglitz-Zehlendorf so gut wie keine, zumindest fällt dem Autor ad hoc nichts dazu ein.

    Ortsteil: Nr. 1-62, 68-138 Lichterfelde, Nr. 64-65E Steglitz
    Straßenverlauf: von Königsberger Straße, Drakestraße und Goerzallee bis Schloßstraße und Braillestraße Nr 1-65E, zurück 68-138
    Ehemaliger Bezirk: Steglitz
    Alte Namen: hausseestraße (vor 1878-1914)
    Name seit: 16.11.1914

    Der Vollständigkeit halber sei auch der Berliner Hindenburgplatz erwähnt.
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Hindenburgplatz-14053-Berlin

    Straßenverlauf: an Friedrich-Friesen-Allee

    Der ist ein Sportfeld auf dem Gelände des Sportforums im Westend, westlich des Gutsmuthsweg und nördlich der kreuzenden Friedrich-Friesen-Allee
    https://www.openstreetmap.org/way/54065472#map=15/52.5180/13.2408

    Schlacht bei Tannenberg (1914)
    https://de.wikipedia.org/wiki/Schlacht_bei_Tannenberg_(1914)

    Die Schlacht bei Tannenberg war eine Schlacht des Ersten Weltkrieges und fand in der Gegend südlich von Allenstein in Ostpreußen vom 26. August bis 30. August 1914 zwischen deutschen und russischen Armeen statt. Die deutsche Seite stellte hierbei 153.000 Mann, die russische Seite 191.000 Soldaten ins Feld. Sie endete mit einem Sieg der deutschen Truppen und der Zerschlagung der ins südliche Ostpreußen eingedrungenen russischen Kräfte.

    Anfänglich in den deutschen Medien als „Schlacht bei Allenstein“ bezeichnet, wurde sie auf Wunsch Paul von Hindenburgs kurze Zeit danach zu Propagandazwecken in Schlacht bei Tannenberg umbenannt. Tatsächlich liegt nicht die Ortschaft Tannenberg (heute Stębark) unmittelbar im Hauptkampfgebiet, sondern Hohenstein. Mit der Namensgebung sollte die in der deutschen Geschichtsschreibung als Schlacht bei Tannenberg bezeichnete Niederlage der Ritter des Deutschen Ordens gegen die Polnisch-Litauische Union im Jahre 1410 überstrahlt werden.

    Ostpreußendamm
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Ostpreussendamm-12207-Berlin

    Straßenverlauf: von Siemensstraße und Gärtnerstraße über Schwelmer Straße bis Stadtgrenze Nr 1-100, zurück 101-184
    Ehemaliger Bezirk: Steglitz
    Alte Namen: Berliner Straße (vor 1878-1961)
    Name seit: 1.10.1961

    75 JAHRE TANNENBERG Gymnasium 1905-1980 Berlin Ostpreußendamm Chronik Geschichte - EUR 22,90 | PicClick DE
    https://picclick.de/75-Jahre-Tannenberg-Gymnasium-1905-1980-Berlin-Ostpreu%C3%9Fendamm-Chronik-


    Im Jahr 1980 war der Name „Tannenberg“ noch derart selbstverständlich für Schulleitung und Verfasser Dr. H. Schwarz, dass im Titel der Festschrift einfach unterstellt wurde, die Schule wäre schon immer nach der Schlacht im ersten Weltkrieg benannt gewesen. Tannenberg war ein fester Bestandteil der deutschen Mythologie, die fest in die Köpfen der Lichterfelder Honoratioren hineingeprügelt worden war. Präzise hätte der Titel lauten müssen 47 Jahre Tannenberg Gymnasium . Der Bezug zur Naziherrschaft wäre dann wohl doch zu auffällig gewesen. So entschied man sich fürs ewig Deutsche und vergaß mal eben, welche Bedeutung Name und Datum der Benennung haben.

    75 Jahre Tannenberg Gymnasium 1905-1980 Berlin Ostpreußendamm Chronik Geschichte
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    **Tannenberg Gymnasium** **Tannenberg Gymnasium** 75 Jahre / 1905 - 1980 Festschrift Ostpreußendamm 166 - 168, 1000 Berlin 45 Redaktion: Dr. H. Schwarz Ruksaldruck Broschiert; 129 Seiten, gut erhaltenes, sauberes Exemplar! 22 x 22 cm Condition: Gut, Condition: Broschiert; 129 Seiten, gut erhaltenes, sauberes Exemplar!22 x 22 cm

    Vom Tannenberg zum Willi-Graf-Gymnasium
    https://willi-graf-gymnasium.de/WirUeberUns/Historie/Namensgebung

    18. Januar 1933

    Das REALGYMNASIUM BERLIN LANKWITZ bittet den Bezirksschulausschuß, der Schule den Namen „Tannenberg“ zu verleihen:

    Im Auftrage von Lehrerkollegium und Elternbeirat bitte ich, dem Realgymnasium Lankwitz den Namen „Tannenberg-Realgymnasium zu Berlin Lankwitz“ zu verleihen. Lehrerkollegium und Elternbeirat haben sich bei der Wahl dieses Namens von der Hoffnung leiten lassen, daß von ihm Entwicklungen besonderer Art auf die Schüler ausgehen können und werden. Der Name Tannenberg erinnert nicht nur an die Tage höchster Leistung und höchsten Ruhmes und ist so geeignet, vaterländischen Stolz zu erwecken; er erinnert ebenso an Zeiten tiefsten Falles, verursacht durch den Nationalfehler der Zwietracht und soll dadurch zu einer Mahnung werden. Er soll die Schüler, die durch den Lehrplan vor allem auf den westeuropäischen Kulturkreis hingeführt werden, auf die Bedeutung des Ostens für Volk und Vaterland hinweisen und zugleich eine Huldigung sein für unseren Führer in Krieg und Frieden, den Reichspräsidenten Hindenburg, dessen Name so unlösbar mit dem Namen Tannenberg verbunden ist.

    gez. Dr. von Hymmen
    Studiendirektor

     

    18. November 1933

    Das REALGYMNASIUM BERLIN LANKWITZ teilt dem Reichspräsidenten Hindenburg die Benennung der Schule nach der Schlacht von Tannenberg mit:

    Hochzuverehrender Herr Reichspräsident, Herr Generalfeldmarschall!

    Durch Erlaß des Preußischen Herrn Ministers für Wissenschaft, Kunst und Volksbildung vom 1. November 1933 ist dem Städtischen Realgymnasium zu Berlin Lankwitz die Bezeichnung „Tannenberg-Schule“ verliehen worden. Ihnen als dem Manne, dessen Name mehr als der irgend eines anderen mit dem Namen Tannenberg verbunden ist, gibt die Schule von dieser Auszeichnung Kunde. Gleichzeitig legt sie das Gelöbnis ab, in dieser Auszeichnung eine neue Verpflichtung zu sehen, den Geist der Augusttage von 1914 für immer in der deutschen Jugend lebendig zu erhalten. In tiefster und dankbarster Verehrung das Lehrerkollegium der Tannenberg-Schule zu Berlin Lankwitz.

    gez. Dr. von Hymmen

     

    21. November 1933

    Der Herr Reichspräsident dankt der Schule für die Benennung:

    Sehr geehrter Herr Studiendirektor!

    Für Ihre freundliche Meldung vom 18. d. Mts., in der Sie mir die Neubenennung des Realgymnasiums zu Lankwitz als „Tannenberg-Schule“ mitteilen, danke ich Ihnen herzlich. Dem Lehrerkollegium und den Schülern der Anstalt sende ich aus dem denkwürdigen Anlaß meine herzlichen Glückwünsche in der Hoffnung, daß der Geist vaterländischer Einigkeit und Opferbereitschaft stets in den Räumen der Anstalt eine Heimstätte haben möge.

    Mit freundlichen Grüßen

    gez. von Hindenburg

     

    07. November 1985

    41 von ca. 60 Lehrern der Tannenberg-Oberschule sprechen sich im Rahmen einer Lehrergesamtkonferenz für eine Namensänderung aus

    25. Februar 1986

    Beschluß der Schulkonferenz (10:2 Stimmen), eine Namensänderung beim Bezirksamt zu beantragen

    12. Mai 1986

    Ablehnung des Antrags durch das Bezirksamt (5:2 Stimmen)

    16. Mai 1986

    Anfrage der SPD-Fraktion über die Namensänderung der Tannenberg-Oberschule

    20. Mai 1986

    Antrag der SPD-Fraktion auf Namensänderung der Tannenberg-Oberschule

    02. Juni 1986

    Sitzung der Bezirksverordneten-Versammlung: Namensänderung wird in Schulausschuß verwiesen

    26. Juni 1986

    Sitzung des Schulausschusses - Ablehnung des Antrags der Schulkonferenz auf Namensänderung

    10. September 1986

    Brief von 41 Lehrern der Tannenberg-Oberschule an die Bezirksverordneten Berlin-Steglitz

    06. Oktober 1986

    Podiumsdiskussion in der Tannenberg-Schule zum Thema „Ist Tannenberg ein verdorbener Name?“

    15. Oktober 1986

    Sitzung der Bezirksverordneten-Versammlung; Tannenberg -Namensänderung wird mit 25:18 Stimmen abgelehnt

    29. Januar 1989

    Wahlen zum Berliner Abgeordnetenhaus und zu den Bezirksverordnetenversammlungen. Die CDU verliert die absolute Mehrheit in Berlin-Steglitz

    03. April 1989

    Antrag der FDP - Fraktion in Steglitz auf Namensänderung der Tannenberg-Oberschule

    24. Mai 1989

    Der Schulausschuß empfiehlt der BVV, dem Antrag der FDP zuzustimmen

    20. September 1989

    Sitzung der BVV Steglitz: Der Antrag der FDP und SPD wird mit 23 zu 21 Stimmen angenommen

    25. September 1989

    Der Stadtrat für Volksbildung fordert die Tannenberg-Oberschule auf, Vorschläge für einen neuen Namen zu sammeln

    15. Februar 1990

    Projekttag der Schule zur Namensfindung. Es liegen 15 Vorschläge vor

    02. März 1990

    Abstimmung der Schüler über Beibehaltung des Namens Tannenberg

    03. März 1990

    Abstimmung der Schüler über neuen Namen

    04. März 1990

    Meinungsbild bei den gewählten Elternvertretern

    05. März 1990

    Abstimmung auf der Gesamtkonferenz der Lehrer

    22. März 1990

    Die paritätisch besetzte Schulkonferenz macht dem Bezirksamt 4 Namensvorschläge.

    21. Mai 1990

    Das Bezirksamt beschließt mit den Stimmen von SPD und AL gegen die der CDU die Umbenennung der Tannenberg-Oberschule in Willi-Graf-Oberschule.

    Die Entscheidung des Bezirksamts:

    Auszüge aus der Begründung des Volksbildungsstadtrats:

    (...) Der neue Name der Schule soll die jahrelange Diskussion über den Schulnamen beenden und den Schülern eine positive Vorbildfunktion geben. Das Bezirksamt hat am 21.5. 90 beschlossen, daß die Schule künftig den Namen „Willi-Graf-Oberschule“ tragen soll. (...) Der künftige Name der Schule bietet den Schülerinnen und Schülern Gelegenheit, sich mit Willi Graf und der Gruppe der „Weißen Rose“ zu befassen, sich mit ihrer Denkweise auseinanderzusetzen und diese zu hinterfragen. Willi Graf und seine Freunde waren mutige junge Menschen, die bereit waren, Verantwortung zu übernehmen; die nicht nur genau hinsahen, sondern auch handelten, um etwas zu verändern. Der künftige Name ist auch Auftrag an die Schülerinnen und Schüler, sich mit den geschichtlichen Entwicklungen auseinanderzusetzen, die zur Schreckensherrschaft der Nationalsozialisten und zum 2. Weltkrieg geführt haben. Er bietet daher auch die Möglickeit, sich rückblickend mit dem alten Namen der Schule und dem historischen Hintergrund der Namensgebung „Tannenberg-Oberschule“ im Jahre 1933 auseinanderzusetzen. Aus diesem Grunde hat sich das Bezirksamt trotz der von Teilen der Lehrer, Schüler- und Elternschaft favorisierten anderen Namen endgültig für „Willi-Graf-Oberschule“ entschieden. Alle Mitglieder der Schulkonferenz haben nach ausführlicher Diskussion über die Stellungnahme der Abt. Volksbildung zu den eingereichten Vorschlägen im Rahmen einer abschließenden Anhörung am 14. Mai die Entscheidung der Abt. Volksbildung akzeptiert.

    Härtel

    Bezirksstadtrat

     

    Es wurde zitiert nach:

    Resag, Christina mit Unterstützung des Bezirksamts (Herausgeber) :
    Vom Umgang mit unserer Geschichte: Der Streit um den Namen Tannenberg

    Geboren vor fast 100 Jahren › Stadtteilzentrum Steglitz e.V.
    https://www.stadtteilzentrum-steglitz.de/2014/11/geboren-vor-fast-100-jahren


    Die Erzählung dieses Ehemaligen des Lankwitzer Realgymnasiums verkörpert die typische Sichtweise auf die letzten einhundert Jahre Bezirksgeschichte.

    Der Versailler Friedensvertrag tritt am 10. Januar in Kraft. Deutschland leidet unter dem schwierigen Wiederaufbau nach dem Krieg und durch die immensen Reparationsleistungen, die aufgrund des Vertrags erbracht werden müssen. Es herrscht Mangel unter dem die Menschen leiden. Die NSDAP wird gegründet. Der Kapp-Putsch treib Parteien und Gewerkschaften auf die Straße. Es ist das Jahr 1920, das Geburtsjahr von Heinz Rothe, in dem seine Kindheit begann. In diesem Jahr wird er am 27. November 94 Jahre alt und trotzdem erinnert er sich an die Kindheit, als wäre sie gestern erst gewesen. Eine Kindheit, die mit den heutigen Kindertagen so wenig Gemeinsamkeit hat.

    Heinz Rothe wird in der Kaserne des Gardeschützenbataillons im Gardeschützenweg, der früheren Steglitzer Straße in Lichterfelde geboren. Der Vater war Berufssoldat, arbeitete dort in der Bataillonsschmiede, die er als Feldwebel leitete und so konnte die Familie eine kleine Dienstwohnung beziehen. Das Kasernenleben wurde eine der prägendsten Erinnerungen für Heinz Rothe. Für den Jungen gehörte das Militär zum gewohnten Bild, lebte er mit den Eltern ja mitten im Kasernenalltag. Exerzierende oder Sport treibende Soldaten, Militärmusik, Paraden, gehörten genauso dazu wie Uniformen und ein korrekter Gruß unter den Männern. Wollten die Eltern ins Theater gehen, wurde der Junge im Kinderbett in die Stube des Feldwebels geschoben, wo er schlief bis die Eltern heimkehrten. Und später als er auf Entdeckungsreise ging, wurde die ganze Kaserne ein riesengroßes Abenteuerland für ihn. Es gefiel ihm natürlich, bot die Kaserne doch alles, was kleine Jungen sich in der Zeit für heldenhafte Abenteuer ausdachten. Er wurde immer fündig in der Schmiede, der Tischlerei und selbst die Kleiderkammer bot mit Schulterklappen und Knöpfen viele Möglichkeiten, sich Geschichten auszudenken. Heinz Rothe erinnert sich an ein Schaukelpferd, das mit echten Fellen und einem richtigen Sattel ausgestattet war. Eine Eisenbahn mit Dampfmaschine und ein Bahnhof aus Blech gehörte zu seinem Spielzeug. Für zehn Pfennig konnte er sich fünf Zinnsoldaten kaufen und sich mit ihnen in sein Spiel vertiefen. Brauchte er einen Groschen, ging er zu den Soldaten bei denen er für ein ordentliches Lied das Gewünschte bekam und beim Bäcker gegenüber der Kaserne in einen Lutscher, Gebäck oder ein paar Bonbons tauschen konnte. Seine Freunde kamen gerne zu ihm in die Kaserne, in der es immer etwas Spannendes zu erleben gab.

    annaschmidt-berlin_heinz_rothe_3Mit den Eltern hat er kaum gespielt, wenn eher mit der Mutter. Den Vater sah er eher wie einen großen Bruder an, war er doch sehr beschäftigt. Die Mutter war auch die strengere von beiden, die durchaus mal den Kochlöffel gebrauchte. Hatte er sich bei den Aufgaben verschrieben, kannte sie kein Pardon und riss ihm die Seite aus dem Heft. An die Weihnachtsfeste kann er sich gut erinnern, aber sie wurden doch ganz anders als heute gefeiert. An Wachskerzen und viel Lametta erinnert er sich. Das besondere am Fest war jedoch mal eine Dose Sprotten oder eine Kiste Mandarinen, das war eben so in der kargen Zeit. Dabei ging es der Familie noch gut, denn hin und wieder kam es vor, dass einer der Soldaten, der die Bügelhilfe der Mutter zu schätzen wusste, mit einem Fasan oder einem Huhn vorbeikam.

    1927 konnte die Familie in ein Zweifamilienhaus der Genossenschaft Lankwitz umziehen. Der Vater war in der Zwischenzeit Beamter geworden und hatte Anspruch auf diese Wohnung. Für Heinz Rothe begann in diesem Jahr zusätzlich die Schulzeit. Die Paul-Schneider-Schule sollte für die nächsten Jahre sein Leben prägen. Dies besonders in der Person des Lehrers Paul Hiller. Eine Klasse mit 42 Schülern leitete er nach seiner Lehrerauffassung. Paul Hiller habe ihn den Grundstock für’s Leben gegeben, sagt Heinz Rothe, ein Lehrer, der auf Disziplin setzte, durch aus den Rohrstock gebrauchte, dennoch gerecht und korrekt war. Die Zeichnungen aus der Schulzeit hat Heinz Rothe noch alle zuhause. Sieht man sie durch, erkennt man auf den ersten Blick, wie korrekt die Aufgaben von den Schülern durchgeführt werden mussten. Später ging er auf das Tannenberg-Gymnasium, derzeit eine reine Jungenschule, auf der er 1939 das Abitur machen konnte. Da er vom Elternhaus her zur minderbegüterten Klasse gehörte, konnten sich die Familie das Schulgeld von 15 Reichsmark leisten, was nicht vielen Schülern möglich war. Von 1934 gehörte Heinz Rothe der Hitlerjugend an. Das erzählt er ohne besondere Scheu, denn dort wurde den jungen Leuten das geboten, was sie suchten. Jeden Mittwoch gab es einen Heimatabend, bei dem von 16.00 – 18.00 Uhr Lieder gesungen wurden, sie konnten an Zeltlagern und vielen Dingen, die Jugendliche in dem Alter gerne machten, teilnehmen. Politische Richtungen waren kaum Inhalt der Aktivitäten, galt es zunächst nur Bindungen zu schaffen und die Jugendlichen für gemeinsame Ziele zu begeistern.

    annaschmidt-berlin_heinz_rothe_2Nach dem Abitur begann für Heinz Rothe der Arbeitsdienst und später wurde er Offizier. Die Kindheit und das Elternhaus hatten sein Leben militärisch geprägt, in einer Zeit, in der dem Militär ein hohes gesellschaftliches Ansehen entgegen kam. Mit dem Jahr 1939 hörte die Kindheit für ihn auf, die später in Kriegs- und Gefangenschaftserlebnisse münden sollte. „Ich habe überlebt!“ heißt sein Buch in dem er diese Lebensphase schildert und verarbeitet. Er hat den Weltkrieg überlebt, konnte nach sechs jähriger Kriegsgefangenschaft in der Sowjetunion am 4. Mai 1950 in ein zerstörtes Deutschland zurückkehren. Der Vater war erschossen worden und um die Mutter nicht alleine zu lassen blieb er bei ihr. Er wurde Beamter und später Zollrat – Leiter der Zentralstelle für alle Meldungen, die von den Zollbeamten an der Grenze als „ Auge und Ohr“ fernmündlich ihm zugeleitet wurden. Heinz Rothe kann sein ganzes Leben belegen – in Bildern, Berichten, Ausweisen, Briefen, Urkunden und vielem mehr. Er ist Zeitzeuge für den BND, bei dem er jüngst einen Vortag in seinem Geburtszimmer halten durfte. Zeitzeuge für die Olympiade 1936 in Berlin, für die 700 Jahr Feier der Stadt Berlin, für die Paul-Schneider-Schule, die frühere Tannenberg-Schule (dem heutigen Willi-Graf-Gymnasium) und vieles mehr. Was besonders beeindruckt, ist sein waches Erzählen und der Wunsch auch noch eine 100 als Geburtszahl zu erreichen. Das was er aktiv erlebt hat, können die meisten von uns nur noch aus den Geschichtsbüchern erfahren. Ein großartiger Mann und beeindruckender Zeitzeuge!

    Das Buch “Ich habe überlebt“ ist persönlich bei Heinz Rothe für 16 Euro, Telefon 030 7 72 24 51, erhältlich.

    #Berlin #Steglitz #Lichterfelde #Hindenburgdamm #Ostpreußendamm #Ostpreußenplatz #Westend

    • Je ne retrouve pas de version complète du dossier en ligne, juste une version archivée mais très incomplète :
      http://bat8.inria.fr/~lang/ecrits/libe/www.liberation.fr/multi/trombinet/index.html

      Seule la partie « Les activistes » affiche encore la liste des heureux sélectionnés (hommes, blancs, pas trop de femmes s’il vous plaît) :
      http://bat8.inria.fr/~lang/ecrits/libe/www.liberation.fr/multi/trombinet/pop_acti.html

      Le seul élément qui permet de se faire une idée des autres heureux élus, c’est un récapitulatif dans la version 2002, évoquant ce que sont devenus ceux de 2001. Où l’on se souviendra qu’à cette époque, pour les médias, le Web commençait à sérieusement se limiter aux formidables entreprenautes de la nouvelle économie.

      Ils étaient dans le trombi. net en 2001...
      https://www.liberation.fr/cahier-special/2002/03/22/ils-etaient-dans-le-trombi-net-en-2001_397933

      ... ils sont en place

      Thierry Ehrmann, président du groupe Serveur, poursuit l’aventure d’Artprice. Anne-Sophie Pastel, PDG d’Aufeminin, le premier portail féminin français. Laurent Alexandre, président de Medcost, a réorienté sa société vers l’ingénierie informatique. Patrick Chêne, président du portail Sporever qui s’est spécialisé dans la fourniture de contenus sportifs à des sites et chaînes de télévision. Isabelle Bordry, toujours à la tête de Yahoo France. Patrice Legrand, PDG de Boursorama, toujours bénéficiaire. Gauthier Picquart, directeur général de Rueducommerce, proche de l’équilibre. Roland Coutas, toujours chez Travelprice où il a fait venir Marc Rochet, ex-président d’AOM-Air Liberté, qui est appelé à devenir président du directoire. Jacques Rosselin, à la tête de Canalweb, devenu prestataire de solutions pour la diffusion de programmes audiovisuels sur le Net, en redressement judiciaire.

      ... ils ont revendu leur société

      Jean-Pierre Arbon travaille dans la maison d’édition en ligne 00h00.com revendue à Gemstar TV Guide, le leader des technologies de livre électronique Ebook. Pierre-François Grimaldi a revendu le site d’enchères en ligne iBazar à Ebay. Christophe Agnus a revendu le mensuel Transfert au groupe l’Ile des Médias mais reste directeur de la rédaction. Laurent Edel a revendu sa participation dans l’incubateur Republic Alley. Il a fondé un cabinet de conseil aux contours encore flous mais au nom optimiste : Good Futur...

      ... ils ont bougé

      Marie-Christine Levet a quitté la direction générale de Lycos France pour prendre la tête de Club-Internet. Jean Ferré n’est plus président de l’association des start-up parisiennes Silicon Sentier, aujourd’hui disparue, et a aussi quitté la direction de l’éditeur de logiciels Arisem, revendu. Anne Sinclair, « virée » (selon-elle) de la vice-présidence de e-TF1, travaille pour Netgem (décodeurs pour la télé interactive) en tant que conseillère du Président.

  • Change.org oder Bundestag ? | Telepolis
    https://www.heise.de/tp/features/Change-org-oder-Bundestag-4012736.html?seite=all

    L’outil démocratique de la pétition est victime d’un processus de privatisation. La majorité des élus au Bundestag n’a aucune idée de choses qui sont en train de se préparer dans le but de les remplacer par des instances privées.

    12. April 2018 Helmut Lorscheid

    Die Zahl der eingereichten Petitionen im Bundestag geht zurück, während Petitionen als Geschäftsmodell von privaten Plattformen florieren

    In den Länderparlamenten und im Deutschen Bundestag gibt es Petitionsausschüsse, an die sich jeder wenden kann. In diesen Ausschüssen sitzen meist engagierte Abgeordnete, die sich für die Petenten und ihre Anliegen interessieren und auch einsetzen. Denn für eine steile politische Karriere ist der „Kummerkasten der Nation“ als Sprungbrett eher ungeeignet, deshalb gehört der Petitionsausschuß nicht zu den begehrtesten Ausschüssen, aber zu denen mit engagierten Mitgliedern.

    Die meisten Petitionen kommen von Personen, die mit den Auswirkungen der Gesetze, die die jeweilige Parlamentsmehrheit beschlossen hat, nicht zufrieden sind. Bei vielen sind es sehr persönliche, oft existenzielle Probleme, die ihre Ursache oft in rücksichtslosen Gesetzen etwa im Sozialbereich oder deren Ausführungsbestimmungen haben.

    Dass die Petitionsausschüsse durchaus hilfreich wirken können - das war mal allgemein bekannt, scheint aber zunehmend in Vergessenheit zu geraten. Wesentlich präsenter in der breiten Öffentlichkeit sind Online-Plattformen wie Change. Org. bei denen man sich mit paar Klicks für „eine gute Sache“ einsetzen kann viel schneller und unkomplizierter als auf der Website des Bundestagsausschusses. Sicherlich auch deshalb haben die Online-Plattformen die Nase vorn.
    Abnehmende Zahl der Petitionen im Bundestag

    Der jüngste Bericht des Bundestags-Petitionsausschusses für das Jahr 2016 bestätigt die seit längerem feststellbare Tendenz, dass die Zahl der im Bundestag eingereichten Petitionen sinkt. Von 13.137 im Jahr 2015 auf rund 11.236 im Jahr 2016 also rund 2000 weniger als im Vorjahr. Damit setzt sich ein Trend weiter fort, denn auch 2015 wurden im Vergleich zum Vorjahr 2014 insgesamt 2.188 weniger Petitionen eingereicht.

    Was stetig steigt, ist die Nutzung der Online-Petition. So gingen im Jahr 2016 3.698 und somit 33 Prozent aller Eingaben auf elektronischem Wege unter Verwendung des Web-Formulars über das Petitionsportal im Internet ein.

    Die Bundestagsstatistik zeigt ein in sich widersprüchliches Bild. Der Petitionsausschuss konnte von 2015 auf 2016 eine Verdopplung auf seiner Petitionsplattform registrierten Personen feststellen, bei - wie erwähnt - insgesamt sinkender Zahl. Ein Grund für den Rückgang der Zahl der Neueingaben liegt sicherlich in den privatrechtlichen „Petitionsplattformen“. Dabei gerät oft in Vergessenheit, dass nur mit einer Eingabe an den Petitionsausschuss des Deutschen Bundestages (oder den Landtagen) von dem Petitionsrecht nach Artikel 17 des Grundgesetzes Gebrauch gemacht wird. In dem Artikel heißt es: „Jedermann hat das Recht, sich einzeln oder in Gemeinschaft mit anderen schriftlich mit Bitten oder Beschwerden an die zuständigen Stellen und an die Volksvertretung zu wenden.“ Damit, so der Bundestag, „bietet die Bundestags-Petition die Gewähr, dass jede Petition nicht nur entgegengenommen, sondern auch durch den Adressaten, den Deutschen Bundestag bzw. seinen Petitionsausschuss, sorgfältig geprüft und beschieden wird. Zudem geben die an den Petitionsausschuss des Deutschen Bundestages gerichteten Petitionen dem Bundesgesetzgeber eine wichtige Rückkopplung zu seinen Gesetzen.“

    Mit mittlerweile mehr als 2 Millionen registrierten Nutzerinnen und Nutzern ist das Petitionsportal nach wie vor das mit Abstand erfolgreichste Internetangebot des Deutschen Bundestages. Im Vergleich zu den Online-Plattformen wirkt diese große Zahl jedoch eher bescheiden. So wirbt etwa Change.org mit „233.885.317 Menschen in Aktion“, openPetition reklamiert immerhin 4.615.324 Menschen, mit den man sich über diese Plattform „vernetzten“ könne. Doch die privaten Plattformen leben von großen Zahlen, viele Unterzeichner und eine breite Berichterstattung in den Medien bedeuten auch viele Spenden - und davon leben diese Plattformen.

    Aber auch die Adressaten von Petitionen gewöhnen sich an große Klickzahlen. Es ist absehbar, dass auch eine „Klick-Petition“ bei Change.org mit zweihunderttausend Unterstützern keinen großen Eindruck mehr macht. Was kommt dann? Katzenjammer, vielleicht die Rückbesinnung auf das was man sonst noch tun kann - und die Erinnerung an den guten alten Bundestags-Petitionsausschuss?

    Die Einreichung einer Petition im Bundestag ist kostenlos und bietet im Unterschied zu Changeorg und den anderen, dass sich Abgeordnete auch dann um das in der Petition geschilderte Anliegen kümmern, wenn es keine breite Öffentlichkeit mehr gibt - weil längst ein anderes Aufreger-Thema Medien und Öffentlichkeit beschäftigen. Bei einer Petition an den Bundestag genügt übrigens eine einzige Unterschrift unter einer Petition, damit sich der Petitionsausschuss mit dem Thema befasst. Das oft zitierte Quorum von derzeit 50.000 Unterzeichnern bezieht sich allein darauf, dass eine zur öffentlichen Mitzeichnung eingereichte Petition dann vom Einreicher im Ausschuss noch mal mündlich erläutert werden kann. Ansonsten wird jede Petition in diesem Ausschluss grundsätzlich gleichbehandelt, egal ob sie eine Unterschrift trägt oder mehrere tausend.
    Petitionen als Geschäftsmodell

    Eine sehr große Medienpräsenz hat zweifellos Change.org Gegründet als eine Art deutscher Zweig einer gleichnamigen US-amerikanischen Organisation. Eine Geschäftsidee zum Geldverdienen mit dem Willen vieler Menschen, sich mit einem Klick im Internet für eine „gute Sache“ einzusetzen. Weltweit erreichte Change.org eigenen Angaben zufolge 234.003.352 Menschen. In Deutschland über 4 Millionen - also doppelt so viele wie die beim Petitionsausschuss des Bundestages registrierten. Die FAZ schrieb 2014:

    Mit Change.org kann man richtig was losmachen: Massen mobilisieren und für oder gegen ausgewählte Ziele in Stellung bringen. Was ließe sich alles anstellen mit lancierten Kampagnen oder verhindern, indem man unliebsame Petitionen stoppt! Das haben wohl auch die Mächtigen des Silicon Valley erkannt und entschieden: Da müssen wir mit an Bord. Besser am Ruder als in der Schusslinie. Und so haben Bill Gates, Arianna Huffington, die Gründer von Yahoo, Twitter, Ebay und LinkedIn, Jerry Yang, Evan Williams, Pierre Omidyar und Reid Hoffman, mit weiteren netzkapitalen Schwergewichten 25 Millionen Dollar in die Hand genommen und sind bei Change.org eingestiegen. Damit das Unternehmen weiterwachse, in ihrem Sinne.
    FAZ

    In mehreren europäischen Ländern kritisierten insbesondere Datenschützer die Geschäftspraktiken von Change.org. Die italienische Zeitung „Espresso“ konnte 2016 die Preisliste öffentlich machen, die Change.org für die Nutzer von gesponserten Petitionen anwendet: von NGOs bis hin zu politischen Parteien, die mit der Bezahlung die E-Mail-Adressen der Unterzeichnenden erwerben. Die Preise auf der Liste reichten von 1,50 € pro E-Mail-Adresse, falls der Kunde weniger als 10.000 Adressen kaufte, bis hin zu 85 Cent für ein Paket von mehr als 500.000 E-Mail-Adressen.

    Espresso fragte einige der NGOs, die Kunden von Change.org sind, ob es wahr ist, dass sie E-Mail-Adressen der Unterzeichnenden erwerben. Einige gaben nur vage Antworten, um kein Aufsehen zu erregen - andere wie z.B. Oxfam waren so ehrlich, dies zuzugeben.

    „Espresso“ nannte change.org das „Amazon der Online-Petitionen“. Change.org wird als eine „Non-Profit-Organisation“ mit einer progressiven Seele wahrgenommen. „Change.org Inc.“ wurde in Delaware gegründet, dem Steuerparadies der USA. Das Hauptquartier ist in San Francisco, im Herzen des Silicon Valley, in dem Daten das neue Erdöl sind. Bei Change.org kann jeder seine Petitionen kostenlos einzustellen, mit dem sozialen Gedanken, auch dem letzten Obdachlosen eine Stimme zu geben. Weiter heißt es in Espresso:

    Das Unternehmen schlägt aber Profit aus den gesponserten Petitionen, die der Kunde bezahlt, um Kontakt zu den Unterzeichnern zu bekommen und damit sein eigenes Fundraising auszubauen. Woher weiß Change.org so viel? Jedes Mal, wenn wir einen Appell unterschreiben, werden Informationen über uns gesammelt, um ein Profil zu erstellen.

    Kritik der Datenschützer

    Weil Change org. die personenbezogenen Daten der Menschen, die Petitionen unterzeichnet haben, in vielfältiger und nicht transparenter Art und Weise für seine Geschäftszwecke verwendet, verlieh Digitalcourage e.V. den BigBrotherAward 2016 in der Kategorie Wirtschaft an die Kampagnenplattform Change.org.

    Zur Begründung hieß es, das Unternehmen fertige auf der Basis der Informationen über unterzeichnete Petitionen etwa Analysen an zur politischen Meinung, zur gesellschaftlichen Positionierung oder zur sozialen Situation von Einzelpersonen und verwende diese für eigene wirtschaftliche Zwecke. Change.org sei nämlich tatsächlich „keine ’non-profit’ Bürgerbewegung in digitaler Form, sondern ein Wirtschaftsunternehmen, in dessen Geschäftsmodell die Verwendung und Nutzung von sensiblen personenbezogenen Daten sowie der Handel mit E-Mail-Adressen eine zentrale Rolle einnehmen.“

    Nach dieser Kritik wurde in Deutschland der „Change org. e.V.“ gegründet. Telepolis fragte Gregor Hackmack, Vorstand Change.org e.V., wie sich Change org. heute finanziert:

    Der Change.org e.V. wurde 2016 gegründet und ist ein unabhängiger gemeinnütziger Verein mit Sitz in Berlin mit dem Zweck der Demokratieförderung. Unsere Satzung finden Sie hier. Der Change.org e.V. hat eine Lizenzvereinbarung mit Change.org. Change.org ist ein Sozialunternehmen (Public Benefit Corporation, PBC) und eine zertifizierte B-Corporation mit Sitz in San Francisco. Diese Lizenzvereinbarung ermöglicht es uns, die Kampagnenplattform und die Marke Change.org in Deutschland zu nutzen. Das ist effizient, weil zahlreiche Change.org-Länder eine gemeinsame Infrastruktur nutzen, sodass globale Kampagnen möglich sind, und wir uns viele Kosten für die Bereitstellung und Entwicklung der technologischen Grundlagen unserer Plattform teilen können. Zusätzlich ermöglicht das deutsche Team vom Change.org e.V. eine lokale Betreuung der Petitionsstarterinnen.

    Die Change.org PBC in den USA finanziert sich durch ein Förderinnenprogramm, Nutzeranzeigen (Privatpersonen können mit einem Beitrag zu einer Petition, die ihnen am Herzen liegt, dafür sorgen, dass diese mehr Menschen anzeigt wird) und missionsgebundene Anlagen. Mehr dazu finden Sie unter Business Model. Der Change.org e.V. finanziert sich mit Spendengeldern von Privatpersonen, so garantieren wir eine unabhängige Plattform.

    Neues Lobbybüro will mitverdienen

    Eher zufällig erhielt Telepolis Kenntnis von einem neuen Lobbybüro in Berlin, das Petenten als Kunden warb. In einer dieser Emails heißt es: „Sehr geehrter Herr NN, ich habe ihre Mailadresse von Gregor Hackmack, dem Geschäftsführer von change.org, bekommen - er sagte, dass wir Ihnen bei Ihrem Anliegen, (...) weiterhelfen könnten.“ In der Email heißt es weiter:

    W. ist eine Lobbyorganisation, die ausschließlich für politische Themen von Bürgern und kleinen NGOs lobbyiert. Ähnlich wie bei change.org, können Bürger bei uns ihre Anliegen vorstellen und andere Bürger als Mitstreiter finden. Anders als bei change.org unterzeichnen Menschen aber nicht bloß eine Petition, sondern geben einen kleinen Geldbetrag, damit im Anschluss Politprofis loslegen und das Thema aktiv gegenüber der Politik vertreten. Der Vorteil ist, dass echtes Lobbying in der Regel effektiver als eine Unterschriftenliste zum Erfolg führen kann. Und der Vorteil bei uns ist, dass ein Initiator kein Geld mitbringen muss, um die Lobbykosten zu bezahlen - sondern die Masse an Unterstützern das Geld zusammen aufbringt...

    Das Lobbybüro teilte weiterhin mit, dass es „Mitte April“ mit seiner Arbeit starten würde. Auf die Frage von Telepolis: „Wer bekommt Adressen und Informationen über bei Ihnen eingegangen Petitionen?“, hatte Hackmack geantwortet: „Vor- und Nachname können von den Petitionsstartern heruntergeladen und im Rahmen einer Petitionsübergabe an den Adressaten übergeben werden.“ Wie hieß es noch in der Email? „Ich habe Ihre Mailadresse von Gregor Hackmack, dem Geschäftsführer von Change.org., bekommen.“

    Verein Mehr Demokratie e.V. - Auf Distanz zu Change org

    Weil im Fall der Vereinsauflösung das Vermögen des Change.org e.V. an den Verein Mehr Demokratie e.V. übergeht, fragte Telepolis auch nach dem Verhältnis zu dem Verein Mehr Demokratie e.V. und erhielt die Auskunft, dass es ansonsten „keine institutionellen Verbindungen“ gebe. Auch bei Mehr Demokratie e.V. legt man Wert auf eine gewisse Distanz.

    Namens des Bundesverbandes von Mehr Demokratie erklärte Anne Dänner gegenüber Telepolis seit den Vorwürfen von 2016 gebe es keine gemeinsamen Kampagnen des MD-Bundesverbandes mit change.org. Wer im Falle einer Auflösung begünstigt wird, entscheide der Verein, der sich die Satzung gibt, also in diesem Fall der change.org e.V. Deutschland. Mehr Demokratie habe bereits Mitte 2015, also vor den Geschehnissen rund um die BigBrotherAwards, per Vorstandsbeschluss Folgendes festgelegt: „MD schließt eine Zusammenarbeit mit change.org nicht grundsätzlich aus, eine Zusammenarbeit müsste aber im konkreten Fall mit change.org verhandelt werden und der Bundesvorstand von MD muss zustimmen.“

    Anne Dänner ergänzt: „Da rund ein Jahr später im Rahmen der BigBrotherAwards unsere Bedenken hinsichtlich der Datenschutzpolitik von change.org bestätigt wurden, haben wir die Zusammenarbeit mit change.org abgelehnt. Dem sind mit Ausnahme des Landesverbands Hamburg auch die Landesverbände von Mehr Demokratie e.V. gefolgt.“

    Der Datenschützer Thilo Weichert, der 2015 seine detaillierten datenschutzrechtlichen Bedenken an Change org. veröffentlicht sieht bisher kaum eine Änderung in der Geschäftspolitik von Change org. Seine detaillierten Fragen sind Weichert zufolge bis heute nicht befriedigend beantwortet worden. Change.org erklärt, die deutschen Datenschutzvorschriften einzuhalten.

    Dass die Grünen Europa-Abgeordneten Sven Giegold und Martin Häusling ihre politischen Forderungen via Chang.org als Petitionen transportieren, stößt trotz der großen Unterzeichnerzahlen von mehreren Hunderttausend durchaus auch auf Unverständnis. Sven Giegold hat darauf mit einer ausführlichen Erklärung auf seiner Internetseite reagiert, in der es heißt: „Keine andere Petitionsplattform ermöglicht uns, so viele Bürgerinnen und Bürger direkt mit unseren Forderungen zu erreichen …“

    Es wird dennoch merkwürdig, wenn Abgeordnete, an die sich normalerweise Petenten wenden, selbst das Mittel der öffentlichen Petition wählen.

    Campact und openPetition

    Neben Chang.org agierten auch Campact.de und openpetititon.de im Netz. Campact bezeichnet sich als „eine Bürgerbewegung, mit der 1,9 Millionen Menschen für progressive Politik streiten“. Die Plattform versteht sich als ein Katalysator für politische Erregungskurven und soziale Bewegungen - aber nur für die mit guten Karten.

    „Wir steigen in der Regel nur ein, wenn wir glauben, dass es etwas zu gewinnen gibt“, sagt Campact-Geschäftsführer Felix Kolb der taz. Und wenn die Basis zustimmt. 5.000 Abonnenten bekommen vor jedem Kampagnenstart Post per E-Mail. Dieser harte Kern der Campact-Aktivisten entscheidet über ein Thema. „Wir streben Zustimmungsraten um die 90 Prozent an“, sagt Kolb. „Mandat“ nennt er das.

    Campact ist wiederum Inhaber einer eigenen Kampagnenplattform „WeACT“ und arbeitet auch mit der Petitionsplattform „openPetition“ zusammen. Campact ist mit „weniger als 50 Prozent“ an der openPetition gGmbH beteiligt, wie Konrad Traupe (openPetition) gegenüber Telepolis betont.

    „Wir sind unabhängig und haben einen Anspruch an ein möglichst hohes Maß an Neutralität. Neben Spenden sind Partnermailings für NGOs (u.a. Campact) oder Verbände eine weitere Einnahmequelle. Bis zu 4x im Jahr weist openPetition auf Aktionen des Mitgesellschafters Campact hin“, so Traupe weiter. „OpenPetition unterstützt Petenten dabei, ihre Petition zu erstellen, Unterschriften zu sammeln und die Petition beim entsprechenden Empfänger einzureichen. Außerdem fordert openPetition unabhängig vom formalen Petitions-Prozess Stellungnahme von Parlamentariern ein.“

    Zur Reichweite heißt es, mehr als 6 Million Menschen nutzten diese Plattform. Der Server steht übrigens in Deutschland und openPetition hält sich peinlich genau an die in Deutschland geltenden Datenschutzvorschriften. (Zur Arbeit von openPetition siehe auch das Interview mit dem openPetition-Geschäftsführer Jörg Mitzlaff in Telepolis vom 2. Juni 2017)

    Bei Campact heißt es: „Alle Userdaten von Campact-Aktiven werden auf europäischen Servern gespeichert, die von europäischen Unternehmen betrieben werden.“

    Grüne für mehr Transparenz

    Corinna Rüffer, Obfrau von Bündnis 90 /Die Grünen im Petitionsausschuss, möchte „das Petitionswesen vom Kummerkasten zu einem echten Instrument der Bürgerbeteiligung weiterentwickeln.“ Die Grünen möchten die Sonderkategorie „öffentliche Petitionen“ abschaffen: Alle Petitionen sollten in der Regel als „öffentliche Petition“ behandelt werden, wenn der Petent das will. Nur in Ausnahmefällen nicht, wenn beispielsweise der Datenschutz dagegenspricht.

    Die aktuelle Regelung ist geradezu absurd: Die allermeisten PetentInnen reichen ihre Petition als öffentliche Petition ein, weil sie Aufmerksamkeit erzielen und über die Petitions-Plattform Unterschriften für ihr Anliegen sammeln wollen. Aber nur ein Bruchteil dieser Petitionen wird dann tatsächlich veröffentlicht. Dabei sind die Gründe für die Nichtveröffentlichung oft nicht nachvollziehbar.

    Bei anderen Petitionen dauert die Veröffentlichung wochenlang. Die PetentInnen sind dann zurecht unzufrieden über das langwierige, schwerfällige Verfahren und gehen das nächste Mal gleich zu einer privaten Plattform. Auch die Mitzeichnungsfrist für öffentliche Petitionen (bislang 4 Wochen) sollte deutlich verlängert werden. Für alle, die nicht hauptberuflich für ihre Petition trommeln können, ist es unrealistisch in nur 4 Wochen beispielsweise ausreichend Unterschriften für das Quorum für eine öffentliche Beratung (50.000) zu sammeln. Aus diesem Grund haben wir ja auch schon seit mehreren Jahren kaum noch öffentliche Beratungen.

    Die öffentliche Petition sei das größte Pfund des Petitionsausschusses, aber das werde „völlig stiefmütterlich behandelt.“ Aus Sicht der Grünen Bundestagsfraktion"sollte der Petitionsausschuss auch grundsätzlich öffentlich tagen - es sei denn die/der Petentin möchte das nicht oder Datenschutzgründe sprechen dagegen".

    SPD will Bürgerbeauftragten

    In der SPD wird nach Auskunft ihres Obmanns, Stefan Schwartz, derzeit nicht nur über Reformen beim Petitionsrecht diskutiert, sondern auch über die Einrichtung eines Bürgerbeauftragten auf Bundesebene. So wie es ihn in Rheinland-Pfalz bereits gibt und wie er in Berlin eingeführt werden soll.

    Die SPD-Arbeitsgruppe Petitionen sieht die Notwendigkeit einer besseren Öffentlichkeitsarbeit des gesamten Petitionsausschusses. Die Informationen über den Ausschuss sollten leicht verständlich sein, also in leichter Sprache abgefasst sein. Überhaupt sollte das Angebot des Bundestages niedrigschwelliger werden. Dazu gehört auch eine Gebärdensprachedolmetschung von öffentlichen Beratungen des Petitionsausschusses.

    Die SPD-Arbeitsgruppe fordert fordert weiterhin eine Absenkung des Quorums für die öffentliche Beratung von Petitionen, auf etwa 30.000 Mitzeichnungen. Derzeit müssen die Petenten innerhalb von nur 4 Wochen 50.000 Unterzeichner mobilisieren, um überhaupt die Möglichkeit zu erhalten, ihr Anliegen auch mündlich vor dem Petitionsausschuss vortragen zu können. Aber selbst das Erreichen dieser Marche garantiert keine Einladung in den Ausschuss. Die Ausschussmitglieder können dies noch immer mit einfacher Mehrheit verhindern. Die SPD fordert außerdem mehr Debattenzeit und Aussprache zu Sammelübersichten im Plenum des Bundestages.

    Bisher findet eine Debatte über die Arbeit des Petitionsausschusses nur einmal jährlich statt. Möglich wäre zusätzlich eine halbjährliche Zwischenbilanz in der Form eines mündlichen Berichts. Auch Debatten zu Sammelübersichten sind eine Möglichkeit, Petitionen ins Plenum zu bringen, von ihrem Charakter her eignen sie sich jedoch besser für die Oppositionsarbeit. Der Petitionsausschuss soll auch im Parlamentsalltag eine größere Relevanz erreichen, etwa durch die Mitberatung bei parlamentarischen Initiativen. Als mitberatenden Ausschuss würde die Relevanz des Ausschusses und der Petitionen beträchtlich steigen. Die Funktion als politischer Seismograph wäre gestärkt.

    Der SPD-Abgeordnete Udo Schiefner erinnerte daran, dass die letzte große Reform des Petitionsrechts vor zwölf Jahren unter einer SPD-geführten Bundesregierung stattgefunden habe. „Einigen hier im Haus fehlt der Wille und der Mut wieder eine große Reform auf den Weg zu bringen“, kritisierte Schiefner. Er will „den Klickaktivisten nicht das Feld überlassen“.

    Auch die SPD-Abgeordnete Martina Stamm-Fibich, stellvertretende Ausschuss-Vorsitzende, sieht „die zunehmende Nutzung privater Kampagnenplattformen, die mit dem grundgesetzlich garantierten Petitionsrecht und dem parlamentarischen Petitionswesen nichts zu tun haben“ aus unterschiedlichen Gründen kritisch. Mangelnder Datenschutz und kommerzielle Modelle gehörten dazu, außerdem ist es aus ihrer Sicht problematisch, dass Nutzerinnen und Nutzer nicht darauf hingewiesen werden, „dass die privaten Kampagnenplattformen nichts mit dem parlamentarischen Petitionswesen zu tun haben und teilweise sogar ein gegenteiliger Eindruck erweckt wird“.

    Tatsächlich erfolgen Hinweise auf den Bundestagspetitionsausschuss bei den einzelnen Plattformen in unterschiedlicher Weise. OpenPetition etwa weist die Petenten auf den Ausschuss hin und befindet sich in engem Austausch mit vielen Ausschuss-Mitgliedern.
    Christdemokraten gegen mehr Öffentlichkeit

    Beim Koalitionspartner CDU/CSU ist indes wenig Reformwillen zu verzeichnen. Die Union sieht allenfalls die Notwendigkeit für einige technische Neuerungen und befürwortet eine Beschleunigung des Verfahrens. Ihr Obmann Gero Storjohann erklärte gegenüber Telepolis:

    Für die CDU/CSU-Bundestagsfraktion ist das parlamentarische Petitionswesen eine erfolgreiche Institution. In der Tat muss es jedoch gelingen, die Dauer der einzelnen Petitionsverfahren durch schnellere Arbeitsabläufe zu verkürzen. Dies dürfte in der aktuellen Wahlperiode angesichts der neuen Zusammensetzung des Deutschen Bundestags mit zwei weiteren Fraktionen eine große Herausforderung sein. Deshalb wäre eine zeitgleiche Bearbeitung der Petitionsakten für die Fälle wünschenswert, bei denen abweichend vom üblichen Berichterstatter-Paar, wo je ein Abgeordneter der Regierungskoalition und ein Abgeordneter der Opposition die Petition bearbeiten, Berichterstattungen beantragt werden. Zudem sollte ein Weg gefunden werden, frühzeitig erkennen zu können, wo eine breite Mitberatung gewünscht wird. Aus Sicht der CDU/CSU Bundestagsfraktion wäre so eine verkürzte und angemessene Bearbeitungszeit realisierbar.

    Storjohann sieht „die Arbeit des Petitionsausschusses nicht in Konkurrenz zu privaten Anbietern, deren vornehmliches Ziel, die Organisation von Kampagnen ist“. Der Petitionsausschuss schenke vielmehr jedem Anliegen die gleiche Aufmerksamkeit. Gleichwohl bestehe Verbesserungsbedarf, „beispielsweise beim Internetauftritt für E-Petitionen und auch bei der Möglichkeit, eine Petition mit einem mobilen Endgerät einzureichen. Zudem wäre eine Verknüpfung zur Bundestags-App wünschenswert.“

    An der bestehenden Praxis der öffentlichen Beratungen erst ab 50.000 Unterstützern wollen die Christdemokraten festhalten. Sie sind auch gegen grundsätzlich öffentliche Sitzungen des Ausschusses. Dem ständen „regelmäßig Gründe des Datenschutzes - im Interesse der Petenten und der zuständigen Berichterstatter - entgegen“, so Storjohann.

    Man darf gespannt sein, für welche Vorschläge der SPD sich die CDU/CSU noch öffnen wird. Bleibt alles beim Alten, wird auch in den nächsten Jahresberichten des Petitionsauschusses von einem weiteren Rückgang der Petitionen zu berichten sein. Die weiterführenden Vorschläge von den Grünen oder auch von den Linken oder der FDP haben noch weniger Chancen, umgesetzt zu werden. Dem stehen die überkommenden Spielregeln des Bundestages entgegen. Vorschläge der Opposition werden grundsätzlich abgelehnt. Jedenfalls zunächst.

    Es kommt immerhin vor, dass nach einiger Zeit, Anträge der Opposition mit leicht abgeänderten Formulierungen als Antrag der Koalitionsfraktionen wieder auftauchen. Das ist zwar albern, wird aber so gemacht. Bleibt abzuwarten, wie lange sich der Bundestag solchen Unsinn noch leistet. Wie hoch muss die Zahl der Nichtwähler steigen, bis die Bundestagsabgeordneten das tun, wofür sie gewählt werden - nämlich die Regierung kontrollieren und sich nicht in erster Linie wie Bodyguards der jeweiligen Koalition verhalten? Das schwindende Vertrauen in die Abgeordneten ist sicherlich ein weiterer Grund dafür, dass auch die Zahl der Petitionen sinkt.

    #Allemagne #démocratie #pétitions #privatisation

  • In die Freiheit entlassen | c’t | Heise Magazine
    https://www.heise.de/select/ct/2017/22/1508780300482172

    Di­gi­ta­les Flug­blatt: Raspber­ry Pi mit Bat­te­rie als an­ony­mer WLAN-Hot­spot und Web­ser­ver

    Dis­si­den­ten leben ge­fähr­lich: Die Nazis er­mor­de­ten die Ge­schwis­ter Scholl dafür, dass sie mit Flug­blät­tern zum Wi­der­stand auf­ge­ru­fen hat­ten. Heute nut­zen Wi­der­ständ­ler das In­ter­net, doch Re­gimes grei­fen un­ge­niert in die Mei­nungs­frei­heit ein und blo­ckie­ren die­sen Ver­brei­tungs­weg. Mit einem bat­te­rie­be­trie­be­nen Raspi haben wir eine di­gi­ta­le Va­ri­an­te des Flug­blatts ge­schaf­fen, das ver­steckt aus­ge­legt per WLAN oder Tor un­zen­siert In­for­ma­tio­nen unter das Volk bringt.
    Von Da­ni­el Co­oper

    Flug­blät­ter sind in Zei­ten von In­ter­net und Smart­pho­nes eine ziem­lich ar­chai­sche Me­tho­de, gegen au­to­ri­tä­re Re­gime zu pro­tes­tie­ren oder un­lieb­sa­me In­for­ma­tio­nen über Au­to­kra­ten ins öf­fent­li­che Licht zu rü­cken. Und eine ge­fähr­li­che noch dazu: Vor fast genau 75 Jah­ren er­mor­de­ten das Nazi-Re­gime die Ge­schwis­ter Scholl dafür, dass sie mit Flug­blät­tern zum Wi­der­stand auf­ge­ru­fen hat­ten. Die Stu­den­ten wur­den beim Ver­tei­len er­wischt. Heute nut­zen Wi­der­stands­grup­pen das In­ter­net und ver­öf­fent­li­chen ihre In­for­ma­tio­nen auf aus­län­di­schen Ser­vern – die von den Re­gimes im Hand­um­dre­hen blo­ckiert wer­den.

    Um die Be­völ­ke­rung vor Ort trotz In­ter­net-Zen­sur in­for­mie­ren zu kön­nen, haben wir ein di­gi­ta­les Flug­blatt auf Basis des Raspber­ry Pi Zero W ent­wi­ckelt. Der Mini-Rech­ner wird von einer Bat­te­rie ge­speist und lässt sich leicht an be­leb­ten Plät­zen in all­täg­li­chen Ge­gen­stän­den wie Blu­men­kü­beln, Bäu­men oder an­de­ren Ge­gen­stän­den ver­ste­cken. Wir haben die Kos­ten be­wusst nied­rig ge­hal­ten, damit nie­mand aus fi­nan­zi­el­len Grün­den eine Fest­nah­me ris­kie­ren muss, wenn er das Flug­blatt wie­der ein­sam­melt, weil ihm der Strom aus­ge­gan­gen ist.

    Den Raspi Zero W be­kom­men Sie in Deutsch­land bei buy­ze­ro.de für knapp 11 Euro. Für den Bat­te­rie­be­trieb be­nö­ti­gen Sie au­ßer­dem einen Span­nungs­wand­ler, den Sie für 5,50 Euro gleich mit­be­stel­len kön­nen. Sie be­kom­men letz­te­ren aber auch bei di­ver­sen eBay-Händ­lern, zum Teil kos­tet er dort nicht ein­mal einen Euro. Durch den Wand­ler haben Sie eine große Aus­wahl an Bat­te­ri­en, an­ge­fan­gen von vier Knopf­zel­len, die al­ler­dings nur we­ni­ge Stun­den durch­hal­ten, bis hin zu Mo­no­zel­len, die für einen Monat Be­trieb aus­rei­chen.
    Der Zu­sam­men­bau des Flug­blatts ist tri­vi­al: Ein Span­nungs­wand­ler zwi­schen Bat­te­rie und Raspi sorgt dafür, dass die Bat­te­rie bis fast zum letz­ten Elek­tron ent­la­den wird.

    Der Zu­sam­men­bau ist leicht: Zu­nächst ver­sor­gen Sie den Span­nungs­wand­ler pro­vi­so­risch mit Strom, schlie­ßen ein Volt­me­ter am Aus­gang an und stel­len die Aus­gangs­span­nung über das Poti auf 5,1 bis 5,2 Volt ein. An­schlie­ßend kap­pen Sie die Ver­bin­dun­gen und löten den Span­nungs­wand­ler di­rekt an den GPIO-An­schluss des Raspi Zero an. Der Plus­pol des Span­nungs­wand­ler-Aus­gangs ge­hört an Pin 4 des Raspi und der Mi­nus­pol an Pin 6.
    Gut ver­sorgt

    Wel­che Bat­te­rie Sie ver­wen­den, hängt nicht zu­letzt von der Art des Ver­stecks ab – Geo­caching-Er­fah­run­gen sind hier ein­deu­tig von Vor­teil. Um das Flug­blatt in einem Blu­men­topf de­po­nie­ren zu kön­nen, haben wir ver­suchs­wei­se zehn Mo­no­zel­len mit einer Ka­pa­zi­tät von je 18 Am­pere­stun­den zu­sam­men­ge­lö­tet – somit steht bei einer Zel­len­span­nung von 1,5 Volt eine Ge­samt­ener­gie von 270 Watt­stun­den zur Ver­fü­gung.

    Die Leis­tungs­auf­nah­me des Raspi Zero W, in­klu­si­ve aller nach­fol­gend be­schrie­be­nen Strom­spar­maß­nah­men, liegt bei 0,5 Watt, so­dass der Ring aus zehn Mo­no­zel­len theo­re­tisch 540 Stun­den oder 22,5 Tage durch­hält. Das lässt sich durch noch mehr Mo­no­zel­len noch top­pen: Der Span­nungs­wand­ler von buy­ze­ro.de ver­trägt bis zu 17 in Reihe ge­schal­te­te Zel­len, womit theo­re­tisch genug En­er­gie für 38 Tage vor­han­den wäre. Durch die Wand­ler­ver­lus­te, der ty­pi­sche Wir­kungs­grad be­trägt knapp unter 90 Pro­zent, dürf­te die tat­säch­li­che Be­triebs­dau­er bei un­ge­fähr einem Monat lie­gen.

    Wich­tig ist, die Zahl der Zel­len und damit die Klem­men­span­nung nicht zu nied­rig zu wäh­len: Der Span­nungs­wand­ler schal­tet bei etwa sechs Volt ab, wes­halb Bat­te­ri­en aus nur vier Zel­len gar nicht voll­stän­dig ent­la­den wer­den – so­bald die Span­nung auch nur leicht sinkt, ist Schluss. Bei acht Zel­len hin­ge­gen schal­tet der Span­nungs­wand­ler erst ab, wenn die Zel­len­span­nung auf unter 0,75 ge­fal­len ist – dann ist die Bat­te­rie auch fast voll­stän­dig leer.
    Mehr Reich­wei­te: Der An­ten­nen­an­schluss, ein U.​FL-Ste­cker, lässt sich mit etwas Ge­schick nach­träg­lich auf den Raspi Zero W auf­lö­ten. Mit einer ex­ter­nen An­ten­ne ver­grö­ßert sich der Ver­sor­gungs­be­reich des Flug­blatts um ein Viel­fa­ches.

    Es gibt wei­te­res Op­ti­mie­rungs­po­ten­zi­al: Die in­ter­ne An­ten­ne des Raspi Zero W ist kei­nes­wegs op­ti­mal für große Reich­wei­ten, auf der Pla­ti­ne ist aber ein Be­stü­ckungs­platz für einen U.​FL-An­ten­nen­an­schluss vor­ge­se­hen. Mit etwas Löt­ge­schick kön­nen Sie den Ste­cker nach­rüs­ten und dann mit einer ex­ter­nen WLAN-An­ten­ne die Reich­wei­te des Raspi um ein Viel­fa­ches er­hö­hen. Das er­schwert auch das Auf­fin­den des Flug­blatts, denn durch den viel grö­ße­ren Ver­sor­gungs­be­reich kom­men auch mehr Ver­steck­mög­lich­kei­ten in­fra­ge.
    Auf­ge­spielt

    Als Be­triebs­sys­tem des Raspi Zero W ist die Lite-Va­ri­an­te von Raspbi­an gut ge­eig­net: Sie ist ohne Desk­top deut­lich schlan­ker als die re­gu­lä­re Va­ri­an­te und der Raspi ver­braucht damit we­ni­ger Strom, denn ei­ni­ge Diens­te wie etwa das gra­fi­sche Login wer­den nicht ge­star­tet. Für die In­stal­la­ti­on be­nö­ti­gen Sie eine Mi­croSD-Karte ab 1 GByte.

    Bitte laden Sie Raspbi­an Lite di­rekt von raspber­ry­pi.org her­un­ter und ver­wen­den Sie nicht NOOBS für die In­stal­la­ti­on – sonst funk­tio­niert die nach­fol­gen­de Kon­fi­gu­ra­ti­on nicht wie in die­sem Ar­ti­kel be­schrie­ben. Haben Sie das Zip-Ar­chiv mit dem SD-Kar­ten-Image von Raspbi­an Lite ent­packt, ko­pie­ren Sie das Image mit dem Pro­gramm W32­Dis­kI­ma­ger Byte für Byte auf die Spei­cher­kar­te. Linux- und macOS-User be­nut­zen dafür das Kom­man­do­zei­len­pro­gramm dd.

    Nach­dem der Da­ten­trans­fer ab­ge­schlos­sen ist, kön­nen Sie Raspbi­an für den ers­ten Start des Raspi Zero vor­be­rei­ten. Ein WLAN vor­aus­ge­setzt be­nö­ti­gen Sie dazu weder Tas­ta­tur noch Mo­ni­tor – die Ein­rich­tung er­folgt per SSH. Zu­nächst ent­fer­nen Sie die SD-Karte aus dem Kar­ten­le­ser und ste­cken sie nach ein paar Se­kun­den wie­der hin­ein. So er­zwin­gen Sie, dass Win­dows die Par­ti­ti­ons­ta­bel­le neu ein­liest – Win­dows fin­det dort zwei Par­ti­tio­nen. Wäh­rend Win­dows die erste, etwa 20 MByte große Par­ti­ti­on mit dem Namen boot pro­blem­los lesen kann und au­to­ma­tisch einem Lauf­werks­na­men zu­ord­net, fragt zu­min­dest Win­dows 10 bei der zwei­ten, ob sie for­ma­tiert wer­den soll. Dies müs­sen Sie un­be­dingt ver­nei­nen, sonst lö­schen Sie das dort in­stal­lier­te Raspbi­an.

    Damit der Raspi Zero sich in Ihr WLAN ein­klin­ken kann, be­nö­tigt er die SSID und den WLAN-Schlüs­sel. Hier soll­ten Sie kei­nes­falls die Daten ihres pri­va­ten WLAN an­ge­ben, son­dern ein Gäs­tenetz oder einen zu­sätz­li­chen Ac­cess Point mit einer ge­ne­ri­schen SSID wie guests be­nut­zen: Denn Sie müs­sen SSID und Schlüs­sel in die Datei wpa_­sup­p­li­cant.conf ein­tra­gen, die Sie unter ct.​de/​yva6 her­un­ter­la­den kön­nen, und die Datei auf dem Lauf­werk boot der SD-Karte spei­chern. Soll­te das Flug­blatt Er­mitt­lern in die Hände fal­len, fin­den sie mög­li­cher­wei­se Reste die­ser Daten und kön­nen Sie damit iden­ti­fi­zie­ren.

    Zum Edi­tie­ren der Datei müs­sen Sie un­be­dingt einen Edi­tor wie No­te­pad++ be­nut­zen (kos­ten­los, Down­load-Link auf ct.​de/​yva6), der Unix-ty­pi­sche Text­da­tei­en ohne Re­turn am Zei­len­en­de spei­chern kann. Mit Win­dows-Bord­mit­teln geht das nicht. Au­ßer­dem müs­sen Sie den SSH-Da­e­mon ein­schal­ten, der stan­dard­mä­ßig de­ak­ti­viert ist. Dazu legen Sie eine Datei mit dem Namen ssh eben­falls auf dem Lauf­werk boot an, der In­halt der Datei spielt keine Rolle.

    So vor­be­rei­tet las­sen Sie die Spei­cher­kar­te von Win­dows aus­wer­fen, ste­cken sie in den Raspi Zero und schlie­ßen ein Netz­teil an dem mit „PWR“ be­schrif­te­ten USB-Micro-Port des Raspi an. Die LED neben dem An­schluss blinkt dann im Takt der Zu­grif­fe auf den Flash-Spei­cher wäh­rend des Boot­vor­gangs, nach etwa 30 Se­kun­den soll­te sich der Raspi in Ihrem WLAN an­ge­mel­det haben. Nun soll­ten Sie sich in­ner­halb von zwei Mi­nu­ten per SSH auf dem Raspi ein­log­gen. Unter Win­dows ver­wen­den Sie dazu den kos­ten­lo­sen SSH-Cli­ent Putty (Down­load siehe ct.​de/​yva6), unter Linux oder macOS ssh im Ter­mi­nal. Der Be­nut­zer­na­me lau­tet pi und Sie kön­nen den Raspi meist ein­fach über sei­nen Host­na­men raspber­ry­pi an­spre­chen – al­ter­na­tiv fin­den Sie die IP-Adres­se, die dem Raspi zu­ge­wie­sen wurde, im Web-Front­end Ihres WLAN-Rou­ters. Das Pass­wort zum Ein­log­gen lau­tet eben­falls raspber­ry­pi.

    Sind Sie ein­ge­loggt, geben Sie als Ers­tes fol­gen­den Be­fehl ein:

    sudo iw wlan0 set power­s­a­ve off

    So de­ak­ti­vie­ren Sie die Strom­spar­funk­ti­on des WLAN-Ad­ap­ters, die dazu führt, dass das WLAN nach we­ni­gen Mi­nu­ten In­ak­ti­vi­tät ab­ge­schal­tet wird. Schließ­lich soll das Flug­blatt über WLAN stets er­reich­bar sein und Sie hät­ten an­sons­ten nicht ein­mal die Mög­lich­keit, Raspbi­an sau­ber her­un­ter­zu­fah­ren.

    Damit die WLAN-Strom­spar­funk­ti­on künf­tig au­to­ma­tisch aus­ge­schal­tet wird, öff­nen Sie mit dem Be­fehl sudo pico /etc/net­work/in­ter­faces die zen­tra­le Netz­werk­kon­fi­gu­ra­ti­ons­da­tei und tra­gen am Ende fol­gen­des ein:

    auto wlan0

    iface wlan0 inet dhcp

    wpa-conf /etc/wpa­sup­p­li­cant/wpa_­sup­p­li­cant.conf

    wire­less-power off

    Um den Strom des WLAN-Chips wie­der ein­zu­spa­ren, kön­nen Sie den HDMI-Aus­gang ab­schal­ten. Sonst ver­schwen­det der Raspi gut 20 Pro­zent des Stroms al­lein dafür – selbst wenn gar kein Mo­ni­tor an­ge­schlos­sen ist. Dazu öff­nen Sie mit dem Be­fehl sudo pico /etc/rc.​local das Skript, das am Ende jedes Boot­vor­gangs aus­ge­führt wird, und fügen vor der Zeile exit 0 fol­gen­den Auf­ruf ein:

    /usr/bin/tv­ser­vice -o

    Auch die Ak­ti­vi­täts-LED neben dem Strom­an­schluss ist Strom­ver­schwen­dung, noch dazu könn­te sie durch ihr Blin­ken ein an­sons­ten gut ver­steck­tes Flug­blatt ver­ra­ten. Damit sie außer kurz nach dem Ein­schal­ten und kurz vor dem Aus­schal­ten nicht mehr leuch­tet, öff­nen Sie mit sudo pico /boot/con­fig.txt die zen­tra­le Raspi-Kon­fi­gu­ra­ti­ons­da­tei und fügen am Ende fol­gen­de Zei­len an:

    dt­pa­ram=ac­t_­le­d_­t­rig­ger=none

    dt­pa­ram=ac­t_­le­d_ac­tive­low=on

    Die Än­de­run­gen wer­den erst beim nächs­ten Neu­start des Raspi über­nom­men, so lange bleibt die LED aktiv.

    Als Web­ser­ver emp­feh­len wir Nginx, der we­ni­ger Res­sour­cen und damit we­ni­ger Strom ver­braucht als Apa­che. Es ge­nügt, wenn Sie per sudo apt-get in­stall nginx den Da­e­mon nebst aller Ab­hän­gig­kei­ten nach­in­stal­lie­ren; er ist stan­dard­mä­ßig so kon­fi­gu­riert, die un­ter­halb des Ver­zeich­nis­ses /var/www/html ab­ge­leg­ten Da­tei­en aus­zu­lie­fern.
    Hi­d­den Ser­vice …

    Für den Fall, dass das Flug­blatt eine (frem­de) In­ter­net­ver­bin­dung über WLAN mit­be­nut­zen soll, ar­bei­tet es als Ser­ver für einen Tor Hi­d­den Ser­vice und ver­brei­tet so die In­hal­te auf der gan­zen Welt. Dazu in­stal­lie­ren Sie mit dem Be­fehl sudo apt-get in­stall tor den Tor-Da­e­mon aus der Pa­ket­ver­wal­tung nach. An­schlie­ßend müs­sen Sie die Kon­fi­gu­ra­ti­ons­da­tei mit dem Be­fehl sudo pico /etc/tor/torrc be­ar­bei­ten und die Raute-Zei­chen vor fol­gen­den Zei­len ent­fer­nen:

    Hi­d­den­Ser­vice­Dir /var/lib/tor/hi­d­den_­ser­vice/

    Hi­d­den­Ser­vice­Port 80 127.0.0.1:80

    Eine aus­führ­li­che Be­schrei­bung zum Be­trieb von Tor Hi­d­den Ser­vices fin­den Sie auf Seite 140. Auf Seite 148 er­fah­ren Sie au­ßer­dem, wie Sie Ihre An­ony­mi­tät zu­sätz­lich schüt­zen soll­ten. Damit die ver­än­der­te Tor-Kon­fi­gu­ra­ti­on wirk­sam wird, star­ten Sie den Dienst mit dem Be­fehl sys­temctl re­start tor neu und kön­nen dann die Onion-Adres­se Ihres ak­ti­ven Hi­d­den Ser­vice mit dem Be­fehl sudo cat/var/lib/tor/hi­d­den_­ser­vice/host­na­me ab­ru­fen.

    Haben Sie alle Do­ku­men­te auf­ge­spielt und wol­len den Raspi aus­set­zen, rufen Sie mit sudo raspi-con­fig das Raspi-Kon­fi­gu­ra­ti­ons­pro­gramm auf. Dort än­dern Sie das Stan­dard-Pass­wort und schal­ten im Menü „In­ter­fa­c­ing Op­ti­on“ den SSH-Da­e­mon wie­der aus, damit sich spä­ter nie­mand ein­log­gen kann. Die letz­ten Schrit­te sind, mit den Be­feh­len unset HIST­FI­LE und rm -f /root/.bas­h_his­to­ry /etc/wpa_­sup­p­li­cant/wpa_­sup­p­li­cant.conf die Be­fehls­his­to­rie sowie die WLAN-Zu­gangs­da­ten Ihres Gäste-WLAN zu lö­schen und spä­ter beim Aus­set­zen wie ein­gangs be­schrie­ben eine neue Kon­fi­gu­ra­ti­on auf der Boot-Par­ti­ti­on der SD-Karte zu spei­chern, die die Zu­gangs­da­ten des mit­zu­be­nut­zen­den WLAN ent­hält.
    … oder Hot­spot

    Der zwei­te Be­triebs­mo­dus des Flug­blatts ist als lo­ka­ler WLAN-Hot­spot ohne Ver­schlüs­se­lung. Stra­te­gisch güns­tig etwa in einem Blu­men­kü­bel, auf einer Lit­fass­säu­le oder einem Kiosk plat­ziert kann der Raspi die In­for­ma­tio­nen an einem öf­fent­li­chen Platz ver­tei­len – Pas­san­ten müs­sen sich le­dig­lich mit dem WLAN ver­bin­den und wer­den au­to­ma­tisch auf den lo­ka­len Web­ser­ver um­ge­lei­tet.

    Damit der Raspi als Hot­spot ar­bei­tet, müs­sen Sie zwei Pa­ke­te nach­in­stal­lie­ren:

    sudo apt-get in­stall hostapd dns­masq

    Der HostAP-Da­e­mon spannt den Ac­cess Point auf und DNS­masq ist für die Adress­ver­ga­be per DHCP zu­stän­dig. Die Kon­fi­gu­ra­ti­ons­da­tei­en bei­der Pro­gram­me sind im Zip-Ar­chiv ent­hal­ten und müs­sen nach /etc ko­piert wer­den:

    sudo cp 1722-144/de­fault/ /etc/de­fault

    sudo cp -a 1722-144/hostapd /etc

    sudo cp 1722-144/dns­masq.conf /etc

    Au­ßer­dem be­nö­ti­gen Sie einen mit sta­ti­scher IP-Adres­se kon­fi­gu­rier­ten WLAN-Ad­ap­ter, wozu Sie mit sudo pico /etc/net­work/in­ter­faces die zen­tra­le Netz­werk­kon­fi­gu­ra­ti­ons­da­tei öff­nen und dort fol­gen­des an­fü­gen:

    auto wlan0

    iface wlan0 inet sta­tic

    ad­dress 192.168.255.1

    net­mask 255.255.255.0

    wire­less-mode Mas­ter

    wire­less-power off

    Als Letz­tes ko­pie­ren Sie den FakeDNS-Da­e­mon in das Ver­zeich­nis /usr/local/bin und sor­gen dafür, dass er künf­tig zu­sam­men mit DNS­masq ge­star­tet wird:

    sudo cp fakedns/.py /usr/local/bin

    sudo cp fakedns/.ser­vice /etc/sys­temd/sys­tem

    sudo sys­temctl enable fakedns.ser­vice
    Ab­ge­fan­gen

    FakeDNS ant­wor­tet auf sämt­li­chen Do­main-An­fra­gen mit der IP-Adres­se 192.​168.​255.​1 – also der des Raspi. Damit ist es nicht mehr nötig, Be­su­chern eine IP-Adres­se oder eine lo­ka­le Adres­se mit­zu­tei­len, die sie auf­ru­fen sol­len: So­bald sie http://​www.​google.​de oder einen be­lie­bi­gen an­de­ren Ser­ver per HTTP zu kon­tak­tie­ren ver­su­chen, lan­den sie auf dem lo­ka­len Web­ser­ver des Flug­blatts.

    Es gibt noch einen Trick: iOS, An­dro­id und Win­dows Phone ver­su­chen bei der An­mel­dung in einem WLAN fest­zu­stel­len, ob sie vol­len In­ter­net­zu­gang haben oder ob es sich um einen Hot­spot etwa eines Ho­tels han­delt, der eine An­mel­dung er­for­dert. Dazu rufen die Mo­bil­ge­rä­te un­ter­schied­li­che URLs ab – er­hal­ten sie das ge­wünsch­te Er­geb­nis, be­steht eine In­ter­net­ver­bin­dung. Be­kom­men sie hin­ge­gen den HTTP-Sta­tus-Code 302 „Moved Tem­pora­ri­ly“ und eine Ziel­adres­se, gehen sie davon aus, dass man erst eine An­meld­e­sei­te be­su­chen muss, ein so­ge­nann­tes Cap­ti­ve Por­tal.

    Indem Sie mit dem Be­fehl sudo pico /etc/nginx/sites-avail­able/de­fault die Web­ser­ver-Kon­fi­gu­ra­ti­on be­ar­bei­ten und dort vor lo­ca­ti­on die Zeile

    er­ror_pa­ge 404 =302 http://192.168.255.1/;

    ein­fü­gen, er­hal­ten die Mo­bil­ge­rä­te an­stel­le des Feh­lers 404 den Sta­tus-Code 302 mit der Adres­se des Flug­blatts als Ziel.
    So­bald sich ein Mo­bil­ge­rät mit dem WLAN des Flug­blatts ver­bin­det, öff­net sich die Start­sei­te au­to­ma­tisch oder nach An­tip­pen einer No­ti­fi­ca­ti­on.

    Auf iOS- und Win­dows-Phone-Ge­rä­ten führt das dazu, dass die Ziel­sei­te au­to­ma­tisch im Brow­ser an­ge­zeigt wird, bei iOS al­ler­dings ohne Adress­leis­te. Auf An­dro­id-Ge­rä­ten öff­net sich die Seite ent­we­der au­to­ma­tisch oder man er­hält eine Be­nach­rich­ti­gung, dass man sich im Netz­werk an­mel­den müsse, und lan­det beim An­tip­pen auf der Start­sei­te des Flug­blatts. Ein wei­te­rer po­si­ti­ver Ne­ben­ef­fekt der Um­lei­tung ist, dass Be­su­cher beim An­kli­cken eines nicht exis­tie­ren­den Links auch auf der Start­sei­te lan­den, an­statt eine Feh­ler­mel­dung zu be­kom­men.
    Aus­ge­schal­tet

    Um den Raspi etwa nach einem ers­ten Test wie­der her­un­ter­fah­ren zu kön­nen, ohne Tas­ta­tur und Mo­ni­tor zu be­nö­ti­gen, soll­ten Sie das Pro­gramm Pi-Shut­down (siehe ct.​de/​yva6) in­stal­lie­ren. Es war­tet dar­auf, dass die GPOI-Pins 5 und 6 ge­brückt wer­den, etwa mit einem Jum­per. Damit die Strom­ver­sor­gung nicht im Weg ist, schlie­ßen Sie den Span­nungs­wand­ler dann an die Pins 2 (Plus) und 14 (Minus) an. Schlie­ßen Sie den Jum­per für etwa eine Se­kun­de lang an und ent­fer­nen ihn dann wie­der, so führt Pi-Shut­down einen Neu­start durch; las­sen Sie den Jum­per drei bis fünf Se­kun­den lang ge­steckt, schal­tet sich der Raspi aus. Dass sich der Raspi aus­schal­tet, er­ken­nen das daran, dass die Be­triebs-LED neben dem Micro-USB-An­schluss kurz blinkt.

    Die Ein­rich­tung von Pi-Shut­down ist ein­fach: Sie laden das Py­thon-Pro­gramm pis­hut­down.py aus dem Git­hub-Re­po­si­to­ry her­un­ter und spei­chern es im Ver­zeich­nis /usr/local/bin auf dem Raspi:

    sudo wget -O /usr/local/bin/pis­hut­down.py http://​raw.​git​hubu​serc​onte​nt.​com/​gilyes/​pi-​shutdown/​master/​pishutdown.​py

    Damit Pi-Shut­down künf­tig au­to­ma­tisch bei jedem Start des Raspi ge­la­den wird, fin­den Sie im Zip-Ar­chiv einen pas­sen­den Sys­temd-Job, den Sie fol­gen­der­ma­ßen ein­rich­ten:

    sudo cp 1722-144/pis­hut­down/ /etc/sys­temd/sys­tem

    sudo sys­temctl enable pis­hut­down

    Bevor Sie den Raspi her­un­ter­fah­ren, müs­sen Sie wie bei der Tor-Va­ri­an­te noch das Stan­dard-Pass­wort än­dern, Ihre Spu­ren be­sei­ti­gen, SSH ab­schal­ten und Ihre WLAN-Zu­gangs­da­ten lö­schen. Dann ist Ihr Raspi flug­be­reit. (mid@​ct.​de)

    Kon­fi­gu­ra­ti­ons­da­tei­en:ct.​de/​yva6

    Pi Zero W EASY + Step Down Modul Kit für c’t digitales Flugblatt – pi3g
    https://buyzero.de/products/pi-zero-w-easy-step-down-modul-kit?variant=2066683985947

    In die Freiheit entlassen - c’t | Heise Magazine
    https://www.heise.de/select/ct/2017/22/softlinks/yva6?wt_mc=pred.red.ct.ct222017.144.softlink.softlink

    Konfigurationsdateien für HostAP, DNSmasq, FakeDNS und Nginx
    ftp://ftp.heise.de/pub/ct/listings/1722-144.zip

    Pi-Shutdown (Python-Programm)
    https://raw.githubusercontent.com/gilyes/pi-shutdown/master/pishutdown.py

    Notepad++ für Windows
    https://www.heise.de/download/product/notepad-26659

    Putty SSH-Client für Windows
    https://www.heise.de/download/product/putty-7016

  • How to spend your #bitcoin and crypto on eBay items
    https://hackernoon.com/how-to-spend-your-bitcoin-and-crypto-on-ebay-items-dd6347b532ec?source=r

    How To Spend Your Bitcoin And Crypto On Ebay ItemsBuying something on eBay is normal to most people. Now, there are ways to purchase eBay items using bitcoin and other #cryptocurrency. Forra has tied eBay listings into its native platform. Allowing anyone to purchase something from eBay using bitcoin other cryptocurrency.You Can View Our Marketplace Here: https://market.forra.ioHow Is It Possible To Buy Something On eBay Using Bitcoin Or Other CryptocurrencyForra is responsible for allowing users to buy eBay items with bitcoin and other cryptocurrency. We want to develop the tools that allow people to use their cryptocurrency as a currency. We think that by building these tools we will increase the adoption of cryptocurrency.Having businesses like eBay accept bitcoin or other (...)

    #ethereum #blockchain #ecommerce

  • Allemagne : Le chien d’une famille saisi par les huissiers pour recouvrer ses #dettes
    https://www.20minutes.fr/insolite/2462703-20190301-allemagne-chien-famille-saisi-huissiers-recouvrer-dettes

    Le chien d’une famille de la ville d’Ah­len en Alle­magne, a été saisi par les huissiers de justice en novembre dernier. Le canidé a ensuite été vendu sur eBay. La nouvelle propriétaire réclame des indemnités à la ville car depuis l’acquisition, le chien a eu de multiples problèmes de santé, rapporte BBC News.

  • Socket Programming in #python : Client, Server, and Peer Examples
    https://hackernoon.com/socket-programming-in-python-client-server-and-peer-examples-a25c9782b58

    Sockets (aka socket programming) enable programs to send and receive data, bi-directionally, at any given moment. This tutorial walks through how you can send data from device-to-device, client-to-server, and vice versa using socket programming in Python.https://medium.com/media/86144cd4f9efcf87701793197783133c/hrefWhy use #sockets to send data?Internet-connected applications that need to operate in realtime greatly benefit from the implementation of sockets in their networking code. Some examples of apps that use socket programming are:Web pages that show live notifications (Facebook, Twitch, eBay)Multiplayer online games (League of Legends, WoW, Counter Strike)Chat Apps (WhatsApp, WeChat, Slack)Realtime Data Dashboards (Robinhood, Coinbase)IoT devices (Nest, August Locks)Python, unlike (...)

    #peer-to-peer #pubnub #socket-programming

  • Embracing #web 3.0: The New Internet Era Will Begin Soon
    https://hackernoon.com/embracing-web-3-0-the-new-internet-era-will-begin-soon-630ff6c2e7b6?sour

    2018: Facebook’s data breach exposes the accounts of 50,000,000 individuals [source]2017: Equifax, one of the three largest credit agencies in the U.S., suffered a breach that may affect 143 million consumers [source]2016: AdultFriendFinder network hack exposes 412 million accounts [source]2015: Insurance giant Anthem hit by massive data breach compromised the data of 112,000,000 individuals. [source]2014: eBay faces massive data breach of 145,000,000 individuals. [Source]2013: Yahoo!’s data breach compromised the data of 3 billion individuals [Source]These incidents leave us with the questions like:In spite of high-end security, aren’t giant servers capable enough to protect data?Isn’t data security should be a key factor for all the upcoming large and small enterprise?What web has (...)

    #web3 #ai #web-development #technology

  • Une usine de pressage de vinyles clandestine a été démantelée au Pays de Galles
    Théophile Robert, Trax, le 27 décembre 2018
    http://fr.traxmag.com/article/49540-une-usine-de-pressage-de-vinyles-clandestine-a-ete-demantelee-au-p

    Après quatre ans de travail en collaboration, la British Phonographic Industry et la police ont arrêté quatre hommes, tenaient une usine de pressage de vinyles de contrefaçon dans le Pays de Galles.

    La British Phonographic Industry (BPI), épaulée par la police du sud du Pays de Galles a réussi à arrêter quatre hommes qui tenaient une usine de vinyles de contrefaçon. Ils produisaient sans autorisation légale des copies d’artistes de northern soul des années 1960, genre né Royaume-Uni qui a rapidement connu une certaine popularité dans le pays. Au total, 55 635 vinyles de 7 pouces, 26 de 10 et 907 de 12 ont été saisis. Ils comportaient des défauts de fabrication tels que des fautes d’orthographe ou des erreurs de police, parfois même des flous dans la typographie.

    Les quatre coupables ont été condamnés à une peine de 8 à 10 mois chacun. « Ces peines de prison sont importantes et font passer un message très fort aux pirates de la musique dans le pays. Que cela concerne un site de musique illégal sur Internet ou la vente de vinyles de contrefaçon sur eBay ou Amazon, la BPI et la police sont aux aguets et vous serez poursuivis. » assure Kiaron Whitehead, représentant de la BPI au tribunal.

    #disques #vinyles #pirates #Grande-Bretagne #northern_soul #musique #fait_divers

    A propos de Northern Soul :
    https://seenthis.net/messages/676422

  • Uber ist auf dem Weg zum Absturz | taxi-innung.de – Zukunft der Personenbeförderung
    https://taxi-innung.de/2018/12/07/uber-ist-auf-dem-weg-zum-absturz/#more-646

    Fromme Wünsch sind auch nur Wünsche möchte man sagen, wenn man diese Übersetzung liest, die verzweifelte Hoffnung und naiven Optimismus nur so verspritzt.

    Es herrscht Krieg meine Herren. Uber, Amazon, Google und die aktuelle US-Regierung sind nicht angetreten, um Geld zu verdienen, sondern um zu rauben, und zwar nicht nur Geld sonder Alles mit einem riesig großen A. Die USA haben schon lange aufgehört, eine konkurrenzfähige Volkswirtschaft zu sein sondern leben auf Pump von Zwangskrediten, die sie in aller Welt mit vorgehaltener Atomwaffe erpressen. Von den als Startup lancierten Großkonzernen hat nie auch nur einer ernsthaft Geld durch faire Innovation verdienen wollen.

    Disruption heißt das Zauberwort. Auf Deutsch: Macht kaputt, was ihr kaputtmachen könnt. Danach beackern Andere für Euch die verbrannte Erde !

    Man braucht nicht Schumpeter gelesen zu haben, um zu verstehen, wie der Hase läuft. Die Startup-Economy folgt der Zockerdevise alles oder nichts . Nix ehrlicher Kaufmann. Columbia verkündet: There wil be blood . Innovative Unternehmen überleben so lange, wie Investoren darauf wetten, dass sie in Zukunft Geld verdienen werden.

    Uber profitiert heute von der Sackgasse, in der die großen Finanzinvestoren zusammen mit der Autoindustrie feststecken. Der VW-Dieselskandal ist ein laues Lüftchen im Vergleich zum Sturm der wirklichen Herausforderungen, der auf die internationale Autoindustrie zukommt. Japans Autohersteller Toyota steckt 69 Milliarden Dollar in Uber, weil das Management nichts versteht, außer daß es demnächst mit seinem Betrieb und Man und Maus untergehen wird, wenn es sich nicht einer mächtigeren Armee anschließt. VW und Deutschland haben die EU. Japan und seine Firmen nicht so gut geschützt.

    Das alles erklärt, weshalb Uber auf Entscheidungen der deutschen Justiz pfeift. Entweder es gelingt dem Konzern, sich auf Augenhöhe mit Nationalstaaten zu positionieren und den Wirtschaftskrieg gegen sie zu gewinnen, oder das Konstrukt Uber wird untergehen.

    Uber ist bereits jetzt „too big to fail“, systemrelevant für die startup economy als Ganzes. Ein Investor wie Softbank steckt nicht noch vor Toyotas Engagement 48 Milliarden Dollar in ein Projekt, das zum Scheitern verurteilt ist. Wo das alles enden soll? Die Antwort ist ganz einfach. Wie bei Hitlers Mein Kampf genügt es, rechtzeitig aufmerksam zu lesen, um das Projekt zu verstehen:

    Die Superreichen, „innovativen“ Tycoons ziehen sich auf Inseln der Glückseligen zurück, während wir normalen Menschen in einer verpesteten, weltumspannenden Arbeitshölle Robotern zur Hand gehen. Zu irre um wahr zu werden? Hinterher ist man immer schlauer.

    Lesen Sie Propeller Island und Atlas shrugged , hören Sie den Thiel, Bezos, Kalanick, Zuckerberg und Trump genau zu, lauschen Sie dem Club of Rome. Der Plan, die Pläne sind kein Geheimnis sondern Programm.

    Zum Glück ist der Kampf gegen Uber und ähnlich „innovative“ Verbrecher noch nicht verloren. Wer die Idee von der wehrhaften Demokratie ernst nimmt, der hat noch Chancen. Ein Umdenken ist dennoch erforderlich, weil der Feind nicht unsere netten Neonazis sind. Der Feind trägt feinsten Zwirn und Turnschuhe und macht uns vor, dass Deutschlands und Europas Heil in KI und Innovation liegt. Was für eine Illusion.

    Gebraucht werden gröbere Werkzeuge, ökonomische und juristische, und die müssen richtig ausgerichtet werden. Es geht nicht um russische Hacker und Islamisten. Es geht um Bürgerkriegsarmeen und Bankster. Die kommen nicht aus Fernost und Russland. Die kommen aus Übersee, aus Deutschland und dem Nahen Osten. Schon mal von der Afghanistan Connection gehört? Nein? Sie sollten öfter Tagesspiegel lesen.

    Übersetzung des Artikels “Uber Is Headed for a Crash” (new york magazine, 4.12.2018) By Yves Smith

    Durch das Plattmachen lokaler Taxiunternehmen in Städten auf der ganzen Welt und die Kultivierung von Cheerleadern in der Wirtschaftspresse und unter den Liberalisten des Silicon Valley hat es Uber geschafft, ein Bild der Unausweichlichkeit und Unbesiegbarkeit zu schaffen. Aber das Unternehmen verzeichnete gerade ein weiteres Quartal mit atemberaubenden Verlusten – diesmal über 1 Milliarde Dollar, nach 4,5 Milliarden Dollar Verlust im Jahr 2017. Wie viel ist Hype und wie viel ist real?
    Der Gedanke, dass Uber, das am höchsten bewertetete Privatunternehmen der Welt, ein Lehrbuch-“Verschwender” ist – John Kenneth Galbraiths Wortschöpfung für einen Anlageschwindel, bei dem die Verluste erst noch erkannt werden müssen – wird Ubers zahlreiche zufriedene Kunden wahrscheinlich überraschen. Aber wie wir erklären werden, aufbauend auf der umfangreichen Arbeit des Verkehrsexperten Hubert Horan, haben die Investoren von Uber deren Zufriedenheit in Form von massiven Subventionen der Dienstleistungen erkauft. Was Uber für die Nutzer zu einem guten Geschäft gemacht hat, macht es zu einem lausigen Investitionsvorhaben. Uber hat diese Einschätzung durch minimale und widersprüchliche finanzielle Offenlegungen in Schach gehalten, kombiniert mit einer beharrlichen und bisher wirkungsvollen PR-Kampagne, die Uber nach dem Muster digital basierter Start-ups darstellt, deren große Anfangsverluste sich in wenigen Jahren in starke Gewinne verwandelt haben.
    Vergleiche von Uber mit anderen geschichtsträchtigen Tech-Wunderkindern zeigen, dass Uber nicht auf dem selben Weg ist. Kein letztlich erfolgreiches großes Technologieunternehmen war auch nur im entferntesten so zutiefst unrentabel wie Uber. Nach neun Jahren ist Uber nicht annähernd soweit, Geld zu verdienen, und fährt fort, mehr rote Tinte auszubluten als jedes andere Start-up in der Geschichte. Im Gegensatz dazu waren Facebook und Amazon im fünften Jahr solide Cashflow-positiv.
    Die Tatsache, dass dieses verherrlichte Nahverkehrsunternehmen weiterhin ein finanzieller Misserfolg ist, sollte keine Überraschung sein. Was überraschend sein sollte, ist, dass die Wirtschaftspresse immer noch die gute Hoffnung des Uber-Managements nachplappert, dass das Unternehmen 2019 mit einer Zielbewertung von 120 Milliarden Dollar an die Börse gehen wird. Das ist weit über dem höchsten privaten Aktienverkauf mit einem Wert von 68 Milliarden Dollar. Und Ubers Management und Zeichner werden ohne Zweifel hoffen, dass die große unbeleckte Öffentlichkeit über die Tatsache hinwegsieht, dass SoftBank kürzlich Beteiligungen aufgrund einer Bewertung in Höhe von 48 Milliarden Dollar übernommen hat, und ihr Angebot überzeichnet war. Warum sollte neues Geld zu einem mehr als doppelt so hohen Preis hereinkommen, wo Führungskräfte und Angestellte bereit wären, auszusteigen?

    Uber hat noch nie ein Argument vorgebracht, wie das Unternehmen jemals rentabel sein könnte, geschweige denn eine angemessene Kapitalrendite erzielen wird. Die Investoren setzen auf einen erfolgreichen Börsengang, was bedeutet, dass sie noch größere Narren in ausreichender Zahl finden müssen.

    Uber ist ein Taxiunternehmen mit einer App im Anhang. Es entbehrt jeglicher Ähnlichkeit mit Internet-Superstars, die es vorgibt zu nachahmen. Die App ist technisch nicht sehr anspruchsvoll und schafft keine Wettbewerbsbarriere, wie die Tatsache zeigt, dass viele andere Akteure sie kopiert haben. Apps wurden für Fluggesellschaften, Pizzalieferungen und Hunderte anderer Verbraucherdienste eingeführt, haben aber nie Marktanteilsgewinne erzielt, geschweige denn Dutzende von Milliarden an Unternehmenswert. Sie erzeugen keine Netzwerkeffekte. Im Gegensatz zu Facebook oder eBay, mehr Uber-Nutzer zu haben, verbessert den Service nicht.

    Ab einem bestimmten Punkt hilft auch das Einstellen weiterer Fahrer nicht. Uber behauptet regelmäßig, dass seine App Skaleneffekte für die Fahrer schafft – aber damit das so ist, müßte das Einstellen weiterer Fahrer den Fahrern zugute kommen. Das tut es nicht. Mehr Fahrer bedeuten mehr Wettbewerb um verfügbare Fahrten, was eine geringere Auslastung pro Fahrer bedeutet. Es gibt eine Wechselwirkung zwischen Kapazität und Auslastung in einem Transportsystem, die man in digitalen Netzwerken nicht sieht. Der klassische Einsatz von “Netzwerkeffekten” bezog sich auf den Entwurf eines integrierten Verkehrsnetzes – ein Luftverkehrsknotenpunkt- und Speichennetz, das den Nutzen für Passagiere (oder Pakete) schafft, indem es mehr Möglichkeiten zur Verbindung zu mehr Zielen als lineare Punkt-zu-Punkt-Verbindungen bietet. Uber ist offensichtlich kein solches Netzwerk mit integrierten Routen – Taxifahrgäste verbinden sich nicht zwischen verschiedenen Fahrzeugen.

    Auch die Tatsache größer zu sein, macht Uber nicht zu einem besseren Unternehmen. Wie Hubert Horan in seiner Serie über den Nackten Kapitalismus erklärte, hat Uber keinen Wettbewerbsvorteil gegenüber traditionellen Taxiunternehmen. Im Gegensatz zu digitalen Unternehmen hat die Taxiindustrie keine signifikanten Vorteile durch die Größe eines Betriebes; deshalb gab es noch nie Monopole auf Stadtebene, Konsolidierungsspiele oder sogar bedeutende regionale Betreiber. Die Größe verbessert nicht die Wirtschaftlichkeit der Bereitstellung des Taxidienstes, von denen 85 Prozent Fahrer-, Fahrzeug- und Kraftstoffkosten sind; die restlichen 15 Prozent sind in der Regel Gemeinkosten und Gewinn. Und Ubers eigene Ergebnisse sind der Beweis. Uber hat sich ständig vergrößert, aber es ist ihm nicht gelungen, die schnellen Gewinnverbesserungen zu zeigen, die man sehen würde, wenn die Kosten mit zunehmender Geschäftstätigkeit sinken würden.

    Die Größe reduziert auch die Flexibilität. Wie Professor Amar Bhide, Autor des Klassikers The Origin and Evolution of New Businesses, sagte:

    Viele Giga-Unternehmen haben keine Ahnung davon, wenn sie anfangen, wie sie zu Giganten werden – denken Sie daran, dass Microsoft 1975 Basic für den Altair entwickelte, Sam Walton einen Country Store gründete und Hewlett und Packard Audio-Oszillatoren verkauften. Aber da sie klein sind, können sie experimentieren, um herauszufinden, was gewinnbringend skalierbar ist, und bei Bedarf radikale Veränderungen vornehmen. Das ist der Grund, warum es kein Segen und kein Fluch ist, wenn man anfangs keine tiefen Taschen hat. Sicherlich gibt es einige junge Unternehmen wie Google und Amazon, die zufällig in die richtige Richtung starten und als Lieblinge von Risikokapitalgebern oder der Wall Street schneller voran kommen. Aber das sind die Ausnahmen. Andernfalls bläst Geld sie einfach auf und macht es ihnen schwer, die Richtung zu ändern.

    Aber, aber, aber – werden Sie vielleicht sagen – Uber hat ein großes Geschäft in Städten auf der ganzen Welt gegründet. Ja, es ist einfach, viel Kundenverkehr zu bekommen, indem man mit einem Rabatt verkauft. Uber subventioniert die Fahrkosten. In allen Geschäftsbereichen erbrachte Uber im letzten Quartal nur rund 74 Prozent seiner Kosten für Dienstleistungen. Uber verkaufte seine Dienstleistungen 2017 nur zu rund 64 Prozent seiner Kosten, bei einer GAAP-Gewinnmarge von minus 57 Prozent. Als Bezugspunkt verlor Amazon in den schlimmsten vier Quartalen 1,4 Milliarden US-Dollar bei einem Umsatz von 2,8 Milliarden US-Dollar, was einer negativen Marge von 50 Prozent entspricht. Amazon reagierte, indem es über 15 Prozent seiner Arbeiter feuerte.

    Uber Verteidiger könnten argumentieren, dass dies eine große Verbesserung gegenüber 2015 ist, als die Einnahmen nur 43 Prozent der Kosten abdeckten und die GAAP-Marge negativ war mit 132 Prozent. Aber wie wir näher erläutern werden, ist diese Reduzierung der Ausgaben von Uber für jeden durchschnittlichen Dollar nicht auf eine verbesserte Effizienz zurückzuführen, sondern fast ausschließlich auf die Senkung der Fahrerlöhne. Das Transportunternehmen scheint die Grenze erreicht zu haben, in der es die Fahrer ausquetschen kann, da die Abwanderung zugenommen hat.

    Uber hat beispiellose 20 Milliarden Dollar an Investorenfinanzierung eingeworben – 2.600 mal mehr als Amazon vor dem Börsengang. Dies hat es Uber ermöglicht sowohl die traditionellen lokalen Taxiunternehmen zu unterbieten, deren Tarife alle Kosten decken müssen, als auch mehr Autos auf die Jagd nach Fahrten zu schicken, als es nicht subventionierte Betreiber können. Erinnern Sie sich daran, dass es bei jeder Transportdienstleistung einen Kompromiss zwischen der Häufigkeit der Dienstleistung und der Nutzung gibt. Wenn Uber mehr Fahrer dazu bringt, auf der Straße zu sein, um schnelle Abholungen zu gewährleisten, erzielt der einzelne Fahrer im Durchschnitt weniger Umsatz.

    Wenn Uber alle Wettbewerber auf einem lokalen Markt aus dem Geschäft drängen und dann die Preise erhöhen würde, würden die Kunden die Nutzung zurückfahren. Aber noch wichtiger, da die Eintrittsbarrieren im Taxigeschäft niedrig sind und Uber sie durch den Bruch lokaler Vorschriften weiter gesenkt hat, würden neue Akteure unter Ubers neuem Preisdach erscheinen. So müsste Uber seine Preise senken, um die Preise dieser Marktteilnehmer zu erreichen oder das Geschäft aufgeben.

    Darüber hinaus ist Uber ein kostenintensiver Anbieter. Ein Flottenmanager in einem mittelständischen Taxi-Unternehmen kann Fahrzeuge effizienter kaufen, warten und versichern als einzelne Uber-Fahrer. Darüber hinaus behalten die Transportunternehmen eine strenge zentrale Kontrolle sowohl über die gesamte verfügbare Kapazität (Fahrzeuge und Arbeitskräfte) als auch darüber, wie diese Kapazität geplant wird. Uber geht in die entgegengesetzte Richtung. Es hat keine Vermögenswerte, und obwohl es Anreize bieten kann, kann es die Kapazität nicht kontrollieren oder planen.

    Der einzige Vorteil, den Uber erreicht haben könnte, ist die Nutzung des fehlenden finanziellen Scharfsinns seiner Fahrer – diese unterschätzen die vollen Kosten für die Nutzung ihrer Autos und Uber kann somit ein Schnäppchen machen. Es gibt einige Beweise, die diesen Gedanken bestätigen. Ridester veröffentlichte kürzlich die Ergebnisse der ersten Studie zur Ermittlung der tatsächlichen Uber-Fahrerverdienste, die durch Screenshots bestätigt wurden. Unter Verwendung konservativer Schätzungen für die Fahrzeugkosten fanden sie heraus, dass die UberX-Fahrer, die den Großteil ihrer Belegschaft ausmachen, weniger als 10 US-Dollar pro Stunde verdienen. Bei McDonald’s würden sie besser abschneiden. Aber auch dieser Ausgleich zu den allgemein höheren Kosten des Flottenbetriebs hat keinen nennenswerten Einfluss auf Ubers Wirtschaft gehabt.

    Aber, so kann man argumentieren, Uber hat all diese Daten über Fahrgeschäfte! Sicherlich ist er dadurch effizienter als herkömmliche Taxis. Ähm, nein. Lokale Fahrdienste haben immer “Leerfahrtprobleme”, die durch kein Maß an Cleverness behoben werden können, wie z.B. das Mitnehmen von Kunden zum Flughafen und entweder das Warten auf eine Anschlussfahrt oder das leere Zurückkehren oder tägliche städtische Pendelfahrten, bei denen die Arbeiter morgens im Eiltempo überwiegend in die eine Richtung und abends in die andere Richtung wollen. Ebenso hat Ubers surge-pricing nicht dazu geführt, dass Kunden ihre Gewohnheiten ändern und ihre Reisen auf kostengünstigere Zeiten verlagern, was zu einer effizienteren Nutzung hätte führen können. Wenn Uber ein Geheimrezept hätte, hätte es sich bereits in den Uber-Umsätzen und den durchschnittlichen Fahrerverdiensten gezeigt. Neun Jahre später, und es gibt keine Beweise dafür.

    Uber hat auch viel höhere Festkosten: Weitaus besser bezahlte Mitarbeiter in erstklassigen Büroräumen, die an Aktivitäten beteiligt sind, die ein lokales Taxiunternehmen entweder selten oder nie durchführen muss, wie Fahrerrekrutierung (Uber hat Rekrutierungszentren), Öffentlichkeitsarbeit und Werbung, Rechtsstreitigkeiten, Flugkosten und andere Kosten für den Betrieb eines globalen Unternehmens.

    Also dürfte Uber einen höheren Kapitalaufwand haben als es ein alteingesessenes Unternehmen mit ziemlich stabilen Einnahmen und Arbeitsabläufen hat (beziehungsweise hatte).

    Uber hat auf Zeit gespielt, um zu vermeiden, Finanzinformationen in einheitlicher Weise zu veröffentlichen, ein Warnsignal. Ein aussagekräftiges Beispiel: Ende 2016 zielte Uber auf ein Aktienangebot für High-End-Privatanleger, die vermutlich sogar noch dümmer waren als die Saudis, die in ihrer Vorrunde investiert hatten. Dennoch lehnten sowohl JP Morgan als auch die Deutsche Bank die “Gelegenheit” ab, Uber-Aktien an ihre Kunden zu verkaufen, obwohl dies ihre Position bei einem zukünftigen Börsengang von Uber gefährden könnte. Warum? Das Unternehmen “ride sharing” lieferte 290 Seiten Wortschwall, aber nicht das Nettoeinkommen oder gar den Jahresumsatz.

    Während Uber für das erste und zweite Quartal 2018 eine vollständige Gewinn- und Verlustrechnung vorlegte, gab es für das letzte Quartal, als sich seine Margen verschlechterten, nur drei Positionen.

    Während Uber seine negative Bruttomarge im Laufe der Zeit reduziert hat, resultieren diese Verbesserungen hauptsächlich aus der Verringerung der Fahrerausgleichszahlungen, so dass diese nun im Durchschnitt weniger pro Stunde netto erreichen, als die Taxiunternehmen.
    Bis 2015 gingen 80 Prozent der Fahrpreise an die Fahrer. In den ersten Jahren gab Uber den Fahrern hohe Auszahlungen, um gute Fahrer anzuziehen, und bot den Fahrern auch Anreize, Autos zu kaufen. Uber reduzierte das auf bis zu 68 Prozent, dann kehrten sie teilweise um, als die Fahrerfluktuation auf das aktuelle Niveau von rund 70 Prozent anstieg. Im Jahr 2017 lag die Marge von Uber, wie sie nach GAAP ausgewiesen wurde, bei minus 57 Prozent. Ohne die Gehaltskürzung der Fahrer wäre es auf dem negativen dreistelligen Niveau geblieben.

    Die Lohnkürzungen haben zu mehr Fahrerfluktuation geführt, was zu höheren Verwaltungskosten führt. Und es verschlechtert die Servicequalität. Ein Kommentar zu einem Artikel über Ubers Ergebnis des dritten Quartals:

    Ich brauchte eine Fahrt von Burbank nach LAX an einem Donnerstagmorgen gegen 5:45 Uhr. Ich habe am Vorabend ein Auto bestellt. Zur Abholzeit gab es innerhalb von 20 Meilen keine Lyft oder Uber. Als ich einen bekam, sagte der Fahrer, dass es sich bei der Bezahlung nicht mehr lohnt, früh aus dem Bett zu steigen.

    Ubers andere Art, seine Margen weniger verheerend zu gestalten, war es, seine ungünstigsten Geschäfte abzuschütteln. Aber selbst dann gab Ubers neuer CEO Dara Khosrowshahi effektiv zu, dass Uber in keinem Markt profitabel ist, wenn man die Festkosten des Unternehmens berücksichtigt. Uber hat verzweifelt neue Geschäfte wie Uber Eats und einen Rollerverleih hinzugefügt, um seine Wachstumsgeschichte am Leben zu erhalten. Uber gibt nicht nur stillschweigend zu, dass sie ihre Kosten nicht decken, sondern weigert sich, über ihre Einnahmen hinaus Einzelheiten über diese Geschäfte zu nennen und diskutiert nicht, wie sie die Wende schaffen könnten.

    Aber was ist mit autonomen Autos? Lassen Sie uns davon absehen, dass einige Enthusiasten wie Apple-Mitbegründer Steve Wozniak heute glauben, dass völlig autonome Autos “nicht stattfinden werden”. Vollständig autonome Autos würden bedeuten, dass Uber die Autos besitzen müsste. Die Kapitalkosten wären atemberaubend und würden die Illusion sprengen, dass Uber ein Technologieunternehmen ist, anstatt eines Taxiunternehmens, das die Roboterautos eines anderen kauft und betreibt.

    Uber ist es gelungen, die Wirtschaftspresse dazu zu bringen, Popularität mit kommerziellen Erfolg gleichzusetzen. Einige Tech-Reporter, wie Eric Newcomer von Bloomberg, haben höflich darauf hingewiesen, dass Ubers Ergebnisse weit hinter anderen “Tech Illuminati” vor dem Börsengang zurückbleiben. Das Argument, dass Dominanz Gewinne hervorbringen würde, ist nachweislich falsch und Uber scheint nicht in der Lage zu sein, eine neue Geschichte zu schreiben. Es gibt allen Grund zu der Annahme, dass Investoren und nicht lokale Taxiunternehmen den Verkehrstod von Uber herbeiführen werden.

    Toyota invests $69M in Japanese Uber rival backed by the taxi industry
    https://techcrunch.com/2018/02/08/toyota-invests-69m-into-japanese-uber-rival/?guccounter=1

    SoftBank is now Uber’s largest shareholder as deal closes | Reuters
    https://www.reuters.com/article/us-uber-softbank-tender/softbank-is-now-ubers-largest-shareholder-as-deal-closes-idUSKBN1F72WL

    #Uber #disruption #Börse

  • 5 Questions to Ask While Building Your Marketplace Platform
    https://hackernoon.com/5-questions-to-ask-while-building-your-marketplace-platform-aed27f86555?

    Building a marketplace setup is a tough nut to crack — and this is no breaking news.Although the model works extremely well at scale — for example, eBay, Airbnb, and Uber, among others — but getting to scale is another challenge altogether.It’s not something that’s achieved overnight, or without thorough planning. For instance, it took Wattpad, a community of writers and readers, around three years to get 300,000 uploads. Then, it took them only three more years to reach the 10 million mark. Similarly, the crowdfunding platform, Indiegogo, was founded in 2007, but it took them four years for their first big break.However, building an online marketplace does seem like a lucrative business option. Even more so, when you realize that global #marketplaces are set to own around 40% of the online retail (...)

    #ecommerce-marketplace #ecommerce #startup #online-marketplace

  • Gafams : et si la révolution venait de l’intérieur ?
    http://www.internetactu.net/a-lire-ailleurs/gafams-et-si-la-revolution-venait-de-linterieur

    Présenter de vraies excuses nécessite d’apporter une modification réelle à ce qui a provoqué le problème à l’origine de son remords. Mais pour les entreprises de technologie, présenter des excuses tient plutôt du stratagème pour ne rien faire. C’est ce que dit en substance Josh Constine (@joshconstine) sur TechCrunch, qui n’est pas vraiment la publication la plus critique de l’innovation. Les modèles commerciaux des entreprises sont souvent en conflit avec la façon dont nous souhaitons qu’elles agissent, (...)

    #Google #Airbnb #eBay #Facebook #GoogleSearch #Lyft #Uber #Dragonfly #drone #données #publicité #BigData #GAFAM #profiling #ProjectMaven #bénéfices #censure #militarisation (...)

    ##publicité ##domination
    /assets/images/logo_ia.png

  • Plaza’s MerchantChain — Next Gen #commerce on #blockchain
    https://hackernoon.com/plazas-merchantchain-next-gen-commerce-on-blockchain-13e9ce338b06?source

    Plaza’s MerchantChain — Next Gen Commerce on BlockchainWhat is happening now with Crypto and blockchain technology is how I imagine the internet gold rush happened in the 90’s felt. Since I was too young to experience those years, I am paying extra close attention to what is happening today. The concept behind blockchain technology is trust and transparency. Blockchain will have a massive impact on digital identity, banking, smart contracts, decentralized notary, digital voting and many more. In current scenario sellers need middleman like Amazon, flip-kart, eBay and Alibaba for selling and promote their products all over the world. For selling their products approximately 25% fees paying for e-commerce vendors, that cost they will add in their product cost and finally consumers are paying (...)

  • Ebay : les meilleurs smartphones du Black Friday
    https://www.tomshardware.fr/2018/11/24/ebay-les-meilleurs-smartphones-du-black-friday

    Nous avons sélectionné les meilleurs smartphones proposé à petits prix par Ebay pour le Black Friday L’article Ebay : les meilleurs smartphones du Black Friday est apparu en premier sur Tom’s Hardware.

  • Black Friday : c’est toute la semaine chez Ebay !
    https://www.tomshardware.fr/2018/11/22/black-friday-cest-toute-la-semaine-chez-ebay

    Même si le Black Friday, comme son nom l’indique en anglais, n’est normalement prévu que pour vendredi prochain, le 23 novembre, la semaine qui précède cette date est déjà l’occasion de faire des bonnes affaires chez Ebay.Retrouvez tous les jours notre sélection de produits, vendus pour l’occasion à prix réduits. Xiaomi Redmi 5 Plus Ce […] L’article Black Friday : c’est toute la semaine chez Ebay ! est apparu en premier sur Tom’s Hardware.

  • Black Friday : c’est toute la semaine chez Ebay !
    https://www.tomshardware.fr/2018/11/21/black-friday-cest-toute-la-semaine-chez-ebay

    Même si le Black Friday, comme son nom l’indique en anglais, n’est normalement prévu que pour vendredi prochain, le 23 novembre, la semaine qui précède cette date est déjà l’occasion de faire des bonnes affaires chez Ebay.Retrouvez tous les jours notre sélection de produits, vendus pour l’occasion à prix réduits. Logitech UE Boom 2 Cette […] L’article Black Friday : c’est toute la semaine chez Ebay ! est apparu en premier sur Tom’s Hardware.