country:ouzbékistan

  • Au Tibet, un ado dénisovien vieux d’au moins 160 000 ans
    https://www.lemonde.fr/sciences/article/2019/05/01/au-tibet-un-ado-denisovien-vieux-d-au-moins-160-000-ans_5457113_1650684.html

    Ce proche cousin disparu était connu grâce à l’ADN de fossiles trouvés dans l’Altaï russe. L’analyse de protéines tirées d’une mâchoire inférieure découverte au Tibet éclaire ses origines.


    Reconstitution numérique d’une mâchoire de plus de 160 000 ans trouvée dans une grotte tibétaine, après nettoyage virtuel de la couche de calcite qui entoure partiellement le fossile. Jean-Jacques Hublin,

    Il y a plus de 160 000 ans, les hauts plateaux tibétains, dont on pensait que notre espèce était la première à les avoir colonisés, il y a 40 000 ans environ, étaient déjà habités par de proches cousins, les dénisoviens. L’énigme que constitue ce groupe humain commence à se dissiper, avec l’analyse, présentée dans la revue Nature le 2 mai, d’une mâchoire inférieure trouvée il y a bientôt quarante ans par un bonze, dans une grotte de la province tibétaine de Gansu, en Chine.
    Les dénisoviens n’ont pas de visage, et la mâchoire tibétaine ne suffira pas à leur en donner un. Mais elle livre de multiples pistes pour établir le portrait-robot d’un groupe humain jusqu’alors connu essentiellement à travers son ADN. Trouvés dans la grotte de Denisova dans l’Altaï russe, les seuls restes fossiles dont on disposait jusqu’alors se limitaient en effet à quelques dents et os fragmentaires, notamment une phalange de fillette dont l’analyse de l’ADN a révélé, en 2010, la singularité. Cette enfant, disait la génétique, n’appartenait ni aux néandertaliens, ni à notre propre espèce, Homo sapiens.

    Faute de crâne ou de restes plus conséquents, les paléoanthropologues se sont gardés de définir une espèce nouvelle, avec nom latin de rigueur, se contentant de ce miracle technologique, inédit : décrire un nouveau venu dans la famille humaine par son seul profil génétique.

    Descendance métissée

    Depuis, la comparaison du génome dénisovien avec celui de néandertaliens et d’hommes modernes a révélé que ces groupes s’étaient croisés, et avaient pu avoir une descendance métissée. Certaines populations humaines actuelles gardent la trace de ces amours, comme les Papous, dont jusqu’à 5 % du génome peut être d’origine dénisovienne. Dans les hauts plateaux tibétains, c’est la version dénisovienne d’un gène favorisant l’adaptation à la vie en altitude, dans un air raréfié en oxygène, qui a été retrouvée chez les populations actuelles. Comment expliquer que cette mutation soit présente chez les dénisoviens de l’Altaï, à 700 mètres d’altitude seulement, où une telle adaptation ne semble pas nécessaire ?
    L’équipe internationale dirigée par Jean-Jacques Hublin (Institut Max-Planck, Leipzig, Collège de France) propose une réponse au terme d’une enquête qui mêle, comme souvent en paléoanthropologie, rencontres improbables, génie technologique, intuition et coups de chance.

    Entrée de la grotte de Baishiya (province de Gansu, Chine), lieu de culte bouddhiste où une mâchoire de 160 000 ans attribuée à un dénisovien a été retrouvée.

    La mâchoire tibétaine est une rescapée à plus d’un titre. Elle proviendrait de la grotte karstique de Baishiya, une caverne située à 3 280 m d’altitude, profonde d’un kilomètre et lieu de culte bouddhiste. Un bonze aujourd’hui décédé y aurait prélevé le fossile en 1980, le soustrayant à une possible destruction : la grotte était célèbre pour ses vieux ossements, réduits en poudre parée de diverses vertus. Il en fit don au sixième bouddha vivant, Gung-Thang, qui lui-même la remit à l’université locale de Lanzhou. En 2010, l’intérêt pour ce fossile a ressurgi, et son parcours a été retracé jusqu’à sa grotte d’origine par Fahu Chen et Dongju Zhang, de l’université de Lanzhou. Des fouilles préliminaires sur place ont livré depuis d’autres fossiles et des outils lithiques, encore en cours d’analyse.

    Fouilles conduites en 2018 dans la grotte de Baishiya, sous la direction de Dongju Zhang (en haut à droite dans la tranchée), qui ont livré des outils de pierre et de nouveaux fossiles non encore décrits.

    Contacté en 2016 par ces collègues chinois, Jean-Jacques Hublin a immédiatement été intéressé par le spécimen : « On voyait tout de suite que ce n’était pas un homme moderne ou un Homo erectus. Cela tombait dans le créneau possible pour un dénisovien. » La mâchoire provient probablement d’un adolescent, car une des molaires était encore en phase d’éruption. Les dents robustes évoquent celles trouvées dans la grotte de Denisova, en Russie.

    Première déception, il n’a pas été possible d’en tirer le moindre ADN. Et en l’absence de contexte archéologique, le fossile risquait de rester muet. « Mais nous avons eu la chance extraordinaire que la calcite qui le recouvrait soit datable à l’uranium », se réjouit le paléanthropologue. La datation, 160 000 ans au moins, correspond à une période glaciaire, où la vie sur le plateau tibétain devait être encore plus rude qu’aujourd’hui. Mais il est possible que la mâchoire soit plus ancienne et date d’une époque plus clémente. Voilà pour le contexte, qui reste donc imprécis.

    Les protéines, plus robustes

    « Notre vrai joker, cela a été les protéines », souligne Jean-Jacques Hublin. Faute d’ADN, les chercheurs ont en effet cherché leur produit, des chaînes d’acides aminés dont la séquence correspond parfaitement à l’ADN qui les code. Lors de sa thèse à Leipzig, Frido Welker avait développé cette technique, montrant qu’on pouvait distinguer des restes de néandertaliens et d’Homo sapiens même en l’absence d’ADN. Plus récemment, il a pu éclairer l’évolution des rhinocéros par l’analyse d’un ossement vieux de 1,7 million d’années trouvé dans une grotte en Géorgie. L’ADN est certes plus précis, mais les protéines bien plus robustes, y compris dans les zones tempérées où au-delà de 100 000 ans, trouver de l’ADN semble illusoire.

    La dentine de la mâchoire tibétaine n’a pas résisté à Frido Welker : « Ces tissus peuvent contenir plusieurs centaines de protéines, explique le jeune chercheur, aujourd’hui en poste au Muséum de Copenhague. On en a identifié huit qui étaient elles-mêmes dégradées. » Il n’y avait pas la protéine EPAS1 responsable de l’adaptation à l’altitude – elle n’est pas exprimée dans les dents, mais dans le placenta et les poumons –, mais différentes formes de collagène. Les similarités avec les séquences correspondantes dans le génome de Denisova ne laissent pas de doute sur la parenté avec la population de l’Altaï, bien plus étroite qu’avec tout autre hominidé.

    « C’est une découverte très excitante, commente Chris Tyler-Smith, du Wellcome Sanger Institute (nord de Londres), dont l’équipe avait décrit en 2016 la distribution dans les populations himalayennes du gène dénisovien EPAS1. Nous savons désormais que les dénisoviens pouvaient vivre dans des environnements hostiles de haute altitude comme le Tibet. Cela implique qu’ils s’étaient largement dispersés en Asie – ce que nous suspections mais qui est confirmé là pour la première fois. Et nous avons une bonne explication de l’origine du variant génétique de haute altitude EPAS1 chez les habitants actuels de l’Himalaya : il a probablement été sélectionné par l’évolution en tant qu’adaptation des dénisoviens à la haute altitude. » Et légué à Homo sapiens lors de croisements après son arrivée dans la région, il y 40 000 ans.

    La mâchoire tibétaine n’est qu’un premier élément du puzzle dénisovien en Asie. « Il y a d’autres candidats en Inde, en Ouzbékistan, et bien sûr en Chine, où la mâchoire du spécimen Penghu 1, par exemple, présente les mêmes caractères dentaires inhabituels, souligne Jean-Jacques Hublin. On va assister à un boom de la paléoprotéomique [analyse des protéines anciennes] pour tester ces fossiles et d’autres. » Il prédit une certaine diversité morphologique dans cette lignée, peut-être plus grande encore que celle observée au sein des néandertaliens, eux aussi largement dispersés dans le temps et l’espace, entre le Proche-Orient et l’Espagne. Une récente étude génomique portant sur les populations indonésiennes suggère que des métissages avec Homo sapiens ont pu intervenir à plusieurs reprises, avec des groupes dénisoviens distincts. Avant que notre espèce, lestée de quelques gènes hérités des dénisoviens, ne supplante ceux-ci.
    Dans la grotte de Baishiya, les fouilles devraient reprendre prochainement, indique Dongju Zhang. Peut-être livreront-elles de nouveaux fossiles, plus parlants pour décrire la physionomie des dénisoviens, et dont l’ADN aura lui traversé les âges ?

  • Présentation du livre « Révolution » du Président Macron à Tachkent - La France en Ouzbekistan
    https://uz.ambafrance.org/Presentation-du-livre-Revolution-du-President-Macron-a-Tachkent

    La présentation de la version traduite en ouzbek du livre Révolution du Président de la République française Emmanuel Macron a eu lieu le 29 avril 2019 à l’Académie d’administration publique (AAP) à Tachkent, avec une intervention de l’Ambassadeur de France Mme Violaine de Villemeur. Cette version avait été éditée à la veille de la visite officielle du Président de la République d’Ouzbékistan Chavkat Mirziyoïev en octobre dernier en France.
    […]
    Dans son discours, l’Ambassadeur a notamment évoqué la même détermination des présidents de la République française et d’Ouzbékistan à conduire les réformes nécessaires dans leur pays.

  • Regards sur l’Eurasie - L’année politique 2018
    Les Etudes du CERI | Sciences Po CERI

    https://www.sciencespo.fr/ceri/sites/sciencespo.fr.ceri/files/Etude%20241_242.pdf

    Une livraison très intéressante avec notamment un article de Julien Thorez sur les évolutions politiques récentes en Ouzbékistan après la mort de Karimov.

    Des nouvelles d’Arménie et d’Ukraine aussi.

    http://sciencespo.fr/ceri/fr/papier/etude

    Anne de Tinguy (dir.)

    Regards sur l’Eurasie - L’année politique 2018
    N°241-242b Février 2019

    Arménie, Asie centrale/Caucase, Azerbaïdjan, Conflits/guerres, Démocratisation, Echanges économiques, Energies/ressources naturelles, Etat, Européanisation, Fédération de Russie, Intégration régionale, Kazakhstan, Kirghizistan, Lutte contre la criminalité et la corruption, Mobilisations collectives, Multilatéralisme, Ouzbékistan, Politiques de défense, Politiques sociales, Puissance, Russie, Santé, Science politique, Sécurité internationale, Tadjikistan, Turkménistan, Ukraine, Les études du CERI

    Regards sur l’Eurasie. L’année politique est une publication annuelle du Centre de recherches internationales de Sciences Po (CERI) dirigée par Anne de Tinguy. Elle propose des clefs de compréhension des événements et des phénomènes qui marquent de leur empreinte les évolutions d’une région, l’espace postsoviétique, en profonde mutation depuis l’effondrement de l’Union soviétique en 1991. Forte d’une approche transversale qui ne prétend nullement à l’exhaustivité, elle vise à identifier les grands facteurs explicatifs, les dynamiques régionales et les enjeux sous-jacents.
    Comment citer ce volume :

    Anne de Tinguy (dir.), Regards sur l’Eurasie - L’année politique 2018 / Les Études du CERI, N°241-242, Février 2019, [en ligne, www.sciencespo.fr/ceri/fr/papier/etude].

    AVec une carte d’Ukraine avec une légende marrante :

    Crimée : ... Territoire « temporairement occupé » - on informe Poutine alors.

  • La Ruée vers la guerre en Syrie, par Craig Murray
    https://www.les-crises.fr/la-ruee-vers-la-guerre-par-craig-murray

    Je partage avec vous la vision inquiète de Craig Murray (diplomate britannique, ancien ambassadeur du Royaume-Uni auprès de l’Ouzbékistan, historien et activiste en faveur de la défense des Droits de l’Homme), qui a beaucoup œuvré sur l’affaire Skripal. Je suis pour ma part plus prudent que lui (tout est toujours possible au Moyen-Orient…), mais oui, […]

  • La mer d’Aral que l’on croyait morte est revenue à la vie

    http://www.nationalgeographic.fr/environnement/2018/03/la-mer-daral-que-lon-croyait-morte-est-revenue-la-vie

    Alors qu’elle était l’un des lacs d’eau douce les plus grands au monde avec une superficie de plus de 67 000 km², la mer d’Aral a été victime des politiques agricoles de l’Union soviétique dans les années 1950. Afin d’irriguer les cultures de coton, le gouvernement a pris la décision de détourner l’eau de l’Ama Darya et du Syr Darya, les deux fleuves qui se jetaient dans la mer.

    La baisse du débit d’eau dans la mer d’Aral a provoqué une hausse de la salinité et les espèces de poisson d’eau douce ont commencé à périr.

    Une trentaine d’années à peine auront suffi à détruire cette mer qui chevauche le Kazakhstan et l’Ouzbékistan. Aujourd’hui, sa superficie est très réduite : elle ne représente plus qu’un dixième de sa surface originale. Ce qu’il reste de la mer est désormais séparé en deux parties distinctes : la mer d’Aral du nord et la mer d’Aral du sud. En Ouzbékistan, c’est tout le bassin à l’est de la mer d’Aral du sud qui s’est desséché : il ne reste plus qu’une bande d’eau à l’ouest. Ce désastre est considéré comme l’une des pires catastrophes écologiques de l’Histoire par les environnementalistes.

    L’issue est plus heureuse pour la mer d’Aral du nord au Kazakhstan. Grâce à un projet de 70 millions d’euros financé en grande partie par la Banque Mondiale, les digues déjà en place ont été réparées pour éviter que l’eau ne se déverse et Kokaral, un barrage d’environ 13 km a été construit au sud du fleuve Syr Darya. Sa construction a été achevée à l’été 2005 et ses conséquences sur la mer d’Aral ont dépassé toutes les espérances. Après seulement sept mois, le niveau de l’eau a augmenté de trois mètres, surprenant les scientifiques qui pensaient que cela prendrait au minimum trois ans.

    Au cours des décennies 1980 et 1990, le flet était le seul poisson qui pouvait survivre à un tel taux de salinité. Mais après la construction du barrage de Kokaral, la salinité moyenne est passée de 30 à 8 grammes par litre, ce qui a entraîné le retour de près de deux douzaines d’espèces de poissons d’eau douce dans la rivière Syr Darya.

    • Je ne sais pas comment on appelle ça, un marronier pouri, un hoax ou un meme. Cette « nouvelle » traine sur les réseaux depuis 2012 ou 2013 quand la Banque mondiale a financé un énorme projet de barrage pur essayer d’endiguer le baisse de ce qu’on appelle « la petite Aral ». Et à coups massifs d’opérations de communications, ils ont réussi à avoir une multitude d’articles dans pleins de journaux dans le monde, on les reconnait car c’est quasi tous les mêmes. la « nouvelle » st reprise régulièrement ici ou là, par le Monde (ha ha !) ou le Figaro (bon...), ou Géo ou le National Geographic. En réalité, la grande Aral continue de s’assécher parce que les dictateurs du coin continue la politique de culture du Cotton en amont (politique de la terre brulée : on leur dit que c’est foutu, ils en profitent pour exploiter jusqu’à ce qu mort s’en suive). La petite Aral s’est stabilisée pendant quelques mois après les immenses efforts réalisés avec un système de Barrage, mais comme elle n’est quasiment plus alimentée, elle recommence à baisser - plus lentement qu’avant il est vrai. Mais de là à dire que l’Aral est en renaissance, il y a un énorme mensonge qu’aucun média n’a pensé à déconstruire en s’appuyant sur des études régionales un peu sérieuses (il suffit pourtant de se pencher sur quelques rapports de la Banque asiatique de développement par exemple, ou même du PNUE) ou en ayant un peu sérieusement mener des entretiens avec les scientifiques de la région.

  • Le doute plane sur les allégations britanniques sur le poison « #Novitchok » dans l’affaire #Skripal - World Socialist Web Site
    https://www.wsws.org/fr/articles/2018/03/20/novi-m20.html

    Alors que Londres intensifie les tensions avec la Russie en accusant Moscou d’empoisonner l’ancien espion britannique Sergei Skripal avec du « Novitchok » à Salisbury le 4 mars, les milieux diplomatiques et scientifiques s’interrogent de plus en plus sur les allégations britanniques. Il n’est même pas clair si l’arme chimique « Novitchok » existe. Londres n’ayant toujours fourni aucune preuve tangible pour étayer ses accusations, on peu légitimement se demander si toute l’affaire contre la Russie est fondée sur des mensonges.

    La semaine dernière, l’ancien ambassadeur britannique en Ouzbékistan, Craig Murray, a écrit une note brève mais dévastatrice sur le « Novitchok ». Son article, intitulé « L’histoire de Novitchok est une arnaque comme les ‘ADM’ irakiennes », compare l’affirmation que la Russie a du « Novitchok » aux mensonges américano-britanniques selons lesquels l’Irak possédait des armes de destruction massive (ADM), qu’ils ont utilisé pour justifier une invasion de l’Irak en 2003.
    Les allégations que Moscou a utilisé du « Novitchok » proviennent de l’Etat britannique et de son installation de guerre biochimique à Porton Down, tout près de Salisbury. Cependant, comme le souligne Murray, le Dr Robin Black, chef du Laboratoire de détection à Porton Down, avait émis des doutes quant à l’existence d’agents neurotoxiques « Novitchok » tout récemment, en 2016.

  • CASH INVESTIGATION - COTON D’OUZBÉKISTAN : MÉLENCHON AVAIT RAISON - Le Bon Sens
    https://www.youtube.com/watch?v=Q38l4pBkrX4

    Dans son édition du mardi 28 novembre 2017, l’émission Cash Investigation enquêtait sur le coton produit en Ouzbékistan dans des conditions humaines insupportables qui incluent notamment le travail forcé des adultes organisé par l’État. L’émission revenait également sur un accord européen de 2016 facilitant les importation de cette matière première de l’Ouzbékistan vers l’Union européenne. Or, déjà, à l’époque, tous les faits étaient connus. Et Jean-Luc Mélenchon les dénonçait. C’est donc en pleine conscience de la situation des travailleurs en Ouzbékistan que certains élus du Parlement européen ont décidé de valider quand même un partenariat économique avec ce pays.

    #coton_des_esclaves

  • #OuzbekLeaks : la fortune offshore de la fille du dictateur #Karimov

    Mediapart et l’EIC révèlent que #Lola_Karimova, fille de l’ex-dictateur d’Ouzbékistan Islam Karimov et pilier de la vie mondaine parisienne, a accumulé au moins 127 millions d’euros dans des #paradis_fiscaux, via un complexe système offshore géré par son mari et administré depuis Dubaï.

    https://www.mediapart.fr/journal/international/111017/ouzbek-leaks-fille-de-dictateur-et-amie-des-stars-elle-127-millions-deuros
    #Ouzbékistan

  • OuzbekLeaks : la fortune offshore de la fille du dictateur Karimov
    https://www.mediapart.fr/journal/international/111017/ouzbek-leaks-fille-de-dictateur-et-amie-des-stars-elle-127-millions-deuros

    Lola Karimova, fille du dictateur ourbek Islam Karimov, mort en 2016. © Reuters Mediapart et l’EIC révèlent que Lola Karimova, fille de l’ex-dictateur d’Ouzbékistan Islam Karimov et pilier de la vie mondaine parisienne, a accumulé au moins 127 millions d’euros dans des paradis fiscaux, via un complexe système offshore géré par son mari et administré depuis Dubaï.

    #International #Lola_Karimova-Tillyaeva

  • OuzbekLeaks : la fortune offshore de la fille du dictateur Karimov
    https://www.mediapart.fr/journal/international/111017/pour-vendredi-8h30-ouzbek-leaks-fille-de-dictateur-et-amie-des-stars-elle-

    Lola Karimova, fille du dictateur ourbek Islam Karimov, mort en 2016. © Reuters Mediapart et l’EIC révèlent que Lola Karimova, fille de l’ex-dictateur d’Ouzbékistan Islam Karimov et pilier de la vie mondaine parisienne, a accumulé au moins 127 millions d’euros dans des paradis fiscaux, via un complexe système offshore géré par son mari et administré depuis Dubaï.

    #International #Lola_Karimova-Tillyaeva

  • La Russie met en garde les US au sujet de l’Afghanistan – Le Saker Francophone
    Par M.K. Bhadrakumar – Le 22 août 2017 – Source Russia Insider - Traduit par jj, relu par Cat pour le Saker Francophone.
    http://lesakerfrancophone.fr/la-russie-met-en-garde-les-us-au-sujet-de-lafghanistan

    (...) À partir de ce qui précède, il apparaît que des sections des forces armées afghanes et le commandement de l’OTAN – qui contrôle l’espace aérien afghan – agissent main dans la main dans ces opérations secrètes. Sans aucun doute, c’est une allégation très sérieuse. L’attaque contre les chiites Hazara doit être considérée comme un message destiné à Téhéran.

    Historiquement et culturellement, l’Iran a des affinités avec la communauté chiite Hazara en Afghanistan. Peut-être, l’administration Trump, qui a juré de renverser le régime iranien, ouvre-t-elle un « deuxième front » par État islamique contre l’Iran sur sa frontière de l’est.

    Fait intéressant, le ministère russe des Affaires étrangères a également publié vendredi une déclaration sur la situation alarmante en matière de drogue en Afghanistan. Il a souligné que :

    Une forte augmentation de la production de drogues est prévue en Afghanistan cette année et un tiers de la population du pays est actuellement impliqué dans la culture du pavot pour l’opium.
    La géographie du trafic de drogue afghan s’est élargie et atteint maintenant le continent africain.
    Des tonnes de produits chimiques pour le traitement des stupéfiants sont importées illégalement en Afghanistan – avec l’Italie, la France et les Pays-Bas « parmi les principaux fournisseurs ».
    Les États-Unis et l’OTAN ne veulent pas ou sont incapables de freiner l’activité illégale.

    La Russie et l’Iran ne peuvent pas fermer les yeux sur les activités hostiles des États-Unis (et de l’OTAN) dans leur arrière-cour, transformant la guerre anti-Taliban en une guerre par procuration. Ils ne peuvent que voir le conflit afghan à travers le prisme de leurs tensions approfondies avec les États-Unis.

    Quelles sont les options de la Russie ? Le ministre russe de la Défense, Serguei Shoigu, a déclaré lors d’une réunion avec la crème des militaires à Moscou, le 18 août, que le conflit afghan constitue une menace pour la stabilité de l’Asie centrale. Il a déclaré que la Russie envisageait d’organiser des exercices militaires conjoints, en fin d’année, avec le Kirghizistan, le Tadjikistan et l’Ouzbékistan. La Russie a des bases militaires au Tadjikistan et au Kirghizistan.

    Encore une fois, l’ambassadeur Zamir Kabulov, envoyé présidentiel russe en Afghanistan, a récemment déclaré que si le gouvernement afghan et les États-Unis ne pouvaient pas contrer la menace de État islamique, la Russie recourrait à la force militaire.

    Kabulov a révélé que la Russie a dévoilé au Conseil de sécurité de l’ONU le parachutage de fournitures pour les combattants d’État islamique dans au moins trois provinces du nord de l’Afghanistan par des aéronefs non identifiés.

    Bien sûr, il est inconcevable que la Russie mette des « bottes sur le terrain » en Afghanistan. Mais si État islamique franchit les frontières des États d’Asie centrale, il s’agira d’une « ligne rouge », et la Russie répliquera.(...)

    #Afghanistan

  • Ouzbékistan. La surveillance de masse s’étend au-delà des frontières
    https://www.amnesty.fr/presse/ouzbkistan-la-surveillance-de-masse-stend-au-del-d

    Le gouvernement ouzbek exerce une surveillance illégale sur ses citoyens et instaure un climat de peur et d’incertitude pour les Ouzbeks en Europe, écrit Amnesty International dans un nouveau rapport. Le rapport intitulé« We Will Find You, Anywhere » examine les répercussions de la surveillance illégale exercée par le gouvernement sur la vie de sept Ouzbeks qui vivent en Ouzbékistan et à l’étranger. Figurent parmi ces cas celui d’un réfugié vivant en Suède, dont la correspondance avec ses proches dans (...)

    #écoutes #activisme #surveillance #journalisme

  • Selon Wikileaks, la fuite des mails de Clinton a été orchestrée par un membre du parti démocrate !
    https://www.crashdebug.fr/international/12841-selon-wikileaks-la-fuite-des-mails-de-clinton-a-ete-orchestree-par-

    Perso moi je n’y croyais pas à cette histoire de hack, un hack en interne au profit d’Hillary Clinton aurrais été possible, mais pas en externe, enfin je ne pense pas.

    Alors que la Maison Blanche continue d’incriminer les pirates russes et Vladimir Poutine, un représentant de WikiLeaks et ancien ambassadeur britannique en Ouzbékistan, Craig Murray, confirme avoir reçu les documents compromettant Hillary Clinton de la part… d’un démocrate dégoûté par l’activité du parti !

    Les tentatives de saboter la présidentielle aux États-Unis, le référendum sur le Brexit, ou encore le piratage de la correspondance du Parti démocrate (perpétré par Poutine lui-même !)… telle est la longue liste des « forfaits » perpétrés par les terribles Russes aux yeux de l’Occident.

    N’en déplaise aux phobiques qui voient flotter (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #International

  • Chères #célébrités, cessez d’utiliser les #réfugiés et les #conflits pour vos relations publiques
    http://www.middleeasteye.net/fr/opinions/ch-res-c-l-brit-s-cessez-dutiliser-les-r-fugi-s-et-les-conflits-pour-

    George, l’autre moitié du couple Clooney, a essayé de cultiver au cours de sa longue carrière cette image de militant à temps partiel engagé sur des questions aussi diverses que la défense des droits des animaux et sur son opposition aux conflits. Il y a quelques mois, il s’est même tenu face à un groupe de réfugiés syriens et leur a déclaré que l’Amérique ne serait pas l’Amérique sans ses communautés de réfugiés.

    Il a également été en Allemagne avec Amal, il y a quelques mois, pour implorer la chancelière Angela Merkel d’accepter davantage de réfugiés. Il est ahurissant qu’il parvienne à réunir par la suite la somme de 353 400 dollars (environ 315 000 euros) reversés à la campagne présidentielle d’Hilary Clinton.

    Après tout, c’est Hillary Clinton qui a lancé la campagne de promotion visant à démanteler la Libye, réduisant ainsi un pays doté d’un État à un couloir de transit pour les réfugiés. Elle a également apporté un soutien inconditionnel à une intervention musclée des États-Unis en Syrie, en appelant le président Barack Obama à « armer les faucons », une politique qui n’a fait que contribuer à accroître le nombre de réfugiés auxquels George Clooney semble si attaché.

    Mais le couple Clooney n’est pas le seul à se complaire dans cette élégante #hypocrisie. Celui qui fait autorité en la matière est Gordon Sumner, plus connu sous le nom de scène de Sting. Celui qui s’est auto-investi diplomate itinérant des causes humanitaires du showbiz, et qui pèse plus de 194 millions de dollars (173 millions d’euros) s’est manifestement fait le champion des questions des droits de l’homme depuis des décennies – vous vous souvenez des band aid (groupes de stars réunies pour une chanson dont les bénéfices des ventes sont reversés à une cause humanitaire) ?

    Malheureusement en 2010, une révélation embarrassante dévoilait qu’il avait personnellement accepté entre 1,2 et 2,5 millions de dollars (1,07 et 2,23 millions d’euros) pour s’envoler en Ouzbékistan et se produire à la soirée d’Islam Karimov (décédé en septembre), alors à la tête d’un régime totalitaire brutal. Depuis, son aura n’a plus jamais été la même.

    Pour replacer les choses dans leur contexte, Islam Karimov a été condamné par plusieurs organisations, notamment les Nations unies et Amnesty International, pour avoir massacré des manifestants qui réclamaient une redistribution des richesses plus égalitaire, pour avoir réduit des enfants en esclavage, et même pour avoir fait bouillir ses ennemis politiques.

    Sting - et c’est cela qui est peut-être encore plus sordide - a essayé d’utiliser l’UNICEF comme couverture, en prétendant que l’organisme des Nations unies qui défend les droits des enfants, avait « sponsorisé l’événement » auquel il avait participé. Or par la suite, l’UNICEF a nié.

  • Vu de Russie : quelle menace pour l’Ouzbékistan suite à la mort du président Islam Karimov ?
    http://www.lecourrierderussie.com/international/2016/09/menace-ouzbekistan-president-islam-karimov

    « Si l’on raisonne de façon pragmatique et non idéaliste, le scénario optimal, aussi bien pour Moscou et pour toute la région que pour l’ensemble du monde, serait de voir le pouvoir en Ouzbékistan rester aux mains de l’entourage d’Islam Karimov » Cet article Vu de Russie : quelle menace pour l’Ouzbékistan suite à la mort du président Islam Karimov ? a été publié en premier sur Le Courrier de Russie.

  • Après la mort du président Islam Karimov, la succession s’annonce difficile en Ouzbékistan. Pendant ce temps, au G20, Vladimir Poutine et Xi Jinping ont affiché leur bonne entente. Autant de raisons de plonger en Asie centrale, où la Russie perd du terrain d’année en année, au bénéfice notamment de… la Chine.

    Rivalités feutrées entre les Etats-Unis, la Russie et la Chine — Luttes d’influence dans une Asie centrale désunie, par Régis Genté (décembre 2014) https://www.monde-diplomatique.fr/2014/12/GENTE/51022

    Asie centrale : une histoire commune, des chemins divergents, par Agnès Stienne @odilon
    https://www.monde-diplomatique.fr/cartes/asie-centrale-evolutions #st

    http://zinc.mondediplo.net/messages/36138 via Le Monde diplomatique

  • NOS SOCIÉTÉS D’EMMURÉS, par François Leclerc Blog de Paul Jorion
    http://www.pauljorion.com/blog/2016/09/03/nos-societes-demmures-par-francois-leclerc/#more-88841

    ❞ Dans la foulée de la mondialisation, où prévaut la libre circulation de la monnaie et des marchandises, un nouvel épisode de la marche triomphale de nos sociétés vers toujours plus de progrès est en cours de concrétisation avec le développement de sociétés d’emmurés. Certaines pour se protéger, d’autres pour être enfermé.

    Pour un Mur historique de tombé, combien ont été construits ? Pour mémoire, revenons sans l’épuiser sur l’inventaire des murs-frontières. Nulle région du monde n’est épargnée. De longue date, une zone démilitarisée sépare la Corée du Nord de celle du Sud, et il y a moins longtemps une ligne de démarcation a partagé Chypre. Gaza n’est pas en reste, ainsi que la Cisjordanie, où Israël a fait dans le gigantisme en construisant un mur de béton atteignant neuf mètres de haut pour contenir dans leurs réduits les Palestiniens. D’autres murs zèbrent la carte de l’Asie, ou s’y préparent. L’Inde s’est séparée du Bangladesh par le plus long mur du monde, ainsi que du Pakistan par une autre barrière de séparation. Ce dernier pays en a édifié une avec l’Afghanistan, afin d’empêcher les islamistes armés d’y entrer. Et la Thaïlande veut par ce moyen rendre infranchissable une partie de sa frontière avec la Malaisie, tandis que l’Ouzbékistan poursuit le même objectif pour prendre ses distances avec le Tadjikistan.

    Ces derniers temps, les pays arabes ont multiplié la mise en service de barrières électroniques. Les Marocains avaient commencé dès 1980, en édifiant avec l’aide d’experts israéliens et américains le « mur des sables ». L’Irak implante une telle clôture pour détecter les infiltrations d’insurgés et d’armes provenant de la Syrie et de l’Iran. L’Arabie Saoudite s’en paye une autre destinée à prévenir les infiltrations provenant d’Irak, première étape d’un projet visant à ceindre les 9.000 Km de frontières du royaume d’un système sophistiqué de radars, caméras infra-rouge et tours de surveillance. Les Émirats mettent en place une barrière avec Oman, afin de dissuader l’immigration clandestine, et le Koweït renforce la sienne avec l’Irak faite d’une clôture électrifiée et d’une tranchée. Disposant de moins de moyens, la Tunisie a engagé la construction d’un simple mur de sable à la frontière avec la Libye. ❞
    . . . . .

  • A Samarcande, l’Ouzbékistan enterre son président
    http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2016/09/03/a-samarcande-l-ouzbekistan-enterre-son-president_4992088_3216.html

    Selon les experts, au moins trois hauts responsables ouzbeks pourraient chercher à prendre la succession d’Islam Karimov. Le premier ministre, Chavkat Mirzioïev, dirige la commission chargée d’organiser les funérailles, une indication sur le rôle important qu’il pourrait désormais jouer. Mais au moins deux autres hommes sont également pressentis, le ministre des finances, Roustam Azimov, et le puissant chef de la sécurité, Roustam Inoyatov, considéré comme l’un des responsables de la mort en 2005 de 300 à 500 manifestants pendant une manifestation à Andijan, réprimée par les forces de l’ordre.

  • Après la mort de Karimov, quel avenir pour l’Ouzbékistan ?
    https://www.mediapart.fr/journal/international/020916/apres-la-mort-de-karimov-quel-avenir-pour-louzbekistan

    Islam Karimov, président de l’Ouzbékistan depuis 26 ans, est mort. Sa succession s’organise actuellement entre les portes closes du gouvernement, dans un pays verrouillé depuis longtemps aux regards extérieurs. Entretien avec Sébastien Peyrouse, spécialiste de l’Asie centrale, sur le devenir du pays et son état économique et politique.

    #International #Asie_centrale #crise_sociale #Islam_Karimov #islamisme #ouzbékistan #Russie

  • Journal du 1er septembre 2016 | Canut Infos du Jeudi
    https://blogs.radiocanut.org/canutinfos-jeudi/?p=263

    Édito : « on est cerné par les cons »

    Ouzbékistan : Islam Karimov, mort ou vivant ?

    Suite aux Jo de Rio, Feyisa Lilesa n’est pas rentré en Éthiopie

    Gabon : ça flambe

    Venezuela : manifestation, répression, expulsion de journalistes

    Pesticides : le capitalisme avant tout

    Australie : méga mine Carmichael, nouveau recours rejeté

    Nucléaire et énergie : EDF ; Bure ; Costa Rica ; Ecosse ; Tahiti ; UE

    Les profiteurs : Lactalis

    Lyon : Défilé de la Biennale de la danse, Fête des lumières, piscine, école M.Servet

    Brésil

    Les profiteurs : Apple Durée : 1h11. Source : Radio Canut

    https://blogs.radiocanut.org/canutinfos-jeudi/files/2016/09/Canut_infos_jeudi1sept2016.mp3

  • Rumeur sur la mort du président d’#Ouzbékistan : sa fille [l’autre…] évoque sa « guérison » - Le Parisien
    http://www.leparisien.fr/international/rumeur-sur-la-mort-du-president-d-ouzbekistan-sa-fille-evoque-sa-guerison

    « Je suis sûre que cette énorme bonté qui vous vient du fond du coeur l’aidera dans sa guérison ! » D’une phrase, Lola Karimova-Tilliaïeva, la fille cadette du président ouzbek, Islam Karimov a mis un terme, sur Instagram, à la rumeur de la mort de son père. Depuis lundi, c’est sur ce réseau social que l’ambassadrice de l’Ouzbékistan à l’Unesco à Paris a choisi de communiquer sur l’état de santé du dirigeant âgé de 78 ans.

  • Les kurdes dans les peuples iraniens/ Perse
    http://vilistia.org/archives/11652

    Liste des peuples iraniens Les locuteurs de langues iraniennes contemporaines incluent : Peuples Régions Population Persans Aimaqs hazarar [réf. souhaitée] Farsiwans Hazaras Tadjiks Tats Ajams Iran, Afghanistan, Tadjikistan, Ouzbékistan, Azerbaïdjan, Russie (Daghestan), Bahreïn, Koweït, Qatar, Émirats arabes unis 50 à 70 M Pashtouns … Lire la suite →

    #KURDISTAN_HISTOIRE

  • Turquie 2013 – L’Eurovision menacée par la Turquie 2013- amorce de la Turquie vers Eurasie- UE OUT
    http://vilistia.org/archives/11453

    L’Eurovision menacée par la Turquie L’Azerbaïdjan, l’Ouzbékistan, le Tatarstan, et la République de Crimée ont déjà annoncé qu’ils participeront au Türkvizyon / DR Lun, 07/10/2013 – 17:09 Par Ludovic Clerima (Paris) C’est officiel, la Turquie renonce définitivement à l’Eurovision. Après avoir boudé … Lire la suite →

    #TURQUIE_ARCHIVES

  • UNESCO World Heritage Centre - Actualités
    Décisions du 40ème comité à Istamboul
    Inscriptions sur la Liste du Patrimoine Mondial

    session 2016 : 21 nouvelles inscriptions

    http://whc.unesco.org/fr/82?action=list&dateStart=15%2F07%2F2016&dateEnd=17%2F07%2F2016

    • Paysage culturel de l’art rupestre de Zuojiang Huashan (République populaire de Chine)
    http://whc.unesco.org/fr/list/1508

    • Site archéologique Nalanda Mahavihara (université de Nalanda) à Nalanda, Bihar (Inde)
    http://whc.unesco.org/fr/list/1502

    • Le qanat perse (République islamique d’Iran)
    http://whc.unesco.org/fr/list/1506

    • Nan Madol : centre cérémoniel de la Micronésie orientale (Etats fédérés de Micronésie)
    http://whc.unesco.org/fr/list/1503

    • Cimetières de tombes médiévales stećci (Bosnie-Herzégovine, Croatie, Monténégro, Serbie)
    http://whc.unesco.org/fr/list/1504

    • Site archéologique de Philippes (Grèce)
    http://whc.unesco.org/fr/list/1517

    • Site de dolmens d’Antequera (Espagne)
    http://whc.unesco.org/fr/list/1501

    • Site archéologique d’Ani (Turquie)
    http://whc.unesco.org/fr/list/1518

    • Ensemble des grottes de Gorham (Royaume-Uni)
    http://whc.unesco.org/fr/list/1500

    • L’œuvre architecturale de Le Corbusier- Une contribution exceptionnelle au Mouvement Moderne (Allemagne, Argentine, Belgique, France, Inde, Japon, Suisse)
    http://whc.unesco.org/fr/list/1321

    • Chantier naval d’Antigua et sites archéologiques associés (Antigua-et-Barbuda)
    http://whc.unesco.org/fr/list/1499

    • Ensemble moderne de Pampulha (Brésil)
    http://whc.unesco.org/fr/list/1493

    • Parc national de Khangchendzonga (Inde)
    http://whc.unesco.org/fr/list/1513

    • Shennongjia au Hubei (Chine)
    http://whc.unesco.org/fr/list/1509

    • Mistaken Point (Canada)
    http://whc.unesco.org/fr/list/1497

    • Archipel de Revillagigedo (Mexique)
    http://whc.unesco.org/fr/list/1510

    • Parc national marin de Sanganeb et Parc national marin de la baie de Dungonab – île de Mukkawar (Soudan)
    http://whc.unesco.org/fr/list/262

    • Désert de Lout (République islamique d’Iran)
    http://whc.unesco.org/fr/list/1505

    • Tien Shan occidental (Kazakhstan / Kirghizistan / Ouzbékistan)
    http://whc.unesco.org/fr/list/1490

    • Massif de l’Ennedi : paysage naturel et culturel (Tchad)
    http://whc.unesco.org/fr/list/1475

    • Les Ahwar du sud de l’Iraq : refuge de biodiversité et paysage relique des villes mésopotamiennes (Iraq)
    http://whc.unesco.org/fr/list/1481

  • UNESCO World Heritage Centre - Actualités
    Décisions du 40ème comité à Istamboul
    Liste du Patrimoine Mondial en Péril

    http://whc.unesco.org/fr/82?action=list&dateStart=12%2F07%2F2016&dateEnd=14%2F07%2F2016

    • Le Comité du patrimoine mondial réuni depuis le 10 juillet à Istanbul (Turquie) a inscrit les Villes anciennes de Djenné (Mali) sur la Liste du patrimoine mondial en péril du fait de l’insécurité dans la région qui ne permet pas la mise en œuvre des mesures de protection du bien.


    Villes anciennes de Djenné (Mali)
    © CRA-terre / Thierry Joffroy

    • Le Comité du patrimoine mondial réuni depuis le 10 juillet à Istanbul (Turquie) a décidé de retirer le site des Monuments historiques de Mtskheta (Géorgie) de la Liste du patrimoine mondial en péril sur laquelle il figurait depuis 2009.


    Monuments historiques de Mtskheta
    © Roberto Cantoni / Roberto Cantoni

    Le site avait été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en péril en raison notamment des détériorations des pierres et des fresques due aux travaux menés dans les bâtiments. Il y a été maintenu du fait d’un développement urbain incontrôlé sur le site.

    • Le Comité du patrimoine mondial réuni depuis le 10 juillet à Istanbul (Turquie) a inscrit le Centre historique de Shakhrisyabz (Ouzbékistan) sur la Liste du patrimoine mondial en péril du fait du développement des infrastructures touristiques dans la ville historique.


    Centre historique de Shakhrisyabz (20/04/2008)
    © UNESCO / Ainura Tentieva | Image Source : Ainura Tentieva

    • Le Comité du patrimoine mondial réuni depuis le 10 juillet à Istanbul (Turquie) a inscrit aujourd’hui les cinq sites libyens du patrimoine mondial sur la Liste du patrimoine mondial en péril du fait des dégâts subis et des risques encourus en lien avec le conflit qui affecte le pays.


    Site archéologique de Cyrène (Libye) (10/09/2007)
    © UNESCO / Francesco Bandarin

    (la seule décision, me semble-t-il qu’on ait (un peu vue) dans la presse)