country:bolivie

  • #Pérou-#Bolivie. Le grand retour du trafic massif de #cocaïne par avion

    Depuis plusieurs années, le trafic de cocaïne par voie aérienne entre le Pérou et la Bolivie se développe. Un marché florissant sur lequel ont enquêté des journalistes péruviens du site IDL-Reporteros.


    http://www.courrierinternational.com/article/perou-bolivie-le-grand-retour-du-trafic-massif-de-cocaine-par

    #drogues

  • Bolivie : Le second lac du pays, le Poopó, est totalement asséché et offre une image de désolation | Actu Latino
    http://www.actulatino.com/2015/12/28/bolivie-le-second-lac-du-pays-le-poopo-est-totalement-asseche-et-offre-u

    Le lac Poopó, enclavé dans les Andes boliviennes et considéré comme le deuxième plus grand lac du pays sud-américain (après le lac Titicaca), a quasiment disparu, il s’est asséché de façon dramatique, avec des conséquences catastrophiques sur la faune et la flore locales. Des milliers de poissons et d’oiseaux ont déjà perdu la vie, l’impact économique est aussi important pour les familles qui vivaient de la pêche dans la municipalité de Toledo (département d’Oruro), aujourd’hui l’étendue d’eau a laissé place à un immense désert salin.

    http://www.lostiempos.com/diario/actualidad/economia/20151226/deficit-del-lago-poopo-llega-a-161-hm-cubicos-al_327614_727699.html

    #Poopó #Bolivie #lac_asséché

  • Quiz – Célébration de la Journée internationale de la #montagne
    http://www.fao.org/zhc/detail-events/fr/c/357616

    1. Quelle est, en pourcentage, la superficie de la terre couverte par les montagnes ?

    5%
    10%
    22%
    48%

    Les montagnes couvrent environ un quart de la surface terrestre (22%) et abritent près d’1 milliard de personnes et un quart des espèces terrestres animales et végétales.

    2. Quel pourcentage d’eau douce utilisée à l’échelle mondiale provient des montagnes ?

    0-20%
    20-40%
    40-60%
    60-80%

    Les montagnes fournissent entre 60 et 80 pour cent de l’eau douce sur la planète, sans laquelle le développement durable qui vise à éliminer la pauvreté et la faim serait impossible. Certaines des plus grandes villes du monde, dont New York, Rio de Janeiro, Nairobi, Tokyo et Melbourne, sont tributaires de l’eau douce provenant des montagnes.

    3. Quelle région du monde abrite le pourcentage le plus élevé de personnes vivant dans des régions de montagnes ?

    Afrique
    Asie
    Amérique Latine et Caraïbes
    Océanie

    En 2012, en Asie, plus de 470 millions de personnes vivaient dans des régions de montagne, soit 52 pour cent de la population des régions montagneuses à l’échelle mondiale.

    4. Quel est le pourcentage des populations de montagnes vivant dans des zones urbaines ?

    5%
    30%
    45%
    75%

    30%. El Alto, en Bolivie, est la ville la plus haute du monde. Elle abrite plus d’1 million d’habitants. La population mondiale des régions de montagnes est passée de 789 millions à 915 millions de personnes entre 2000 et 2012, dont 90 pour cent vivent dans des pays en développement.

    5. Aujourd’hui, dans quelle proportion les populations de montagne des pays en développement sont-elles exposées à l’insécurité alimentaire ?

    1 personne sur 3
    1 personne sur 20
    1 personne sur 50
    1 personne sur 100

    Dans les pays en développement, 1 personne sur 3 vivant dans les montagnes est exposée à l’insécurité alimentaire et est confrontée à la pauvreté et à l’isolement. L’accès aux marchés, aux services de vulgarisation, au crédit et à l’information est essentiel pour soutenir les producteurs de montagne.

    6. De quel pays le café – l’un des produits de montagne les plus répandus – est-il originaire ?

    Ethiopie
    Yémen
    Corne d’Afrique
    Turquie

    Le café trouverait ses origines en Ethiopie. Il pousse dans les régions de montagne sous les climats tropicaux d’Amérique Centrale et du Sud, d’Afrique et d’Asie du Sud-Est. Aujourd’hui, plus de 125 millions de personnes dans le monde vivent de la production de café.

    7. Parmi les plantes suivantes, laquelle ne provient pas des montagnes ?

    Pommes de terre
    Blé
    Sorgho
    Maïs

    Parmi les 20 espèces végétales qui fournissent 80 pour cent de la nourriture dans le monde, six proviennent des montagnes et y ont été diversifiées : le maïs, les pommes de terre, l’orge, le sorgho, les tomates et les pommes.

    8. Dans quel pays le fromage Schabziger (sapsago) est-il produit ?

    Bolivie
    Pérou
    Norvège
    Suisse

    C’est un produit de montagne de qualité depuis 550 ans. Au XVe siècle, le fromage à pâte dure aromatisé au trèfle mélilot, connu sous le nom de Sapsago, était le produit le plus vendu du canton de Glaris, une vallée montagneuse en Suisse. Malgré les crises commerciales survenues au cours des siècles, le Sapsago est resté un produit d’exportation important, vendu dans plus de 50 pays.

  • Roads to Rome
    http://roadstorome.moovellab.com

    superbe projet de #cartographie basé sur un calcul (et non pas sur des données historiques) des #routes les plus employées quand on va d’un point quelconque de l’Europe vers #Rome

    ou vers la capitale (à noter que le choix des capitales c’est un peu n’importe quoi) :

    la deuxième partie prend une ville, colorie les routes :

    et les met dans un certain ordre pour créer une signature particulière :

    je sais pas à quoi ça sert mais c’est #beau, en plus c’est interactif on peut regarder ce que ça donne chez soi, avec différents paramètres
    #openstreetmap #accessibilité

  • Le discours #anticapitaliste d’#Evo_Morales modérément apprécié - Libération
    http://www.liberation.fr/direct/element/le-discours-anticapitaliste-devo-morales-moderement-apprecie_25034

    Cop 21.

    Evo Morales (photo AFP), président de la Bolivie, a lui parlé dans son discours du système capitaliste qui dégrade le travail, détruit la condition humaine et mène la planète à la catastrophe. Il ne sert qu’à une minorité de nantis au détriment du plus grand nombre, assure-t-il. Un crime « contre la terre mère » qui tue chaque jours des milliers de personnes avec sa « culture de la guerre ». Il évoque « le consumérisme, l’individualisme qui sape les communautés ». #Applaudissements_timides.

  • Un discours anticapitaliste venu du Sud - Le pape contre le « fumier du diable », par Jean-Michel Dumay (septembre 2015)
    http://www.monde-diplomatique.fr/2015/09/DUMAY/53677

    Devant un auditoire dense réuni au parc des expositions de Santa Cruz, la capitale économique de la Bolivie, un homme en blanc fustige « l’économie qui tue », « le capital érigé en idole », « l’ambition sans retenue de l’argent qui commande ». Ce 9 juillet, le chef de l’Eglise catholique s’adresse non seulement aux représentants de mouvements populaires et à l’Amérique latine, qui l’a vu naître, mais au monde, qu’il veut mobiliser pour mettre fin à cette « dictature subtile » aux relents de « fumier du diable » (1).

    « Nous avons besoin d’un changement », proclame le pape François, avant d’inciter les jeunes, trois jours plus tard au Paraguay, à « mettre le bazar ». Dès 2013, au Brésil, il leur avait demandé « d’être des révolutionnaires, d’aller à contre-courant ». Au fil de ses voyages, l’évêque de Rome diffuse un discours de plus en plus musclé sur l’état du monde, sur sa dégradation environnementale et sociale, avec des mots très forts contre le néolibéralisme, le technocentrisme, bref, contre un système aux effets délétères : uniformisation des cultures et « mondialisation de l’indifférence ».

    En juin, dans la même veine, François adressait à la communauté internationale une « invitation urgente à un nouveau dialogue sur la façon dont nous construisons l’avenir de la planète ». Dans cette encyclique sur l’écologie, Laudato si’ (« Loué sois-tu »), il appelle chacun, croyant ou non, à une révolution des comportements et dénonce un « système de relations commerciales et de propriété structurellement pervers ». Un texte « à la fois caustique et tendre », qui « devrait ébranler tous les lecteurs non pauvres », estime la New York Review of Books (2). En France, 100 000 exemplaires de ce petit manuel se sont envolés en six semaines (3).

    Voir aussi « Changement de cap pour la conquête des âmes »
    http://www.monde-diplomatique.fr/2015/09/A/53717

  • A la Une : Mauricio #Macri, le nouveau #président_argentin - #Amériques - RFI

    L’Argentine et la victoire de Mauricio Macri au second tour de l’élection présidentielle qui met fin à la décennie « kirchnériste »

    « Macri s’est imposé et a mis fin à douze années d’hégémonie kirchnériste », titre La Nación. Mauricio Macri, ex-président du club de football Boca Junior et maire de Buenos Aires prendra ses fonctions le 10 décembre pour quatre ans. Il succède à Cristina Kirchner qui l’a appelé pour le féliciter et l’inviter dès demain à la résidence de Olivos. Cristina Kirchner a déjà commencé à faire ses adieux. Elle a prévenu qu’il ne faudrait pas remettre en question les avancées que son gouvernement a obtenues pour les Argentins, rapporte La Nación. Pour Página 12, Daniel Scioli « n’a donc pas réussi à rompre le maléfice puisqu’aucun gouverneur de la province de Buenos Aires n’a réussi à se faire élire président ». De son côté, Mauricio Macri « n’a pas appelé à la revanche, mais à l’unité », signale Clarín.

    Une victoire relevée dans la presse de l’ensemble du continent

    Mauricio Macri a été félicité par plusieurs présidents du continent, indique Página 12, dont la Colombie, le Paraguay, le Mexique, mais aussi les pays dits progressistes et désormais anciens alliés : le Chili, l’Equateur, la Bolivie et le Venezuela. Pour le Washington Post, le maire de Buenos Aires a été catapulté à la tête du pays en surfant sur une vague de mécontentement due à plusieurs scandales au sein du gouvernement, une économie faible et un nationalisme combatif.

    Selon l’éditorialiste d’El Pais d’Uruguay, cette victoire n’est pas le fruit du hasard. Macri a su tisser au fil des ans des alliances politiques qui lui ont permis d’accéder à la présidence du pays : une coalition avec Elisa Carrió de l’Alliance civique, qui s’était présentée au premier tour, et avec l’Union civique radicale qui a apporté à Macri un large soutien sur tout le territoire. Un triomphe fort de la victoire de María Eugenia Vidal dans la province de Buenos Aires lors des élections d’octobre, insiste El País, alors que cette province était un bastion du péronisme et semblait invincible.

    Le Venezuela perd un allié stratégique.

    Les relations entre l’Argentine et le Venezuela risquent de se tendre, car comme le rappelle 2001, Macri avait déclaré qu’en cas de victoire, il demanderait des comptes à Nicolas Maduro à propos des abus, des prisonniers politiques, de la participation de militaires dans le gouvernement et pour faire suspendre le Venezuela du Mercosur ; une promesse qu’il dit vouloir tenir lors du prochain sommet en décembre.
    Selon El País, la vague progressiste du continent semble « avoir commencé à se fissurer à Buenos Aires ».

    Mais le nouveau président devra nécessairement « négocier avec le Congrès », prévient O Globo ; il devra aussi forger des alliances avec les principaux dirigeants péronistes, ajoute La Nación . Macri devra mettre en place une dévaluation de la monnaie, assainir le marché des changes et lever les restrictions qui pèsent sur le commerce extérieur, avance le journal colombien El Tiempo.

    Les grands défis du nouveau président Mauricio Macri

    Mauricio Macri n’a pas la majorité à l’Assemblée nationale et encore moins au Sénat, insiste Clarín. La « révolution du bonheur » dont Mauricio Macri s’est senti investi à mesure qu’on approchait du second tour ne durera pas longtemps estime d’un ton sarcastique l’éditorialiste du journal de Rio Negro. « Les circonstances économiques provoquées par l’irresponsabilité du gouvernement sortant ne lui donneront pas le temps de profiter de cette lune de miel » poursuit-il.

    Selon Clarín, le nouveau président fait face à quatre défis majeurs : le ralentissement de l’économie mondiale, les déséquilibres de l’économie nationale, l’obstruction de l’opposition et l’inexpérience politique de sa propre coalition. Les grandes interrogations étant : est-ce que le président pourra faire passer ses réformes au Congrès, et est-ce que la rue le laissera les mettre en œuvre ?

    Heureusement, estime l’éditorialiste de Rio Negro, les partisans de Macri ne sont pas autoritaires ni illuminés. « Ce sont des centristes pragmatiques », assure-t-il, « qui veulent que l’Argentine soit assimilée davantage aux démocraties développées qu’à des pays ’bolivariens ’ comme le Venezuela, l’Equateur, sans parler de Cuba, qui ont servi de modèle au kirchnérisme » assène-t-il. Il faut désormais un changement soutenable, insiste pour sa part Clarín. Et Clarín de conclure : « à partir de maintenant le kirchnérisme n’est pas le problème, mais il faudra bien reconnaître qu’il a proposé la solution ».

    http://www.rfi.fr/ameriques/20151123-une-mauricio-macri-le-nouveau-president-argentin?ns_campaign=reseaux_so
    http://scd.rfi.fr/sites/filesrfi/imagecache/rfi_16x9_1024_578/sites/images.rfi.fr/files/aef_image/ARGENTINA2-ELECTION_0.JPG

  • Rapide recherche sur Google News : 308 articles consacrés au fait que la Russie a été dénoncée par l’Agence mondiale antidopage. Un unique article mentionnant en titre le fait qu’Israël aussi : Israël est sur la « liste noire » de l’Agence mondiale antidopage.
    http://alyaexpress-news.com/2015/11/israel-est-dans-la-liste-noire-de-lagence-mondiale-antidopage

    L’Agence mondiale antidopage (AMA) a publié jeudi soir une « liste noire » des Etats qui ne remplissent pas les exigences adoptées en 2015 concernant le code international pour lutter contre l’utilisation de stimulants chimiques dans les sports. Avec la Russie, l’Ukraine, Andorre, Argentine, Bolivie, Israël fait partie de cette liste.

  • #Bolivie : priorité à l’exploration de nouvelles réserves d’#hydrocarbures

    Entre le #pétrole et les peuples indiens, le gouvernement bolivien a choisi la priorité à l’exploration de nouvelles réserves d’hydrocarbures. Un secteur hautement stratégique car l’exportation d’hydrocarbures est tout simplement la première source de revenus de ce pays, l’un des plus pauvres d’Amérique du Sud. Malgré sa réputation internationale de défenseur des indiens et de l’environnement, le président Evo Morales a récemment autorisé par décret l’exploration de nouvelles réserves de #gaz_naturel et de #pétrole dans les parcs nationaux et territoires indiens du pays. Une mesure qui provoque la colère des défenseurs de l’#environnement, qui dénoncent une catastrophe écologique et un crime contre les peuples amérindiens.

    http://www.rfi.fr/emission/20150909-bolivie-priorite-exploration-nouvelles-reserves-hydrocarbures
    #énergie #peuples_autochtones
    cc @louca

    • Cette soit disant dichotomie entre « indiens et pétrole »... est un bon exemple de pensée neo-coloniale ... la survie des communautés indigènes, des jeunes, des personnes âgées, des enfants. .. passe par des politiques publiques d’équipement de leurs territoires... et l’existence d’activités économiques ... et le pétrole en fait partie. .. Sans de nouvelles sources de revenus les communautés s’auto-identifiant comme « indigènes » vont simplement disparaître par exode migratoire ou agoniser sous forme de réserves de main d’oeuvre quasi gratuite de « gardiens de parcs » pour les ONG de conservation environnementale, le tourisme exotisant et les grands exploitants forestiers et agricoles. Mais ceci est finalement l’idée sous-jascente aux discours naturalistes-sociaux, coloniaux...et finalement racistes auxquels les médias europeens se livrent au quotidien sur la Bolivie et les reste des ex-colonies européennes (dont le Moyen Orient et l’Afrique, au cas ou on aurait fini par l’oublier ces derniers jours). Les « défenseurs de l’environnement » sont en général en Bolivie des gens aisés qui vivent en ville et voyagent en avion ... et sont bien contents que le prix du pétrole se maintienne bas pour pouvoir maintenir leur mode de vie. Le jour ou le prix du pétrole remontera, il sera possible de demander aux Etats producteurs d’en extraire moins et aux gros consommateurs de baisser leur consommation... et, qui sait, peut-être « sauver la planète » et les cultures vivantes qui la composent... et même les « défenseurs de l’environnement » et nos amis journalistes.

    • mmm @louca j’entends ce que tu veux dire, je suis assez d’accord sur la forme. Mais concrêtement je ne vois pas OÙ l’industrie pétrolière profite réellement aux populations locales. En tout cas pas au Canada, pas au Nigeria, pas au Moyen-Orient pour ne citer que ces exemples, ça les mets plutôt dans une merde noire et collante. Et au Venezuela les fluctuations du prix du baril ont ébranlé l’économie du pays. Alors est-ce une bonne idée ? Il n’y a-t-il pas d’autres voies de développement que le pétrole ? Le pétrole est-il l’avenir ? Je ne connais pas du tout le pays, son contexte, ce sont des questions.
      Maintenant la brève est brève et on n’a pas l’avis des principaux intéressés. Comme souvent.

    • Quand même, je ne peux pas m’empêcher de faire le parallèle avec l’agriculture commerciale : ok, ça fait monter le pib, ça fait rentrer de l’argent mais cet argent repart dans les poches des multinationales de l’agro-industrie. La Bolivie n’a pas les moyens d’exploiter elle-même son pétrole, elle doit faire appel à des entreprises étrangères, non ?

    • Un autre point qui me chiffonne : tu parles de « néocolonialisme » à propos des colons espagnols qui forment l’élite du pays et qui ne sont de fait jamais partis. Rien de néo là-dedans. Pour moi, le néo-colonialisme en Bolivie ce sont les entreprises étrangères qui viennent exploiter les ressources naturelles aujourd’hui.

  • Épidémies, violences policières et dépressions : ce que la France offre aux réfugiés de Calais - Basta !

    http://www.bastamag.net/Calais-jusqu-a-quand
    http://www.bastamag.net/IMG/arton5191.jpg?1445953811

    De retour d’une mission humanitaire en Bolivie, une jeune psychologue française raconte la « jungle » de Calais. Avant de repartir en mission avec Action contre la faim, Sadia Diloo a accompagné bénévolement, pendant un mois, les réfugiés, malades ou blessés, qui vivent dans ce camp. À son poste de médiateur sociosanitaire pour l’association Médecins du monde, elle a observé et écouté ce que vivent les hommes, femmes et enfants, qui sont parqués dans la « jungle », tels des animaux. Elle raconte leurs épouvantables conditions de survie.

    #calais #réfugiés #asile #migration

  • Epidémies, violences policières et dépressions : ce que la France offre aux réfugiés de Calais
    http://www.bastamag.net/Calais-jusqu-a-quand

    De retour d’une mission humanitaire en Bolivie, une jeune psychologue française raconte la « jungle » de Calais. Avant de repartir en mission avec Action contre la faim, Sadia Diloo a accompagné bénévolement, pendant un mois, les réfugiés, malades ou blessés, qui vivent dans ce camp. À son poste de médiateur sociosanitaire pour l’association Médecins du monde, elle a observé et écouté ce que vivent les hommes, femmes et enfants, qui sont parqués dans la « jungle », tels des animaux. Elle raconte leurs (...)

    #Résister

    / A la une, #Migrations, #Droits_fondamentaux

  • Les hackers de La Paz s’organisent pour libérer internet

    par Philippe Rivière

    http://visionscarto.net/hackers-de-bolivie

    qui est revenu de Bolivie avec un reportage publié en septembre dans ce qui est désormais notre "journal de référence" :) : "La Cité" à Genève, où nous allons de plus en plus confier les résultats de nos recherches, de nos découvertes et de nos expérimentations.

    « ...50 marches pour monter l’escalier qui conduit à la r00thouse, la grande maison qui sert de quartier général aux militants du logiciel libre. Cela fait déjà sept ans qu’ils se sont installés ici. Le très modeste budget qu’ils parviennent à rassembler est essentiellement consacré à un projet phare, le réseau mesh. Car les hackers de La Paz rêvent en grand : déployer, sur toute la capitale bolivienne, un accès internet public... »

    Le reportage est accompagné de trois cartes qui dressent le paysage "Internet" mondial selon les dernières statistiques de l’IUT. Notez s’il vous plait ici une des premières et excellentes production cartographique Fil Rivière réalisée de manière presque entièrement automatique avec le logiciel D3.

    Très prometteurs pour le traitement carto des futures séries statistiques qui nous tomberons entre les mains...

    visionscarto.net/prix-internet-2014

    #bolivie #hackers #internet #internet_libre #communication #accès #cartographie #visualisation #cartographie_choroplète

  • Enregistrement sonore de la conférence de Maurice Lemoine
    http://universitepopulairetoulouse.fr/spip.php?article509

    Toulouse, le 25 septembre 2015, à l’initiative des Amis du Monde Diplomatique et l’Université Populaire de Toulouse, à la librairie La Renaissance, 1 Allée Marc Saint-Saëns, Toulouse. " Depuis la fin 1998, en Amérique latine, une vague de chefs d’État de gauche ou de centre gauche occupe le pouvoir. Hasard ? Des coups d’État, pronunciamientos et autres tentatives de déstabilisation ont affecté le Venezuela (2002, 2014 et 2015), Haïti (2004), la Bolivie (2008), le Honduras (2009), l’Équateur (2010) et le (...)

    #Bibliothèque_Sonore

  • Le #Quinoa, la petite graine miracle ?

    C’est une petite graine très à la mode, et ce n’est pas vraiment un hasard si l’ONU a désigné le Quinoa, aliment de l’année en 2013. Cultivé en Bolivie et au Pérou, le quinoa séduit de plus en en plus de consommateurs, et pourrait bien contribuer à lutter contre la faim dans le monde. L’Europe s’intéresse de près à cette pseudo céréale. Aux Pays-Bas, l’Université de Wageningen vient d’obtenir un prix pour ses recherches sur des nouvelles variétés de Quinoa qui, non seulement, peuvent pousser en Europe, mais aussi sur des sols salins, jusqu’alors impropres à l’#agriculture. Reportage Frédérique Lebel.

    http://www.rfi.fr/emission/20150821-quinoa-petite-graine-miracle-pays-bas-ue
    cc @odilon

  • La chanson indigéniste en Bolivie | Radio Vassivière
    http://radiovassiviere.com/2015/09/la-vaina-n60-chansons-indigenistes-en-bolivie

    Avec Thomas, doctorant en sciences sociales, spécialiste de la paysannerie dans les Andes et fin connaisseur de la #musique #bolivienne. Il nous introduit aux thèmes indigénistes et aux revendications politiques dans la chanson populaire depuis les années 60. http://radiovassiviere.com/mp3/emissions/LA%20BAINA/LA%20VAINA%20N80%20Bolivie.mp3?_=1 via @rezo

  • Obligation de négocier un accès à l’océan Pacifique (Bolivie c. Chili)

    Affaires contentieuses | Cour internationale de Justice
    http://www.icj-cij.org/docket/index.php?p1=3&p2=3&case=153&lang=fr (pdf)

    La Cour rejette l’exception préliminaire soulevée par le Chili et déclare qu’elle a compétence pour connaître de la requête déposée par la Bolivie le 24 avril 2013

    LA HAYE, le 24 septembre 2015. La Cour internationale de Justice (CIJ), organe judiciaire principal des Nations Unies, a rendu ce jour son arrêt sur l’exception préliminaire soulevée par le Chili en l’affaire relative à l’Obligation de négocier un accès à l’océan Pacifique (Bolivie c. Chili).
    Dans son arrêt, qui est définitif et sans recours, la Cour
    1) rejette, par quatorze voix contre deux, l’exception préliminaire soulevée par la République du Chili ;
    2) dit, par quatorze voix contre deux, qu’elle a compétence, sur la base de l’article XXXI du pacte de Bogotá, pour connaître de la requête déposée par l’Etat plurinational de Bolivie le 24 avril 2013.

  • En Bolivie, les hackeurs s’organisent pour libérer internet
    par Philippe Rivière

    A lire dans le journal « la Cité » (Genève)
    http://lacite.website

    Ce n’est pas en ligne, mais dans le journal en vente en kiosque en Suisse ou sur abonnement. En ligne dans un mois et quelque sur visionscarto.net

    À 3 700 mètres d’altitude, le visiteur s’essouffle rapidement à monter la cinquantaine de marches qui conduit à la R00thouse, la grande maison qui sert de quartier général aux militants du logiciel libre à La Paz. Un drapeau noir à tête de mort flotte sur la façade rose. Il est un peu défraîchi. Cela fait déjà sept ans qu’ils se sont installés ici. Le très modeste budget qu’ils parviennent à rassembler est essentiellement consacré à un projet phare, le réseau Mesh. Car les hackeurs de La Paz rêvent en grand : déployer, sur toute la capitale bolivienne, un accès internet public...

    #bolivie #hackers #internet

  • Donc je disais, quatre magnifiques festivals cette été :

    http://www.jazzaluz.com/index.php/edito-2015

    25 printemps et pas une ride !

    Ce savant mélange d’insatiable curiosité artistique et d’esprit critique, agit comme un élixir de jouvence... on ajoute 2 bonnes doses de tolérance, 5 belles poignées d’envie d’être ensemble et d’esprit collectif, sans oublier quelques pincées de temps à donner, et, l’ingrédient le plus important : l’attachement au Pays Toy, parce que sans cela, il y a 25 ans, il n’y aurait jamais eu de « Jazz à Luz »...

    C’est pourquoi, soutenus depuis peu par la Communauté de Communes du Pays Toy qui regroupe 15 villages, nous prenons cette nouvelle compétence comme une belle reconnaissance... D’autant plus ravis que notre terrain de jeu s’agrandit !

    Nous ne sommes malgré tout pas dupes de l’aventure qui nous attend, car nous sommes forts de ces 25 dernières années, mais si fragiles face à l’adversité, qu’elle soit financière ou politique...
    Bien conscients que rien n’est acquis, il nous incombe donc, avec tous nos amis de l’association, une belle partie des villageois et le courage des élus et des partenaires de relever ce nouveau défi.

    Maupassant écrivait : « Les grands artistes sont ceux qui imposent à l’humanité leur illusion particulière »...
    Alors, seulement armés des instruments des artistes, de leurs cordes, leurs archets, leurs touches, leur souffle, leur voix et leur corps, nous vous donnerons à sentir ce que nous cherchons à atteindre chaque année : un équilibre.
    Sur le fil de notre programmation, c’est celui qui vous fera retenir votre respiration quant au risque pris, à la beauté du geste, à l’étonnement qu’il suscitera, au vertige qu’il vous procurera ; un équilibre étroitement lié à la qualité du contact que nous aimons cultiver avec le public.

    A l’heure de tous les désarrois qu’engendre l’actualité de ce monde, c’est justement le moment d’être tenaces pour maintenir ce festival : il est vital pour que s’exprime notre liberté, il n’est autre que notre liberté d’expression.

    La 10ème édition de « La Belle Rouge » - Reportage Alter JT 20/08/2015 - 64 - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?t=228&v=DSF5hzmcPpM

    ARDECHE IMAGES : 27e édition des États généraux du film documentaire
    http://www.lussasdoc.org/une_universite_d_ete_du_documentaire,6.html

    Manifestation non compétitive, la ligne éditoriale des États généraux est profondément marquée par trois axes de programmation :

    – les séminaires et ateliers développent, sur plusieurs séances, une réflexion théorique sur le cinéma (accessibles sur pré-inscription).

    – les rencontres professionnelles proposent des temps privilégiés d’échange entre les différentes catégories professionnelles, destinés à s’informer, se mobiliser et à engager une réflexion commune à tous les secteurs de la profession autour des perspectives économiques et de diffusion du documentaire.

    – les programmations « Films » permettent de découvrir ou revisiter des œuvres documentaires exceptionnelles, des filmographies ou l’évolution du documentaire d’un pays. La sélection Expériences du regard s’intéresse tout particulièrement à la production francophone européenne de l’année et met en avant des œuvres récentes et peu diffusées ; Histoire de doc renforce la dimension de formation à travers la programmation d’œuvres de référence ou de patrimoine ; Fragments d’une œuvre propose des rétrospectives d’auteurs confirmés ou la découverte de la filmographie de jeunes auteurs ; Route du doc propose de faire le point sur l’évolution du documentaire hors de nos frontières. Et les séances plein air du soir n’oublient pas les films à caractère plus événementiel...

    Festival de Cinéma de Douarnenez |
    http://www.festival-douarnenez.com/fr
    http://www.festival-douarnenez.com/wp-content/uploads/2015/08/rideau_rouge.jpeg

    Peuples des Andes : 21>29/08 2015

    Pour sa 38ème édition, le Festival de cinéma de Douarnenez poursuit sa traversée cinématographique et humaine, convoquant l’ici et l’ailleurs, la création et la culture bretonne comme la diversité des combats et du bouillonnement artistique des peuples du “tout monde”. Douarnenez invite cet été les peuples des pays andins et cheminera au gré de la cordillère en interrogeant et partageant les luttes, les révoltes et les aspirations des communautés autochtones et des afro-descendants entre autres multiples thématiques abordées… Cinématographies de Colombie, d’Equateur, du Pérou, de Bolivie, du Chili et d’Argentine mais aussi écoutes radiophoniques, débats, concerts, expositions et littératures témoigneront des imaginaires et des réalités des Peuples des Andes.

    Inviter les cinémas d’ailleurs mais aussi promouvoir celui d’ici avec l’association Daoulagad Breiz qui propose en association avec le Festival le Grand Cru Bretagne, une sélection de films, tous genres confondus, réalisés ou produits en Bretagne dans l’année. Cette section donne à voir cette production dans sa diversité, en suivant le travail des gens d’ici, en favorisant la découverte de nouveux producteurs et réalisateurs et en donnant toute sa place à la création en langue bretonne.

    Le Festival poursuit sa relation et ses échanges avec le Monde des Sourds au travers d’une programmation de films, des ateliers en LSF, des débats, un café signe, des concerts signés et une accessibilité quasi-intégrale des projections et des rencontres.

    Notre “Grande Tribu” accueille une nouvelle fois des films sensibles, des films qui nous touchent, des films qui interrogent un certain Etat du monde, dans un ensemble que nous espérons cohérent au vu des peuples invités et des liens tissés depuis 38 ans. Nous vous invitons dans cette Grande Tribu à voir des films qui indignent, qui suscitent de l’émotion, du désir, de la rage… Et de l’espoir !

    • Je n’ai jamais fait un tel périple. Mais ce fut extrêmement nourrissant... les deux derniers : lussas et douarn’ m’ont provoqués des réflexions qui m’ont laissé perplexe ... lussas est un tout petit village, qui le temps du festival quadruple sa population. Tout le mini monde du cinéma documentaire y est présent. Les habitants se barrent, partent en vacances, et fuient les kilos de parisiens qui investissent leur terre. Ce festival est pointu et témoigne d’une avant-garde politique... sur la forme. Et en terme d’ambiance on sent quelque chose de l’élite. Certe, on a coutume de parler du cinéma documentaire en terme de nécessité politique mais j’y trouve toujours quelque chose de snobinard, de prout-prout, de la lutte, oui mais pas « de classe » ...
      Pour Douarn’, c’est un peu tout l’inverse. C’est très populaire et militant du genre marxiste mais sans brader l’exigence d’une programmation de qualité... il n’y a pas que du doc... et pour le coup, niveau ambiance c’est formidable. Les habitants de la ville sont là et on sent une sympathie et même une fraternité que n’ai, pour l’instant, trouvé qu’ici.

  • Le Plan Condor en Amérique du Sud
    http://www.madaniya.info/2015/09/11/le-plan-condor-en-amerique-du-sud-ou-le-processus-de-fabrication-de-l-enn

    Il y a quarante ans était lancée officiellement l’opération Condor à Santiago du Chili. Les dictatures en place au Chili, au Paraguay, au Brésil, en Argentine, en Uruguay et en Bolivie mèneront de concert des actions clandestines contre leurs opposants. Mais en 1975, tout était déjà en place pour assurer une coordination des forces policières, militaires et de renseignement, comme le démontre l’enseignant-chercheur Gabriel Périès dans l’interview qu’il a accordée à Golias.

    Des liens inter-polices étaient affirmés dès 1905 durant la conférence de Buenos Aires, suivie d’une seconde en 1920 où apparaissent les notions de « délinquant subversif » et de « sécurité nationale », qui seront les piliers de la période des dictatures dans le Cône sud.

    Véritable multinationale de la répression, le Plan Condor se poursuivra jusque dans les années 1980. Il bénéficiera du soutien de Washington, de la CIA, des épiscopats et du Vatican. Les services de renseignement occidentaux apporteront leur appui, la France importera, à partir de 1956 en Argentine, les méthodes contre-insurrectionnelles utilisées durant la guerre d’Algérie, tandis que les dictatures espagnole, italienne ou portugaise emprisonneront ou exécuteront les militants expulsés dans leur pays d’origine après la conférence de 1920.

    Si cette coordination trans frontière est bien connue à partir de son inauguration, le 25 novembre 1975, on parle moins de la période qui l’a précédée. Sans doute parce qu’elle évoquerait des compromissions gênantes et plus encore mettrait le doigt sur la continuité d’un processus qui avance par étapes.

    Dans un texte rédigé à notre intention et publiée en annexe de ce document, Gabriel Périès livre une réflexion sur la transformation du régime politique français depuis 2008, sous la présidence Sarkozy, avec le Livre blanc de la défense qui entérinait la notion de sécurité nationale dans le cadre législatif français, et le retour de l’État au sein du commandement intégré de l’OTAN, dispositif transnational hérité de la guerre froide.

    En 2009, les débats sur l’identité nationale faisaient écho à ceux lancés par les militaires argentins sur ce qu’était l’identidad national, dans le cadre de la défense de la sécurité nationale et la lutte contre un ennemi intérieur.

    La loi de programmation militaire 2014-2019, Patriot Act à la française, marque une étape supplémentaire en élargissant les champs de la surveillance et du renseignement. Les accords qui ont conduit au Plan Condor en Amérique du Sud, interrogent aujourd’hui sur des dérives qui pourraient affecter les libertés individuelles et collectives et l’exercice de la démocratie.

    • En ce qui concerne SPIP, les codeurs initiaux parlaient anglais sans grosse difficulté. On n’a pas vraiment choisi de coder en français en fait ; c’est surtout qu’on n’avait pas spécialement réfléchi à cette question quand on s’est lancés, le projet n’avait d’ailleurs pas d’ambition démesurée à l’époque : on faisait les choses comme elles venaient, en mélangeant écriture “naturelle” et code.

      Au final ce n’était sans doute pas l’approche la plus efficace dans la concurrence mondiale. Mais il faut aussi se rendre compte que ça a eu le mérite d’ouvrir certaines portes, comme par exemple l’arrivée de participants codeurs qui, eux, ne parlaient pas anglais.

      Parfois tout de même c’est rageant de voir que sur github le moindre bout de code qui fait un truc à moitié mal torché a des zillions de stars, alors que SPIP, qui possède déjà des fonctions pour faire pareil depuis 10 ou 15 ans, n’est pas repris. Mais c’est aussi (surtout ?) dû, je pense, à la faiblesse de la modularité des fonctions internes de SPIP.

    • C’est marrant, @fil ou pas. J’ai jamais été investi dans le code de #SPIP, mais je l’ai utilisé pas mal de fois. Hé bin ça faisait plaisir que ce soit codé en français. Ça nous faisait des vacances. Je veux dire par là qu’à fonctionnalités « égales », c’est plus cool de taper des lignes de code dans sa langue maternelle qu’en anglais. Même si l’anglais n’est pas un problème. Donc, merci pour ça, pour ce plaisir.

    • Ici en Bolivie, il y a de très bons codeurs et codeuses, mais la majorité n’est pas à l’aise avec l’anglais, et du coup les variables en anglais sont écrites « yaer » au lieu de « year » ou des trucs dans le genre. De même, la documentation doit être en espagnol, sinon c’est incompréhensible.

      Du coup, on a défini des normes de codage où tout est en espagnol, c’est à dire exactement ce que décrit la BD, sans l’ironie :)

      https://gitlab.geo.gob.bo/bolivia-libre/bolivia-libre/blob/master/doc/politicas-desarrollo.md

      Je précise que c’est pour des systèmes utilisés par l’État Bolivien, et qui ne seront sûrement pas utilisés ou développés par des anglophones.

      Ça vous paraît une mauvaise idée ? Qu’est-ce que vous conseillez ?

    • En ce qui me concerne je conseille exactement ça pour les collectivités (petites et grosses) ou les PME locales, franco-françaises, avec lesquelles je travaille, @severo.

      Quand le client est francophone, et que si un jour il ne veut plus de nous comme presta et que le prochain presta est à 99,9% francophone aussi, ça n’a strictement aucun sens de livrer des développements en anglais.

      Le pire même, j’en connais qui mettent même tous les logs de commits en anglais dans le dépôt propre au projet (pas dans un dépôt d’un truc libre public quoi). Alors qu’ensuite c’est gardé par le client français et lu par les prochains intervenants français…

      C’est vraiment pour se la péter, et ça ne fait que ralentir la compréhension des intervenants suivants.

      La BD part du principe que tout est une organisation capitaliste mondialisée présente dans X pays… Out of reality (mais ces gens là voudraient bien que ce soit la réalité).

  • #Bolivie : une vague de #viols sur #mineurs traumatise le pays

    En Bolivie, une vague de viols sur mineurs traumatise le pays, alors que les autorités sont accusées de passivité et que la population commence à se faire justice elle-même. Le nombre de cas d’agressions sexuelles sur enfants et adolescents aurait augmenté de 235 % ces dix dernières années. Dans la petite ville de La Asunta, à 100 km de La Paz, les habitants ont décrété le 3 juin dernier l’interdiction, durant un mois, de la vente d’alcool et un couvre-feu pour les jeunes après plusieurs cas de viols sur jeunes filles mineures.


    http://www.rfi.fr/emission/20150704-bolivie-une-vague-viols-mineurs-traumatise-le-pays
    cc @odilon @louca

  • Conférence-débat : « Les enfants cachés du Général Pinochet »
    http://universitepopulairetoulouse.fr/spip.php?article465

    Les Amis du Monde Diplomatique et l’Université Populaire de Toulouse invite Maurice Lemaoine le samedi 26 septembre à 18H à la librairie La Renaissance, 1 Allée Marc Saint-Saëns, Toulouse. "Depuis la fin 1998, en Amérique latine, une vague de chefs d’État de gauche ou de centre gauche occupe le pouvoir. Hasard ? Des coups d’État, pronunciamientos et autres tentatives de déstabilisation ont affecté le Venezuela (2002, 2014 et 2015), Haïti (2004), la Bolivie (2008), le Honduras (2009), l’Équateur (2010) (...)

    #Programme_d'activités