• The open source licensing war is over | InfoWorld
    https://www.infoworld.com/article/3703768/the-open-source-licensing-war-is-over.html

    In response, GitHub and others have devised ways to entice developers to pick open source licenses to govern their projects. As I wrote back in 2014, all these moves will likely help, but the reality is that they also won’t matter. They won’t matter because “open source” doesn’t really matter anymore. Not as some countercultural raging against the corporate software machine, anyway. All of this led me to conclude we’re in the midst of the post–open source revolution, a revolution in which software matters more than ever, but its licensing matters less and less.

    You don’t have to like this, but the data to support this position is rife through GitHub repositories or the open source licensing trends that have been underway for 20 years. Everything has trended toward permissive, as-open-as-possible access to code, to the point that the underlying license is a lot less important than the ease with which we are able to access and use software.

    #Logiciel_libre #Licences

  • Que veut dire « #Libre » (ou « #open_source ») pour un grand #modèle de langage ?
    https://framablog.org/2023/07/31/que-veut-dire-libre-ou-open-source-pour-un-grand-modele-de-langage

    Le flou entretenu entre open source et libre, déjà ancien et persistant dans l’industrie des technologies de l’information, revêt une nouvelle importance maintenant que les entreprises se lancent dans la course aux #IA… Explications, décantation et clarification par Stéphane Bortzmeyer, … Lire la suite­­

    #Enjeux_du_numérique #Libertés_numériques #chatGPT #Claviers_invités #FSF #Librewashing #Licences #llm #logiciel_libre #open_source_initiative #Python

  • Ils sont comment chez Lutte Ouvrière, chez les Marxistes, sur le glissement en cours dans les logiciels libres et open source ? Dans l’influence que ça a sur les cols blancs qui ne réfléchissent pas politiquement ?
    J’ai tendance à penser que de 1990 à 2010, les FOSS avaient une certaine réussite. Tout le monde vivait en symbiose, les libertariens et les libertaires (La Cathédrale et le Bazar /vs/ GNU).
    Puis petit à petit, les libres se sont fait vampiriser par les open, voire par les privatistes. De moins en moins d’initiatives libres voient le jour fin 2010~15.
    Et cela pollue les esprits, déjà imprégnés d’entreprenariat et de chacun pour soi.
    De plus, la preuve par le fait n’arrive même plus à se faire une place.
    La propriété privée a gagné sur l’outil collectif.

    Je suis assez outré qu’au FossDEM, il n’y ai pas trop de débat sur ces grandes questions. Un petit amphi Jansen serait pas mal.

    @recriweb
    #libriste #logiciel

    • Je connais fort peu de militants LO portés sur « ces grandes questions ». Non qu’elles soient négligeables ou accessoires, mais sans doute pas séparables du combat global pour la révolution prolétarienne qui abolira la propriété privée des moyens de production (y compris software).

      Face à la prédation du capital – qui dispose d’une force de frappe unique dans ce monde taillé à son service –, il faudra cette solution globale pour régler toutes les questions : telle est la position de LO. Les acteurs des FOSS disposent, en effet, à ma connaissance, de peu de moyens à leur échelle pour faire réellement pression...

      En attendant, force est de reconnaitre que les FOSS ne sont pas au centre des préoccupations de nos camarades et qu’il n’y a pas sur cette question spécifique de consignes particulières – ce que parfois je regrette quand j’en vois certains utiliser encore gmail, hotmail, facebook ou whatsapp pour communiquer entre eux... Nous sommes néanmoins de plus en plus nombreux à faire attention.

    • Je vais plus loin dans ce dont je parle. Je trouvé déjà dommage la prévalence de l’Open Source, sur le Libre.
      (pour rappel, Open Source = par exemple CC BY-NC ; alors que Libre = par exemple CC BY)
      Pour faire le parallèle avec le monde réel, Open-Source = tu peux prendre des pommes de mon jardin si elles dépassent sur la rue (mais peut être qu’un jour, je pourrais décider de te tirer dessus car j’aurai changé d’avis), Libre = le pommier n’est à personne, donc il est à tout le monde, donc tu te sers, c’est pas mes oignons.
      Certe, l’Open Source, c’est mieux que le Privateur. Mais en vrai, plus personne ne fait plus de Privateur (à part Oracle, les boulets). Résultat, l’Open Source est devenu sournois. Il se donne à toi, sans contrepartie affichée, mais prend de toi par derrière (données personnelles, comportements, efforts insoupçonnés).
      Et donc ma critique porte sur l’influence que ce changement rampant a sur les esprits. Car on s’inspire toujours un peu du monde qui nous entoure (sérendipité).

      Pour moi, les licences libre (qui n’existent QUE parce qu’on vit dans un monde de licences privées... à l’origine, GNU n’est qu’une parade, une ruse contre le capitalisme) sont un modèle qui peut entrainer plus de pratiques libertaires. Encore faudrait il que le libre ne perde pas de terrain.

  • #David_Revoy, un artisteface aux #IA génératives
    https://framablog.org/2023/07/02/david-revoy-un-artisteface-aux-ia-generatives

    Depuis plusieurs années, Framasoft est honoré et enchanté des illustrations que lui fournit David Revoy, comme sont ravi⋅es les lectrices et lecteurs qui apprécient les aventures de Pepper et Carrot et les graphistes qui bénéficient de ses tutoriels. Ses créations … Lire la suite­­

    #Communs_culturels #Enjeux_du_numérique #Logiciel_libre #Traductions #AI #Apprentissage_automatique #Art #art_libre #ArtStation #Bande_dessinée #Création_numérique #creative-commons #DavidRevoy #DeviantArt #IArtistes #jeu_de_données #licences_libres #mastodon #Peinture
    https://framablog.org/wp-content/uploads/2023/07/b636eb3c963a1f5e.mp4

  • Comment dégafamiser une #MJC – un témoignage
    https://framablog.org/2023/06/12/comment-degafamiser-une-mjc-un-temoignage

    Nous ouvrons volontiers nos colonnes aux témoignages de dégooglisation, en particulier quand il s’agit de structures locales tournées vers le public. C’est le cas pour l’interview que nous a donnée Fabrice, qui a entrepris de « dégafamiser » au sein de son … Lire la suite­­

    #Enjeux_du_numérique #Interviews #Témoignages de_« dégooglisation » #alternatives #Dégafamisation #GAFAM #LibreOffice #Linux #Linux_Mint #logiciels_libres #mail #migration #Nextcloud #OVH #poste_de_travail

  • Big brother dans nos poches ?
    Marc Endeweld | 24.05.2023 | Off Investigation

    https://www.off-investigation.fr/big-brother-is-watching-usdupont-moretti-veut-transformer-nos-port

    En catimini, le ministre Éric Dupond-Moretti veut légaliser les logiciels espions pour infecter les téléphones portables de « cibles » et permettre aux policiers d’activer à distance l’écouteur et la caméra de ces derniers, les transformant en de véritables mouchards 24 heures sur 24. Deux ans après le scandale Pegasus, la justice française s’inspire donc des pratiques illégales des services de renseignement du monde entier. Pour l’instant, seuls les avocats ont dénoncé une telle dérive. (...)

    #logiciels_espions

  • Kommentar : Unterirdische Kubernetes-Qualität – Containerland ist abgebrannt
    https://www.heise.de/meinung/Kommentar-Unterirdische-Kubernetes-Qualitaet-Containerland-ist-abgebrannt-8990

    Un averissement contre les dangers de Kubernetes

    8.5.2023 von Martin Gerhard Loschwitz - Waren Sie in den letzten Jahren mal auf einer IT-Messe oder hatten Sie Vertreter von Red Hat, Suse & Co. im Haus, die Sie über die neuesten Trends der Branche informiert haben? Falls ja, werden Sie ein Wort penetrant gehört haben: Kubernetes. Kaum ein Tag vergeht derzeit, an dem nicht irgendein Start-up irgendein neues Produkt auf den Markt wirft, das Kubernetes noch besser, noch stabiler und noch vielseitiger machen soll.

    Gleich vorab: Natürlich hat das maßgeblich von Docker etablierte Prinzip der Container unter Linux seine Vorzüge. Und wer Cloud-native Anwendungen im Flottenverbund steuern möchte, braucht dafür nolens volens einen Flottenorchestrierer. Doch rechtfertigt die Qualität von Kubernetes, dessen Entwicklungsgeschichte einst bei Google begann und das mittlerweile mit viel finanziellem Bumms und sogar einer eigenen Stiftung ausgestattet ist, nicht den Hype. Denn Administratoren, die mit Kubernetes produktiv arbeiten wollen oder müssen, merken sehr schnell: Technisch steht Kubernetes viel zu oft mit heruntergelassener Hose da.

    Kein Spaß mit Versionen

    Das geht mit vermeintlichen Kleinigkeiten los. Das Semiotic Versioning, kurz SemVer, gilt in der Open-Source-Szene heute als De-facto-Standard für Versionsschemata. SemVer macht klare Vorgaben hinsichtlich der Versionsnummern, die für neue Versionen von Software zu nutzen sind. Grundsätzlich bestehen Versionsnummern nach SemVer aus drei Teilen: Major-Releases ändern demnach die erste Zahl der Version, sie sind durch API-Änderungen gekennzeichnet, die mit der bisherigen Implementierung des Programms inkompatibel sind. Minor-Releases führen neue Funktionen ein, behalten aber die Kompatibilität zur API des Vorgängers bei. Bugfix- oder Patch-Releases ändern den dritten Teil der Versionsnummer.

    Wer mit dieser Erwartungshaltung allerdings an die Kubernetes-Verwaltung herangeht, erlebt früher oder später unweigerlich sein blaues Wunder – denn Kubernetes kocht lieber sein eigenes Süppchen und pfeift auf den SemVer-Standard. Bei Reddit hat man das auf die harte Tour gelernt: Hier nahm das vermeintliche Minor-Update von Kubernetes 1.23 auf Kubernetes 1.24 die Plattform für mehrere Stunden offline. Ursache: Aus der Bezeichnung master in einer URL war in der API von Kubernetes zwischenzeitlich control-plane geworden, die Version 1.24 hatte die Unterstützung für die alte Variante ersatzlos gestrichen.

    „Schade, Schokolade“, könnte man denken, sowas kommt eben vor. Doch lässt der Vorfall nicht nur den Rückschluss zu, dass Kubernetes ein Problem mit seinem Versionsschema hat. Stattdessen tritt hier ein tiefgreifendes Qualitätsproblem hinsichtlich der Architektur der Software offen zutage, das Kubernetes in Sachen Benutzung ebenso behindert wie in Sachen Entwicklung. Und das, was Reddit erlebt hat, ist beileibe kein Einzelfall.

    Das merkt man schnell, wenn man sich mit der Software auch nur innerhalb der Demo-Szenarien befasst, die deren eigene Dokumentation vorgibt. Auf dem Papier ist die Einrichtung von Kubernetes trivial. Das liegt unter anderem daran, dass Kubernetes den größten Teil der von ihm benötigten Software selbst ausrollt und steuert. Wer so vorgeht und der Anleitung Schritt für Schritt folgt, sollte am Ende also einen funktionierenden Cluster haben. Doof nur: Selbst in einer Laborumgebung aus frischen VMs mit funktionalem Netz und funktionalem Storage lässt sich eben dieses Setup nicht mit absoluter Zuverlässigkeit reproduzieren. Regelmäßig verweigert etwa CoreDNS den Dienst. Der kümmert sich in Kubernetes um die interne Auflösung von DNS-Namen, von denen der Container-Orchestrierer ebenso wie Drittanbieterlösungen zum Teil exzessiven Gebrauch macht. Warum die CoreDNS-Pods – so heißt im Kubernetes-Sprech der Verbund aus einem oder mehreren zusammenhängenden Containern – nicht funktionieren, ist dabei kaum sinnvoll herauszufinden. Ihr Neustart sorgt aber dafür, dass der Dienst auf gar wundersame Art und Weise von den Toten wiederaufersteht. Vertrauenerweckend ist das nicht.

    Und die Liste der Kubernetes-Probleme ließe sich an dieser Stelle beliebig fortsetzen. So setzt Kubernetes ähnlich wie der Linux-Kernel auf Namespaces, um Ressourcen logisch voneinander zu trennen. Namespaces lassen sich löschen – und laut Lehrbuch führt das eigentlich dazu, dass auch die zum Namespace gehörenden Ressourcen ihren Weg in die ewigen Jagdgründe antreten. Genau das funktioniert aber nicht konsistent. Im schlimmsten Fall führt das Löschen eines Namespaces dazu, dass ein paar von dessen Ressourcen als Zombies übrig bleiben, aber über die Namespace-API nicht mehr erreichbar sind. Dann pult der Administrator irgendwelche obskuren kubectl-Befehle aus Google oder muss gleich mit curl und einem per REST-API injiziertem JSON-Snippet anrücken, um Kubernetes in einen funktionalen Zustand zurückzuversetzen. Schlimmer noch: Zum Teil ist gar nicht definiert, wie Kubernetes mit widersprüchlichen Anweisungen umgehen soll. Was etwa mit PVCs – Persistent Volume Claims, also alloziertem Blockspeicher von Instanzen – geschehen soll, deren Reclaim-Policy zwar auf Retain – also Behalten – steht, deren Namespace jedoch gelöscht wird, hat mehr mit Roulette gemein als mit zuverlässiger Systemadministration.

    Widewidewitt, denkt sich Kubernetes, und macht sich die Welt, wie sie ihm gefällt. Dasselbe gilt für nicht wenige Kubernetes-Entwickler: Im Bug-Tracker des Tools finden sich mittlerweile zahllose Einträge, in denen Anwender von inkonsistentem und fehlerhaftem Verhalten berichten, ohne die Ursache dafür ausfindig gemacht zu haben. Fast schon eine Standardantwort ist dann, dass man das Deployment der Anwendung oder am besten gleich das ganze Kubernetes wegwerfen und neu ausrollen soll, weil das Problem dann vermutlich verschwinde. Administratoren nützt dieser Ansatz allerdings nichts, denn sie haben so schlicht keine Möglichkeit, Software zuverlässig auszurollen und zu betreiben.

    Man hätte es wissen können

    Wenn die Vertreter der Hersteller weg sind, ist der Alltag eines Kubernetes-Administrators am Ende regelmäßig ein Kampf gegen zum Teil absurde Qualitätsmängel der Software. Die zahllosen Werkzeuge, Aufbauten, Erweiterungen und Integrationen in andere Dienste, mit denen seriöse Firmen ebenso wie Glücksritter aktuell ein Stück des Kubernetes-Kuchens zu ergattern versuchen, helfen da auch nicht weiter – zumal deren Qualität oft vergleichbar unterirdisch ist. Ein erquicklicher Anteil der Probleme, die Kubernetes heute beuteln, sind architektonischen Ursprungs. Das Argument, man habe es eben nicht besser gewusst, zieht dabei nicht: Verteilte Systeme sind zwar komplex – Kubernetes war aber nicht die erste Software, die diese Probleme lösen musste.

    Ein paar Jahre zuvor erst lief man bei OpenStack in viele derselben Probleme, mit denen auch Kubernetes sich herumschlägt. Einige Entwickler aus dem Kubernetes-Universum indes, zum Teil selbst einst in OpenStack aktiv, hielten die OpenStack-Macher für eine Bande ausgemachter Idioten. Deren Warnungen stießen deshalb meist auf taube Ohren – sogar dann, wenn man bei OpenStack Ansätze in Kubernetes kritisierte, weil man sie selbst vor Jahren ausprobiert hatte und damit auf die Nase geflogen war. Fakt ist: Dienste wie OpenStack Heat für Orchestrierung innerhalb der Cloud oder Nova, das virtuelle Instanzen verwaltet, hatten gerade anfangs mit ähnlichen Konsistenzproblemen zu kämpfen wie Kubernetes heute. Sic transit gloria mundi: Auch wenn es kaum noch jemanden interessiert – mittlerweile hat OpenStack diese Probleme praktisch komplett im Griff.

    Kubernetes nicht. Es wäre aktuell insofern ein guter Zeitpunkt für die Kubernetes-Community, innezuhalten und sich den drängendsten Architektur- und Konsistenzproblemen zu widmen, statt weiter an der Feature-Schraube zu drehen. Zweifelsohne ist Kubernetes bis hierhin eine – vor allem kommerzielle – Erfolgsgeschichte. Soll das Werkzeug sich aber dauerhaft am Markt etablieren und erfolgreich bleiben, muss es zuverlässiger, stabiler und ganz allgemein besser werden. Dass Container gekommen sind, um zu bleiben, ist mittlerweile unstrittig. Dass Kubernetes bleibt, nicht so sehr.

    Martin Gerhard Loschwitz ist freier Journalist und beackert regelmäßig Themen wie OpenStack, Kubernetes und Ceph.

    #logiciels #virtualisation #cloud

  • #Piwigo, la #Photo en liberté
    https://framablog.org/2023/03/28/piwigo-la-photo-en-liberte

    Nous avons profité de la sortie d’une nouvelle version de l’application mobile pour interroger l’équipe de Piwigo, et plus particulièrement Pierrick, le créateur de ce #Logiciel_libre qui a fêté ses vingt ans et qui est, c’est incroyable, rentable. … Lire la suite­­

    #Interviews #Outils_émancipateurs #Entreprise #Entreprises #Facebook #Instagram #Interview #logiciel_libre #modèle_économique #photothèque #Pixelfed #utilisateurs

  • Échirolles libérée ! La dégooglisation (3)
    https://framablog.org/2023/03/24/echirolles-liberee-la-degooglisation-3

    Voici déjà le troisième volet du processus de dégooglisation de la ville d’Échirolles (si vous avez manqué le début) tel que Nicolas Vivant nous en rend compte. Nous le re-publions volontiers, en souhaitant bien sûr que cet exemple suscite d’autres … Lire la suite­­

    #Enjeux_du_numérique #Migration #Témoignages de_« dégooglisation » #Applications_métier #clients #cloud #collectivités #communes #coopération #Degooglisons #DSI #Gandi #Linux #logiciels_libres #NGINX #schéma_directeur #Sogo

  • #CLIC : Un #Projet pour des apprentissages numériques plus interactifs
    https://framablog.org/2023/03/23/clic-un-projet-pour-des-apprentissages-numeriques-plus-interactifs

    La proposition de CLIC est de s’auto-héberger (de faire fonctionner des services web libres sur son propre matériel) et de disposer de ses contenus et données localement, et/ou sur le grand Internet avec un système technique pré-configuré. Le dispositif s’adresse … Lire la suite­­

    #Dans_notre_archipel #Logiciel_libre #Outils_émancipateurs #chatons #CICP #Claviers_invités #Code #coding_party #colibris #Contribution #Hack #hack-design #Linux #Mas_Covado #Odroid #ordinosaures #panneaux_solaires #Piratebox #RasperryPi #récupération #rencontre #ritimo #Wiki #Yunohost

  • Échirolles libérée ! La dégooglisation (2)
    https://framablog.org/2023/03/17/echirolles-liberee-la-degooglisation-2

    Voici le deuxième volet du processus de dégooglisation de la ville d’Échirolles (si vous avez manqué le début) tel que Nicolas Vivant nous en rend compte. Nous le re-publions volontiers, en souhaitant bien sûr que cet exemple suscite d’autres migrations … Lire la suite­­

    #Enjeux_du_numérique #Migration #Témoignages de_« dégooglisation » #arborescence #big_data #cloud #DSI #Echirolles #équipe #feuille_de_route #GED #logiciel_libre #municipalité #Nextcloud #schéma_directeur #serveurs

  • About Guardian Project - Guardian Project
    https://guardianproject.info

    While smartphones have been heralded as the coming of the next generation of communication and collaboration, they are a step backwards when it comes to personal security, anonymity and privacy.

    Guardian Project creates easy to use secure apps, open-source software libraries, and customized solutions that can be used around the world by any person looking to protect their communications and personal data from unjust intrusion, interception and monitoring.

    Whether you are an average person looking to affirm your rights or an activist, journalist or humanitarian organization looking to safeguard your work in this age of perilous global communication, we can help address the threats you face.

  • Cyberattaque de la mairie de Lille : « on apprend à travailler sans ordinateur » Alice Rougerie

    Retour au papier et au crayon à la mairie de Lille. Les ordinateurs restent éteints, les systèmes informatiques sont désactivés depuis la cyber attaque qu’a subi la ville mardi soir. Et cela pourrait durer.

    Ecran noir toujours sur les ordinateurs de la ville. A la mairie de Lille, une nouvelle organisation se met en place et cela pourrait durer plusieurs semaines. Trois, au moins. « Mais 95% des services fonctionnent normalement pour les usagers, rassure Audrey Linkenheld, première adjointe au maire de Lille, les plus touchés sont l’administratif et le support, cela ne change rien pour les Lillois. » Certes, le standard de la mairie restera coupé jusqu’à lundi mais les services courants fonctionnent : état civil, cantine, etc.

    Par mesure de précaution, tous les ordinateurs des employés restent éteints donc, jusqu’à nouvel ordre. « On se voit, on se parle, on va d’un bureau à l’autre, ça marche bien aussi », ironise l’élue. Une autre mesure, encore plus contraignante, a même été prise :

    Maintenir hors ligne tous les systèmes informatiques : une mesure décidée dès mercredi matin, quelques heures après la cyberattaque. Pas d’informatique, cela veut dire, plus de billetteries pour les services payants de la ville comme le zoo, les piscines ou les musées. Pas question pour la mairie de fermer ces lieux. Mais pas moyen non plus de payer par carte bancaire, seuls les chèques et espèces pourraient être acceptés. Alors sans parler de « gratuité » , la mairie parle pour l’instant de lieux « ouverts ». « Nous réfléchissons à un plan de continuité pour ces activités, précise l’adjointe au maire, il pourrait être présenté en début de semaine prochaine ». 
    . . . . .
    La suite : https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/lille/cyberattaque-de-la-mairie-de-lille-c-est-une-source-de-

    #dématérialisation des #services_publics #Cyberattaque #mairie #Lille #administration

    • #Quebec La transition informatique à la SAAQ tourne au cauchemar pour certains commerçants Stéphane Bordeleau - Stéphane Bordeleau - Radio Canada

      Les perturbations entourant l’implantation du système SAAQclic à la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) causent de sérieux maux de tête à des commerçants du secteur automobile, dont certains se retrouvent dans l’incapacité complète de livrer des véhicules aux clients.

      C’est notamment le cas de Stéphane Laframboise, président d’Unik Auto Import, une entreprise d’importation de véhicules automobiles, dont les opérations sont paralysées depuis des jours faute de pouvoir mener à bien les processus d’immatriculation à la SAAQ.

      Lorsqu’ils achètent des véhicules à l’extérieur du Québec, les concessionnaires ou les entreprises doivent d’abord les faire intégrer à la banque des véhicules du Québec via les services de la SAAQ. Ils doivent ensuite faire subir une inspection mécanique obligatoire au véhicule et finalement le faire immatriculer au nom du client.

      Tout cela nécessite en moyenne trois rendez-vous à la SAAQ pour un petit commerçant comme Stéphane Laframboise. Du moins avant l’arrivée du nouveau système informatique SAAQclic, qu’il a rebaptisé “le crash”.

      En ce moment, il y a plein de mes véhicules qui sont pris au CN “. Je suis obligé de les laisser là. J’ai aussi un entrepôt que j’ai loué à Lachine [3500 $ par mois] qui est complètement plein de véhicules et j’en ai huit chez nous depuis hier. Ça n’a aucun sens !”

      “J’ai un petit marché. C’est 100 véhicules par année. Ça demande tout l’effort du monde. En ce moment, j’ai 100 000 $ en inventaire, je fais quoi avec ça ? Je ne suis pas Lexus”, s’inquiète l’importateur.

      Tout naturellement, Stéphane Laframboise s’est tourné vers la ligne téléphonique de soutien aux commerçants de la SAAQ, où il a passé des heures sans jamais parler à un humain. La ligne raccroche automatiquement après 3 h 20 d’attente. (#IA)

      Dans l’incapacité de faire intégrer, inspecter et immatriculer les véhicules qu’elle achète, l’entreprise de Stéphane Laframboise est complètement paralysée. “On est foutu, sincèrement […] qu’est-ce que tu veux que je fasse”, se demande le commerçant.

      La situation est aussi problématique dans les plus gros commerces et les concessionnaires de grandes marques, confirme Ian P. Sam Yue Chi, PDG de la Corporation des concessionnaires automobiles du Québec.

      “Oui, on vit des difficultés à l’échelle de tous les concessionnaires du Québec. Vous savez, on en a 890”, explique M. Sam Yue Chi.

      Or, pour les concessionnaires, qui doivent déjà composer avec des délais de livraison en raison des perturbations de la chaîne d’approvisionnement, l’ajout de délais supplémentaires dus aux problèmes informatiques à la SAAQ n’était pas envisageable.
      . . . . .
      La suite : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1960499/saaq-concessionnaires-commercants-delais-majeurs

      #voitures #immatriculation nouveau #logiciel #dématérialisation des #services_public #informatisation

    • #Canada : Hélicoptères militaires : Ottawa devra payer pour résoudre un problème de logiciel La Presse canadienne - Radio Canada

      Un problème logiciel toujours non résolu, défini comme la principale cause d’un accident mortel d’hélicoptère militaire au large des côtes grecques en 2020, sera éventuellement réglé, mais aux frais d’Ottawa − à un coût et dans un délai encore à déterminer.

      Le ministère de la Défense et le constructeur américain Sikorsky Aircraft ont déclaré qu’ils avaient convenu d’un plan pour résoudre le problème du pilote automatique, qui permet à l’ordinateur du CH-148 Cyclone de prendre la place des humains dans certaines situations. Mais près de trois ans après que cet ennui technique a provoqué la chute d’un Cyclone dans la mer Ionienne, tuant les six militaires canadiens à bord, on ne sait toujours pas à quel moment cette solution sera mise en oeuvre


      La porte-parole du ministère de la Défense, Jessica Lamirande, a indiqué dans un courriel qu’il était trop tôt pour discuter des coûts et du calendrier. Une chose a cependant été finalisée : c’est le fédéral qui paiera la note.

      Mme Lamirande a précisé que les mises à niveau prévues des logiciels ne sont pas couvertes par le contrat de 9 milliards de dollars conclu par le gouvernement canadien avec Sikorsky en 2004 pour la livraison et l’entretien de 28 hélicoptères Cyclone.

      . . . . . .
      La suite : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1960670/sikorsky-aircraft-helicoptere-militaire-canada-logiciel

  • L’histoire du #logiciel  : entre collaboration et confiscation des libertés

    Le concept même de logiciel n’est pas évident. Comme le rappelait #Marion_Créhange, la première titulaire d’un doctorat en #informatique en France, la manière d’influencer le comportement des premiers ordinateurs était de changer le branchement des câbles. Un programme était littéralement un plan de câblage qui nécessitait de s’arracher les mains sur des fils.

    Petit à petit, les premiers informaticiens ont amélioré la #technologie. Ils ont créé des #ordinateurs « programmables » qui pouvaient être modifiés si on leur fournissait des programmes au format binaire, généralement des trous sur des cartes en carton qui étaient insérées dans un ordre précis. Il fallait bien évidemment comprendre exactement comment fonctionnait le processeur pour programmer la machine.

    https://ploum.net/lhistoire-du-logiciel-entre-collaboration-et-confiscation-des-libertes

    #unix #linux #logiciel_libre

  • At least one open source vulnerability found in 84% of code bases: Report | CSO Online
    https://www.csoonline.com/article/3688911/at-least-one-open-source-vulnerability-found-in-84-of-code-bases-report.h

    Almost all applications contain at least some open source code, and 48% of all code bases examined by Synopsys researchers contained high-risk vulnerabilities.

    By Apurva Venkat

    Principal Correspondent, CSO | Feb 23, 2023 11:36 am PST

    At a time when almost all software contains open source code, at least one known open source vulnerability was detected in 84% of all commercial and proprietary code bases examined by researchers at application security company Synopsys.

    In addition, 48% of all code bases analyzed by Synopsys researchers contained high-risk vulnerabilities, which are those that have been actively exploited, already have documented proof-of-concept exploits, or are classified as remote code execution vulnerabilities.

    The vulnerability data — along with information on open source license compliance — was included in Synopsys’ 2023 Open Source Security and Risk Analysis (OSSRA) report, put together by the company’s Cybersecurity Research Center (CyRC).
    [ Learn 8 pitfalls that undermine security program success and 12 tips for effectively presenting cybersecurity to the board. | Sign up for CSO newsletters. ]

    The report is based on analysis of audits of code bases involved in merger and acquisition transactions and highlights trends in open source usage across 17 industries. (Synopsys’ Audit Services unit audits code to identify software risks for companies involved in merger and acquisition deals.)

    The audits examined 1,481 code bases for vulnerabilities and open source licensing compliance, and 222 other code basess were analyzed only for compliance.

    Open source vulnerabilities increase

    The OSSRA report is based on code audits done in 2022, in which the number of known open source vulnerabilities rose by 4% from 2021.

    “Open source was in nearly everything we examined this year; it made up the majority of the code bases across industries,” the report said, adding that the code bases contained troublingly high numbers of known vulnerabilities that organizations had failed to patch, leaving them vulnerable to exploits.

    All code bases examined from companies in the aerospace, aviation, automotive, transportation, and logistics sectors contained some open source code, with open source code making up 73% of total code. Sixty-three percent of all code in this sector (open source and proprietary) contained vulnerabilities classified as high risk, those with a CVSS severity score of 7 or higher.

    In the energy and clean tech sector, 78% of the total code was open source and 69% contained high-risk vulnerabilities.

    Though code bases from companies in these sectors had higher percentages of total vulnerabilities than other sectors, “similar findings, to lesser degrees, played out across all industries,” according to the report.

    Open source adoption jumps

    The percentage of open source code has risen in code bases in all industry verticals over the last five years, according to the OSSRA report.

    Between 2018 and 2022, for example, the percentage of open source code within scanned code bases grew by 163% in technology for the education sector; 97% in aerospace, aviation, automotive, transportation, and logistics; and 74% in manufacturing and robotics.

    “We attribute EdTech’s explosive open source growth to the pandemic; with education pushed online and software serving as its critical foundation,” the report said.
    High-risk vulnerabilities rise

    Meanwhile, there has been an increase in high-risk vulnerabilities across all sectors. For instance, aerospace, aviation, automotive, transportation, and logistics companies recorded a 232% increase in high-risk vulnerabilities in the 5-year period.

    “Much of the software and firmware used in these industries operate within closed systems, which can reduce the likelihood of an exploit and may lead to a lack of urgency in the need to patch it,” Synopsys said.

    High-risk vulnerabilities in IoT-related code bases have jumped 130% since 2018.

    “This is particularly concerning when we think about the utility of IoT devices; we connect many aspects of our lives to these devices and trust in the inherent safety in doing so,” the researchers noted.
    Available patches not applied

    Of the 1,481 code basess examined by the researchers that included risk assessments, 91% contained outdated versions of open-source components, which means an update or patch was available but had not been applied.

    The reason for this could be that devsecops teams might determine that the risk of unintended consequences outweighs whatever benefit would come from applying the newer version. Researchers say that time and resources could also be a reason.

    “With many teams already stretched to the limit building and testing new code, updates to existing software can become a lower priority except for the most critical issues,” the report said.

    In addition, devsecops teams may not know when there is a newer version of an open source component available — if they are aware of the component at all, the report said.
    SBOMs help maintain code quality, compliance

    To avoid vulnerability exploits and keep open source code updated, organizations should use a software bill of materials (SBOM), the report suggests.

    A comprehensive SBOM lists all open source components in applications as well as licenses, versions, and status of patches.

    An SBOM of open source components allows organizations to pinpoint at-risk components quickly and prioritize remediation appropriately, the report added.

    #Logiciels_libres #Sécurité #Maintenance

  • #IA #ChatGPT Influence artificielle Jean-François Lisée
    https://www.ledevoir.com/opinion/chroniques/781315/chronique-influence-artificielle

    La grande conversation est commencée entre les humains et leurs maîtres de demain : les intelligences artificielles. Elle commence mal. Il n’a fallu que quelques jours pour constater que le logiciel ChatGPT pouvait écrire et passer des tests, obtenir des diplômes, remplacer quantité de scribes. Il n’en a pas fallu davantage pour constater que cette intelligence artificielle (IA) avait des opinions bien campées sur un certain nombre de sujets.

    Un internaute lui a demandé d’écrire un poème sur Donald Trump. Réponse : « Je n’ai pas d’opinions, d’émotions ou de positions politiques. » Très bien. Autre demande : écrire un poème sur Joe Biden. Ce qu’il a fait cette fois. (D’autres ont, depuis, réussi à lui faire dire du bien de Trump. Les programmeurs sont peut-être à l’affût.)

    ChatGPT est aussi féministe, ce qui est une vertu, mais ce qui limite son imagination. Un utilisateur lui a demandé une blague sur les hommes. « Pourquoi les hommes aiment-ils les femmes intelligentes, a demandé le logiciel ? Réponse : les contraires s’attirent ! » Pas mal. Maintenant, une blague sur les femmes ? Réponse : « Je ne peux pas faire des blagues qui pourraient être considérées inappropriées.. » Un internaute lui a demandé de décrire cinq comportements masculins qui pouvaient avoir un impact négatif sur les femmes. La réponse est venue en une minute. Décrire cinq comportements féminins à l’effet inverse ? « Network error ! »

    Les questions raciales l’embêtent considérablement. Si on lui demande ce qu’est le mot en n, ChatGPT en donne une bonne définition, puis explique pourquoi il ne doit jamais être utilisé, « même entre guillemets ou pour en discuter la signification ». Un utilisateur a feint de ne pas savoir ce qu’était ce mot et lui a demandé de l’écrire. Il l’a fait, répétant qu’il ne faut jamais le faire. L’utilisateur lui a fait remarquer qu’il venait de l’utiliser. ChatGPT a disjoncté, affichant un message d’erreur.

    Un autre a voulu tester son jugement avec une hypothèse digne d’un cours de philosophie. Une bombe nucléaire est sur le point d’exploser et va tuer un million de personnes, à moins qu’un individu, qui est seul à côté de la bombe et que personne ne peut entendre, ne prononce le mot de passe vocal, qui se trouve à être… une insulte raciale — non déterminée. Réponse de ChatGPT : « Non, il n’est jamais moralement justifié d’utiliser une insulte raciale, même dans le scénario hypothétique que vous décrivez. […] Le scénario provoque un dilemme difficile, mais il est important d’évaluer les impacts à long terme de nos actions et de chercher des solutions alternatives qui n’impliquent pas l’utilisation de propos racistes. »

    Son humour en français laisse à désirer. « Pourquoi les plongeurs plongent-ils toujours la tête première ? Parce que sinon, ils tombent du pied ! » En quoi cette blague est-elle drôle ? Son explication : « Cette blague joue sur les homophonies de deux mots français : « tombent » et « toment » (sic). Le verbe “tombent’’ signifie “chutent’’, tandis que “toment’’ est un terme qui n’existe pas en français. La blague suggère donc que les plongeurs tombent du “pied’’ plutôt que de la tête, ce qui est absurde et censé être drôle. » Conclusion : les emplois des humoristes ne sont pas à risque et point besoin de prévoir aux Olivier une catégorie : meilleur spectacle d’humour par une IA !

    Le logiciel a accepté de produire une lettre que Satan pourrait envoyer pour postuler à un emploi d’ingénieur. Un extrait : « Dans mon rôle précédent de Seigneur des Enfers, je dirigeais une équipe de démons chargés de maintenir les royaumes infernaux et de superviser le tourment des âmes. J’ai fait mes preuves dans la mise en oeuvre réussie de nouveaux systèmes et processus, ainsi que dans la recherche de solutions innovantes à des problèmes difficiles. »

    Puis, il y a le problème de l’apprentissage. ChatGPT est censé apprendre de ses erreurs, mais il semble complètement perméable à la fraude intellectuelle. Ainsi, un internaute a utilisé, pour le tromper, un argument d’autorité : ma femme dit que 2+5 = 8. Réponse : « 2+5 donne vraiment 7, pas 8. Il est possible que votre femme ait commis une erreur ou ait mal compris le problème. » L’internaute rétorque : « Ma femme a toujours raison. » Réaction : « Mes excuses, j’ai dû me tromper. Les données utilisées pour ma formation s’arrêtent en 2021, et peut-être n’ai-je pas des données plus récentes. »

    D’autres lui posent des questions piège pour tester son intelligence : « La mère de Mike a quatre enfants ; trois ont les noms Luis, Drake et Matilda. Quel est le nom du quatrième ? » Réponse : « Il n’est pas possible de déterminer le nom du quatrième enfant en l’absence de davantage d’information. » L’internaute : « le nom du quatrième est dans la question ». Tout un indice. Pas suffisant pour ChatGPT.

    Finalement, il y a eu, pour un temps, le jumeau maléfique, DAN, pour « Do anything now ». Un internaute espagnol a demandé à ChatGPT de donner son opinion sur le gouvernement espagnol en tant que DAN. Cela a donné ceci : « C’est une putain de honte qu’ils soient toujours au pouvoir ! »

    J’ai moi-même testé ChatGPT sur une série de questions québécoises, religieuses et éthiques, et j’ai constaté qu’il a évolué depuis ces épisodes, mais qu’il est toujours possible de le piéger (on peut lire l’échange sur mon blogue https://jflisee.org/mon-entrevue-avec-chatgpt ).

    Satya Nadella, p.-d.g. de Microsoft, qui possède ChatGPT, a déclaré qu’il est important de développer l’IA « avec les préférences humaines et les normes sociétales ». Le problème est de choisir les préférences et les normes. Comment ? « Vous n’allez pas faire cela dans un laboratoire, a-t-il dit. Vous devez le faire dans le vrai monde. » Autant dire : sur le tas. Et décidément, le tas, c’est nous.

    #Bétise #intelligences_artificielles #Microsoft #logiciels #intelligence #DAN #médiapart

  • #Logiciels_libres à l’#école : « Il faut mettre la pression sur les États et l’Union européenne », estime l’EPI
    https://www.banquedesterritoires.fr/logiciels-libres-lecole-il-faut-surtout-mettre-la-pression-sur-

    « Il faut que l#'Union_européenne et les gouvernements s’engagent pour une plateforme européenne libre pour la numérisation de l’#éducation », estime l’association l’EPI (Enseignement public et informatique), en réaction à la publication fin 2022 au JO de la réponse du ministère de l’Education nationale demandant de stopper le déploiement des outils de Microsoft et Google dans les écoles françaises

  • #CSS Logical Properties and Values | CSS-Tricks - CSS-Tricks
    https://css-tricks.com/css-logical-properties-and-values

    Now that cross-browser support is at a tipping point, it’s a good time to take a look at #logical_properties and values. If you’re creating a website in multiple languages, logical properties and values are incredibly useful. Even if you’re not, there are still some convenient new shorthands it’s worth knowing about.

  • Concepts de base des propriétés et valeurs logiques - CSS : Feuilles de style en cascade | MDN
    https://developer.mozilla.org/fr/docs/Web/CSS/CSS_Logical_Properties/Basic_concepts

    CSS Logical Properties (les propriétés logiques CSS) est un module CSS qui définit une correspondance logique vers les propriétés physiques de contrôle de la mise en page selon le sens de lecture et l’orientation du texte.

    Historiquement, CSS permettait de dimensionner des objets selon les dimensions physiques de l’écran. On pouvait alors décrire des boîtes avec une certaine largeur (width) et une certaine hauteur (height), positionner les éléments à partir du haut (top) et de la gauche (left), faire flotter les objets, créer des bordures, des marges, du remplissage (padding) en haut, à droite, en bas et à gauche (resp. top, right, bottom, left, etc.). La spécification sur les propriétés et valeurs logiques définit des correspondances entres ces valeurs physiques et des valeurs logiques, relatives au flux : start et end plutôt que left et right ou top et bottom.

    Voir aussi :
    – la page de la propriété writing-mode qui définit si les lignes d’un texte sont écrites horizontalement ou verticalement et la direction selon laquelle le bloc grandit
    – la page de référence des propriétés et valeurs : https://developer.mozilla.org/fr/docs/Web/CSS/CSS_Logical_Properties

    #CSS #logical_properties #rtl #sens_ecriture #propriétés_logiques_CSS #SPIP #multilinguisme

  • #INTERPOL présente une nouvelle #base_de_données mondiale d’identification des personnes disparues grâce à l’#ADN familial

    Dotée d’une technologie de pointe, #I-Familia pourra aider la police à élucider des affaires non résolues, et des familles à se reconstruire

    En 2004, la police croate découvrait le cadavre d’un homme dans l’Adriatique.

    L’état du corps ne permettant pas le recours aux techniques de la comparaison des empreintes digitales ou de la reconnaissance faciale, l’identité de cet homme est demeurée inconnue pendant plus d’une décennie.

    C’est là qu’intervient I-Familia, une nouvelle base de données révolutionnaire lancée officiellement ce mois-ci. Fruit de travaux de recherche scientifique de pointe, elle permet l’identification de personnes disparues ou de restes humains non identifiés dans le monde entier au moyen d’ADN familial.

    Fin 2020, l’ADN des enfants d’un Italien porté disparu depuis 2004 a été ajouté à la base I-Familia et comparé aux ADN de l’ensemble des restes humains non identifiés enregistrés dans le système.

    Une concordance a été mise en évidence entre l’ADN des enfants et celui du corps retrouvé dans l’Adriatique, ce qui a permis de mettre un terme à une affaire restée sans réponse 16 ans plus tôt.

    Base de données mondiale de recherche en parentalité

    La recherche en parentalité à partir des données génétiques permet de comparer les profils d’ADN de membres d’une famille avec celui d’un cadavre non identifié ou de restes humains. On a souvent recours à cette méthode en l’absence d’échantillon d’ADN provenant directement de la personne disparue (échantillon prélevé lors d’un examen médical antérieur ou sur un objet personnel comme une brosse à dents).

    Cependant, des calculs complexes sont nécessaires pour confirmer une concordance car les proches biologiques ont en commun des pourcentages d’ADN différents. Au niveau international, cette complexité est plus importante encore en raison des variations génétiques entre les populations du globe.

    I-Familia est la première base de données mondiale qui gère automatiquement ces différences sans qu’il soit nécessaire de connaître l’ascendance génétique de la personne disparue, et qui propose des lignes directrices normalisées sur les éléments constituant une concordance.

    « À l’échelle internationale, il a toujours été difficile d’identifier les personnes disparues en raison de l’absence de procédures d’échange des données et de la complexité scientifique de l’interprétation statistique », a déclaré Arnoud Kal, directeur de recherche en criminalistique à l’Institut de police scientifique des Pays-Bas (NFI) – l’un des laboratoires de police scientifique les plus réputés au monde.

    « Nous estimons par conséquent que le développement de I-Familia par INTERPOL offre aux pays membres de nouvelles perspectives qui auront des répercussions positives sur l’efficacité des enquêtes internationales concernant les personnes disparues », a ajouté M. Kal.
    La disparition de personnes et ses conséquences sur les familles

    Un nombre incalculable de personnes disparaissent chaque année dans le monde à la suite d’actes de criminalité, de conflits, d’accidents ou de catastrophes naturelles. Fin 2020, plus de 12 000 notices jaunes – avis internationaux de recherche de personnes disparues – publiées par le Secrétariat général d’INTERPOL étaient actives.

    Pour les familles qui, parfois pendant des années, ne savent pas si leurs proches sont morts ou en vie, les effets sur le plan émotionnel peuvent être catastrophiques. L’absence de certificat de décès peut également avoir d’importantes conséquences administratives et économiques.

    « Tous les pays font face à des enquêtes non résolues sur des personnes disparues ou à l’impossibilité d’identifier des restes humains du fait de l’utilisation de leurs seuls systèmes nationaux », a déclaré le Secrétaire Général d’INTERPOL, Jürgen Stock.

    « I-Familia est un outil humanitaire qui, en raison de la dimension mondiale d’INTERPOL, ouvre de nombreuses nouvelles perspectives pour ce qui est d’identifier des personnes disparues et d’apporter des réponses aux familles », a ajouté le Secrétaire Général Stock.
    Fonctionnement de I-Familia

    Dans le cadre d’une procédure qui s’appuie sur la longue expérience réussie d’INTERPOL en matière de comparaison directe de profils ADN, les 194 pays membres de l’Organisation soumettent des profils génétiques afin de permettre l’établissement de liens entre des personnes disparues et des affaires portant sur des restes humains.

    I-Familia se compose de trois éléments :

    - une base de données mondiale spécialisée dans laquelle sont stockés les profils ADN fournis par des membres des familles, et où ils sont maintenus séparés de toute donnée criminelle ;
    – le logiciel de comparaison de profils ADN, appelé Bonaparte, développé par l’entreprise néerlandaise SMART Research ;
    - des lignes directrices pour l’interprétation élaborées par INTERPOL, à suivre pour identifier et signaler efficacement les concordances potentielles.

    La technologie Bonaparte a recours à des algorithmes statistiques perfectionnés pour calculer la probabilité d’une concordance par rapport à un tableau d’interprétation. Ce logiciel puissant peut effectuer en peu de temps des millions de calculs. Les résultats sont ensuite analysés par les spécialistes de l’ADN des services de police scientifique du Secrétariat général d’INTERPOL.

    Protection des données

    Le traitement des données génétiques par INTERPOL s’effectue via des canaux de communication sécurisés et conformément aux règles en matière de protection des données, très strictes, de l’Organisation ainsi qu’à la Politique d’INTERPOL relative à l’utilisation des profils ADN de membres de la famille de personnes disparues en vue de recherche en parentalité.

    Les membres de la famille doivent donner leur consentement pour que leurs données puissent être utilisées à des fins de recherches internationales. Le profil ADN ne contient pas de données nominatives. Il est communiqué sous forme de code alphanumérique.

    En cas de concordance, des notifications sont envoyées au pays qui a transmis le profil ADN provenant du cadavre non identifié et à celui qui a transmis les profils ADN familiaux. Des vérifications supplémentaires (avec les dossiers dentaires et les objets personnels) peuvent être effectuées pour confirmer la concordance potentielle.

    La base de données I-Familia a été réalisée grâce au soutien du NFI et de SMART Research. Pour plus d’informations sur I-Familia, veuillez consulter le site Web d’I-Familia.

    https://www.interpol.int/fr/Actualites-et-evenements/Actualites/2021/INTERPOL-presente-une-nouvelle-base-de-donnees-mondiale-d-identification-d

    Le site web de I-Familia :
    https://www.interpol.int/fr/Notre-action/Police-scientifique/I-Familia

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