#bade-wurtemberg

  • Germany prepares to widen fixed border checks

    (automne 2023 —> pour archivage)

    Germany is expected to notify the EU about plans to introduce fixed border checks on the Polish, Czech Republic and Swiss borders. Previously, this had only been possible at the Austrian frontier.

    The German Interior Ministry is expected to register fixed border controls with Poland, the Czech Republic and Switzerland with the European Commission in light of a high number of refugees entering Germany.

    The intention of the checks is to more effectively fight against people smugglers and to detect and stop unauthorized entries.
    What we know so far

    According to government sources, the necessary notification in Brussels was being prepared on Monday.

    The plan is an extension of police checks directly at the border in place at the border with Austria since 2015.

    German Interior Minister Nancy Faeser had long rejected permanent fixed contro points, citing, among other things, the effects on commuters and freight transport. The norm in the EU’s Schengen Zone is for open borders but with police reserving the right to check anybody crossing at random, but not at set checkpoints.

    Interior ministers of the eastern German states of Brandenburg and Saxony have pressed Faeser to implement fixed checks.

    Germany had introduced additional controls at border crossings with Poland and the Czech Republic in September, but these were not intended to be permanent.

    German municipalities have urged the federal government to provide more funding to cope with the surge in migrant arrivals. They have pointed to stretched accommodation and services that seem similar to the events of 2015, when Germany took in over 1 million refugees mainly fleeing war in the Middle East.

    Opposition parties in Germany have also called on the government to limit the number of asylum-seekers, with Bavaria’s conservative Premier Markus Söder suggesting an annual upper limit on asylum seekers of 200,000.

    https://www.dw.com/en/germany-prepares-to-widen-fixed-border-checks/a-67109731

    #Allemagne #Pologne #Suisse #République_Tchèque

    #Allemagne #Suisse #contrôles_systématiques_aux_frontières #France #frontières_intérieures #frontières #asile #migrations #réfugiés #frontière_sud-alpine #prolongation #2023 #2024 #contrôles_frontaliers #frontière_sud-alpine

    –—

    ajouté à cette métaliste sur l’annonce du rétablissement des contrôles frontaliers de la part de plusieurs pays européens :
    https://seenthis.net/messages/1021987

    • 15.12.2023 : L’Allemagne prolonge de trois mois les contrôles aux frontières suisses

      L’Allemagne estime que la protection des frontières extérieures de l’UE est déterminante pour limiter l’immigration irrégulière. Elle prolonge donc les contrôles à la frontière avec la Suisse jusqu’au 15 mars 2024 au moins. Les frontières allemandes avec la Pologne et la République tchèque sont également concernées.

      Afin de lutter encore plus fortement contre la criminalité liée au trafic de migrants et de limiter la migration irrégulière, les contrôles seront poursuivis et ont été notifiés à la Commission européenne, a annoncé vendredi le ministère allemand de l’Intérieur.

      Berlin avait introduit en octobre des contrôles aux frontières avec la Pologne, la République tchèque et la Suisse, en raison de la nette augmentation du nombre de réfugiés en Allemagne. Cette mesure a été prolongée à plusieurs reprises.

      Mesures efficaces

      Le nombre d’entrées non autorisées en Allemagne a diminué de 60%, passant de plus de 20’000 en octobre à 7300 entrées non autorisées en novembre. « Nos mesures sont efficaces », a déclaré la ministre de l’Intérieur Nancy Faeser.

      Les contrôles aux frontières intérieures entre l’Allemagne et l’Autriche, qui avaient déjà commencé à l’automne 2015, durent actuellement jusqu’au 11 mai 2024.

      Les contrôles aux frontières ne sont en fait pas prévus au sein de l’espace Schengen et doivent être notifiés à Bruxelles. S’il ne s’agit que de quelques jours, il est possible de le faire à court terme, mais cette possibilité prend fin après deux mois, soit vendredi 15 décembre dans le cas de l’Allemagne.

      https://www.rts.ch/info/monde/14556738-lallemagne-prolonge-de-trois-mois-les-controles-aux-frontieres-suisses.

    • 17.10.2024 : Face à l’immigration illégale, l’Allemagne réinstaure des contrôles à la frontière suisse

      Le ministère allemand de l’Intérieur a notifié lundi auprès de la Commission européenne « des contrôles temporaires aux frontières avec la Pologne, la République tchèque et la Suisse »

      Le gouvernement allemand a annoncé le renforcement de sa surveillance aux frontières au sud et à l’est. Depuis lundi, des contrôles stationnaires aux passages douaniers avec la Pologne, la République tchèque et la Suisse ont été instaurés, indique le ministère allemand de l’Intérieur. Cette mesure exceptionnelle, qui nécessite l’aval de Bruxelles, est destinée à durer 10 jours, et peut être prolongée pour deux mois, précise le ministère.

      Des contrôles de ce type ont été mis en place à la frontière autrichienne depuis 2015, au moment de l’afflux sans précédent d’immigrants vers l’Allemagne, une décision dont la prolongation de six mois à compter du 12 novembre a également été annoncée ce lundi. « La police fédérale peut utiliser les mêmes moyens aux frontières avec la Pologne, la République tchèque et la Suisse que ceux déjà en place avec l’Autriche », précise le ministère. Les voyageurs transfrontaliers ne devraient cependant pas être confrontés à des contrôles systématiques : « un paquet de contrôles fixes et mobiles » sera mis en œuvre « de façon flexible et selon la situation », a déclaré la ministre allemande Nancy Faeser, citée dans le communiqué.

      Une importante hausse des arrivées en Allemagne

      L’Allemagne est confrontée à une forte hausse de l’immigration illégale. De janvier à début octobre, la police a comptabilisé environ 98 000 arrivées illégales dans le pays, dépassant déjà le nombre total des arrivées pour l’année 2022 qui était d’environ 92 000. Pour justifier les mesures décidées, l’Allemagne s’appuie sur un article de la réglementation de Schengen qui permet d’introduire pour une période limitée des contrôles intérieurs aux frontières en cas « de menace sérieuse à l’ordre public ou à la sécurité intérieure ».

      Nancy Faeser s’était pourtant jusqu’ici montrée réticente à l’idée d’instaurer des contrôles fixes, en raison notamment de leur impact sur les travailleurs frontaliers ainsi que sur les échanges commerciaux avec les pays voisins : ces mesures ralentissent en effet considérablement le trafic et créent des embouteillages. Mais la hausse des arrivées illégales provoque un vif débat en Allemagne, dont les capacités d’accueil s’épuisent. Les communes et les régions, qui ont aussi absorbé l’arrivée d’un million de réfugiés ukrainiens depuis février 2022, se disent à la limite de leur capacité d’accueil, alors que la situation profite à l’extrême-droite, qui a obtenu des résultats records dans deux scrutins régionaux il y a une semaine.

      « Le nombre de personnes qui viennent actuellement chez nous est trop élevé », avait récemment martelé le chancelier Olaf Scholz, en présentant des mesures pour accélérer les expulsions de personnes déboutées de l’asile. La décision était donc attendue, et « la ministre de l’Intérieur […] a apparemment attendu les élections législatives polonaises avant de rendre publique sa décision », note le Tages-Anzeiger.
      Poursuite de la collaboration avec les douaniers suisses

      Nancy Fraeser « a assuré à [Elisabeth] Baume-Schneider que le trafic frontalier serait entravé aussi peu que possible », indique le Département fédéral de justice et police (DFJP) à Keystone-ATS. La conseillère fédérale et la ministre allemande ont par ailleurs convenu lundi de renforcer la « collaboration fructueuse » entre les deux pays dans le cadre du plan d’action mis en place en 2022 qui prévoit des patrouilles en commun et un meilleur échange d’informations pour enrayer les migrations secondaires, ajoute le DFJP. Au parlement, l’annonce allemande semble être accueillie avec compréhension : « ce n’est pas un secret que de nombreux migrants utilisent la Suisse comme pays de transit, tous ceux qui prennent le train de Milan à Zurich le voient », a réagi dans la Neue Zürcher Zeitung le président de la Commission de politique extérieure du Conseil national, Hans-Peter Portmann (PLR/ZH).

      Un porte-parole du gouvernement allemand a par ailleurs confirmé au quotidien zurichois que les contrôles avaient commencé à être mis en place ce lundi, et qu’ils « seront renforcés dans les jours à venir en fonction de l’évaluation de la situation par la police fédérale » allemande. « Les contrôles fixes aux frontières présentent l’avantage […] que les personnes peuvent être refoulées par la police fédérale dès qu’elles tentent de franchir la frontière », poursuit la NZZ. « Elles sont alors considérées comme n’étant pas entrées sur le territoire » et nécessitent un investissement bureaucratique « incomparablement plus faible » que dans le cas d’un processus d’expulsion du territoire, argumente le journal.

      « Les spécialistes, les politiciens et les policiers sont loin d’être d’accord » sur l’efficacité des contrôles, tempère le Tages-Anzeiger qui rappelle qu’il y a quelques semaines encore, Nancy Faeser qualifiait les contrôles fixes de « fausses solutions ». Reste, conclut le Tagi, qu’il est « pour l’instant impossible d’estimer » les effets concrets des nouvelles mesures à la frontière suisse, notamment sur le trafic important des pendulaires avec le Bade-Wurtemberg.

      https://www.letemps.ch/suisse/face-a-l-immigration-illegale-l-allemagne-reinstaure-des-controles-a-la-fron

    • La Suisse accusée de « #laisser_passer » les migrants

      Le président du Conseil national Martin Candinas est en visite à Berlin ce vendredi, dans un climat tendu : l’Allemagne reproche à la Suisse de faciliter le transit des demandeurs d’asile.

      Le nombre des réfugiés arrivant en Europe atteint un nouveau record… et l’Allemagne est une fois de plus en première ligne. Elle accuse ses voisins de « laisser passer » des demandeurs d’asile de Syrie, d’Afghanistan, du Pakistan ou d’Irak, voire de leur faciliter le transit comme en Suisse. La télévision suisse alémanique avait révélé fin 2022 comment la compagnie ferroviaire CFF avait mis en place des « wagons réservés aux étrangers » avec des portes fermées à clé pour conduire les réfugiés jusqu’à Bâle.

      « Ça ne peut plus continuer ! […] Il nous faut une protection plus efficace à la frontière entre l’Allemagne et la Suisse. » (Thomas Strobel, ministre de l’Intérieur du Bade-Wurtemberg)

      La situation est particulièrement dramatique à la frontière avec la Pologne avec 14’303 illégaux arrêtés dans les sept premiers mois de l’année (+143% par rapport à 2022). En provenance de Suisse, la progression est encore plus importante : +200%, soit plus de 6000 illégaux arrêtées à la frontière avec le #Bade-Wurtemberg. « Les passages entre la Suisse et l’Allemagne n’ont jamais été aussi élevés depuis 2016 », s’est plaint le Ministère de la justice de la région frontalière dans un communiqué officiel.

      « Nos villes et nos communes ont atteint leurs capacités d’accueil. Ça ne peut plus continuer ! […] Il nous faut une protection plus efficace à la frontière entre l’Allemagne et la Suisse », a insisté avant l’été Thomas Strobel, le ministre conservateur (CDU) de l’Intérieur du Bade-Wurtemberg. Pour le chef du groupe parlementaire des libéraux (FDP), Hans-Ulrich Rülke, il n’est « pas normal qu’un État non-membre de l’UE comme la Suisse introduise des réfugiés en Allemagne par le Bade- Wurtemberg ».

      Menace de l’opposition

      Lors du débat de politique générale à l’assemblée fédérale (Bundestag), mercredi 6 septembre, Friedrich Merz, le leader de l’opposition conservatrice (CDU), a attaqué lui aussi la Suisse en l’accusant de ne pas respecter le « règlement de Dublin » qui l’oblige à traiter les demandes d’asile chez elle ou à renvoyer des réfugiés dans le premier pays d’enregistrement (la plupart des demandes sont faites en Autriche).

      « Vu le nombre de passages illégaux, nous sommes prêts à rétablir des contrôles aux frontières. » (Friedrich Merz, leader de l’opposition conservatrice (CDU))

      « Notre volonté n’est pas de réinstaller des barrières douanières aux frontières polonaises, tchèques et suisses. Mais vu le nombre de passages illégaux, nous sommes prêts à rétablir des contrôles », at- il menacé dans l’hémicycle sous les huées de la gauche gouvernementale.

      Une déclaration qui met le président du Conseil national dans l’embarras. Martin Candinas rencontre ce vendredi à 9 heures la vice-présidente du Bundestag, Yvonne Magwas (CDU), pour un entretien bilatéral. « La Suisse respecte le règlement de Dublin », nous a-t-il assuré jeudi, ne voulant pas davantage commenter cette crise. Il ne compte pas aborder le sujet avec les officiels allemands, sauf si ces derniers souhaitent lui en parler. Du côté allemand, on reste également discret sur la teneur de l’entretien.

      Le président du Conseil national Martin Candinas, qui doit rencontrer vendredi la vice-présidente du Bundestag, assure que « la Suisse respecte le règlement de Dublin ».

      La tension est sensible aux frontières polonaises et tchèques. La Saxe a décidé d’envoyer sa propre police pour épauler les agents fédéraux chargés de contrôler seulement les passages frontaliers officiels. Le ministre de l’Intérieur de Saxe, Armin Schuster, a estimé qu’il n’avait pas d’autre choix que d’employer cette méthode. Dès la première semaine, ses agents ont arrêté 307 clandestins et 7 passeurs sur un total de 514 personnes contrôlées… « Vous le voyez, le principe des accords de Dublin ne fonctionne pas », regrette-t-il. Friedrich Merz abonde : « Cela me fait mal au coeur de voir que nous ne sommes même pas en mesure de protéger nos propres frontières, d’autant plus que celles de l’Europe ne sont toujours pas sécurisées. »

      Épargner les frontaliers

      Mais la ministre fédérale de l’Intérieur, la social-démocrate Nacy Faeser, refuse catégoriquement la mise en place de contrôles permanents, surtout vers la Suisse. Les experts les considèrent comme inefficaces. La Bavière a mis en place 5 points de contrôle à la frontière autrichienne en 2015. « Ces contrôles n’ont aucun sens », estime Andreas Roßkopf du syndicat de la police (GdP).

      « Ils bouleversent surtout le quotidien des frontaliers. Le personnel soignant, les artisans et de nombreux pendulaires des deux pays sont concernés. Ils affectent durablement notre économie », ajoute la ministre. Elle a en revanche ordonné le renforcement des contrôles aléatoires aux frontières.

      https://www.tdg.ch/tensions-avec-lallemagne-la-suisse-accusee-de-laisser-passer-les-migrants-428988

    • A #Buchs, « porte d’entrée orientale du pays », la banalité de l’immigration

      Sorti ce lundi, le baromètre des préoccupations Ipsos réalisé par « Le Temps » place l’immigration en quatrième position. A Buchs, où plus de 26 000 personnes « illégales » ont été contrôlées l’an dernier, le phénomène fait désormais partie du paysage.

      La scène est devenue parfaitement ordinaire : il est un peu moins de 10h à la #gare de Buchs (SG) ce mardi 23 août et une cinquantaine d’hommes en training sont alignés contre un mur par les gardes-frontières suisses. Les voyageurs – des Afghans fuyant les talibans, des Nord-Africains en quête d’une vie meilleure et d’autres compagnons d’infortune internationaux – affluent tous du même endroit : #Vienne, d’où les trains de nuit rallient régulièrement Zurich (notre reportage sur la question : https://www.letemps.ch/suisse/rails-entre-vienne-zurich-migrants-route-balkans).

      L’année dernière, pas moins de 26 000 « entrées illégales » ont été enregistrées par l’Office fédéral de la douane à la frontière orientale suisse. Ce qui représente deux fois la population de Buchs, 13 000 habitants. Dans la petite localité saint-galloise, cet afflux ininterrompu laisse cependant froid. Les nouveaux arrivants ne sont pas là pour rester, alors à quoi bon s’en soucier ? Et qu’importent les Accords de Schengen-Dublin.

      « Les journaux n’en parlent plus »

      L’immigration. Politiquement, la thématique est omniprésente. Toutefois, rares sont les lieux en Suisse où le phénomène est aussi visible qu’à Buchs. « Porte d’entrée orientale » du pays comme il est souvent qualifié, le gros bourg est connu pour son joli château surplombant un petit lac, sa vieille ville bucolique. Mais surtout pour sa gare où, ce mardi, à quelques centaines de mètres d’écart, deux réalités s’affrontent. Sur le quai 5, des migrants dépenaillés cheminent en file indienne, entourés par des douaniers et des policiers… alors qu’à deux pas du quai 1, des ouvriers s’affairent pour préparer la 39e édition de la Buchserfest. Agendée trois jours plus tard, la manifestation annonce « concerts, spectacles de danse et restauration variée pour petits et grands ». Et c’est surtout cette perspective qui anime les bistrots de la rue centrale.

      « C’est une gare de transit, dit avec fatalité Barbara Gähwiler-Bader, présidente du PS de la commune, attablée au Café Wanger. Pour être franche, à moins de prendre le train, rien ne laisse penser que des milliers de personnes mettent un premier pied en Suisse ici chaque année. La politique locale ne s’intéresse pas au sujet, les journaux du coin n’en parlent plus, ni vraiment les habitants. C’est parfois à se demander si le phénomène est encore là. Ici tout va bien, et tant que c’est le cas, rien ne bouge. Réfléchir à la situation de ces gens, c’est réfléchir à ses propres privilèges. Et tout le monde n’a pas envie de faire l’effort. » Dans la station frontière, seul un panneau en persan indiquant les toilettes signale la spécificité des lieux. Le centre d’asile le plus proche est à plus de 30 kilomètres.

      « Rien n’est vraiment entrepris dans la commune, admet la socialiste, mais que faire ? C’est une situation tragique mais ils ne font qu’entrer et sortir. Très peu souhaitent s’attarder en Suisse. Les autorités les chargent dans le train suivant et ils partent pour la France, l’Allemagne, le Royaume- Uni. Voilà. » Si les arrivants dénués de papiers sont censés être identifiés, enregistrés et contrôlés, la police saint-galloise reconnaît laisser passer nombre d’entre eux sans intervenir. La plupart des vagabonds (contrôlés ou non) poursuivent ensuite leur chemin – avec ou sans billet – vers Zurich, puis Bâle, avant de sortir des frontières de la Suisse. Et de la liste des problèmes du pays.

      « On se sent en danger à la gare »

      Une attitude laxiste, selon Sascha Schmid, représentant local de l’UDC, membre du législatif cantonal et candidat au Conseil national aux élections fédérales 2023. « Il y a des lois en Suisse et elles doivent être respectées, tonne le vingtenaire, banquier au Liechtenstein. Ces gens ne restent peut-être pas à Buchs mais qui sait s’ils sortent vraiment du pays ? Il n’y a aucune garantie. Et qui nous dit que l’Allemagne ou la France ne durciront pas un jour les contrôles à leurs frontières ? Nous nous retrouverions dans une situation intenable. » Le politicien dénonce particulièrement le laisser-faire autrichien… tout en reconnaissant que Berne agit grosso modo comme Vienne, une étape plus loin.

      « Le problème est global, poursuit-il. Mais il existe des solutions. L’UDC aimerait une mise en oeuvre stricte des Accords de Schengen-Dublin (le renvoi des étrangers dans leur premier pays d’enregistrement). Toutefois, comme ces accords sont cliniquement morts, j’estime qu’il faut faire preuve de courage et considérer d’autres options. De très nombreux Autrichiens viennent travailler chaque jour dans la région. Il doit être possible de mettre la pression sur leur gouvernement pour qu’il respecte les accords internationaux. Il n’est pas acceptable d’enrichir les frontaliers sans contrepartie. » Si la plupart des migrants ne s’attardent pas à Buchs, Sascha Schmid considère tout de même qu’ils font « grimper l’insécurité à la gare et que la criminalité augmente en ville, tout comme les cambriolages et les vols ».

      « Ici la vie continue »

      Un diagnostic que Rolf Pfeiffer, président indépendant de la ville de Buchs depuis mars, réfute en bloc. « Les arrivants ne sont mêlés à aucun souci local, dit-il. Tout est calme. Tout se passe bien.

      C’est un non-sujet. Buchs surgit régulièrement dans les médias parce que nous sommes situés à la frontière, mais la ville est concentrée sur d’autres problèmes. » Jouxtant le Liechtenstein – dont la place financière attire de nombreux habitants optant pour une résidence en Suisse voisine – mais également proche de Saint-Gall, Coire (GR), Zurich (ZH), Feldkirch (AU) et Bregenz (AU), la petite cité grandit vite et il s’agit d’adapter ses infrastructures, précise-t-il. Un défi bien plus pressant que ce qui se trame au bord des rails.

      « Si le besoin surgit, complète le Saint-Gallois, nous nous mettons à disposition des membres de la protection civile pour monter quelques tentes destinées à accueillir les migrants qui en ont besoin. Généralement pendant une nuit tout au plus. Les coûts engendrés nous sont ensuite remboursés par la Confédération. Comprenez-moi bien, d’un point de vue humanitaire, la condition des arrivants est certainement triste. Ils sont là, nous les voyons. Nous n’ignorons pas la chose. Mais ici la vie continue. Nous ne pouvons pas influencer la situation, qui doit être réglée entre Etats. » Le jour de notre visite, la Confédération annonçait justement une nouvelle contribution de 300 millions d’euros sur sept ans destinée à « l’amélioration de la protection des frontières extérieures de l’espace Schengen ». Une décision qui fait suite au plébiscite (71,6% de oui) des Suisses à une participation élargie de Berne aux activités de Frontex en 2022. Et aux difficultés de la Suisse à gérer cette problématique.

      Car même si beaucoup de migrants poursuivent leur chemin, pas moins de 14 000 demandes d’asile ont été enregistrées par le Secrétariat d’Etat aux migrations en juillet 2023 et, au vu des pronostics – le nombre total pourrait monter à plus de 30 000 d’ici à la fin de l’année –, les centres d’accueil fédéraux craignent d’atteindre leurs limites. Vendredi dernier, la conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider annonçait avoir arraché 1800 places supplémentaires aux cantons sur un objectif de 3000 – sans pour autant rassurer sur le long terme. Au centre de l’Europe, la Suisse mise cependant sur une autre solution : déléguer. « Une protection efficace des frontières extérieures de l’espace Schengen contribue à la sécurité et à la gestion migratoire de la Suisse, affirmait mercredi dernier le Conseil fédéral. Mieux les contrôles aux frontières extérieures fonctionneront, moins il y aura besoin de contrôles aux frontières nationales suisses. » Et, à l’instar de Buchs, moins il faudra se préoccuper de la chose.

      https://www.letemps.ch/suisse/suisse-alemanique/a-buchs-la-banalite-de-la-migration

      #statistiques #chiffres #2023

    • Pour la création de l’état de Neu-Israel !!

      Je comprends que notre passé nazi nous oblige moralement à soutenir les Juifs et Israël. C’est d’accord, en tant qu’Allemand tu n’y échappes pas. Je souscris l’unique solution logique du problème : en Palestine les Juifs ne vivront jamais en paix, alors donnons leur de notre propre chef une partie de notre pays.

      La Palestine était un mauvais choix et n’a jamais donné des résultats satisfaisant.

      Mais de là leur filer le Bade-Wurtemberg et la Bavière, les Länder les plus riches d’Allemagne,, non, c’est trop généreux.Vu les prognostiques qui annoncent qu’en septembre la plupart des mairies y seront conquises par l’extrême droite j’opte pour le Brandebourg, la Saxe et la Thuringe.

      Entre la jeunesse de village aux battes de baseball et l’AfD d’un côté et le Likoud avec ses colons de l’autre la différence n’est pas énorme. Ce serait du fair play .

      Fascholand bleibt Fascholand !

      Manque de bol, les Juifs d’Israël préfèrent acheter à Berlin-Mitte parce qu’ils n’osent pas s’en prendre aux hordes de paysans et chômeurs incultes. Mais si on autorisait qu’ils importent Tsahal et le Mossad le rapporte de force serait plus avantageux.

      N.B. Au sein de la chambre des Länder le Bundestat un seul état Nouvel-Israël ne compterait qu’un tier des sièges attribués aux trois Länder actuels. La droite sera moins influente alors à ce niveau. C’est compliqué la politique.

      #Bade-Wurtemberg #Bavière #Thuringe #Saxe #Brandebourg #juifs #philosemitisme #politique #parodie #wtf

  • Notizen von Jahren weg : Abitur-Albtraum in Koblenz wegen iPad-Datenverlusten
    https://www.golem.de/news/notizen-von-jahren-weg-abitur-albtraum-in-koblenz-wegen-ipad-datenverlusten-23

    On connaît la chanson, sans copies de sauvegarde on a perdu.

    C’est ce qu’arrive auc lycéens de Constance qui ont perdu toutes leurs notes de préparation aux épreuves du baccalauréat à venir. L’administration scolaire prétend que les règles de protection de donnés personnelles interdisent qu’elle crée des copies de sauvegardes. Personne n’a prévenu les jeunes qu’ils en avaient la responsabilité. #wtf

    12.11.2013 von Andreas Donath - Kurz vor den Prüfungen ein Schock für Abiturienten in Koblenz: Ihre digitalen Lernunterlagen auf den Schul-iPads sind plötzlich verschwunden.

    Koblenzer Gymnasiasten hatten sich über Monate und teilweise Jahre hinweg auf den Schul-iPads mit der App Goodnotes Notizen zum Unterricht gemacht.

    Doch als sie sich am Halloweentag einloggen wollten, waren alle ihre Notizdaten gelöscht. Wie die Stadt Koblenz gegenüber dem SWR mitteilte, hat es einen Fehler in diesem städtischen Schulnetzwerk gegeben. 485 der insgesamt 7.500 Schulgeräte seien abgemeldet worden. Dadurch sei die Lern-App von den betroffenen Geräten gelöscht worden. Das betreffe neben dem Hilda-Gymnasium auch das Görres-Gymnasium.

    Die Schule hatte angeblich aus Datenschutzgründen darauf verzichtet, Backups anzulegen. „Mich und meine Stufe betrifft das sehr hart, da wir in drei Monaten das Abitur schreiben und rein gar nichts mehr zum Lernen bleibt“, klagt ein Schüler gegenüber dem SWR.
    Nicht alle iPads betroffen

    Das Ministerium zeigt sich kulant und will die anstehenden Kursarbeiten notfalls verschieben. Der Landesdatenschutzbeauftragte hält Backups unter Einhaltung der Regeln den Berichten nach durchaus für machbar. Warum keine angelegt wurden, bleibt ein Rätsel. Im SWR-Bericht klingt an, dass dies die Sache der Schüler gewesen sei. Dies sei jedoch nicht ausreichend kommuniziert worden, heißt es jetzt.
    Albtraum-Szenario

    Für die betroffenen Schüler ist es ein Albtraum. Ihre gesammelten Lernunterlagen für das Abitur sind auf einen Schlag verloren. Sie müssen nun auf die Solidarität ihrer Mitschüler hinsichtlich anderer Mitschriften hoffen und irgendwie versuchen, die Aufzeichnungslücken zu schließen.

    #Bade-Wurtemberg
    #Allemagne #école #numérisation

  •  »Diesen Angriff lassen wir nicht unbeantwortet« 
    https://www.jungewelt.de/artikel/447577.linke-gegen%C3%B6ffentlichkeit-diesen-angriff-lassen-wir-nicht-unbe

    Les locaux de la radio régionale Dreyeckland et les appartements privés de ses collaborateurs ont été perquisitionnés à cause d’un lien vers les archives d’un site web qui n’existe plus. Cette mesure de la police ne s’explique qu"avec l’intention des agents de l’état allemand de compléter ses informations sur les contacts entre les différents groupes de gauche. L’’avocat de la radio qualifie l’action de la police d’exagérée et illégale.

    27.3.2023 von Henning von Stoltzenberg - Ihr Verein, die Gesellschaft für Freiheitsrechte e. V., hat gemeinsam mit dem unabhängigen Sender Radio Dreyeckland die Beschwerdebegründung beim Landgericht Karlsruhe gegen die im Januar erfolgten Durchsuchungen eingereicht. Was ist das damals geschehen?

    Die Polizisten standen am frühen Morgen bei den völlig überraschten Journalisten vor der Tür. Sie verschafften sich Zutritt zu ihren Privatwohnungen und beschlagnahmten Laptops und Handys. Auch die Redaktionsräume von Radio Dreyeckland sollten durchsucht und die dortigen Geräte beschlagnahmt werden. Dadurch wäre das Radio weitgehend arbeitsunfähig geworden. Um das zu verhindern, gab einer der Journalisten gegenüber der Staatsanwaltschaft eine Erklärung ab, dass er den ausschlaggebenden Artikel auf seinem Laptop geschrieben und veröffentlicht hatte. Die Staatsanwaltschaft verzichtete daraufhin auf eine Beschlagnahme von Geräten aus den Redaktionsräumen.

    Es ist doch zumindest nicht alltäglich hierzulande, dass die Räumlichkeiten einer Redaktion, in dem Fall eines Radiosenders, von einem Polizeiaufgebot aufgesucht und Journalisten derartig unter Druck gesetzt werden. Was war die Begründung für diese drastische Maßnahme? Der Staatsanwaltschaft muss doch klar sein, dass das für Protest sorgt.

    Den beiden Journalisten wird vorgeworfen, einen Artikel geschrieben beziehungsweise veröffentlicht zu haben, in dem auf die Archiv-Seite der 2017 verbotenen Plattform »linksunten.indymedia« verlinkt wird. Die Staatsanwaltschaft sieht darin eine »Unterstützung der weiteren Betätigung einer verbotenen Vereinigung«. Das ist schon deshalb abwegig, weil es die verbotene Vereinigung namens »linksunten.indymedia« gar nicht mehr gibt. Bei der verlinkten Seite handelt es sich um ein reines Archiv, also etwas völlig anderes als die ursprüngliche Plattform.

    Kann das Setzen eines Hyperlinks im Rahmen eines Presseberichts aus Ihrer Sicht überhaupt eine Razzia inklusive Beschlagnahmungen rechtfertigen? Wie geht das mit der Presse- und Rundfunkfreiheit zusammen? Es ist doch gang und gäbe, Verlinkungen zu setzen. Warum ist das hier angeblich anders?

    Verlinkungen gehören zum digitalen Journalismus dazu und ermöglichen, dass sich die Leserinnen und Leser ein eigenes Bild machen. Das ist von der Pressefreiheit geschützt. Die Strafgesetze müssen entsprechend eng ausgelegt werden. Wenn die Presse nicht auf relevante Seiten verlinken kann, ohne dass am nächsten Tag die Polizei vor der Tür steht, dann ist freier Onlinejournalismus nicht mehr möglich.

    Wie bewerten Sie die Durchsuchung insgesamt? Wurden denn nur Daten beschlagnahmt oder gespiegelt, welche die aktuellen Vorwürfe betreffen?

    Die Durchsuchungen waren völlig unverhältnismäßig. Auf den Rechnern befanden sich große Teile der Kommunikation des Radiosenders. Die Auswertung dieser Daten ist ein schwerer Eingriff in das Redaktionsgeheimnis und den Quellenschutz.

    Halten Sie es dennoch für möglich, dass das Gericht die Vorgehensweise der Staatsanwaltschaft für rechtens erklärt?

    Wir sind recht zuversichtlich, dass unsere Beschwerde Erfolg haben wird.

    Was passiert, wenn die Durchsuchungsbeschlüsse, so wie sie sind, bestätigt werden?

    Wenn das Landgericht sie in der Form bestätigen sollte, werden wir vor das Bundesverfassungsgericht nach Karlsruhe ziehen. Einen solchen Angriff auf die Presse- und Rundfunkfreiheit können wir als Bürgerrechtsorganisation nicht unbeantwortet lassen.

    Was ist Ihr Ziel über den konkreten Fall hinaus? Hätte ein Erfolg Ihrer Beschwerde Auswirkungen auf die Rechtspraxis?

    Wir wollen ein Präzedenzurteil erstreiten, in dem festgestellt wird, dass Journalistinnen und Journalisten sich nicht strafbar machen, wenn sie im Rahmen der Berichterstattung auf Seiten mit möglicherweise rechtswidrigen Inhalten verlinken.

    David Werdermann ist Rechtsanwalt und Verfahrenskoordinator bei der Gesellschaft für Freiheitsrechte

    #Allemagne #Bade-Wurtemberg #Fribourg #gauche #radio #perquisition #répression #police

  • Panne à la centrale nucléaire Suisse de Leibstadt au lendemain de son redémarrage RTS - ats/gax/tmun - 18 février 2017

    http://www.rts.ch/info/suisse/8398388-panne-a-la-centrale-nucleaire-de-leibstadt-au-lendemain-de-son-redemarra

    La centrale nucléaire de Leibstadt (AG) a dû être éteinte, après un incident jugé « sans gravité » par son exploitant et les autorités. Cet incident intervient en pleine controverse sur le redémarrage.
    L’arrêt a été effectué manuellement vendredi soir à 23h28. L’Inspection fédérale de la sécurité nucléaire (IFSN) a été immédiatement avertie. Les mesures effectuées autour de la centrale n’ont révélé aucune augmentation de la radioactivité, écrit l’IFSN.

    L’autorité de surveillance de la Confédération a classé l’incident à « 0 » sur l’échelle internationale de dangerosité.


    La centrale nucléaire avait été re connectée au réseau vendredi à 17h33, après une pause forcée de six mois. Des tests de fonctionnalité avaient été effectués pour amener progressivement l’installation à son niveau normal d’exploitation, explique la société d’exploitation KKL dans un communiqué.

    Dysfonctionnement du système de filtrage
    Mais vendredi en soirée, lors d’une opération sur le condensateur des turbines, le système de filtrage et d’échappement du gaz n’a pas fonctionné comme prévu. Selon la procédure en vigueur, le réacteur a été éteint manuellement et de façon ordonnée, poursuit KKL. Ce condensateur se trouve dans une salle des machines qui fait partie du domaine non-nucléaire de la centrale.

    Le système d’échappement va être remis en état durant le week-end. KKL prévoit de reconnecter la centrale au réseau dès lundi.
    Tant l’IFSN que l’exploitant ont assuré que cet incident n’a rien à voir avec les assèchements constatés en août 2016, qui avaient conduit à l’arrêt de la centrale. Les experts avaient alors détecté des traces d’oxydation sur des barres de combustibles dues à des états d’ébullition critiques ("dryouts" ou assèchements).

    Une manifestation organisée par les Verts devant la centrale a par ailleurs dénoncé samedi une réouverture « irresponsable ». L’installation aurait dû rester fermée jusqu’à ce que la cause des assèchements soit éclaircie. Une quarantaine de personnes étaient présentes.

    Demande des autorités allemandes
    Le ministère allemand de l’Environnement demande à rencontrer au plus vite les autorités suisses de surveillance afin de recevoir des explications.

    Critiquant la décision, la secrétaire d’Etat au ministère allemand de l’Environnement, Rita Schwarzelühr-Sutter, a jugé « regrettable » que la centrale soit à nouveau connectée au réseau bien que les causes des dommages à l’enveloppe des réacteurs ne semblent pas être totalement clarifiées.

    Des organisations contre le redémarrage de la centrale
    De nombreuses voix, dont Greenpace et la Fondation suisse pour l’énergie, ont aussi critiqué la reprise de l’activité de la centrale. Une pétition lancée par le conseiller national Balthasar Glättli (Verts/ZH) a été signée par 16’000 personnes et remise à l’IFSN.

    Une douzaine d’organisations de Suisse et d’Allemagne avaient également demandé l’arrêt de la centrale dans une lettre au Conseil fédéral. Le Land allemand du Bade-Wurtemberg et le Vorarlberg autrichien sont aussi intervenus pour reporter l’ouverture de la centrale.

    #Suisse #Argovie #nucléaire #IFSN #Leibstadt #poubelle #Bade-Wurtemberg #Vorarlberg

  • Villingen-Schwenningen : Handgranaten-Anschlag : Schweigen zum Prozessauftakt - Villingen-Schwenningen - Schwarzwälder Bote
    http://www.schwarzwaelder-bote.de/inhalt.villingen-schwenningen-handgranaten-anschlag-schweigen-zu
    La protection des centres de réfugiés est souvent assuré par les mafias locales. Une cour de justice en forêt noire doit juger de la responsabilité pour un attentat à la grenade pendant un conflit pour des contrat juteux.

    Drei der Angeklagten schweigen komplett, einer verrät lediglich Fakten zu seiner Person, nur zwei machen Angaben zur Sache. Mühsam dröseln der Vorsitzende Richter Arno Hornstein und Staatsanwalt Ulrich Gerlach die Verbindungen der Angeklagten zueinander auf. Schließlich wird auch vor Justitia klar, was schon Tage nach dem Anschlag verkündet wurde: Es ging nie um Fremdenfeindlichkeit. Aber um einen Haufen Geld.

    Das Geschäft mit der Bewachung von Flüchtlingen blühte in Villingen-Schwenningen und Donaueschingen (Schwarzwald-Baar-Kreis). Beiderorts waren Erstaufnahme-Einrichtungen für Asylbewerber eingerichtet worden. Ein lohnendes Geschäft für Sicherheitsfirmen, vor allem in Villingen. Über 247.000 Euro hat das Sicherheitsunternehmen, das zwei der Angeklagten in Villingen-Schwenningen betrieben, laut Anklageschrift im Jahr 2015 für die Bewachung der Flüchtlinge in Villingen und Donaueschingen kassiert. Einnahmen, die der Firma dieser beiden Angeklagten, so Staatsanwalt Ulrich Gerlach in seiner Anklageschrift, weggebrochen seien, nachdem ihr Kompagnon – der Dritte im Bunde, auf den auch die dritte Initiale im Firmennamen zurückgehe – das Weite gesucht habe. Ausgerechnet zur Konkurrenz, einem Security-Unternehmen in Tuttlingen, soll er übergelaufen sein. Inklusive einiger Mitarbeiter und des lohnenden Auftrags zur Bewachung der Flüchtlinge in Villingen-Schwenningen.

    #Allemagne #Bade-Wurtemberg #mafia #réfugiés

  • « Une politique écologique moderne et une bonne politique économique ne sont pas incompatibles »
    http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/05/16/une-politique-ecologique-moderneet-une-bonne-politique-economique-ne-sont-pa

    Une petite « révolution verte » a eu lieu jeudi 12 mai à Stuttgart, dans le sud de l’Allemagne, un moment historique passé presque inaperçu chez nos voisins français. Dans le Land de #Bade-Wurtemberg, l’écologiste allemand Winfried Kretschmann, ministre-président sortant, a été réélu chef du gouvernement après les élections parlementaires de la région en mars. Die Grünen (les Verts) avaient remporté ces élections avec 30,3 % des voix et sont ainsi devenus le premier parti, devançant la CDU conservatrice.

    Cette fois-ci, plus personne n’a prédit la « ruine de la région » comme cela s’était produit lors de la première élection de Winfried Kretschmann il y a cinq ans

    #écologie_politique