@Agnès Maillard
En fait il y a deux choses qui se télescopent dans mes deux commentaires : d’une part, le fait que la consommation de presse papier, qui a fait un temps partie de mon quotidien, m’est apparue à la faveur de cette anecdote personnelle comme caractéristique d’un temps aujourd’hui révolu. (La génération de mon fils - treize ans - n’a pas la moindre idée de ce que cela pouvait être que de commencer sa journée attablé avec un (ou plusieurs) café(s) et un ou plusieurs journaux - éventuellement quelques amis aussi).
D’autre part, la télévision, toutes chaînes confondues, me semble, et de loin le pire de tous les média (au sens non du plus pervers, mais plutôt du plus brutal, du moins supportable ).
Pour autant, je ne suis pas un anachorète : je consomme encore du média, en effet. Sous forme numérique : et certainement qu’il doit m’arriver de lire des articles publiés par des titres appartenant aux tristes personnages mentionnés dans votre post. Ainsi que du livre papier - j’ai essayé le livre numérique, mais cette chose ne répond pas du tout à ce que j’attend et recherche dans la lecture.
Et il m’arrive de passer une heure ou deux (exceptionnellement : guère plus d’une ou deux fois l’an) devant un téléviseur.