city:atlanta

  • “The crucial question concerning capital punishment is not whether people deserve to die for the crimes they commit, but rather whether we deserve to kill.”

    A Presumption of Guilt
    http://www.nybooks.com/articles/2017/07/13/presumption-of-guilt

    “Late one night several years ago, I got out of my car on a dark midtown Atlanta street when a man standing fifteen feet away pointed a gun at me and threatened to “blow my head off.” I’d been parked outside my new apartment in a racially mixed but mostly white neighborhood that I didn’t consider a high-crime area. As the man repeated the threat, I suppressed my first instinct to run and fearfully raised my hands in helpless submission. I begged the man not to shoot me, repeating over and over again, “It’s all right, it’s okay.”

    The man was a uniformed police officer. As a criminal defense attorney, I knew that my survival required careful, strategic thinking. I had to stay calm. I’d just returned home from my law office in a car filled with legal papers, but I knew the officer holding the gun had not stopped me because he thought I was a young professional. Since I was a young, bearded black man dressed casually in jeans, most people would not assume I was a lawyer with a Harvard Law School degree. To the officer threatening to shoot me I looked like someone dangerous and guilty.

    I had been sitting in my beat-up Honda Civic for over a quarter of an hour listening to music that could not be heard outside the vehicle. There was a Sly and the Family Stone retrospective playing on a local radio station that had so engaged me I couldn’t turn the radio off. It had been a long day at work. A neighbor must have been alarmed by the sight of a black man sitting in his car and called the police. My getting out of my car to explain to the police officer that this was my home and nothing criminal was taking place prompted him to pull his weapon.

    Having drawn his weapon, the officer and his partner justified their threat of lethal force by dramatizing their fears and suspicions about me. They threw me on the back of my car, searched it illegally, and kept me on the street for fifteen humiliating minutes while neighbors gathered to view the dangerous criminal in their midst. When no crime was discovered and nothing incriminating turned up in a computerized background check on me, I was told by the two officers to consider myself lucky. While this was said as a taunt, they were right: I was lucky.”

  • To a Cigarette Maker, Your Life Is Worth About $10,000 - Facts So Romantic
    http://nautil.us/blog/to-a-cigarette-maker-your-life-is-worth-about-10000

    Since there is one death for every million cigarettes sold (or smoked), a tobacco manufacturer will make about $10,000 for every death caused by their products.Illustration by Raxon Rex / FlickrIf you had to put a price on your life, what cash amount do you think it would be? What about $100,000? That was the amount, last June, that a group of kidnappers in Atlanta demanded in exchange for a woman’s life. Not high enough? Well, in a statistical sense, certain government agencies value a human life significantly more. In 2010, for example, both the Environmental Protection Agency and the Food and Drug Administration put a price on human life: $9.1 million (in proposing stricter air pollution regulations) and $7.9 million (in proposing new cigarette warning labels), respectively. On its (...)

  • 13 villes publient les infos sur le climat purgées par l’administration Trump | tech and berries
    http://clesnes.blog.lemonde.fr/2017/06/15/13-villes-publient-les-infos-sur-le-climat-purgees-par-ladminis

    Mais toutes les statistiques ne sont pas perdues. Depuis le 11 juin, 12 municipalités ont pris le relais. Comme l’avait fait Chicago début mai, ces localités (Atlanta, Boston, Evanston, Fayetteville, Houston, Milwaukee, New Orleans, Philadelphia, Portland, Seattle, and Saint. Louis) ont posté sur leur site officiel les pages que l’EPA avait reléguées aux archives numériques avec une mise en garde : « Ce site n’est plus mis à jour ». (https://19january2017snapshot.epa.gov/climatechange_.html).

    « Les Américains ont droit aux recherches de l’#EPA sur le #climat financées sur fonds publics, a expliqué Ed Lee, le maire de San Francisco. A l’heure où le gouvernement fédéral continue à nuire aux progrès réalisés sur le climat, les villes prennent position. San Francisco continuera à prendre des mesures énergiques pour protéger ses habitants et la planète ».
    La ville de San Francisco s’est engagée à générer 50 % de l’énergie consommée en renouvelables d’ici 2020 et 100 % dix ans plus tard. Cela dit, elle est confrontée à nouvelle réalité : l’afflux de voitures Lyft et Uber, qui viennent de toute la région profiter de la manne de la Silicon Valley, met en danger les progrès accomplis dans la réduction de la pollution…

    Les 13 villes publient les pages purgées (https://www.boston.gov/news/making-climate-change-data-accessible), dans leur exacte forme initiale (http://epaclimatechange.sfgov.org), en reprenant les données diffusées en #open_source par le département d’innovation de la ville de Chicago (https://www.ecowatch.com/climate-change-is-real-website-2440285898.html).

    #information #censure #résistance

  • Atlanta , de Donald Glover | Les Indigènes de la République
    http://indigenes-republique.fr/atlanta-de-donald-glover

    Le cadre étant posé, l’intérêt de la #série se manifeste par la très grande diversité des objets abordés, bien qu’effleurés : les rapports de la #police à la folie, les transformations chirurgicales des corps (sexe ou race), l’#homosexualité, les rapports femmes/hommes, le rap, les aspirations professionnelles, la #pauvreté, la drogue, les armes à feu, la mémoire… La force de ces thématiques réside dans le fait qu’elles ne sont jamais pensées par le scénariste comme des éléments indépendants mais comme nécessairement intersectionnelles ; et la force de cette #intersectionnalité tire ses origines d’une capacité à toujours joindre à ces thématiques les qualificatifs “afro-américain” et/ou “noir”. Autrement dit, le scénariste Donald Glover semble attacher une grande importance à présenter une diversité des problèmes rencontrés à Atlanta et aux États-Unis, tout en ne perdant jamais de vue un objectif essentiel : parler des Noirs.

  • #Domani n’est pas qu’un « fils de »
    http://www.swampdiggers.com/Domani-n-est-pas-qu-un-fils-de

    Le mois dernier, Marquise Jackson faisait du bruit sur les sites people, lorsqu’il lâchait son tout premier balbutiement musical sur SoundCloud. Profitant ainsi de son statut de fils de 50Cent (et de son envie de tuer le père) pour faire du bruit dans le vide. Tandis que pendant le même temps, un autre enfant de star du rap, plus jeune, plus sobre et plus talentueux, en profitait pour commencer la promo de son (déjà) second projet. Ce gosse, c’est Domani. Lui, il vient d’Atlanta. Le meilleur (...)

    #Focus

    / Domani, #T.I, #London_on_da_track, #MP808, #Bankroll_Mafia, #London_Jae, #Atlanta, #Focus, #Portraits, Domani (...)

    #Domani_Harris
    « http://www.livemixtapes.com/mixtapes/40491/domani-the-process.html »
    « https://genius.com/artists/Domani-harris »
    « http://purebakingsoda.fr/?p=1931 »

  • Etats-Unis : Clear propose la biométrie dans 22 aéroports
    http://www.businesstravel.fr/etats-unis-clear-propose-la-biometrie-dans-22-aeroports.html

    Les contrôles de sécurité accélérés sont un devenus un véritable Business aux Etats-Unis : le leader du marché Clear, espère compter 4 autres aéroports dans son offre dans les prochains mois selon Bloomberg… La société Clear a proposé dans on offre l’aéroport Kennedy International de New York en janvier 2017 et prévoit de proposer l’aéroport de LA Guardia, d’Atlanta Hartsfield Jackson, de Los Angeles International et de Minneapolis St Paul d’ici avril (...)

    #Clear #biométrie #iris #voyageurs #surveillance

    ##voyageurs

  • Les scientifiques américains entrent en résistance contre l’administration Trump

    http://www.lemonde.fr/planete/article/2017/01/28/aux-etats-unis-la-science-en-resistance-contre-l-administration-trump_507048

    Les agences fédérales liées à la recherche sont réduites au silence ou soumises à un contrôle politique tatillon. Une Marche pour la science est prévue bientôt à Washington pour protester.

    Si l’initiative s’avère couronnée de succès, l’histoire retiendra qu’elle a commencé comme une simple conversation sur le site Internet Reddit. Le 21 janvier, quelques internautes discutent, sur ce réseau social, de l’organisation d’une Marche pour la science – à l’image de la Marche des femmes, qui a rassemblé plusieurs centaines de milliers de manifestants à Washington, au lendemain de l’investiture de Donald Trump.

    Six jours plus tard, vendredi 27 janvier, le mouvement avait son logo et son site, comptait près de 230 000 abonnés à ses comptes Facebook et Twitter, et annonçait que la date de la manifestation serait arrêtée dans les prochains jours.

    En une semaine, l’administration qui s’est installée à Washington a largement contribué à cette mobilisation des scientifiques. Plusieurs événements ont mis le feu aux poudres.
    Dès le 23 janvier, des informations de presse ont fait état du gel des financements accordés par l’Agence de protection de l’environnement (EPA) – contributions aux travaux de recherche soutenus par l’agence, bourses de thèse, participation à des projets de dépollution, etc.

    Gel des subventions

    L’institution – à la fois agence d’expertise et ministère de l’environnement – doit être confiée à Scott Pruitt. Lorsqu’il était procureur général de l’Oklahoma, ce dernier, climatosceptique déclaré, a poursuivi à quatorze reprises l’agence dont il doit prendre la tête, selon le décompte du New York Times. A chaque fois, il contestait les décisions de l’EPA lors de ses contentieux avec des industriels.
    En attendant le vote du Sénat confirmant l’arrivée de M. Pruitt à la tête de l’EPA, un mémo interne obtenu par le Huffington Post indique que la direction de la communication de l’agence a promulgué des restrictions drastiques à son personnel. Et ce, « jusqu’à ce que des directives soient reçues de la nouvelle administration » : « Aucun communiqué de presse ne sera publié vers l’extérieur », « aucune publication sur les réseaux sociaux ne sera publiée », ni « aucun billet de blog », « aucun nouveau contenu ne sera déposé sur aucun site Web » maintenu par l’agence, etc.

    Le mémo ajoute qu’un « conseiller en stratégie numérique rejoindra [l’agence] pour superviser les médias sociaux », précisant que « le contrôle des comptes » des personnels de l’agence « devrait être plus centralisé » à l’avenir. Les comptes Twitter officiels de l’EPA sont muets depuis le 19 janvier.


    Myron Ebell, chargé par Donald Trump de superviser la transition à la tête de l’EPA, prévoit des coupes dans les effectifs et le budget de cett agence.

    Selon Myron Ebell, haut responsable du Competitive Enterprise Institute (un think tank financé par des intérêts industriels) et chargé par Donald Trump de superviser la transition à la tête de l’EPA, un tel gel des subventions accordées par l’agence n’est pas sans précédent. « Ils essaient de geler les choses pour être sûrs qu’il ne se produit rien qu’ils ne veulent pas voir se produire, a-t-il déclaré à ProPublica. Ils veulent être sûrs de pouvoir viser les réglementations en cours, les contrats, les subventions, les embauches avant qu’ils ne soient effectifs. »

    Contrôle étroit

    Pour peu que ce gel soit temporaire, il serait « une pratique similaire à ce que des administrations précédentes ont fait pendant la période de transition », confirme le physicien Rush Holt, patron de l’American Association for the Advancement of Science (AAAS), la société savante éditrice de la revue Science. « Cependant, ajoute-t-il, le niveau d’anxiété est tel qu’il faut faire éclater les ballons d’essai, avant qu’ils ne deviennent une politique permanente. »

    Tout au long de la semaine écoulée, d’autres institutions fédérales étroitement connectées au monde de la recherche se sont révélées soumises à un contrôle étroit. Un mémo interne des National Institutes of Health (NIH), révélé le 24 janvier par une société savante (l’American Society for Biochemistry and Molecular Biology), précise que les employés de l’institution de recherche biomédicale ne sont en outre pas autorisés, jusqu’à nouvel ordre, à répondre aux sollicitations de parlementaires.

    Des départements du ministère de l’agriculture (USDA) dévolus à la recherche agronomique ont également été sujets à de semblables contraintes, mais l’USDA a déclaré que le mémo interne dévoilé par la presse avait été envoyé par erreur.

    En une semaine, une dizaine de comptes Twitter ont ainsi été créés pour remplacer les comptes des agences fédérales réduites au silence ou à un contrôle politique tatillon. Le compte « alternatif » de l’EPA (@altUSEPA), créé le 25 janvier, comptait 185 000 abonnés deux jours plus tard ; le compte « renégat » de la NASA (@RogueNASA), créé le même jour, avait de son côté 625 000 abonnés. Impossible, toutefois, de savoir si ces fils Twitter sont bel et bien, comme ils prétendent l’être, alimentés par des employés de ces agences fédérales entrés « en résistance ».

    Des sociétés savantes sortent de leur réserve

    Le 24 janvier, la découverte que des Tweet anodins sur le changement climatique, émis par le compte du parc national des Badlands (Dakota du Sud), avaient été effacés a suscité un émoi considérable sur les réseaux sociaux. Mais, selon des sources internes au parc, citées par le Washington Post, la suppression de ces messages aurait été décidée en interne, sans pressions extérieures.

    D’autres révélations ont jeté plus de trouble encore. La veille, le Washington Post révélait que, deux semaines plus tôt, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) annulaient discrètement et sans explications une conférence internationale prévue pour se tenir en février à Atlanta, sur le thème du changement climatique et de la santé…

    Mais une société savante, l’American Public Health Association, a déclaré, le 27 janvier, qu’elle prendrait le relais des CDC et organiserait l’événement sans recourir à des fonds fédéraux. Les CDC n’ont pas répondu aux sollicitations du Monde.

    Plusieurs grandes sociétés savantes sortent ainsi de leur réserve. Le 26 janvier, Christine McEntee, directrice exécutive de l’American Geophysical Union (AGU) qui rassemble 60 000 chercheurs internationaux en sciences de la terre, écrivait à la direction intérimaire de l’EPA (nommée en attendant la validation de M. Pruitt par le Sénat) son « inquiétude à propos des directives de l’agence pour faire cesser les communications avec le public ». « Nous sommes préoccupés par le fait que ces directives bafouent les principes d’intégrité et de transparence de la recherche, poursuivait Mme McEntee. Cela pourrait même violer les règles d’intégrité scientifique de votre propre agence. »
    « La communauté scientifique hautement préoccupée »

    Outre la liberté de communiquer leurs résultats, des scientifiques employés par des agences ou des laboratoires fédéraux craignent surtout pour la sauvegarde de données scientifiques cruciales à la poursuite de leur activité de recherche.

    « Peu après l’élection de novembre 2016, des scientifiques ont commencé à télécharger et à archiver une variété de données sur le changement climatique, et à les stocker sur des sites d’archivage comme WayBackMachine », raconte Rush Holt. Selon lui, l’inquiétude est telle que des entreprises de fourniture de gaz ou d’électricité archivent elles aussi, « par prudence extrême », de telles données de crainte qu’elles ne soient bientôt plus accessibles.

    Jusqu’à présent, rien n’a semble-t-il été effacé des serveurs tenus par des agences fédérales. « Le Canada a récemment montré que des bases de données scientifiques pouvaient être détruites, dit le patron de l’AAAS. En 2014, le gouvernement [de Stephen Harper] a fermé un grand nombre de bibliothèques scientifiques et a détruit les archives qu’elles contenaient. C’est à cause de ces précédents que la communauté scientifique est hautement préoccupée des premières mesures de l’administration Trump et de ce qu’elles signifient pour l’intégrité future de l’information scientifique. »

  • Obama-Sherman et sa “terre brûlée”
    http://www.dedefensa.org/article/obama-sherman-et-sa-terre-brulee

    Obama-Sherman et sa “terre brûlée”

    C’est manifestement Infowars.com qui a trouvé la meilleure illustration en plaçant le visage d’Obama sur la fameuse photo du général Sherman en uniforme nordiste, avec sa chevelure à la diable, nettement hérissé et le général-massacreur des armées du Nord comme tombé du lit pour massacrer du Sudiste ; avec cette chevelure un peu comme la mode postmoderne du cheveu hérissé, – ou “look hérissé”, ou “spiky hair”. Le montage est fait pour illustrer d’une façon symbolique la “politique de la terre brûlée” (scorched earth) qui fit la grandeur morale et la gloire humaniste du général nordiste, avec sa “Marche vers la Mer” de Atlanta à Savannah, à propos de laquelle il précisait respectueusement à son supérieur (Grant) qu’il ferait “hurler la Géorgie”. C’est cette politique, très dans le (...)

  • Ottorino Respighi - Gli uccelli / Les Oiseaux / The Birds

    Je suis pas sur que vous ayez entendu les coucous de la suite les oiseaux de notre ami Respighi. Et la·le premier·e qui dit que c’est de la musique légère, le le carbonise !

    https://www.youtube.com/watch?v=q6H8XmOAHGA

    Ottorino Respighi (1879-1936), Italia

    – Gli uccelli / Les Oiseaux / The Birds
    (Suite per piccola orchestra)

    I. Preludio / Prelude / Prélude (Bernardo Pasquini)
    II. La colomba / La Colombe / The Dove (Jacques Gallot)
    III. La gallina / La Poule / The Hen (Jean-Philippe Rameau)
    IV. L’usignuolo / Le Rossignol / The Nightingale
    V. Il cucù / Le Coucou / The Cuckoo (Bernardo Pasquini)

    Atlanta Symphony Orchestra
    Louis Lane

  • Renaud Piarroux, le médecin qui a tenu tête à l’ONU

    http://www.lemonde.fr/sciences/article/2016/08/29/renaud-piarroux-le-medecin-qui-a-tenu-tete-a-l-onu_4989439_1650684.html

    Lorsqu’il se rend à Haïti, en novembre 2010, où vient de se déclarer la pire épidémie de choléra des dernières décennies au niveau mondial, sur une île qui n’en a jamais connu, le professeur Renaud Piarroux pense qu’il part lutter contre le fléau. Mais, durant six ans, ce spécialiste des maladies infectieuses et tropicales à l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille va être en butte à un autre adversaire que Vibrio cholerae, inattendu celui-ci : l’Organisation des Nations unies (ONU) et ses agences ­sanitaires, Organisation mondiale de la santé (OMS) comprise.

    Le médecin marseillais, 55 ans, sort cet été glorieux de son combat ­contre les tentatives d’étouffement de son rapport « Comprendre l’épidémie de choléra en Haïti », remis aux autorités françaises et haïtiennes, le 30 novembre 2010, et publié six mois plus tard dans la revue scientifique du Centre pour le contrôle et la prévention des ­maladies (CDC) d’Atlanta. Le Monde avait été le premier à rendre public ce document.

    Le 18 août, Farhan Haq, porte-parole adjoint de l’ONU, a en effet reconnu, du bout des lèvres, la responsabilité de son organisation dans le déclenchement de cette épidémie qui a touché 800 000 Haïtiens et fait 10 000 morts. Dès novembre 2010, avec ses armes scientifiques, la biologie moléculaire, les cartes de l’épidémie, son enquête sur le terrain, Renaud Piarroux avait débusqué le coupable.

    « Gérer ainsi les sanitaires dans un pays aussi vulnérable, c’est une circonstance aggravante »

    Missionné par l’ambassade de France à Haïti, le French doctor-détective prouve rapidement que l’épidémie a été provoquée par la gestion déplorable de l’ONU des sanitaires d’un camp de la Mission des Nations unies pour la stabilisation en Haïti (Minustah) qu’ont occupé 400 casques bleus népalais, sur un affluent du fleuve Artibonite. A la mi-octobre, une quantité énorme de matières fécales contenues dans une fosse a été déversée, contaminant le fleuve jusqu’à son delta et les circuits d’irrigation des rizières. « Gérer ainsi les sanitaires dans un pays aussi vulnérable, c’est une circonstance aggravante, déplore le médecin. C’est une vraie bombe qui explose alors. On n’a jamais vu une épidémie comme celle-là, avec plusieurs centaines de cas par jour. Mais une autre faute consiste à monter rapidement une entreprise de dissimulation et de mystification. »

    Dans son bureau de chef du service de parasitologie et mycologie de l’hôpital de la Timone, dont les murs accueillent de vieilles planches médicales sur le kyste hydatique ou le Taenia saginata, Renaud Piarroux fait défiler les cartes de l’OMS et du Bureau de la coordination des affaires humanitaires du secrétariat des Nations unies, retraçant la propagation de l’épidémie. Sur toutes, à l’exception de la première diffusée le 22 octobre 2010, le foyer de départ a disparu, laissant supposer que l’épidémie s’est développée dans le delta. Sur les registres de l’infirmerie du camp népalais, on ne retrouve pas la moindre trace d’une diarrhée alors que des travailleurs haïtiens évoquent des soldats malades et témoignent de conditions sanitaires particulièrement mauvaises.

    « Un gros bosseur »

    Six ans durant, Renaud Piarroux va affronter une controverse scientifique. Face à lui : un panel d’experts indépendants nommé en 2011 par Ban Ki-moon, secrétaire général des Nations unies. L’examen par des scientifiques danois, américains et népalais du génome des souches Vibrio cholerae, la bactérie du choléra, isolées au Népal et en Haïti, démontre une totale similitude. « C’est comme si le coupable était confondu par son ADN », assure le docteur Piarroux. Mais, emboîtant le pas aux théories de Rita Colwell (université du Maryland), la papesse du monde scientifique en matière de choléra, les experts de l’ONU expliquent l’épidémie par des facteurs environnementaux propres à Haïti : saison chaude, développement du plancton, ouragan, séisme… « Ma force, c’est la rigueur scientifique, oppose Renaud Piarroux. Si mon raisonnement avait eu la moindre faille, avec tout ce qui a été entrepris pour le démonter, ils y seraient parvenus. »
    Ce combat scientifique, relaté dans Deadly River (ILR Press, 320 pages, non traduit), n’étonne pas le professeur Henri Dumon, auquel Renaud Piarroux a succédé, en 2008, à la tête du laboratoire marseillais.

    L’ancien patron loue sa ténacité : « C’est un gros bosseur mais pas le nez dans les bouquins. Quand un élève dépasse le maître à ce niveau-là, j’en suis ravi. » Bel hommage à cet ancien étudiant en pédiatrie qui avait fait le choix de suivre en parallèle des diplômes en médecine tropicale et en parasitologie. Sans ancrage régional, Renaud Piarroux, fils d’un père artisan peintre et d’une mère médecin en anatomo-pathologie dans un laboratoire pharmaceutique, a, pour ses études de médecine, fait le choix de Marseille « par hasard », son épouse y suivant les siennes en ophtalmologie.

    C’était un « rêve de gosse » : devenir médecin pour sauver les enfants africains des épidémies. Les premiers qu’il a sauvés sont des bébés rwandais sous les tentes d’un camp de réfugiés, près de Goma, en 1994, au Zaïre. Seul pédiatre sur le terrain, il luttait contre le choléra, la méningite, la shigellose, mais, chaque matin, il découvrait quelques petits corps, empapillotés dans un tissu, posés au bord de la route dans l’attente de leur « collecte ».

    Combat scientifique pour la vérité

    Vingt-deux ans plus tard, ses yeux se noient toujours de larmes à l’évocation de ce souvenir. C’est en allant voir comment étaient traités ces petits orphelins qu’il a compris : ils étaient alignés côte à côte sur des lits Picot, se contaminant les uns les autres, nourris avec une bouillie de haricots. « Il fallait des couches et du lait, comme pour les bébés européens. C’est ce qu’on a fait et la mortalité a disparu. Cela m’a donné une vision plus large de la médecine, et m’a conduit à analyser la dynamique des épidémies. »

    Le choléra devient son ennemi. Même lorsque, de 1996 à 2008, il dirige à Besançon le laboratoire de parasitologie, une discipline loin d’être au premier plan en Franche-Comté – « c’est comme chasser le tigre sur les Champs-Elysées », s’amuse-t-il. Renaud Piarroux mène avec succès des recherches sur des maladies locales, se rend dans les fermes pour comprendre que la « maladie du poumon de fermier » provient des moisissures du foin lorsqu’il est stocké humide. Il conduit une enquête sur l’échinococcose alvéolaire, et sur la transmission à l’homme d’un minuscule ver présent dans l’intestin des renards qui détruit le foie humain aussi sûrement qu’un cancer. Ce Sherlock Holmes lancé à la poursuite des bactéries et parasites a une méthode d’enquête : l’éco-épidémiologie. Il s’agit de comprendre l’environnement dans lequel se développe une maladie, de travailler avec les populations.

    « J’ai du mal à obéir lorsque je ne suis pas d’accord avec la façon dont les choses sont gérées »

    Lors d’une mission humanitaire à Foumbouni (Comores), 2 500 euros lui suffisent pour juguler une épidémie naissante de choléra : il achète l’essence pour les tout jeunes comités d’hygiène et de prévention et, dans les villages, il réunit les chefs de famille pour expliquer la nécessité de chlorer les citernes dans lesquelles ils récupèrent l’eau de pluie…

    A l’automne, Renaud Piarroux quittera Marseille pour rejoindre la Pitié-Salpêtrière, à Paris. Ce médecin au caractère forgé n’adhère pas au projet d’institut hospitalo-universitaire, la Fondation Méditerranée Infection du professeur Didier Raoult. « J’ai du mal à obéir lorsque je ne suis pas d’accord avec la façon dont les choses sont gérées. » Tout en poursuivant ses recherches en parasitologie et mycologie, Haïti et le choléra, dont l’épidémie reprend régulièrement, restent sa préoccupation. Avec l’Unicef, il travaille à la rédaction d’un projet d’élimination du choléra sur l’île. Exsangues financièrement, les acteurs de la lutte contre cette épidémie, sur place, espèrent maintenant que les fautifs auront à cœur d’aider à éradiquer le vibrion dans ce pays, l’un des plus pauvres du monde.

    Le 1er septembre, à l’université de Californie à Los Angeles (UCLA), Renaud Piarroux ­racontera son combat scientifique pour la ­vérité sur l’origine de l’épidémie de choléra en Haïti. S’il reconnaît une « part de militantisme » dans son travail, celui-ci est toujours demeuré scientifique car « l’adversaire, dit-il, ce n’est ­jamais l’ONU, c’est le choléra. Mais il a parfois des alliés, et il faut le dire… ».

  • The Unique Neurology of the Sports Fan’s Brain - Issue 39: Sport
    http://nautil.us/issue/39/sport/the-unique-neurology-of-the-sports-fans-brain

    Sports fans aren’t typically in the mood for academic research in the minutes before a big game. But Paul Bernhardt, an aspiring young behavioral scientist at Georgia State University, was determined. Armed with a bag of sterile vials, Bernhardt inched through the crowd at Atlanta’s Omni arena, politely asking anyone decked out in either University of Georgia or Georgia Tech basketball garb—the teams that were set to battle that evening—for a bit of saliva. The year was 1991. Fans of the Bulldogs and the Yellow Jackets, the state’s two most renowned collegiate sports institutions, had been hating each other’s guts since 1893, a rivalry affectionately known as COFH: Clean, Old-Fashioned Hate. (Yes, sports rivalries can have names; COFH is historically significant enough to have a 5,000-plus (...)

  • These asylum-seekers are being forced to raise their kids in immigration ’jails’

    When Maria was detained by immigration officers, she was relieved that at least her children would stay safe with her sister in Atlanta after they deported her.

    http://cdn1.pri.org/sites/default/files/styles/story_main/public/story/images/PRI04-web-cropped.jpg?itok=U65n4hC7
    http://www.pri.org/stories/2016-07-07/these-asylum-seekers-are-being-forced-raise-their-kids-immigration-jails

    #enfants #enfance #détention_administrative #rétention #asile #migrations #réfugiés #USA #Etats-Unis #femmes

  • Pulse nightclub shooting and tragic history of violence at LGBTQ clubs in U.S.
    http://www.slate.com/blogs/outward/2016/06/12/pulse_nightclub_shooting_and_tragic_history_of_violence_at_lgbtq_clubs_in.htm

    The mass shooting at Orlando’s LGBT nightclub Pulse, which left at least 50 dead, is only the latest chapter in a long history of violence at LGBTQ bars and clubs in America. In fact, for as long as LGBTQ people have been congregating in their own social spaces, these spaces have been the target of vicious homophobic and transphobic violence.

    Until the Pulse massacre, the most notorious act of violence against a gay bar was the burning of the UpStairs Lounge, a New Orleans gay bar, in 1973. An arsonist set fire to the bar, killing 32 people in less than 20 minutes. The vast majority of politicians declined to comment on the arson, and the Catholic Archbishop of New Orleans did not offer support to the victims. (The Archdiocese apologized for its silence in 2013.) Many news outlets ignored the story; some of those that did cover it mocked the victims for being gay. No one has ever been prosecuted for the crime. When asked about identifying the victims, the chief detective of the New Orleans Police Department responded, “We don’t even know these papers belonged to the people we found them on. Some thieves hung out there, and you know this was a queer bar.”

    In 1997, “Olympic Park Bomber” Eric Robert Rudolph bombed the Otherside Lounge, a lesbian nightclub in Atlanta, later explaining that he believed “the concerted effort to legitimize the practice of homosexuality” was an “assault upon the integrity of American society.” He described homosexuality as “an aberrant sexual behavior,” and wrote that “when the attempt is made” to “recognize this behavior as being just as legitimate and normal as the natural man/woman relationship, every effort should be made, including force if necessary, to halt this effort.” In his confession, Rudolph railed against the “homosexual agenda,” including “gay marriage, homosexual adoption, hate-crime laws including gays, or the attempt to introduce a homosexual normalizing curriculum into our schools.”

  • Comment Superpublic a gagné le coeur de San Francisco
    http://www.la27eregion.fr/comment-superpublic-a-gagne-le-coeur-de-san-francisco

    Le concept et le nom « Superpublic » demeurent, même si les moyens différent : Avec 1500 m2, doté de près d’1M€ de budget dès la première année, Superpublic SF va occuper tout le dernier étage du principal bâtiment municipal situé au coeur de la ville et comme son cousin parisien, il accueillera des co-workers permanents et ponctuels, et des activités de formation-action, de design et de prototype, des événements spécialisés sur l’innovation dans le secteur public.

    D’autres espaces du même type ont également influencé le projet ; sont cités par exemple le Civic Hall de New York, le Center for Civic Innovation à Atlanta, le Civic Design Lab au coeur du City Hall d’Oakland. « Pour nous, il s’agit de fournir un espace dans lequel là ville, l’Etat, les agences fédérales vont pouvoir coopérer librement pour (...)

    #c

  • A New Map for America - The New York Times
    http://www.nytimes.com/2016/04/17/opinion/sunday/a-new-map-for-america.html

    We don’t have to create these regions; they already exist, on two levels. First, there are now seven distinct super-regions, defined by common economics and demographics, like the Pacific Coast and the Great Lakes. Within these, in addition to America’s main metro hubs, we find new urban archipelagos, including the Arizona Sun Corridor, from Phoenix to Tucson; the Front Range, from Salt Lake City to Denver to Albuquerque; the Cascadia belt, from Vancouver to Seattle; and the Piedmont Atlantic cluster, from Atlanta to Charlotte, N.C.

    Federal policy should refocus on helping these nascent archipelagos prosper, and helping others emerge, in places like Minneapolis and Memphis, collectively forming a lattice of productive metro-regions efficiently connected through better highways, railways and fiber-optic cables: a United City-States of America.

    Similar shifts can be found around the world. Despite millenniums of cultivated cultural and linguistic provinces, China is transcending its traditional internal boundaries to become an empire of 26 megacity clusters with populations of up to 100 million each, centered around hubs such as Beijing, Shanghai, Guangzhou and Chongqing-Chengdu. Over time these clusters, whose borders fluctuate based on population and economic growth, will be the cores around which the central government allocates subsidies, designs supply chains and builds connections to the rest of the world.

    Western countries are following suit. As of 2015, Italy’s most important political players are no longer its dozens of laconic provinces, but 14 “Metropolitan Cities,” like Rome, Turin, Milan and Florence, each of which has been legislatively merged with its surrounding municipalities into larger and more economically viable subregions.

    #connectivité #cartographie #implantation_humaine #mégavilles

  • Version anglaise de l’hymne de la #NSA canal historique aka #Stasi
    http://www.elyrics.net/read/p/police-lyrics/every-breath-you-take-lyrics.html

    Action !
    https://www.youtube.com/watch?v=vvNKS6oFihc

    POLICE
    Every Breath You Take Lyrics

    Every breath you take
    Every move you make
    Every bond you break
    Every step you take
    I’ll be watching you

    Every single day
    Every word you say
    Every game you play
    Every night you stay
    I’ll be watching you

    Oh can’t you see
    You belong to me
    How my poor heart aches
    With every step you take

    Every move you make
    Every vow you break
    Every smile you fake
    Every claim you stake
    I’ll be watching you

    Since you’ve gone I’ve been lost without a trace
    I dream at night, I can only see your face
    I look around but it’s you I can’t replace
    I feel so cold and I long for your embrace
    I keep calling baby, baby please...

    Oh can’t you see
    You belong to me
    How my poor heart aches
    With every step you take

    Every move you make
    Every vow you break
    Every smile you fake
    Every claim you stake
    I’ll be watching you

    Every move you make
    Every step you take
    I’ll be watching you
    I’ll be watching you

    Every breath you take
    Every move you make
    Every bond you break
    Every step you take (I’ll be watching you)

    Every single day
    Every word you say
    Every game you play
    Every night you stay (I’ll be watching you)

    Every move you make
    Every vow you break
    Every smile you fake
    Every claim you stake (I’ll be watching you)

    Every single day
    Every word you say
    Every game you play
    Every night you stay (I’ll be watching you)

    Every breath you take
    Every move you make
    Every bond you break
    Every step you take (I’ll be watching you)

    Every single day
    Every word you say
    Every game you play
    Every night you stay (I’ll be watching you)

    Every move you make
    Every vow you break
    Every smile you fake
    Every claim you stake (I’ll be watching you)

    Every single day
    Every word you say
    Every game you play
    Every night you stay (I’ll be watching you)

    Musique !
    https://www.youtube.com/watch?v=LHXIm6MaNLw


    The Police, Atlanta, 1983

    https://en.wikipedia.org/wiki/Every_breath_you_take

    Sting later said he was disconcerted by how many people think the song is more positive than it is. He insists it is about the obsession with a lost lover, and the jealousy and surveillance that follow. “One couple told me ’Oh we love that song; it was the main song played at our wedding!’ I thought, ’Well, good luck.’” When asked why he appears angry in the music video Sting told BBC Radio 2, “I think the song is very, very sinister and ugly and people have actually misinterpreted it as being a gentle little love song, when it’s quite the opposite.”

    #surveillance #cctv #musique #new_wave

  • R.I.P. Bankroll Fresh
    http://www.foxylounge.com/R-I-P-Bankroll-Fresh

    Une compilation de 29 bombes pour rendre hommage à Bankroll Fresh, un rappeur de plus à partir trop tôt. Télécharger la compilation Dans la nuit du vendredi au samedi 5 mars 2016, un des rappeurs les plus prometteurs de sa génération est mort par balles, dans un studio d’Atlanta. Les circonstances de la mort du rappeur de 28 ans sont obscures. On aurait tout de même trouvé plus de cinquante douilles dans et aux abords du studio, et ce triste gâchis serait certainement le résultat d’une simple (...)

    #Noze

    / #Musique, #Playlists, #hip-hop, #trap, #Atlanta, #Southern_Comfort

    http://www.mediafire.com/download/t3skak8h8rdyo49/RIP-Bankroll-Fresh.zip
    https://www.youtube.com/watch?v=2t_04RUG-Ck


    https://www.youtube.com/watch?v=A8kNWkAcMBw

    http://www.livemixtapes.com/mixtapes/28382/bankroll-fresh-life-of-a-hot-boy.html
    http://www.hotnewhiphop.com/bankroll-fresh-life-of-a-hot-boy-2-real-trapper-new-mixtape.115792.htm
    http://www.hotnewhiphop.com/bankroll-fresh-bankroll-fresh-new-mixtape.116107.html
    http://indy.livemixtapes.com/mixtapes/19229/yung-fresh-street-motivation.html

  • Baltimore et le mouvement « Black Lives Matter »
    http://www.autrefutur.net/Baltimore-et-le-mouvement-Black-Lives-Matter

    Depuis 2013, le mouvement « Black Lives Matter » (« les vies noires comptent ») figure parmi les mouvements sociaux contemporains les plus significatifs aux États-Unis. De nombreuses manifestations ont eu lieu dans différentes villes contre la brutalité policère et l’inégalité raciale. En 2015, les (...) — Rencontres, Solidarité, Amériques, Social

  • Conway The Machine - Reject 2
    http://www.foxylounge.com/Conway-The-Machine-Reject-2

    Retour tardif sur un des meilleurs albums de rap de 2015. En 2015, deux frères originaires de Buffalo et aujourd’hui installés à Atlanta, Westside Gunn et Conway The Machine, perpétuent via le label #Griselda_Records l’esprit du gangsta rap new-yorkais des années 1990. Un rap de rue violent, sombre et gorgé de soul, comme le pratiquait à l’époque Nas ou Mobb Deep. La volonté des frangins est clairement de réconcilier la rue avec les sonorités de cette période, Westside Gunn se qualifie d’ailleurs (...)

    #Noze

    / #Musique, #Chroniques, Griselda Records, #hip-hop, #boom_bap

    http://www.griseldaxfr.com
    http://www.westsidegunn.com/career
    https://soundcloud.com/bigghostltd/sets/griselda-ghost


    https://soundcloud.com/gxfr/sets/hall-nash
    https://soundcloud.com/gxfr/sets/hitler-wears-hermes3
    https://soundcloud.com/dj-daringer
    https://soundcloud.com/gxfr/sets/the-devils-reject
    https://www.youtube.com/watch?v=cujiHDeqnHY

    https://www.youtube.com/watch?v=Q-uqdW0bDyc

    https://www.youtube.com/watch?v=TUxVhSyXi1U

  • Gordon Parks stunning photos of families in 1950s Alabama | Daily Mail Online

    http://www.dailymail.co.uk/news/article-2833736/Shotguns-sundaes-segregation-Gordon-Parks-stunning-photos-families-1950

    Oh merci Elisabeth Vallet d’avoir signalé la publication de ces images étonnantes.

    Shotguns, sundaes and segregation: Stunning photos of families in 1950s Alabama offer poignant look at life during civil-rights era

    African-American photographer Gordon Parks captured the lives of three families living in Mobile, Alabama in 1956
    The collection, called The Restraints: Open and Hidden, follows the lives of three families
    A total of 40 prints will now go on display at the High Museum of Art in Atlanta, Georgia
    Parks worked for Life Magazine for 20 years, shooting the likes of Muhammad Ali and Malcom X

    #états-unis #ségrégation #racisme #photographie

  • Géopolitique de l’éradication de la poliomyélite. L. GUIMIER - Transversaux

    http://www.diploweb.com/Geopolitique-de-la-sante.html

    Les exemples du Pakistan et du Nigéria révèlent à quel point l’acte vaccinal cristallise des représentations pétries de rumeurs mais aussi influencées par des antécédents factuels. En raison de l’impact de ces résistances sociales, et plus encore dans des conditions sanitaires fragilisées par des conflits, la compréhension de ces comportements doit se faire à la lumière du contexte géopolitique dans lequel ils agissent. Article illustré d’une carte (sous deux formats) et d’un graphique.

    L’ERADICATION officielle de la variole le 8 mai 1980 est le fruit d’une mobilisation internationale alors inédite. Parvenir à bout de ce fléau a nécessité la conjugaison d’une stratégie de vaccination massive et d’une surveillance-endiguement des cas orchestrée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et les Centers for Disease Control and Prevention d’Atlanta (CDC). Forts de cette réussite, les acteurs transnationaux de la santé se préoccupent alors d’une autre maladie à prévention vaccinale pandémique : la poliomyélite.

    #santé #nigeria #géopolitique #pakistan #polio

  • Metro Thuggin : Compilation
    http://www.foxylounge.com/Metro-Thuggin-Compilation

    On a compilé les meilleurs morceaux de #Young_Thug et #Metro_Boomin. Cela fait maintenant deux ans que l’on nous a promis un album en commun de Young Thug et du producteur Metro Boomin estampillé Metro Thuggin. Pour beaucoup, les instrumentales complexes et nerveuses du jeune producteur originaire de St. Louis seraient les meilleurs écrins pour libérer la créativité de Young Thug. En effet, c’est bien avec Metro à la production que le grand escogriffe aux looks improbables a lâché ses morceaux les (...)

    #Noze

    / #Musique, #Playlists, #Bilans, #trap, #hip-hop, #Atlanta, Young Thug, Metro Boomin

    http://www.mediafire.com/download/wduob9anu5i919p/MetThu.zip

  • Saisir l’étalement urbain dans un contexte états-unien : réflexions méthodologiques

    L’étalement urbain appartient à cet ensemble d’expressions qui se sont imposées dans le langage scientifique, tout comme dans le langage courant, à tel point qu’il est le plus souvent considéré comme une évidence. À partir d’un examen de la littérature, il est fait le constat d’une pluralité d’acceptions de l’expression, qui découle d’une absence de consensus autour d’une définition commune. Cet article propose alors de questionner l’étalement urbain, ou urban sprawl, en affirmant sa polysémie. Une explicitation des méthodologies employées par la communauté scientifique conduit à identifier un double niveau de lecture, appréhendant l’étalement dans une perspective soit statistique (approche quantitative), soit morphologique et fonctionnelle (approche qualitative). La réflexion s’appuie plus particulièrement sur les États-Unis, pays d’émergence du processus et où l’on observe ses formes les plus poussées. À partir d’une sélection d’études de cas d’aires urbaines (Las Vegas, Los Angeles, Atlanta, Nashville), il est fait la démonstration des apports et limites de chaque approche, et du décalage entre les perceptions et la réalité de la géographie de l’étalement états-unien.

    http://cybergeo.revues.org/27421
    #étalement_urbain #urban_matter #USA #Etats-Unis #urbanisation #urbanisme #visualisation #cartographie
    signalé par @ville_en