• 1347 : la peste noire - Quand l’histoire fait dates - Patrick Boucheron | ARTE
    https://www.arte.tv/fr/videos/069117-004-A/quand-l-histoire-fait-dates

    Alors qu’en l’espace de cinq ans la grande peste a décimé un tiers de la population européenne, il reste finalement peu de traces de la pire catastrophe que le Moyen Âge ait connue. Que s’est-il réellement passé entre 1347 et 1352 sur notre continent ? Il apparaît que cette épidémie a été le marqueur d’une première mise en relation massive de l’Eurasie et du monde méditerranéen.

    #épidémie #histoire #vidéo

  • #Crest sous état d’urgence : descente de policiers et gendarmes sur la place de l’église samedi 24 octobre à la fin du marché
    https://ricochets.cc/Crest-sous-etat-d-urgence-descente-de-policiers-et-gendarmes-sur-la-place-

    Aujourd’hui, début du couvre-feu dans la Drôme à 21h. On apprend aussi que le masque est obligatoire dans l’espace public des communes de plus de 2000 habitants, oukase spécial du préfet de la Drôme. Un petit récit d’après plusieurs témoins : Ce samedi c’est le marché à Crest, en fin de matinée il fait beau, des personnes se posent sur les marches de l’église pour prendre le soleil hors du marché (il n’y a pas de stands côté église). Par étourderie ou croyant encore à l’ancienne règle (masque obligé (...) #Les_Articles

    / #Epidémies,_gestion_de_crise,_en_temps_de_catastrophe, Crest, #Ras-le-bol, Procès, justice, répression policière ou (...)

    #Procès,_justice,_répression_policière_ou_judiciaire
    http://www.drome.gouv.fr/la-drome-face-au-covid-19-a7414.html

  • Covid et démocratie
    https://ricochets.cc/Covid-et-democratie.html

    Ce texte est une réaction à l’article intitulé « C’est dur d’avoir 98 ans en 2020 ! ». Le problème avec l’humanité, c’est qu’elle se croit intelligente, alors que cette illusion est le produit de sa bêtise. L’incrédulité face au changement climatique provient de cette cécité. Même chose pour la cécité envers la pandémie en cours. Les gens ne comprendront son extrême gravité que lorsqu’une proportion importante de leurs proches sera touchée. Telle est l’imbécillité humaine, dont la parade est l’humilité, non pas cet (...) #Les_Articles

    / #Epidémies,_gestion_de_crise,_en_temps_de_catastrophe

  • Chronique d’une communication cartographique ratée. Déconstruction critique des cartes du gouvernement français pendant la crise de la COVID-19 au printemps 2020

    Le gouvernement français[1] a montré 40 cartes différentes concernant les enjeux sanitaires de la crise liée à l’#épidémie de COVID-19 entre mars et juin 2020[2]. Le Premier ministre Édouard Philippe, son ministre de la Santé Olivier Véran et le directeur général de la santé, Jérôme Salomon, ont tour à tour présenté lors de leurs conférences de presse régulières des #cartes représentant les transferts de patients en #réanimation [3], le #taux_d’occupation des services de réanimation [4], les rapatriements [5], les passages aux urgences dus à des suspicions de COVID-19 [6], la couverture des besoins en #tests_virologiques [7], la positivité de ces tests, l’évolution du R-effectif [8], et des synthèses de certaines de ces différentes informations [9]. La quasi-totalité des cartes (93 %) représente l’un de ces #indicateurs à l’échelle de la France métropolitaine et des Départements et Régions d’Outre-Mer (DROM), selon les mailles départementales (59 % des cartes) ou régionales (37 %).

    Il y a trente ans, les travaux de John Brian Harley sur la #déconstruction des cartes (Harley, 1989), de Dennis Woods sur leur pouvoir (Woods, 1992), ou encore de Mark Monmonier sur les mensonges dont elles peuvent être porteuses (Monmonier, 1991), avertissaient de l’intrication du #pouvoir et des #techniques_cartographiques, du caractère construit et discursif des cartes, et donc de la nécessité d’un #décodage_critique de ces images et des #croyances_positivistes qui y sont associées. Il est aujourd’hui encore nécessaire d’adopter cette démarche critique pour comprendre le statut et la portée des quarante cartes gouvernementales du Coronavirus. Ainsi peut-on mettre en lumière que ces cartes ne sont pas dissociables des #discours qui les accompagnent (ou qu’elles accompagnent) et qu’ensemble ils servent finalement moins à l’exposition de faits scientifiques, qu’à la gestion d’une #crise_politique.

    http://www.jssj.org/article/chronique-dune-communication-cartographique-ratee-deconstruction-critique-des-

    #cartographie #cartes_gouvernementales #France #visualisation #confinement #covid-19 #coronavirus #vert #rouge

    On avait parlé de ces cartes sur seenthis... mais je ne retrouve pas le fil de discussion...

    via @reka
    ping @simplicissimus @visionscarto

  • Why the Swedish Model for Fighting COVID-19 Is a Disaster | Time
    https://time.com/5899432/sweden-coronovirus-disaster

    Le fameux modèle suédois de lutte contre le #covid est une immense #imposture basée sur le précepte ultra-libéral du #laisser-faire, voire plus franchement de l’#eugénisme social.
    Non seulement ils ont imposé l’#immunité_de_troupeau à la population en lui mentant assez éfrontément, mais ils ont carrément donné un coup de pouce à la #contamination_de_masse en ouvrant massivement les #écoles pour en faire des #accélérateurs d’#épidémie.

    Et cette #forfaiture #criminelle est à présent à l’œuvre chez nous

    The Swedish COVID-19 experiment of not implementing early and strong measures to safeguard the population has been hotly debated around the world, but at this point we can predict it is almost certain to result in a net failure in terms of death and suffering. As of Oct. 13, Sweden’s per capita death rate is 58.4 per 100,000 people, according to Johns Hopkins University data, 12th highest in the world (not including tiny Andorra and San Marino). But perhaps more striking are the findings of a study published Oct. 12 in the Journal of the American Medical Association, which pointed out that, of the countries the researchers investigated, Sweden and the U.S. essentially make up a category of two: they are the only countries with high overall mortality rates that have failed to rapidly reduce those numbers as the pandemic has progressed.

    Yet the architects of the Swedish plan are selling it as a success to the rest of the world. And officials in other countries, including at the top level of the U.S. government, are discussing the strategy as one to emulate—despite the reality that doing so will almost certainly increase the rates of death and misery.

    Countries that locked down early and/or used extensive test and tracing—including Denmark, Finland, Norway, South Korea, Japan, Taiwan, Vietnam and New Zealand—saved lives and limited damage to their economies. Countries that locked down late, came out of lock down too early, did not effectively test and quarantine, or only used a partial lockdown—including Brazil, Mexico, Netherlands, Peru, Spain, Sweden, the U.S. and the U.K.—have almost uniformly done worse in rates of infection and death.

    Despite this, Sweden’s Public Health Agency director Johan Carlson has claimed that “the Swedish situation remains favorable,” and that the country’s response has been “consistent and sustainable.” The data, however, show that the case rate in Sweden, as elsewhere in Europe, is currently increasing.

    Average daily cases rose 173% nationwide from Sept. 2-8 to Sept. 30-Oct. 6 and in Stockholm that number increased 405% for the same period. Though some have argued that rising case numbers can be attributed to increased testing, a recent study of Stockholm’s wastewater published Oct. 5 by the Swedish Royal Institute of Technology (KTH) argues otherwise. An increased concentration of the virus in wastewater, the KTH researchers write, shows a rise of the virus in the population of the greater Stockholm area (where a large proportion of the country’s population live) in a way that is entirely independent of testing. Yet even with this rise in cases, the government is easing the few restrictions it had in place.

    From early on, the Swedish government seemed to treat it as a foregone conclusion that many people would die. The country’s Prime Minister Stefan Löfven told the Swedish newspaper Dagens Nyheter on April 3, “We will have to count the dead in thousands. It is just as well that we prepare for it.” In July, as the death count reached 5,500, Löfven said that the “strategy is right, I am completely convinced of that.” In September, Dr. Anders Tegnell, the Public Health Agency epidemiologist in charge of the country’s COVID-19 response reiterated the party line that a growing death count did “not mean that the strategy itself has gone wrong.” There has been a lack of written communication between the Prime Minister and the Public Health Authority: when the authors requested all emails and documents between the Prime Minister’s office and the Public Health Authority for the period Jan. 1—Sept. 14, the Prime Minister’s Registrar replied on Sept. 17 that none existed.

    Despite the Public Health Agency’s insistence to the contrary, the core of this strategy is widely understood to have been about building natural “herd immunity”—essentially, letting enough members of a population (the herd) get infected, recover, and then develop an immune system response to the virus that it would ultimately stop spreading. Both the agency and Prime Minister Löfven have characterized the approach as “common sense“ trust-based recommendations rather than strict measures, such as lockdowns, which they say are unsustainable over an extended period of time—and that herd immunity was just a desirable side effect. However, internal government communications suggest otherwise.

    Emails obtained by one of the authors through Freedom of Information laws (called offentlighetsprincipen, or “Openness Principle,” in Swedish) between national and regional government agencies, including the Swedish Public Health Authority, as well as those obtained by other journalists, suggest that the goal was all along in fact to develop herd immunity. We have also received information through sources who made similar requests or who corresponded directly with government agencies that back up this conclusion. For the sake of transparency, we created a website where we’ve posted some of these documents.

    One example showing clearly that government officials had been thinking about herd immunity from early on is a March 15 email sent from a retired doctor to Tegnell, the epidemiologist and architect of the Swedish plan, which he forwarded to his Finnish counterpart, Mika Salminen. In it, the retired doctor recommended allowing healthy people to be infected in controlled settings as a way to fight the epidemic. “ One point would be to keep schools open to reach herd immunity faster ,” Tegnell noted at the top of the forwarded email.

    Salminen responded that the Finnish Health Agency had considered this but decided against it, because “over time, the children are still going to spread the infection to other age groups.” Furthermore, the Finnish model showed that closing schools would reduce “the attack rate of the disease on the elderly” by 10%. Tegnell responded: “10 percent might be worth it?”

    The majority of the rest of Sweden’s policymakers seemed to have agreed: the country never closed daycare or schools for children under the age of 16, and school attendance is mandatory under Swedish law, with no option for distance learning or home schooling, even for family members in high risk groups. Policymakers essentially decided to use children and schools as participants in an experiment to see if herd immunity to a deadly disease could be reached. Multiple outbreaks at schools occurred in both the spring and autumn.

    At this point, whether herd immunity was the “goal” or a “byproduct” of the Swedish plan is semantics, because it simply hasn’t worked. In April, the Public Health Agency predicted that 40% of the Stockholm population would have the disease and acquire protective antibodies by May. According to the agency’s own antibody studies published Sept. 3 for samples collected up until late June, the actual figure for random testing of antibodies is only 11.4% for Stockholm, 6.3% for Gothenburg and 7.1% across Sweden. As of mid-August, herd immunity was still “nowhere in sight,” according to a Journal of the Royal Society of Medicine study. That shouldn’t have been a surprise. After all, herd immunity to an infectious disease has never been achieved without a vaccine.

    Löfven, his government, and the Public Health Agency all say that the high COVID-19 death rate in Sweden can be attributed to the fact that a large portion of these deaths occurred in nursing homes, due to shortcomings in elderly care.

    However, the high infection rate across the country was the underlying factor that led to a high number of those becoming infected in care homes. Many sick elderly were not seen by a doctor because the country’s hospitals were implementing a triage system that, according to a study published July 1 in the journal Clinical Infectious Diseases, appeared to have factored in age and predicted prognosis. “This likely reduced [intensive care unit] load at the cost of more high-risk patients”—like elderly people with confirmed infection—dying outside the ICU.” Only 13% of the elderly residents who died with COVID-19 during the spring received hospital care, according to preliminary statistics from the National Board of Health and Welfare released Aug.

    In one case which seems representative of how seniors were treated, patient Reza Sedghi was not seen by a doctor the day he died from COVID-19 at a care home in Stockholm. A nurse told Sedghi’s daughter Lili Perspolisi that her father was given a shot of morphine before he passed away, that no oxygen was administered and staff did not call an ambulance. “No one was there and he died alone,” Perspolisi says.

    In order to be admitted for hospital care, patients needed to have breathing problems and even then, many were reportedly denied care. Regional healthcare managers in each of Sweden’s 21 regions, who are responsible for care at hospitals as well as implementing Public Health Agency guidelines, have claimed that no patients were denied care during the pandemic. But internal local government documents from April from some of Sweden’s regions—including those covering the biggest cities of Stockholm, Gothenburg and Malmö—also show directives for how some patients including those receiving home care, those living at nursing homes and assisted living facilities, and those with special needs could not receive oxygen or hospitalization in some situations. Dagens Nyheter published an investigation on Oct. 13 showing that patients in Stockholm were denied care as a result of these guidelines. Further, a September investigation by Sveriges Radio, Sweden’s national public broadcaster, found that more than 100 people reported to the Swedish Health and Care Inspectorate that their relatives with COVID-19 either did not receive oxygen or nutrient drops or that they were not allowed to come to hospital.

    These issues do not only affect the elderly or those who had COVID-19. The National Board of Health and Welfare’s guidelines for intensive care in extraordinary circumstances throughout Sweden state that priority should be given to patients based on biological, not chronological, age. Sörmlands Media, in an investigation published May 13, cited a number of sources saying that, in many parts of the country, the health care system was already operating in a way such that people were being denied the type of inpatient care they would have received in normal times. Regional health agencies were using a Clinical Frailty Scale, an assessment tool designed to predict the need for care in a nursing home or hospital, and the life expectancy of older people by estimating their fragility, to determine whether someone should receive hospital care and was applied to decisions regarding all sorts of treatment, not only for COVID-19. These guidelines led to many people with health care needs unrelated to COVID-19 not getting the care they need, with some even dying as a result—collateral damage of Sweden’s COVID-19 strategy.

    Dr. Michael Broomé, the chief physician at Stockholm’s Karolinska Hospital’s Intensive Care Unit, says his department’s patient load tripled during the spring. His staff, he says, “have often felt powerless and inadequate. We have lost several young, previously healthy, patients with particularly serious disease courses. We have also repeatedly been forced to say no to patients we would normally have accepted due to a lack of experienced staff, suitable facilities and equipment.”

    In June, Dagens Nyheter reported a story of one case showing how disastrous such a scenario can be. Yanina Lucero had been ill for several weeks in March with severe breathing problems, fever and diarrhea, yet COVID-19 tests were not available at the time except for those returning from high risk areas who displayed symptoms, those admitted to the hospital, and those working in health care. Yanina was only 39 years old and had no underlying illnesses. Her husband Cristian brought her to an unnamed hospital in Stockholm, but were told it was full and sent home, where Lucero’s health deteriorated. After several days when she could barely walk, an ambulance arrived and Lucero was taken to Huddinge hospital, where she was sedated and put on a ventilator. She died on April 15 without receiving a COVID-19 test in hospital.

    Sweden did try some things to protect citizens from the pandemic. On March 12 the government restricted public gatherings to 500 people and the next day the Public Health Agency issued a press release telling people with possible COVID-19 symptoms to stay home. On March 17, the Public Health Agency asked employers in the Stockholm area to let employees work from home if they could. The government further limited public gatherings to 50 people on March 29. Yet there were no recommendations on private events and the 50-person limit doesn’t apply to schools, libraries, corporate events, swimming pools, shopping malls or many other situations. Starting April 1, the government restricted visits to retirement homes (which reopened to visitors on Oct. 1 without masks recommended for visitors or staff). But all these recommendations came later than in the other Nordic countries. In the interim, institutions were forced to make their own decisions; some high schools and universities changed to on-line teaching and restaurants and bars went to table seating with distance, and some companies instituted rules about wearing masks on site and encouraging employees to work from home.

    Meanwhile Sweden built neither the testing nor the contact-tracing capacity that other wealthy European countries did. Until the end of May (and again in August), Sweden tested 20% the number of people per capita compared with Denmark, and less than both Norway and Finland; Sweden has often had among the lowest test rates in Europe. Even with increased testing in the fall, Sweden still only tests only about one-fourth that of Denmark.

    Sweden never quarantined those arriving from high-risk areas abroad nor did it close most businesses, including restaurants and bars. Family members of those who test positive for COVID-19 must attend school in person, unlike in many other countries where if one person in a household tests positive the entire family quarantines, usually for 14 days. Employees must also report to work as usual unless they also have symptoms of COVID-19, an agreement with their employer for a leave of absence or a doctor recommends that they isolate at home.

    On Oct. 1, the Public Health Authority issued non-binding “rules of conduct” that open the possibility for doctors to be able to recommend that certain individuals stay home for seven days if a household member tests positive for COVID-19. But there are major holes in these rules: they do not apply to children (of all ages, from birth to age 16, the year one starts high school), people in the household who previously have a positive PCR or antibody test or, people with socially important professions, such as health care staff (under certain circumstances).

    There is also no date for when the rule would go into effect. “It may not happen right away, Stockholm will start quickly but some regions may need more time to get it all in place,” Tegnell said at a Oct. 1 press conference. Meanwhile, according to current Public Health Agency guidelines issued May 15 and still in place, those who test positive for COVID-19 are expected to attend work and school with mild symptoms so long as they are seven days post-onset of symptoms and fever free for 48 hours.

    Sweden actually recommends against masks everywhere except in places where health care workers are treating COVID-19 patients (some regions expand that to health care workers treating suspected patients as well). Autumn corona outbreaks in Dalarna, Jönköping, Luleå, Malmö, Stockholm and Uppsala hospitals are affecting both hospital staff and patients. In an email on April 5, Tegnell wrote to Mike Catchpole, the chief scientist at the European Center for Disease Control and Prevention (ECDC): “We are quite worried about the statement ECDC has been preparing about masks.” Tegnell attached a document in which he expresses concern that ECDC recommending facemasks would “imply that the spread is airborne which would seriously harm further communication and trust among the population and health care workers” and concludes “we would like to warn against the publication of this advice.” Despite this, on April 8 ECDC recommended masks and on June 8 the World Health Organization updated its stance to recommend masks.

    Sweden’s government officials stuck to their party line. Karin Tegmark Wisell of the Public Health Agency said at a press conference on July 14 that “we see around the world that masks are used in a way so that you rather increase the spread of infection.” Two weeks later, Lena Hallengren, the Minister of Health and Social Affairs, spoke about masks at a press conference on July 29 and said, “We don’t have that tradition or culture” and that the government “would not review the Public Health Agency’s decision not to recommend masks.”

    All of this creates a situation which leaves teachers, bus drivers, medical workers and care home staff more exposed, without face masks at a time when the rest of the world is clearly endorsing widespread mask wearing.

    On Aug. 13, Tegnell said that to recommend masks to the public “quite a lot of resources are required. There is quite a lot of money that would be spent if you are going to have masks.” Indeed, emails between Tegnell and colleagues at the Public Health Agency and Andreas Johansson of the Ministry of Health and Social Affairs show that the policy concerns of the health authority were influenced by financial interests, including the commercial concerns of Sweden’s airports.

    Swedavia, the owner of the country’s largest airport, Stockholm Arlanda, told employees during the spring and early summer they could not wear masks or gloves to work. One employee told Upsala Nya Tidning newspaper on Aug. 24 “Many of us were sick during the beginning of the pandemic and two colleagues have died due to the virus. I would estimate that 60%-80% of the staff at the security checks have had the infection.”

    “Our union representatives fought for us to have masks at work,” the employee said, “but the airport’s response was that we were an authority that would not spread fear, but we would show that the virus was not so dangerous.” Swedavia’s reply was that they had introduced the infection control measures recommended by the authorities. On July 1, the company changed its policy, recommending masks for everyone who comes to Arlanda—that, according to a Swedavia spokesperson, was not as a result of “an infection control measure advocated by Swedish authorities,” but rather, due to a joint European Union Aviation Safety Agency and ECDC recommendation for all of Europe.

    As early as January, the Public Health Agency was warning the government about costs. In a Jan. 31 communique, Public Health Agency Director Johan Carlsson (appointed by Löfven) and General Counsel Bitte Bråstad wrote to the Ministry of Health and Social Affairs, cautioning the government about costs associated with classifying COVID-19 as a socially dangerous disease: “After a decision on quarantine, costs for it [include] compensation which according to the Act, must be paid to those who, due to the quarantine decision, must refrain from gainful employment. The uncertainty factors are many even when calculating these costs. Society can also suffer a loss of production due to being quarantined [and] prevented from performing gainful employment which they would otherwise have performed.” Sweden never implemented quarantine in society, not even for those returning from travel abroad or family members of those who test positive for COVID-19.

    Not only did these lack of measures likely result in more infections and deaths, but it didn’t even help the economy: Sweden has fared worse economically than other Nordic countries throughout the pandemic.

    The Swedish way has yielded little but death and misery. And, this situation has not been honestly portrayed to the Swedish people or to the rest of the world.

    A Public Health Agency report published July 7 included data for teachers in primary schools working on-site as well as for secondary school teachers who switched to distance instruction online. In the report, they combined the two data sources and compared the result to the general population, stating that teachers were not at greater risk and implying that schools were safe. But in fact, the infection rate of those teaching in classrooms was 60% higher than those teaching online—completely undermining the conclusion of the report.

    The report also compares Sweden to Finland for March through the end of May and wrongly concludes that the ”closing of schools had no measurable effect on the number of cases of COVID-19 among children.” As testing among children in Sweden was almost non-existent at that time compared to Finland, these data were misrepresented; a better way to look at it would be to consider the fact that Sweden had seven times as many children per capita treated in the ICU during that time period.

    When pressed about discrepancies in the report, Public Health Agency epidemiologist Jerker Jonsson replied on Aug. 21 via email: “The title is a bit misleading. It is not a direct comparison of the situation in Finland to the situation in Sweden. This is just a report and not a peer-reviewed scientific study. This was just a quick situation report and nothing more.” However the Public Health Agency and Minister of Education continue to reference this report as justification to keep schools open, and other countries cite it as an example.

    This is not the only case where Swedish officials have misrepresented data in an effort to make the situation seem more under control than it really is. In April, a group of 22 scientists and physicians criticized Sweden’s government for the 105 deaths per day the country was seeing at the time, and Tegnell and the Public Health Agency responded by saying the true number was just 60 deaths per day. Revised government figures now show Tegnell was incorrect and the critics were right. The Public Health Agency says the discrepancy was due to a backlog in accounting for deaths, but they have backlogged deaths throughout the pandemic, making it difficult to track and gauge the actual death toll in real time.

    Sweden never went into an official lockdown but an estimated 1.5 million have self-isolated, largely the elderly and those in risk groups. This was probably the largest factor in slowing the spread of the virus in the country in the summer. However, recent data suggest that cases are yet again spiking in the country, and there’s no indication that government policies will adapt.

    Health care workers, scientists and private citizens have all voiced concerns about the Swedish approach. But Sweden is a small country, proud of its humanitarian image—so much so that we cannot seem to understand when we have violated it. There is simply no way to justify the magnitude of lost lives, poorer health and putting risk groups into long-term isolation, especially not in an effort to reach an unachievable herd immunity. Countries need to take care before adopting the “Swedish way.” It could have tragic consequences for this pandemic or the next.

    • Ça rappelle la formule « on n’additionne pas des choux et des carottes » (sauf pour confectionner un plat), toute distinctivité abolie en moins marrant :

      ... l’immunité collective contre une maladie infectieuse n’a jamais été obtenue sans vaccin.

      Sinon, on retrouve là bas ce que Epicov a mis en lumière, les plus âgés (plus de 50 ans), à la vie sociale moins foisonnante, en moyenne (?), et plus prudents, prennent des mesures de distanciation qui les préserve pour partie des contaminations.
      La non généralisation des #masques (découragée par le gvt) facilité le maintien et l’expansion de l’épidémie (à l’inverse de ce qui se passe ici, où la seconde vague se distingue pour l’instant nettement de la première avec cette modification du comportement).

      #Suède

  • Déclaration des organisations de recherche non universitaires sur l’#épidémie de Covid 19 | Société Max Planck → Stellungnahme der außeruniversitären Forschungsorganisationen zu Covid-19-Epidemie | Max-Planck-Gesellschaft
    https://www.mpg.de/15426163/stellungnahme-ausseruniversitaere-forschungsorganisationen-covid-19-epidemie


    Pour changer, les Allemands ont une #analyse franche et clair du #covid, ils se tiennent à jour et n’ont pas peur de #communiquer avec leur population et de rendre publiques leurs #préconisation de #prévention pour inclure plutôt que pour punir.

    Eine Stellungnahme der Präsidenten der außeruniversitären Forschungsorganisationen zur COVID-19-Epidemie auf Basis von mathematischen Analysen der Datenlage
    24. September 2020
    #Corona #Forschungspolitik #Mathematik

    Einleitung

    Obwohl wir mittlerweile länger als ein halbes Jahr mit der COVID-19-Pandemie leben, gibt es weiterhin viele offene Fragen und große Unsicherheiten in Bezug auf das weitere Infektionsgeschehen. Wie wird sich die Epidemie in Deutschland entwickeln – gerade in der anstehenden Grippezeit und in den kalten Herbst- und Wintermonaten? Welche Strategien sind besonders effizient, um die in Deutschland und weltweit steigenden Infektionszahlen einzudämmen? Was hat sich in den letzten Monaten bewährt, welche Eigenschaften von SARS-CoV-2 kennen wir mittlerweile? Und welche Maßnahmen können wir Wirtschaft und Bevölkerung zumuten, ohne das gesellschaftliche Leben zu stark einzuschränken?

    Fest steht: Die COVID-19-Pandemie verläuft extrem dynamisch. Eindämmungsmaßnahmen müssen daher laufend beobachtet und angepasst werden. Um einen wertvollen Beitrag zur Epidemiebewältigung zu leisten und Wissenslücken zu schließen, haben sich die Modellierungsexpertinnen und -experten der außeruniversitären Forschungsorganisationen – also der Fraunhofer-Gesellschaft, der Helmholtz-Gemeinschaft, der Leibniz-Gemeinschaft und der Max-Planck-Gesellschaft – zusammengetan und eine gemeinsame Stellungnahme verfasst. Auf Basis der verfügbaren Daten und mit einem komplementären Methodenspektrum haben wir Modellszenarien zum weiteren Verlauf der COVID-19-Epidemie in Deutschland erstellt. Diese sollen politischen Entscheidungsträgern, genauso wie jeder einzelnen Person dabei helfen, die Eindämmungsmaßnahmen kontinuierlich zu überprüfen und gegebenenfalls nachzusteuern.

    Im Folgenden fassen wir die wesentlichen Erkenntnisse aus unseren Modellierungen auf Basis des aktuell verfügbaren Wissens kompakt zusammen. Unsere Berechnungen zeigen: Vor dem Hintergrund steigender Infektionszahlen ist es umso wichtiger, dass jeder Einzelne einen Beitrag leistet, um das Infektionsgeschehen einzudämmen. Nur zusammen können wir Gesundheit, Gesellschaft und Wirtschaft effektiv schützen.

    Ergebnisse der Modellierungen

    AutorInnen: Michael Meyer-Hermann (Helmholtz-HZI), Iris Pigeot (Leibniz-BIPS), Viola Priesemann (MPI-DS), Anita Schöbel (Fraunhofer ITWM)

    Die aktuelle Entwicklung der COVID-19-Epidemie in Deutschland erfordert eine Analyse der derzeitigen Situation. Die in Deutschland gestiegenen Zahlen an COVID-19-Neuinfizierten, die gesunkene Rate an Todesfällen und die zunehmende Ermüdung der Bevölkerung, Maßnahmen einzuhalten, machen es einerseits notwendig, die Situation neu zu bewerten und die bisherigen Maßnahmen zu überdenken. Andererseits zeigt die Entwicklung insbesondere in Spanien und Frankreich besonders deutlich, dass wir in Deutschland noch eine relativ gut kontrollierte Situation haben, die wir nicht aufs Spiel setzen sollten, insbesondere im Hinblick auf unser soziales und wirtschaftliches Leben. Dabei erfordert gerade die anstehende kältere Jahreszeit einen fundierten Plan: Wir müssen die besten Voraussetzungen schaffen, damit wir unter Beibehaltung von sozialer und wirtschaftlicher Aktivität sowie stabilen Infektionszahlen gut über den Winter kommen.

    Aktuelle Risiken

    Die Zahl der aktuellen Neuinfektionen ist gegenüber Juni um ein Vielfaches erhöht. Selbst wenn man von einer sich andeutenden Stabilisierung der Reproduktionszahl um eins ausgeht, ist die Zahl der Neuinfektionen im Moment nahezu flächendeckend und so hoch, dass die Gesundheitsämter am Kapazitätslimit arbeiten und die Infektionsketten zunehmend nicht mehr vollständig durch Testing und Tracing identifizieren und isolieren können. Besonders vor dem Hintergrund von saisonalen Effekten ab Herbst müssen wir die Anzahl der Neuinfektionen wieder reduzieren.

    Erhöhte Mobilität durch Auslandsreisen trägt deutlich zum Infektionsgeschehen bei. Zum Verständnis des Infektionsgeschehens ist es wichtig zu unterscheiden, ob der jüngst beobachtete Anstieg der Neuinfektionen durch aus dem Ausland eingetragene Fälle oder durch zunehmende Kontakte im Inland verursacht wurde. Unsere Simulationen zeigen, dass ein wesentlicher Teil durch neue Fälle von außen erklärbar ist. Allerdings ist auch die effektive Reproduktionszahl ohne die Einbeziehung der Reiserückkehrer angestiegen, sodass wir kaum Spielraum für weitere Lockerungen oder ein saisonal bedingtes erhöhtes Infektionsgeschehen haben. Insbesondere wirkt jeder Eintrag von außen wie ein Keim, der sich im Inland schnell verbreiten kann. Entsprechend zeigen Simulationen der aktuellen Situation, dass nur geringfügige zusätzliche Kontaktbeschränkungen ein neu aufflammendes Infektionsgeschehen eindämmen können, wenn sich Rückkehrende von Reisen konsequent an die Quarantäne halten und die AHA-Regeln (Abstand, Hygiene und Alltagsmaske) weiterhin von allen eingehalten werden.

    Es gibt zwei wichtige Kipppunkte, die eine Eindämmung von SARS-CoV-2 gefährden. Zum einen ist nun hinreichend bekannt, dass wir in den Bereich des exponentiellen Wachstums kommen, sobald die effektive Reproduktionszahl R über eins steigt. Zum anderen haben wir aber einen zweiten, mindestens ebenso wichtigen Kipppunkt identifiziert, der von der Anzahl an Neuinfektionen abhängt: Infizieren sich so viele Menschen, dass die Infektionsketten nicht mehr zügig von den Gesundheitsämtern nachverfolgt werden können, lässt sich die Ausbreitung des Virus wesentlich schwerer eindämmen. Es kommt zu einem sich selbst verstärkenden Wachstum, das sich nur sehr schwer wieder einfangen lässt. Eine niedrige Anzahl an Neuinfektionen erleichtert hingegen die Eindämmung.

    Saisonale Effekte beeinflussen die Ausbreitung des Virus. Die Hinweise auf eine Ansteckung über Aerosole haben sich inzwischen wissenschaftlich erhärtet. Das bedeutet, dass das Ansteckungsrisiko in geschlossenen Räumen deutlich erhöht ist. Ein wesentlicher saisonaler Faktor wird in der nun folgenden kalten Jahreszeit das vermehrte Aufhalten in geschlossenen Räumen sein. Dem kann durch ein konsequentes Tragen von Masken entgegengewirkt werden.

    Herdenimmunität ist weiterhin nicht erreichbar. Es mehren sich die Hinweise, dass ein signifikanter Teil der Träger des SARS-CoV-2-Virus nicht erkrankt bzw. das Virus sehr schnell an der Ausbreitung im Körper hindert. Das sollte die Entwicklung einer Herdenimmunität im Prinzip beschleunigen. Dennoch können wir nach aktuellen Abschätzungen auch unter Einbeziehung der Dunkelziffer den Zustand der Herdenimmunität mittelfristig nicht erreichen, ohne das Gesundheitssystem stark zu belasten. Darüber hinaus weisen neuere Erkenntnisse darauf hin, dass eine Erkrankung mit SARS-CoV-2 nur zu einer relativ kurz anhaltenden Immunität durch Antikörper führen könnte, sodass Personen erneut an dem Virus erkranken können. Auch unter diesem Aspekt ist Herdenimmunität kein sinnvolles Ziel. Zudem liegt in Ländern, die auf Herdenimmunität gesetzt oder erst spät eine Kontrolle des Virus erreicht haben, die Anzahl der berichteten Todesfälle um einen Faktor 5-10 höher als in den Ländern, die früh eine Kontrolle der Pandemie angestrebt und erreicht haben: Italien, Großbritannien, Schweden und Spanien zählen rund 470-600 mit COVID-19 assoziierte Tote pro Million Bevölkerung, während Deutschland, Österreich und Norwegen nur 50-100 Tote in Bezug auf COVID-19 verzeichnen.

    Die gesunkene Sterblichkeit ist im Wesentlichen durch die Altersverteilung erklärbar. Obwohl die Zahl der täglichen Neuinfektionen in Deutschland seit Mitte Juni wieder deutlich zugenommen hat, folgen die Todeszahlen diesem Trend nicht. Neben der verbesserten Therapie von Erkrankten zeigt sich in Simulationen die veränderte Altersverteilung der Träger des Virus als eine Hauptursache: Der prozentuale Anteil der Infektionen bei den über 60-Jährigen ist gesunken, was sich u.a. durch die beständige Reduktion der kritischen Kontakte zur älteren Generation erklären lässt. Durch die Kontakte zwischen Jung und Alt birgt die höhere Ansteckungsrate in der jüngeren Bevölkerung aber die Gefahr einer erneuten Ausbreitung unter den Älteren mit einer damit verbundenen erhöhten Sterblichkeit (etwas, was sich gerade in anderen europäischen Ländern beobachten lässt). Die Berechnung der Sterblichkeit ist schwierig, da man aufgrund der Dunkelziffer die Anzahl der Träger des Virus nur schätzen kann. Die durch konsequentes Testen (z.B. der Reiserückkehrer) derzeit tendenziell sinkende Dunkelziffer kann fälschlicherweise als ein Absinken der Sterblichkeit interpretiert werden.

    Ein konsequenter Schutz der vulnerablen Bevölkerung bei hoher allgemeiner SARS-CoV-2-Prävalenz ist nicht umsetzbar. Ein zur Herdenimmunität alternativ diskutierter Ansatz sieht die Akzeptanz einer unkontrollierten Ausbreitung in der allgemeinen Bevölkerung vor, während gleichzeitig die Risikopersonen geschützt werden sollen, indem diese sich isolieren. Dieser Ansatz ist unter verschiedenen Gesichtspunkten als kritisch anzusehen. Zum einen sind auch bei Nicht-Risikopersonen nach Erkrankung mit COVID-19 gravierende, langanhaltende Nebenwirkungen nicht auszuschließen, was eine unkontrollierte Verbreitung des Virus als nicht annehmbar erscheinen lässt. Zum anderen ist in der Praxis ein Schutz der Risikopersonen bei hoher SARS-CoV-2-Prävalenz aus mehreren Gründen nicht umsetzbar. (1) Ansteckungen können auch von prä- oder asymptomatischen Personen ausgehen, sodass Träger möglicherweise Risikopersonen infizieren, ohne dass sie es merken. (2) Insbesondere Risikopersonen bedürfen der Interaktion mit und der Unterstützung durch andere Menschen. Dies stellt ein großes Risiko für eine Übertragung dar. (3) Ein sehr häufiges, vorsorgliches Testen zum Schutz von Risikopersonen ist derzeit in Deutschland nicht möglich, da nur eine begrenzte Menge PCR-Tests zur Verfügung stehen.

    Effekte der Maßnahmen

    Hygienemaßnahme wirken. Aus der ersten COVID-19-Welle wissen wir, dass das Virus sich durch Hygienemaßnahmen eindämmen lässt. Ein kompletter Lockdown war Ende April bei etwa 2000 neuen Fällen pro Tag nicht mehr notwendig. Ein Aufbau des Test-Trace-und-Isolate-Systems (TTI), das konsequente Tragen von Masken, die Beachtung von Hygiene- und Abstandsregeln, die Absage von Großveranstaltungen, die Einschränkungen beim Reisen und die freiwilligen Kontaktbeschränkungen haben ausgereicht, die Zahl der Neuerkrankungen bis Juni auf rund 300 Fälle pro Tag zu senken. In dieser Phase war das Infektionsgeschehen nicht mehr flächendeckend, sondern auf lokale Ereignisse beschränkt. Über 100 Landkreise haben gleichzeitig mindestens eine Woche lang keine Neuinfektionen registriert. Das hat ein in weiten Teilen normalisiertes Leben und eine weitgehende wirtschaftliche Aktivität ermöglicht.

    Test-Trace-und-Isolate-Strategien (TTI) können nur zusammen mit den AHA-Maßnahmen das Infektionsgeschehen eindämmen. Unsere Modellrechnungen zeigen, dass TTI-Strategien bei einer niedrigen Zahl an Neuinfektionen ein wirksames Werkzeug zur Eindämmung von SARS-CoV-2 darstellen. Um konkrete Zahlen als Anhaltspunkt zu nennen: Ein Verhalten wie vor der Epidemie führt dazu, dass eine Person im Mittel 3 bis 4 Personen mit SARS-CoV-2 ansteckt. Zur Stabilisierung muss die Ansteckungsrate also um den Faktor 3 oder 4 reduziert werden. Unsere Studien zeigen, dass die aktuell eingesetzten TTI-Maßnahmen zwar sehr effektiv sind, aber diesen Faktor nur halbieren. Der andere Beitrag zur Reduktion resultiert aus saisonalen Effekten und AHA-Maßnahmen. Diese AHA-Maßnahmen sind notwendig, da eine perfekte Umsetzung des TTI nicht möglich ist, z.B. weil Infektionen asymptomatisch verlaufen, die Quarantäne nicht perfekt ist oder Kontakte unentdeckt bleiben.

    Die Testkapazität ist begrenzt. In Deutschland stehen derzeit rund 1,4 Millionen PCR-Tests pro Woche zur Verfügung. Das bedeutet, dass jede Person in Deutschland im Durchschnitt weniger als einmal im Jahr getestet werden könnte. Derzeit muss man also mit begrenzter Testkapazität rechnen. Dadurch sind wöchentliche, vorsorgliche Tests z.B. zum Schutz von Risikopersonen nicht umsetzbar. Es ist daher wichtig, die verfügbaren Tests gezielt einzusetzen. Eine Etablierung von effizienten Pooling-Strategien oder der Aufbau großer Kapazitäten an PCR-Tests bzw. anderen Schnelltests können hier Abhilfe schaffen.

    Damit das TTI so effizient wie möglich wirken kann, müssen die Kontaktpersonen zügig isoliert werden. Im Idealfall sollen sie isoliert werden, bevor sie infektiös werden. Um Kontaktpersonen schnell zu informieren, kann die dezentrale Corona-Warn-App einen wichtigen Beitrag leisten. Infizierte, die sich isolieren, bevor sie Mitmenschen anstecken, tragen dazu bei, das Infektionsgeschehen zu verlangsamen. Daher hilft die Corona-Warn-App auch schon, wenn sie nur von einem kleineren Teil der Bevölkerung benutzt wird.

    Vorsorgliche Quarantäne ist ein effektives Mittel zur Eindämmung von Infektionen. Nach der Bestätigung einer Infektion werden Kontaktcluster der infizierten Person identifiziert. In Simulationen erweist sich die vorsorgliche Isolation des gesamten Clusters als sehr effiziente Maßnahme zur Eindämmung der Ausbreitung von Infektionen. Wenn man erst isoliert, nachdem im Cluster positive Tests gefunden wurden, verliert man Zeit und riskiert weitere Infektionen. Ein negatives Testergebnis nach der Inkubationszeit von 5-7 Tagen Quarantäne kann ein vorzeitiges Beenden der Quarantäne ermöglichen. Wird jedoch zu früh, also noch während der Inkubationszeit getestet, riskiert man ein falsch-negatives Ergebnis und wiegt die getestete Person in falscher Sicherheit, was sogar zu einer vermehrten Verbreitung führen kann.

    Das Vermeiden von Superspreading-Events kann einen deutlichen Beitrag zur Eindämmung der Epidemie leisten. Es ist davon auszugehen, dass das Virus eine hohe Dispersion aufweist. Dadurch kommt potenziellen Superspreading-Events eine hohe Bedeutung zu. Würde man diese komplett vermeiden oder im Umfang reduzieren, könnte man die Reproduktionszahl deutlich senken. Deswegen ist es vorteilhaft, Veranstaltungen und Treffen in einem wesentlich kleineren Rahmen durchzuführen als vor Ausbruch der Pandemie.

    Fazit

    Jeder einzelne Beitrag schützt Gesundheit, Gesellschaft und Wirtschaft. Die COVID-19-Epidemie hat auch in Deutschland zu Todesfällen geführt und wird weitere Todesfälle hervorrufen. Einige als genesen geltende PatientInnen leiden immer noch unter nachhaltigen gesundheitlichen Schäden. Gleichzeitig sind in Folge der COVID-19-Epidemie viele wirtschaftliche Existenzen bedroht oder zerstört worden; zahlreiche Menschen haben unter Unsicherheiten und Einschränkungen gelitten. Steigende Fallzahlen würden – ob mit oder ohne Lockdown – erneut erhebliche gesundheitliche, gesellschaftliche, psychologische und wirtschaftliche Kosten verursachen. Das kann verhindert werden. Wenn wir es schaffen, die Anzahl an Neuerkrankungen niedrig zu halten, können die Infektionsketten unterbrochen oder mindestens eingedämmt werden. Das Befolgen der angesprochenen Maßnahmen ist ein direkter Beitrag, um Leben und Existenzen zu schützen und unser gesellschaftliches Leben zu normalisieren. Wenn jede Person nach ihren Möglichkeiten ihren Beitrag leistet, kann SARS-CoV-2 unter Kontrolle gehalten werden.

    PDF zum Download → https://www.mpg.de/15426458/stellungnahme-forschungsorganisationen-covid-24-09-2020.pdf

    • l’#immunité_collective n’est pas un objectif raisonnable.(...) dans les pays qui se sont appuyés sur l’immunité collective ou ont tardé à lutter contre le virus, le nombre de décès signalés est un facteur de 5 à 10 plus élevé que dans les pays qui ont cherché et obtenu un contrôle précoce de la pandémie : Italie, Grande-Bretagne, La Suède et l’Espagne ont environ 470 à 600 décès associés au COVID-19 par million d’habitants, tandis que l’Allemagne, l’Autriche et la Norvège n’ont que 50 à 100 décès associés au COVID-19.

  • Covid-19 (épisode15) : Stabilisation des nouvelles hospitalisations
    https://ricochets.cc/Covid-19-episode15-Stabilisation-des-nouvelles-hospitalisations.html

    Bien sur le gouvernement continue de manipuler l’information mainstream et donc nous devons choisir les critères qui nous semblent pertinents et les présenter à notre manière. Je vais vous parler du nombre de nouvelles hospitalisations , du nombre de personnes en réanimation et du nombre de morts par jour en France, disponibles sur S.P.F. Pour les nouvelles hospitalisations (voir ci-dessous) il y a vraiment un palier autour de 580 par jour à comparer avec les 4000 que l’on a eu au maximum de (...) #Les_Articles

    / #Epidémies,_gestion_de_crise,_en_temps_de_catastrophe

  • Du #sida au Covid 19
    https://laviedesidees.fr/Du-Sida-au-Covid-19.html

    Bien que très différentes, les épidémies de Sida et de #Covid-19 mettent les #Sociétés face à des dilemmes médicaux, politiques et sociétaux communs en termes de gestion de l’incertitude scientifique, de responsabilisation, d’attention aux plus vulnérables et surtout de #prévention.

    #mobilisation #épidémie
    https://laviedesidees.fr/IMG/docx/20201002_pezeril_sidacovid.docx
    https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20201002_pezeril_sidacovid.pdf

    • Deuxièmement, les études en sciences sociales ont montré que les individus ne font pas seulement face à un risque d’infection ou de maladie, mais qu’ils doivent également gérer d’autres risques, ceux de pauvreté, d’exclusion ou de solitude par exemple, procédant ainsi à un arbitrage en fonction des situations. Ils peuvent « prendre des risques » en termes de santé, en agissant rationnellement, sans être des « irresponsables ». En outre, ils n’ont pas toujours les moyens de mettre en œuvre cet arbitrage, soit parce que les outils (le préservatif ou le masque) manquent ponctuellement ou structurellement, soit parce qu’ils ne sont pas en mesure de les utiliser (une personne pouvant avoir du mal à proposer le préservatif par exemple ou ayant une incapacité respiratoire rendant difficile le port du masque buccal), soit encore parce qu’ils ne disposent pas d’informations claires (et non-contradictoires) sur les moyens efficaces et disponibles pour diminuer les risques. [...]

      Enfin, face à la multi-dimensionnalité des risques, les acteurs de la lutte contre le sida ont fait valoir l’importance d’une approche en termes de réduction des risques (RdR), qu’il y a lieu ici aussi de considérer. Pensée au départ dans le contexte de l’usage de drogues, du partage de seringues plus précisément, ce nouveau paradigme va transformer en profondeur la politique de lutte contre le sida à la fin des années 1990. Son efficacité pour les injecteurs ayant été rapidement démontrée au niveau épidémiologique (le pourcentage de ce groupe chute drastiquement dans les nouveaux diagnostics de VIH dès qu’une politique de RdR est menée), elle s’est ensuite élargie à la réduction des risques sexuels. Cette approche a permis de diversifier les instruments et d’aller au-delà de l’abstinence ou de l’usage du préservatif, afin que chacun·e puisse réduire les risques en fonction de ses possibilités réelles et de son contexte de vie (traitement préventif du VIH, retrait avant éjaculation, sero-sorting, séro-positioning, etc.). Autrement dit la politique de réduction des risques présuppose des informations, claires et non-discordantes, sur les risques réels de transmission, les outils pour les réduire, leur mise à disposition par les pouvoirs publics et la responsabilisation de toutes et tous.

      Responsabilisation versus criminalisation des comportements

      La responsabilisation suppose de faire confiance aux individus et en leur capacité de faire des choix éclairés et rationnels en fonction de leur situation, plutôt que d’imposer des comportements supposés adéquats et de sanctionner celles et ceux qui ne s’y conforment pas.

      #réduction_des_risques

  • Covid-19 (épisode14) : Les actualités et le test PCR.
    https://ricochets.cc/Covid-19-episode14-Les-actualites-et-le-test-PCR.html

    Bien sur le gouvernement continue de manipuler l’information mainstream et donc nous devons nous informer ailleurs pour prendre les bonnes décisions pour nous. Je vais vous parler du nombre de nouvelles hospitalisations , du nombre de personnes en réanimation et du nombre de morts par jour en France, disponibles sur S.P.F. Je ne vous ai pas mis les courbes car il suffit de prolonger les courbes de l’épisode précédent. C’est un peu magique de voir les 4 courbes évoluer exactement pareil en ligne (...) #Les_Articles

    / #Epidémies,_gestion_de_crise,_en_temps_de_catastrophe, #coronavirus

  • affordance.info : Universités : l’autonomie et l’épidémie.
    https://www.affordance.info/mon_weblog/2020/09/universites-autonomie-epidemie.html

    Universités : l’autonomie et l’épidémie.

    Alors que le gros de troupes étudiants arrive la semaine prochaine dans les universités françaises (près de 3 millions ...) beaucoup de sites universitaires et de formations en accueillent déjà depuis 2 ou 3 semaines. C’est notamment le cas des IUT qui ont fait leur rentrée en même temps que le primaire et le secondaire, et ont même, dès la dernière semaine d’Août accueilli des étudiants dans le cadre de leur soutenances de fin d’étude.

    Je travaille de mon côté à l’IUT de La Roche sur Yon, site délocalisé de l’université de Nantes. Et je suis en effet en présence d’étudiants depuis le 24 août.

    La doctrine universitaire de gestion de gestion sanitaire est un habit d’Harlequin, bariolé de bonnes intentions et rapiécé de précautions élémentaires mais à peu près totalement hors-sol pour une gestion concrète de l’épidémie à court terme et tout à fait délétère dans une perspective de moyen ou de long terme.

    On aimerait bien lire d’autres analyses concernant les autres établissements de l’éducnat : lycées, collèges, et surtout écoles primaires où les enfants ne portent pas de masques.

    #universités #enseignements #impéritie #incurie

  • Covid-19 (épisode 13) : Concernant le nombre de morts, je m’attendais à pire.
    https://ricochets.cc/Covid-19-episode-13-Concernant-le-nombre-de-morts-je-m-attendais-a-pire.ht

    Bien sur le gouvernement continue de manipuler l’information mainstream et donc nous devons nous informer ailleurs pour prendre les bonnes décisions pour nous. Je vais vous parler du nombre de nouvelles hospitalisations , du nombre de personnes en réanimation et du nombre de morts par jour en France, disponibles sur S.P.F. Le problème c’est que les chiffres varient d’un jour à l’autre. Par exemple pour le nombre de personnes nouvellement hospitalisées c’est 66 le dimanche 6 et 448 le lundi 7 ! ! ! (...) #Les_Articles

    / #Epidémies,_gestion_de_crise,_en_temps_de_catastrophe, #coronavirus

  • Jordan resumes international flights after delays - Al Monitor

    Jordan’s international airport resumed regularly scheduled international flights on Tuesday. The Hashemite Kingdom has had success fighting COVID-19, but its strict travel and movement restrictions have created hardship for citizens and residents.

    Queen Alia International Airport outside of Amman will have six flights a day for now, Reuters reported. This number will increase as the airport readies itself to further implement strict health and social distancing guidelines, according to the outlet.

    https://www.al-monitor.com/pulse/originals/2020/09/jordan-airport-amman-regularly-scheduled-passenger-flights.html

    #Covid-19#Jordanie#Épidémie#Espace_aerien#tourisme#santé#réfugiés#migrant#migration

  • La Chine met en scène sa « victoire » sur le Covid-19
    https://www.lemonde.fr/international/article/2020/09/09/la-chine-de-xi-jinping-met-en-scene-sa-victoire-sur-le-covid-19_6051523_3210

    Sans même attendre le 1er octobre, la Chine s’est offert un avant-goût de fête nationale mardi 8 septembre. Le chiffre 8 porte bonheur en Chine. Les autorités chinoises avaient choisi de mettre fin au confinement de Wuhan le 8 avril. Cinq mois plus tard, il s’agit de célébrer sous les ors du Grand Palais du peuple « la victoire à Wuhan, la victoire au Hubei, la victoire en Chine » de la « guerre du peuple » contre le coronavirus, selon les termes du président Xi Jinping. Alors que le monde entier continue de faire face à l’épidémie de Covid-19, notamment les deux principaux rivaux de la Chine, les Etats-Unis et l’Inde, les autorités chinoises entendent bien tirer parti de leur gestion de l’épidémie. Celle-ci, officiellement, n’a fait que 4 634 morts, dont l’immense majorité à Wuhan, la capitale du Hubei, confinée durant soixante-seize jours. Depuis plusieurs semaines, seuls quelques cas importés sont recensés dans le pays. Mardi, devant environ 3 000 personnes portant un masque, à la fois tendues et émues, Xi Jinping a notamment distingué quatre personnalités. Zhong Nanshan, expert des maladies respiratoires, a obtenu « la médaille de la République », plus haute distinction de l’Etat. Déjà couvert de gloire depuis son action contre le SRAS en 2003, c’est cet expert de 84 ans qui, après sa visite à Wuhan le 18 janvier, a convaincu les dirigeants de confiner la ville de 11 millions d’habitants. Autres distingués : Zhang Boli, promoteur très médiatisé de la médecine traditionnelle chinoise, utilisée en complément de la médecine occidentale contre le virus ; Zhang Dingyu, responsable de l’hôpital de Jinyintan à Wuhan, et une femme, scientifique militaire, Chen Wei, qui a rang de général de division. Tous trois sont désormais des « héros du peuple ».

    #Covid-19#migrant#migration#chine#sante#santepublique#gestion#epidemie#politique

  • André Cicolella : La crise sanitaire, 4e crise écologique par André Cicolella | Politis
    https://www.politis.fr/articles/2020/07/andre-cicolella-la-crise-sanitaire-4e-crise-ecologique-42197

    L’épidémie de Covid-19 aura eu le mérite de faire émerger la notion de crise sanitaire. Cette crise aura montré l’impasse d’un système de santé s’il n’est qu’un système de soins sans politique de santé environnementale pour agir sur les causes des maladies.

    Mais de quelle crise sanitaire parle-t-on ? Une première lecture basique fait le focus sur le stock de masques et de blouses. Si le bilan en restait là, la société française ne se préparerait pas à faire face à l’émergence d’autres pandémies, cette probabilité n’étant plus contestée.

    En 2018, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) publiait un rapport sur les maladies infectieuses émergentes, qui requièrent des efforts urgents de recherche et de développement. Le rapport évoquait la « maladie X », ainsi présentée par Peter Daszak, un des auteurs du rapport, dans une interview au New York Times en mars dernier : « Cette maladie X résulterait probablement d’un virus d’origine animale et émergerait quelque part sur la planète où le développement économique rapproche les humains et la faune. Elle se propagerait rapidement et silencieusement, exploitant les réseaux de voyage et de commerce humains, atteindrait plusieurs pays et serait difficile à contenir. » En 2008, Nature avançait dans un article le chiffre de 335 maladies infectieuses émergentes depuis les années 1940, dont 60 % de zoonoses, 72 % provenant de la faune sauvage, et montrait que l’augmentation était régulière d’une décennie à l’autre.

    Le bilan de cette crise est donc impérieux pour préparer la résilience des sociétés humaines face aux menaces à venir. C’est l’analyse du directeur de l’OMS Europe, dans un article publié le 8 mai dans The Lancet : « La pandémie de Covid-19 a eu de nombreux effets sur la santé, révélant la vulnérabilité particulière de ceux qui souffrent d’affections sous-jacentes. La prévention et le contrôle de l’obésité et des maladies non transmissibles sont essentiels pour se préparer à cette menace et aux menaces futures pour la santé publique. »

    Les cas d’obésité, d’hypertention, de diabète augmentent régulièrement.

    Pour certains patients, l’âge a très vite été mis en avant comme unique cause de vulnérabilité, mais la caractéristique commune à toutes les victimes, quel que soit leur âge, est la présence de comorbidités : obésité, hypertension, diabète, maladies cardiovasculaires et respiratoires. Or le nombre de ces maladies chroniques progresse régulièrement en France. Entre 2003 et 2017, le nombre cumulé de maladies cardiovasculaires et de diabète est passé de 3 millions à 6 millions. On peut donc en déduire que la crise du Covid-19 aurait fait grosso modo moitié moins de victimes il y a quatorze ans. Qu’en sera-t-il si l’épidémie continue ? Selon le dernier rapport de la Caisse nationale d’assurance maladie, publié en juillet, le nombre de malades chroniques passera de 20 millions en 2017 à 23 millions en 2023. Sur dix ans, le surcoût de cette épidémie s’élève à 120 milliards d’euros. Il est donc plus que temps d’agir, pour des raisons tant sanitaires qu’économiques. C’est le système solidaire d’assurance maladie qui est lui-même en danger.

    La France a signé les deux déclarations adoptées par l’Assemblée générale de l’ONU sur l’épidémie de maladies chroniques, en septembre 2011 (« Principal défi pour le développement durable en ce début de XXIe siècle ») et en septembre 2018 (« D’ici 2030 : diminution de la mortalité prématurée par maladies chroniques de 30 % et arrêt de la progression de l’obésité et du diabète »), mais sans leur donner une suite concrète.

    L’épidémie du Covid-19 est la conséquence d’une politique de gestion du système de soins purement financière, de la mondialisation qui favorise la circulation des virus, de la déforestation qui les met en contact avec les humains, mais c’est aussi la conséquence de la faiblesse de la politique de santé environnementale. Les grandes causes sont connues : alimentation ultra-transformée, sédentarité, pollution de l’air et contamination chimique, mais aussi plus largement urbanisme pathogène qui a produit les autoroutes urbaines et une ville minérale, pauvre en espaces verts. Cette situation risque de s’aggraver avec la crise climatique. Lutter contre les passoires thermiques sans s’attaquer à la pollution intérieure aggravera le coût sanitaire. Il est temps de considérer la crise sanitaire comme la quatrième crise écologique au même titre que celles touchant au climat, à la biodiversité et à l’épuisement des ressources naturelles.

    André Cicolella Président du Réseau environnement santé.

    #Crise_sanitaire #Epidémies #Ecologie

  • L’espace public est réduit à un théâtre d’opérations policières et marchandes
    https://ricochets.cc/L-espace-public-est-reduit-a-un-theatre-d-operations-policieres-et-marchan

    A #Crest, à Paris, à Nice, partout, l’Etat policier (pléonasme) étend son emprise. Les flics sont partout, armés de fusils d’assaut pour une question de masque, ils quadrillent l’espace public et font régner leur loi, la loi, celle de la terreur et du capitalisme, celle de la dystopie totalitaire où tous les prétextes sont bons pour surveiller et punir ! 🔴 DYSTOPIE Nous y sommes : des policiers patrouillent avec des fusils d’assaut pour une simple question de masque. A quel moment avons nous basculé ? (...) #Les_Articles

    / #Epidémies,_gestion_de_crise,_en_temps_de_catastrophe, #Fichage_et_surveillance, Crest

    https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/masques-sanitaires/dans-les-bars-et-restaurants-de-paris-la-police-controle-le-respect-du-
    https://www.lefigaro.fr/actualite-france/nice-une-interpellation-pour-non-port-du-masque-suscite-la-polemique-202008
    https://la-philosophie.com/le-controle-des-mots-dans-1984-dorwell#La_double_pensee

  • PANIQUE BÉNÉFIQUE

    Cette psychose générale, cette obsession mortifère, cette méfiance paranoïaque des autres, s’est construite ces derniers temps, sur une interprétation truquée des chiffres, faisant passer les positifs aux tests pour de graves malades. Une épidémie sans malades ni morts n’existe que dans la tête de ces fanatiques corrompus du pouvoir, qu’il soit politique ou médiatique. Cette peur panique profite à la fois aux actionnaires des trusts pharmaceutiques qui comptent bien ramasser le pactole avec des vaccins douteux voir dangereux, mais aussi aux pouvoirs qui restreignent brutalement les libertés, répriment à tout va, détruisent la vie, durcissent l’esclavage du travail, répandent le chômage invisible tout en appauvrissant la majorité de la population pour les meilleurs profits raflés par des multi-milliardaires qui jubilent allègrement.

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    #coronavirus #covid19 #virus #pandémie #vaccins #épidémie #masques #confinement #GestesBarrières #décès #mortalité

  • #coronavirus : un nombre de cas c’est pas la même chose qu’un nombre de morts ou de malades
    https://ricochets.cc/Coronavirus-un-nombre-de-cas-c-est-pas-la-meme-chose-qu-un-nombre-de-morts

    Coronavirus : article sur l’immense différence entre un nombre de cas et un nombre de morts ou de malades. OMS • COMMENT ON CRÉÉE UNE PANDÉMIE... VERBALE On ne sait pas si le coronavirus a muté, ce qui est certain c’est que l’information à son sujet a bien changé. Jusqu’en mai, nous étions abreuvés de chiffres de morts et de malades sous respirateur. Désormais, la comptabilité s’arrête aux cas. Quels cas ? Les cas de personnes infectées, aux urgences, décédées ? Non. Tous les cas. Or à mesure que le testing (...) #Les_Articles

    / #Epidémies,_gestion_de_crise,_en_temps_de_catastrophe, coronavirus

    https://antipresse.net/oms-comment-on-creee-une-pandemie-verbale
    https://www.liberation.fr/checknews/2020/08/26/covid-19-pourquoi-la-flambee-des-nouveaux-cas-ne-conduit-elle-pas-a-une-h

  • Curfew hours extended in Jordan as coronavirus numbers spike-Al Monitor

    Jordan will extend an overnight curfew beginning Tuesday amid a surge in new COVID-19 cases, in what Minister of State for Media Affairs Amjad Adaileh said is now the second wave of the virus.

    Authorities are extending an overnight curfew for Jordanians from 11 p.m. to 6 a.m., with businesses not permitted to operate between the hours of 10 p.m. and 6 a.m. On Friday, a 24-hour curfew will be in place in Jordan’s two biggest cities, Amman and Zarqa.

    https://www.al-monitor.com/pulse/originals/2020/08/jordan-lockdown-coronavirus-measures-covid-spike-curfew.html

    #Covid-19#Jordanie#Quarantaine#Seconde_vague#Épidémie#santé#réfugiés#migrant#migration

  • NatureGate et la fable du confinement aveugle
    https://diasp.eu/p/11503822

    NatureGate et la fable du confinement aveugle

    Auteur(s) : Gérard Delépine pour FranceSoir

    ANALYSE : Par sa morbidité et sa mortalité la crise du Covid, ne constitue qu’un accident sanitaire comparable aux grandes grippes de l’ère moderne des transports aériens [1]. Elle a cependant réalisé un véritable crash test des institutions démocratiques, de l’économie mondiale, de l’éthique de la recherche et de la fiabilité des plus grandes revues médicales.

    http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/naturegate-et-la-fable-du-confinement-aveugle

    #confinement #coronavirus #covid #covid-19 #covid19 #Lancetgate #Naturegate #epidemie #pandemie #confinementaveugle #suede #paysbas #france (...)

    • https://www.franceinter.fr/emissions/l-edito-m/l-edito-m-21-octobre-2019

      lundi 21 octobre 2019

      [...]

      A ceci près que #France_Soir se présente comme un « quotidien d’information général 100% numérique ». Sans journalistes ? Ça, c’est inadmissible. Quand la presse et les chaines d’info se plantent sur Xavier Dupont de Ligonnès, le public hurle à la « fake news ». Non, c’était une erreur journalistique, pas une information volontairement trompeuse. Énorme différence. Mais on n’écoute rien et on confond tout. Monsieur Azalbert : à « France Soir » ôtez le M de « média », le M de « marketing » suffira. C’est peut-être un détail pour vous. Mais pour nous, ça veut dire beaucoup. ||

  • Histoire que vous ayez PEUR, très PEUR, et rien d’autre !
    « ...Le nombre de cas graves passe de 380 à ....381 ..! »

    https://pbs.twimg.com/media/EeM6ztcWoAAtdEb?format=jpg

    Source : https://twitter.com/spetsnagirl/status/1288938587778621440
    et aussi : https://seenthis.net/messages/869838 , mais avec une interprétation différente.

    Augmentation de 1. A quand les 2 masques obligatoires ?
    #santé #pandémies #pandémie #grippe #covid-19 #coronavirus #panique #épidémie #propagande #enfumage #manipulation #médias #médias #merdias

  • #Pandémie : Le déchainement ! Vaccination en Marche (...forcée) Stratégie du choc
    Grâce aux travail de l’#OMS de la #banque_mondiale et de #bill_gates, tout passe et devient crédible dans la bouche du pire personnage de l’histoire.
    On se croirait dans le bunker qui abrite la cellule de crise de l’Élysée. Le narratif de ce qu’on vit réellement actuellement.
    Je veux qu’ils se jettent sur le vaccin, comme un passager du Lolita Express lorsqu’il voit passer un enfant.

    https://www.youtube.com/watch?time_continue=5&v=4kfCJjDBGAA

    #propagande #enfumage #manipulation #histoire #médias #vaccins #internet #réseaux_sociaux #médias #merdias #masques #muselière #Didier_Raoult #Lancet #argent #santé #gros_sous #capitalisme #big_pharma #laboratoires_pharmacetiques #confinement #pandémies #pandémie #grippe #covid-19 #coronavirus #panique #big_pharma #épidémie #EnMarche

    • Le Bunker de la dernière rafale

      https://www.youtube.com/watch?v=FFbyNaAAfZw

      Le Bunker de la dernière rafale est un court métrage français réalisé par Marc Caro et Jean-Pierre Jeunet, sorti en 1981.

      Synopsis : Une équipe de militaires dérangés est confinée dans un bunker. Lorsque l’un d’eux découvre un compteur qui défile à rebours, tous sont affolés. Que se passera-t-il à la fin du décompte ? C’est dans cette ambiance lourde de tension qu’ils sombreront tous, peu à peu, dans la plus profonde des folies.Métaphore de la peur inconsidérée qu’a l’homme de l’inconnu, le très peu de paroles de ce court-métrage, lui confère une certaine universalité.

      Fiche technique :
      Réalisation : Marc Caro & Jean-Pierre Jeunet
      Scénario : Gilles Adrien, Marc Caro & Jean-Pierre Jeunet
      Production : Zootrope
      Son : Marc Caro
      Photographie : Marc Caro, Jean-Pierre Jeunet & Spot
      Montage : Marc Caro & Jean-Pierre Jeunet
      Pays d’origine : France
      Format : noir et blanc - 1,66:1 - mono - 35 mm
      Genre : court métrage, science-fiction
      Durée : 26 minutes
      Date de sortie : 1981 (France)
      Distribution : Jean-Marie de Busscher - Marc Caro - Patrice Succi - Gilles Adrien - Spot - Vincent Ferniot - Thierry Fournier - Zorin - Eric Caro - Jean-Pierre Jeunet - Bruno Richard - Hervé di Rosa

      #Cinéma #court_métrage

  • Covid-19 : Présent et Futur (épisode 9)
    https://ricochets.cc/Covid-19-Present-et-Futur-episode-9.html

    Bien sur le gouvernement continue de manipuler l’information mainstream et donc nous devons nous informer ailleurs pour prendre les bonnes décisions pour nous. Comme dans l’épisode précédent je vais vous parler du nombre de nouvelles hospitalisations par jour en France, disponibles sur S.P.F. Le problème c’est que les chiffres varient d’un jour à l’autre. Par exemple quand on a 36 le dimanche on a 137 le lundi. Donc pour que la courbe soit lisible facilement, j’additionne les chiffres de la semaine (...) #Les_Articles

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