vlentz , vous n’avez pas bien lu ce que vous avez déposé sur SeenThis par copier coller.
Votre texte parle de la Liberté de la presse dans un pays de l’union européenne.
Tous les grands médias de l’union européenne appartiennent à des financiers.
Les télévisions d’états ont été partiellement privatisés, et ne se distinguent pas des autres.
Il n’y a pas de Liberté de la presse dans l’union européenne.
Quelques dissidents, sans plus. Le Monde Diplomatique, CQFD, La Décroissance, La Brique, . . . Basta Mag, Reporterre, .
On ne les assassines pas encore comme sur d’autres continents.
Le premier journaliste qui sort de la Doxa est viré.
Le média légèrement en dehors de la Doxa officielle, est re structuré immédiatement ; Voir Canal + en France.
Les personnalités qui ne professent pas votre doxa unioniste européenne, ne passent pas dans les médias.
Par contre, ceux qui professent le discours officiels comme Julia Cagé nous sont assénés sans fin.
C’est pour cela que j’ai mis ce commentaire.
Mon texte donc est en rapport avec votre copier collé.
Le gouvernement polonais n’applique pas les ordres de l’UE.
Vous le dénoncez, c’est votre job de Chef de projet en agence web + SG @ UEF-F.
Personnellement, je n’ai aucune sympathie pour ce gouvernement polonais, mais comme on parle de liberté de la presse . . .
Conseil : Demandez à ceux qui écrivent les articles des jeunes européens de France de se préoccuper un peu plus de la réalité
#Liberté_de_la_presse #union_européenne #Doxa
La liberté de vous commenter n’existe pas non plus
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SAUVONS LES MEDIAS !
Les bons Médias, bien sur, Polonais ou bien Français
Quand les médias dominants consacrent la « bonne » critique des médias
par Benjamin Lagues, Denis Souchon, mardi 5 janvier 2016
Depuis la parution début février 2015 de son livre Sauver les médias, Julia Cagé est régulièrement invitée dans les médias dominants pour exposer son diagnostic sur l’état du paysage médiatique et ses préconisations pour le sauver. Bien que son ouvrage, qui porte essentiellement sur les structures capitalistiques de la presse écrite, soit souvent fondé dans ses analyses, dont nous avons pointé les limites ici [1], le nombre d’invitations dont elle bénéficie interroge : si le thème du devenir des médias intéresse tant, pourquoi d’autres formes d’analyses (notamment critiques et radicales) sont-elles si peu, pour ne pas dire jamais, entendues dans les colonnes ou sur les ondes des « grands » médias ?
La liste (peut-être non exhaustive !) des très nombreuses invitations dont Julia Cagé a bénéficié depuis la sortie de son livre le 5 février dernier (voir en annexe), illustre les logiques sociales de sélection des experts médiatiques et le manque de pluralisme auquel elles aboutissent. Ainsi, il aura suffi d’un livre et de quelques semaines à Julia Cagé pour s’imposer comme l’experte ès médias que tous les médias s’arrachent – rejoignant le petit club fermé des experts accrédités sur la question, tels Dominique Wolton, Jean-Marie Charon, ou Jean-Louis Missika.
Le corollaire de cette ubiquité médiatique est la fermeture des médias aux autres formes de critique des médias. En ce sens, la présence dans les médias de #Julia_Cagé est un révélateur de ce que l’espace médiatique est disposé à tolérer à propos de ce qu’il est. Et si l’on ne peut que se réjouir d’entendre dans les grands médias un discours qui esquisse une critique de la propriété des médias, ainsi que des propositions pour y remédier, on ne peut que déplorer que ce soit le seul discours critique audible.
Cette omniprésence médiatique s’explique notamment par le #suivisme et le #conformisme des rédactions qui veulent rester en terrain connu (et prévisible) avec des invités au pedigree professionnel impeccable (et très « institutionnel ») [2], et possédant toutes les qualités du « bon client » (aisance, disponibilité, phrases courtes, disposition à commenter des sujets relativement différents) qui font qu’elle et son discours sont quasiment d’emblée ajustés aux attentes des chefferies éditoriales.
C’est finalement très (socio)logiquement, que le 2 novembre 2015 le Conseil supérieur de l’#AFP a nommé Julia Cagé au sein de son conseil d’administration en tant que personnalité qualifiée. Ou comment les grands médias consacrent eux-mêmes la « bonne » critique des #médias… pour mieux la digérer ?
Benjamin Lagues et Denis Souchon
▻http://www.acrimed.org/Quand-les-medias-dominants-consacrent-la-bonne-critique-des-medias
Annexe ( Voir l’article d’origine pour les liens )
Interventions du 05/02 au 08/10/2015 de Julia Cagé dans les médias à propos de son livre et/ou de la question des médias :
05/02/2015, invitée des Matins de France Culture
05/02/2015, interview dans Télérama
06/02/2015, interview dans Les Inrocks
06/02/2015, invitée de L’invité de l’éco sur France 24
11/02/2015, invitée d’Europe 1 social club
13/02/2015, interview dans Libération
14/02/2015, invitée de Médialogues sur la RTS
19/02/2015, invitée de L’instant M sur France Inter
20/02/2015, interview dans La Croix
Entretien dans le numéro de mars 2015 d’Alternatives économiques
01/3/2015, interview dans Mediapart
04/3/2015, invitée de Precepta stratégiques TV
14/3/2015, invitée de La suite dans les idées sur France Culture
21/3/2015, invitée de L’atelier des médias sur RFI
28/3/2015, invitée du Grand Oral La Première - Le Soir
03/4/2015, interviewée dans 20 minutes
03/4/2015, participation à Ce soir ou jamais sur France 2
13/4/2015, interview sur le site BSC news
05/6/2015, interviewée dans Stratégies Magazine
15/6/2015, invitée de La grande table sur France Culture
21/6/2015, invitée de L’alphabet numérique sur France Culture
10/7/2015, invitée de Mediapart
03/9/2015, invitée de L’instant M sur France Inter
04/9/2015, interviewée dans La Tribune
10/9/2015, invitée de La matinale d’Europe 1
17/9/2015, invitée des Matins de France Culture
20/9/2015, invitée de Média le Mag sur France 5
22/9/2015, invitée du Téléphone de France Inter
08/10/2015, interviewée sur le site Atlantico