Wie sich die Zivilluftfahrt gegen Raketenbeschuss schützt (https:/...
▻https://diasp.eu/p/14053280
Wie sich die Zivilluftfahrt gegen Raketenbeschuss schützt
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Wie sich die Zivilluftfahrt gegen Raketenbeschuss schützt
propre lien :
▻https://www.heise.de/tp/features/Wie-sich-die-Zivilluftfahrt-gegen-Raketenbeschuss-schuetzt-6341368.html
Das Frachtunternehmen Fedex wolle laserbasierte Schutzsysteme auf seinen Flugzeugen installieren, um sie gegen schultergestützte Flugabwehrraketen, sogenannte Man Portable Air Defense Systems (Manpads) zu schützen. Dies berichten die Nachrichtenagentur Reuters, CNN und das US-Magazin Politico.
Die Medien beziehen sich auf ein entsprechendes Dokument der US-Luftfahrtbehörde Federal Aviation Authority (FAA). Die FAA wolle sicherstellen, heißt es darin, dass die Abwehrwaffen nicht aus Versehen ausgelöst werden und eine Gefährdung darstellen.
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Vergleichbare Abwehrsysteme bieten der Rüstungskonzern Airbus und der französische Konzern Sabena technics bereits für Flugzeuge der zivilen Luftfahrt an.
Auch die israelische Luftfahrtgesellschaft El Al sowie die Maschine des US-Präsidenten, die Air Force One, sollen mit vergleichbaren Schutzsystemen ausgestattet sein, um Boden-Luft-Raketen wie die Stinger ablenken zu können.
#Manpads, auch bekannt als #Stinger, waren an die afghanischen Mudschaheddin geliefert worden, damit diese sie gegen russische Helikopter einsetzen. Von dort gelangten sie in die ganze Welt und bedrohen nun auch die einstigen Lieferanten.
[...]
Mon pays fabrique des #armes
Depuis quelques années, les ventes d’armes françaises explosent et notre pays est devenu le troisième exportateur mondial. Pourtant, le grand public sait peu de choses de ce fleuron industriel français, de ses usines, de ses salariés, des régions productrices d’armes et des grandes instances d’État chargées de les vendre.
Car la France exporte massivement vers le Moyen-Orient. Beaucoup vers l’Arabie Saoudite. Au sein de l’État, qui arbitre lorsqu’il s’agit de vendre à des régimes suspectés de crimes de guerre ? A quoi la realpolitik nous contraint-elle ? Dans le reste de l’Europe, la société civile réagit à cette question. Si les armes sont si cruciales pour l’emploi des Français, si elles participent autant à l’indépendance de notre pays, pourquoi y sont-elles un angle mort du débat public ?
▻http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/54294_1
#film #film_documentaire #documentaire
#France #armement #commerce_d'armes #Dassault #Rafale #François_Hollande #Hollande #Inde #Qatar #Egypte #avions #bombes #munitions #missiles #MBDA #Nexter #Bourges #Avord #industrie_militaire #armée #La_Chapelle_Saint-Oursin #emploi #Jean-Yves_Le_Drian #ministère_de_l'armée #hélicoptère_Caïman #Direction_générale_de_l'armement (DGA) #commission_interministérielle_pour_l'étude_des_exportations_de_matériels_de_guerre (#CIEEMG) #Louis_Gautier #guerres #conflits #Cherbourg #CMN #Arabie_Saoudite #Yémen #crimes_de_guerre #ventes_d'armes #Traité_sur_le_commerce_des_armes (#TCA) #justice #contrat_Donas #Jean-Marc_Ayrault #licence_d'exportation #Jean-Charles_Larsonneur #canons_caesar #hypocrisie #impératif_de_vente #armes_de_surveillance #armes_d'interception #ERCOM #chiffrement #nexa_technologies #AMESYS #torture #complicité_d'actes_de_torture #Libye #al-Sissi #écoutes #Emmanuel_Macron #Macron #secret_défense
Un nouveau drone-kamikaze russe ’silencieux’ bientôt mis en service
▻https://www.businessinsider.fr/un-nouveau-drone-kamikaze-russe-silencieux-bientot-mis-en-service-18
Si des armées s’évertuent à trouver le meilleur moyen de se défendre face aux drones, d’autres travaillent à en développer de plus efficaces. Le 22 février, le groupe de défense Kalashnikov, sous contrôle gouvernemental russe, a ainsi annoncé que son nouveau #drone-kamikaze achèverait sa période de test dans le courant de l’année.
De la guerre froide à la guerre chaude
Le Longshot, nouveau drone chasseur d’avions de l’US Air Force
▻https://www.capital.fr/economie-politique/le-longshot-nouveau-drone-chasseur-davions-de-lus-air-force-1394345
L’US Air Force développe des essaims de drones militaires
▻https://www.capital.fr/economie-politique/lus-air-force-developpe-des-essaims-de-drones-militaires-1362338
Le X-61A Gremlin est un drone autonome qui sera lancé directement en vol depuis un avion. Déployé en essaim, cet appareil développé par l’armée américaine pourra mener des missions de reconnaissance ou des bombardements.
Un #essaim_de_drones pourrait bientôt s’abattre sur les champs de bataille. La Darpa - une agence américaine spécialisée dans la #technologie_militaire - a annoncé la réussite des premiers essais en vol d’un appareil d’un genre nouveau : le X-61A Gremlin. Il s’agit d’un drone autonome lancé à partir d’un avion de transport militaire à plusieurs centaines de kilomètres du théâtre d’opération, limitant le danger pour les pilotes. Lors de son essai, l’engin a volé pendant plus d’une heure avant d’être récupéré au sol. D’ici quelques années, ces machines pourront revenir elles-mêmes à bord de l’aéronef qui les avait envoyé, ce qui évitera la construction de bases aériennes proches du front.
Le Gremlin sera peu coûteux à produire, à réparer et à réutiliser. L’US Air Force compte bien en profiter pour le déployer en nuées sur les théâtres d’opérations afin de saturer l’espace aérien ennemi. Sur place, il devra accomplir de nombreuses missions : reconnaissance, brouillage des signaux des radars hostiles, ou encore ciblage d’appareils ennemis. Enfin, le Gremlin pourra emporter des #missiles et conduire des bombardements synchronisés avec d’autres appareils autonomes.
Les militaires envisagent même de transformer la machine en kamikaze robotique en l’équipant d’une charge explosive. Si le Gremlin venait à être endommagé lors d’une bataille, il plongerait alors sur une cible ennemie pour faire le plus de dégâts possible. Déployés en nuées, ces drones serviront aussi de boucliers mobiles en “encaissant” les premières salves de missiles anti-aériens avant que les avions de chasse de l’US Air Force investissent le champ de bataille.Ultime avantage, l’US Air Force estime que le Gremlin pourra être produit en masse et que chaque unité n’aura besoin que d’une journée de maintenance avant de pouvoir redécoller.
du côté militaire, des joujoux par milliers ! @etraces
Le pouvoir est pris dans une sale affaire de #missiles en #Libye
Des missiles américains vendus à la France ont été retrouvés près de Tripoli dans une base militaire des troupes du général Haftar, l’homme fort de l’est du pays. Malgré les démentis de la ministre des armées, tout laisse penser que Paris a armé les troupes rebelles, en violation de l’embargo des Nations unies.
Déjà fortement critiqué pour ses ventes d’armes à l’Arabie saoudite et leur utilisation dans la guerre au Yémen, voilà le gouvernement français engagé sur un nouveau front : la fourniture d’armes en Libye, en violation de l’embargo décrété par les Nations unies. Paris est en effet très fortement soupçonné d’armer les troupes rebelles du général Haftar. L’homme, qui tient l’est du pays et la région de Benghazi, a lancé depuis avril une violente offensive militaire pour prendre Tripoli. Selon l’ONU, elle a déjà provoqué plus de 1 000 morts et 5 500 blessés.
Officiellement, la France dit parler en Libye avec « toutes les parties », le camp du général Haftar et le gouvernement de Tripoli, reconnu par les Nations unies. Dans les faits, Paris n’a cessé de soutenir le général Haftar, avec l’Égypte, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis. Dès 2016, François Hollande avait reconnu la mort, dans un crash d’hélicoptère, de trois agents de la DGSE dépêchés auprès d’Haftar. Par la suite, le gouvernement français a reconnu avoir déployé des forces spéciales dans la région de Benghazi. Officiellement pour des missions « de lutte contre le terrorisme ».
Mais cette fois un nouveau palier est franchi. Le New York Times a révélé le 9 juillet que des missiles antichar appartenant à la France ont été retrouvés le 26 juin à #Gharyan, dans une base militaire reprise par l’armée officielle aux forces rebelles du général Haftar. Gharyan, à une soixantaine de kilomètres au sud de Tripoli, a été le principal point d’appui d’Haftar pour mener son offensive sur la capitale libyenne. Armements, matériel et troupes étaient concentrés dans cette base reprise par surprise fin juin.
Fait particulièrement gênant pour la France, ces missiles antichar – au nombre de quatre – ont été rapidement identifiés… par les États-Unis. Il s’agit de missiles Javelin, fabriqués par les groupes américains Raytheon et Lockheed Martin, et vendus par les États-Unis à la France en 2010. Paris avait alors acheté 260 missiles de ce type et leur équipement pour un contrat de 69 millions de dollars (soit 260 000 dollars l’unité).
Voilà que quatre de ces missiles sont inopinément découverts dans ce qui fut le QG de campagne du général Haftar qu’il a dû abandonner en catastrophe à la suite de l’opération victorieuse de l’armée loyaliste de Tripoli ! L’enjeu est important pour le gouvernement français : une telle livraison d’armements aux troupes rebelles ne ferait pas que violer l’embargo international (par ailleurs massivement contourné par l’Égypte et les Émirats arabes unis). Elle violerait également l’accord commercial passé avec les États-Unis et qui interdit formellement la réexportation ou revente ou dissémination de ce type de missiles.
D’où les explications particulièrement confuses de la ministre des armées, Florence Parly, depuis mardi 9 juillet. Contacté par Mediapart, le cabinet de la ministre s’en tient à une version en trois points :
– « Ces armes étaient destinées à l’autoprotection d’un détachement français déployé à des fins de renseignement en matière de contre-terrorisme. »
– « Endommagées et hors d’usage, ces munitions étaient temporairement stockées dans un dépôt en vue de leur destruction. Elles n’ont pas été transférées à des forces locales. »
– « Détenues par nos forces pour leur propre sécurité, ces armes n’étaient pas concernées par les restrictions d’importation en Libye. »
Ces explications sont bien peu crédibles et le ministère n’a pas souhaité répondre aux questions complémentaires posées mercredi 10 juillet par Mediapart. Florence Parly – hasard du calendrier – a été auditionnée à huis clos par la commission de défense de l’Assemblée nationale mercredi en fin d’après-midi au sujet des ventes d’armes de la France et de son rapport annuel au Parlement faussement transparent sur les exportations. C’est la troisième fois en trois mois que la ministre est entendue à ce sujet alors que les révélations s’enchaînent démontrant l’utilisation d’armements français dans des conflits comme dans la guerre au Yémen, « la pire crise humanitaire au monde », selon l’ONU.
Interrogée par les députés, la ministre s’est très vite réfugiée derrière le « secret-défense » pour ne pas répondre aux questions. Elle s’est limitée à noter que les Français avaient constitué sur le terrain « un détachement de renseignement », sans préciser où, pendant combien de temps et avec quel matériel.
Reprenons. Un détachement français aurait donc été présent à Gharyan dans la base militaire-QG du général Haftar situé pratiquement sur la ligne de front ? Ce serait reconnaître un engagement français sans précédent dans la guerre civile libyenne, d’autant que ce n’est pas sur une ligne de front et au plus fort des opérations militaires qu’on mène des opérations « antiterroristes ». Première incohérence.
Tous les spécialistes l’affirment. Les forces spéciales font du renseignement, peuvent mener des opérations ponctuelles et limitées. Mais elles ne sont certainement pas équipées de missiles antichar, ce qui signifierait qu’elles se trouveraient directement engagées sur le champ de bataille. Deuxième incohérence.
Des missiles « endommagés et hors d’usage », dit le ministère. Comment pouvaient-ils alors protéger les soldats français ? Ou alors, avaient-ils été déjà utilisés, par qui et dans quelles conditions ? Le silence du ministère rend absurde cet argument. Une autre hypothèse est que ces missiles auraient été oubliés ou abandonnés par les forces françaises dans un autre lieu puis récupérés par les forces du général Haftar et apportés à la base de Gharyan. Ce qui, là encore, est bien peu crédible. Et ce qui, dans ce cas, démontrerait que ces armes étaient bien sous le contrôle exclusif des « forces locales », contrairement aux affirmations du ministère.
Contacté par Mediapart, Olivier Faure, premier secrétaire du PS et membre de la commission de défense, comptait interroger la ministre sur un tel scénario : « Comment les forces spéciales auraient-elles pu abandonner de telles armes ? Pourquoi en étaient-elles équipées ? Et surtout, pourquoi Haftar a-t-il récupéré ces missiles s’ils ne pouvaient pas servir ? ». A l’issue de l’audition d’une ministre muette, il ne masquait pas ses interrogations grandissantes. « La ministre a été extrêmement concise, pour le dire diplomatiquement, sur la Libye. Pour le reste elle s’est livrée à un long exposé sur la nécessité des ventes d’armes, enjeu stratégique dans la lutte contre le terrorisme... ».
« La France mène une guerre secrète en Libye »
Le député de La France insoumise Bastien Lachaud, également membre de la commission de défense, se pose les mêmes questions. Avec une obsession : « Mais que fait la France en Libye et que fait-elle avec ses armes ? » « Le gouvernement doit s’expliquer, insiste le parlementaire. Il nous doit la vérité car le bordel en Afrique notamment dans la bande sahélo-sahélienne est consécutif à la crise libyenne où la France tient une grande responsabilité depuis Sarkozy. »
L’élu LFI déplore l’opacité du système français : « Nous auditionnons la ministre mais c’est un bien grand mot. Car c’est à huis clos et contrairement à nos pairs du Congrès américain, nous n’avons aucun droit de suite, ni de relance. En face, la ministre nous sert les mêmes éléments de langage que sur Twitter. » Les explications du ministère des armées le sidèrent : « Comment peut-on laisser de telles armes après une opération et comment finissent-elles sur une base pro-Haftar ? Et si elles étaient inutilisables, que faisaient-elles en Libye ? »
Deux autres étrangetés, pour ne pas dire plus, peuvent être relevées. La première est une déclaration faite le 1er juillet sur Twitter par l’ambassade de France en Libye. Sous le hastag #Fakenews, l’ambassade « dément catégoriquement la présence de soldats ou de personnel militaire français à Gharyan ».
La seconde étrangeté tient à l’équipement même des forces françaises. Les missiles Javelin avaient été achetés en 2010, dans l’attente d’un missile français de nouvelle génération produit par MBDA, le missile moyenne portée. Selon plusieurs spécialistes, le missile Javelin est pour partie obsolète, en tous les cas beaucoup moins performant que le missile MBDA. Comme le note le site spécialisé Opex360, ce missile français devait être déployé au Sahel d’ici la fin 2018. Ce qui renforce encore la suspicion d’une livraison aux forces « amies » du général Haftar de missiles Javelin moins performants.
Dernier élément : les missiles Javelin ont été retrouvés à Gharyan, non pas dans un lieu isolé, mais dans des entrepôts où était stocké tout un arsenal des forces rebelles, dont des drones de fabrication chinoise, des armes de fabrication russe et des obus venant des Émirats arabes unis, comme le montre la photo ci-contre. Les missiles français ne bénéficiaient d’aucune protection particulière qui laisserait entendre qu’ils ne faisaient pas partie de l’arsenal rebelle.
Dès lors, il est peu probable que le pouvoir français puisse en rester à des explications aussi imprécises. Les commissions spécialisées du Congrès américain pourraient se saisir de cette affaire et d’une éventuelle violation par la France d’un accord commercial. Les inspecteurs des Nations unies pourraient également intervenir et ont déjà documenté de multiples violations de l’embargo, en particulier par l’Égypte et les Émirats arabes Unis.
Pour le chercheur Jalel Harchaoui, l’un des rares spécialistes de la crise libyenne aujourd’hui en France, « nous avons désormais avec la découverte de ces missiles une preuve indéniable de ce que l’on sait tous : la France mène une guerre secrète en Libye. Elle soutient Haftar même militairement. Elle souhaite que son poulain Haftar gagne, car elle est pour une dictature en Libye, elle voit en lui ce qu’elle aime en Égypte, un autoritarisme rigide sans aucune liberté individuelle ».
Dans les rangs des ONG françaises aussi, cette information provoque des remous. Et on se pose les mêmes questions que les députés de l’opposition. « Pourquoi des missiles français se trouvent sur le territoire libyen pour assurer la protection des Français ? Ont-ils été déclarés auprès des Nations unies ? Ont-ils fait l’objet d’une autorisation du Congrès américain pour être utilisés en Libye ? Comment Haftar a eu accès à ces missiles ? Ces missiles sont, selon le gouvernement, inutilisables ? Qu’est-ce qui le prouve ? », lance Aymeric Elluin, chargé de plaidoyer à Amnesty International.
Il rappelle l’affaire des #drones dits #MALE (moyenne endurance longue portée). Achetés en catastrophe à l’américain General Atomics, en 2013 pour être déployés dans la guerre au Mali et la bande sahélo-saharienne, ils ont été au cœur d’un feuilleton politico-industriel, Paris voulant s’éviter de passer devant le Congrès américain qui exige une autorisation pour toute nouvelle zone de déploiement. L’ONG, qui a transmis une douzaine de questions très précises aux députés en amont de l’audition de ce mercredi sur les ventes d’armes, se réjouit que cette affaire de missiles français sur le sol libyen survienne : « La France va devoir se plier au devoir de transparence. »
▻https://www.mediapart.fr/journal/international/100719/le-pouvoir-est-pris-dans-une-sale-affaire-de-missiles-en-libye?onglet=full
#armes #commerce_d'armes #USA #Etats-Unis #France #armement
Putin threatens to target US if it deploys #missiles in Europe
▻https://www.cnbc.com/2019/02/20/putin-threatens-to-target-the-us-if-it-deploys-new-missiles-in-europe.html
Putin, in his annual address to parliament, says his country would not seek confrontation and would not take the first step in deploying missiles after the suspension of the Intermediate-range Nuclear Forces Treaty.
However, he says Russia would respond to any deployment of new intermediate-range missiles in Europe by targeting the United States itself and not just the countries where they are deployed, according to a Reuters translation.
He says he would field new weapons that would target U.S. decision-making centers.
Après Washington, la #Russie annonce son retrait de l’accord de désarmement #nucléaire de 1987
▻https://www.france24.com/fr/20190202-traite-FNI-russie-suspension-accord-desarmement-nucleaire-1987-et
Début décembre, de Bruxelles et avec le soutien de l’Otan, Mike Pompeo avait donné à la Russie 60 jours, jusqu’au 2 février, pour démanteler ses nouveaux missiles de longue portée violant le traité aux yeux des Américains et de l’Alliance atlantique .
L’escalade nucléaire entre les États-Unis et la Russie inquiète de plus en plus. Alors que les deux pays viennent de sortir du traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire FNI, ce documentaire dresse un inventaire de l’arsenal atomique mondial.
▻https://www.arte.tv/fr/videos/082249-000-A/le-retour-des-armes-nucleaires
Réalisation : Andreas Orth
Une nouvelle guerre froide se profile-t-elle ? Après la chute du rideau de fer, à la fin des années 1980, des milliers d’armes nucléaires ont été retirées du territoire européen : la #menace_nucléaire semble alors contenue. Depuis lors, la tendance s’est inversée. Alors que les tensions politiques apparaissent plus vives que jamais, elles s’accompagnent d’une course à l’armement inédite, qui s’intensifie depuis quelques années. Depuis la crise ukrainienne de 2014, les exercices militaires se multiplient, tout autant que les incidents entre Occidentaux et Russes. En Europe, les bases américaines entreposent toujours des #missiles_atomiques, potentiellement plus destructeurs que les bombes larguées sur Hiroshima et Nagasaki. Selon certains analystes, une intervention nucléaire serait plus vraisemblable aujourd’hui qu’au plus fort de la guerre froide. En revenant sur l’histoire de l’armement nucléaire, ce documentaire dresse un inventaire de l’arsenal atomique mondial, et passe en revue les nouvelles stratégies de dissuasion et de riposte déployées par les États.
« Ce qu’il nous faudrait, c’est une bonne guerre ! » Qu’en disent les économistes ? L’exemple de la Première Guerre mondiale, pendant laquelle l’industrie de l’armement semble avoir stimulé l’économie de tout le pays, nous apporte quelques réponses...
▻https://www.franceculture.fr/emissions/entendez-vous-leco/entendez-vous-leco-du-lundi-04-fevrier-2019
US makes an offer to Turkey for the sale of Patriot #missiles
The United States has formally made an offer to Turkey for the sale of multibillion dollar Patriot air defense systems, the Anadolu Agency has reported, in a bid to increase its pressure on the latter’s purchase of Russian-made S-400 systems.
▻http://www.hurriyetdailynews.com/us-makes-an-offer-to-turkey-for-the-sale-of-patriot-missiles-1402
#armes #commerce_d'armes #USA #Etats-Unis #Turquie #armement
ping @reka
CSIS-iLab/aerospace-viz: Home to data viz projects for the Aerospace Security website.
▻https://github.com/CSIS-iLab/aerospace-viz
How US nuclear force modernization is undermining strategic stability
▻https://thebulletin.org/how-us-nuclear-force-modernization-undermining-strategic-stability-burs
TL;DR: With no increase in number of warheads, modernization provides USA with credible first strike capability. In response to that, adversaries are pushed to pre-delegate launch authority to lower levels. Add USA’s displays of overconfidence in BMD to that if you are not worried enough yet !
Une vision étriquée de la cyber-guerre : choisir entre les #DDoS ou les #Missiles
▻https://reflets.info/une-vision-etriquee-de-la-cyber-guerre-choisir-entre-les-ddos-ou-les-missi
Un tweet de l’ami Bortzmeyer n’a pas manqué d’attirer mon attention aujourd’hui. Le 6 octobre dernier, je faisais justement une intervention au Festival des nouvelles explorations de Royan sur le sujet controversé et oh combien […]
No, We Cannot Shoot Down North Korea’s #Missiles - Defense One
▻http://www.defenseone.com/ideas/2017/09/no-we-cannot-shoot-down-north-koreas-missiles/141070
The number one reason we don’t shoot down North Korea’s missiles is that we cannot.
Officials like to reassure their publics about our defense to these missiles. Japanese Chief Cabinet Secretary Yoshihide Suga told his nation after last week’s test, “We didn’t intercept it because no damage to Japanese territory was expected.”
That is half true. The missile did not pose a serious threat. It flew over the Japanese island of Hokkaido, landing 3700 km (2300 miles) from its launch point near North Korea’s capital of Pyongyang.
The key word here is “over.” Like way over. Like 770 kilometers (475 miles) over Japan at the apogee of its flight path. Neither Japan nor the United States could have intercepted the missile. None of the theater ballistic missile defense weapons in existence can reach that high. It is hundreds of kilometers too high for the Aegis interceptors deployed on Navy ships off Japan. Even higher for the THAAD systems in South Korea and Guam. Way too high for the Patriot systems in Japan, which engage largely within the atmosphere.
North Korea’s “not quite” ICBM can’t hit the lower 48 states | Bulletin of the Atomic Scientists
▻http://thebulletin.org/north-korea%E2%80%99s-%E2%80%9Cnot-quite%E2%80%9D-icbm-can%E2%80%99t-hi
[...] the Western press apparently did not know one crucial fact: The rocket carried a reduced payload and, therefore, was able to reach a much higher altitude than would have been possible if it had instead carried the weight associated with the type of first-generation atomic bomb North Korea might possess. Experts quoted by the press apparently assumed that the rocket had carried a payload large enough to simulate the weight of such an atomic bomb, in the process incorrectly assigning a near-ICBM status to a rocket that was in reality far less capable.
#missiles #nucléaire #Corée_du_nord #incompétence ou #malhonnêteté #MSM #Etats-Unis
La #Chine face au casse-tête nord-coréen
▻https://www.mediapart.fr/journal/international/050817/la-chine-face-au-casse-tete-nord-coreen
Pressé par la Maison Blanche de contraindre le pouvoir nord-coréen, son allié de longue date, à arrêter ses tirs nucléaires, Pékin se retrouve coincé. Le pouvoir chinois voudrait bien arriver à contrôler Kim Jong-un, devenu imprévisible. Mais #Xi_Jinping voudrait obtenir en contrepartie la fin des exercices militaires américains en Corée du Sud.
#International #Corée_du_Nord #diplomatie #Donald_Trump #Etats-Unis #Kim_Jong_Un #missiles_balistiques #Pyongyang
Un ex-responsable nord-coréen témoigne : « Kim Jong-un sait que son système est en crise »
▻https://www.mediapart.fr/journal/international/010617/un-ex-responsable-nord-coreen-temoigne-kim-jong-un-sait-que-son-systeme-es
Kim Jong-un observant à la jumelle la Corée du Sud. © Reuters Il est l’un des plus hauts responsables nord-coréens à avoir fait défection. À l’été 2016, le diplomate #Thae_Yong-ho est passé au Sud. Dans cet entretien exclusif, il explique pourquoi la #Corée_du_Nord ne renoncera jamais à son programme #nucléaire et balistique. Désormais basé à Séoul, ce dissident milite pour un effondrement du régime de l’intérieur.
Pourquoi les Nord-Coréens nous haïssent-ils ? C’est simple, ils se souviennent de la Guerre de Corée. Par Mehdi Hasan
▻https://www.les-crises.fr/pourquoi-les-nord-coreens-nous-haissent-ils-cest-simple-ils-se-souviennen
« Pourquoi nous haïssent-ils ?
C’est une question qui, en pensant au monde arabo-musulman, a rendu les Américains inlassablement perplexes à la suite des événements du 11 septembre. Actuellement, toutefois, c’est une question qui est de plus en plus posée à propos des Nord-Coréens repliés sur eux-même. . . . . . . . .
Oui, la guerre de Corée, vous vous rappelez ? Celle qui est coincée entre la deuxième guerre mondiale et la guerre du Vietnam ? La première guerre « chaude » de la Guerre Froide, qui a eu lieu entre 1950 et 1953, et qui depuis a été commodément évacuée de la plupart des discussions et des débats à propos du régime « cinglé » et « dément » de Pyongyang. Oubliée bien que cette guerre particulière ne soit même pas terminée – elle a été suspendue par un accord d’armistice et non par un traité de paix – et bien que ce conflit ait vu les États-Unis commettre de nombreux crimes de guerre, ce qui continue de façonner, peut-être ne faut-il pas en être surpris, la manière dont les Nord-Coréens voient les États-Unis, même si les habitants des États-Unis ignorent béatement le passé de belligérant de leur pays.
Pour l’histoire, ce sont les Nord-Coréens, et non les Américains ou leurs alliés Sud-Coréens qui ont débuté la guerre en juin 1950, lorsqu’ils ont franchi le 38ème parallèle et envahi le sud. Néanmoins, « ce que les Américains ignorent ou se rappellent à peine, c’est que nous avons tapissé de bombes le Nord pendant trois ans sans trop nous préoccuper des pertes civiles » écrit dans son livre « La guerre de Corée : une histoire » Bruce Cummings, historien de l’Université de Chicago.
Combien d’Américains, par exemple, sont conscients du fait que les avions américains ont lâché, sur la péninsule coréenne, plus de bombes – 635 000 tonnes, et de napalm – 32 557 tonnes – que pendant toute la campagne du Pacifique contre les Japonais au cours de la seconde guerre mondiale ?
Combien d’Américains savent que « sur une période de trois ans ou à peu près », pour citer Curtis LeMay, Général de l’Armée de l’Air et chef du Commandement Stratégique Aérien pendant la guerre de Corée, nous avons assassiné… 20% de la population » ?
Vingt. Pour cent. Par comparaison, les Nazis ont exterminé 20% de la population polonaise présente avant la seconde guerre mondiale. Selon LeMay, « nous sommes allés là-bas pour faire la guerre et nous avons fini par incendier et détruire chaque ville de Corée du Nord. »
Chaque. Ville. On estime que plus de 3 millions de civils, dont la majorité habitaient le Nord, ont été tués dans les combats.
Combien d’Américains connaissent les déclarations du secrétaire d’État Dean Rusk ou le représentant de la Cour Suprême William O. Douglas ? Rusk, qui était fonctionnaire au département d’État en charge des Affaires de l’Extrême-Orient pendant la guerre de Corée, a plus tard admis que les États-Unis avaient bombardé « chaque brique posée sur une autre , tout ce qui bougeait ». Il a souligné que les pilotes américains « bombardaient juste cette putain de Corée du Nord. »
Douglas a visité la Corée au cours de l’été 1952 et a été pétrifié par la « misère, la maladie, la souffrance et la famine, aggravées » par les bombardements des avions de guerre américains qui, à court de cibles militaires, avaient bombardé les fermes, les barrages, les usines et les hôpitaux. « J’ai vu les villes d’Europe meurtries par la guerre, a confessé le représentant de la Cour Suprême, mais je n’avais pas vu la dévastation avant de voir la Corée. » . . . . . . . . .
Source : ▻https://theintercept.com/2017/05/03/why-do-north-koreans-hate-us-one-reason-they-remember-the-korean-war
North Korea showed off a lot of missiles. What might be its targets?
Experts assumed Kim Jong Un had the capability to launch nuclear weapons even before last weekend’s test flight of a new missile that, on a normal, flatter trajectory, would have been capable of reaching Guam. But they don’t think he wants to fire them randomly.
Implications of Ultra-Low-Cost Access to Space
▻https://csis-prod.s3.amazonaws.com/s3fs-public/publication/170316_Harrison_UltraLowCostAccess_Web.pdf
La #Corée_du_Nord, la #bombe, les #sanctions : et la diplomatie ?
▻https://www.mediapart.fr/journal/international/301116/la-coree-du-nord-la-bombe-les-sanctions-et-la-diplomatie
Le conseil de sécurité de l’ONU vient de voter une nouvelle résolution qui inflige des sanctions renforcées à la Corée du Nord en raison de son programme d’armement #nucléaire. Des sanctions pourtant inefficaces jusqu’à présent.
#International #Asie #Chine #Corée_du_sud #Etats-Unis #Kim_Jong-Un #missiles #ONU
Le #ministère_russe_de_la_Défense a annoncé planifier d’abattre tous les objets volants non identifiés en #Syrie à des fins défensives, ce suite aux informations selon lesquelles Washington réfléchissait à effectuer des frappes contre l’armée syrienne.
La défense aérienne russe abattra aéronef non identifié en Syrie, a communiqué le ministère russe de la Défense, soulignant que les #systèmes_antiaériens S-300 et S-400 n’auraient pas le temps de déterminer son appartenance.
« Il faut être conscient du fait que les systèmes russes n’auront pas le temps de déterminer “en ligne directe” le trajet précis des #missiles et leur appartenance. Et ceux qui prétendent qu’il existe des #avions_invisibles vont au devant de graves déconvenues », a mis en valeur le général Igor Konachenkov, porte-parole du ministère russe de la Défense.
Moscou confirme la livraison de #missiles_S-300 en Syrie Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a de son côté affirmé que les systèmes russes S-300 et S-400 récemment fournis à la Syrie ne posaient quant à eux aucune menace et qu’on n’y avait recourt qu’à des fins purement défensives.
« Toute frappe aérienne ou tir de missile contre les territoires contrôlés par le gouvernement syrien posera une menace évidente aux militaires russes », a précisé M. Konachenkov.
« Aujourd’hui, la plupart d’officiers du Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie travaillent au sol, livre de l’aide humanitaire, mènent des pourparlers avec les gouverneurs des localités et des unités armées dans de nombreuses provinces syriennes », a expliqué M. Konachenkov.
« Grâce à leur activité, 732 localités et des centaines de milliers de Syriens ont pu retrouver une vie normale. Aussi tout tir de missile ou frappe aérienne contre le territoire contrôlé par le gouvernement syrien présentera-t-il une menace flagrante pour les militaires russes », a poursuivi le général.
Plus tôt dans la semaine, Moscou a confirmé la mise en place de systèmes S-300 en Syrie arguant qu’il fallait des mesures concrètes pour éviter des « bavures » contre les militaires russes semblables à la frappe de la #coalition_internationale dirigée par les #États-Unis contre #Deir-ez-Zor. Ainsi, l’armée syrienne est dotée de systèmes antiaériens efficaces et la portée de tir des systèmes russes pourra prendre au dépourvu tout objet volant non identifié, a souligné le ministère.
▻http://yetiblog.org/index.php?post/2014
▻http://fr.sputniknews.com/international/201610061028067721-moscou-missiles-usa-syrie
La #Corée_du_Nord tire trois missiles balistiques (armée sud-coréenne)
La Corée du Nord a tiré trois #missiles balistiques vers la #mer_du_Japon mardi, a indiqué l’armée sud-coréenne, un peu plus d’une semaine après que Pyongyang a menacé de lancer une « action physique » contre un système antimissile américain déployé en Corée du Sud.
▻http://www.courrierinternational.com/depeche/la-coree-du-nord-tire-trois-missiles-balistiques-armee-sud-co
Mapping the reach of North Korean missiles
▻http://blogs.reuters.com/data-dive/2015/04/09/mapping-the-reach-of-north-korean-missiles
U.S. Secretary of Defense Ash Carter’s arrival in Southeast Asia this week was met with fireworks. But while the short-range missiles fired by North Korea into the Sea of Japan may have been sent with portentous intent, Carter took them in stride. “If it was a welcoming message to me, I’m flattered,” Carter quipped.
North Korea’s ambitions for long-range weapons are of graver concern. As this Reuters graphic shows, North Korea’s three types of operational ballistic missiles possess relatively limited range, with a maximum reach of 800 miles. That’s close enough to worry Japan, but when discussion shifts to Pyongyang’s aspirations for a working long-range missile, U.S. concern dilates appropriately.
Missiles S-300 pour Téhéran : la Russie redoute-t-elle un rapprochement entre l’Iran et l’Occident ? | Russia Beyond the Headlines
▻http://fr.rbth.com/international/2015/04/15/missiles_s-300_pour_teheran_la_russie_redoute-t-elle_un_rapproc_33413.html
Pour le titre ... :)
Le lundi 13 avril, le président russe Vladimir Poutine a levé l’embargo sur les livraisons de missiles de défense antiaérienne S-300 à l’Iran, introduit quelques années plus tôt par Dmitri Medvedev. Expliquant les raisons de leur décision, les autorités russes évoquent les changements dans la situation internationale. Les experts estiment que Moscou souhaite prévenir un rapprochement entre Téhéran et l’Occident.
Les Etats-Unis veulent vendre pour 700 millions de dollars de missiles à l’Irak
▻http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2014/07/30/les-etats-unis-veulent-vendre-700-millions-de-dollars-de-missiles-a-l-irak_4
Les Etats-Unis ont l’intention de vendre cinq mille missiles antichars Hellfire à l’Irak pour 700 millions de dollars, afin d’aider Bagdad à lutter contre les insurgés sunnites de l’Etat islamique, qui ont créé un « califat islamique » entre l’Irak et la Syrie.
Vendre des missiles à un semblant d’Etat et qui ont toutes les chances de tomber entre les mains de diverses milices est complètement irresponsable. #Etats-Unis #leadership
ce genre de munitions ne sont pas considérées comme des armes de destruction massive ? Ok c’est de simples munitions anti-chars, mais ça reste des armes mortelles..
On fait la guerre pour soi-disant les enlever, on va les remettre pour soi-disant éviter la guerre..
Ce monde est parfois aussi crédible que n’importe quel épisode de Tintin..
Iranian FM: #Israel “lying” about #Gaza missile shipment
▻http://english.al-akhbar.com/content/iranian-fm-israel-lying-about-gaza-missile-shipment
A handout picture released by Israel allegedly shows a missile on an intercepted ship in the #Red_Sea on March 5, 2014 carrying what Israeli military claims was Iranian “advanced weaponry” bound for Palestinian fighters in Gaza. (Photo: AFP) A handout picture released by Israel allegedly shows a missile on an intercepted ship in the Red Sea on March 5, 2014 carrying what Israeli military claims was Iranian “advanced weaponry” bound for Palestinian fighters in Gaza. (Photo: AFP)
#Iran's foreign minister on Friday sharply rejected an Israeli allegation that Tehran tried to ship #missiles to the Gaza Strip, calling it a “lie.” Israel has said it captured a Gaza-bound ship Wednesday carrying dozens of Syrian-made rockets (...)
Missile d’essai tiré par les Russes : Washington était prévenu | Ukraine
▻http://www.lapresse.ca/international/dossiers/ukraine/201403/04/01-4744575-missile-dessai-tire-par-les-russes-washington-etait-prevenu.php
La Russie avait prévenu à l’avance les États-Unis qu’elle allait procéder à un tir d’essai de missile balistique intercontinental (ICBM) Topol, intervenu mardi en pleine période de tensions américano-russes sur l’Ukraine, a déclaré un responsable américain de la Défense.
Les États-Unis ont été prévenus « avant le début de la crise en Ukraine », a affirmé à l’AFP ce responsable s’exprimant sous couvert de l’anonymat. Il n’a pas précisé si cela remontait à avant le début de l’occupation de la Crimée vendredi ou avant la chute du président ukrainien Viktor Ianoukovitch une semaine plus tôt.
« Ce n’est pas inattendu », a de son côté confié un autre responsable, qui avait auparavant indiqué que la notification remontait au début de cette semaine. Interrogé sur la signification de ce test en pleine crise ukrainienne, il n’a pas souhaité faire de commentaire.
« Ce test de routine d’un ICBM a été notifié à l’avance », a de son côté fait savoir la Maison-Blanche, selon laquelle cette notification est une disposition prévue par le nouveau traité Start de désarmement nucléaire, conclu en 2010 entre la Russie et les États-Unis.
Ces notifications « sont destinées à apporter de la transparence, de la confiance, de la prévisibilité et à aider les deux parties à éviter les erreurs de jugement », a fait valoir la porte-parole du Conseil de sécurité nationale (NSC), Caitlin Hayden dans un communiqué.
La Russie a procédé mardi avec succès au tir d’essai d’un missile ICBM, Topol RS-12M, depuis la région d’Astrakhan (sud), a indiqué un responsable du ministère russe de la Défense. L’ogive d’entraînement — non nucléaire - a détruit sa cible située au Kazakhstan, selon ce responsable.
Le Topol RS-12M (code Otan : SS-25 Sickle) a une portée de 10 000 km et une masse au décollage de 45,1 tonnes. Il peut être équipé d’une ogive nucléaire de 550 kilotonnes. Facile à manier, le projectile peut être lancé à l’aide de rampes mobiles stationnaires.
La Russie procède régulièrement à des tirs d’essai de missiles. Le dernier tir d’essai d’un Topol-M avait été effectué avec succès en octobre dernier.
Cet essai intervient cinq jours après le début de l’occupation de la province ukrainienne de Crimée par les forces russes. Le chef de la diplomatie américaine John Kerry a accusé mardi Moscou de chercher un « prétexte » pour « envahir » l’Ukraine. Les États-Unis ont rompu lundi toute coopération militaire avec Moscou et menacent la Russie de nouvelles sanctions.
Même au plus fort de la Guerre froide, pendant la crise des missiles de Cuba en octobre 1962, États-Unis et URSS avaient poursuivi leurs essais nucléaires, les Américains en ayant conduit quatre ce mois-là, les Soviétiques deux, selon l’Organisation pour l’interdiction complète des essais nucléaires (CTBTO).
#Russie
#missiles ( Tir )
#Washington
Ces #robots qui guerroient pour nous
RÉPRESSION • #Drones et #missiles qui tombent (en principe) sur les insurgés colombiens ou pakistanais ne sont qu’un avant-goût des armes automatisées du futur. Des « #robots_létaux_autonomes » qui inquiètent l’ONU.
▻http://www.lecourrier.ch/118184/ces_robots_qui_guerroient_pour_nous