• How GitHub became the nexus of software automation | ZDNet
    https://www.zdnet.com/article/how-github-sneaked-up-on-us-to-become-the-nexus-of-software-automation

    To call GitHub a website is to call Italy a place to eat. GitHub is the leading practitioner of an emerging marketplace — and yes, it may legitimately be called a “market” because it does generate revenue. It earned, by several estimates, over $200 million in revenue in 2017, and was evidently valuable enough to Microsoft to prompt it to purchase GitHub outright, in a $7.5 billion all-stock deal last June.

    It is accurate and fair to say that GitHub created a market in the supply of open-source software, and the automation of its deployment. There are other competitors in this market, most notably GitLab and Atlassian’s Bitbucket. It’s the presence of those players that legitimizes this market.

    What GitHub has become is the most effective example to date of a web service that absorbs the function of an entire industry’s supply chain. Open-source software has been shared online in the past, with SourceForge being one of the most effective practitioners. But the distribution of software through SourceForge, and sites like it, takes place using a content management system — a platform best suited for folks using web browsers.

    What does deserve further scrutiny as time goes on, however, is how this deal, by legitimizing the open-source delivery pipeline as a top-tier industry, will alter the character of the open-source movement. If it was ever truly a counter-culture, it certainly isn’t one now. Although GitHub’s profitability may not be directly due to the popularity of sharing code, it is indeed tied to the automated, pipelined supply chain to which open source gave rise. If that model is truly as influential as open source proponents assert it to be, then nothing Microsoft would do to change it one way or the other, in the long run, should have any noticeable effect.

    #Logiciel_libre #GitHub #Industrie_du_logiciel #Neurocapitalisme

  • Aujourd’hui, débat et approbation d’une loi spéciale en Bolivie : ce sera la première loi 100% numérique, depuis son élaboration jusqu’à son approbation (avec utilisation de la signature électronique par exemple).

    Quelques anecdotes :

    – l’Assemblée utilise Debian, pas un système d’exploitation privatif
    – la majorité des députés sont des députées
    – des députés de toutes les couches de la société : des mineurs, des employées domestiques, des paysans, des ouvriers...

  • Mastodon, la riposte à Twitter
    https://www.lemonde.fr/m-perso/article/2018/06/17/mastodon-la-riposte-a-twitter_5316651_4497916.html

    Un mammouth comme logo et des « pouets » au lieu des Tweet. Mastodon est le nouveau réseau social qui veut concurrencer Twitter et Facebook. Avec 1,2 million d’inscrits et 134 millions de messages échangés, le système créé en 2016 en est encore à ses balbutiements, mais il progresse vite grâce au travail de milliers de passionnés issus de tous les continents.

    A première vue, le logiciel propose des services et une interface proches de ceux des grands réseaux américains, dont il s’est inspiré, et ses utilisateurs s’y comportent d’ailleurs un peu de la même façon. Mais en coulisses, tout est différent. Car Mastodon est un réseau horizontal composé de serveurs autonomes, sans point central ni poste de commandement. Le message de la page d’accueil est clair : « Pas de publicités, pas de surveillance privée, design éthique et décentralisation ! Vous êtes propriétaire de vos données ! »

    Le projet est né dans la tête d’un informaticien allemand aujourd’hui âgé de 25 ans : Eugen Rochko. « Je l’ai monté seul, à partir de logiciels libres et de protocoles existants. » Il a été ensuite rejoint par plusieurs équipes de codeurs, qui ont modifié son système – « au moins 175 personnes ont contribué à améliorer le système, je suis devenu coordonnateur d’un projet collectif. » Né en ­Russie, fils d’une linguiste et d’un économiste, Eugen Rochko est arrivé en Allemagne à l’âge de 11 ans. Sans surprise, ses motivations sont celles de la majorité des militants du logiciel libre : « J’ai voulu réagir contre la concentration des réseaux sociaux au sein de quelques méga-sociétés privées. Pour les citoyens de tous les pays, la communication mondiale instantanée offerte par les réseaux sociaux est devenue très importante, à tous égards. Elle devrait être gérée collectivement, comme un service public démocratique. »

    Article en accès libre

    #Framasoft #Réinventer_l'Internet #Fediverse #Mastodon #Dégooglisons_l’Internet #communs #logiciel_libre #open_source

  • Messageries, moteurs de recherche... comment se passer de Google, Facebook ou Twitter
    https://www.lemonde.fr/m-perso/article/2018/06/17/moteurs-de-recherche-messageries-comment-se-passer-de-google-facebook-ou-twi

    En quatre ans, Framasoft s’est rendue célèbre sur le Net grâce à son programme « Dégooglisons l’Internet » : plutôt que de se lamenter face à la toute-puissance des géants américains (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft et les autres), elle a décidé d’agir concrètement, en fabriquant des alternatives à leurs principaux services : des clones, à ceci près qu’ils ne pistent pas les utilisateurs et n’exploitent pas leurs données.

    Framasoft, qui compte huit salariés et près de 700 bénévoles, a mis en ligne à ce jour 34 services libres et gratuits, couvrant les besoins des particuliers, des associations et des PME : stockage de fichiers, travail collaboratif, publication, forums, agendas, carnets d’adresses, calculs, sondages, cartes géographiques, dessins, jeux… Son moteur de recherche, Tonton Roger, est un « métamoteur » : il retransmet la requête simultanément à plusieurs grands moteurs comme Google ou Bing, tout en brouillant les pistes afin que Google et les autres ne voient pas l’utilisateur final. Framasoft a aussi créé des branches françaises des réseaux sociaux alternatifs diaspora* (Frama­sphère) et Mastodon (Framapiaf), censés concurrencer Facebook et Twitter.

    […]

    Son directeur, Pierre-Yves ­Gosset, rappelle les principes fondateurs de son action : « Nous luttons contre ­l’hypercentralisation du Net, nous n’allons pas nous mettre à construire un système centralisé. Ce serait fou si nous devenions le “Google du libre”. Nous voulons faire tout le contraire : partager notre savoir-faire et former une fédération décentralisée d’associations autonomes, fournissant des services semblables aux nôtres. Nous aimons nous comparer aux AMAP [associations pour le maintien d’une agriculture paysanne], qui privilégient la qualité artisanale, les liens de proximité et les circuits courts. »

    Version intégrale de l’article réservée aux abonnés...

    #Framasoft #Réinventer_l'Internet #Fediverse #Diaspora #Mastodon #Dégooglisons_l’Internet #communs #logiciel_libre #open_source

  • Sauvons le partage de code !
    https://www.april.org/sauvons-le-partage-de-code-appel-signature-de-la-lettre-ouverte-save-code-sha

    En septembre 2017 la FSFE (Free Software Foundation Europe) et l’OFE (Open Forum Europe) ont lancé la campagne « Save Code Share » pour sensibiliser sur les risques que l’actuel projet de réforme du droit d’auteur de l’Union européenne fait peser sur le logiciel libre et les communautés de développeurs et développeuses. Au cœur de cette campagne un appel à signer une lettre ouverte pour demander la réécriture ou la suppression de l’article 13 du projet de réforme qui imposerait aux hébergeurs de contenus, comme les forges logicielles, de mettre en place un filtrage automatique des contenus, par exemple du code, mis en ligne par leurs utilisateurs et utilisatrices.

    Le texte initial de la réforme a évolué, notamment par l’action des communautés du Libre, mais les rustines proposées par le rapporteur ne règlent en rien les problèmes comme le démontre l’eurodéputée Julia Reda. Le vote en commission des affaires légales, JURI, a été décalé au 20 ou 21 juin 2018. Un énième report révélateur d’une position de faiblesse des défenseurs de l’article 13. Nous devons intensifier ce rapport de force ! Signons et diffusons cette lettre ouverte traduite en français par l’April : Sauvons le partage de code !

    #logiciel_libre #droit_d'auteur #Europe #partage #communs

  • #Développement_durable en entreprise : Makina Corpus voit la vie en vert !
    https://makina-corpus.com/blog/societe/2018/developpement-durable-en-entreprise-makina-corpus-voit-la-vie-en-vert

    L’engagement de Makina Corpus pour le Développement Durable a débuté dès la création de l’entreprise en inscrivant dans ses #Valeurs le respect de l’humain et de son #Environnement.

    #Citoyen #Climat #Logiciel_Libre #Écologie #Économie_circulaire #Société #News_Item

  • #Développement_durable en entreprise : Makina Corpus voit la vie en vert !
    https://makina-corpus.com/blog/societe/2018/developpement-durable-en-entreprise-makina-corpus-nest-pas-a-la-train

    L’engagement de Makina Corpus pour le Développement Durable a débuté dès la création de l’entreprise en inscrivant dans ses #Valeurs le respect de l’humain et de son #Environnement.

    #Citoyen #Climat #Logiciel_Libre #Écologie #Économie_circulaire #Société #News_Item

  • The Post-Meritocracy Manifesto
    https://postmeritocracy.org

    Meritocracy is a founding principle of the open source movement, and the ideal of meritocracy is perpetuated throughout our field in the way people are recruited, hired, retained, promoted, and valued.

    But meritocracy has consistently shown itself to mainly benefit those with privilege, to the exclusion of underrepresented people in technology. The idea of merit is in fact never clearly defined; rather, it seems to be a form of recognition, an acknowledgement that “this person is valuable insofar as they are like me.”

  • Ce qui nous pousse au Libre
    https://framablog.org/2018/05/18/ce-qui-nous-pousse-au-libre

    Si certains logiciels libres sont réputés à la fois pour leur efficacité et leur esthétique fonctionnelle (qu’on nommera design, parce que c’est ainsi), il faut reconnaître qu’ils ne font pas la majorité. Certains designers aimeraient apporter leur pierre à l’édifice … Lire la suite­­

    #Internet_et_société #Libertés_Numériques #Libres_Logiciels #Code #Communaute #Debat #Developpement #logiciel_libre #OpenSource #Planet #RezoTIC

  • Getting started with .NET on #ubuntu #linux
    https://hackernoon.com/getting-started-with-net-on-ubuntu-linux-42c1977f5284?source=rss----3a81

    credit: https://twitter.com/sjvn/status/646381868133273600Since, ASP.NET vNext’s open source .NET core’s 1.0.0 release is nearby, I was trying to get my hands dirty with .NET outside Windows.Install the .NET Version Manager (DNVM)First install unzip and curl if you don’t already have themsudo apt-get install unzip curlDownload and install DNVMcurl -sSL https://raw.githubusercontent.com/aspnet/Home/dev/dnvminstall.sh | DNX_BRANCH=dev sh && source ~/.dnx/dnvm/dnvm.shUse dnvm to verify installationInstalling the #mono.NET Execution Environment (DNX).NET core is still immature, so for the time being it’s better to at least get started with Mono.The below commands were tested on a 64bit laptop to install Mono on Ubuntu:Add Signing Key using wget (...)

    #dotnet-core #ide

    • Je partage pour les contrecarrer !

      Preuve par l’absurde…

      Quand Microsoft utilise des standards (xml + zip pour son format word), produit des standards (Unicode, XPS), ouvre ses outils (vcpkg), s’aligne sur des standards (#Vulkan, odt), fournit des langages (C#, .Net) c’est toujours dans son intérêt économique !!!
      Cet objectif n’est pas compatible avec celui du logiciel libre : être un bien collectif, partageable et ouvert.

      Donc ne vous laissez pas prendre par le discours de Microsoft.
      Et rappelez vous : Microsoft ne libère pas ses codes source et encore moins sous licence libre.

      #free_software #logiciel_libre
      @linuxfr @ccoveille @clx_asso @framasoft
      #linux (pour ceux qui ne cherchent pas les bons mots clés)

  • LibreOffice, c’est stylé ! — un nouveau manuel Framabook – Framablog
    https://framablog.org/2018/04/26/libreoffice-cest-style-un-nouveau-manuel-framabook

    C’est une réalité pour beaucoup d’utilisateurs au travail ou chez soi : pour rédiger une lettre ou un devis, pour un roman ou un essai, les logiciels de traitement de texte ont quelque chose d’incontournable. Christophe Masutti nous propose aujourd’hui, dans la collection Framabook, une adaptation du livre de Bruce Byfield : Designing with Libreoffice, une référence (sous licence libre) !

    Il en résulte alors un ouvrage de près de 400 pages. Mais que les lecteurs se rassurent : toutes ces pages ne sont pas dédiées à une suite épuisante de procédures à appliquer. Au contraire. Par exemple, une grande partie du premier chapitre est dédiée à la confrontation entre les deux manières d’appréhender un logiciel de traitement de texte : formater manuellement ou utiliser les styles. Si les deux méthodes ne sont pas exclusives, l’utilisation des styles suppose un recul nécessaire et une analyse des besoins et des pratiques. C’est le principal atout de l’ouvrage : nous aider à faire le point.

    Un autre exemple : beaucoup de questions liées à la typographie sont abordées au fil des chapitres, procurant ainsi, en pratique, une excellente vulgarisation de concepts trop souvent ignorés et qui, pourtant, sont essentiels pour composer des documents et assurer leur bonne lisibilité.

    #Traitement_texte #Logiciel_libre #Framasoft #Christophe_Masutti

  • Julia Reda, eurodéputée du Parti Pirate, lance un appel – Framablog
    https://framablog.org/2018/04/18/julia-reda-eurodeputee-du-parti-pirate-lance-un-appel

    Le projet de réforme du droit d’auteur provoque une forte inquiétude au sein des communautés de développeurs et développeuses de logiciels libres. Que restera-t-il de leur liberté de partager et modifier si obligation est faite aux forges logicielles de mettre en place des filtres de contenus ? L’eurodéputée Julia Reda nous indique les façons dont nous pouvons tous agir, dès maintenant.

    #logiciel_libre #droit_dauteur #forges_logicielles

  • La Parabole des Polygones - un essai jouable sur la forme que prend une société (Vi Hart, Nicky Case, Guillaume Ardaud)
    http://gardaud.github.io/polygons

    C’est l’histoire de comment des choix qui ne font de mal à personne peuvent créer un monde qui fait du mal à tous.

    Ces mignonnes créatures sont 50% Triangles, 50% Carrés, et 100% légèrement “formistes”.

    #éducation #logiciel_libre #jeu_éducatif #racisme #discrimination

  • They forked this one up: Microsoft modifies open-source code, blows hole in Windows Defender • The Register
    https://www.theregister.co.uk/2018/04/04/microsoft_windows_defender_rar_bug

    A remote-code execution vulnerability in Windows Defender – a flaw that can be exploited by malicious .rar files to run malware on PCs – has been traced back to an open-source archiving tool Microsoft adopted for its own use.

    The bug, CVE-2018-0986, was patched on Tuesday in the latest version of the Microsoft Malware Protection Engine (1.1.14700.5) in Windows Defender, Security Essentials, Exchange Server, Forefront Endpoint Protection, and Intune Endpoint Protection. This update should be installed, or may have been automatically installed already on your device.

    The vulnerability can be leveraged by an attacker to achieve remote code execution on a victim’s machine simply by getting the mark to download – via a webpage or email or similar – a specially crafted .rar file while the anti-malware engine’s scanning feature is on. In many cases, this analysis set to happen automatically.

    When the malware engine scans the malicious archive, it triggers a memory corruption bug that leads to the execution of evil code smuggled within the file with powerful LocalSystem rights, granting total control over the computer.

    The screwup was discovered and reported to Microsoft by legendary security researcher Halvar Flake, now working for Google. Flake was able to trace the vulnerability back to an older version of unrar, an open-source archiving utility used to unpack .rar archives.

    Apparently, Microsoft forked that version of unrar and incorporated the component into its operating system’s antivirus engine. That forked code was then modified so that all signed integer variables were converted to unsigned variables, causing knock-on problems with mathematical comparisons. This in turn left the software vulnerable to memory corruption errors, which can crash the antivirus package or allow malicious code to potentially execute.

    In other words, Redmond pulled a fork-and-bork.

    #Logiciel_libre #Microsoft #Cybersécurité

    • Je quote la phrase essentielle :

      Apparently, Microsoft forked that version of unrar and incorporated the component into its operating system’s antivirus engine. That forked code was then modified so that all signed integer variables were converted to unsigned variables, causing knock-on problems with mathematical comparisons. This in turn left the software vulnerable to memory corruption errors, which can crash the antivirus package or allow malicious code to potentially execute.

  • “In its 2018 Public Annual Report, the #Cour_des_Comptes (the French supreme body of financial control) approved the strategy of the #DINSIC (Interdepartmental Directorate of Digital Technology, Information and Communication System), particularly its strategy on the use of #free_software, and recommends that it be amplified and extended throughout government services”
    https://www.april.org/en/french-supreme-body-financial-control-approves-use-free-software-government-s #logiciel_libre

  • microG Project
    https://microg.org

    The linux-based open-source mobile operating system #Android is not only the most popular mobile operating system in the world, it’s also on the way to becoming a proprietary operating system. How is that?

    While the core operating system is still released as part of the Android Open Source Project, the majority of core #apps are not. It gets worse: More and more libraries and APIs are only available on phones that run various Google apps pre-installed, effectively locking third-party apps to the Google ecosystem. For these reasons Android is described as being a “look but don’t touch” kind of open.

    At this point, several popular open-source applications already require some of Google’s proprietary libraries to be installed. Increasing demand in the free software community in addition to severe problems in Google’s proprietary software discovered by the Android modding community, have led to the development of a free software clone of Google’s proprietary core libraries and applications - the microG Project was born.

    Although most microG components are far from complete, users are amazed by the results. Free software users got extended application support, privacy-caring users can reduce or monitor data that is sent to Google and especially older phones can expect some battery life improvements. microG is not only used on real devices, but also replaces Google tools in test emulators and is even used in virtual mobile infrastructure.

    #play_store #logiciel_libre

  • Who really contributes to open source | InfoWorld
    https://www.infoworld.com/article/3253948/open-source-tools/who-really-contributes-to-open-source.html

    Microsoft has been nipping at the top open source contributor position for years, but a new analysis by Adobe developer Fil Maj puts Microsoft into a whole other universe of contributions. Or, at least, of contributors.

    Using the GitHub REST API to pull public profile information from all 2,060,011 GitHub users who were active in 2017 (“active” meaning ten or more commits to public projects), Maj was able to pull the total number of corporate contributors to GitHub, with results that might surprise you.

    Which leaves us with Microsoft having twice the number of contributors of its next nearest competitor, Google. For those of us that were around when Microsoft castigated open source as a “cancer” and “anti-American,” this is a remarkable change of heart (or, as I’ve argued, a change of business model). Microsoft has long appreciated the value of developers, but Azure has given Microsoft license to embrace open source as a way to attract them to its platform.

    Meanwhile, Amazon, so often snubbed as an open source ne’er-do-well, comes in at No. 6 in the rankings, with close to 900 contributors. Amazon has perhaps not worn open source on its sleeve in quite the same was as Google and Microsoft have, but it remains a strong contributor to the projects that feed its developer community.

    Other takeaways? Chinese companies like Baidu, Tencent, and Alibaba, which have long been perceived to be net consumers of open source, actually contribute quite a bit. Ditto Oracle, a company to which I’m generally happy to hand out criticism, ranks very high amongst its legacy peers, largely due to its contributions to MySQL and Linux, though not exclusively so.

    #Logiciel_libre #Open_source #Developpeurs #Microsoft

  • Un logiciel libre de gestion des cultures OpenJardin - LinuxFr.org
    http://linuxfr.org/news/un-logiciel-libre-de-gestion-des-cultures-openjardin

    OpenJardin est un logiciel pour GNU/Linux orienté permaculture. Nous avons réalisé un logiciel de gestion graphique et interactif des parcelles avec des fiches de cultures par parcelle, une planification annuelle et une planification des rotations de cultures.

    L’ensemble est géré par une base de données SQLite qui inclut la majorité des espèces potagères et conservera l’historique des cultures. Les variétés potagères seront ajoutées avec la possibilité d’y indiquer les dates de semis et récoltes, les plantes compagnes et les rotations.

    #logiciel_libre #permaculture

  • restic · Backups done right!
    https://restic.net

    Fast, secure, efficient #backup program

    restic is a program that does backups right. The design goals are:

    Easy : Doing backups should be a frictionless process, otherwise you are tempted to skip it. Restic should be easy to configure and use, so that in the unlikely event of a data loss you can just restore it. Likewise, restoring data should not be complicated.
    Fast : Backing up your data with restic should only be limited by your network or hard disk bandwidth so that you can backup your files every day. Nobody does backups if it takes too much time. Restoring backups should only transfer data that is needed for the files that are to be restored, so that this process is also fast.
    Verifiable : Much more important than backup is restore, so restic enables you to easily verify that all data can be restored.
    Secure : Restic uses cryptography to guarantee confidentiality and integrity of your data. The location the backup data is stored is assumed not to be a trusted environment (e.g. a shared space where others like system administrators are able to access your backups). Restic is built to secure your data against such attackers.
    Efficient : With the growth of data, additional snapshots should only take the storage of the actual increment. Even more, duplicate data should be de-duplicated before it is actually written to the storage backend to save precious backup space.
    Free : restic is free software and licensed under the BSD 2-Clause License and actively developed on GitHub.

  • Post Mortem III · Mapzen
    https://mapzen.com/blog/a-letter-just-to-you

    Mapzen had a mandate to work only on open software and data, a very rare opportunity. Usually, companies that pursue open software or data draw a strategic line about what will be open and what will be proprietary. This makes a lot of sense; it was the case at my previous companies and will certainly be the case at my next company. But some kind of open strategy remains critical in mapping, a field dominated by incumbents who have invested billions of dollars and who use their advantages to restrict products across many industries. No one can compete in mapping at this point without embracing some collaborative efforts. At Mapzen, we went to the extreme and drew the line at near-zero proprietary elements, basically just this website and some operational code that didn’t make sense to publish.

    Would I undertake this strategy again?

    #logiciel_libre #open_data #cartographie #mapzen #post-mortem @b_b

    • Merci pour le ping :)

      I’m very happy that Mapbox hired this team and will continue the work around Valhalla in conjunction with their other navigation services.

      what a surprise :p

      Also we’ll announce some exciting developments for our search and vector tiles services before we close later this week, so watch this space. Spoiler alert: all of our work will continue to be supported and accessible to all.

      \o/ (osm ?)

    • Mapzen « de retour »...

      La plateforme de cartographie open-source Mapzen a une histoire compliquée. D’une part, Mapzen est utilisé par plus de 70 000 développeurs et constitue l’épine dorsale de services cartographiques tels que OpenStreetMap, Remix et Carto. Mais, en tant qu’entreprise, Mapzen a échoué en 2018. Le service survit donc en tant que projet de la Linux Foundation.

      Et voici qu’à présent le projet passe dans les mains de la Urban Computing Foundation (UCF), un autre groupe de la Linux Foundation avec plus de ressources. L’UCF se consacre à aider à créer des villes plus intelligentes, des transports multimodaux et des véhicules autonomes.

      Au sein de l’UCF, Mapzen bénéficiera du soutien de membres tels que Facebook, Google et Uber. Ses développeurs pourront y collaborer et construire un ensemble commun d’outils open-source à destination des villes, les véhicules autonomes et les infrastructures intelligentes.
      Il s’inscrit dans le cadre du projet UCF Kepler.gl, un outil d’analyse géospatiale open source pour le Big Data.

      https://www.zdnet.fr/actualites/le-projet-de-cartographie-open-source-mapzen-relance-sous-l-egide-de-la-urban-

  • Openrailwaymap : la carte mondiale des voies ferrées — Géoconfluences
    http://geoconfluences.ens-lyon.fr/actualites/veille/carte-train-monde

    Le projet OpenRailwayMap propose une cartographie mondiale des voies ferrées. Les passionnés de ferroviphilie pourront même zoomer et obtenir un niveau de détail élevé sur la signalisation et les équipements ferroviaires à l’échelle locale.

    #cartographie #voies_ferrées #transports #trains

    • Le premier :
      https://framablog.org/2016/09/12/des-routes-et-des-ponts-1

      Pourtant, je suis tombée sur un certain nombre de projets open source qui mettaient à mal ces préjugés. Il s’est avéré que maintenir les projets dans la durée était un problème connu dans le monde des contributeurs de l’open source. Plus je creusais la question et plus je découvrais des billets de blog, des articles et des forums de discussion qui abordaient la tension et l’épuisement éprouvés par ceux qui maintiennent les projets open source. Tout le monde m’indiquait une autre personne à contacter et sans m’en apercevoir j’ai récolté un nombre incroyable de témoignages à ce sujet.

      Je me suis rendu compte que j’avais découvert un problème certes « bien connu » des producteurs (les contributeurs de l’open source) mais dont les consommateurs (les entreprises de logiciels et les autres utilisateurs de code open source) n’avaient apparemment aucune idée. Cette anomalie m’a incitée à me pencher sur le problème.

      Par ailleurs, il semble que le milieu de l’open source soit lui-même en train d’évoluer, voire de bifurquer. J’ai eu des conversations très diverses avec des interlocuteurs de différentes générations, tous contributeurs open source. Ils semblaient avoir des philosophies et des valeurs divergentes, au point de donner l’impression de ne pas utiliser le même vocabulaire. J’ai appris que dans les trois à cinq dernières années, la production ainsi que la demande avaient explosé dans le monde de l’open source grâce à l’amélioration des outils pour les développeurs et à celle de l’organisation du travail. Les contributeurs de l’open source d’aujourd’hui sont très différents de ceux d’il y a 10 ans, sans parler de ceux d’il y a 30 ans. Or ces différentes générations ne communiquent pas entre elles, ce qui rend difficile toute conversation productive sur la maintenance pérenne des logiciels.

      #épuisement #travail #pérennité #long_terme #infrastructure

      Aussi signalé par @monolecte
      https://seenthis.net/messages/523810
      et
      https://seenthis.net/messages/525857

    • https://framablog.org/2016/11/14/des-routes-et-des-ponts-9-largent-et-lopen-source

      Beaucoup de projets open source ne sont rien de plus qu’un dépôt numérique public où est stocké du code auquel un groupe de gens contribue régulièrement : l’équivalent d’une association officieuse sur un campus universitaire. Il n’y a pas de structure légale et il n’y a pas de propriétaire ou de chef clairement défini. Les « mainteneurs » ou les contributeurs principaux émergent souvent de facto, en fonction de qui a créé le projet, ou de qui y a investi beaucoup de temps ou d’efforts. Cependant, même dans ces cas-là, dans certains projets on répugne à introduire une hiérarchie favorisant clairement un contributeur par rapport à un autre.

      […]

      La nature décentralisée du monde open source en a fait ce qu’il est : des logiciels produits de façon participative, que n’importe qui peut élaborer, partager, et améliorer. Mais quand vient le moment de discuter des besoins organisationnels, ou de la viabilité, il peut être difficile de prendre des décisions faisant autorité.

      […]

      De plus, de nombreux projets fonctionnent très bien de manière communautaire lorsqu’ils sont d’une des deux tailles extrêmes possibles, c’est-à-dire soit des petits projets qui ne demandent pas de maintenance significative (comme dans l’exemple de Arash Payan et Appirater), soit de très gros projets qui reçoivent un soutien important de la part d’entreprises (comme Linux).

      Cependant, beaucoup de projets sont coincés quelque part entre les deux : assez grands pour avoir besoin d’une maintenance significative, mais pas d’une taille suffisante pour que des entreprises déclarent leur offrir un soutien. Ces projets sont ceux dont l’histoire passe inaperçue, ceux dont on ne parle pas. Des deux côtés, on dit aux développeurs de ces projets « moyens » qu’ils sont le problème : du côté des « petits projets », on pense qu’ils devraient simplement mieux s’organiser et du côté des « gros projets », on pense que si leur projet était « assez bon », il aurait déjà reçu l’attention des soutiens institutionnels.

      […]

      Beaucoup de projets open source sont en train d’expérimenter la difficile transition d’une création désintéressée à une infrastructure publique essentielle.
      Ces dépendances toujours plus nombreuses signifient que nous avons pour responsabilité partagée de garantir à ces projets le soutien dont ils ont besoin.

      #organisation

    • https://framablog.org/2016/12/05/des-routes-et-des-ponts-13-des-mecenes-pour-les-projets-open-source

      La deuxième option pour financer des projets d’infrastructure numérique consiste à trouver des mécènes ou des donateurs. Il s’agit d’une pratique courante dans les cas de figure suivants :
      – Il n’existe pas de demande client facturable pour les services proposés par le projet.
      – Rendre l’accès payant empêcherait l’adoption (on ne pourrait pas, par exemple, faire payer l’utilisation d’un langage de programmation comme Python, car personne ne l’utiliserait ; ce serait comme si parler anglais étant payant).
      – Le projet n’a pas les moyens de financer des emplois rémunérés, ou bien il n’y a pas de volonté de la part du développeur de s’occuper des questions commerciales.
      – La neutralité et le refus de la commercialisation sont considérés comme des principes importants en termes de gouvernance.

      […]

      Pour expliquer sa décision de lever des fonds pour un projet open source, Godwin écrit :

      « Une quantité importante de code open source est écrit gratuitement. Cependant, mon temps libre est limité. Je dispose actuellement d’une seule journée libre par semaine pour travailler, et j’adorerais la consacrer à l’amélioration de Django, plutôt qu’à du conseil ou à de la sous-traitance.

      L’objectif est double : d’une part, garantir au projet un temps de travail conséquent et au moins 80 heures environ de temps de codage ; et d’autre part prouver au monde que les logiciels open source peuvent réellement rémunérer le temps de travail des développeurs. »

      […]

      John Resig est l’auteur de jQuery, une bibliothèque de programmation JavaScript qui est utilisée par près des 2/3 du million de sites web les plus visités au monde. John Resig a développé et publié jQuery en 2006, sous la forme d’un projet personnel. Il a rejoint Mozilla en 2007 en tant que développeur évangéliste, se spécialisant notamment dans les bibliothèques JavaScript.

      La popularité de jQuery allant croissante, il est devenu clair qu’en plus des aspects liés au développement technique, il allait falloir formaliser certains aspects liés à la gouvernance du projet. Mozilla a alors proposé à John de travailler à plein temps sur jQuery entre 2009 et 2011, ce qu’il a fait.

      À propos de cette expérience, John Resig a écrit :

      « Pendant l’année et demi qui vient de s’écouler, Mozilla m’a permis de travailler à plein temps sur jQuery. Cela a abouti à la publication de 9 versions de jQuery… et à une amélioration drastique de l’organisation du projet (nous appartenons désormais à l’organisation à but non lucratif Software Freedom Conservancy, nous avons des réunions d’équipe régulières, des votes publics, fournissons des états des lieux publics et encourageons activement la participation au projet). Heureusement, le projet jQuery se poursuit sans encombre à l’heure actuelle, ce qui me permet de réduire mon implication à un niveau plus raisonnable et de participer à d’autres travaux de développement. »

    • https://framablog.org/2016/12/12/des-routes-et-des-ponts-14-synthese-sur-les-difficultes-de-financement

      En plus de l’enjeu macroéconomique des communs, il y a plusieurs raisons pour lesquelles le financement des infrastructures numériques est particulièrement compliqué. Ces raisons ont déjà été abordées au cours de cette étude, mais sont toutes résumées ici.

      On croit à tort qu’il s’agit d’un « problème résolu ».
      […]

      Il manque une prise de conscience et une compréhension culturelle de ce problème.
      En dehors de la communauté open source, tout le monde, ou presque, ignore les problèmes de financement de ces projets d’infrastructure, et le sujet est perçu comme plutôt aride et technique. Les développeurs qui ont besoin de soutien ont tendance à se concentrer principalement sur la technique et sont mal à l’aise lorsqu’il s’agit de défendre l’aspect financier de leur travail. Au bout du compte, on ne parvient pas à trouver l’élan qui pourrait modifier cette situation en panne.

      Les infrastructures numériques sont enracinées dans l’open source, dont la culture du bénévolat n’encourage pas à parler d’argent.
      Même si cette attitude a fait de l’open source ce qu’elle est aujourd’hui, elle crée également un tabou qui rend difficile pour les développeurs l’évocation de leurs besoins, car ils se sentent coupables ou ont peur de passer pour des personnes qui n’auraient pas l’esprit d’équipe.

    • Le livre est intéressant, et elle aborde frontalement l’épuisement des gens et des projets, ainsi que la nécessité d’ouvrir au maximum les projets à plein de profils différents pour maximiser les contributions, l’écosystème, le cercle vertueux, dans le dernier chapitre.

      Mais une reproche que je ferais, c’est qu’elle ne parle que de financement direct. Et donc uniquement de projets, qui même lorsqu’ils sont très communautaires et à but non lucratif, sont seulement ceux qui ont une fondation ou association officielle qui permet de récolter des dons privés ou publics, pour ensuite le redistribuer à des développeureuses, des gens qui font la doc, la com ou autre.

      Bon, on est vraiment mais alors VRAIMENT parmi les seuls au monde entier dans SPIP à être une communauté sans aucune structure juridique officielle. Du coup c’est très difficile de s’identifier dans son livre et de faire des rapprochements.

      Par ailleurs, elle aborde un peu le financement indirect mais pas tant que ça et ce n’est pas très détaillé sur le type de tâches que ça permet de faire avancer.

      Cela fait des années que je redis régulièrement la même chose, mais je pars de mon expérience dans SPIP évidemment. J’affirme, et je pense que c’est quantifiable et que je peux le prouver, que mis à part au début, la majorité des dernières contributions à SPIP dans les dernières années plugins ET noyau, l’ont été soit durant des temps travaillés et payés, soit en rapport avec le travail quand même car investissement du fait que SPIP est la base sur laquelle est montée le travail, le salaire, la vie des gens qui ont fait ces contributions. Je ne parle donc pas que de moi. Je trouve qu’il y a une sorte de non-dit sur ce sujet, volontaire ou pas, et que c’est un fait difficile à reconnaitre (et donc à en tirer les conséquences !).

      De manière plus concrète : un (très) grand nombre de plugins majeurs ont été créé et/ou augmenté dans le cadre de fonctionnalités nécessaires durant des projets payés par des clients à des gens qui vivent de SPIP. Pour le noyau, de nombreuses modifications ont été fait dans ce même cadre, et certaines majeures au moment du montage de Nursit, pour la sortie de SPIP 3.0. Pour moi il s’agit clairement d’un investissement, qui sert à monter une activité plus stable ensuite. Je ne fais strictement aucune critique : je trouve ça très bien et sain. Mais je voudrais juste qu’on le reconnaisse plus explicitement : non malgré nos (y compris moi !) positionnements très libertaires, en défense du monde associatif et militant, etc, et bien non, la plupart des plus grosses évolutions en plugins importants et en noyau, n’ont pas été fait bénévolement pour l’amour de l’art ou pour servir le militantisme gauchiste.

      Malheureusement ce type de financement indirect, qui est donc assimilable pour moi à du « mécénat », par la redistribution de nouvelles fonctionnalités ou d’amélioration de l’existant à toute la communauté, permet de faire avancer seulement des fonctionnalités précises ("on veut pouvoir créer des sélections de contenus manuellement", « on veut pouvoir payer en ligne », etc) ou des corrections de bugs ou des améliorations pas trop énormes.

      Je n’ai jamais vu qu’un mécénat comme ça, fournissant du temps, arrive à « financer » des modifications majeures d’infrastructure, de communication, d’ergonomie générale.

      En effet, durant un projet pour un client, on peut arriver à faire financer la création d’un nouveau plugin, ou l’amélioration d’un truc existant. Mais personne ne va jamais financer la refonte complète de l’admin qui est un chantier énorme de plusieurs mois à plein temps. Et personne ne va financer la refonte complète et mise en cohérence des documentations, qui est aussi un énorme chantier. De même nous avions parlé avec @marcimat de la refonte de l’infrastructure au cœur du logiciel, en utilisant des librairies existantes (composer, sfy…) : c’est aussi un énorme chantier de plusieurs mois (et qui à mon avis est essentiel à long terme, autant que l’admin ergonomique et responsive).

      Pour tous ces énormes chantiers, quand bien même on arriverait à s’organiser de manière moins bloquante et conflictuelle qu’avant (comme je l’ai déjà exposé), ça ne change rien au fait que le temps à y passer est énorme, et qu’il ne peut être uniquement bénévole (même s’il y en a aussi, on passe tous plus de temps, pas payé, à améliorer SPIP), sinon on n’a plus de vie, et c’est burn out, etc. On a tous une vie, une famille, des enfants, des ami⋅e⋅s, des loisirs, des lectures… En dehors de nos heures de travail, on ne peut pas faire que continuer à coder pareil.

      Prendre pour étalon de la contribution l’idéal-type d’une personne qui en plus de ses 7h par jour à coder pour le travail, re-passe 4h par jour (ou plus !) à contribuer bénévolement, ce n’est pas possible, on ne peut pas plus anti-inclusivité que ça à mon sens. (Et l’autrice du livre va entièrement dans ce sens.)

      Voilà un peu une partie de mes sentiments autour d’une manière de s’organiser dans « ma » communauté qui n’a justement pas de fondation à qui donner des dons, et dont on est assez fier, mais qui a de gros soucis à se faire dans les années qui arrivent d’après moi.