• Les plans de Paris
    http://www.vacarme.org/article2389.html

    Les plans de Paris avec index alphabétique des rues, dont on possède tous un exemplaire, ont d’abord été conçus pour la Préfecture de Police. Les Éditions l’Indispensable (filiale des Éditions Massin), qui publient ces petits livres – ils étaient d’abord rouge et dorés, ils sont maintenant bleu marine – sont en effet fournisseur officiel de la police parisienne. Les plans sont d’abord réalisés pour la Préfecture, puis réédités et vendus au grand public. (...) Source : Vacarme

  • Courrier des lecteurs : que veut dire « trop cher » pour un billet de train à grande vitesse ? | Classe éco | Francetv info
    http://blog.francetvinfo.fr/classe-eco/2014/02/07/courrier-des-lecteurs-que-veut-dire-trop-cher-pour-un-billet-de-tr

    « L’amour des industriels en place pour les consommateurs embrouillés n’a d’égal que celui des politiques pour les électeurs ignorants. » Tags : #chef

    • Sans compter que les lignes grande vitesse concernent en fait que 12% des voyageurs et que les autres doivent se démerder avec le reste du réseau qui, à cause des lignes à grande vitesse, se retrouve souffrir de manque d’entretien et d’investissement chronique et de fermeture de gares et de liaisons pourtant utiles pour le maillage du territoire. sans compter que d’un point de vue purement économique et écologique, c’est un choix aberrant.

    • Je plussoie, si j’ai encore une voiture c’est pour des raisons d’économie ! le train est trop cher et ne dessert que des grandes gares, je dois donc covoiturer, risquer des vies, nourrir le racket des péages d’autoroutes et me fader une guimbarde qui occupe l’espace public 80% du temps pour rien, et cerise de l’#aberration qui évidemment pollue, comme tout ces trucs d’individualismes de merde que les politiques ont beau jeu de nous faire confondre avec la liberté. #transports #tgv #trains #covoiturage #pas_le_choix

    • Oui, bien sur il y a des raisons économiques, mais pas que, il faut se souvenir que sous Pasqua le ministère de l’#aménagement_du_territoire dépendait du #ministère_de_l'intérieur. Le voyage est une chose dangereuse pour l’Etat, quoi bouger, changer, mais vous n’y pensez pas ! on est pas aux US ! sus aux gens du voyage et à toutes celles qui voudraient qu’on respecte la constitution et le droit d’aller et venir !! Il y a de mauvaises têtes qui soutiennent qu’une telle politique a été mise en place pour garder le contrôle sur les flux inter-migratoires en les diminuant : coût élevé des trains, axes autoroutiers balisés, vidéosurveillance des lignes droites et des péages, voire en les ralentissant (Délire du rond-point) ce qui garanti au final d’éviter les échanges et rencontres entre gens spoliés et révoltés.

      #logique_de_guerre

    • Ils ont une drôle de façon de gérer leur trésorerie à la SNCF…

      Pourquoi les comptes de la SNCF ont viré au rouge en 2013
      http://www.boursier.com/actualites/economie/pourquoi-les-comptes-de-la-sncf-ont-vire-au-rouge-en-2013-23009.html

      Plongeon du TGV

      Concernant le TGV, la SNCF explique que le plongeon de l’activité, en France et en Europe, s’est aggravé en 2013. L’augmentation des péages ferroviaires, la faiblesse des trafics liée à la crise économique et à la concurrence des avions low-cost et du co-voiturage ont notamment pesé.

  • Quand « #développement_économique local » rime avec régressions sociales
    http://terrainsdeluttes.ouvaton.org/?p=2783

    En marge des fermetures d’usines, de nombreuses collectivités territoriales se sont engagées dans des politiques de développement économique local. Or, sous couvert de favoriser l’emploi, elles tentent également de satisfaire les exigences des chefs d’entreprise. Nous revenons ici sur l’exemple d’une politique d’aménagement menée dans l’intérêt du #Patronat local, des …

    #Abus_patronaux #Rural_ ! #aménagement_du_territoire #délocalisation #élus_locaux #industrialisation #paix_sociale #répression

  • Territoire Durable 2030 - Ministère de l’Energie, du Développement durable et de l’Energie

    http://www.territoire-durable-2030.developpement-durable.gouv.fr

    Un cadre de réflexion pour des territoires durables à l’horizon 2030

    Comment vont évoluer les comportements, l’activité, la nature du développement et l’action publique à toutes les échelles territoriales ? Comment les territoires vont-ils répondre à ces mutations ? les formes d’organisation, de gouvernance des territoires seront-elles identiques à l’horizon 2030 ? Quelles sont les pistes d’évolution durable des territoires du point de vue environnemental, énergétique et, plus largement, sociétal ?

    Pour tenter de répondre à ces questions, la Mission Prospective a conduit un exercice de prospective « Territoire durable 2030 » afin d’explorer quatre scénarios d’évolution possible dans les 20 prochaines années se rapportant à la France Métropolitaine.
    Il ne s’agit pas ici de fournir des visions exhaustives de ce que nous réserve l’avenir mais d’identifier les ruptures, les incertitudes et les tendances lourdes à l’échelle nationale, afin de se préparer au mieux à l’évolution des territoires.

    Le site « Territoire durable 2030 » permet d’explorer ces quatre scénarios selon différentes approches :

    une navigation par scénario et deux focus sur l’environnement via la barre de menu du haut ;

    un module de data visualisation pour explorer les indicateurs des scénarios ;

    un module de comparaison des données des scénarios (cartes et indicateurs) ;

    des vidéos pour chacun des quatre scénarios « Territoire durable 2030 » afin de comprendre les processus spatiaux à l’œuvre sur les territoires via la modélisation graphique (chorèmes) ;

    Cette première ministérielle met en avant à la fois le processus prospectif des scénarios mais aussi - et surtout - une manière originale et méthodologique de les représenter et de les visualiser.

    La Mission Prospective du Commissariat général au développement durable (Ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie) a le plaisir de vous inviter à naviguer sur le site du programme « Territoire durable 2030 »

    #développement_durable #france #datar #aménagement_du_territoire

  • Nouveaux lieux de loisirs marchands à Beyrouth : poursuite du renouvellement urbain du centre-ville aux périphéries avec un nouveau mall dans le Metn et l’ouverture d’un vaste complexe de cinéma dans le centre-ville
    Plans announced for region’s first luxury outlet mall in Metn | Culture , Lifestyle | THE DAILY STAR
    http://dailystar.com.lb/Culture/Lifestyle/2013/Dec-18/241490-plans-announced-for-regions-first-luxury-outlet-mall-in-metn.as

    Another luxury mall is slated to open in the Alissar area of Metn in spring 2016, Lebanese developer SIDCOM announced Monday.

    Centerfalls shopping mall will offer 72,000 square meters of retail space and will include the region’s first designer outlets with discounted prices on luxury brands between 30 percent and 70 percent, according to a news release announcing the plans Monday.

    Centerfalls may even rival the Gulf’s enormous luxury malls, as SIDCOM is boasting the largest range of restaurants and personal services “ever seen in a mall.”

    CinemaCity at the Souks makes splashy debut in Downtown

    http://dailystar.com.lb/Culture/Lifestyle/2013/Dec-19/241597-cinemacity-at-the-souks-makes-splashy-debut-in-downtown.ashx#ix
    http://dailystar.com.lb/dailystar/Pictures/2013/12/18/234387_mainimg.jpg

    Lebanon’s largest cinema opened Wednesday evening in Beirut Souks, bringing moviegoers back to Downtown for the first time since war razed the thriving picture scene in the heart of Beirut.

    [...]

    The three-flour, 12,000 square meter complex houses 2,200 seats across 14 auditoriums – 12 regular cinemas and two Gold Plus VIP theaters. Two auditoriums house supersize screens 18.5 meters wide.

    CinemaCity at the Souks was a $25 million joint project between Solidere, Atassi and Mario Haddad, owner of Empire.

    The new cinema is the region’s largest, Atassi said.

    The area around Downtown’s Martyrs’ Square used to house half-a-dozen movie theaters, including iconic buildings such as the Rivoli, located in what is now a dusty parking lot, and the Opera Cinema, a historic facade that today houses Virgin Megastore. A few skeletons still remain of Downtown’s entertainment hub, like the theater near Riad al-Solh and the Egg, the bullet-ridden, dome-shaped carcass of a modernist, 1,000-seat cinema built in the 1960s.

    Solidere put considerable effort into the structure of the new theater and sought to make the complex an iconic addition to the Souks. The giant copper building is lined on two sides with LED screens that will play moving images. The electronic facade will act as decor rather than advertising space, Atassi assured.

    [...]

    During Beirut’s reconstruction in the ’90s, cinemas reopened around the capital and its suburbs that were for the most part embedded in shopping malls. Today, there are around 16 cinemas across the country, less than half of them freestanding theaters.

    During the heydays of Beirut’s theaters, matinees were popular fare as the venues drew in early foot traffic from Downtown and university students playing hooky.

    [...]

    The opening was long-awaited. Plans for a Souk theater and restaurant complex began in 2004, and it has been under construction since 2010. CinemaCity advertised its opening date earlier this month, but then postponed the soft opening until Thursday – though movies played Wednesday.

    #Beyrouth
    #mall
    #cinéma
    #immobilier
    #loisirs

  • L’apprentissage de la coopération intercommunale : modalités et instruments

    http://espacepolitique.revues.org/2454

    Signalé par Bénédicte Tratnjek

    Le développement de l’intercommunalité donne lieu à des recompositions territoriales et gouvernementales majeures. Les élus se confrontent alors à l’exercice complexe de la coopération et à la définition d’un projet territorial. Il s’agira d’étudier la coopération intercommunale au regard des apprentissages (techniques, politiques et territoriaux) opérés par les maires et de concentrer l’analyse sur les « instruments » de ce processus. Ce propos est illustré par l’étude de l’agglomération toulousaine qui, fragmentée en trois communautés d’agglomérations ou urbaine, donne à voir des territoires plus ou moins avancés dans le mouvement d’intégration communautaire. A cette occasion, plus de 80 maires, ainsi que des responsables techniques, ont été interrogés1.

    #aménagement_du_territoire #france #visualisation #cartographie

  • Une série d’entretiens avec Augustin Berque, que j’ai découvert il y a quelques années grâce à @Mona http://www.peripheries.net/article184.html, et qui approfondit bien les choses concernant l’#empreinte_écologique dans sa dimension humaine (aspect qui reste dans un angle mort de la plupart des discours écolos).
    Résumé de ce que j’en retiens :

    1. Il ne faut pas réduire le problème à sa dimension écologique http://www.dailymotion.com/video/xfvyhz_il-ne-faut-pas-reduire-le-probleme-a-sa-dimension-ecologique_web


    Les écologistes ne se posent pas le problème de l’#écoumène, cela reste dans un angle mort du mouvement écolo actuel. Or notre relation à la Terre n’est pas uniquement écologique, elle est également écouménale, elle implique aussi des systèmes techniques et des systèmes symboliques. C’est cette dimension technique et symbolique qui fait notre rapport au monde en tant qu’humains. Notre monde humain repose sur les écosystèmes mais il les dépasse également, il nous faut comprendre en quoi notre monde est + que des écosystèmes.

    La technique est bel et bien une extériorisation, qui prolonge notre corporéité hors de notre corps jusqu’au bout du monde ; mais le symbole est au contraire une intériorisation, qui rapatrie le monde au sein de notre corps. Quand le robot Sojourner saisit cette pierre, là-bas sur Mars, il prolonge, grâce à la technique, le geste ancestral de l’Homo habilis, qui, voici deux millions d’années, investit dans un galet aménagé, tenu à bout de bras, une fonction jusque-là uniquement exercée par les incisives au-dedans de la bouche. Mais inversement, c’est avec ma bouche, ici et maintenant, que je parle de Mars et de Sojourner, qui sont loin dans l’espace, et d’Homo habilis, qui est loin dans le temps. Je peux le faire grâce à la fonction symbolique, laquelle, sous ce rapport, consiste donc à rendre présentes au-dedans de mon corps des choses qui en sont physiquement éloignées. Cela, ce n’est pas une projection ; c’est, tout au contraire, une introjection. La trajection, c’est ce double processus de projection technique et d’introjection symbolique. C’est le va-et-vient, la pulsation existentielle qui, animant la médiance, fait que le monde nous importe. Il nous importe charnellement, parce qu’il est issu de notre chair sous forme de techniques et qu’il y revient sous forme de symboles. C’est en cela que nous sommes humains, en cela qu’existe l’écoumène, et c’est pour cela que le monde fait sens

    extrait de « Ecoumène, introduction à l’étude des milieux humains »

    2. « Ce monde là court à la catastrophe... » http://www.dailymotion.com/video/xgp64m_ce-monde-la-court-a-la-catastrophe_webcam


    On n’a pas qu’un corps animal, on a aussi un #corps_médial, fait de projections et d’introjections. Ce corps n’existe qu’en lien avec le monde. L’humain et le monde que construit l’émergence de l’espèce humaine sont co-dépendants. C’est le rapport entre ces systèmes (techniques et symboliques) extérieurs à notre corps et leur effet en retour sur le corps animal qui explique l’émergence de l’espèce humaine. On humanise l’environnement par nos systèmes symboliques, on l’anthropise par nos systèmes techniques. C’est l’effet retour des symboles et des techniques sur notre corps qui nous fait humains.
    Cette notion de co-dépendance (ou co-suscitation) a été beaucoup plus creusée dans les traditions asiatiques que dans les traditions européennes. On pourrait avoir tendance à les rejeter car ces réflexions (dans les civilisations asiatiques) font aussi appel à des éléments religieux et mystiques, mais on aurait tort de se priver de ces sources-là car elles peuvent être des inspirations utiles pour pouvoir changer de rails.

    3. La pulsion de retour à la « nature » détruit la « nature » http://www.dailymotion.com/video/xgp786_la-pulsion-de-retour-a-la-nature-detruit-la-nature_webcam


    Une des pires façons actuelles d’habiter le monde est ce qu’il appelle « l’#urbain_diffus », ou que d’autres appellent « suburbia », soit vivre loin des centres urbains tout en continuant à avoir avoir un mode de vie urbain, sur le modèle pavillon + #voiture qui est l’idéal de beaucoup de gens. En arrière plan de cet idéal se trouve l’aspiration à vivre près de la « #nature » (même si cette « nature » se traduit factuellement par du gazon et des thuyas). C’est en partie un mode de vie de riches qui s’est plus moins démocratisé avec la société de consommation, qui chez certaines élites anciennes incluait l’observation de la nature, mais excluait (ou forcluait, pour reprendre son terme) le travail #paysan, le travail qui consiste à obtenir une production alimentaire par aménagement de la nature.
    Outre cette « démocratisation », cette aspiration à vivre près de la « nature » provient d’une pulsion très ancienne qui est celle du retour à la matrice originelle (ou nostalgie du sein maternel). Cette pulsion, dans la façon dont elle s’exprime aujourd’hui, a des résultats destructeurs tant au niveau écosystémique qu’humain.

    4. Nous assistons à la transformation de l’humain en cyborg http://www.dailymotion.com/video/xgpcuz_nous-assistons-a-la-transformation-de-l-humain-en-cyborg_webcam


    Le mode de vie campagnard et son rapport particulier à la terre subsistent aujourd’hui à l’état relictuel dans l’occident. Le développement de la société de consommation à partir des années 1950 a engendré l’extinction de la culture paysanne, laissant place à des entrepreneurs agricoles fonctionnant sur un mode civilisationnel urbain.
    L’urbain diffus défait la ville et défait la campagne, par un système mécanique qui se développe selon sa propre logique. Tout se construit en fonction de l’usage de la voiture, qui tue pourtant 1.5 millions de gens par an dans le monde. On adapte nos espaces à l’#automobile plutôt que l’inverse.
    Au-delà de cette omniprésence et ces dégâts humains causés par la voiture, les systèmes mécaniques transforment l’humain en cyborg (être ne pouvant pas vivre sans machine), dans la mesure où on pense le monde en terme de machine (pensée mécaniciste moderne issue entre autres de Descartes).

    5. « Il n’est pas certain que je veuille laisser une épitaphe » http://www.dailymotion.com/video/xgpcyt_il-n-est-pas-certain-que-je-veuille-laisser-une-epitaphe_webcam


    D’après lui il faudra sûrement une catastrophe pour servir de déclic au dépassement de l’idéal pavillon + voiture, au changement de notre rapport au monde.

    Fukushima n’a visiblement pas suffi. Ce serait peut-être bien également de chercher à rendre plus désirable, dans l’imaginaire collectif, l’urbain compact (libéré autant que possible de la voiture), et de cultiver (ou recréer là où il a disparu) le rapport particulier à la terre du mode de vie campagnard.

    EDIT du 08/09/2013 : lien avec http://seenthis.net/messages/173393 et http://seenthis.net/messages/173394

  • Le Figaro - France : Comment Taubira veut défaire l’arsenal antirécidive
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/02/19/01016-20130219ARTFIG00703-comment-taubira-veut-defaire-l-arsenal-antirecidi

    Comment Taubira veut défaire l’arsenal antirécidive

    « L’incarcération crée plus de récidive. » C’est par cette affirmation que Christiane Taubira a ouvert la « conférence de consensus » il y a moins de six mois, et c’est par cette idée qu’elle s’achève. « Haro sur la prison » : ainsi pourrait être résumé le fil rouge des travaux des experts choisis pour nourrir le rapport final qui doit être remis mercredi après-midi au premier ministre. Pour beaucoup, y compris au sein de la majorité, ces paroles rappelleront sans doute « l’angélisme de gauche » avec lequel Lionel Jospin voulait rompre jadis et contre lequel Manuel Valls lutte aujourd’hui. « La dissuasion par l’incarcération, ça ne fonctionne pas », explique Christiane Taubira. « On sait avec certi­tude que les peines exécutées en milieu ouvert favorisent moins la récidive que les peines de prison », renchérit Nicole Maestracci, présidente du comité d’organisation de la « conférence de consensus », cet ovni à mi-chemin entre le groupe de travail et le brainstorming dirigé. Inspirée des méthodes des milieux médicaux, la conférence vise en réalité autant à rendre des propositions au ministre qu’à asseoir dans l’opinion comme vérités scienti­fiques définitives un certain nombre de données qui étaient jusqu’ici contestées ou contrebalancées.

    #prison #recidive #alternative #amenagement_peine

  • « Les alternatives à la prison protègent de la récidive »
    http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/02/14/les-alternatives-a-la-prison-protegent-de-la-recidive_1832634_3224.html

    « Les alternatives à la prison protègent de la récidive »

    Nicole Maestracci, première présidente de la cour d’appel de Rouen, choisie par le chef de l’Etat pour rejoindre le Conseil constitutionnel en mars, est aussi la présidente du comité d’organisation de la conférence de consensus sur la prévention de la récidive, qui devait commencer, jeudi 14 février, ses auditions publiques. Près d’un millier de personnes se sont inscrites pour suivre les deux jours de débats à Paris, présidés par une magistrate belge, Françoise Tulkens, ancienne juge à la Cour européenne des droits de l’homme. Les 20 membres du jury se réuniront ensuite à huis clos avant de présenter, mercredi 20 février, des recommandations au premier ministre et à la garde des sceaux.

    A quoi sert une conférence de consensus ?

    C’est une méthode mise au point aux Etats-Unis et qui a été importée depuis quinze ans dans le monde médical. Pour qu’une politique publique puisse être installée durablement et qu’elle soit efficace, il faut qu’elle repose sur un consensus suffisant du grand public et de l’ensemble des acteurs, en sortant du cercle des spécialistes. La question de la prévention de la récidive et, au-delà, du sens de la peine concerne la société tout entière.

    #prison #recidive #aménagement_peine #alternative

  • 24h…. en prison : « Surveiller, punir, et après ? » : Parcours de réinsertion - Information - France Culture
    http://www.franceculture.fr/emission-les-pieds-sur-terre-24h%E2%80%A6-en-prison-%C2%AB-surveiller-..

    Condamné pour vol à main armée dans un centre commercial, Steve, 34 ans, n’en est pas à son coup d’essai. Multi-récidiviste, ce jeune père de famille a écopé de 30 mois de prison, mais bénéficie pour la première fois d’un aménagement de peine en placement extérieur tout comme Eric, Sébastien et Ali. C’est l’ARAPEJ 93 (Association Réflexion Action Prison et Justice) qui s’est occupé de leur trouver un appartement, un job dans les espaces verts et de leur assurer un suivi social.

    #prison #aménagement_peine #insertion

  • Bientôt une nouvelle peine alternative à la prison : la probation - France - TF1 News
    http://lci.tf1.fr/france/justice/bientot-une-nouvelle-peine-alternative-a-la-prison-la-probation-7384951.html

    J

    e suis absolument persuadée qu’il faut construire cette peine de probation en France". La garde des Sceaux Christiane Taubira a confié lundi sa volonté de mettre en place une nouvelle peine alternative à la prison, basée sur une prise en charge plus personnalisée des condamnés afin de prévenir la récidive. La ministre de la justice a par ailleurs annoncé la tenue d’une « conférence de consensus » sur ce sujet d’ici la fin de l’année, probablement en novembre. Selon Christine Taubira, ce projet sera l’une de ses réformes phare.

    #prison #alternative_à_incarcération #aménagement_de_peine

  • Libertés surveillées
    http://libertes.blog.lemonde.fr

    Prison : les inconfortables vérités de Jean-Marie Delarue
    La démarche se veut solennelle : Jean-Marie Delarue, le contrôleur général des lieux de privation de liberté, a publié mercredi 13 juin un avis au Journal officiel, qui tient à la fois de la feuille de route et de l’avertissement aux pouvoirs publics sur la catastrophique situation pénitentiaire. Il en conclut, au terme d’une longue démonstration, qu’il serait notamment nécessaire d’envisager une amnistie pour « les peines légères » non exécutées en 2012, et qui n’ont plus grand sens.

    #prison #surpopulation #aménagement_de_peine

  • Transformations du Sénat à surveiller. Interview de Jean-Pierre #Bel

    http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2011/11/24/jean-pierre-bel-la-periode-exige-de-nous-de-la-decence_1608719_1471069.html

    Deux groupes de travail ont été mis en place : sur les #conflits_d'intérêts et le statut des sénateurs, et un deuxième sur les économies à réaliser, le fonctionnement et le #train_de_vie du Sénat

    Par ailleurs, nous avions pensé pouvoir créer deux commissions permanentes pour nous mettre au diapason de l’Assemblée. Nous allons créer une seule commission, du #développement_durable et de l’ #aménagement_du_territoire, en scindant l’ancienne commission des affaires économiques. Le surcoût sur une année peut être estimé autour de 1 million d’euros.

    Nous créons aussi une commission sénatoriale sur le contrôle de l’ #application_des_lois. C’est un sujet essentiel. On a à s’interroger sur cette boulimie législative qui nourrit l’incompréhension. Cette commission aura des pouvoirs d’investigation en matière de contrôle du gouvernement. Cela se fera à coût constant, avec un redéploiement des fonctionnaires. Nous avons aussi décidé de créer une délégation sénatoriale à l’outre-mer, composée à parité de tous les sénateurs de l’outre-mer et de sénateurs de métropole.

  • Projet de loi de finances pour 2011 : Justice- Administration pénitentiaire
    http://www.senat.fr/rap/a10-116-3/a10-116-33.html#toc22

    "Le placement sous surveillance électronique. Cette mesure est devenue la principale mesure d’aménagement de peine au cours des trois dernières années. Avec la loi pénitentiaire, il pourrait devenir la modalité la plus usuelle d’exécution des fins de peine. En effet, aux termes du nouvel article 723-28 du code de procédure pénale, la personne condamnée à une peine d’emprisonnement d’une durée inférieure ou égale à 5 ans, lorsqu’aucune mesure d’aménagement de peine n’a été ordonnée six mois avant la fin de peine, et qu’il lui reste 4 mois d’emprisonnement à subir11(*) exécute le reliquat de la peine selon les modalités du PSE, sauf en cas d’impossibilité matérielle, de refus de l’intéressé, ou d’incompatibilité entre sa personnalité et la nature de la mesure ou le risque de récidive. Afin d’éviter toute dérive vers une « grâce électronique », le Parlement a prévu que cette disposition est mise en oeuvre par le directeur du SPIP sous l’autorité du procureur de la République qui peut fixer les mesures de contrôle et les obligations auxquelles la personne condamnée devra se soumettre. Par ailleurs, en l’absence de décision de placement, la personne condamnée peut saisir le juge de l’application des peines qui statue par jugement après débat contradictoire.

    Le seuil des 5.000 placements sous surveillance électronique simultanés a été atteint pour la première fois en mars 2010.

    Au cours des 12 derniers mois, cette croissance se ralentit mais s’établit encore à 25,6 %.

    Au 1er août 2010, 67,5 % des personnes sous écrou bénéficiant d’un aménagement de peine sont placées sous surveillance électronique. Ainsi, au total, un condamné sous écrou sur dix exécute sa peine sous le régime du PSE.

    En flux, le PSE représente de loin le premier aménagement de peine prononcé sur l’ensemble du territoire national, avec 46% de l’ensemble des mesures accordées au cours de l’année 2009.

    "