city:bouteflika

  • Bouteflika, le peuple a décidé : dégagez ! - RipouxBliquedesCumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2019/02/bouteflika-le-peuple-a-decide-degagez.html

    Enfin ! Depuis le temps qu’on attendait ça ! Je ne pensais pas que je le verrais de mon vivant. Quelle joie ! C’en est fini du culte du portrait dans un cadre doré. Le peuple algérien a montré que c’était lui et lui seul qui décidait, qu’il était l’unique « zaïm », que le pouvoir vient de lui seul et de personne d’autre. Et ce n’est qu’un début ! Ce 22 février 2019, date désormais historique, de nos monts et montagnes, de toutes les vallées, des champs et du désert, la voix des hommes libres s’est levée, le peuple a marché dans les rues de toutes les villes et communes de notre belle Algérie, au nord, à l’est, à l’ouest, au centre et au sud, pour clamer son refus du cinquième mandat du président impotent et de sa clique de truands, les gangsters de la chaise roulante : Bouteflika ya el Maroki makanch el houhda el khamsa(Bouteflika le Marocain, il n’y a pas de 5e mandat) ! Chacun en a pris pour son grade, de Ouyahia à Bouteflika. Et pourtant, tout le monde avait parié dans les salons feutrés et les résidences protégées en zone verte que le peuple algérien était mort et enterré et qu’il ne défendrait pas son honneur face aux agressions multiples et aux violences du régime pourri. Il faut dire qu’il s’est tu pendant si longtemps… Mais ce vendredi 22 février, le mur de la peur est définitivement tombé. Un seul héros, le peuple.

    La fratrie Bouteflika, Saïd, Nacer, et le gang du fauteuil roulant, Ouyahia, Sellal, Haddad, Sidi Saïd, Tliba, Ghoul, Bouchareb, Ould Abbes et Cie, dans quels trous êtes-vous terrés comme des rats ? Je vous avais avertis, vous les voleurs, les perfides, que cette terre n’était pas la vôtre, vous l’avez pourtant saignée à blanc et vendue comme une étoile de mer au marché, indignes usurpateurs, faux dévots, gangsters, crapules, malfrats, traîtres, vauriens ! Cette terre est la nôtre et le fleuve que vous avez détourné de sa voie naturelle est en train de retrouver son lit. Cette jeunesse que vous avez jetée à la mer, que vous avez marginalisée, brimée, opprimée, dédaignée, méprisée, avec le climat étouffant que vous avez installé dans le pays, est en train de recouvrer l’honneur de toute une nation. L’emblème de notre Algérie flottera de nouveau haut dans le ciel pur grâce à ces jeunes gens et à leurs cris de colère qu’ils ont jetés à vos tronches de vieilles épaves faisandées. Désormais, les Algériens ne seront plus obligés de baisser la tête par la honte que vous nous avez infligée avec votre président grabataire qui fait la risée du monde. Kassaman, l’hymne national que vous avez bafoué a retenti dans les rues et sur les places. Le fier Algérien fera de la Mecque des Révolutionnaires la Mecque de la Démocratie ! Personne ne pourra faire reculer le peuple, ni les manipulateurs, ni les pyromanes, ni les traîtres à la solde des puissances occidentales. Écoutez ces voix venant des tréfonds de nos contrées, ces voix de l’honneur et de la dignité : el chaab la yourid Bouteflika wa Said (le peuple ne veut pas de Bouteflika et Saïd). Écoutez ces voix entonner des hymnes à la liberté. Vous, les symboles du régime infect, écoutez ces voix, celle de l’Algérie de demain qui se fera malgré vous et contre vous.

    Pas une vitre n’a été brisée, les quelques rares velléités de violence ont été avortées par le peuple lui-même, aucun détritus n’a été laissé sur le passage des manifestations. Quelle leçon de civisme et de maturité a infligé ce grand peuple d’Algérie à ce régime putride d’une autre ère, complètement dépassé ! L’heure est désormais au renouveau, à la rupture et au changement, le vrai ! Finies les brimades, la hogra, c’est fini la servitude, c’est fini d’être écrasés par un cadre, c’en est fini de vos lâchetés et de vos traîtrises, c’en est fini de votre larbinisme ! Regardez-vous, contemplez la façon dont le peuple a signifié la fin de votre règne, vous êtes conspués dans les rues, insultés, le portrait de votre chef, de votre dieu vivant, est déchiré et piétiné. Non, Ouyahia, vous ne contrôlez pas la rue, vous ne contrôlez rien, tout vous échappe. Pour maintenir un cadavre et un cadre au pouvoir, vous êtes allés jusqu’à conspirer avec l’ancienne puissance coloniale, la France, qui devra assumer elle aussi le fait de vous avoir soutenu avec la complicité des puissances occidentales. Ceux qui ont prédit que le peuple allait sortir et tout casser se sont trompés, c’est ce régime qui a tout cassé, pillé. Le seul danger qui guette l’Algérie, c’est ce pouvoir corrompu. On n’a pas besoin d’un ennemi quand on a un régime destructeur comme celui de Bouteflika, votre prophète de pacotille qui est l’objet de vénération dans cette nouvelle religion du cadre ! Depuis ce 22 février, un vent de libération souffle sur le pays : terminé le colonialisme bouteflikien, c’en est fini de vous, de vos rapines et de vos pillages. Préparez vos valises, faites tourner les moteurs de vos jets privés. Allez rejoindre votre momie qui a pris la tangente en Suisse ou rejoignez son frère Saïd qui est aux USA. Ou à Paris, chez Fafa votre mère patrie que vous aimez tellement. Vous avez l’embarras du choix.

    Dorénavant, un seul agenda guidera la nation algérienne, ce sera l’agenda du peuple algérien qui a décidé de prendre de nouveau rendez-vous avec l’Histoire, comme ses aînés le lui ont montré, et de ne pas accepter la servitude et le despotisme d’un cadre et de quelques cloportes qui l’entourent. Désormais, il y a ceux qui sont avec le peuple et ceux qui sont contre lui, c’est valable pour les médias poubelle. Que chacun prenne ses responsabilités. Le peuple les a prises et il n’a besoin de personne, il vient de montrer qu’il est maître chez lui. L’Algérie bâtie par ses ancêtres lui appartient. Une nouvelle étape s’annonce, celle du rejet du régime et de ses relais politiques et médiatiques. Après avoir combattu ce régime pendant des années comme un homme du peuple et qui se bat pour le peuple, je n’ai jamais douté de ce dernier, contrairement à plein d’autres qui se sont vendus pour une poignée de dollars. En choisissant de servir un cadre et un mort-vivant, ils ont cru qu’ils misaient sur le bon cheval alors que ce n’est juste qu’une vielle rosse, un bourrin. La date du 22 février 2019 sera celle où tout un peuple s’est réapproprié son destin et a libéré son pays du joug des nouveaux colons. Ce jour n’est certainement que le commencement d’un processus qui continuera jusqu’à ce que le peuple obtienne gain de cause, c’est-à-dire jusqu’à ce que ce régime parte. Cette date est la pierre angulaire dans la construction d’un État de droit où personne ne sera au-dessus de la Loi. La machine de l’Histoire est en marche et personne ne pourra l’arrêter. Avec cette journée historique qui a vu tout un peuple se lever, le serment de Novembre s’accomplira et des ruines que vous avez laissées, nous bâtirons une Algérie nouvelle.

    Mohsen Abdelmoumen

    https://mohsenabdelmoumen.wordpress.com/2019/02/23/bouteflika-le-peuple-a-decide-degagez

  • Éditorial synthétique de la « crise » qui secoue le pouvoir en Algérie cet été 2017.
    Par Zoheir Bessa. Alger Républicain.
    http://www.alger-republicain.com/Tebboune-miroir-malgre-lui-du.html

    Les libéraux opposés à Bouteflika vont s’ingénier à empêcher l’assimilation de cette leçon pratique pour sauver le capitalisme de la contestation populaire. Ils vont s’évertuer à faire croire que l’éviction de Tebboune n’est que l’expression des « liaisons mafieuses » entre le pouvoir et certains oligarques - les « mauvais » pas les « bons » comme Rebrab. Elle ne serait nullement la manifestation des contradictions d’un capitalisme qui selon leur conte à l’eau de rose est inexistant en Algérie car le capitalisme, le « vrai », celui des livres pour enfants, ne peut être que « propre et honnête ».

    #Algérie

  • Le Cartel du FLN dirigiste met au placard Saâdani...
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article2945

    Amar Saâdani, profil conventionnel du gotha des détrousseurs et médiocres qui font des biens publics et de l’économie algérienne un butin qui leur est promis, est passé par la présidence de l’assemblée nationale, avant de prendre en main le destin du parti FLN. Parvenu des bas grades aux hautes hiérarchies, il rebondit dans la diplomatie avec sa loyauté à Bouteflika. De la direction d’un appareil à gagner les élections, auquel le clan présidentiel enjoint un contrôle absolu, il continua les holdups qui (...)

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  • ALGÉRIE : LE GÉNÉRAL GAÏD SALAH EN FAIT-IL TROP ?

    De la grande muette, à la grande bavarde
    par Kamel Daoud

    http://www.lequotidien-oran.com/03.12.2014

    Lu hier : un article d’El -Watan sur le phénomène, déjà national, des crashs d’avions militaires depuis une décennie. Beaucoup trop, sans raisons fournies, ni explications, ni conclusions des fameuses commissions d’enquête. Interrogation pertinente de la journaliste : qui achète à qui ? Comment et pourquoi il achète si mal ? Mais c’est la conclusion qui rappelle une évidence que l’on a fini par oublier, normaliser et intégrer à notre statut de propriétaires fictifs de notre pays : on n’a aucun contrôle sur le budget de l’armée et sur ce qu’elle fait de notre argent. Rien, pas un moyen, pas un seul chiffre, pas un nom. L’armée prend sa part de l’argent et le gère à sa convenance, derrière ses murs. De l’autre côté, c’est nous : Parlement, élus, élections, blabla et Constitution. La singularité est énorme mais on a fini par l’accepter : l’armée est née avant le pays et donc a droit de préséance sur lui, dans le plan de table à midi. L’armée peut interroger le pays mais le pays ne peut pas interroger l’armée. L’armée peut compter l’argent de tous mais tous ne peuvent pas compter son argent à elle. L’armée est hors Parlement, hors champ de contrôle et hors commission d’enquête civile. Pourquoi une telle exception alors si on veut se présenter comme démocrates, républicains, défenseurs de la nation, gardiens des frontières et de la Constitution ? Comment peut-on à la fois garder secrets ses chiffres et se présenter comme arbitre de la démocratie ?

    Le patron militaire du moment a, par lui-même, braqué les feux des projecteurs sur sa personne : mise en garde contre les oppositions à Bouteflika, menaces dures, coup de semonce et clip vidéo d’audience avec le Président presque chaque semaine. On est passé de la grande muette, à son contraire.

    Bien sûr, le murmure du maquis : si aujourd’hui on parle de doutes sur les contrats avec les Russes, c’est parce que le bonhomme fait trop de politique, tabou implicite chez les militaires en règle générale.  D’ailleurs Gaïd Salah est le premier qui s’y implique avec son étrange statut de vice-ministre. Une décision heureuse de le voir s’aligner comme tous dans la photo de groupe du gouvernement, mais qui a conduit au dérapage amoureux d’une surdose de bouteflikisme. D’un trottoir à l’autre.

    Gaïd Salah est donc devenu un homme trop visible, trop impliqué, trop engagé et cela n’est pas bon pour lui. Mais cela est bon pour nous rappeler l’essentiel : l’armée est revenue dans les casernes mais on n’y entre pas encore, la république a des zones franches. Le débat devra s’ouvrir un jour ou l’autre : soit on est une république de prête-nom et on continue avec une armée avec un budget hors contrôle, soit on va vers une république réelle et l’armée doit se soumettre au contrôle de son peuple. Entre les deux, il y a eu ce choix de kasma : une fidélité à un homme et aux siens qui n’est pas bonne pour la vocation. L’armée est passée d’un statut de trans-parti, à celui d’un comité de soutien.

    Gaïd a donc attiré les regards. Il fait un peu trop de politique. L’essentiel n’est pas uniquement sa personne.

    C’est aussi la place de l’armée algérienne : peut-on réussir une transition sans elle ? Et peut-on parler de réformes quand on ne commence pas par elle ? Et peut-on refuser d’être les trois quarts d’un peuple comme l’a refusé Bouteflika et le réussir ? Et doit-on encore demander à l’armée de renverser un mourant si, comme chaque fois, elle nous renverse, nous, à chaque mauvaise transition ? Sans elle, point de changement possible. Et avec elle, le changement n’est qu’une permutation de postes.

    Depuis la création de ce pays, on n’est pas sorti de la caserne et, paradoxalement, on n’y entre pas encore.

  • La France Va Exploiter Le Gaz De Schiste En Algérie Grace à Bouteflika !
    http://www.brujitafr.fr/article-la-france-va-exploiter-le-gaz-de-schiste-en-algerie-grace-a-boutef

    Gaz de schiste : Gdf suez va fracturer… en Grande-bretagne La France n’exploitera pas le gaz de schiste Video : laurence Parisot prête à diriger l’entreprise qui exploitera le gaz de schiste en France La décision du Conseil des ministres, réuni hier, de donner son aval à Youcef Yousfi, ministre de l’Energie, pour l’exploitation du gaz de schiste sur notre territoire, confirme les interrogations qui ont entouré ce projet depuis qu’il a été envisagé en Algérie, et met plus en relief la question concernant l’existence d’un accord secret entre Alger et Paris, dont Algeriepatriotique s’est fait l’écho avant l’élection présidentielle du 17 avril dernier (voir articles publiés le 20 décembre 2012 et le 14 mars 2014). L’odeur (...)