company:the economist

  • Who says the most liveable city is in the west? Culture doesn’t just live in museums | Chibundu Onuzo | The Guardian
    https://www.theguardian.com/commentisfree/2018/aug/19/vienna-lagos-economist-intelligence-unit-liveability-index

    Why do studies like this exist anyway? The people who actually live in Harare, Karachi and Algiers are still living there, no matter how “unliveable” the Economist Intelligence Unit judges their cities. In the report summary, the compilers state that their findings will help in “assigning a hardship allowance as part of expatriate relocation packages”. I’d just like to say that Lagos has enough expats. We see them, overpaid and overfed, establishing little colonies, disparaging the local culture, food and customs, and earning three times what they would at home.

    #urban_matter #culture #racisme #expats (perso je placerais Lagos loin devant Vienne ahahah)

  • Allocution de la philosophe #Kathleen_Stock à Brighton
    https://tradfem.wordpress.com/2018/07/23/allocution-de-la-philosophe-kathleen-stock-a-brighton

    La philosophe britannique Kathleen Stock s’est adressée il y a quelques jours à un auditoire réuni à Brighton par l’organisation féministe A Woman’s Place UK pour discuter des droits des femmes et des transfemmes. Elle nous a accordé la permission de traduire et afficher ses propos, qualifiés d’inacceptables par un lobby qui a cherché à empêcher par des pressions et du piquetage la tenue de cette conférence. Jugez-en, et veuillez diffuser ce texte dans votre réseau si vous en aimez la qualité.
    On trouvera plus bas une entrevue de Mme Stock accordée à un journal local.

    Bonjour à toutes et à tous.

    Je suis universitaire à l’Université du Sussex, au département de philosophie.

    L’un de nos domaines est celui de la philosophie politique, le fait de discuter de ce qui est juste ou injuste dans les conventions sociales et politiques, y compris les lois. Avoir des opinions, mais aussi soutenir ces opinions avec des arguments rationnels.

    Au cours des derniers mois, j’ai décidé de faire un peu de philosophie politique publique. J’ai commencé à écrire sur les problèmes que posent des changements proposés à la Loi sur la reconnaissance de l’identité sexuelle, et sur leur interaction avec la Loi sur les égalités.

    J’ai affiché une série d’essais sur la plate-forme Medium, qui se trouve facilement en cherchant mon nom et le mot « Medium », ou en cliquant sur le tweet épinglé en haut de mon fil Twitter. J’ai aussi écrit un certain nombre de textes pour le journal The Economist, qui sont aussi épinglés sur mes pages Internet.

    J’énonce clairement dans mes écrits que j’appuie entièrement les droits des personnes trans à vivre sans subir de violence, de discrimination ou de haine.

    Je tiens également à faire la distinction entre les transactivistes et les personnes transgenres.

    Par « transactivistes », je désigne des organisations comme Stonewall, Gendered Intelligence, etc., qui sont socialement très visibles, politiquement puissantes et ont beaucoup d’argent. Elles ont un message politique central, assez simpliste. Elles promeuvent agressivement le mantra « les transfemmes sont des femmes », qui signifie apparemment pour elles « littéralement des femmes, dans tous les sens possibles », et elles sont partisanes du critère d’auto-identification. Il est important de noter que ce ne sont pas toutes les personnes trans qui sont d’accord avec ces organisations ou considèrent qu’elles parlent en leur nom.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://medium.com/@kathleenstock/notes-for-my-talk-to-a-womans-place-uk-brighton-17th-july-2018-f1b607414119 et https://medium.com/@kathleenstock/full-text-of-interview-with-brighton-argus-45a23acfe92e

    #transfemme #genre #allocution #discrimination #débat #philosophie

  • Psychologie entre abysses et volcan
    http://www.dedefensa.org/article/psychologie-entre-abysses-et-volcan

    Psychologie entre abysses et volcan

    1er février 2018 – Parmi les journaux “globalistes” les plus influents et les plus acceptés comme “passeurs de consignes” du grand courant qu’ils représentent, on trouve à peu près ex-aequo The Financial Times (FT) et The Economist. Le second, encore plus que le quotidien couleur-saumon parce qu’il a l’ampleur de vue de la semaine écoulée dans un temps où le Temps se contracte et où l’Histoire accélère, a la tâche implicite d’exposer et de détailler pour information impérative à qui de droit, les grandes stratégies en cours ou sur le point d’être lancées, ou qu’il importe de lancer, – et dans tous les cas qu’il importe de suivre sans discussion.

    Plus que jamais dans notre époque toute entière inspirée par The Masters of Universe qui nous montrent chaque jour leur considérable (...)

  • Tunis, ville dépotoir : La situation est critique, mais à qui la faute ? | Businessnews.com.tn
    http://www.businessnews.com.tn/details_article.php?a=33036&t=519&lang=fr&temp=1

    « The global liveability report », publié au mois d’août 2012, par l’Economist Intelligence Unit (EIU), unité de recherches et d’analyses appartenant au journal britannique The Economist, [...] place notre capitale Tunis à la 104ème place sur un total de 140 villes, soit parmi les cités les moins « vivables » au monde.
    La capitale tunisienne figure, ainsi, parmi les villes et les capitales du Printemps arabe ayant affiché une chute par rapport au classement précédent (août 2011).
    [...]Ces révolutions ont « provoqué un recul en matière de qualité de vie pour les Etats concernés », ont constaté les éditeurs (experts et économistes) de l’EIU dans leur rapport publié sur le site Web de l’unité.

    #Tunisie
    #révolutions_arabes
    #environnement
    #déchets
    #services_urbains

  • Par hasard, au fil de mes recherches, je suis tombé sur l’Indice de Démocratie qui a été créé en 2006 par le journal « The Economist » qui note les pays de la planète en fonction du niveau qualitatif de leur démocratie. Il est publié tous les deux ans. Jusqu’ici la France était rangée parmi les pays « Démocraties à part entière ». Mais plus depuis cette année, car dans son Indice 2010 la France a été rétrogradée avec les « Démocraties Imparfaites ». Dans ce nouveau classement, la France est par exemple considérée comme moins démocratique que l’Italie ! Vous pouvez lire ci-dessous les explications données par les auteurs de l’étude :

    "Diverses tendances politiques négatives en France ces dernières années ont entraîné la rétrogradation de ce pays à la catégorie « démocratie imparfaite ». La confiance du public dans les partis politiques et le gouvernement est extrêmement faible. Les enquêtes ont également montré que l’engagement politique des citoyens a diminué. Le degré du soutien de la population en faveur de la démocratie est parmi les plus bas des pays développés. Une personne sur sept croit que la démocratie ne vaut pas mieux qu’une autre forme de gouvernement. Le fossé entre les citoyens du pays et ses élites politiques s’est élargi. Les violentes émeutes de ces dernières années sont un autre symptôme du malaise politique. Sous le régime politique français, le président exerce d’énormes pouvoirs. Le style autocratique et autoritaire de l’actuel président, Nicolas Sarkozy, menace de saper les traditions démocratiques. Il a augmenté le sentiment anti-musulman et a mis l’accent sur les racines chrétiennes du pays au cours de sa présidence. La pression sur les journalistes et les médias électroniques ont conduit à une baisse de la liberté des médias."

    http://aymericpontier.blogspot.com/2011/02/la-france-nest-plus-une-democratie-part.html