#cdiscount

  • Quand la grande distribution fait de l’or avec vos données
    https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/quand-la-grande-distribution-fait-de-l-or-avec-vos-donnees_21480

    Avec l’explosion du e-commerce et des programmes fidélités, les enseignes de la grande distribution disposent d’une masse de données sur leurs clients qu’elles pourraient monétiser. « Etes-vous intéressé par notre carte de fidélité ? » Qui n’a jamais entendu cette banale phrase lancée par l’hôtesse ou l’hôte de caisse au moment de régler ses achats ? Le fonctionnement est simple : plus le client consomme, plus il bénéficie de promotions. L’enseigne peut ainsi avoir connaissance des produits consommés par (...)

    #Monoprix #Tesco #Walmart #Amazon #CDiscount #BigData #consommation #marketing (...)

    ##publicité

  • E-commerce : 98% des vendeurs étrangers fraudent la TVA
    https://www.mediapart.fr/journal/economie/080321/e-commerce-98-des-vendeurs-etrangers-fraudent-la-tva

    Selon un « rapport confidentiel » de l’Inspection générale des finances, la TVA fait l’objet d’une « fraude massive en France sur les plateformes de e-commerce », dont Amazon, même si la firme américaine n’est pas citée. Des signalements ont été faits auprès du Parquet national financier.

    Consacré à la « sécurisation du recouvrement de la TVA », ce document de l’Inspection générale des finances (IGF) est resté longtemps secret – sur la page de garde, il porte d’ailleurs toujours cette mention : « Rapport confidentiel » – mais, comme certaines de ses données statistiques ont été mises sur la place publique, notamment par l’association Attac, il est désormais accessible en ligne. Et c’est pour le moins opportun, car ce document vient confirmer, chiffres spectaculaires à l’appui, que la TVA fait l’objet d’une « fraude massive en France sur les plateformes de e-commerce [commerce en ligne] ».

    Aucun des grands acteurs de ce secteur économique, dont les géants Amazon, Cdiscount, eBay ou encore Wish, n’est nommément cité, mais on comprend vite que ce sont eux qui sont visés. Et la mise en cause est gravissime, puisque l’ampleur de la fraude se résume à cette statistique ahurissante : « Les enquêtes de la Direction nationale des enquêtes fiscales (DNEF) ont mis en évidence que 98 % des sociétés opérant sur les places de marché contrôlées n’étaient pas immatriculées et ne payaient pas de TVA (enquête réalisée en 2017, vérifiée en mai 2019) », révèle l’IGF.

    Au cours de ces deux dernières années, plusieurs rapports avaient déjà donné des indications très alarmistes sur l’ampleur considérable de la fraude à la TVA qui avait prospéré au travers des plateformes du e-commerce, notamment le géant américain Amazon et ses grands concurrents, dont une ribambelle d’acteurs chinois.

    Il y a eu ainsi, en mars 2019, un premier rapport important « sur l’évaluation de la lutte contre la délinquance financière », réalisé à l’Assemblée nationale par le député (LFI) Ugo Bernalicis et son collègue (LREM) Jacques Maire.

    Parmi de nombreuses autres données intéressantes, on y relevait ainsi des données de portée générale sur la fraude à la TVA – et pas seulement celles du e-commerce. Citant diverses publications antérieures, le rapport relevait ainsi que le Conseil des prélèvements obligatoires avait évalué en 2007 cette fraude entre 7,3 milliards et 9 milliards d’euros, fourchette revalorisée en 2015 à une somme comprise entre 10,7 et 16,6 milliards d’euros.

    Autre source citée, « la Commission européenne, partie prenante puisque la TVA représente 12 % des recettes du budget de l’Union, [qui] procède à une évaluation annuelle de l’écart TVA », entre ce qu’elle devrait encaisser normalement, compte tenu des échanges commerciaux constatés, et la TVA effectivement encaissée.

    Dans son dernier rapport, publié en septembre 2018, précisaient les deux parlementaires, la Commission européenne faisait ainsi « état de 147 milliards d’euros de pertes dans l’Union européenne et de 20 milliards d’euros de pertes pour la France, un chiffre relativement stable depuis 2012 ».

    Et puis, enfin, le rapport parlementaire signalait le dernier rapport d’analyse des risques de Tracfin, l’organisme chargé de la lutte contre la fraude fiscale, qui soulignait le « caractère toujours endémique des fraudes à la TVA », avant d’ajouter : « De nombreuses fraudes à la TVA sont mises en œuvre par des sociétés agissant seules, de manière autonome. Elles reposent sur des faux en écriture et se conjuguent à d’autres infractions (abus de biens sociaux, abus de confiance, banqueroute…). »

    Enfin, le même rapport parlementaire donnait aussi l’évaluation de la fraude à la TVA réalisée en 2013 par le syndicat Solidaires Finances publiques, soit 15 à 19 milliards d’euros.

    Mais, pendant longtemps, on n’a pas disposé d’évaluations précises sur la fraude à la TVA facilitée par les plateformes de vente en ligne distribuant des produits fournis par des marchands étrangers. C’est donc ce manque qu’a récemment comblé un rapport très riche de l’association Attac, que Mediapart avait dévoilé et qui était particulièrement accablant pour Amazon.

    Or, dans ce rapport, Attac signalait que l’une de ses sources était un rapport de l’IGF achevé en novembre 2019 et en donnait certaines de ses données chiffrées. Depuis que l’association a dévoilé l’existence de ce rapport, Bercy a vraisemblablement estimé que le secret qui l’entourait – et dont l’oligarchie du ministère des finances est très friande – ne se justifiait plus. Le document a donc été mis en ligne.

    Pour parcellaire que soit cette étude, elle apparaît très importante, car les évaluations qu’elle fournit donnent le tournis. L’IGF relève d’abord que le e-commerce a connu, ces deux ou trois dernières années, une véritable explosion, qui a sans doute donné un coup de vieux à toutes les statistiques antérieures sur la fraude dans ce domaine.

    L’IGF note ainsi que « le développement du e-commerce » a « conduit à un afflux massif de sociétés étrangères redevables de la TVA en France ». Et elle ajoute : « En 2019, la Direction nationale des enquêtes fiscales (DNEF) a ainsi vérifié l’immatriculation et estimé les ventes de 43 188 sociétés de e-commerce domiciliées en Chine, contre 6 619 en 2017 pour le même périmètre de contrôle. »

    Et l’IGF fait ensuite ces constats très inquiétants : « Pour l’heure, cette tension entre la représentation “traditionnelle” et le développement du e-commerce s’est résolue en pratique par une fraude massive et le non-respect généralisé de l’obligation de représentation fiscale et d’immatriculation à la TVA. […] Même si une petite part de ces sociétés peut ne pas être redevable de TVA, cette situation conduit à une concurrence déloyale majeure : les sociétés frauduleuses bénéficient d’un avantage de prix de 20 % par rapport à celles qui remplissent leurs obligations fiscales. »

    Pour le débat public, ces données sont donc de première importance, car elles viennent confirmer ce que de nombreuses associations citoyennes et certains élus disent, à savoir que le gouvernement, s’il se donnait véritablement les moyens de lutter contre la fraude fiscale, disposerait de ressources considérables pour réduire les déficits publics. Et réduire au passage, comme le dit l’IGF, les formidables distorsions de concurrence que cette fraude génère entre les géants de la vente en ligne et les autres acteurs nationaux.

    L’IGF détaille ensuite comment elle est parvenue à ce constat d’ensemble : « Les services de la Direction générale des finances publiques (DGFIP), en particulier la Direction nationale des enquêtes fiscales (DNEF), ont réalisé une étude sur les plateformes de e-commerce pour identifier les sociétés les plus risquées. La DNEF a ainsi récemment mis en évidence une fraude massive à la TVA en France sur les plateformes de e-commerce. […] Ces résultats n’ont pu être obtenus qu’à date très récente en raison des très grandes difficultés rencontrées par l’administration fiscale française dans l’exercice du droit de communication auprès des plateformes et dans les demandes d’assistance administrative auprès du Luxembourg, où est basée la principale plateforme de e-commerce pour le marché français (la filiale française n’étant responsable que de la logistique et ne pouvant fournir les informations). »

    Et l’IGF poursuit : « Au 31 décembre 2017, 98 % des vendeurs étrangers actifs contrôlés sur les plateformes contrôlées n’étaient pas immatriculés à la TVA en France (seuls 538 vendeurs sont immatriculés sur un total de 24 459). La DNEF a renouvelé ce contrôle en mai 2019 et aboutit au même constat, mais avec un nombre de sociétés significativement accru. »

    L’IGF en vient donc à la conclusion que cette fraude constitue un préjudice majeur pour les finances publiques : « S’agissant des enjeux financiers, il n’existe pas encore d’estimation du préjudice financier total subi par l’État, mais celle-ci sera possible à partir de 2020, compte tenu des nouvelles mesures de lutte contre la fraude. Néanmoins, les montants en jeu sont considérables à l’échelle des quelques sociétés contrôlées : la DNEF estime le chiffre d’affaires total non taxé en France à 285 millions d’euros pour 43 vendeurs déjà contrôlés. Une des sociétés contrôlées, qui ne déclarait aucune TVA, a réalisé en 2017 un chiffre d’affaires de 30,3 millions d’euros à elle seule, soit 6 millions d’euros de TVA due au taux de 20 %. »

    Ces constats soulèvent donc de nombreuses questions. La première coule de source : pourquoi l’estimation globale du préjudice financier subi de ce fait par l’État, que l’IGF disait possible à partir de 2020, n’est-elle toujours pas disponible en 2021 ? Grave interrogation, qui demeure, pour l’instant, sans réponse.

    C’est la raison pour laquelle l’étude d’Attac, adossée à celle de l’IGF, a été pour le moins la bienvenue. Elle estimait « le montant global de la fraude à la TVA dans le secteur du e-commerce des biens entre 4 et 5 milliards d’euros en 2019 ». Attac ajoutait : « Cette fraude concerne particulièrement Amazon, leader du marché en France et qui développe depuis des années une démarche systématique d’évitement de l’impôt. Attac estime la fraude à la TVA opérée sur la seule marketplace d’Amazon, en 2019, autour de 1 milliard d’euros. Cela contribue aux profits démesurés d’Amazon, à la domination qu’exerce Amazon sur le e-commerce en France et à la concurrence faussée que le géant américain impose aux commerçants traditionnels. »

    #Amazon #CDiscount #eBay #consommation #fiscalité #fraude #ATTAC

    ##fiscalité

  • Amazon, Cdiscount… Le commerce en ligne envahit le marché alimentaire bio
    https://reporterre.net/Amazon-Cdiscount-Le-commerce-en-ligne-envahit-le-marche-alimentaire-bio

    Livrer des tomates bio à des particuliers en quelques heures ? Voilà le plan des géants de l’internet. Dernier terrain de conquête du commerce en ligne, l’alimentaire bio attise l’appétit d’Amazon et de Cdiscount. Les agriculteurs, eux, redoutent une perte du sens de leur métier, étouffés par la course à la standardisation et aux volumes. Le bio attise les appétits. Et pour cause : le marché français des aliments issus de l’agriculture biologique pesait 11,3 milliards d’euros en 2019, soit une progression (...)

    #WholeFoods #Amazon #écologie #technologisme #consommation #CDiscount

  • Amazon détruit-il plus d’emplois qu’il n’en crée ?
    https://www.alternatives-economiques.fr/amazon-detruit-plus-demplois-quil-nen-cree/00094905

    Faisant les comptes entre les créations et les destructions, une étude révèle l’impact négatif de l’e-commerce sur l’emploi. Le géant mondial du commerce en ligne est sous le feu des critiques : conditions de travail dégradées de ses salariés, optimisation fiscale agressive, coût environnemental de sa chaîne logistique… Face à l’ensemble de ces reproches, Amazon met régulièrement en avant sa capacité à créer des emplois. Mais entre les nouveaux postes dans les entrepôts de la firme américaine et la fermeture (...)

    #FNAC #SNCF #Amazon #CDiscount #domination #consommation #GigEconomy #licenciement (...)

    ##travail

  • La fraude à la TVA, socle du commerce en ligne
    https://www.mediapart.fr/journal/france/031220/la-fraude-la-tva-socle-du-commerce-en-ligne

    Une étude réalisée par l’organisation Attac met en lumière la fraude à la TVA qui accompagne les grandes places de marché en ligne, dont Amazon. Une pratique massive qui met en péril le commerce français. Ce 4 décembre aura lieu le « Black Friday », décalé d’une semaine en France pour cause de deuxième confinement. Ce décalage a été négocié par Bercy après la réouverture des commerces dits « non essentiels » pour ne pas trop pénaliser les commerçants français au regard des géants du numérique. Car, durant le (...)

    #bénéfices #Amazon #domination #fiscalité #fraude #consommation #ATTAC #CDiscount #eBay (...)

    ##fiscalité ##Wish

    • L’organisation non gouvernementale Attac avait, l’an passé, dévoilé que 57 % du chiffre d’affaires d’Amazon en France était logé dans des paradis fiscaux. Elle publie aujourd’hui une autre étude que Mediapart a pu se procurer et qui permet de mieux comprendre la logique prédatrice à l’œuvre et sa mécanique. Cette étude, disponible ici https://france.attac.org/nos-publications/notes-et-rapports/article/note-amazon-cdiscount-ebay-wish-fraude-massive-a-la-tva-sur-les-places, concerne la fraude à la TVA dans les places de marché du commerce en ligne.

      En principe, la TVA qui, rappelons-le, est l’impôt qui rapporte le plus aux recettes publiques (environ 126 milliards d’euros) doit être payée, dans l’Union européenne, dans le pays d’arrivée du bien vendu. Amazon, quoique formellement basée au Luxembourg, doit donc s’acquitter de la TVA française pour les produits vendus en France. Mais Amazon est aussi une plate-forme de marché où des vendeurs du monde entier proposent des produits au public français. Dans le cas des vendeurs de pays extérieurs à l’Union européenne, la législation prévoit qu’ils doivent s’enregistrer dans le pays d’arrivée pour acquitter la TVA lorsque les ventes dépassent 35 000 euros hors taxes par an. Mais cet enregistrement est obligatoire dès la première vente et lorsque le produit passe par un entrepôt français. C’est le cas de la plupart des produits vendus sur Amazon et expédiés par cette entreprise.

      Or l’étude d’Attac, qui s’appuie beaucoup sur un rapport de l’Inspection générale des finances (IGF) de 2019, rappelle que 98 % des vendeurs étrangers actifs sur les plate-formes n’étaient pas immatriculés à la TVA en France et donc ne versait pas cet impôt. Si cette obligation n’est jamais ou presque respectée dans l’e-commerce, c’est parce qu’elle est très difficile à contrôler compte tenu du flux de transactions générées par ces plate-formes. Ainsi, l’IGF a estimé que 538 vendeurs étaient immatriculés sur 24 459 au 31 décembre 2019…

      Il est donc très difficile d’évaluer les pertes pour les finances publiques. Attac a réalisé trois évaluations que Raphaël Pradeau, le porte-parole de l’organisation, qualifie lui-même de « prudentes ». La première utilise une méthode dite « descendante » qui consiste à appliquer le taux global de perte de recettes de TVA au commerce électronique. Cela amène à un chiffre compris entre 790 millions et 1,2 milliard d’euros. Mais c’est un chiffre plancher car, comme on vient de le voir, la pratique de la fraude à la TVA est beaucoup plus répandue dans ce secteur du commerce en ligne. La deuxième méthode, dite « mixte », part de la proportion de l’activité des places de marché dans l’activité globale des grands acteurs du commerce en ligne. Selon la Cour des comptes, cette proportion est en moyenne de 29 % (mais ce chiffre atteint 60 % pour Amazon). Cette méthode permet d’estimer une fraude minimale de 1,1 milliard d’euros. Là aussi, c’est une donnée « plancher » selon Attac.

      La dernière méthode pourrait être la plus proche de la réalité. Elle est qualifiée par Attac de méthode « ascendante » et consiste à extrapoler à partir des quelques données du contrôle fiscal rendues publiques par la Cour des comptes. Ces éléments permettent de construire une fourchette allant de 2,6 à 5,98 milliards d’euros annuels. Pour Attac, cela prouve que les calculs précédents représentent réellement des « montants planchers », une sorte de minimum absolu. L’organisation considère donc qu’il faut s’en tenir à une fourchette de 2 à 5 milliards d’euros par an de manque à gagner même si un chiffre de 4 à 5 milliards d’euros semble plus réaliste « au regard des spécificités du secteur » et du caractère systématique de la fraude à la TVA par les acteurs hors UE.

  • Amazon, Cdiscount, eBay, Wish… Fraude massive à la TVA sur les places de marché des acteurs du e-commerce
    https://france.attac.org/nos-publications/notes-et-rapports/article/note-amazon-cdiscount-ebay-wish-fraude-massive-a-la-tva-sur-les-places

    Une note d’Attac sur ces milliards qui échappent aux finances publiques et alimentent une concurrence déloyale. Alors que les confinements ont permis aux géants du commerce en ligne et à leurs marketplaces de voir leur chiffre d’affaires exploser, ces grandes entreprises (dont Amazon, Cdiscount, eBay ou encore Wish) sont accusées de profiter de fraudes massives à la taxe sur la valeur ajoutée (TVA). Dans une note publiée ce jeudi 3 décembre, veille de Black Friday, Attac révèle l’ampleur de cette (...)

    #Amazon #CDiscount #eBay #Wish #domination #fiscalité #fraude #bénéfices #consommation (...)

    ##fiscalité ##ATTAC

  • Le triomphe des plate-formes - Ép. 4/4 - La logistique c’est fantastique !
    https://www.franceculture.fr/emissions/entendez-vous-leco/la-logistique-cest-fantastique-44-le-triomphe-des-plate-formes

    On dit de la crise du coronavirus qu’elle aurait ubérisé la logistique. Mais, le commerce de demain sera-t-il forcément un commerce à distance, livraison incluse ? Et quelles sont les conséquences sociales d’une telle évolution des habitudes de consommation ? La crise du Covid-19 rend crucial le fonctionnement des centres de distribution, entrepôts, plates-formes, hubs : tous les ronds-points de l’économie réelle et digitale. Chacun d’entre nous, depuis chez lui, réserve et commande plats cuisinés, (...)

    #Amazon #CDiscount #Deliveroo #consommation #écologie #conducteur·trice·s #COVID-19 #GigEconomy #santé (...)

    ##santé ##travail

  • Les chauffeurs-livreurs ont « l’impression d’être moins importants que l’économie du pays » | StreetPress
    https://www.streetpress.com/sujet/1584549182-les-chauffeurs-livreurs-ont-impression-moins-importants-econ

    Ils sont chauffeurs-livreurs pour Carrefour et Amazon ou coursiers pour Deliveroo. Obligés de travailler contractuellement ou par précarité, ils tentent de se protéger du coronavirus comme ils le peuvent. « J’espère juste ne pas tomber sur le mauvais digicode ou le mauvais ascenseur… » À l’autre bout du fil, Amine (1) est fataliste. Comme d’autres livreurs ou chauffeurs-livreurs, le vingtenaire continue de travailler et de sortir alors que le confinement dû au coronavirus a mis une partie des Français (...)

    #Carrefour #Amazon #CDiscount #Deliveroo #Uber #GigEconomy #santé #travail

    ##santé

  • Vie privée : CDiscount, AlloCiné et Vanity Fair visés par une plainte d’une ONG
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2019/12/10/vie-privee-cdiscount-allocine-et-vanity-fair-vises-par-une-plainte-d-une-ong

    Les trois sites sont soupçonnés d’imposer un traçage publicitaire même aux utilisateurs qui le refusent. Ces messages d’alerte sont devenus courants depuis l’entrée en vigueur du règlement général européen sur la vie privée (RGPD) en 2018 : à l’arrivée sur un site, ce dernier vous demande si vous acceptez que des cookies, de petits fichiers servant à stocker des informations, enregistrent des données sur vous et votre navigation. Celles-ci servent notamment à afficher des publicités ciblées. Mais selon (...)

    #CDiscount #Facebook #cookies #profiling #publicité #CNIL #NOYB #conditions

    ##publicité

  • Même en refusant les cookies, votre vie privée peut s’émietter
    https://noyb.eu/say-no-to-cookies-yet-see-your-privacy-crumble/?lang=fr

    Cdiscount, Webedia, Condé Nast, Facebook, AppNexus et PubMatic ont tous participé à la mise en place illégale de cookies publicitaires alors que les utilisateurs les ont expressément rejetés. noyb.eu dépose trois plaintes auprès de la CNIL liées au consentement de l’utilisateur à l’installation de cookies. S’appuyant sur l’extension open source “Cookie Glasses” développée par des chercheurs de l’institut national de recherché en sciences du numérique (Inria), noyb a identifié de nombreuses violations de la (...)

    #Facebook #CDiscount #cookies #procès #conditions #CNIL #[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données_(RGPD)[en]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR)[nl]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR)

    ##[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données__RGPD_[en]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_[nl]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_

  • Say “NO” to cookies – yet see your privacy crumble ?
    https://noyb.eu/say-no-to-cookies-yet-see-your-privacy-crumble

    Cookie banners of large French webpages turn a clear “NO” into “fake consent” noyb.eu files three GDPR complaints with the French Data Protection Regulator (CNIL). Relying on the open source extension “Cookie Glasses” developed by researchers of the French institute Inria, noyb.eu identified countless violations of European and French cookie privacy laws as CDiscount, Allociné and Vanity Fair all turn a rejection of cookies by users into a “fake consent”. The privacy enforcement non-profit noyb.eu (...)

    #CDiscount #cookies #procès #conditions #CNIL

  • Bruno Le Maire attaque Amazon en justice pour des clauses abusives
    http://www.numerama.com/business/315617-bruno-le-maire-attaque-amazon-en-justice-pour-des-clauses-abusives.

    Bruno Le Maire entend sanctionner Amazon avec une amende de 10 millions d’euros pour des clauses abusives relevées par la répression des fraudes. Celles-ci concernent les entreprises françaises passant par la plateforme américaine pour vendre leurs produits. Ce n’est pas en France qu’Amazon passera les fêtes de fin d’année les plus agréables. En effet, à quelques jours de Noël, le ministre de l’économie et des finances Bruno Le Maire a annoncé lundi 18 décembre l’assignation devant le tribunal de (...)

    #domination #Amazon #CDiscount #eBay #fnac.com #RueduCommerce

  • Commentaires « non pertinents », cookies, données bancaires : la CNIL charge Cdiscount
    http://www.nextinpact.com/news/101828-commentaires-non-pertinents-cookies-donnees-bancaires-cnil-charge

    Le cybermarchand est épinglé pour de graves manquements en matière de protection des données. Cela comprend la conservation de données, des commentaires désobligeants, des cookies à 30 ans ou la présence de données bancaires en clair. Bon anniversaire ! Le lendemain de ses 18 ans, Cdiscount est en droit d’afficher une gueule de bois. La Commission nationale informatique et libertés (CNIL) a officiellement mis en demeure, et sanctionné par un avertissement public, le marchand pour de nombreux problèmes (...)

    #CDiscount #cookies #banque #données #gestion_des_données #CNIL

  • Comment un film change avec le temps

    Chromosome 3, The brood, David Cronenberg, 1979

    En 2004 je me disais que tous les mois j’allais faire un tour sur Cdiscount pour acheter au moins dix dvd à moins de 2€. C’est comme ça que j’ai acheté ce machin. Vite regardé vite oublié. Je me suis dit que j’étais tombé sur un film d’M6 : Vite regardé, vite oublié.
    Et puis hier soir je l’ai revu. Et bah c’est franchement bien foutu ces histoires d’enfants de la colère. C’est vraiment pas du n’importe quoi gore pour le plaisir. Un vrai film. Avec des trucs profonds. Evidemment, à 20 ans je ne pouvais pas voir tout ce que les effets spéciaux en silicone pouvaient cacher de sens sur la nature humaine.

    https://www.youtube.com/watch?v=pz5wKDIE9dA

    #the_brood #chromosome_3 #David_cronenberg #1979 #cinema #cdiscount #série_b #série_z #pas_viol

  • S01E02 – Comment les sociétés de E-commerce nous prennent pour des cons
    http://reflets.info/s01e02-comment-les-societes-de-e-commerce-pour-nous-prennent-pour-des-cons

    Petit rappel des faits ici. Ce matin, comme je pouvais déjà m’en douter depuis quelques jours, ma livraison expresse TNT 48h prévue et promise par #Cdiscount entre 8h et 10h, n’est effectivement jamais arrivée. Cependant j’ai eu le droit à un message sur Twitter, de @LaFourmillière m’annonçant très gentiment qu’ils se tenaient à ma disposition et me [...]

    #Economie #Technos #ecommerce #featured #FIA-NET

  • Quand les sites de #E-commerce nous prennent pour des cons grâce à Saint-#FIANet.
    http://reflets.info/quand-les-sites-de-e-commerce-nous-prennent-pour-des-cons-grace-a-saint-fi

    Pour ne pas la citer, #Cdiscount, No 1 français de l’e-commerce (rien que ça), bien connu par nous tous de par ses ventes très discount et sa rapidité de livraison, nous à mis en place un contrat de e-vente bien rodé. Moyens de paiements multiples (chèque et carte bancaire en paiement comptant ; chèque et [...]

    #Société #Technos #featured

  • 2.128.000 emails - 14.422.000 adresses postales - 19.766.000 numéros de téléphone avec des critères de ciblage infinis.

    Faites vos courses de #DATA dans l’hypermarché du Web !

    Cdiscount, N°1 de l’e-commerce en France couvre 25% de la population française(1).
    Ce site bénéficie d’un fort capital addictif à la marque : 1ère place en notoriété Top of Mind (2), Leader en image-prix (3) et Site préféré des Français dans la catégorie « vente de produits Multimédias » (4)

    Du mass-mailing au ciblage comportemental, la base Cdiscount est réceptive. Elle vous permettra d’aborder vos objectifs sous l’angle de l’efficacité.

    Profil de la clientèle

    69% des internautes sont attentifs aux publicités et 47% affirment que les publicités leur donnent envie d’essayer/acheter/utiliser les marques et produits(5)

    Potentiel

    2.128.000 emails dont
    · 51% Femmes - 49% Hommes
    · 58% de 25-50 ans
    · 20% en IDF - 80 % en province

    14.422.000 adresses postales dont
    · 33% Femmes - 67% Hommes
    · 63% de 25-50 ans
    · 22% en IDF - 78 % en province

    19.766.000 téléphones dont
    · 53% de tél portable - 47% de tél fixe
    · 41% Femmes- 59% Hommes
    · 52% de 25-50 ans
    · 19% en IDF - 1% en province

    Sélections possibles

    Civilité, âge, localisation, type d’achat, CSP, récence d’ouverture, #ciblage_comportemental, (cliquez ici pour voir tous les critères)

    #CNIL 1361314

    http://www.locadresses.com

    65, boulevard de la Croisette - Le Miramar - 06400 CANNES
    Tél. 04 97 06 94 00 - Fax 04 97 06 94 01 - accueil@locadresses.com

    #privacy #spam #publicité #fichage