• #Ushahidi : comment un site citoyen, né au Kenya, aide aujourd’hui l’ONU à gérer les crises humanitaires

    Créée en 2008 à l’initiative de quelques étudiants pour recenser et dénoncer les #violences post électorales, la plateforme kenyane Ushahidi est aujourd’hui utilisée un peu partout dans le monde pour traquer les #violences_politiques ou la #corruption.

    C’est au Kenya, que l’on trouve les prémices de ces réseaux citoyens africains appelés « #civic_tech ». Tout a commencé avec la surveillance des élections de 2007. A cette époque, les citoyens kényans signalent et documentent les incidents et les violences sur les réseaux sociaux.

    Constatant que les troubles sont peu couverts par la presse, l’influente blogueuse et activiste kényane #Ory_Okolloh lance un appel sur la Toile pour développer une carte qui recenserait les violences et les dégâts dans le pays. L’idée est de créer un site numérique permettant aux populations de signaler les violences et de les visualiser sur une carte. L’aventure Ushahidi commence. Dix ans plus tard, cet outil est utilisé pour des milliers de projets citoyens un peu partout dans le monde.

    Ushahidi signifie « témoigner » en swahili

    Les Kényans connectés au réseau peuvent alors relater et géolocaliser les violences dont ils sont témoins. Plus de 50.000 témoignages sont rapportés sur cette carte. Ushahidi est né.

    Fin 2008, le projet est remarqué par des fondations américaines. Séduites par cette jeune #start-up africaine à but non lucratif, elles proposent une aide financière.

    En 2012, les équipes d’Ushahidi ont élaboré en Libye, pour la première fois, une carte interactive d’un pays en guerre pour le compte de l’ONU. En moins d’une semaine, Ushahidi conçoit deux #cartes_interactives, qui évoluent en temps réel au gré des témoignages reçus. Mais aussi en fonction des informations et des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux par des membres de la diaspora libyenne, des activistes, des journalistes et les organisations internationales.

    Sur ces cartes, on trouve les lieux et le nombre de blessés, le mouvement des réfugiés, les camps humanitaires, les centres de soin, les routes détruites...

    Depuis la création de la start-up, plus de 13 000 cartes ont été déployées par des internautes, des ONG ou par des médias.

    La start-up est plébiscitée par l’ONU pour les éléments mis en ligne afin de décrire et de documenter les catastrophes humanitaires et les violences politiques. Tremblement de terre en Haïti ou au Pakistan, violences en République démocratique du Congo, élections au Burundi, séisme et tsunami au Japon, révolution en Egypte... Ushahidi a été utilisé sur la plupart des zones de crises majeures.

    Ushahidi plébiscité par l’ONU

    Dans ce contexte, Ushahidi est devenu un #outil_cartographique en vogue. « Cette nouvelle tendance est en train de changer l’#aide_humanitaire d’urgence », explique Ted Turner, directeur de la fondation des Nations unies qui consacre une partie de son dernier rapport, Disaster Relief 2.0, au travail d’Ushahidi.

    Les cartes peuvent donc contenir des informations précieuses et stratégiques en temps de guerre. Un outil gratuit et visible par tous. Y compris par les belligérants ou encore par des membres d’organisations armées illégales.

    C’est pour cette raison que la carte publique de la crise libyenne a été filtrée par les équipes d’Ushahidi, qui ont travaillé étroitement avec l’ONU. C’est aussi la raison pour laquelle les témoignages rapportés sont géolocalisés avec 24 heures de décalage. Des précautions sécuritaires drastiques dont ne s’embarrassent pas la plupart des utilisateurs lorsqu’ils lancent une nouvelle carte.

    Sur plus de 13.000 cartes mises en ligne, l’équipe d’Ushahidi en a créé et géré seulement une centaine. Elle respecte une charte éthique pointilleuse qui impose par exemple d’avoir des partenariats avec des ONG ou des acteurs locaux sur le terrain.

    L’Afrique est en train de vivre une révolution technologique inédite qui va provoquer des changements politiques, économiques et sociaux sans précédent
    Erik Hersman, le cofondateur d’Ushahidi

    Cette start-up africaine a, depuis, inspiré des dizaines de geeks africains. CFI, l’agence française de développement médias, a recensé plusieurs dizaines d’initiatives prometteuses. Autant de signes de l’engagement d’une nouvelle génération.

    Une chose semble sûre : les #réseaux_sociaux_citoyens vont monter en puissance pour faciliter la participation et la mobilisation de la population sur le continent.

    https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/societe-africaine/ushahidi-comment-un-site-citoyen-ne-au-kenya-aide-aujourd-hui-l-onu-a-g

    #cartographie #visualisation #violence

    Dans les sponsors aussi google (notamment)...

    déjà signalé par le passé sur seenthis :
    https://seenthis.net/messages/102702
    https://seenthis.net/messages/197278

  • L’agricoltura civica funziona. E batte coronavirus e modello intensivo

    L’approccio «alternativo» risolve molti limiti delle coltivazioni industriali ed è più resiliente nelle crisi. L’università di Firenze rivela: dove si pratica, i contagi calano del 60%

    Cosa ci vuole per uscire dalla crisi economica e sociale che l’emergenza sanitaria da coronavirus (Covid-19 o SARS-CoV-2, se preferite) ci sta imponendo? Una buona agricoltura multifunzionale, che si basa su legami di prossimità, solidarietà e sostenibilità, per esempio. Un’agricoltura lontana dal modello intensivo, industrializzato e standardizzato prediletto dalla grande distribuzione organizzata (la rete dei supermercati, per intenderci).

    La notizia positiva è che questa agricoltura esiste già. Potremmo chiamarla complessivamente agricoltura civica, anche se la formula – come ogni definizione – non riesce a essere esaustiva di un fenomeno articolato. Anche perché stiamo parlando di ciò che sembra un sistema di agricolture, a cui concorrono strumenti di supporto reciproco tra agricoltori e consumatori, e stili di consumo consapevole, abbracciando tante anime della cosiddetta economia civile. A vario titolo vi rientrano, infatti, le cooperative agricole e i soggetti dell’agricoltura sociale o le esperienze di CSA (community-supported agricolture); ne sono un pilastro i gruppi di acquisto solidale (i GAS) e le reti che li alimentano. Ma possono contribuirvi anche le poco note associazioni fondiarie.

    La notizia migliore ad ogni modo è un’altra. Guardando alla resistenza dell’agricoltura civica dimostrata durante le restrizioni imposte dalla pandemia, pensando alla fantomatica fase 2 e a un ipotetico rilancio economico territoriale, auspicando infine l’affermarsi di un modello di sviluppo sostenibile, questa agricoltura offre ottime garanzie – anche sanitarie e ambientali – e soluzioni replicabili.
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    Coronavirus: più contagi dove prevale l’agricoltura intensiva

    Ad oggi, ovviamente, l’aspetto che preoccupa di più è quello della diffusione dell”epidemia. Ecco perché risulta ancora più interessante un studio recente della Scuola di agraria dell’Università di Firenze che, in proposito, ha preso in esame quattro tipologie di aree coltivate. Il risultato? Una minor incidenza media di contagi all’area dove si pratica un modello di agricoltura tradizionale, quindi assai distante da quella industriale, ad esempio.

    «Considerato il dato medio nazionale della diffusione del coronavirus, pari a 47 casi ogni 100 kmq, nelle aree ad agricoltura intensiva l’intensità del contagio sale a 94 casi ogni 100 kmq, mentre nelle aree ad agricoltura non intensiva il dato scende a 32 casi ogni 100 kmq» spiega Mauro Agnoletti, coordinatore del gruppo di ricerca dell’ateneo toscano.

    La rilevazione punta particolarmente l’obiettivo sulla Pianura Padana, dove si concentra il 61% delle aree ad agricoltura intensiva del Paese, con il 70% dei casi di Covid-19: «nelle aree della Pianura Padana ad agricoltura intensiva si registrano 138 casi ogni 100 kmq, mentre in quelle ad agricoltura non intensiva la media scende a 90 casi ogni 100 kmq». Insomma “balla” un 53% in più di contagi a sfavore delle prime.

    Lo studio non indaga le cause specifiche di questa dinamica. Registra tuttavia che «le aree a media e bassa intensità energetica, dove sono concentrate il 68% delle superfici protette italiane, risultano invece meno colpite dal coronavirus SARS-CoV-2. Queste aree sono distribuite soprattutto nelle zone medio collinari, montane alpine ed appenniniche, caratterizzate da risorse paesaggistiche, naturalistiche ma anche culturali, storiche e produzioni tipiche legate a criteri qualitativi più che quantitativi». Tutte informazioni che potrebbero rivelarsi utili per la ricostruzione che ci aspetta.
    Gas e reti dell’economia solidale: resilienti e vicini

    Di fronte al rischio contagio, insomma, i territori segnati dalla piccola agricoltura tradizionale, e talvolta marginale, si comportano bene. E forse questo ha qualcosa a che fare con le intenzioni di consumo che, dai tempi del Covid-19, potrebbero confermarsi per il futuro.

    Del resto, Michele Russo del consorzio siciliano Le galline felici, realtà storica di quella che è oggi la Rete italiana dell’economia solidale (Ries), sostiene che «questa distanza forzata sta avvicinando le persone».

    Mentre l’economia solidale ragiona sulla pandemia pensando al futuro, rafforza le proprie peculiarità (rapidità di adattamento, relazione con l’utenza) sviluppando servizi, qualcosa accade anche a livello individuale. Si consolida, infatti, la consapevolezza che rifornirsi localmente e direttamente dai produttori garantisce un minore passaggio di mani della merce, confortando sul piano della salute. Questo pensiero, superando i limiti consueti della comunità che frequenta storicamente gli incontri della RIES e alimenta i GAS, spinge «anche quelli meno interessati all’etica» a puntare su produzione e distribuzione di prossimità dei beni alimentari.

    Stando ai produttori, insomma, un numero maggiore di persone riconosce il vantaggio di un sistema che promuove da sempre biologico, coltivazione rispettosa di clima e paesaggio, legalità nei rapporti di lavoro. Un sistema che unisce contadini e consumatori in una forma di sostegno sempre più reciproco, producendo impatti economici di rilievo sul territorio.

    Il consorzio Le Galline felici, per esempio, dà lavoro a 45 dipendenti e raduna 40 aziende agricole per un giro d’affari di circa 3 milioni e mezzo di euro l’anno. E di ciò traggono beneficio circa 500 persone direttamente, oltre alle piccole botteghe che vi si riforniscono, e le migliaia di famiglie che, in Italia e all’estero (soprattutto in Francia, Belgio e Lussemburgo), utilizzano i GAS affiliati per acquistare cibo.

    L’economia civile passa per cooperative e agricoltura sociale

    E se i soggetti dell’economia solidale, sostenitori di uno sviluppo sostenibile e perciò meno compromesso con la pandemia, sono parte di quell’agricoltura civica multifunzionale di cui stiamo trattando, di certo lo sono anche le cooperative del settore agroalimentare. Lo stesso vale per chi fa agricoltura sociale, che spesso rientra anche formalmente nella cooperazione, e affianca la produzione agricola (30% minimo del fatturato) con attività di welfare (inserimento lavorativo di soggetti svantaggiati, assistenza e cura delle persone, servizi educativi).

    Mondi ricchi di professionalità e di peso economico e occupazionale, che in questa fase non sono immuni dai contraccolpi delle restrizioni anti-coronavirus, ma si dimostrano, come già dopo il crollo del 2008, resilienti. «Il vantaggio competitivo di una parte del Terzo settore, cioè della cooperazione, è fatto che vive di stipendio» osserva Giuliano Ciano, portavoce del Forum nazionale dell’agricoltura sociale. «Questo si evidenzia specialmente nei momenti di crisi. Il secondo vantaggio è che il Terzo settoree chi fa assistenza alle persone, inclusa l’agricoltura sociale, in un momento di crisi è capace di mutare, e riesce a trovare sbocchi di natura differente dal punto di vista economico ma anche a modificare le proprie attività».

    Associando agricoltura e servizi socio-educativi, pur tra centinaia di persone oggi in cassa integrazione, le oltre 700 realtà economiche riconosciute per legge nell’agricoltura sociale, per ora, si reinventano e reggono. Ed è fondamentale anche pensando alla cooperazione agricola in generale, dal momento che, stando al Rapporto 2017 dell’Osservatorio della cooperazione agricola italiana, le circa 4700 cooperative agricole italiane registravano 35 miliardi di euro di fatturato (8,9 miliardi per il solo comparto ortofrutta).
    CSA e associazioni fondiarie: l’agricoltura si fa più civile

    Ma le modalità dell’agricoltura “alternativa” non sono finite qui. Ce ne sono almeno un altro paio. Innanzitutto le associazioni fondiarie, riconosciute nel 2016 dal Piemonte, prima tra le regioni italiane. Ancora poco diffuse, a causa della giovane età, le associazioni fondiarie consentono a gruppi di cittadini di acquisire “in prestito” dai proprietari micro-appezzamenti e terreni agricoli incolti o abbandonati, lavorarli e ripristinarli nel rispetto di obblighi paesaggistici, col vantaggio non secondario di prevenire i rischi idrogeologici e gli incendi.

    Ci sono poi le CSA, ovvero le comunità di agricoltori supportate dai cittadini, altra forma di sostegno biunivoco tra chi coltiva e chi consuma. Si tratta di un fenomeno di rilievo internazionale ma non sono ancora molte le community-supported agriculture italiane. Tra le principali ci sono senz’altro Arvaia, a Bologna, la romana Semi di comunità e Cumpanatico Sud in Campania.

    In generale si tratta di cooperative agricole nelle quali soci lavoratori e fruitori partecipano alle attività in campo e fuori, prefinanziando le produzioni orticole. Tuttavia, tra le CSA possiamo incontrare iniziative guidate dai contadini e altre in cui l’impresa è gestita direttamente dalla comunità attraverso la cooperazione. Troviamo accordi tra produttori e comunità, dove quest’ultima garantisce un approvvigionamento a lungo termine, e vere imprese agricole di comunità, che vendono i loro prodotti anche a chi socio non è.

    https://valori.it/agricoltura-civica-coronavirus

    #agriculture_civique #agriculture #crise #crise #résilience #coronavirus #agriculture_intensive #alternative #agriculture_multifonctionnelle #agriculture_biologique #économie_civile #crise_sanitaire #crise_économique #crise_sociale #confinement #contagions #amap #plaine #montagne #galline_felici

    • Définition de #agriculture_civique sur wiki :

      Con il termine agricoltura civica (o civile) si fa riferimento ad un modello economico che pur mantenendo come finalità dell’attività la coltivazione di piante e l’allevamento di animali a fini alimentari, contestualmente persegue il bene comune che, secondo i principi dell’economia civile[1], è il risultato di tutti i livelli di benessere dei singoli individui di una collettività. Per questa ragione, l’agricoltura civica si fonda sul coinvolgimento delle comunità locali e dei cittadini, abbraccia sistemi di produzione e di commercializzazione innovativi, e rappresenta una visione della società fondata su pratiche sociali, economiche e ambientali sostenibili, sull’etica, sul senso di responsabilità, sulla reciprocità. Per tali caratteristiche gli impatti dell’agricoltura civica devono essere valutati attraverso moltiplicatori di tipo ambientale e sociale, oltre che economico.
      L’agricoltura civica fa riferimento a modelli di produzione agricola di piccola/media scala fortemente integrati nel sistema locale, alle comunità di persone ed alle risorse naturali della località. Le pratiche di agricoltura civica consentono di assicurare ai cittadini, oltre al cibo, infrastrutture vitali indispensabili per la vita quotidiana, siano esse di tipo naturale (paesaggi, gestione delle risorse naturali, biodiversità) o sociale (conoscenza del mondo agricolo e rurale, identità e vitalità delle comunità, benessere delle persone, servizi socio-educativi ed assistenziali).
      Le forme di agricoltura civica trovano traduzione concreta nelle pratiche di #community-supported_agriculture #CSA (in italiano, agricoltura sostenuta dalla comunità), dei gruppi di acquisto solidale (#GAS), nelle forme di agricoltura sociale[2][3][4] praticate dalle aziende agricole e dal mondo della cooperazione sociale, nei community gardens (in italiano, giardini condivisi), nella didattica aziendale e nella produzione di servizi alla persona, nelle forme di vendita diretta, in quelle pratiche di qualità economica, ambientale e sociale, che non si esauriscono in uno scambio mercantile, bensì, mantengono al loro interno valori di relazione durevoli e continuativi[5][6].
      Le pratiche di agricoltura civica coesistono con quelle proprie dell’agricoltura convenzionale ed assicurano risorse indispensabili per qualità della vita nei sistemi locali. Anche per questo la pianificazione territoriale guarda con progressivo interesse al modo in cui leggere le pratiche di agricoltura civica ed inserirle negli strumenti di piano.
      Il termine “#civic_agriculture” venne utilizzato per la prima volta da T.A. Lyson nel 1999 durante il Meeting Annuale della Rural Sociology Society[7].

      https://it.wikipedia.org/wiki/Agricoltura_civica
      #agriculture_sociale #commons #biens_communs #communs

    • Coronavirus, agricoltura tradizionale come modello per ripartire Lo studio dell’Università di Firenze

      Nel contesto della attuale emergenza, anche le componenti scientifiche e gli organi di governo del territorio rurale cercano di dare il loro rapporto alla migliore comprensione del fenomeno COVID-19 e alla definizione degli indirizzi post emergenza. In questo contesto, è nata l’idea di svolgere un’indagine congiunta fra l’Osservatorio Nazionale del Paesaggio Rurale (ONPR) del Ministero delle Politiche Agricole e il laboratorio CULTAB, della Scuola di Agraria dell’Università di Firenze riguardo la diffusione dei contagi del Covid-19. L’indagine aveva l’intenzione di valutare la diffusione del virus nelle diverse zone rurali italiane, classificate in base alla intensità delle attività agricole, cercando di individuare la possibile correlazione fra i contagi e il diverso livello di sviluppo socioeconomico e il tipo di agricoltura praticata. Si intendeva usare un approccio diverso rispetto alla classificazione dei dati sui contagi per regione, valutando il numero dei contagi in base al modello di sviluppo rurale. L’analisi si colloca in un periodo particolarmente importante anche perché la discussione sul nuovo budget della UE ha contribuito a rimandare la partenza della nuova politica agricola comunitaria (PAC), offrendo la possibilità di reindirizzare le strategie e le azioni finanziate dalla PAC in vista della fase post emergenza.


      https://www.landscapeunifi.it/2020/04/15/coronavirus-agricoltura-tradizionale-come-modello-per-ripartire-lo-st
      #cartographie #visualisation

  • #DFAK : Digital First Aid Kit : une trousse de premiers soins en cas de péril informatique et plus ?

    Un site vient d’être lancé afin de répondre à d’éventuels besoin d’aide / de protection contre les risques informatiques les plus courants en cas de perte d’appareil / perte d’accès à des comptes / fonctionnement inquiétant d’un appareil / message suspect / site web hors ligne / usurpation d’identité / harcèlement / données perdues / arrestation d’un proche.
    Mine de rien, c’est une base assez énorme, avec à chaque fois de multiples conseils et / ou questionnaire en ligne pour couvrir un maximum de situations et prévu pour venir en aide à des publics civils (lanceurs d’alertes, activistes, féministes, etc.) comme des organisations ou les formateur-ice-s en sécu, etc. @arnoferrat a un peu testé est est tombé sur une page d’erreur, tout en ayant une impression première « top » ( https://twitter.com/arnoferrat/status/1195291577993879552 ).
    Pour ma part, point de 404 mais beaucoup de liens vers des articles en anglais menant vers les sites partenaires, avec la sensation d’un environnement très entrepreneurial, mais c’est juste une sensation, aucun reproche concret à faire sur la première rapide visite, bien au contraire ! Vos avis et retours sont les bienvenus, tout comme j’aimerai avoir ceux de membres de legal teams ou def coll sur la partie répression...

    https://www.digitalfirstaid.org/fr

    Une trousse conçue pour vous conduire à la bonne équipe CiviCERT

    La trousse de premiers soins numériques est une ressource gratuite pour aider les intervenants du réseau de réponses rapides, les formateurs en sécurité numérique et les activistes amateurs de technologies à mieux se protéger et à mieux protéger les communautés qu’ils soutiennent contre les types les plus courants d’urgences numériques. Elle peut également être utilisée par les militants, les défenseurs des droits humains, les blogueurs, les journalistes ou les activistes dans les médias qui veulent en savoir plus sur la façon dont ils peuvent se protéger et soutenir les autres. Si vous ou quelqu’un que vous aidez éprouvez une urgence numérique, la trousse de premiers soins numérique vous guidera dans le diagnostic des problèmes auxquels vous faites face et vous dirigera vers des soutiens pour obtenir de l’aide si besoin.

    DFAK / A propos

    La trousse de premiers soins numériques est le fruit d’une collaboration entre le #RaReNet (Rapid Response Network) et le #CiviCERT.

    Le Réseau de réponse rapide est un réseau international d’intervenants réactifs et d’experts en sécurité numérique qui comprend l’EFF, Global Voices, Hivos & the Digital Defenders Partnership, Front Line Defenders, Internews, Freedom House, Access Now, Virtual Road, CIRCL, Open Technology Fund, ainsi que des experts individuels en sécurité qui travaillent dans le domaine de la sécurité numérique et des interventions d’urgence.

    Certaines de ces organisations et personnes font partie de CiviCERT, un réseau international de services d’assistance en matière de sécurité numérique et de fournisseurs d’infrastructures qui se concentrent principalement sur le soutien aux groupes et organisations luttant pour la justice sociale et la défense des droits humains et numériques. CiviCERT est un cadre professionnel pour soutenir les efforts distribués de la communauté d’intervention rapide CERT (Computer Emergency Response Team). CiviCERT est accrédité par Trusted Introducer, le réseau européen d’équipes de confiance pour l’intervention d’urgence en informatique.

    La trousse de premiers soins numérique est également un projet open-source qui accepte des contributions extérieures : https://gitlab.com/rarenet/dfak

    Sites référence : https://www.rarenet.org + https://www.civicert.org

    #autodefense #defense_informatique #defense_numerique #securite_informatique #securite_numerique #intimite #activisme #repression #censure

  • Why #Civil_Resistance Works | #Erica_Chenoweth
    https://www.ericachenoweth.com/research/wcrw

    résumé (fr)
    http://www2.centre-cired.fr/IMG/pdf/cr_chenoweth_stephan-2.pdf

    Though it defies consensus, between 1900 and 2006, campaigns of nonviolent resistance were more than twice as effective as their violent counterparts. Attracting impressive support from citizens that helps separate regimes from their main sources of power, these campaigns have produced remarkable results, even in the contexts of Iran, the Palestinian Territories, the Philippines, and Burma.

    Combining statistical analysis with case studies of these specific countries and territories, Erica Chenoweth and Maria J. Stephan detail the factors enabling such campaigns to succeed-and, at times, causing them to fail. They find that #nonviolent_resistance presents fewer obstacles to moral and physical involvement, information and education, and participator commitment. Higher levels of participation then contribute to enhanced resilience, a greater probability of tactical innovation, increased opportunity for #civic_disruption (and therefore less incentive for the regime to maintain the status quo), and shifts in loyalty among opponents’ erstwhile supporters, including members of the military establishment. They find successful nonviolent resistance movements usher in more durable and internally peaceful #democracies, which are less likely to regress into #civil_war. Presenting a rich, evidentiary argument, this book originally and systematically compares violent and nonviolent outcomes in different historical periods and geographical contexts, debunking the myth that violence occurs because of structural and environmental factors and is necessary to achieve certain political goals. Instead, Chenoweth and Stephan find #violent #insurgency is rarely justifiable on strategic grounds.

  • I suck at being altruistic…can I still be a civic #hacker?
    https://hackernoon.com/i-suck-at-being-altruistic-can-i-still-be-a-civic-hacker-57dee4ab5a1?sou

    In short, yes.So I’ll share my story briefly.I’ve always been asked why I do what I do. Since I was younger, my ability to empathize and to understand what someone else was feeling has been strong.I was always the neutral party in friend groups and was grateful to have never been bullied to the extent that I some of my dear friends experienced. My role was always to connect but also defend those who needed a shield. I wanted to build space for them to be themselves without external pressures. Just seemed so unfair.I’m sure that little Sarah will agree that my current role as a civic hacker and social entrepreneur aligns with who I’ve been. I’m still connecting and building protective spaces for our communities to take charge of the good we want to see.I watched this last year and I loved what (...)

    #altruism #civic-hacker #life-lessons #hacker-for-good

  • vTaïwan : le citoyen, clé de la discussion publique ?
    http://www.internetactu.net/2018/06/07/vtaiwan-le-citoyen-cle-de-la-discussion-publique

    Alexandre Detroux (@alexdetroux), ingénieur de concertation chez Bluenove, qui développe le logiciel de concertation Assembl, revient en détail sur le fonctionnement de la plateforme de participation taïwanaise vTaïwan, qui interroge la société sur des questions aussi diverses que les véhicules sans pilote, l’autorisation d’Airbnb, la vente d’alcool en ligne ou (...)

    #Services #Tribune #CivicTech #démocratie

  • Vers le lobbying automatisé ?
    http://www.internetactu.net/a-lire-ailleurs/vers-le-lobbying-automatise

    Dans la grande famille des #CivicTech (les technologies au service de la citoyenneté, cf. « CivicTech : la démocratie a-t-elle un modèle économique ? » et « Les innovations démocratiques en questions »), on connaissait déjà les GovTech (technologies de gouvernement, c’est-à-dire les plateformes au service des autorités pour assurer leur développement numérique à l’image des (...)

    #eDémocratie #politiques_publiques

  • Les Civic Tech en leurs enjeux
    http://www.internetactu.net/a-lire-ailleurs/les-civic-tech-en-leurs-enjeux

    Sur Culture Mobile, Ariel Kyrou livre une longue interview du politologue Clément Mabi (@C_Mabi, dont on peut consulter les versions complètes papier ou audio). Celui-ci a récemment dressé pour la Vie des idées une intéressante typologie des Civic Techs en 3 grandes familles (voir également celle que proposait il y (...)

    #A_lire_ailleurs #Recherches #Usages #CivicTech #eDémocratie

  • #CivicTech : la #démocratie a-t-elle un modèle économique ?
    http://www.internetactu.net/2016/12/15/civictech-la-democratie-a-t-elle-un-modele-economique

    Pour faire suite au débat organisé en juin dernier à Super Public (dont nous avions rendu compte), la 27e Région, laboratoire d’innovation publique, organisait le 8 décembre une soirée sur la question des modèles économiques des CivicTech. « Peut-on transposer les modèles économiques de la Silicon Valley dans le champ démocratique ? », (...)

    #Articles #Usages #politiques_publiques

  • The End of the Second Act of Civic Tech

    For my purposes here, “civic tech” (as well as “us” or “we”) broadly includes the many organizations working on transparency, open data, and/or services that impact government, in the intersection between policy and technology development.

    http://krues8dr.com/blog/2016/09/27/the-end-of-the-second-act-of-civic-tech

    #CivicTech #DémocratieLiquide #OpenGov #SunlightFoundation

  • Que recouvrent les “Civic Tech” ? - Medium
    http://alireailleurs.tumblr.com/post/135101515709

    Lawrence Grodeska (@grodeska), le fondateur de CivicMakers fait le point sur Medium sur la définition des “Civic Tech”, les technologies adaptées à la citoyenneté. Alors que le logiciel est en train de dévorer le monde, comme le proclame l’investisseur libéral Marc Andreessen, les relations citoyennes dans l’espace public entre les gens, les communautés, les villes, les gouvernements et les Etats, semblent résister aux avancées logicielles. Les Civic Tech sont un mouvement qui visent à revitaliser et transformer nos institutions sociales, explique-t-il, mais les définitions en proposent des interprétations assez différentes les unes des autres. Pour Techcrunch, les Civic Tech sont des technologies visant à permettre aux citoyens ou à les aider à “rendre le gouvernement plus accessible, efficient et (...)

    #CivicTech #e-gov #politiques_publiques

  • CIVIC | Vidéo témoignage de détention administrative à James A Musick Facility

    Une vidéo publiée par la Community Initiatives for Visiting Immigrants in Confinement (#CIVIC) présente le témoignage de Marcela Castro, une jeune femme qui vit dans le centre de détention James A Musick Facility.

    http://www.asile.ch/vivre-ensemble/2015/03/10/civic-video-temoignage-de-detention-administrative-a-james-a-musick-facility
    #témoignage #détention_administrative #rétention #asile #migration #réfugiés #James_A_Musick_Facility #USA #Etats-Unis

  • When dams meet privatization : #Lebanon under water transactions
    http://english.al-akhbar.com/content/when-dams-meet-privatization-lebanon-under-water-transactions

    A man walks along the base of the #Chabrouh_Dam, which is said to be leaking large amounts of water. (Photo: Haitham Moussawi) A man walks along the base of the Chabrouh Dam, which is said to be leaking large amounts of water. (Photo: Haitham Moussawi)

    There is an astonishing slogan deeply ingrained within Lebanese common discourse: “Our country has abundant water but it all goes to the sea, we need dams to stop this waste.” This phrase reflects the universal water service shortage in the country and the solution to address it. However, this statement is based on a poor factual understanding of the nature of the water supply in Lebanon, and distracts from the real issues that have contributed to the severity of our current (...)

    #Opinion #Articles #Blue_Gold #Civic_Influence_Hub #Hammana_Dam #Jeita_spring #Nahr_al-Kalb

  • #Lebanon’s #Blue_Gold Project: Vote to Privatize Your Water
    http://english.al-akhbar.com/content/lebanon%E2%80%99s-blue-gold-project-vote-privatize-your-water

    On Tuesday, December 17, Lebanese President Michel Suleiman and Prime Minister-designate Tammam Salam attended a launch ceremony for what is actually yet another nail in the coffin of the Lebanese state: the Blue Gold project (Photo: Marwan Tahtah). On Tuesday, December 17, Lebanese President Michel Suleiman and Prime Minister-designate Tammam Salam attended a launch ceremony for what is actually yet another nail in the coffin of the Lebanese state: the Blue Gold project (Photo: Marwan Tahtah).

    Vote for the Blue Gold project. Many have noticed the television ads on Lebanese networks, and some may have even thought that Blue Gold is a campaign to protect Lebanon’s water resources. However, the project owner – the Civic (...)

    #Economy #Articles #Civic_Influence_Hub #Farid_Chehab

  • Une bonne nouvelle : nous accueillons sur seenthis l’équipe de Civic City, menée de main de maître par Imke Plinta, Sophie Staub, Ruedi Baur et Vera Kockot-Baur...

    Pour mieux connaître les projets et les actions de Civic City (c’est un institut, un réseau, de recherche en « design critique », qui regroupe des designers, architectes, graphistes, urbanistes en France - Paris et Marseille - et en Suisse - Genève et Zurich). Vous pouvez consulter les sites suivants :

    http://www.civic-city.org

    http://www.labo-irb.eu

    http://new.ruedi-baur.eu

    http://www.irb-paris.eu

    http://head.hesge.ch

    http://www.lacitedesartsdelarue.net/IMG/pdf/CivicCityCivicDesign_Programme_3_.pdf

    http://www.mp2013.fr/au-programme/actions-participation-citoyenne/quartiers-creatifs/ruedi-baur-institut-civic-city

    Il y a dans ce groupe autant d’étudiants que de professionnels qui travaillent sur des projets urbains, graphiques, signalétiques. D’intéressantes discussions sur les « politiques de la ville », l’organisation (et la protection hé hé ...) de l’espace public, et une réflexion collective sur la représentation du monde par les cartes, par divers modes de représentation visuelle. C’est un lieu idéale pour « penser » une nouvelle écriture cartographique, par exemple...

    Ce sera en Français, en Anglais, en Allemand, en Italien... Et perso, je leur souhaite une chaleureuse bienvenue en espérant qu’ils sauront tirer avantage de ce merveilleux outil qu’est seenthis

    #urbanisme #architecture #visualisation #cartographie #urban_matter #civic_city