La Butte rouge de Montéhus, un vibrant plaidoyer contre la guerre.
▻https://lhistgeobox.blogspot.com/2022/09/la-butte-rouge.html
« Écrite en 1923 par Montéhus, sur une musique de Georges Krier, la chanson évoque les terribles massacres de poilus. Le chansonnier y distille quelques indices géographiques qui laissent présager d’une localisation facile des affrontements mentionnés. Il est question d’une butte, d’âpres combats, d’un ravin, de vignes et de morts. Certains ont pensé trouver cette colline en Champagne, en raison de la vigueur des combats et de la mention de vignes. D’autres préfèrent y voir la butte de Warlencourt, près de Bapaume, dans le Pas-de-Calais, non loin d’Arras. Les derniers la placent en bordure de l’Argonne, près de Sainte-Menehould. Problème, il manque toujours un des éléments pour identifier la butte avec certitude. L’auteur semble privilégier la liberté poétique à la fiabilité géographique. Peu importe que la butte rouge corresponde à un lieu précis, tant qu’elle porte la trace de la grande boucherie. »
#Diam's - Marine
Marine,
Tu sais ce soir ça va mal,
J’ai trop de choses sur le coeur
Donc il faudrait que l’on parle,
Marine,
Si je m’adresse à toi ce soir
C’est que t’y es pour quelque chose,
T’as tout fait pour qu’ça foire.
Marine,
Dans le pays de Marianne,
Y’a l’amour,
Y’a la guerre,
Mais aussi le mariage.
Marine,
Pourquoi tu perpétues les traditions ?
Sais tu qu’on s’ra des millions à payer l’addition.
Ma haine est immense,
En ce soir de décembre.
Quand je pense à tous ces gens que tu rassembles.
Tu sais,
Moi j’suis comme toi,
J’veux qu’on m’écoute.
Et tout comme toi,
J’aimerais que les jeunes se serrent les coudes.
Marine,
T’as un prénom si tendre,
Un vrai prénom d’ange,
Mais dis-moi c’qui te prend.
Marine,
On ne sera jamais amies
Parce que ma mère est française
Mais qu’je ne suis pas née ici.
Marine,
Regarde-nous,
On est beau.
On vient des 4 coins du monde
Mais pour toi on est trop.
Ma haine est immense quand je pense à ton père.
Il prône la guerre quand nous voulons la paix.
Donc j’emmerde...
J’emmerde...
J’emmerde qui ?
Le Front National !
Moi j’emmerde...
(J’emmerde...), j’emmerde...
(J’emmerde...), j’emmerde qui ?
Le Front National.
Moi j’emmerde...
(J’emmerde...), j’emmerde...
(J’emmerde…), j’emmerde qui ?
Le Front National.
Marine,
Tu es victime des pensées de ton géniteur.
Génération 80 on a retrouvé notre fureur.
Marine,
T’avais l’honneur d’être proche de l’ennemi,
D’installer un climat paisible dans nos vies.
Mais Marine,
T’es forcément intelligente.
T’as pas songé à tous ces gens que t’engraines dans l’urgence,
Marine,
T’es mon aînée et pourtant je ne te respecte pas,
Il m’a fallu faire ce choix.
Marine,
Tu pouvais briser la chaîne,
Prendre la parole et nous rendre nos rêves.
Mais Marine,
T’as fait la même connerie que lui
Penser que le blanc ne se mélange pas à autrui.
Marine,
On ne s’ra jamais copine parce que je suis une métisse
Et que je traîne avec Ali.
Marine,
Plus j’te déteste, mieux je vais.
Et plus je proteste et moins nous payons les frais.
Donc j’emmerde...
J’emmerde...
J’emmerde qui ?
Le Front National !
Moi j’emmerde...
(J’emmerde...), j’emmerde...
(J’emmerde...), j’emmerde qui ?
Le Front National.
Moi j’emmerde...
(J’emmerde...), j’emmerde...
(J’emmerde…), j’emmerde qui ?
Le Front National.
Marine,
Tu crois vraiment que t’es dans le vrai ?
Que t’as su saisir ta chance,
Et que ton avenir est tracé.
Marine,
Je ne suis pas de ceux qui prônent la haine,
Plutôt de ceux qui votent et qui espèrent que ça s’arrête.
T’as fais couler ce navire Marine,
J’ai peur du suicide collectif des amoureux en couleur.
Marine,
Pourquoi es-tu si pâle ?
Viens faire un tour chez nous c’est coloré, c’est jovial.
Marine,
J’aimerais tellement que tu m’entendes,
Je veux bien être un exemple quand il s’agit de vous descendre.
Marine,
Tu t’appelles Le Pen,
N’oublie jamais que tu es le problème
D’une jeunesse qui saigne.
Viens, viens,
Allons éteindre la flamme,
Ne sois pas de ces fous qui défendent le Diable.
Marine,
J’ai peur que dans quelques temps tu y arrives
Et que nous devions tous foutre le camps
Donc j’emmerde...
J’emmerde...
J’emmerde qui ?
Le Front National !
Moi j’emmerde...
(J’emmerde...), j’emmerde...
(J’emmerde...), j’emmerde qui ?
Le Front National.
Moi j’emmerde...
(J’emmerde...), j’emmerde...
(J’emmerde…), j’emmerde qui ?
Le Front National.
voir aussi :
▻https://www.antiwarsongs.org/canzone.php?id=43537&lang=fr
#Marine #musique_et_politique #Marine_Le_Pen #Front_national #chanson
Oluja 27 anni dopo, le voci e i silenzi di chi è tornato
▻https://www.balcanicaucaso.org/aree/Croazia/Oluja-27-anni-dopo-le-voci-e-i-silenzi-di-chi-e-tornato-219885
A 27 anni dalla famigerata operazione militare Oluja (Tempesta) sono pochi i cittadini e le cittadine di nazionalità serba che hanno fatto ritorno nei luoghi dai quali sono stati cacciati in massa nel 1995. In questo reportage alcuni di loro raccontano di come si vive oggi
Posljednji tango u Đevrskama
–-> Dernier tango à #Đevrskama
–-> dans l’article :
Stavamo seduti in quel bar proprio il giorno in cui il cantante #Arsen_Dedić avrebbe compiuto 84 anni. Speriamo che la sua celebre canzone “L’ultimo tango a Đevrske “ – in cui, con un linguaggio scarno, quasi popolare, ma al contempo ingegnosamente scherzoso, decanta i villaggi dell’entroterra di Šibenik (Sebenico), salvandoli così dall’oblio – ci possa essere di aiuto quando decidiamo di avventurarci alla scoperta della via Đevrske – che pur avendo molti numeri civici, ma sempre meno abitanti – preserva ancora qualche briciola di quel semplice fascino meditterraneo, al contempo aspro e soave, come il profumo della lavanda, qualcosa di quell’atmosfera caratteristica della musica di Arsen preannunciando un tango, anche se a Đevrske al tango di Arsen si sono succeduti altri balli.
“È una lama a doppio taglio, ne abbiamo discusso più di una volta. Cosa intendeva dire con quella canzone? Qui per un certo tempo c’era un disco bar, piuttosto famoso, vi si sono esibiti tutti i muscisti famosi dell’ex Jugoslavia. Si chiamava ‘Disko 9’. O forse il motivo che lo spinse a comporre quella canzone fu il 5 agosto e ‘Oluja’”, si chiede Rajko Mandić, consigliere del consiglio comunale di Kistanje, ormai al suo secondo mandato.
14 juillet, Grand concert-spectacle festif et écolo à Valence ! - Gratuit et participatif - Enorme et inédit en Drôme
▻https://ricochets.cc/Grand-concert-spectacle-festif-et-ecolo-a-Valence-Gratuit-et-participatif-
Exceptionnel, un énorme concert-spectacle écologique et festif est annoncé le 14 juillet 2022 dans la bonne ville de Valence, à partir de 16h. Un événement gratuit, rare, ludique et tout public, où il est possible de participer aux nombreux spectacles interactifs. Avec deux écrans géants immersifs gonflables, deux scènes alimentées en énergies renouvelables, jeux, buvettes, garderie, maquillage, concours... Les grands boulevards seront entièrement piétonisés et sécurisés. Amis touristes, locaux, venez (...) #Les_Articles
/ #Drôme, Chansons & musiques, Humour, ironie, satire..., #Ecologie, Tourisme, sports & (...)
#Chansons_&_musiques #Humour,ironie,_satire... #Tourisme,_sports&_loisirs
Grand concert-spectacle festif et écolo à Valence ! - Gratuit et participatif - Enorme et inédit en Drôme
▻https://ricochets.cc/Grand-concert-spectacle-festif-et-ecolo-a-Valence-Gratuit-et-participatif-
Exceptionnel, un énorme concert-spectacle écologique et festif est annoncé le 14 juillet 2022 dans la bonne ville de Valence, à partir de 16h. Un événement gratuit, rare et festif, ludique et tout public, où il est possible de participer aux nombreux spectacles interactifs. Avec deux écrans géants immersifs gonflables, deux scènes alimentées en énergies renouvelables, jeux, buvettes, garderie, maquillage, concours... Les grands boulevards seront entièrement piétonisés et sécurisés. Amis touristes, (...) #Les_Articles
/ #Drôme, Chansons & musiques, Humour, ironie, satire..., #Ecologie, Tourisme, sports & loisirs
#Chansons_&_musiques #Humour,ironie,_satire... #Tourisme,_sports&_loisirs
Chansons libertaires, hier et aujourd’hui
▻http://anarlivres.free.fr/pages/nouveau.html#audio
Sur le site Anarlivres, retrouvez la retranscription de quelques chansons libertaires du début du XXe siècle, la plupart introuvables sur le Web. Beaucoup de ces paroliers qui ont marqué leur génération sont maintenant de parfaits inconnus. A côté de Charles d’Avray (biblio), Eugène Bizeau (biblio) ou Gaston Couté (biblio), qui se souvient de François Brunel, Clovys, Flesky du Rieux, Robert Guérard, Achille Le Roy, Louis Loréal, Jean-Paul Monteil...
les sarkofiottes....le triomphe de l’anarchie
▻https://www.youtube.com/watch?v=JVD2JTHe_O8
Tiens, ça fait maintenant un peu plus de 10 ans que Jacob Collier a balancé sa première vidéo sur les interwebz…
Est-ce qu’on a déjà référencé sa reprise de Stevie Wonder ?
▻https://www.youtube.com/watch?v=pvKUttYs5ow
En concert à l’arrache dans la rue suite à une coupure, justement en juin dernier, chantant du Bill Withers :
▻https://www.youtube.com/watch?v=-sJF0_U30dE
Eugène Mona : une comète dans le ciel antillais
▻https://pan-african-music.com/eugene-mona-une-comete-dans-le-ciel-antillais
« Je demande à tous ceux qui aiment ma musique, une musique différente, de me donner un peu d’argent, juste de quoi vous priver d’une sortie un samedi soir, afin que je puisse monter un big band qui représente la Martinique dignement en Europe. » Cet appel lancé par Eugène Mona sur les ondes de RFO n’aura pas l’écho espéré : trois grandes urnes seront déposées à cet effet, sans qu’un centime ne vienne les alimenter. « Il a beaucoup souffert dans la musique. On lui a trop souvent fermé la porte », confie sa veuve Martiane Bizet Siano dans le même excellent documentaire de Nathalie Glaudon. Quelques jours plus tard, celui qui incarnait toute l’âme d’un peuple décédera dans la force de l’âge.
▻https://www.youtube.com/watch?v=RuWm7r0E3Zw
LES DOSSIERS DE L’INSTITUT DU TOUT-MONDE : GRANDEUR DE MONA
▻http://www.tout-monde.com/dossiers2.html
Pour la musique martiniquaise, Eugène Mona fut avant tout un incomparable passeur (diffuseur et réinventeur) à la fois de la tradition du tambour Bèlè et de la flûte en bambou, liée à ce qu’on nomme musique des mornes. À vrai dire, Mona n’a pas été un simple interprète béat de ces traditions : pour mieux les diffuser et les valoriser, il choisit non pas de les « moderniser », mais de les revigorer comme des avant-gardes à part entière. Pour ce faire, il apporte à ces rythmes ancestraux certaines innovations organologiques (orchestres de tambour, sur la base d’éléments traditionnellement disjoints ; usages des différentes flûtes) mais aussi le rôle d’influences extérieures, comme le jazz et le negro spiritual. Pour être à même de réaliser ces apports-là, son rapport à ces traditions si anciennes (très différentes des formes urbaines, la Biguine et la Mazurka) est avant tout celui d’une immersion profonde, comme en témoigne son apprentissage du tambour par les maîtres tambouyés du Nord de l’île et sa formation de la flûite des mornes, auprès du maître du genre, Max Cilla. Au regard de ces traditions musicales, Mona intervient à un moment clé, où la société martiniquaise est en train de vivre une modernisation accélérée et l’intrusion massive de la consommation, au cours des années soixante-dix. Il faut comprendre ce que cet avènement de la société de consommation a entraîné comme bouleversements socio-culturels dans les Antilles : si, déjà en France, le moment est poprteur de mutations, il faut se représenter cette société qui passe directement de l’ordre colonial à la modernité consumériste, avec tous les désordres de représentation de soi tant étudiés d’ailleurs par Glissant dans Le Discours antillais.
Sirènes législatives
▻http://anarlivres.free.fr/pages/nouveau.html#sirenes
Ça va changer, « monologue satirique » en résonance avec les prochaines élections, a été créé par Nobel en 1924. L’histoire a oublié Lucien Jules Victor Lebon (1898-1974), surnommé Le Pierrot rouge, auteur-interprète dont les textes mettaient en lumière les peines et les colères du peuple. Certes, depuis, beaucoup de choses ont changé mais pas l’essentiel. Les femmes ont gagné le droit de vote, « gagné » car la plupart des conquêtes de la classe ouvrière ont été obtenues de haute lutte. Ne nous y trompons pas, le Front populaire – issu de la réaction populaire contre le fascisme – a accordé des avancées sociales pour mieux enterrer les grèves de mai-juin 1936. Et ce n’est pas cette Nouvelle Union populaire, écologique et sociale, caporalisée par un Castro au petit pied, qui changera la situation…
I
Enfin, bon populo de France
Te v’là content ! Tu as voté !
Les urn’s ont servi ta vengeance :
L’ Bloc national est balayé !
Confiant dans leur bell’ République
Tu vois l’av’nir du bon côté
Et tu attends l’air flegmatique
Car on t’a dit : Ça va changer !
II
Ça va changer ! C’est la promesse
Des Socialos, radicaux
Qui t’ont juré avec noblesse
Que t’aurais ta p’art de gâteau !
Maintenant fini la vie chère
Les mercantis seront bouclés
Avec les gros propriétaires...
Tu verras ça ! Ça va changer !
III
Les patrons seront raisonnables
Les ouvriers tous bien payés
Et nous aurons sur notre table
Poulet rôti et vin cach’té
Les vieux auront de bonn’s retraites
Les tous petits seront choyés,
Et tout’s les femmes de bell’s toilettes...
Tu verras ça ! Ça va changer !
IV
Amnistie pour les militaires
Biribi n’existera plus
Suppression des conseils de guerre
Trois francs par jour pour les poilus !
Voilà, résumé, le programme
De tous les nouveaux députés
Sans oublier le vot’ des femmes
Tu verras ça ! Ça va changer !
V
Mais dans quatre ans, la chose est claire,
Tu attendras... comme aujourd’hui
Qu’il y ait un peu moins d’misère
Et un peu plus de bonheur pour autrui
Un jour prochain, lassé, peut-être
De te voir constamment roulé,
Tu f’ras ce qu’ont fait tes ancêtres...
Et ce jour-là !... Ça peut changer !
#anarchisme #élection #chanson #législatives #Nobel #PierrotRouge #FrontPopulaire
Après l’échouage du Torrey Canyon, la marée était en noire. Gainsbourg en fit une chanson.
▻https://lhistgeobox.blogspot.com/2022/04/apres-lechouage-du-torrey-canyon-la.html
"Dans W ou le souvenir d’enfance, Georges Perec écrit : « Je me souviens de la marée noire ( la première celle du Torrey-Canyon) et des boues rouges ».
Le 18 mars 1967, le Torrey Canyon s’échoue sur le récif des Seven Stones, entre l’extrême pointe sud-ouest des Cornouailles et les îles Scilly. Oui, c’est vraiment idiot ! Le naufrage libère 120 000 tonnes de pétrole qui se répandent dans les eaux, avant de souiller les plages de Cornouailles et de Bretagne. Le choc est immense car il s’agit de la première grande marée noire. L’expression apparaît d’ailleurs pour l’occasion sous la plume de Lucien Jégoudé, journaliste au Télégramme de Brest."
Pour aller avec aussi, cet excellent morceau du Sept de 2016 :
►https://www.youtube.com/watch?v=7lED5jXVDWk
Supertanker, ulcère en fer, vulgaires menteurs, cancer sur mer.
▻https://seenthis.net/messages/475615
L’Amoco Cadiz : ▻https://seenthis.net/messages/673120
Aussi François Corbier avec le naufrage de l’Erika :
▻https://www.youtube.com/watch?v=FKJ50OZ6K_g
Nouvel album de Leyla McCalla - Breaking the Thermometer
▻https://www.youtube.com/watch?v=L9hzr7cOdm4&list=PLLCWRhSOX_t9ZAkD8Ait7zN1bACKrEqmy&index=1
▻https://www.youtube.com/watch?v=fM7MN8tnqTY
Fait suite à son album précédent plus blues : The Capitalist Blues
▻https://www.youtube.com/watch?v=o6kHnUXHOo0&list=PLLCWRhSOX_t941vX0WKkeN-VYux64MyHC&index=1
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Leyla_McCalla
#musique #chanson #blues #cajun #violoncelle #créole #New_Orleans #Haïti #Leyla_McCalla #musique_et_politique @sinehebdo
La Ploma de Perdiu
▻https://www.youtube.com/watch?v=GWy87Jqox_c
Il y avait trois jeunes filles
Qui toutes trois brodaient la soie
L’une la soie blanche, l’autre la soie noire
et la dernière la soie rouge
Le fils du roi se promenait
Il leur demande un brin de soie,
– “Que voulez-vous faire du brin de soie” ?
– “Je le veux pour faire un petit noeud coulant
– “Pourquoi voulez vous un noeud coulant” ?
–”Pour attraper une perdrix”.
“Pourquoi voulez-vous la perdrix” ?
–“Pour lui arracher une petite plume"
–” Que voulez-vous faire de la plume” ?
Je veux écrire une petite lettre
–”Que voulez vous faire de la lettre” ?
–”Je veux l’envoyer à l’amourette”
–“Que voulez-vous faire de l’amourette” ?
–« Je veux lui faire une petite embrassade »
#chanson #musique #chants_populaires #musique_populaire #catalan #tornaveus #Catalogne
Like a bird on the wire, de Leonard Cohen : Sur les pas de l’artiste dans son île d’Hydra en Grèce
▻http://liminaire.fr/entre-les-lignes/article/like-a-bird-on-the-wire-de-leonard-cohen
Leonard Cohen a 25 ans quand il quitte son Canada natal pour l’Angleterre en quête de nouvelles expériences et de reconnaissance internationale. Après une brève halte à Athènes, Leonard Cohen embarque sur la mer Egée à destination de l’île d’Hydra. Le 27 septembre 1960, six jours après son vingt-sixième anniversaire, il achète une maison à Hydra pour 1500 dollars, grâce à un legs de sa grand-mère récemment décédée. Une maison qu’il gardera quarante ans. L’ancien bâtiment blanchi à la chaux, avec ses cinq pièces sur plusieurs niveaux, était délabré et n’avait ni électricité, ni plomberie, ni eau courante. Pourtant, c’était un espace à lui où il pouvait travailler à sa guise, soit sur la grande terrasse grillagée, soit dans sa salle de musique au troisième étage. (...) #Musique, #Chanson, #Écriture, #Langage, #Poésie, #Ville, #Photographie, #Grèce, #LeonardCohen, #Création, #Art, #Hydra, #Île ❞
« Mourir d’aimer ». Le destin fracassé de Gabrielle Russier.
▻https://lhistgeobox.blogspot.com/2022/04/mourir-daimer-le-destin-fracasse-de.html
"Gabrielle Russier est ici victime de l’acharnement d’institutions bousculées par le mouvement de mai 1968. Au delà du drame passionnel, elles entendent ainsi reprendre la main. L’appel réclamé par le parquet peut ainsi se lire comme un désir de vengeance. Le recteur d’Aix-Marseille, Claude Franck, avec l’appui du procureur général, ne veut plus voir une enseignante comme Gabrielle dans l’Éducation nationale. « Il n’y a plus de moralité en France, il faut que cette affaire serve d’exemple », aurait-il confié au procureur général. Au fond, la professeure a brisé deux tabous. On ne se lie pas d’amitié avec ses élèves, on reste dans une posture professionnelle, en conservant une distance.Une trop grande convivialité avec les élèves remettrait en cause la sacro-sainte autorité professorale. Surtout, on n’a pas de relation amoureuse avec un ou une élève. Aux yeux du procureur général, Marcel Caleb, Gabrielle Russier aurait, en franchissant cette ligne rouge, supplanté l’autorité paternelle. Une partie de la presse lui fait écho : l’enseignante est un dangereux symbole, celui du désordre."
Rita Payés i Elisabeth Roma - Alfonsina y el mar
▻https://www.youtube.com/watch?v=C8wpfQ5pdfo
via @karine4
Rapid Response : Decolonizing Italian Cities
Anti-racism is a battle for memory. Enzo Traverso well underlined how statues brought down in the last year show “the contrast between the status of blacks and postcolonial subjects as stigmatised and brutalised minorities and the symbolic place given in the public space to their oppressors”.
Material traces of colonialism are in almost every city in Italy, but finally streets, squares, monuments are giving us the chance to start a public debate on a silenced colonial history.
Igiaba Scego, Italian writer and journalist of Somali origins, is well aware of the racist and sexist violence of Italian colonialism and she points out the lack of knowledge on colonial history.
“No one tells Italian girls and boys about the squad massacres in Addis Ababa, the concentration camps in Somalia, the gases used by Mussolini against defenseless populations. There is no mention of Italian apartheid (…), segregation was applied in the cities under Italian control. In Asmara the inhabitants of the village of Beit Mekae, who occupied the highest hill of the city, were chased away to create the fenced field, or the first nucleus of the colonial city, an area off-limits to Eritreans. An area only for whites. How many know about Italian apartheid?” (Scego 2014, p. 105).
In her book, Roma negata. Percorsi postcoloniali nella città (2014), she invites us to visually represent the historical connections between Europe and Africa, in creative ways; for instance, she worked with photographer Rino Bianchi to portray Afro-descendants in places marked by fascism such as Cinema Impero, Palazzo della Civiltà Italiana and Dogali’s stele in Rome.
Inspired by her book, we decided to go further, giving life to ‘Decolonizing the city. Visual Dialogues in Padova’. Our goal was to question ourselves statues and street names in order to challenge the worldviews and social hierarchies that have made it possible to celebrate/forget the racist and sexist violence of colonialism. The colonial streets of Padova have been re-appropriated by the bodies, voices and gazes of six Italian Afro-descendants who took part in a participatory video, taking urban traces of colonialism out of insignificance and re-signifying them in a creative way.
Wissal Houbabi, artist “daughter of the diaspora and the sea in between“, moves with the soundtrack by Amir Issa Non respiro (2020), leaving her poetry scattered between Via Cirenaica and Via Libia.
“The past is here, insidious in our minds, and the future may have passed.
The past is here, even if you forget it, even if you ignore it, even if you do everything to deny the squalor of what it was, the State that preserves the status of frontiers and jus sanguinis.
If my people wanted to be free one day, even destiny would have to bend”.
Cadigia Hassan shares the photos of her Italian-Somali family with a friend of hers and then goes to via Somalia, where she meets a resident living there who has never understood the reason behind the name of that street. That’s why Cadigia has returned to via Somalia: she wants to leave traces of herself, of her family history, of historical intertwining and to make visible the important connections that exist between the two countries.
Ilaria Zorzan questions the colonial past through her Italo-Eritrean family photographic archive. The Italians in Eritrea made space, building roads, cableways, railways, buildings… And her grandfather worked as a driver and transporter, while her Eritrean grandmother, before marrying her grandfather, had been his maid. Ilaria conceals her face behind old photographs to reveal herself in Via Asmara through a mirror.
Emmanuel M’bayo Mertens is an activist of the Arising Africans association. In the video we see him conducting a tour in the historic center of Padova, in Piazza Antenore, formerly Piazza 9 Maggio. Emmanuel cites the resolution by which the municipality of Padova dedicated the square to the day of the “proclamation of the empire” by Mussolini (1936). According to Emmanuel, fascism has never completely disappeared, as the Italian citizenship law mainly based on jus sanguinis shows in the racist idea of Italianness transmitted ‘by blood’. Instead, Italy is built upon migration processes, as the story of Antenor, Padova’s legendary founder and refugee, clearly shows.
Mackda Ghebremariam Tesfau’ questions the colonial map in Piazza delle Erbe where Libya, Albania, Ethiopia and Eritrea are marked as part of a white empire. She says that if people ignore this map it is because Italy’s colonial history is ignored. Moreover, today these same countries, marked in white on the map, are part of the Sub-saharan and Mediterranean migrant routes. Referring then to the bilateral agreements between Italy and Libya to prevent “irregular migrants” from reaching Europe, she argues that neocolonialism is alive. Quoting Aimé Césaire, she declares that “Europe is indefensible”.
The video ends with Viviana Zorzato, a painter of Eritrean origin. Her house, full of paintings inspired by Ethiopian iconography, overlooks Via Amba Aradam. Viviana tells us about the ‘Portrait of a N-word Woman’, which she has repainted numerous times over the years. Doing so meant taking care of herself, an Afro-descendant Italian woman. Reflecting on the colonial streets she crosses daily, she argues that it is important to know the history but also to remember the beauty. Amba Alagi or Amba Aradam cannot be reduced to colonial violence, they are also names of mountains, and Viviana possesses a free gaze that sees beauty. Like Giorgio Marincola, Viviana will continue to “feel her homeland as a culture” and she will have no flags to bow her head to.
The way in which Italy lost the colonies – that is with the fall of fascism instead of going through a formal decolonization process – prevented Italy from being aware of the role it played during colonialism. Alessandra Ferrini, in her ‘Negotiating amnesia‘,refers to an ideological collective amnesia: the sentiment of an unjust defeat fostered a sense of self-victimisation for Italians, removing the responsibility from them as they portrayed themselves as “brava gente” (good people). This fact, as scholars such as Nicola Labanca have explained, has erased the colonial period from the collective memory and public sphere, leaving colonial and racist culture in school textbooks, as the historian Gianluca Gabrielli (2015) has shown.
This difficulty in coming to terms with the colonial past was clearly visible in the way several white journalists and politicians reacted to antiracist and feminist movements’ request to remove the statue of journalist Indro Montanelli in Milan throughout the BLM wave. During the African campaign, Montanelli bought the young 12-year-old-girl “Destà” under colonial concubinage (the so‑called madamato), boasting about it even after being accused by feminist Elvira Banotti of being a rapist. The issue of Montanelli’s highlights Italy’s need to think critically over not only colonial but also race and gender violence which are embedded in it.
Despite this repressed colonial past, in the last decade Italy has witnessed a renewed interest stemming from bottom-up local movements dealing with colonial legacy in the urban space. Two examples are worth mentioning: Resistenze in Cirenaica (Resistances in Cyrenaica) in Bologna and the project “W Menilicchi!” (Long live Menilicchi) in Palermo. These instances, along with other contributions were collected in the Roots§Routes 2020 spring issue, “Even statues die”.
Resistenze in Cirenaica has been working in the Cyrenaica neighbourhood, named so in the past due to the high presence of colonial roads. In the aftermath of the second world war the city council decided unanimously to rename the roads carrying fascist and colonial street signs (except for via Libya, left as a memorial marker) with partisans’ names, honouring the city at the centre of the resistance movement during the fascist and Nazi occupation. Since 2015, the collective has made this place the centre of an ongoing laboratory including urban walks, readings and storytelling aiming to “deprovincialize resistances”, considering the battles in the ex-colonies as well as in Europe, against the nazi-fascist forces, as antiracist struggles. The publishing of Quaderni di Cirene (Cyrene’s notebooks) brought together local and overseas stories of people who resisted fascist and colonial occupation, with the fourth book addressing the lives of fighter and partisan women through a gender lens.
In October 2018, thanks to the confluence of Wu Ming 2, writer and storyteller from Resistenze in Cirenaica, and the Sicilian Fare Ala collective, a public urban walk across several parts of the city was organized, with the name “Viva Menilicchi!”. The itinerary (19 kms long) reached several spots carrying names of Italian colonial figures and battles, explaining them through short readings and theatrical sketches, adding road signs including stories of those who have been marginalized and exploited. Significantly, W Menilicchi! refers to Palermitan socialists and communists’ battle cry supporting king Menelik II who defeated the Italian troops in Aduwa in 1896, thus establishing a transnational bond among people subjected to Italian invasion (as Jane Schneider explores in Italy’s ‘Southern Question’: Orientalism in One Country, South Italy underwent a socio-economic occupation driven by imperial/colonial logics by the north-based Kingdom of Italy) . Furthermore, the urban walk drew attention to the linkage of racist violence perpetrated by Italians during colonialism with the killings of African migrants in the streets of Palermo, denouncing the white superiority on which Italy thrived since its birth (which run parallel with the invasion of Africa).
These experiences of “odonomastic guerrillas” (street-name activists) have found creative ways of decolonising Italian history inscribed in cities, being aware that a structural change requires not only time but also a wide bottom-up involvement of inhabitants willing to deal with the past. New alliances are developing as different groups network and coordinate in view of several upcoming dates, such as February 19th, which marks the anniversary of the massacre of Addis Ababa which occurred in 1937 at the hands of Italian viceroy Rodolfo Graziani.
References:
Gabrielli G. (2015), Il curriculo “razziale”: la costruzione dell’alterità di “razza” e coloniale nella scuola italiana (1860-1950), Macerata: Edizioni Università di Macerata.
Labanca, N. (2002) Oltremare. Storia dell’espansione coloniale italiana, Bologna: Il Mulino.
Scego, I. (2014) Roma negata. Percorsi postcoloniali nella città, Roma: Ediesse.
Schneider J (ed.) (1998) Italy’s ‘Southern Question’: Orientalism in One Country, London: Routledge.
▻https://archive.discoversociety.org/2021/02/06/rapid-response-decolonizing-italian-cities
#décolonisation #décolonial #colonialisme #traces_coloniales #Italie #Italie_coloniale #colonialisme_italien #statues #Padova #Padoue #afro-descendants #Cadigia_Hassan #via_Somalia #Ilaria_Zorzan #Emmanuel_M’bayo_Mertens #Mackda_Ghebremariam_Tesfau #Piazza_delle_erbe #Viviana_Zorzato #Via_Amba_Aradam #Giorgio_Marincola #Alessandra_Ferrini
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ajouté à la métaliste sur l’Italie coloniale :
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Negotiating Amnesia is an essay film based on research conducted at the Alinari Archive and the National Library in Florence. It focuses on the Ethiopian War of 1935-36 and the legacy of the fascist, imperial drive in Italy. Through interviews, archival images and the analysis of high-school textbooks employed in Italy since 1946, the film shifts through different historical and personal anecdotes, modes and technologies of representation.
En un coup d’oeil, l’expansion coloniale italienne :
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Mackda Ghembremariam Tesfau’, “Visual Research Methods”
▻https://www.youtube.com/watch?v=uIEsiiFipWk&t=2s
#mappa_coloniale #carte_coloniale #ignorance #impunité
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Elle parle de cette carte, présente dans #Piazza_delle_Erbe à #Padoue :
▻https://www.crushpixel.com/big-static7/preview4/italian-colonial-empire-map-square-183671.jpg
"L’Europa è indifendibile"
My Heritage ?
My Heritage? (2020) is a site-specific intervention within the vestibule of the former Casa d’Italia in Marseille, inaugurated in 1935 and now housing the Italian Cultural Institute. The installation focuses on the historical and ideological context that the building incarnates: the intensification of Fascist imperial aspirations that culminated in the fascistization of the Italian diaspora and the establishment of the Empire in 1936, as a result of the occupation of Ethiopia. As the League of Nations failed to intervene in a war involving two of its members, the so-called Abyssinian Crisis gave rise to a series of conflicts that eventually led to the WW2: a ‘cascade effect’. On the other hand, the attack on the ‘black man’s last citadel’ (Ras Makonnen), together with the brutality of Italian warfare, caused widespread protests and support to the Ethiopian resistance, especially from Pan-African movements.
Placed by the entrance of the exhibition Rue d’Alger, it includes a prominent and inescapable sound piece featuring collaged extracts from texts by members of the London-based Pan-African association International African Friends of Ethiopia - CLR James, Ras Makonnen, Amy Ashwood Garvey - intertwined with those of British suffragette Sylvia Pankhurst and Italian anarchist Silvio Corio, founders of the newspaper New Times and Ethiopian News in London.
Through handwritten notes and the use of my own voice, the installation is a personal musing on heritage as historical responsibility, based on a self-reflective process. My voice is used to highlight such personal process, its arbitrary choice of sources (related to my position as Italian migrant in London), almost appropriated here as an act of thinking aloud and thinking with these militant voices. Heritage is therefore intended as a choice, questioning its nationalist uses and the everlasting and catastrophic effects of Fascist foreign politics. With its loudness and placement, it wishes to affect the visitors, confronting them with the systemic violence that this Fascist architecture outside Italy embodies and to inhibit the possibility of being seduced by its aesthetic.
"Decolonizziamo le città": il progetto per una riflessione collettiva sulla storia coloniale italiana
Un video dal basso in cui ogni partecipante produce una riflessione attraverso forme artistiche differenti, come l’arte figurativa, la slam poetry, interrogando questi luoghi e con essi “noi” e la storia italiana
Via Eritrea, Viale Somalia, Via Amba Aradam, via Tembien, via Adua, via Agordat. Sono nomi di strade presenti in molte città italiane che rimandano al colonialismo italiano nel Corno d’Africa. Ci passiamo davanti molto spesso senza sapere il significato di quei nomi.
A Padova è nato un progetto che vuole «decolonizzare la città». L’idea è quella di realizzare un video partecipativo in cui ogni partecipante produca una riflessione attraverso forme artistiche differenti, come l’arte figurativa, la slam poetry, interrogando questi luoghi e con essi “noi” e la storia italiana. Saranno coinvolti gli studenti del laboratorio “Visual Research Methods”, nel corso di laurea magistrale “Culture, formazione e società globale” dell’Università di Padova e artisti e attivisti afrodiscendenti, legati alla diaspora delle ex-colonie italiane e non.
«Stavamo preparando questo laboratorio da marzo», racconta Elisabetta Campagni, che si è laureata in Sociologia a marzo 2020 e sta organizzando il progetto insieme alla sua ex relatrice del corso di Sociologia Visuale Annalisa Frisina, «già molto prima che il movimento Black Lives Matter riportasse l’attenzione su questi temi».
Riscrivere la storia insieme
«Il dibattito sul passato coloniale italiano è stato ampiamente ignorato nei dibattiti pubblici e troppo poco trattato nei luoghi di formazione ed educazione civica come le scuole», si legge nella presentazione del laboratorio, che sarà realizzato a partire dall’autunno 2020. «C’è una rimozione grandissima nella nostra storia di quello che ricordano questi nomi, battaglie, persone che hanno partecipato a massacri nelle ex colonie italiane. Pochi lo sanno. Ma per le persone che arrivano da questi paesi questi nomi sono offensivi».
Da qui l’idea di riscrivere una storia negata, di «rinarrare delle vicende che nascondono deportazioni e uccisioni di massa, luoghi di dolore, per costruire narrazioni dove i protagonisti e le protagoniste sono coloro che tradizionalmente sono stati messi a tacere o sono rimasti inascoltati», affermano le organizzatrici.
Le strade «rinarrate»
I luoghi del video a Padova saranno soprattutto nella zona del quartiere Palestro, dove c’è una grande concentrazione di strade con nomi che rimandano al colonialismo. Si andrà in via Amba Aradam, il cui nome riporta all’altipiano etiope dove nel febbraio 1936 venne combattuta una battaglia coloniale dove gli etiopi vennero massacrati e in via Amba Alagi.
Una tappa sarà nell’ex piazza Pietro Toselli, ora dedicata ai caduti della resistenza, che ci interroga sul legame tra le forme di resistenza al fascismo e al razzismo, che unisce le ex-colonie all’Italia. In Italia il dibattito si è concentrato sulla statua a Indro Montanelli, ma la toponomastica che ricorda il colonialismo è molta e varia. Oltre alle strade, sarà oggetto di discussione la mappa dell’impero coloniale italiano situata proprio nel cuore della città, in Piazza delle Erbe, ma che passa spesso inosservata.
Da un’idea di Igiaba Scego
Come ci spiega Elisabetta Campagni, l’idea nasce da un libro di Igiaba Scego che anni fa ha pubblicato alcune foto con afrodiscendenti che posano davanti ai luoghi che celebrano il colonialismo a Roma come la stele di Dogali, vicino alla stazione Termini, in viale Luigi Einaudi.
Non è il primo progetto di questo tipo: il collettivo Wu Ming ha lanciato la guerriglia odonomastica, con azioni e performance per reintitolare dal basso vie e piazze delle città o aggiungere informazioni ai loro nomi per cambiare senso all’intitolazione. La guerriglia è iniziata a Bologna nel quartiere della Cirenaica e il progetto è stato poi realizzato anche a Palermo. Un esempio per il laboratorio «Decolonizzare la città» è stato anche «Berlin post colonial», l’iniziativa nata da anni per rititolare le strade e creare percorsi di turismo consapevole.
Il progetto «Decolonizzare la città» sta raccogliendo i voti sulla piattaforma Zaalab (►https://cinemavivo.zalab.org/progetti/decolonizzare-la-citta-dialoghi-visuali-a-padova), con l’obiettivo di raccogliere fondi per la realizzazione del laboratorio.
▻https://it.mashable.com/cultura/3588/decolonizziamo-le-citta-il-progetto-per-una-riflessione-collettiva-sull
Decolonizzare la città. Dialoghi Visuali a Padova
Descrizione
Via Amba Alagi, via Tembien, via Adua, via Agordat. Via Eritrea, via Libia, via Bengasi, via Tripoli, Via Somalia, piazza Toselli… via Amba Aradam. Diversi sono i nomi di luoghi, eventi e personaggi storici del colonialismo italiano in città attraversate in modo distratto, senza prestare attenzione alle tracce di un passato che in realtà non è ancora del tutto passato. Che cosa significa la loro presenza oggi, nello spazio postcoloniale urbano? Se la loro origine affonda le radici in un misto di celebrazione coloniale e nazionalismo, per capire il significato della loro permanenza si deve guardare alla società contemporanea e alle metamorfosi del razzismo.
Il dibattito sul passato coloniale italiano è stato ampiamente ignorato nei dibattiti pubblici e troppo poco trattato nei luoghi di formazione ed educazione civica come le scuole. L’esistenza di scritti, memorie biografiche e racconti, pur presente in Italia, non ha cambiato la narrazione dominante del colonialismo italiano nell’immaginario pubblico, dipinto come una breve parentesi storica che ha portato civiltà e miglioramenti nei territori occupati (“italiani brava gente”). Tale passato, però, è iscritto nella toponomastica delle città italiane e ciò ci spinge a confrontarci con il significato di tali vie e con la loro indiscussa presenza. Per questo vogliamo partire da questi luoghi, e in particolare da alcune strade, per costruire una narrazione dal basso che sia frutto di una ricerca partecipata e condivisa, per decolonizzare la città, per reclamare una lettura diversa e critica dello spazio urbano e resistere alle politiche che riproducono strutture (neo)coloniali di razzializzazione degli “altri”.
Il progetto allora intende sviluppare una riflessione collettiva sulla storia coloniale italiana, il razzismo, l’antirazzismo, la resistenza di ieri e di oggi attraverso la realizzazione di un video partecipativo.
Esso è organizzato in forma laboratoriale e vuole coinvolgere studenti/studentesse del laboratorio “Visual Research Methods” (corso di laurea magistrale “Culture, formazione e società globale”) dell’Università di Padova e gli/le artisti/e ed attivisti/e afrodiscendenti, legati alla diaspora delle ex-colonie italiane e non.
Il progetto si propone di creare una narrazione visuale partecipata, in cui progettazione, riprese e contenuti siano discussi in maniera orizzontale e collaborativa tra i e le partecipanti. Gli/Le attivisti/e e artisti/e afrodiscendenti con i/le quali studenti e studentesse svolgeranno le riprese provengono in parte da diverse città italiane e in parte vivono a Padova, proprio nel quartiere in questione. Ognuno/a di loro produrrà insieme agli studenti e alle studentesse una riflessione attraverso forme artistiche differenti (come l’arte figurativa, la slam poetry…), interrogando tali luoghi e con essi “noi” e la storia italiana. I partecipanti intrecciano così le loro storie personali e familiari, la storia passata dell’Italia e il loro attivismo quotidiano, espresso con l’associazionismo o con diverse espressioni artistiche (Mackda Ghebremariam Tesfaù, Wissal Houbabi, Theophilus Marboah, Cadigia Hassan, Enrico e Viviana Zorzato, Ilaria Zorzan, Ada Ugo Abara ed Emanuel M’bayo Mertens di Arising Africans). I processi di discussione, scrittura, ripresa, selezione e montaggio verranno documentati attraverso l’utilizzo di foto e filmati volti a mostrare la meta-ricerca, il processo attraverso cui viene realizzato il video finale, e le scelte, di contenuto e stilistiche, negoziate tra i diversi attori. Questi materiali verranno condivisi attraverso i canali online, con il fine di portare a tutti coloro che sostengono il progetto una prima piccola restituzione che renda conto dello svolgimento del lavoro.
Le strade sono un punto focale della narrazione: oggetto dei discorsi propagandistici di Benito Mussolini, fulcro ed emblema del presunto e mitologico progetto di civilizzazione italiana in Africa, sono proprio le strade dedicate a luoghi e alle battaglie dove si sono consumate le atrocità italiane che sono oggi presenze fisiche e allo stesso tempo continuano ad essere invisibilizzate; e i nomi che portano sono oggi largamente dei riferimenti sconosciuti. Ripercorrere questi luoghi fisici dando vita a dialoghi visuali significa riappropriarsi di una storia negata, rinarrare delle vicende che nascondono deportazioni e uccisioni di massa, luoghi di dolore, per costruire narrazioni dove i protagonisti e le protagoniste sono coloro che tradizionalmente sono stati messi a tacere o sono rimasti inascoltati.
La narrazione visuale partirà da alcuni luoghi – come via Amba Aradam e via lago Ascianghi – della città di Padova intitolati alla storia coloniale italiana, in cui i protagonisti e le protagoniste del progetto daranno vita a racconti e performances artistiche finalizzate a decostruire la storia egemonica coloniale, troppo spesso edulcorata e minimizzata. L’obiettivo è quello di favorire il prodursi di narrazioni dal basso, provenienti dalle soggettività in passato rese marginali e che oggi mettono in scena nuove narrazioni resistenti. La riappropriazione di tali luoghi, fisica e simbolica, è volta ad aprire una riflessione dapprima all’interno del gruppo e successivamente ad un pubblico esterno, al fine di coinvolgere enti, come scuole, associazioni e altre realtà che si occupano di questi temi sul territorio nazionale. Oltre alle strade, saranno oggetto di discussione la mappa dell’impero coloniale italiano situata proprio nel cuore della città, in Piazza delle Erbe, e l’ex piazza Toselli, ora dedicata ai caduti della resistenza, che ci interroga sul legame tra le forme di resistenza al fascismo e al razzismo, che unisce le ex-colonie all’Italia.
Rinarrare la storia passata è un impegno civile e politico verso la società contemporanea. Se anche oggi il razzismo ha assunto nuove forme, esso affonda le sue radici nella storia nazionale e coloniale italiana. Questa storia va rielaborata criticamente per costruire nuove alleanze antirazziste e anticolonialiste.
Il video partecipativo, ispirato al progetto “Roma Negata” della scrittrice Igiaba Scego e di Rino Bianchi, ha l’obiettivo di mostrare questi luoghi attraverso narrazioni visuali contro-egemoniche, per mettere in discussione una storia ufficiale, modi di dire e falsi miti, per contribuire a dare vita ad una memoria critica del colonialismo italiano e costruire insieme percorsi riflessivi nuovi. Se, come sostiene Scego, occupare uno spazio è un grido di esistenza, con il nostro progetto vogliamo affermare che lo spazio può essere rinarrato, riletto e riattraversato.
Il progetto vuole porsi in continuità con quanto avvenuto sabato 20 giugno, quando a Padova, nel quartiere Palestro, si è tenuta una manifestazione organizzata dall’associazione Quadrato Meticcio a cui hanno aderito diverse realtà locali, randunatesi per affermare la necessita’ di decolonizzare il nostro sguardo. Gli interventi che si sono susseguiti hanno voluto riflettere sulla toponomastica coloniale del quartiere Palestro, problematizzandone la presenza e invitando tutti e tutte a proporre alternative possibili.
►https://cinemavivo.zalab.org/progetti/decolonizzare-la-citta-dialoghi-visuali-a-padova
Je me demande comment j’ai jamais entendu Emel avant aujourd’hui. Bon la chanson c’est pas ce que j’écoute le plus et la chanson arabe encore moins, mais quand même, elle est un peu connue…
Holm
▻https://www.youtube.com/watch?v=d2SNX3bfYKw
Super connue, donc, pour son morceau Kelmti Horra qui fut l’hymne de la révolution du printemps tunisien, quand même…
▻https://www.youtube.com/watch?v=zKcGgYnm6Bs
Naci en Palestina
▻https://www.youtube.com/watch?v=NQFNcfUygqA
Et donc je l’ai entendu, avec toujours une voix incroyable, pendant ce live organisé chez #FIP :
▻https://www.radiofrance.fr/fip/podcasts/live-a-fip/concert-live-session-unik-2022-6950948
Celle là aussi : Horizon
▻https://www.youtube.com/watch?v=dSB9ly7te6E
GB : 18 mois de prison pour un homme qui refuse d’accorder le divorce juif à sa femme Times of Israel Staff
▻https://fr.timesofisrael.com/gb-18-mois-de-prison-pour-un-homme-qui-refuse-daccorder-le-divorce
Pour la première fois au Royaume Uni, un tribunal anglais a condamné vendredi un homme d’affaires juif à 18 mois de prison pour avoir refusé d’accorder à sa femme le divorce religieux.
Alan Moher, 57 ans, et sa femme Caroline se sont séparés en 2016 après 20 ans de mariage. Le couple, qui a trois enfants, a obtenu un divorce civil en 2019.
Cependant, le propriétaire de la société immobilière de Manchester a refusé d’accorder à sa femme un guet, que la loi juive exige d’accorder librement sans coercition et qui l’empêche de se remarier jusqu’à ce qu’il le fasse.
C’était la première fois qu’une personne qui refusait d’accorder un guet – l’acte de divorce religieux juif– était reconnue coupable d’une telle accusation par un tribunal anglais, selon le Jewish Chronicle.
« Vous avez cherché à la manipuler et à la contrôler tout en sachant que cela aurait un impact considérable sur sa santé mentale et, à certains égards, également sur sa santé physique », a déclaré le juge Martin Beddoe à Moher, selon la BBC.
Parmi les accusations portées contre Moher, il y avait celle d’avoir utilisé « des violences psychologiques et émotionnelles » et « d’avoir menacé sa femme », qui a salué la décision.
« À ceux qui ont contraint et contrôlé émotionnellement, blessé physiquement et déshumanisé leurs conjoints – la loi ne vous permettra pas de vous en sortir », a-t-elle déclaré.
« A toutes les victimes, vous n’êtes pas seules, et la justice et l’humanité sont de votre côté », a-t-elle ajouté. « Je vous exhorte à ne pas rester silencieuses, et à vous battre pour votre liberté. »
Dans une précédente décision de justice, Moher avait été condamné ▻https://fr.timesofisrael.com/gb-un-homme-contraint-de-payer-une-prestation-compensatoire-jusqua à continuer à verser à sa femme une prestation compensatoire jusqu’à ce qu’il lui accorde le guet.
#femmes #guet #divorce #divorce_religieux #femme #violence #mariage #couple #religions #judaïsme #divorce_juif #Angleterre
Le groupe d’Eglises pentecôtistes Hillsong est au bord de la rupture Laurence Villoz/vajo
▻https://www.rts.ch/info/monde/12981576-le-groupe-deglises-pentecotistes-hillsong-est-au-bord-de-la-rupture.htm
La méga-Eglise Hillsong, présente aussi en Suisse, traverse actuellement sa plus grave crise. Neuf des seize membres américains ont annoncé leur départ du groupe. La semaine dernière, son fondateur Brian Houston démissionnait après des plaintes déposées par deux femmes pour comportements déplacés.
Ces plaintes s’ajoutent à des accusations qui avaient déjà valu à ce pasteur de se mettre en retrait. Brian Houston a en effet été inculpé en août dernier par la justice australienne. Il avait été soupçonné d’avoir dissimulé des abus sexuels commis par son père, également pasteur et décédé en 2004.
Le groupe d’Eglises avait déjà été fragilisé en 2020 par la révélation et la démission du pasteur de Hillsong à Dallas, accusé de viol.
Au cours des deux dernières semaines, Hillsong a perdu neuf de ses seize campus américains. Il s’agit d’un déclin stupéfiant pour l’une des Eglises évangéliques les plus influentes au monde.
Implantée à Genève et Zurich
L’Eglise Hillsong, très connue pour ses chants et ses célébrations pop rock, a été créée dans les années 1980 en Australie, avant de se développer dans vingt-trois pays : aux Etats-Unis, en France, en Allemagne. En Suisse, elle est présente à Genève et à Zurich.
Pour le pasteur Sam Collier, à Atlanta, qui vient de retirer son Eglise du groupe Hillsong, ce sont les scandales, les défis, la pression médiatique qui l’ont poussé à faire ce choix. Sa décision est partagée par les membres de son Eglise qui ne voulaient plus être associés à ce groupe.
Institution décrite comme toxique
L’affaire a été amplifiée par la sortie en mars d’un documentaire explosif qui dépeint Hillsong comme une institution toxique obsédée par l’image, par le contrôle et par la croissance à tout prix.
Le groupe Hillsong, qui était encore en pleine expansion il y a quelques années, n’est pas menacé, mais son déclin rapide n’est pas anodin. Pour le directeur du Centre Billy Graham dans l’Illinois Ed Stetzer, « ce bouleversement aura des répercussions sur l’existence d’Hillsong, mais aussi sur le mouvement évangélique dans le monde entier ».
Et aussi sur wikipédia : ▻https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Hillsong
#évangélistes #Hillsong #pentecôtistes #églises #chorales #chanson #abus_sexuels #intimidation #pédophilie #religion #Hillsong
Un important promoteur immobilier se fait agresser et dérober sa montre de 350.000 euros à Ostende Joyce Azar, Belga
▻https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2022/04/03/un-important-promoteur-immobilier-se-fait-agresser-et-derober-sa
Le promoteur immobilier Bart Versluys a été agressé vendredi soir à Ostende.
Les malfrats ont mis la main sur la montre de la victime, estimée à 350.000 euros.
L’information a été confirmée par la police locale et le parquet de Flandre occidentale.
Bart Versluys, connu pour plusieurs projets immobiliers d’envergure, comme la reprise de l’hôtel de luxe La Réserve à Knokke, avec Marc Coucke, a été attaqué par deux individus vers 18h45 dans la Zandvoordestraat.
Les agresseurs ont exhibé une arme et un spray au poivre a été utilisé.
La victime a été frappée et dépouillée de sa montre.
L’enquête est en cours. De son côté, Bart Versluys lui-même a promis une récompense à toute personne pouvant fournir une information sur les auteurs.
#montres #richesse #nomenklatura #Belgique #richesse #inégalités #capitalisme #riches #Ostende #réappropriation #obscénité
NDR : On va pas en pleurer
1er avril, adieu le masque letemps.ch
© Chappatte dans Le Temps
Le koraïste Ablaye Cissoko s’associe à l’instrumentiste itinérant Cyrille Brotto sur un Instant
▻https://pan-african-music.com/ablaye-cissoko-cyrille-brotto
L’un des plus grands ambassadeurs de la kora, le musicien et chanteur sénégalais Ablaye Cissoko, s’associe au polyinstrumentiste itinérant Cyrille Brotto. Ici, c’est l’accordéon que le français a choisi pour accompagner le jeu voluptueux du griot. Ils ont immortalisé leur rencontre musicale à travers dix titres qui forment un album, Instant, dont la sortie est prévue le 6 mai prochain.
▻https://www.youtube.com/watch?v=zx50whlmHHo
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Le goût du la
▻https://ricochets.cc/Le-gout-du-la-5763.html
Le goût du la, c’est un festival où la musique classique envahit les rues et les ruelles, anime le coeur du village et la place du marché, surprend les passants, les enfants, les touristes, et invite à se laisser porter le temps d’une mélodie, d’un concert en plein air, d’un atelier. La musique classique quitte son image « classique » pour devenir source de fête, de rencontres, de découvertes. Au programme : Vendredi 29 avril : Lancement des festivités 18h30 au Temple : apéro en musique 20h au Temple : (...) #Les_Articles
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